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  1. SNC-Lavalin: deux milliards en contrats dans l'Ouest 5 mai 2007 - 15h04 La Presse Martin Vallières Vancouver Pour la première fois, SNC-Lavalin tenait son assemblée d'actionnaires dans la métropole de la côte ouest canadienne. Et pour cause. La Colombie-Britannique et l'Alberta, en plein boom économique, pèsent au moins deux milliards dans le carnet de commandes de 10,4 milliards de SNC-Lavalin, a confirmé son président, Jacques Lamarre, à La Presse Affaires. Il y a bien sûr, en Alberta, plusieurs contrats reliés aux projets pétroliers et gaziers. Mais la province voisine est aussi en plein boom d'investissement. À preuve, les nombreux chantiers dans les environs immédiats de l'hôtel du centre-ville de Vancouver, où avait lieu l'assemblée de SNC-Lavalin. Et la firme montréalaise dirige même le plus gros et le plus compliqué de ces chantiers vancouverois. Il s'agit de la ligne de métro au centre-ville et de train aéroportuaire qui doit ouvrir quelques mois avant les Jeux olympiques d'hiver, en février 2010. SNC-Lavalin est le maître d'oeuvre de ce projet de 1,9 milliard, ainsi qu'un investisseur dans la société d'exploitation de la «Canada Line», pour un mandat de 30 ans. La Caisse de dépôt et placement du Québec est aussi impliquée. Ailleurs en Colombie-Britannique, SNC-Lavalin a un autre projet particulier d'ingénierie et de gestion. Il s'agit du remplacement du «pont autoroutier flottant» sur le lac Okanagan, à Kelowna. Ce projet d'un peu plus de 200 millions est dans une région de villégiature et d'agriculture en forte croissance, située au milieu des chaînes montagneuses entre Vancouver et Calgary.
  2. Le 10 décembre 1964, le maire Jean Drapeau dévoile un projet de tour pour Expo 67. Érigée à l'extrémité est de l'île Sainte-Hélène et d'une hauteur de 325 m (1 066 pi), cette tour, réalisée conjointement par les villes de Montréal et de Paris, doit commémorer le 325e anniversaire de la fondation de Montréal. Faute de ressources financières, le projet est abandonné l'année suivante. Le stade olympique dans lequel jouent les Expos aujourd'hui, ressemble étrangement à cette tour...
  3. Un projet de télécabine pour dynamiser le tourisme à Montréal La Presse La relance du centre-ville de Montréal passe-t-elle par une télécabine ? C'est du moins l'une des nombreuses idées que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) présentera ce soir lors de la consultation sur l'avenir du coeur de la métropole. Dans son mémoire qui sera déposé ce soir, la CCMM propose de prendre les grands moyens pour mettre en valeur le centre-ville en relançant le projet de télécabine Skylink, envisagé en 2009. Mais plutôt que de relier la Rive-Sud au Vieux-Montréal, la CCMM croit qu'il serait préférable de relier le parc Jean-Drapeau au mont Royal en traversant le quartier des affaires. « Cette initiative audacieuse aurait le mérite de donner une signature supplémentaire à Montréal », peut-on lire. «Le mont Royal n'est pas facilement accessible du centre-ville. Pour les touristes, son accès demeure nébuleux.» Michel Leblanc, président de la CCMM Le regroupement de gens d'affaires croit que l'aménagement d'un lien aérien sur les quatre kilomètres séparant le parc Jean-Drapeau du mont Royal représenterait à coup sûr un « produit touristique attrayant ». Elle cite en exemple la ville de Barcelone, qui est dotée d'un tel moyen de transport depuis 1931. Les téléphériques urbains ont gagné en popularité ces dernières années. Londres a inauguré un tel moyen de transport en 2012. Seulement en 2015, plus de 1,5 million de passagers ont ainsi franchi la Tamise. Quant à l'idée d'ouvrir davantage le centre-ville sur le fleuve, la CCMM appelle à la prudence. Elle se dit « favorable à l'amélioration des accès au fleuve, mais cela doit se faire sans nuire aux activités d'une industrie importante pour l'économie métropolitaine et sans compromettre la sécurité du transport de marchandises ». VIVRE, TRAVAILLER ET SE DIVERTIR Au-delà de cette audacieuse proposition de télécabine, la Chambre plaidera qu'il faut s'assurer que le centre-ville demeure un quartier où il fait bon vivre, travailler et se divertir. Michel Leblanc souligne que Montréal doit réussir à attirer - et à conserver - les jeunes familles, qui ont tendance à quitter le secteur lorsqu'elles ont des enfants. Maintenir une population élevée - et diversifiée - permettrait de garder les commerces en santé, dit en somme la CCMM. La CCMM souhaite d'ailleurs voir Montréal contribuer à la relance des artères commerciales du centre-ville, un « dossier très préoccupant ». «Il sera illusoire de viser à attirer des familles sans commerces de proximité, et ceux-ci se porteront d'autant mieux qu'il y aura davantage de familles dans le voisinage.» Extrait du mémoire de la CCMM L'organisation souscrit à l'idée de renforcer la rue Sainte-Catherine, mais prévient que cette relance ne doit pas se faire au détriment de Saint-Laurent et de Saint-Denis. « Leur situation est alarmante depuis plusieurs années. Jadis des artères branchées et incontournables, elles sont maintenant en situation de fragilité commerciale. Il faudra être attentif lors du renforcement de la rue Sainte-Catherine de ne pas créer un simple déplacement commercial. » « Le test devant nous, c'est, si un commerce de destination veut s'établir dans la région de Montréal, est-ce que, dès le premier jour, il serait prêt à s'établir au centre-ville ? Si on réussit ça, on aura réussi », estime Michel Leblanc. La CCMM propose également de miser sur une nouvelle tendance pour les grandes villes : l'industrie manufacturière légère. Il s'agit de la création et l'assemblage de petites pièces et de l'impression 3D. « Ce virage doit être entrepris afin de maintenir le dynamisme du secteur manufacturier et de stimuler l'économie de Montréal. Toute hausse de productivité manufacturière serait structurante pour la métropole et pour la vitalité du centre-ville. »
  4. Texte que je trouve intéressant et malheureusement n'apportera pas le débat de société nécessaire. C'est quand même gigantesque le montant qui sort de la province par année! Des milliards investis dans la congestion | Pierre-Olivier Pineau | Votre opinion Des milliards investis dans la congestion
  5. La ville devient immobilier promoteur immobilier Pour la première fois de son histoire, la Ville de Montréal se lance dans un mégaprojet de développement domiciliaire évalué à 300 M$, dans l'est de la ville. L'administration Tremblay a confié à la paramunicipale SHDM le mandat de construire environ 1800 maisons, condos et appartements sur un vaste terrain, le site Contrecoeur, qui appartient à la Ville. Le projet doit être réalisé sur une période d'au moins cinq ans et le constructeur principal retenu à la suite d'un appel d'offres est la firme F. Catania. Le site est impressionnant avec ses 380 000 mètres carrés. Il est délimité au sud par la rue Sherbrooke, à l'ouest par la rue Pierre-Bernard, au nord par Anjou et à l'est par la carrière Lafarge, à Montréal-Est. Logements sociaux Les clientèles visées sont les familles, les revenus moyens, les retraités. Une place importante sera faite aux logements sociaux et, à ce chapitre, il a déjà été déterminé par l'administration de Montréal que plus de la moitié des logements seront de type «abordable» (39 %) et à caractère «social» (21 %). Une zone de maisons unifamiliales sera réservée au nord. Elle sera voisine de l'arrondissement d'Anjou. Cet important développement qui amènera près de 5000 personnes dans le quartier Maisonneuve est évalué à 300 M$. «Nous sommes excités, commente la mairesse de l'arrondissement, Lyne Thériault, mais le projet soulève quelques questions auxquelles l'hôtel de ville devra apporter des réponses.» Elle mentionne entre autres «les dépenses accrues auxquelles devra faire face l'arrondissement pour fournir les services publics à cette nouvelle population». Des parcs L'entreprise est colossale. La SHDM doit prévoir plusieurs zones de développement avec ses rues, ses parcs, ses infrastructures et ses unités d'habitation. À l'extrémité est, les nouveaux quartiers seront voisins de la carrière Lafarge. «Je n'ai pas d'inquiétude quant à cette proximité. Le projet prévoit une large bande verte avec des arbres pour atténuer le bruit et la poussière et autres nuisances liées à l'exploitation de la carrière», soutient la mairesse. Une zone de commerces est aussi aménagée le long de la carrière, dans la partie sud du nouveau quartier. Le projet domiciliaire rapportera 5 M$ et plus de taxes municipales annuellement dans les coffres de la Ville.
