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yulymx

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  1. Ca aurait été une bonne idée pour MTL.Peut être pas trop tard? Jeux vidéo: "Paris veut se doter d'un salon international". Julien Chièze, co-fondateur et rédacteur en chef de gameblog.fr (3ème site français d'informations sur les jeux vidéo), raconte comment la France a fini par se doter d'un salon de jeux vidéo digne de ce nom. La Paris Games Week ouvre ce mercredi 30 octobre. Quelle a été sa génèse? L’histoire des salons de jeux vidéo français a été chaotique. Il y a d’abord eu à partir de 2006 le Festival du jeu vidéo, mais qui est mort de facto quand les éditeurs de jeux vidéo ont décidé en 2010 de le quitter pour créer la Paris Games Week. Précisément, la Paris Games Week a été créée par le Sell (Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs). Les premières éditions étaient très centrées sur les jeux de Sony -dont le président dirigeait le Sell-, mais les suivantes sont devenues moins PlayStation-centric. Aujourd’hui, la Paris Games Week s’est installée. Elle revendique 212.000 visiteurs pour sa troisième édition l’an dernier. Elle devrait faire encore mieux cette année. En effet, ses dates ont été calées sur les vacances de la Toussaint. Et les organisateurs promettent plus d’espace, ce qui devrait diminuer le temps d’attente constaté l’an dernier, où il fallait attendre parfois jusqu’à une heure pour tester les jeux les plus demandés. Surtout, ce sera la première fois en France que le grand public pourra avoir en main les consoles de nouvelle génération, un mois avant leur sortie. Même si seul un volume limité de ces nouvelles consoles sera disponible pour Noel, et que les éditeurs de jeux savent bien qu’ils feront l’essentiel de leurs ventes de fin d’année avec les consoles existantes... La Paris Games Week veut-elle se hisser au niveau des grands salons étrangers? Oui. L’objectif de la Paris Games Week est de créer un évènement international, comparable à la Gamescom qui se tient en août à Cologne, et dont la dernière édition a attiré 320.000 personnes. Mais aujourd'hui, la Paris Games Week reste essentiellement un salon commercial, destiné à faire acheter les jeux de Noël. Il lui manque des conférences ou des master class, où les grands créateurs de jeux vidéo mondiaux viendrait expliquer leur travail. Un des principaux exposants est Ubisoft, qui se lance parallèlement dans la co-production de films. Que pensez-vous de cette diversification? Ubisoft vise ainsi à devenir une sorte de Disney. A en croire certains producteurs hollywoodiens, les personnages de jeux vidéo vont prendre la place aujourd’hui occupée par les héros de bande dessinée. Ce serait assez logique, car le filon des comics commence à s’épuiser. Tandis que celui des jeux vidéo a été assez peu exploité, et a trop souvent donné lieu à des films assez médiocres artistiquement. Même si certains ont été de grands succès commerciaux, comme la série des Résident Evil. Surtout, Hollywood a fini par comprendre que pour réussi l’adaptation d’un jeu, il faut mettre les moyens et inventer un scénario original, au lieu de porter à l’écran celui du jeu. http://www.bfmtv.com/economie/jeux-video-paris-veut-se-doter-dun-salon-international-634272.html
  2. Tiens tiens ..ça ne vous dit rien? http://medias.lenodal.com/video.php?id=14294 Capsule quotidienne à 20h35 sur France 2 tv retravaillé au début.. http://www.youtube.com/watch?v=2jOO0C4LlYM
  3. yulymx

    Bombardier : actualités

