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  1. Dans le quartier Sainte-Marie http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,80081586&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=5418&ret=/pls/portal/url/page/arrond_vma_fr/rep_annonces/rep_actualites/detail_actualite Le deuxième projet propose la démolition de l'église Saint-Anselme, sérieusement endommagée par un incendie en 2011, et de son presbytère pour les remplacer par un immeuble résidentiel. Sis au 2700, rue de Rouen, il compterait 4 étages et 114 unités d'habitation, ce qui contribuerait à atteindre l'objectif de 2000 logements, tel que suggéré dans le Programme particulier d'urbanisme du quartier de Sainte-Marie. Rappelons que les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble font toujours l'objet d'une consultation publique. Pour ces quatre projets, l'assemblée publique de consultation est prévue le 19 décembre 2012.
  2. Une cure de jouvence autour du métro Frontenac Publié le 10 juin 2010 Emilie Russo L’arrondissement Ville-Marie mijote un plan de développement autour de la rue Ontario, qu’il soumettra en consultation publique cet automne. La Ville projette entre autres de développer les alentours de la station de métro Frontenac. « La force d'un secteur comme Frontenac, c'est le métro. On n'est pas du tout isolé, malgré ce qu'on pourrait croire. C'est éparse et dévitalisé, mais proche du centre-ville. Mais visuellement, on ne se sent pas attaché au centre-ville. L’objectif est de revaloriser le secteur », explique Pierre Gaufre, commissaire adjoint au développement pour l’arrondissement Ville-Marie. Sans dévoiler les détails du plan de la ville, M. Gaufre avance l’idée de créer une nouvelle place publique devant le centre commercial près de la rue Fullum. Les services de sports et loisirs seront aussi améliorés et la circulation automobile sera réduite. La Ville compte également exploiter le potentiel immobilier des terrains vacants autour de la rue Parthenais. Les orientations précises du développement envisagé par Ville-Marie ne seront dévoilées qu’à l’automne. http://www.faubourgvillemarie.ca/Actualites/Grands-dossiers/2010-06-10/article-1512602/Une-cure-de-jouvence-autour-du-metro-Frontenac/1
  3. Le Mackay "revisité"..... http://www.journalmetro.com/linfo/article/610291--feu-vert-a-la-construction-d-une-residence-etudiante-sur-mackay Permettez un commentaire: PUTAIN D'OCPM! Ils auront réussi à transformer un projet qui avait de la gueule en tourette sans envergure.... C'est vrai que je n'ai pas vu les nouveaux rendus, mais de 34 à 23 étages, parions que ça va passer pas mal plus inaperçu! Surtout à cet endroit! Un vrai crime...
  4. Quels sont selon vous les projets qui ont eu l'impact le plus grand sur la revitalisation d'un quartier ? Pour ma part il y a un projet qui a vraiment transformé une ville toute proche de Montréal, Joliette. La ville est rendue vraiment attrayante, avec sa place publique au coeur du centre-ville, et plus récemment, son nouveau musée d'art. Je crois que le projet de place publique a vraiment entraîné la ville sur une lancée. Avant : (juste un gros parking) Le musée d'art : Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  5. http://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/actualites/932402/une-place-publique-en-lhonneur-dune-journaliste-montrealaise/ 15/03/2016 Mise à jour : 15 mars 2016 | 18:01 Une place publique en l’honneur d’une journaliste montréalaise Par Amine Esseghir TC Media La nouvelle place du quartier de la mode, située à l’angle de la rue Chabanel et de l’avenue de l’Esplanade, sera inaugurée ce printemps et sera baptisée Iona Monahan, en l’honneur de la journaliste canadienne connue dans le milieu de la mode dans la seconde moitié du XXe siècle. Cette initiative fait partie des actions destinées à donner un nouvel essor urbain au secteur du textile. Les travaux de construction ont été lancés en 2015 pour un montant de près de 1 M$. Mme Monahan a vécu de 1923 à 2006. Elle a fait son entrée dans l’industrie de la mode à la fin des années 1940 et a rejoint le célèbre photographe Sam Getz en tant que rédactrice. Elle s’est fait connaître avec un remarquable reportage sur la mode canadienne paru dans le mensuel Mayfair, en février 1959. Jusqu’en 1970, elle collabore avec divers magazines tels que The Montrealer et Fashion en tant que rédactrice en chef et journaliste. Elle produit également des reportages pour la télévision, notamment pour CBC. À partir de 1978, elle entre à la rédaction de The Gazette où elle va signer des articles jusqu’en 2002. Elle est nommée membre de l’Ordre du Canada, en 1985, en reconnaissance du rayonnement qu’elle a donné à la mode canadienne. Elle est également désignée «Femme de l’année» par Fashion Canada vers la fin des années 1970.