  6. 29 novembre 2011 Communiqué Le futur Centre de transport Stinson de la STM La construction du Centre de transport Stinson a été annoncée hier. Situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, en bordure des rues Stinson et Montpellier, ce bâtiment de deux étages, d'une superficie totale de plancher de 38 400 mètres carrés, abritera 300 bus, soit 200 réguliers et 100 articulés. Certains aménagements de base seront prévus de façon à accueillir éventuellement des véhicules électriques. La STM compte mettre tout en œuvre pour que ce nouveau bâtiment reçoive la certification LEED OR (Leadership in Energy and Environmental Design). Ce serait alors le premier centre de transport LEED OR au Canada. Intégration des principes de développement durable Pour obtenir la certification LEED, la STM doit non seulement minimiser les impacts du projet au niveau de l'environnement, mais également assurer une gestion efficace des ressources. Elle doit se préoccuper de la qualité de vie des résidents du secteur, par exemple, en contrôlant les eaux de surface, boues et poussières pendant le chantier. Les matériaux utilisés seront de provenance régionale dans la mesure du possible. La circulation des véhicules se fera majoritairement à l'intérieur du centre, ce qui va être moins incommodant pour les résidents. Des espaces verts et boisés seront aménagés sur le terrain pour contribuer à sa mise en valeur et à la réduction des îlots de chaleur. Un système permettra de récupérer une partie des eaux de lavage et de pluie. Le toit végétal couvrira une surface équivalant à un terrain et demi de football, soit environ 25 % de sa surface totale. Une attention particulière sera apportée à l'éclairage extérieur afin de limiter sa projection au site même. La performance énergétique sera optimisée de façon à récupérer près de 85 % de la chaleur lors des périodes froides. Ouverture à l'automne 2013
  7. Flo j'ai pris la liberté de créer un lien dans la section technologie urbaine avec ce fil, car je crois que c'est une trouvaille extraordinaire qui ne doit pas passer inaperçue. http://mtlurb.com/forums/showthread.php/23547-Quand-la-route-devient-centrale-photovolta%C3%AFque-une-premi%C3%A8re-mondiale-fran%C3%A7aise?p=236164#post236164 et un autre lien qui vient de la même source avec une petite vidéo http://www.lesechos.fr/industrie-services/immobilier-btp/021398624191-colas-lance-la-route-photovoltaique-une-premiere-mondiale-1165007.php#
  8. http://journalmetro.com/actualites/montreal/841294/ une-cooperative-pour-un-projet-de-monorail/vitesse Par Marie-Eve Shaffer Métro Coop MGV Un groupe de citoyens a mis sur pied une coopérative dans l’espoir de concrétiser le fameux projet de réseau de monorail à grande vitesse au Québec. «Pour que le projet se réalise, on croit que ça doit passer dans une coopérative. On veut que la population soit impliquée dans ce projet», a affirmé mardi le président de la nouvelle coopérative de recherche et de développement Coop MGV, Patrick Leclaire. La nouvelle organisation veut démontrer l’acceptabilité sociale du projet de réseau de monorail afin de trouver le financement nécessaire à la poursuite des études et à sa réalisation, tant auprès des gouvernements que des entreprises privées. Une somme de 250M$ est à prévoir pour la recherche et le développement et un montant oscillant entre 9M$ et 12M$ doit être budgété pour chaque kilomètre que parcourrait le monorail. Le projet que caresse la Coop MGV vise à créer un réseau de lignes de monorail entre plusieurs villes du Québec. Les navettes seraient suspendues à dix mètres du sol à des rails aériens supportés par des poteaux installés dans l’emprise des autoroutes. Elles pourraient accueillir jusqu’à 70 passagers et elles se déplaceraient à 250 km/h grâce à la technologie du moteur-roue, qui a été inventée par l’ingénieur Pierre Couture et qui fonctionne à l’électricité. 3G$ Pour la Coop MGV, l’une des premières lignes de monorail qui devrait voir le jour est celle qui relierait Montréal à Québec. Sa construction coûterait près de 3G$. Les Montréalais pourraient se rendre dans la capitale en une heure environ. «On sait que le projet est rentable. Il coûterait trois fois moins cher qu’un TGV», a dit le vice-président de Coop MGV, Michel Laforest. Ce dernier a vanté l’efficacité du monorail et son impact minime sur l’environnement. D’après la Coop MGV, les études préliminaires, qui serviront à peaufiner et éprouver la technologie du monorail dans le climat du Québec, prendront de trois à cinq ans. Ensuite, la construction de lignes de monorail pourront commencer, tant au Québec qu’à l’étranger. D’autres organisations militent aussi en faveur de la création d’un réseau de monorail à grande vitesse au Québec. L’organisme à but non lucratif MGV Québec, dont le conseil d’administration est notamment formé par l’ancien président du Mouvement Desjardins, Claude Béland, et de l’ex-premier ministre du Québec, Bernard Landry, tente de son côté de sensibiliser les autorités publiques et les industries à la pertinence du projet. «On a les mêmes objectifs [que Coop MGV], mais on n’a pas les mêmes moyens, a expliqué le coordonnateur de MGV Québec, Nicklaus Davey. Ce dernier souhaite que le projet de monorail à grande vitesse soit inclus dans la nouvelle Stratégie d’électrification des