    Iraqi Airways veut des Bombardiers CSeries. La finalisation d’une commande de cinq Bombardier CS300 destinés à la compagnie aérienne Iraqi Airways est en cours de discussion entre le gouvernement irakien et le constructeur canadien. Pas de commande ferme pour l’instant, a commenté un porte-parole de Bombardier le 24 octobre 2013, mais « nous sommes heureux évidemment que le gouvernement irakien soit intéressé à la CSeries ». Le gouvernement irakien a donné son aval à la commande du transporteur national, et la presse locale parlerait d’un prix unitaire négocié à 40 millions de dollars contre 72 au prix catalogue, un chiffre qui parait peu élevé et bien sûr n’a fait l’objet d’aucune déclaration officielle. Iraqi Airways n’en est pas à sa première tentative avec Bombardier : la compagnie avait passé commande de dix CRJ900 en 2008, mais seulement six ont été livrés après moult péripéties – y compris la saisie de certains appareils par Kuwait Airways au titre des réparations suite à l’invasion du Koweït par Saddam Hussein. Rappelons que la compagnie irakienne a pris livraison en août dernier du premier des 30 Boeing 737-800 commandés en 2008, et a également acheté dix 787-8 Dreamliner. Elle opère une flotte mixte de 22 avions, allant des 737-200 aux 747 en passant par les Airbus A320, A321 et A330, et donc par les CRJ900. Son carnet de commandes compte aussi quatre 777-200LR (un est en service). Bombardier a enregistré 177 commandes fermes pour la famille CSeries, et 403 avions en tenant compte des options et lettres d’intention. L’objectif est d’atteindre 300 commandes fermes d’ici la livraison du premier CS100 prévue d’ici la fin de 2014. http://www.air-journal.fr/2013-10-25-iraqi-airways-veut-des-bombardiers-cseries-587948.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  4. Montréal, 22 octobre 2013 – Le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF) vient de reconnaître la grande région métropolitaine de Montréal parmi les 21 métropoles intelligentes de l’année (Smart 21). L’annonce a été faite à North Canton, Ohio, lors du dévoilement des demi-finalistes du concours Intelligent Community of the Year, édition 2014. La candidature du Grand Montréal a été déposée par TechnoMontréal, la grappe des technologies de l’information et des communications du Grand Montréal, en partenariat avec Montréal International, la Ville de Montréal, la Conférence régionale des élus (CRÉ) de Montréal, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain et le Conseil des arts de Montréal. Depuis 1999, le concours Intelligent Community of the Year reconnaît annuellement les communautés (villes ou territoires) qui s’illustrent dans le développement des villes intelligentes. Les critères d’évaluation sont composés de cinq thèmes récurrents (réseaux haut débit, innovation, économie du savoir, fracture numérique et promotion) et d’un thème annuel, soit « la culture » en 2014. Le Grand Montréal s’est distingué par la qualité et la quantité de ses projets de développement du numérique, et par la place prépondérante occupée par la culture au sein de la cité. «L’avancement et le potentiel du Grand Montréal à titre de métropole intelligente sont méconnus du grand public. La métropole compte déjà une vingtaine d’initiatives “smart” indépendantes, et plusieurs chantiers majeurs sont en branle. Depuis 2011, TechnoMontréal regroupe ces initiatives et coordonne des projets structurants au sein d’une vision de développement intitulée Montréal métropole numérique, qui vise à hisser la région métropolitaine au rang des grandes “Smart Cities”. En marge de ce projet fédérateur, nos partenaires ont mis en œuvre des projets qui, ensemble, créent un tout plus grand que la somme des parties. Si ce travail de longue haleine est aujourd’hui reconnu par la plus haute instance internationale en la matière, c’est grâce à tous les joueurs qui ont cru aux retombées positives d’une vision numérique pour la métropole», a déclaré Lidia Divry, directrice générale de TechnoMontréal. En plus de ses atouts en matière de numérique, la candidature du Grand Montréal s’est distinguée au chapitre de la thématique annuelle culturelle. «La créativité est une composante phare de la culture montréalaise. La métropole est déjà reconnue pour le foisonnement et la qualité de ses productions artistiques et depuis quelques années elle se démarque de plus en plus au plan international dans plusieurs créneaux du numérique, que ce soit dans l’industrie des jeux vidéo, de la production de logiciels, des applications citoyennes ou des arts numériques. D’ailleurs, les