  6. Un article mettant en relief l'importance de l'urbanisme dans une question de santé publique. Le directeur de la santé publique de Montréal arrive à la conclusion que la distance avec le centre-ville de Montréal est le facteur déterminant sur le risque de souffrir de surpoids, bien avant des variables comme le sexe, l'âge, le revenu, le niveau de scolarité, la consommation de fruits et de légumes ou l'activité physique. L'embonpoint et l'obésité avaient des coûts estimés de manière conservatrice à 1.5 milliards en 2011. L'étalement urbain dévoile un autre de ses coûts cachés . http://www.lapresse.ca/actualites/sante/201506/23/01-4880296-un-montrealais-sur-deux-a-un-surplus-de-poids.php Publié le 23 juin 2015 à 07h34 | Mis à jour à 07h34 Un Montréalais sur deux a un surplus de poids Hugo Pilon-Larose La Presse Même si la prévalence du surplus de poids ne cesse d'augmenter à Montréal, les gens qui vivent au centre-ville sont moins susceptibles de souffrir d'embonpoint que ceux qui habitent les quartiers plus éloignés et la banlieue. Voici l'un des constats d'une étude du Directeur de santé publique de Montréal qu'a consultée La Presse. + 17 Entre 1987 et 2012, la proportion de Montréalais qui vivent avec un surplus de poids a augmenté de 17 points de pourcentage. À l'époque, le tiers des citoyens de la métropole n'atteignaient pas les cibles du poids santé, alors qu'ils représentent aujourd'hui la moitié de la population. « Chez une population adulte, il existe une forte association entre le poids et la présence de maladies chroniques. L'augmentation de l'obésité, combinée au vieillissement de la population, laisse présager que la hausse du fardeau lié aux maladies chroniques se poursuivra et pourrait être plus marquée », note le Directeur de santé publique de Montréal dans son étude. Plus loin du centre-ville, plus gros Dans son étude, le Directeur de santé publique de Montréal a tenté de déterminer les caractéristiques les plus associées à l'obésité. De façon surprenante, « l'effet le plus fortement associé à l'obésité est l'éloignement au centre-ville », bien avant des variables comme le sexe, l'âge, le revenu, le niveau de scolarité, la consommation de fruits et de légumes ou l'activité physique, explique-t-on. Montréal dans le monde Au Québec, la prévalence de l'obésité est plus faible à Montréal que dans les autres régions. « Malgré cela, il y a de la place à l'amélioration. Même la valeur la plus faible observée au niveau des CLSC de Montréal (8 % de la population de ce secteur est obèse) demeure supérieure à celle de Vancouver (7 %) et du Japon (4 %) », peut-on lire dans l'étude. Au sein même de la ville, ces taux de prévalence varient grandement. Les personnes vulnérables, c'est-à-dire sans emploi, matériellement défavorisées ou ayant un faible revenu, ont plus de risques d'être obèses que les autres Montréalais. Le temps passe, les livres s'accumulent Selon les projections du Directeur de santé publique, un Montréalais sur cinq (20 %) sera obèse d'ici 2023. C'est plus du double de l'estimation de 1987. L'obésité n'augmente toutefois pas aussi rapidement dans la métropole qu'ailleurs en province. Même en 2023, « Montréal demeurera parmi les régions où l'obésité est la plus faible », explique le Directeur de santé publique dans son rapport. Les hommes plus gros que les femmes Comparativement aux femmes, les hommes ont une prévalence de surplus de poids significativement plus élevée. Voici les comparaisons : Hommes c. femmes Surplus de poids (embonpoint et obésité) •Hommes 57 %, •Femmes 42 % Embonpoint •Hommes 42 %, •Femmes 26 % Obésité •Hommes 15 %, •Femmes 16 % 20 lb Entre les âges de 20 et 50 ans, un Montréalais moyen prendra environ près de 20 lb. Grossir en vieillissant est une tendance, et selon le Directeur de santé publique, il est difficile de maintenir une perte de poids à long terme, « et ce, quelle que soit la méthode utilisée ». C'est pourquoi il vaut mieux prévenir le gain de poids plutôt que de le guérir, conclut-on.