transports que doit dévoiler sous peu le gouvernement du Québec. «Quand les études de faisabilité seront déclenchées, [Coop MGV] est une partie prenant avec laquelle on va vouloir travailler parce que ce sera la voix des citoyens, a dit M. Davey, C’est un projet de développement durable. Alors, le volet d’acceptabilité sociale est important. La Coop MGV s’assure qu’en amont, l’enjeu d’acceptabilité sociale est abordé.» L’organisme TrensQuébec essaie pour sa part de convaincre des groupes étrangers puisque selon son directeur, Jean-Paul Marchand, le gouvernement du Québec ne semble pas ouvert au projet de monorail à grande vitesse. «Les choses avancent, mais elles risquent de prendre encore un peu de temps, a écrit M. Marchand dans un courriel adressé à Métro. Chose certaine, nous allons réussir à mettre sur le rail ce système, parce que les retombées pour le Québec sont immenses.» sent via Tapatalk
  9. Projet résidentiel de 500M$ à Mirabel. Ray Junior Courtemanche et Daniel Proulx construiront 2 000 unités d’habitation sur une partie des terrains du Lac Mirabel. Le projet, qui porte le nom de La Cité de Mirabel, représente un investissement de 500 M$, ont annoncé les deux promoteurs mardi. À la Cité de Mirabel seront construites trois tours d’habitation de 14 étages, des maisons de ville et une tour d’habitation pour retraité. La réalisation du projet doit commencer en mai et s’étaler sur cinq ans. Il créerait 250 emplois. Aussi, les deux hommes d’affaires se targuent de « protéger » l’équivalent de 3 millions de pieds carrés de milieu naturel, ce qui représente des dépenses de 2,5 M$. La Cité sera située sur le site du Lac Mirabel à l’échangeur 28 de l’autoroute 15. Elle occupera une superficie de 2,2 millions de pieds carrés. Les deux entrepreneurs québécois ont obtenu les feux verts des propriétaires du site de 14 millions de pieds carrés. Il s'agit de Morgan Stanley Group et de Sheldon Gordon Group, actionnaires de MSG Lac Mirabel SEC. En mai dernier, la société immobilière Simon Property Group a annoncé le lancement du futur complexe «Premium Outlet » sur le site du Lac Mirabel. Le projet commercial de 80 magasins sur 350 000 pieds carrés doit être lancé cette année. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/immobilier-projet-residentiel-de-500m-a-mirabel-/554179
  10. Quartier Sainte-Marie CA11 240691 Adopter une résolution autorisant la transformation et l'occupation d'un bâtiment conventuel à des fins commerciale et résidentielle, sur le lot 1 424 427 situé sur la rue Fullum, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard de Maisonneuve Est, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble - 1er projet de résolutionIl est proposé par Sammy Forcillo appuyé par Richard Deschamps D'adopter le premier projet de résolution à l'effet : D'accorder, pour le lot 1 424 427 (Maison des Soeurs de la Providence), situé dans la partie ouest de l'îlot bordé par les rues Fullum et Sainte-Catherine Est et le boulevard de Maisonneuve Est, l'autorisation d'occuper à des fins résidentielles et commerciales et de transformer l'ancien couvent et ses dépendances, et ce, en dérogation aux articles 94, 134, 182, 609 et 610 du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282), conformément aux plans des pages 9 à 40 du document de présentation pour le projet particulier, le tout préparé par Éric Leblanc architecte et estampillés parl’arrondissement de Ville-Marie le 19 septembre 2011; D'assortir cette autorisation des conditions suivantes : a) de soumettre dès la première demande de permis un plan d'ensemble d'aménagement paysager assorti d'une garantie financière basée sur une estimation effectuée par un professionnel afin d'en assurer la réalisation; c) de respecter une implantation au sol, un alignement sur rue, une hauteur maximale et des retraits d'alignement conformément aux plans mentionnés précédemment; d) les usages projetés dans le bâtiment devront respecter la répartition des usages indiqués aux plans cités au point 1; e) de soumettre les demandes de permis de transformation de ce projet à la procédure du titre VIII du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282). En plus des critères prévus au titre VIII du règlement, les critères additionnels suivants s'appliquent : i) le traitement architectural de la construction doit favoriser l'unité et l'homogénéité de l'ensemble, notamment en ce qui a trait aux matériaux de parement et aux ouvertures; ii) la couleur et la texture du revêtement de la façade doivent être compatibles avec celle des édifices significatifs du secteur; iii) les constructions hors toit et les équipements mécaniques hors toit doivent être traités de manière à assurer leur intégration architecturale (matériaux et volumétrie); iv) toutes les façades visibles de la voie publique doivent être traitées avec le même soin que les façades principales notamment quant aux choix des matériaux et aux ouvertures; v) les matériaux utilisés doivent être durables et conformes aux échantillons déposés; vi) l'aménagement paysager des espaces libres et des aires de détentes extérieurs doit privilégier les éléments végétaux; De fixer un délai de 60 mois pour la réalisation des travaux visés par la présente autorisation, à défaut de quoi, elle sera nulle et sans effet. Adoptée à l'unanimité.
