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  1. Voilà une bonne nouvelle. Ça devrait aussi rassurer les éternels inquiets qui ne peuvent dormir à cause du faible taux de fécondité et qui cherchent à jeter le blâme sur des gens qui n'ont rien à voir avec ça... ------------------------------- Projet de loi Québec financera la fécondation in vitro La Presse Canadienne Jocelyne Richer 22/04/2009 16h22 - Mise à jour 22/04/2009 17h35 Les femmes qui ont besoin de la technologie pour donner la vie recevront bientôt un coup de pouce financier de l'Etat pour mener à bien leur projet. Elles auront droit à trois essais gratuits, assumés par la Régie de l'assurance-maladie, alors qu'actuellement la facture peut grimper jusqu'à 45 000 $. Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, a déposé un projet de loi en ce sens, aujourd'hui, à la grande satisfaction des couples stériles, qui réclamaient depuis longtemps l'aide financière du gouvernement. Le projet de loi 26 vise en fait à encadrer tout le processus de procréation assistée. Dès qu'il sera adopté, les femmes qui veulent devenir enceintes auront donc droit à trois essais sans frais. Cependant, la question cruciale du nombre maximal d'embryons qui pourront être implantés à chaque reprise dans l'utérus de la femme reste à déterminer. Le nombre autorisé pourrait varier en fonction de l'âge de la femme et de la qualité des embryons. En point de presse, le ministre Bolduc a dit qu'il fallait faire en sorte d'éviter les grossesses multiples, très coûteuses pour l'Etat, et remettait à plus tard la décision à ce sujet. Mais une chose est sûre, «des huit, puis des sept embryons, il n'y en aura pas», a-t-il promis. «On ne vous cachera pas qu'on veut éviter des situations comme il y a eu aux Etats-Unis avec la naissance d'octuplés, alors que tout le monde trouve ça étrange qu'on ait implanté autant d'embryons en même temps», a fait valoir le ministre Bolduc. Québec vise à promouvoir en ce domaine «une pratique éthiquement acceptable et également une pratique de qualité». L'Association des couples infertiles du Québec s'est montrée très satisfaite du projet de loi, surtout qu'il prévoit le remboursement de trois essais, au lieu de deux comme le projet de loi précédent, qui avait été déposé en 2008. La présidente de l'association, Caroline Amireault, a fait valoir qu'elle souhaitait que Québec laisse conjointement au médecin traitant et à la femme la décision à prendre quant au nombre d'embryons à implanter. Elle veut surtout éviter que Québec fixe à un seul embryon le plafond autorisé pour chaque intervention, «parce qu'avec un seul embryon vous avez 15 pour cent de chances d'avoir une grossesse». «Il faut s'assurer que les couples infertiles ne seront pas pris en otages», en devant recommencer «indéfiniment», a-t-elle ajouté. Une grande victoire de l'association consiste à avoir réussi à convaincre le gouvernement de considérer l'infertilité comme une maladie. Malgré les pressions, le gouvernement avait toujours refusé dans le passé de céder sur ce point, à l'époque où le ministère de la Santé était dirigé par Philippe Couillard. Il disait aussi qu'enfanter n'étais pas un droit, mais un privilège. Environ 1700 traitements pour l'infertilité sont pratiqués chaque année au Québec, pour un coût unitaire variant entre 10 000 $ et 15 000 $. Il faut s'attendre à voir le nombre de demandes augmenter avec la gratuité du traitement. Le projet de loi prévoit aussi que toute activité de procréation assistée, sauf exception, devra être exercée dans un centre privé de procréation assistée, et que ce centre devra être dirigé par un médecin. Ces centres devront détenir un permis délivré par le ministère de la Santé et respecter les normes en vigueur.