acteurs du milieu se mobilisent actuellement pour offrir en 2014 un Printemps numérique qui sera un événement mémorable», a déclaré Marie-Claire Dumas, directrice générale de la CRÉ de Montréal. Le Grand Montréal est reconnu comme une ville du savoir qui s’appuie sur un riche écosystème d’établissements d’enseignement supérieur et d’entreprises visionnaires. «Il s’agit d’une importante distinction qui vient souligner l’expertise de nos entreprises du secteur des technologies de l’information et des communications. Cette reconnaissance confirme, si besoin était, que la métropole figure effectivement parmi les régions métropolitaines les plus avancées dans l’application de nouvelles technologies. Il importe maintenant de maximiser les retombées de cette annonce afin d’attirer de nouveaux investissements dans ce secteur clé de notre base économique», a ajouté Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Cette distinction accordée par l’ICF est le premier jalon d’un processus de 10 mois, qui mènera au choix des sept villes les plus avancées en janvier 2014 (Top 7), et ultimement à la nomination du grand gagnant en juin 2014. À propos de l’Intelligent Community Forum (ICF) L’Intelligent Community Forum (ICF) est un organisme de recherche à but non lucratif situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Le groupe de réflexion indépendant est voué à la création d'emplois et au développement de l'économie du numérique. L’ICF, centre essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, identifie et partage les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Le concours Intelligent Community of the Year Depuis 1999, le concours Intelligent Community of the Year reconnaît annuellement les communautés (villes ou territoires) qui s’illustrent dans le développement des villes intelligentes. L’objectif du concours est de souligner le travail et les succès des communautés qui orientent leur développement vers l’économie numérique, et de nourrir en données les recherches de l’ICF. Les critères d’évaluation sont composés de cinq thèmes récurrents : L’infrastructure haut débit (broadband) L’innovation L’économie du savoir (knowlegde workforce) La fracture digitale (digital inclusion) La promotion (marketing and advocacy) En plus de ces cinq critères, un thème annuel guide la sélection des finalistes. Le thème retenu pour 2014 est la culture, en son sens élargi (art, patrimoine et mentalité). Le concours Intelligent Community of the Year s’échelonne sur un processus de 10 mois. Au premier jalon, Smart 21, l’ICF sélectionne les 21 communautés intelligentes demi-finalistes, dont les noms ont été annoncés le 21 octobre. S’en suit la soumission d’un second dossier de candidature, sur la base duquel on choisira les sept finalistes (Top 7, en janvier 2014). Les finalistes se soumettent finalement à un audit, piloté par un groupe indépendant, qui permettra de nommer, à l’occasion du sommet annuel de l’ICF en juin, l’Intelligent Community of the Year. Lauréats du prix Intelligent Community of the Year 1999-2013 2013 – Taichung, Taïwan 2012 – Riverside, Californie, États-Unis 2011 – Eindhoven, Pays-Bas 2010 – Suwon, Corée du Sud 2009 – Stockholm, Suède 2008 – Gangnam-Gu, Corée du Sud 2007 – Waterloo, Ontario, Canada 2006 – Taipei, Taïwan 2005 – Mitaka, Japon 2004 – Glasgow, Écosse, Royaume-Uni 2002 – Calgary, Canada et Séoul, Corée du Sud 2001 – New York, État de New York, États-Unis 2000 – LaGrange, Géorgie, États-Unis 1999 – Singapour Qu’est-ce qu’une ville intelligente (ou Smart City)? Depuis 2007, une personne sur deux dans le monde vit en ville. Les métropoles consomment 75 % de l’énergie de la planète et produisent 80 % des CO2. Cette tendance s’accentue de jour en jour : on compte un million d'habitants de plus chaque semaine dans les villes du globe. D’ici 2050, plus de 70 % de la population mondiale vivra dans les métropoles, générant 60 % de la croissance du PIB. L'urbanisation mondiale connaît aujourd’hui une croissance sans précédent, qui a un impact sur la gestion