  11. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/409975/nouveau-festival-darchitecture-a-montreal/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 16px; position: relative !important;">27/11/2013 Mise à jour: 27 novembre 2013 | 15:46 Ajuster la taille du texte Nouveau festival d’architecture à Montréal Par Marc-André CarignanMétro </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">Sylvain AdenotBellastock Danemark – The Beer Cr(e)ate City (2012)</figcaption></figure>Déjà implanté dans près de dix pays, dont la France, l’Espagne, le Mexique et la Chine, le festival d’architecture expérimentale Bellastock étendra enfin ses tentacules au Canada l’été prochain. Réunissant des professionnels et des étudiants du milieu de l’aménagement du territoire et de la construction, l’événement s’articule autour de la création d’un village écologique éphémère. Les participants ont à peine quatre jours pour dessiner et bâtir leur projet, qui doit s’orienter autour d’un matériau précis à chaque édition du festival. «L’objectif ultime de Bellastock est de réfléchir au cycle de vie de la matière, m’explique le cofondateur du volet québécois Louis Destombes. On sélectionne normalement des matériaux-thématiques qui, dans leur contexte local, sont mal employés ou pourraient être mieux exploités. Dans le cas de notre première édition au Québec, on s’intéressera aux rebus des constructions en bois.» Les festivaliers auront donc accès aux résidus de bois de certaines entreprises de recyclage, matériaux qui auraient normalement été broyés pour la fabrication de pâte à papier ou transformés en combustibles à chauffage. Ils devront par la suite démontrer qu’on peut réutiliser ces matériaux comme matière première pour ériger des structures architecturales. L’événement agira ainsi comme une plateforme de socialisation et de partage d’idées créatives entre Montréalais, et valorisera la culture de l’expérimentation en design et en architecture. Une culture trop peu exploitée ces dernières années dans nos universités. «On a beaucoup d’étudiants à Montréal qui sont formés pour de la conception de projet, mais qui n’en réalisent jamais en bout de ligne, poursuit Louis Destombes. On propose donc ici quelque chose de plus concret avec notre formule. L’expérimentation devient un vecteur pédagogique.» Où se tiendra exactement l’événement? L’ex-hippodrome? Le Complexe environnemental Saint-Michel? Le tout reste encore nébuleux dans la tête des organisateurs, mais une chose est certaine : cette mobilisation éphémère devra mettre en valeur un secteur de la ville plus ou moins bien rentabilisé afin de le réactiver de façon durable. «Il faut que les choses produites durant l’événement soient réinvesties par la suite par des associations avec lesquelles on sera partenaire ou par le propriétaire du site lui-même, insiste le cofondateur. […] Bellastock doit mener à une réflexion sur l’espace urbain qui nous entoure.» Près de 35 bénévoles, issus principalement de l’Université de Montréal, de l’UQAM et de l’entreprise de réinsertion sociale Les Ateliers d’Antoine, se réuniront dès ce samedi pour commencer la planification de l’événement. Cinq rencontres figurent actuellement au calendrier d’ici le grand lancement prévu pour la fin août. www.bellastock.com </article>
  12. Quartier DIX30 : 100 millions $ pour la phase 3 13 janvier 2011 | 14h47 Alexandre Lampron Agence QMI La construction de la phase 3 du Quartier DIX30, à Brossard, commencera en février et comprendra un nouvel hôtel, une clinique privée et un cabaret de 300 places. Sa construction doit se terminer à l’été 2012 et nécessitera des investissements d’environ 100 millions $. « La phase 3 comptera en tout une soixantaine de boutiques et de restaurants et occupera une superficie qui pourrait avoisiner les 65 000 mètres carrés. Nous sommes à l’étape de la planification afin de déterminer un échéancier précis », a indiqué Brian Fahey, président de la firme de consultation en urbanisme Fahey & associés. Parmi les bannières confirmées, les magasins Germain Larivière et Best Buy feront leur entrée au Quartier DIX30. Ils seront les principaux locataires d’un nouveau bâtiment de15 700 mètres carrés qui qui sera érigé à proximité du Centre sportif Bell. Selon M. Fahey, un investissement minimal de 12 millions $ sera nécessaire pour l’érection de ce bâtiment dont la construction doit débuter « sous peu », car les ententes ont déjà été conclues. La phase 3 inclut également la construction d’un nouvel hôtel « haut de gamme » dont le nom n’a pas été indiqué. En septembre 2007, un Hôtel ALT avait déjà ouvert ses portes au Quartier DIX30. Le nom de la clinique privée n’a pas non plus été précisé. Le montant des investissements et la superficie du cabaret de 300 places n’ont pas encore été divulgués, car le projet doit au préalable être soumis à la firme Devimco pour approbation finale. Le tout devrait se faire au cours des prochaines semaines. Une zone de stationnement de 2000 places est également prévue
  13. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201404/25/01-4760915-quebec-doit-envisager-de-privatiser-la-saq-et-hydro-selon-des-experts.php Publié le 25 avril 2014 à 13h55 | Mis à jour à 13h55 Québec doit envisager de privatiser la SAQ et Hydro, selon des experts Jocelyne Richer La Presse Canadienne Québec Le gouvernement Couillard doit envisager de privatiser partiellement Hydro-Québec et la Société des alcools (SAQ) pour remettre le Québec sur le chemin de la santé financière, selon deux experts. Ces derniers, Luc Godbout et Claude Montmarquette, ont tracé vendredi un portrait extrêmement sombre de l'état des finances publiques, dans un rapport commandé par le gouvernement avant même d'être officiellement en fonctions. La situation est telle, selon eux, que seul un remède de cheval pourra éviter au gouvernement d'affronter les conséquences financières d'une décote des grandes agences de notation de crédit. La vente partielle d'actifs, comme Hydro-Québec et la SAQ, ne serait qu'une des solutions préconisées en vue de sortir l'État québécois du gouffre budgétaire. Car ils estiment que Québec doit prendre dès maintenant toute une série de moyens, qui risquent de faire plus mal les uns que les autres: gel de la masse salariale de la fonction publique, hausse (et non une simple indexation) des tarifs de garderies, imposition de tarifs à des services gouvernementaux actuellement gratuits, révision des programmes sociaux et réévaluation des subventions et crédits d'impôt aux entreprises. Seul un plan d'austérité ambitieux pourrait, selon ces deux économistes, permettre au gouvernement Couillard d'espérer atteindre la cible prévue par l'ancien gouvernement péquiste, soit un déficit de 1,75 milliard $ en 2014-2015, prélude à l'atteinte de l'équilibre budgétaire en 2015-2016. Dans la situation actuelle, si rien n'est fait, Québec se dirige vers un déficit plus important que prévu, de l'ordre de 3,7 milliards $ cette année, risquant d'autant de mécontenter les agences de notation. Les deux experts recommandent aussi une révision de la fiscalité, ce que s'est déjà engagé à faire le premier ministre Philippe Couillard. Ils recommandent de plus de privilégier une gestion des dépenses gouvernementales à plus long terme, pouvant s'étaler sur plusieurs années.