  2. Les bébés ont la cote au Québec Photo Alain Roberge, La Presse Ariane Lacoursière La Presse Depuis le début de l'année, les pouponnières ont été particulièrement achalandées au Québec. Si la tendance se maintient, plus de 84 000 bébés verront le jour en 2007 et la province enregistrera son plus grand nombre de naissances en 10 ans. Selon les plus récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), 41 250 poupons sont nés entre les mois de janvier et juin. «Une moitié d'année doit encore s'écouler. Mais si le taux de fécondité se maintient, on atteindra les 84 000 naissances», avance Normand Thibault, démographe à l'ISQ. L'an dernier, moins de 82 000 bébés avaient vu le jour au Québec. En 2005, on en avait dénombré un peu plus de 76 000. Cette année, on pourrait donc noter une hausse de 9% des naissances en deux ans. Mais cette tendance haussière ne devrait pas durer, avertit Normand Thibault. Car même si les femmes seront nombreuses à accoucher en 2007, on ne peut pas parler d'un mini baby-boom. «C'est que depuis le mois de janvier, le taux de fécondité s'est stabilisé autour de 1,63 enfant par femme. En fait, ce taux est stable depuis octobre 2006. On est comme sur un plateau», analyse M. Thibault. En 2005 et en 2006, le taux de fécondité avait connu une forte augmentation au Québec, dû à différents facteurs. «L'économie allait bien depuis trois ans. Ne pas avoir à s'inquiéter pour ses finances personnelles incite toujours les couples à avoir des enfants», explique M. Thibault. Selon lui, le fait que le gouvernement provincial ait mis en place une nouvelle politique de congés parentaux et qu'Ottawa ait adopté un programme de soutien aux familles d'environ 1000$ par enfant en 2006 a aussi encouragé plusieurs couples à procréer. Toutefois, les effets de ces mesures commencent déjà à s'atténuer selon M. Thibault, qui prévoit que le nombre de naissances se stabilisera dès l'an prochain. «D'après moi, le nombre de naissances s'élèvera entre 80 000 et 85 000 en 2008. Mais il est encore tôt pour le dire», précise-t-il. Même si la soudaine hausse des naissances ne semble que temporaire, le gouvernement est-il prêt à accueillir tant d'enfants dans son réseau de garderies? «Tout à fait», assure Jean-Pascal Bernier, l'attaché de presse de la ministre de la Famille, Michelle Courchesne. «Nous avions promis d'atteindre 200 000 places en garderies et nous l'avons fait. Pour notre prochain mandat, nous avons déjà annoncé que nous voulons ajouter 20 000 places. Et juste cet été, nous en avons déjà ouverts 2000. On est sur la bonne voie», explique-t-il. Selon M. Bernier, cette nouvelle hausse des naissances est une bonne nouvelle pour le Québec. Et les retombées seront particulièrement positives dans le réseau scolaire. «On parle souvent de fermer des écoles parce qu'il n'y a pas assez d'élèves. Ce problème sera en partie réglé!» se réjouit-il.
  3. SNC-Lavalin: deux milliards en contrats dans l'Ouest 5 mai 2007 - 15h04 La Presse Martin Vallières Vancouver Pour la première fois, SNC-Lavalin tenait son assemblée d'actionnaires dans la métropole de la côte ouest canadienne. Et pour cause. La Colombie-Britannique et l'Alberta, en plein boom économique, pèsent au moins deux milliards dans le carnet de commandes de 10,4 milliards de SNC-Lavalin, a confirmé son président, Jacques Lamarre, à La Presse Affaires. Il y a bien sûr, en Alberta, plusieurs contrats reliés aux projets pétroliers et gaziers. Mais la province voisine est aussi en plein boom d'investissement. À preuve, les nombreux chantiers dans les environs immédiats de l'hôtel du centre-ville de Vancouver, où avait lieu l'assemblée de SNC-Lavalin. Et la firme montréalaise dirige même le plus gros et le plus compliqué de ces chantiers vancouverois. Il s'agit de la ligne de métro au centre-ville et de train aéroportuaire qui doit ouvrir quelques mois avant les Jeux olympiques d'hiver, en février 2010. SNC-Lavalin est le maître d'oeuvre de ce projet de 1,9 milliard, ainsi qu'un investisseur dans la société d'exploitation de la «Canada Line», pour un mandat de 30 ans. La Caisse de dépôt et placement du Québec est aussi impliquée. Ailleurs en Colombie-Britannique, SNC-Lavalin a un autre projet particulier d'ingénierie et de gestion. Il s'agit du remplacement du «pont autoroutier flottant» sur le lac Okanagan, à Kelowna. Ce projet d'un peu plus de 200 millions est dans une région de villégiature et d'agriculture en forte croissance, située au milieu des chaînes montagneuses entre Vancouver et Calgary.
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