des villes et transforme les services aux citoyens liés notamment aux transports, aux soins de santé, à l’éducation, à la gestion des ressources et à l’administration. Devant ces défis, des centaines de grandes villes dans le monde emboîtent le pas dans le développement des villes intelligentes. Les villes intelligentes (ou Smart Cities, smart grids, etc.) utilisent la technologie pour optimiser les services aux citoyens. Il existe des centaines d’exemples concrets : À Singapour, un système peut prédire la vitesse du trafic avec près de 90 % de précision; Un système de gestion intelligent du trafic à Londres a ramené le volume de circulation au niveau des années 1980; Les systèmes de gestion énergétique à Dublin, en Irlande, sont composés d’une infrastructure de capteurs pour obtenir des données en temps réel sur le transport et l’énergie; Barcelone en Espagne a libéré 500 séries de données publiques, générant le développement d’applications qui permettent aux citoyens de contribuer directement à la vie démocratique; Stockholm en Suède a installé un million de mètres de fibre permettant le développement d’une multitude de services publics tels que la téléassistance et les téléservices à la personne. Tous ces grands projets mettent à profit les TIC pour faciliter le quotidien des citoyens, appuyer le développement économique, réduire les impacts environnementaux et optimiser les services collectifs. http://www.montrealinternational.com/le-grand-montreal-nomme-parmi-les-21-metropoles-intelligentes-de-lannee/
  5. Pour le futur Tunis/YUL,c'est loin d'être clair il y a une seconde compagnie de Tunisie qui semble intéressée et visiblement Tunisair a des problèmes. Syphax airlines viendra au prochain salon du tourisme à MTL avec un vol spécial et ils parlent de vols ensuite dés 2014. ''Férid Fetni évoque la portée multidimensionnelle du premier vol de Syphax Tunis-Montréal.'' Férid Fetni, directeur de Syphax Airlines à Paris et coordinateur du vol promotionnel Tunis-Montréal (Canda) était, lundi, l’invité de Wassim Ben Larbi dans le cadre de la matinale Expresso. Au menu : ce vol spécial qui sera organisé, du 23 au 27 octobre 2013, en prévision du lancement de la ligne commerciale Tunis / Montréal/Tunis en vol régulier prévu pour début janvier 2014. Selon Férid Fetni, Syphax a tenu à consacrer ce premier vol historique assuré par un transporteur tunisien pour promouvoir l’activité économique et le tourisme tunisien, et ce, à l’occasion de la tenue du salon du tourisme à Montréal (25 octobre). Participeront à ce vol soutenu par les structures d’appui ( Cepex , Fipa, ONTT, UTICA, CONECT…), les ministères du Tourisme et des affaires étrangères et l’ambassade du Canda à Tunis, des hommes d’affaires opérant dans des segments bien précis : tourisme, santé, TIC, énergies, enseignement supérieur, agroalimentaire, bâtiment. Au programme de vol figurent la journée de la Tunisie qui sera organisée, le 24 de ce mois à Montréal laquelle comportera des communications sur l’environnement des affaires en Tunisie, la présentation de success stories et des contacts d’affaires B&B. http://www.radioexpressfm.com/lire/ferid-fetni-evoque-la-portee-multidimensionnel-du-premier-vol-de-syphax-tunis-montreal-1061 http://www.flysyphax.com/ http://ridhabenkacem.centerblog.net/236-tunis-air-en-retard-d-un-siecle-sur-syphax-airlines
  6. Ubisoft reporte « Watch Dogs » et « The Crew », deux jeux phares Le chiffre d’affaires de l’exercice en cours sera inférieur de 30 % aux prévisions, soit 400 millions d’euros de manque à gagner. L’éditeur basculera dans le rouge. Une véritable douche froide. L’éditeur français de jeux vidéo a annoncé mardi soir le report de près de six mois de la sortie de son jeu le plus attendu de la fin de l’année, « Watch Dogs ». Un autre jeu a été décalé, à l’été cette fois : « The Crew », dont la sortie était initialement prévue au printemps prochain. Compte tenu du poids attendu de ces deux jeux dans son compte de résultats, le chiffre d’affaires de l’éditeur pour l’exercice clos en mars 2014 