  7. Cet été le boulevard Roland-Therrien a été refait : - Ajout d'une piste cyclable - Nouveaux abris bus - Nouvelle voie réservée 24h autobus - Nouveau service express RTL - Nouvelle place publique au coin de Gentilly et Roland-Therrien Cout: 15$million Depuis quelques jours les nouvelles lignes express RTL 410 et 417 sont maintenant ouvertes! Photos à venir...
  8. Le parc Roland-Giguère a été conçu par la firme NIP Paysage dans le cadre d'un concours mené conjointement par l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et l'équipe de Design Montréal. Roland Giguère (Montréal, le 4 mai 1929- Montréal, le 17 août 2003) était poète, typographe, éditeur, maquettiste, graveur, lithographe et vivait dans le quartier Ahuntsic. Le parc est situé près de l'intersection des boulevards Henri-Bourassa et de l'Acadie, au coeur d'un ensemble immobilier résidentiel d'envergure, Cité l'Acadie, qui comptera à terme plus d'un millier de logements. Réalisé avec l'appui financier du ministère de la Santé et des Services sociaux et l'Institut national de la santé publique du Québec, le parc constitue un espace de verdure significatif pour les résidents et contribue à la réduction des îlots de chaleur urbains. De plus, il comporte la particularité d'être doté d'un système de brumisation permettant de rafraîchir les aires de jeux en période estivale.
  9. Le segment montréalais est a 11:10 Nos opérations de déneigement fascinent les gens un peu partout sur la planète. Plus tôt cette semaine, la télévision publique allemande Das Erste a tourné un reportage sur le sujet en compagnie de notre équipe. Voici le résultat dans la langue de Goethe! <span class="userContent">https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dYf_cNf2kAw
  10. Grande plénière pour le 375e de Montréal le 8 novembre 2011 MATHIAS MARCHAL Publié: 27 avril 2011 10:46 Si les festivités entourant le 375e anniversaire de la fondation de Montréal ne sont prévues que dans six ans, certains planchent déjà sur la question. Après avoir organisé des consultations à petite échelle, le Bureau du 375e prépare l’Opération Carte Blanche. L’Office de consultation publique de Montréal sera chargé d’encadrer une trentaine de tables de discussion comptant au total 340 personnes (100 au sein des secteurs clés de la société, 190 provenant de la société civile et recrutés par les arrondissements et 50 employés de la ville). Les idées ayant surgi lors de ces discussions permettront d’alimenter la grande séance plénière prévu le 8 novembre. Ce sera la première grande rencontre publique de préparation en vue du 375e. Selon les documents soumis aux élus, «cette première interpellation doit être parfaitement réussie car de son succès dépend la mise en place d’assises solides qui gouverneront l’action du Bureau du 375e entre 2012 et 2017». Pour compléter la réflexion, une Opération Vox Pop se déroulera dans les arrondissements. L'année 2017 sera aussi l'année du 50e anniversaire de l'Expo et celle du 150e anniversaire de la Confédération. http://www.journalmetro.com/linfo/article/843937--grande-pleniere-pour-le-375e-de-montreal-le-8-novembre
  11. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Decembre2011/16/c7546.html École de santé publique de l'Université de Montréal - Québec annonce la première phase du Campus de santé publique Norman-Bethune MONTRÉAL, le 16 déc. 2011 /CNW Telbec/ - La ministre responsable de l'Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor, Mme Michelle Courchesne, et la vice-première ministre et ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Mme Line Beauchamp, ont annoncé aujourd'hui la création du Campus de santé publique Norman-Bethune dont la première phase sera la construction de l'École de santé publique de l'Université de Montréal (ESPUM). À cette occasion, elles étaient accompagnées du maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, de l'ancien premier ministre du Québec et président du conseil d'administration du Quartier de la santé de Montréal (QSM), Me Pierre Marc Johnson, du recteur de l'Université de Montréal, le Dr Guy Breton, et de la chancelière de l'Université de Montréal, Mme Louise Roy. « Nous annonçons aujourd'hui la réalisation d'un projet structurant et porteur qui se situe au point de convergence de deux des missions les plus fondamentales de l'État, la santé et l'éducation. Avec ce projet de développement économique et