  14. http://www.ledevoir.com/sports/soccer/401521/le-voile-et-le-turban-officiellement-autorises-dans-le-football <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;">[h=1]Le voile et le turban officiellement autorisés au football[/h]</header>1 mars 2014 10h31 | Agence France-Presse | Soccer <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Agence France-Presse (photo) Archives / Amir PoormandDes joueuses de l'équipe nationale iranienne féminine de football en échauffement, en 2009. Le port du voile ou du turban a été avalisé samedi par la FIFA.</figcaption></figure>Zurich — La possibilité de porter le voile ou le turban a été officiellement intégrée samedi dans les règles du football, ce qui devrait contribuer à lever la barrière religieuse à son développement dans plusieurs pays du globe. L’International Football Association Board (IFAB), l’organe garant des lois du ballon rond, avait autorisé à titre d’essai le port du voile sous certaines conditions strictes il y a deux ans, à la demande de plusieurs pays musulmans. Le Board avait ensuite accepté d’étendre cette expérience aux joueurs masculins après qu’un conflit autour du turban par des Sikhs déborde sur les terrains de football au Québec. «Une expérience a été menée et la décision restait à prendre. Cela a été confirmé: les joueuses peuvent avoir la tête couverte pour jouer», a déclaré le secrétaire général de la Fédération internationale de football (FIFA), Jérôme Valcke, lors d’une conférence de presse. «Nous ne pouvons faire de discrimination. Ce qui s’applique aux femmes peut s’appliquer aux hommes. Les hommes peuvent aussi porter dans les différents compétitions un couvre-chef», a ajouté Jérôme Valcke. Consignes à respecter Le Board a jugé ne plus avoir de raisons valables de l’interdire si les consignes fixées sont bien respectées. Car ce couvre-chef autorisé sur les terrains n’aura rien à voir avec le voile ou le turban de tous les jours. Il doit en effet être collé à la tête, être en accord avec la tenue du joueur, ne pas être rattaché à son maillot, ne pas constituer un danger pour celui qui le porte ou pour autrui, et ne doit avoir aucune partie qui dépasse. Les épinglettes pour le faire tenir aux cheveux sont aussi bannies. Il doit encore être défini précisément et une circulaire sera envoyée dans la foulée aux différentes fédérations pour expliquer les détails. La question du voile avait agité la planète du ballon rond ces dernières années. L’Iran était allé jusqu’à porter plainte contre la FIFA parce que les joueuses de son équipe nationale, faute d’être autorisée à couvrir leurs têtes, avaient dû faire une croix sur les qualifications pour les Jeux olympiques de Londres en 2012. Le débat avait ressurgi au Canada en juin 2013, quand la Fédération québécoise de football s’était opposée au port du turban par des Sikhs sur les terrains. La Fédération canadienne, qui y était favorable, avait décidé de suspendre la branche québécoise avant que la FIFA ne calme le jeu, en étendant aux joueurs masculins le champ de son expérience. Choix sportif plutôt que religieux Pour les instances dirigeantes du ballon rond, c’est l’aspect sportif qui a primé sur le débat autour du symbole religieux. «C’était une requête qui venait d’un groupe de pays et d’un groupe de joueurs qui disaient que cela contribuerait au développement du football et ce fut le principal argument qui a poussé l’IFAB à dire oui», a souligné Jérôme Valcke. Si l’autorisation d’avoir la tête couverte sur les terrains est valable pour le monde entier, cela ne veut pas dire qu’elle sera appliquée partout. En France, où le débat sur le voile fait rage dans toutes les strates de la société depuis plusieurs années, la fédération nationale de football avait déjà interdit, il y a deux ans, à ses licenciées le port du voile afin «de respecter les principes constitutionnels et législatifs de laïcité» qui prévalent dans l’Hexagone. Samedi, la FFF a rappelé que ces mêmes principes restaient valables y compris «en ce qui concerne la participation des sélections nationales françaises dans des compétitions internationales» et maintenu «l’interdiction du port de tous signes religieux ou confessionnels» dans le pays. L’IFAB a aussi amendé les règles concernant les tenues des joueurs afin d’interdire plus clairement tout slogan, déclaration ou image à caractère politique, religieuse ou personnelle sur la partie visible ou sur les sous-vêtements. Que leurs intentions soient bonnes ou non, les joueurs qui soulèvent leur maillot pour montrer au public un message écrit s’exposeront ainsi à des sanctions. Par Stéphanie Pertuiset
  15. Un musée plus grand? Photo: Jean-Claude Dufresne/©Le Québec en images, CCDMD Église Erskine & American (image modifiée) Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) met en marche son projet, caressé depuis longtemps, de transformer l'église Erskine & American en pavillon d'art canadien, rapporte La Presse. Inoccupé depuis 2004, l'édifice patrimonial du 19e siècle jouxte le pavillon Michal et Renata Hornstein du MBAM. L'arrondissement de Ville-Marie se prononce vendredi sur le projet, lit-on dans le quotidien. La nef serait convertie en salle de concert, de réception et de conférence. Selon l'arrondissement, le Musée souhaite aussi démolir la partie arrière de l'église. Un bâtiment « de facture contemporaine » serait érigé à la place et abriterait des salles d'exposition. L'étude du projet en est à sa première étape. L'arrondissement doit d'abord modifier son plan d'urbanisme. Le projet ne pourra aller de l'avant que lorsque le conseil municipal de Montréal l'aura adopté. Des détails la semaine prochaine Le MBAM doit tenir une conférence de presse la semaine prochaine afin de donner plus de détails sur le projet. L'institution de la rue Sherbrooke tente depuis des années d'intégrer l'ancienne église Erskine & American dans son giron muséal. Divers scénarios ont avorté, faute de financement. En 2004, un projet estimé à 12 millions n'avait notamment pas vu le jour faute de financement, rappelle La Presse. Rien n'a été précisé sur le montage financier du projet actuel.