sera inférieur de 30 % à ses prévisions initiales . Il s’établira dans une fourchette comprise entre 995 millions et 1,045 milliard d’euros, contre 1,420 à 1,450 milliard initialement prévu. Conséquence directe de ce manque à gagner de 400 millions d’euros, Ubisoft basculera dans le rouge. En Bourse, la pilule promet d’être dure à avaler mercredi . Prévu pour sortir en même temps que les consoles de nouvelle génération, la Xbox One de Microsoft et la PlayStation4 de Sony , « Watch Dogs » n’était tout simplement pas prêt. « Le jeu est déjà très bien, mais il peut devenir vraiment excellent. Cela demande quelques mois de plus », déclare aux « Echos » Yves Guillemot, le PDG d’Ubisoft. La décision a été prise en fin de semaine dernière, un peu plus d’un mois seulement avant la sortie prévue. Une décision tardive qui ne manquera pas d’entretenir les craintes sur la capacité de l’éditeur à respecter son calendrier pour des jeux annoncés de longue date. Watch Dogs était en développement depuis près de quatre ans et a été présenté en grande pompe au cours de salons professionnels, comme l’E3 de Los Angeles, pour susciter le désir des joueurs et de l’ensemble de la communauté du « gaming ». Protéger sa crédibilité Vu les enjeux industriels liés au lancement des consoles de nouvelle génération, qui trôneront dans les salons des joueurs pendant les dix prochaines années, le premier éditeur français de jeux vidéo a préféré faire de l’exercice en cours une année blanche. Plutôt essuyer les foudres de la Bourse que la colère des joueurs en sortant un jeu d’une qualité inférieure aux attentes. Pas question pour Ubisoft de prendre le risque de tuer une nouvelle licence prometteuse, compte tenu du pouvoir de prescription (ou de nuisance) des premiers joueurs et des sites Internet spécialisés dans les notation de jeux. L’éditeur joue sa crédibilité auprès des joueurs, et donc son chiffre d’affaires à long terme. Doté d’un budget de développement compris entre 60 et 70 millions d’euros et développé par 600 salariés, principalement basés à Montréal, Watch Dogs est destiné à devenir l’une des principales licences d’Ubisoft, aux côtés d’Assassin’s Creed ou de Far Cry. La durée de vie de la licence étant particulièrement longue - pour mémoire, sorti en 2007, Assassin’s Creed a été développé à partir de 2004 et le quatrième épisode sortira à la fin de l’année, Ubisoft espérant en vendre au moins 10 millions d’exemplaires - il n’était pas question pour le groupe basé à Montreuil de rater ce lancement. « Notre objectif est d’être les meilleurs sur les consoles de nouvelle génération, de prendre beaucoup de parts de marché. Avec les marques que l’on a, comme Assassin’s Creed ou Watch Dogs, nous pouvons bien nous installer sur ces consoles. Donc nous prenons le temps qu’il faut pour sortir un jeu exceptionnel. C’est une décision qui nous coûte cette année, mais qui va nous permettre, dans les années qui viennent, d’avoir une bonne stabilité et une bonne croissance que nous n’aurons pas cette année, même si le choc sera important », ajoute Yves Guillemot. Parallèlement à cette mauvaise nouvelle, Ubisoft a tenu rassurer : le groupe prévoit un résultat opérationnel de 150 millions pour son exercice clos en mars 2015, et de 200 millions l’année suivante, des niveaux qu’il n’a jamais atteints. Reste à savoir si les investisseurs lui garderont leur confiance après une telle mésaventure. http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/medias/actu/0203068638820-ubisoft-reporte-watch-dogs-et-the-crew-deux-jeux-phares-617770.php Plus d'infos plus tard
  7. Lufthansa repart vers Montréal, réduit l’Afrique. http://www.air-journal.fr/2013-10-14-lufthansa-repart-vers-montreal-reduit-lafrique-586945.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  8. Pire un vol quotidien 'si ça marche' ... Visiblement il n'y connait rien au secteur.A t il deja entendu parler de Paris et Bruxelles,les capitales ou tu trouves une chiée de vols vers Dakar et l'Afrique en général? Transports aériens : le Canada s’accorde avec 7 pays Les voyageurs d’affaires vont voir l’offre aérienne augmenter au départ du Canada. Le gouvernement canadiens a annoncé une série d’accords de transports aériens avec plusieurs pays : l’Algérie, le Burkina Faso, l’Équateur, l’Éthiopie, la Macédoine, l’Afrique du Sud et la Turquie. Transports aériens : le Canada s’accorde avec 7 pays. En plus des liens élargis avec l’Algérie déjà évoqué sur DéplacementsPros.com, le Canada a modifié ses accords avec l’Éthiopie, l’Afrique du Sud et la Turquie. Cette opération va contribuer à «développer les relations du Canada en matière de transport aérien, en permettant aux transporteurs aériens d’offrir plus de choix de vols et d’itinéraires, ce qui procure avantages et commodité aux voyageurs et aux entreprises», assure le ministère canadien des Transports. Elle a également signé de premières ententes bilatérales avec le Burkina Faso, l’Équateur et la Macédoine. «Ces nouveaux accords aideront à développer le marché du transport aérien entre le Canada et les pays cités, car ils procureront toute la souplesse nécessaire aux transporteurs aériens pour leur permettre d’offrir des services aériens en utilisant les vols d’autres transporteurs, une pratique communément appelée le partage de codes, et d’ajuster les tarifs en fonction des conditions du marché», précise le communiqué. http://www.deplacementspros.com/Transports-aeriens-le-Canada-s-accorde-avec-7-pays_a23687.html?TOKEN_RETURN
  9. Ton Paris contre mon Montréal Montréal brille au Top 10 des lieux d'échanges de maison. Non, non, tout ne va pas si mal pour Montréal. À preuve, la métropole s'est hissée cet été au Top 10 du site d'échanges de maison, HomeExchange.com, mieux connu en français sous le nom de TrocMaison.com. Pour la première fois depuis la création du site international d'échange de maisons HomeExchange en 1992, Montréal joue du coude avec rien de moins que Paris (1ère place), Londres (2e), New York (3e), suivis de Rome, Barcelone, Milan, Madrid, Copenhague, Amsterdam et...Montréal (10e). La preuve que malgré l'avalanche de manchettes sur la corruption municipale, les nids-de-poule ou les ratés du métro qui font hurler les Montréalais, leur ville dispose encore et toujours d'un important capital de séduction. Elle séduit du moins ceux qui cherchent des modes de tourisme alternatifs. «Cela fait déjà plusieurs années que le Canada se trouve dans le Top 5 des destinations les plus courues sur notre site, mais c'est la première fois que Montréal fait son entrée dans le palmarès des villes les plus recherchées», soutient Paul Charoy, responsable des relations de presse pour TrocMaison.com. L'abondance de l'offre de maisons et de condos offerts aux échanges dans la métropole — près de 400! — explique en partie la popularité de Montréal parmi les grandes capitales du monde, ainsi que l'intérêt démontré envers le Québec en général (près de 1000 offres). Mais pas seulement. Avec autant de propositions disponibles, ni Berlin (300 et plus) ni San Francisco (500 et plus) — villes qu'on ne peut certainement pas considérer comme dénuées d'intérêt — ne se hissent pas dans le Top 10 des villes convoitées par ceux qui troquent leur maison. Pourquoi cet engouement pour Montréal? Outre la présence d'une offre généreuse, difficile de dire exactement pourquoi, selon Trocmaison.com. Le site d'échanges ne dispose pas de statistiques qualitatives sur les raisons des choix faits par ses membres. Tout ce qu'on sait, c'est que la concurrence est forte dans ce marché alternatif du voyage puisque le site, qui compte 47 000 abonnés, affiche chaque année quelque 46 000 offres et permet la concrétisation annuelle de 300 000 échanges dans 154 pays. Le pouvoir d'attraction dont jouit Montréal dans ce créneau n'est pas sans intérêt, puisque selon Trocmaison.com, chaque échange se traduit par l'injection de 2100 $ par participant dans l'économie locale. «Montréal est devenue une attraction non seulement l'été, mais tout au cours de l'année, ce qui offre à plusieurs de nos membres la possibilité de faire des échanges