  16. Le reportage de Davide Gentile La Ville de Montréal s'apprêterait à raser la portion ouest du square Viger, au centre-ville. Après des années de tergiversations, l'administration municipale voudrait réaménager le lieu et déménager certaines oeuvres. Radio-Canada a appris que la famille du concepteur, Charles Daudelin, s'est fait offrir de déménager l'oeuvre Mastodo, une fontaine de bronze, vers le bassin Peel. Selon plusieurs sources, la famille est devant un dilemme. La Ville propose de sauver la fontaine seulement si l'aval est donné à la démolition du reste du square, baptisé Agora. L'Association des résidents du Vieux-Montréal est plutôt d'accord pour un réaménagement, surtout si on déménage la majestueuse fontaine de bronze. « Les gens vont passer de chaque côté, les résidents, mais ne s'y arrêteront pas. C'est comme si on avait deux solitudes. Il y a une occupation du square qui fait que les résidents sont peu intéressés à passer du temps ici », indique la présidente de l'association, Christine Caron. Depuis des années, le square est un repaire pour les marginaux. L'été, un important trafic de drogue y a lieu. Les consommateurs sont nombreux et certains d'entre eux y établissent des campements. Plusieurs fonctionnaires et politiciens de la Ville de Montréal pensent que la conception du square, qui est cerné par des clôtures, est un échec. « Je pense qu'un réaménagement serait probablement nécessaire pour faire en sorte qu'il soit plus ouvert. Toutes les parties du square ont le même problème, on voit peu à l'intérieur », soutient Christine Caron. Cependant, le projet de démolition est décrié par plusieurs dans le milieu culturel montréalais. Le square a été conçu comme une agora au coeur du chaos urbain. L'utilisation du béton et l'esthétique très épurée sont des éléments caractéristiques de l'architecture moderne. Le square est donc perçu par plusieurs comme un élément du patrimoine moderne de Montréal qui doit être préservé. Selon Rose-Marie Goulet, du Regroupement des artistes en arts visuels, démolir le square Viger est une forme de mépris du patrimoine et de l'art. « C'est la place du Quartier des Festivals avant son temps. Il y a une place pour une mise en scène, un système électrique un système d'éclairage, une fontaine qui donne une ambiance au lieu », dit-elle. Selon Mme Goulet, avant de condamner, il faudrait, tel que c'était prévu au départ, animer le square et en faire un lieu vivant. L'idée de déménager la fontaine Mastodo au bassin Peel est, selon elle, une hérésie, puisque le square est une oeuvre globale. « Si on coupe Mastodo, si on prend Mastodo, c'est sûr qu'il a du sens en soi qu'il a un intérêt en soi. Mais c'est comme couper le sourire de la Joconde et dire : "le reste on s'en fout" », affirme-t-elle. Rose-Marie Goulet invite l'équipe du maire Gérald Tremblay à mieux réfléchir avant de raser le square. « Le maire Gérald Tremblay devrait venir se promener ici l'été. Quand la fontaine marche, qu'il invite un guitariste à venir y jouer un concert. Parce que dans les oeuvres environnementales, on ne fait pas le tour; on doit en faire l'expérience, on doit s'y attarder s'y asseoir. Et voir ce qui s'y passe », dit-elle. Héritage Montréal pense aussi que le square doit être protégé et l'a inscrit sur sa liste des sites menacés. La famille Daudelin ne veut pas commenter l'affaire. La Ville a aussi refusé les demandes d'entrevues de Radio-Canada. Mais plusieurs sources indiquent qu'avec la construction du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) voisin et la rénovation de l'ancienne gare Viger, la Ville veut procéder rapidement. Avec les informations de Davide Gentile http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2012/RDI/2012-02-24_14_00_00_rdidirect_001_500.asx
  17. Édit par Monctezuma : Voici une historique complète du projet, gracieuseté de Hildephonse: Été 1984 : Cadillac-Fairview projette d’inclure la salle de l’OSM dans un grand complexe multifonctionnel sur McGill College. Arcop dessine les plans ci-dessous. Le complexe chevauche la travée ouest prévue de la future avenue McGill College, ce qui crée de l’opposition. Juste après la guerre, l’urbaniste français Jacques Gréber avait proposé de conserver une large percée visuelle à cet endroit entre la montagne et le fleuve. Il y prévoyait deux places publiques dont l’une a été créée par les concepteurs de la place Ville-Marie. Le projet menace le concept et est contesté par les propriétaires voisins (qui ont respecté l’alignement proposé dans leurs nouveaux immeubles) autant que par les groupes de protection du patrimoine. Le projet sera annulé et l’avenue conservera son gabarit prévu de 36,5 mètres de largeur. 1984-12-05 : Drapeau annonce que le site Berri (maintenant la place Émilie-Gamelin) est à l’étude pour la salle de l’OSM. 1985-01-31 : On annonce une entente avec le promoteur Sofati, pour le site Berri. Arcop fait les plans de la salle (2600 places) alors que Jacques Béique s’occupe des équipements périphériques. (voir le rendu ci-dessous). Le projet comprend un parking souterrain de 600 places, une galerie de boutiques souterraine et l’école de musique de l’UQAM qui doit occuper trois étages au-dessus des locaux administratifs de l’OSM sur la face N-E du complexe. L’école doit aussi occuper une petite salle de 700 places côté ouest. Montréal aménagera un parc sur l’espace résiduel. Le maire Drapeau a réussi à convaincre le chef de l’OSM qui favorisait le site de Cadillac-Fairview. 1985-02-05 : Le choix est approuvé par le Conseil. Les analyses de sol sont faites en février. 1985-05-05 : René Lévesque confirme une subvention de 30 M $ pour la salle. 1985-07-11 : « “C’est bien ici que se trouve le centre-ville” lance Lévesque » Première pelletée de terre par René Lévesque et Jean Drapeau. Les plans ne sont pas terminés et le bail emphytéotique (99 ans de la Ville pour 1 $) n’est pas signé. Le projet est de 50 M $ dont 34 de fonds publics. La petite salle (800 places) est devenue optionnelle. 1985-08-19 : Les plans et devis préliminaires sont déposés. 1985-10-12 : Sofati s’impatiente car le temps presse : il faut 24 mois pour construire et la salle doit être prête pour la saison 1987-1988. Les plans et devis ne sont pas approuvés encore. Il y a des problèmes de négociations avec la STCUM, l’UQAM et les locataires du Métro Berri-UQAM. 1986-01-11 : « Tout est à peu près en place, mais… » titre La Presse, mais « rien n’indique que le [nouveau gouvernement libéral élu en décembre 1985] ait quelque intérêt que ce soit à stopper tout le processus engagé depuis deux ans. » 1986-01-19 : Le projet est plus ou moins mis en veilleuse. Les mois suivants, il sera jugé non prioritaire. 1986-01-24 : Le site d’Hydro-Québec face à Place des arts est proposé (St-Laurent, St-Urbain, Ste-Catherine, Dorchester, incluant le Monument national). 1986-10-16 : Le Comité consultatif du gouvernement recommande le report mais que la salle devrait être intégrée à la PdA. 1986-12 : Lise Bacon, ministre des Affaires culturelles donne son appui à l’îlot au nord de PdA : (Jeanne-Mance, St-Urbain, Sherbrooke, Président-Kennedy). La PdA est satisfaite, car elle trouvait que le site Berri était trop éloigné. 1988-09-15 : John Gardiner annonce pour 1991 un projet de square sur le site Berri. La place Émilie-Gamelin y sera inaugurée le 5 mai 1992. *************************** Il y a ensuite eu le projet de 2002 avec images ci-bas, gracieuseté de Gilbert. *************************** Début du message de Gilbert : Je n'apprendrai rien à personne en disant qu'il y avait, en 2002, un projet de développement sur l'Îlot Balmoral incluant une nouvelle salle pour l'OSM. Le projet a été annulé. Il était tout de même important, car 112 concurrents de 23 pays différents participèrent au concour pour le projet. 