décalés dans le temps. Récemment, un de nos membres a même réussi à troquer une maison bien ordinaire à Terrebonne, contre une maison et un bateau en Polynésie», ajoute le porte-parole de TrocMaison.com Depuis l'apparition du site Airbnb.com, site de location de chambres ou de maisons de gré à gré chez des particuliers qui fait grincer des dents l'industrie hôtelière, l'intérêt pour l'échange de maison ne se dément pas. Selon M. Charoy, l'arrivée d'Airbnb.com a au contraire gonflé l'intérêt du public pour toutes ces nouvelles façon de découvrir le monde «autrement». «Ce qui attire les gens dans les échanges de maison ou des sites comme Airbnb.com, c'est aussi le contact, l'expérience humaine et ces deux formules le permettent», dit-il. En plus de la popularité de Montréal, l'échange de maisons est portée par un vent encore plus fort. Celui de la consommation participative. En marge de la consommation traditionnelle, axée sur la transaction d'un bien par un individu, la consommation participative repose sur le partage de produits ou de services par plusieurs personnes plutôt qu'une seule. On peut citer en exemple, les services de vélos en libre service, d'autos en libre service et de taxis collectifs, qui ont de plus en plus la cote. À ce jeu, Montréal ne jouit-elle pas déjà d'une longueur d'avance? Pourquoi ne pas troquer votre condo dans Homa ou Ahuntsic, abonnement à Communauto et carte Bixi inclus, contre un pittoresque appartement à Amsterdam? http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/389492/ton-paris-contre-mon-montreal
  10. Nouveaux commerces à Montréal-Trudeau. D'ici le début de l'année prochaine, les voyageurs de passage à l'aéroport de Montréal pourront profiter des derniers moments passés avec leurs proches en sirotant une bière québécoise signée Archibald ou en faisant du lèche-vitrine à la boutique du Cirque du Soleil. Histoire de créer une ambiance agréable et conviviale, Montréal-Trudeau rénove actuellement son aire de restauration dans la zone publique, située au niveau des départs. «On veut créer une atmosphère intéressante», indique Christiane Beaulieu, vice-présidente affaires publiques et communications pour Aéroports de Montréal. Ainsi, avant de passer au point de fouille où ils se retrouveront en zone réglementée, les passagers pourront dès janvier profiter avec leur famille de l'arrivée d'une panoplie de nouveaux commerces, tels qu'Archibald microbrasserie, la boutique du Cirque du Soleil, la boutique de vêtements Tristan, un comptoir Sushi Shop et Jugo Juice. Des panneaux présentant des renseignements interactifs à propos des horaires de vol, du temps d'attente aux points de fouille et de la distance de marche entre les différents lieux de restauration et boutiques seront également installés dans la zone accessible à tous. http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201310/09/01-4697982-nouveaux-commerces-a-montreal-trudeau.php
  11. L'une des institutions financières les plus puissantes d'Asie, la Banque de Chine, ouvre une succursale d'affaires à Montréal. Son premier objectif: s'introduire comme intermédiaire financier de premier plan dans le marché croissant des affaires, du commerce et des investissements entre des entreprises d'ici et de Chine. Quant au marché des particuliers, dont l'importante communauté d'origine chinoise dans la région de Montréal, le directeur de la nouvelle succursale de la Banque de Chine prévoit attendre «d'ici deux ans» avant de chercher à s'y implanter. «L'un des objectifs globaux de la Banque de Chine est de faciliter l'usage international de la monnaie chinoise [yuan] comme une devise des échanges commerciaux et financiers dans le monde, a indiqué Guillaume Liu, directeur de la nouvelle succursale de Montréal. «Pendant ce temps, il y a de plus en plus d'activités d'affaires qui se font entre des entreprises québécoises et chinoises. Il y a aussi davantage d'entreprises québécoises qui s'implantent en Chine. L'inverse s'accroît aussi, dans les secteurs des ressources et des technologies.» Résidant du