5 furent retenus pour le 2e tour. Sept images. Je vous donne donc la chance de voter pour le projet que vous aimez le plus parmis ceux du 2e tour! C'est juste pour savoir... ----------------------------------------------------------- Projet 1 Cohlmeyer Architects Limited / Provencher Roy + associés architectes / Jodoin Lamarre Pratte et associés, architectes (JLP) / Cardinal Hardy et associés, architectes ----------------------------------------------------------- Projet 2 NOMADE architecture / Les architectes Lemay et associés ----------------------------------------------------------- Projet 3 De Architekten Cie. / Aedifica inc. / Les architectes Tétrault Parent Languedoc et associés ----------------------------------------------------------- Projet 4 Saucier et Perrotte, architectes (Saucier+Perrotte) / Menkès Shooner Dagenais, architectes ----------------------------------------------------------- Projet 5 Busby + Associates Architects Ltd. / Proscenium Architecture + Interiors Inc. / Beauchamp Bourbeau Réal Paul, architectes / le Groupe Arcop ************************* Finalement, la salle de l'OSM voit le jour. Voici le fil : http://mtlurb.com/forums/showthread.php?t=108
  18. La construction de gratte-ciel annoncerait une crise : Une étude de la banque britannique Barclays analyse la construction de bâtiments monumentaux comme un signe avant-coureur de problèmes économiques. La construction de gratte-ciel a souvent précédé des crises financières, si bien que les investisseurs devraient se méfier de la Chine et de l’Inde où les chantiers se multiplient, conclut une étude publiée mercredi par la banque britannique Barclays. Barclays Capital estime qu’il existe «une corrélation dangereuse entre la construction des plus grands immeubles du monde et une crise financière imminente: New York 1930, Chicago 1974, Kuala Lumpur 1997 et Dubaï 2010». Dernier exemple en date: la tour Burj Khalifa à Dubaï, géant de plus de 800 mètres de haut inauguré au moment où l’émirat était rattrapé par une crise financière. Ce lien, qui peut être illustré sur les 140 dernières années, n’est pas le fait du hasard, affirment les experts de la banque d’affaires. ………… L’Inde doit aussi être surveillée de près: avec seulement deux tours géantes achevées, elle en a 14 autres en construction, et elle doit inaugurer d’ici 2016 la deuxième plus grande du monde, la «Tower of India». http://www.boursorama.com/actualites/la-construction-de-gratte-ciel-annoncerait-une-crise-5497ead12093f3d71a56a2bac288777a
  19. L.M. Sauvé s'attaquera à l'hôtel de ville de Montréal L'entreprise de maçonnerie L.M. Sauvé doit commencer incessamment d'importants travaux de réfection à l'hôtel de ville de Montréal qui s'échelonneront sur trois ans. L'entreprise doit refaire les toitures de cuivre de l'édifice situé au 275 de la rue Notre-Dame Est dans le cadre d'un contrat de près de 10,7 millions $. Le remplacement des imposantes toitures de cuivre de l'hôtel de ville de la métropole était rendu nécessaire, après plus de 80 ans de vie utile, et se justifie, aux yeux de l'administration municipale, par la grande valeur patrimoniale de l'édifice situé au coeur de l'arrondissement historique du Vieux-Montréal. L.M. Sauvé s'est engagée à effectuer la réparation des toitures, des combles, du campanile au sommet du pavillon central et tous les travaux de maçonnerie dans le plus grand respect des éléments d'origine et en parfaite harmonie avec l'architecture monumentale victorienne de l'édifice. Pendant les travaux, les échafaudages sur les façades de l'immeuble en rénovation seront recouverts d'affiches géantes réalisées par la société Madigan afin de permettre aux ouvriers d'exécuter leur travail en toute quiétude et aux piétons de circuler en sécurité tout en éliminant la pollution visuelle causée par les filets de sécurité traditionnels de tels chantiers. L.M. Sauvé s'est fait connaître pour ses travaux de maçonnerie à l'église unie Saint-James, à la cathédrale Christ Church, aux sièges sociaux de Bell Canada et Quebecor, aux magasins Archambault Musique et à La Baie à Montréal, Toronto et Vancouver. Quant à Madigan, un exemple de son travail a pu être vu sur la façade du magasin La Baie de Montréal l'hiver dernier.
  20. La Presse Canadienne Publié le 31 mai 2011 Toronto Intact Financial (TSX:IFC) fait l'acquisition des activités canadiennes de la société d'assurance établie à Paris Groupe Axa pour 2,6 milliards $. Intact a affirmé mardi que l'acquisition d'Axa Canada - la sixième plus importante société d'assurance automobile, résidentielle et commerciale au Canada - accentuerait la valeur de ses primes perçues au Canada de 2 milliards $, à plus de 6,5 milliards $. Intact Financial, connue sous ING Canada avant son entrée en bourse en 2009, a dit avoir accepté de verser jusqu'à 100 millions $ de plus si Axa atteint ses objectifs de rentabilité sur cinq ans. L'entente doit augmenter les bénéfices d'exploitation par action de l'assureur canadien de 15 pour cent à moyen terme et la synergie après-taxe doit ajouter jusqu'à 100 millions $ par année. Charles Brindamour, président et chef de la direction d'Intact, a affirmé que l'acquisition accélérerait les efforts de la compagnie pour construire «un assureur canadien risques divers et propriétés de classe mondiale avec la capacité de réussir dans un environnement de concurrence accrue». Jean-François Blais, président et chef de la direction d'AXA Canada, a fait valoir que la transaction représente une «excellente occasion pour le groupe de joindre un leader canadien avec un passé de performance remarquable et des valeurs similaires». Intact, société installée à Toronto, a dit qu'elle complèterait l'acquisition avec 500 millions $ de ses propres capitaux, l'émission d'actions de 800 millions $ et le financement par le crédit de 1,3 milliard $. L'entente requiert l'approbation réglementaire et devrait être finalisée plus tard cette année. Groupe Axa, établie à Paris, compte 214 000 employés desservant 95 millions de clients à travers le monde. Axa Canada a 2300 employés et vend des assurances de maisons, d'automobiles et de commerces de même que des assurances-vie. Les actions d'Intact valaient 49,77 $, mardi, en baisse de 40 cents, ou moins d'un pour cent, par rapport à leur précédent cours de clôture. ----- Très mauvaise nouvelle pour Montréal. Nous perdons un autre siège social - une fois l'intégration complet, je m'attend à 300 mis à pied a Montréal avec l'exode des service comptable, légal, paie, ressource humaine etc.. De plus, les bureaux de Intact sont sur Crémazie et à St-Hyacinthe, donc le personnel non courtier qui reste seront probablement transféré hors du centre-ville. Présentement AXA occupe ~ 150,000 pied carrée dans la Tour AXA qui reprendra probablement le nom 2020 University bientôt.
  21. Le projet serait situé dans Côtes-des-Neiges. Quelqu'un a une idée de l'endroit / du site ? Selon moi, ça doit être dans le nouveau développement Quartier Namur / Savane là où il y a déjà VUE et les autres.
  22. J'ai fait une petite tournée de l'exposition qui est très intéressante sur le construction de la PVM Début des travaux des fondations en 1959 Désolé pour la qualité de la photo La place avant la construction du 5 PVM A l'avant plan c'est l'emplacement de la tour KPMG (anciennement les Coopérants) avec l'église anglicane Doit dater de 1961-1962 Quelques photos bonus qui n'étaient pas à l'exposition Marriott (auparavant le Château Champlain) Tour CIBC (Construit en même temps que PVM) Question quiz, quel est cet édifice, indice, c'est un bunker, c'est une erreur d'urbanisme et c'est en 1970?