Québec depuis une dizaine d'années, M. Liu est diplômé en gestion financière de projets internationaux de l'UQAM et a été consultant à la firme d'analyse Secor. Auparavant, M. Liu dit avoir été conseiller en gestion de projets internationaux auprès d'organismes comme la Banque mondiale. Pour la Banque de Chine, cette nouvelle succursale de Montréal est en fait sa 10e place d'affaires au Canada. Son ouverture survient aussi au 20e anniversaire de sa présence au Canada, depuis son premier bureau ouvert à Toronto en 1993. Avant Montréal, la Banque de Chine avait ouvert des succursales à Vancouver et Calgary. Selon Lijun Wang, chef de la direction de la Banque de Chine au Canada, «le choix du Grand Montréal, un centre financier de calibre mondial, fait partie intégrante d'une stratégie de développement qui nous positionne auprès d'un nouveau marché dynamique, et ce, au sein d'une économie stable et diversifiée». À son 20e anniversaire, la filiale canadienne de la Banque de Chine regroupe quelque 200 employés et cumule environ 1,5 milliard de dollars d'actif. À première vue, ces chiffres semblent minuscules par rapport à la taille mondiale de la Banque de Chine avec un actif équivalant à 2454 milliards de dollars et des revenus annualisés de l'ordre des 74 milliards. De très bon augure Mais pour le milieu d'affaires du Grand Montréal, l'implantation d'une succursale de la Banque de Chine est considérée comme de très bon augure. «Cette arrivée constitue une excellente nouvelle pour l'essor économique de la région puisqu'elle favorisera l'attraction de nouveaux investissements chinois et permettra aux entreprises québécoises d'accéder plus facilement au marché de la Chine», a déclaré Élie Farah, vice-président chez Montréal International. «La Chine est l'une des plus importantes sources d'investissements directs étrangers au Canada; il est donc primordial de soutenir l'accroissement des échanges et des investissements entre nos deux pays.» > Siège social: Pékin, Chine > Actif: 13 256 milliards de yuans (2454 milliards de dollars canadiens) > Revenus d'exploitation annualisés: 397 milliards yuans (74 milliards de dollars canadiens) > Bénéfice net annualisé: 145 milliards yuans (26 milliards de dollars canadiens) > Valeur boursière (Hong Kong): 993 milliards HKD (127 milliards de dollars canadiens) AU CANADA: > Siège administratif: Toronto > Effectif: 200 employés dans 10 succursales/bureaux > Actif: environ 1,5 milliard de dollars canadiens Sources: Bloomberg, Banque de Chine http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201310/09/01-4697960-la-banque-de-chine-sinstalle-a-montreal.php
  12. ok thanks for the info Tunisair faut espérer qu'ils vont survivre jusque juillet... Munich(LH) et Zurich(LX) continuent?C'était en danger à un moment non?
  13. Bonnes nelles pour Barcelone et Nice plus des avions de plus grande capacité et ou + de fréquences sur BRU/GVA/LHR/FRA/FCO. ATH?? avec Rouge,fini de YUL?
  14. Aer Lingus y a vraiment pas de marché,pour Dublin de YUL,à la limite un Air Transat l'été mais c'est tout. Emirates en principe pas surtout avec Qatar et l'arrivée de Turkish.Idem Etihad. On aura la Chine avant le Japon c'est certain( c/o Japan). Alitalia est au bord de la faillite on oublie aussi,Iberia va mal(pas de marché anyway). La Tap est surtout full force concentrée sur le Brésil et l'Afrique lusophone. C'est deja bien si on ne perd pas Lufthansa et Swiss je crois. Brussels Airlines(ex sabena)reviendra un jour par contre mais pas en 2014. Il y a un léger mieux coté crise économique(reprise molle)en Europe,bon c'est pas encore ça mais le pire devrait être passé. De bonne augure pour l'aviation et le tourisme/congrès à MTL..surtout en 2015/2016 et au dela espérons?
  15. En ci qui concerne Tunisair on risque pas trop de les voir à YUL bientôt par contre.Il en fut question tout un temps. http://www.air-journal.fr/2013-10-08-tunisair-en-mauvaise-sante-financiere-586279.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
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