  23. Publié le 02 mai 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Villes Pierre Foglia La Presse Parlant de Montréal, j'allais vous mettre en garde: Attention! Attention! Apprenant qu'on en parle aussi dans les pages qui précèdent cette chronique, et me doutant sur quel ton, je m'empresse d'ajouter des majuscules: ATTENTION! Attention, chers collègues. Attention, Montréalais. Si vous continuez à écoeurer le maire Tremblay, il va s'en aller, et Dieu sait qui le remplacera. Un excité du genre du maire de Québec, qui fera de Montréal un parc d'attractions? Un mégalomane? Un populiste comme celui d'avant? Un technocrate comme celui avant le populiste? Moi, j'aime bien M. Tremblay. J'aime qu'il soit amical et sans imagination. Il me fait penser à un lapin, toujours à trottiner dans les mêmes sentiers sans songer à s'en écarter. S'il n'était pas un lapin, si c'était un légume, alors ce serait un potiron. Le potiron est une citrouille sans le côté amusant de la citrouille, qu'on peut vider pour mettre une lumière dedans à l'Halloween. Je ne pense pas qu'on puisse mettre une lumière dans M. Tremblay. Ciel, monsieur le chroniqueur, pour quelqu'un que vous aimez bien, vous ne lui faites pas de grands compliments. Au contraire, mes amis, il n'est rien de plus louangeur pour un maire que de se faire traiter de lapin et de potiron. Et il n'est rien de plus rassurant pour les habitants d'une ville que d'avoir un maire sans imagination, un maire fonctionnaire qui s'occupe de bien faire ramasser la neige et les ordures et basta. J'ai l'air de persifler? Pas tant que cela. Dans les pages précédentes, où on a déjà congédié M. Tremblay, on vous demande: qui pour maire ou mairesse de Montréal? Moi, je vous pose en question préliminaire: un maire pour quoi faire? Oublions Montréal deux secondes. Pensons à ce qui est peut-être la plus vivante des villes du monde: Naples. Pensons à ce qu'elle est - désordre, liberté, paresse, insouciance, délinquance, lyrisme, effusion, éloquence... Pourquoi Naples est-elle si profusément magnifique? Précisément parce que, étant ingouvernable, elle n'a jamais été gouvernée. Pensez-vous que Naples doive quoi que ce soit à un quelconque maire? Elle doit à Caravage, elle doit à Virgile, elle doit à Leopardi, elle doit au Vésuve, elle doit à Stendhal, elle doit à ses prostituées qui font des pipes sous des autels à la Madone, mais elle ne doit rien à aucun maire, à aucun consul. Qu'est-ce qu'une ville? Un être vivant. Ou, si vous préférez, ce fil invisible qui relie les êtres qui y vivent. Ils ont besoin de services? Bien sûr. Notre maire-lapin, notre maire-potiron fait très bien cela. Non? Il ne fait pas bien cela? Vous êtes sûrs? Je vous entends déplorer que son administration ait tourné les coins ronds. Ce qui m'inquiète, c'est que je crois deviner que, derrière ce prétexte, vous lui reprochez précisément ce dont je le félicite: son manque d'imagination. On ne lit pas la ville de la même façon. L'imaginaire des villes, leur âme, si vous préférez - leur capacité de produire une poétique, une rêverie, un bonheur urbain - n'a absolument rien à voir avec l'imagination de leur maire. Ce qui fait triper les maires, ce ne sont jamais les moulins à images ni les Cirques du Soleil. Ce qui fait triper ces boutiquiers, ce sont les touristes qu'attirent ces attractions. On nous fait lire la ville comme un État, une entreprise, un parc d'attractions. On rapportait gravement au début de la semaine des statistiques sur plus ou moins - était-ce plus ou moins? - de touristes que l'année dernière à Montréal. J'écoutais en me disant: qu'est-ce qu'on s'en crisse, qu'il y en ait plus ou moins, du moment qu'on ne les voie pas trop! On nous fait lire la ville en comptant les sièges sociaux des grandes entreprises, on nous la fait vivre souvent comme un match de hocke: Toronto 4, Montréal 0. Comment peut-on décider que Toronto est devant (ou derrière) Montréal? Le bonheur qu'on a à vivre à Montréal, ou à Québec, ou à Toronto, vous l'entrez comment dans votre évaluation? Et les couleurs? Qu'est-ce qu'un autre maire que M. Tremblay changerait à la couleur gris plomb et en ce moment vert tendre de Montréal? Et les odeurs? Tanger sent le kif, Alger l'anisette, Bagdad avant la guerre sentait le mazout, Belgrade sent le chou, Le Caire sent la pourriture du Nil, même Tuskegee (Alabama) sent quelque chose: la merde. Montréal ne sent rien. Un être vivant sent forcément quelque chose. Serions-nous morts? Si vous débarquez Tremblay, pensez à moi. Je ferai agrandir les cimetières. Le tribulus Ma fiancée est une fille formidable qui vit avec un sale type: moi. C'est cette période de l'année où je suis particulièrement de mauvaise humeur, particulièrement quand je reviens de mes sorties presque quotidiennes à vélo. Ça va? demande-t-elle. Je ne réponds pas. Ça va? insiste-t-elle. Non, crisse. Je suis gras, je suis vieux, je suis nul, pas de force, pas d'énergie, j'avance pas. Ne me le demande plus: ça va pas. Ma fiancée est une fille formidable, posée, pratique: pas de force? Pas d'énergie? Elle est allée à la pharmacie et en a rapporté une boîte de 28 ampoules d'Ultra Energex d'Adrien Gagnon, formule adaptogène (?) phyto-active (?). Je vous récite ce qui est écrit sur la boîte: avec extraits normalisés (?) de ginseng sibérien (évidemment, sibérien; luxembourgeois, c'est plus rare), du rhodiola (fouille-moi), du maca, du cordyceps et du tribulus. Je vous le jure: du tribulus. J'ai pris ma dernière ampoule ce matin. Je n'avance toujours pas. Tu veux que j'en rachète? m'a demandé ma fiancée. De ma voix la plus blanche, je n'ai pas répondu. Ma fiancée est une fille formidable qui, des fois, sans même s'en douter, vit dangereusement.
  24. Devant la nouvelle baisse des mises en chantier enregistrée en début d'année, l'Association canadienne des constructeurs d'habitations estime qu'Ottawa doit intervenir de manière préventive. Pour en lire plus...
  25. Le président de Honda Motor Company dit qu'il y a peu de gens qui pensent sérieusement racheter l'équipe de F1. Selon la presse britannique, Honda doit décider aujourd'hui de l'avenir de l'équipe de F1. Pour en lire plus...
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