social, c'est tout le secteur qui bénéficiera du flot quotidien de plus d'un millier de chercheurs et étudiants œuvrant dans les domaines de la santé et de l'éducation. En sus des investissements sans précédent réalisés dans les centres hospitaliers universitaires, ce projet positionne encore plus fortement Montréal comme l'un des leaders mondiaux en science de la vie », a déclaré la ministre Courchesne. « Nous avons des défis majeurs à relever en matière de formation et de recherche dans le domaine de la santé publique, des défis qui demandent que soient tissés des liens solides entre le réseau de la santé et le milieu de l'enseignement. Une école comme l'ESPUM constitue à cet égard un atout majeur et l'on ne peut douter que son intégration au Campus de santé publique Norman-Bethune fera d'elle la plus grande école de santé publique en Amérique du Nord », a souligné la ministre Beauchamp. La création du campus, situé au coin de la rue Berri et du boulevard de Maisonneuve à proximité du nouveau CHUM et de son Centre de recherche, concentrera en un lieu les principales institutions actives en santé publique. Pour le ministre de la Santé et des Services sociaux, le Dr Yves Bolduc : « cette réunion permettra de favoriser les échanges d'expertise, d'améliorer la cohérence des actions et de faciliter la réalisation de projets communs tournés vers l'amélioration de la santé de nos populations et la prévention des maladies ». Le campus sera complété lors d'une phase subséquente avec l'accueil de l'Institut national de santé publique du Québec et de la Direction de la santé publique de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. Avec son expertise en santé publique, l'Université de Montréal agira à titre de locomotive du projet. À cet effet, le gouvernement du Québec a mandaté l'institution pour la réalisation du dossier d'affaires, et ce, conformément à la Politique-cadre sur la gouvernance des grands projets d'infrastructure publique. Le Quartier de la santé de Montréal participera à l'élaboration du dossier d'affaires, le tout sous la supervision d'Infrastructure Québec. De plus, la ministre Courchesne a annoncé qu'au cours des prochaines semaines, la Société immobilière du Québec ira en appel d'offres pour vendre la nouvelle gare d'autobus et l'entreprise qui en assure la gestion, ainsi que les structures inachevées de la portion Nord de l'îlot Voyageur. Le gouvernement s'assurera que les offres retenues soient conformes à la valorisation d'un site qui présente de nombreuses possibilités d'investissements en matière de transport collectif et de développement institutionnel, résidentiel ou commercial. Avec l'annonce d'aujourd'hui, le gouvernement du Québec pose un geste concret dans sa volonté d'assurer son leadership en matière de sciences de la vie et de revitaliser ce quadrilatère de Montréal.
  12. Ça intéresse quelqu'un? Michel Simonsen et Simon Cantin sont heureux de vous inviter à la première projection publique de leur plus récente réalisation, un documentaire de 52 minutes intitulé "projet Dow" qui porte sur les restes d'une immense brasserie abandonnée du centre-ville de Montréal, la Dow-O'Keefe. projet Dow, c’est l’histoire de cette série de bâtiments inutilisés depuis 1991. Par leur ampleur et leur situation géographique, ces édifices font l’objet de diverses spéculations : projets immobiliers, commerciaux, industriels, institutionnels, patrimoniaux… Or, la période de latence, entre le moment où il ne se passe plus rien "officiellement" et le moment de la renaissance, donne lieu à une activité clandestine, à l’image de ces édifices qui fonctionnent comme une tache aveugle, un trou dans le tissu urbain. projet Dow, c’est une usine désaffectée présentée de l’intérieur par Richard, qui l'habite. Un parcours inusité, à travers lequel on découvre une autre façon d’habiter la ville, de vivre de ses restes. C'est un documentaire sur ce qui est là sans qu'on le remarque, une visite de l’ombre. La première projection publique du film aura lieu le lundi 7 avril, à Montréal au : Cinéma ONF (salle 1), 1564, rue Saint-Denis coin de Maisonneuve, Métro Berri-UQAM. Le visionnement débutera à 19h00 et sera suivit d'un cocktail où de la bière O'Keefe et des grignotines seront servies. L’invitation est ouverte à tous et à toutes, n'hésitez donc pas à la partager.
  13. Montréal Consultation publique sur l’agriculture urbaine Agence QMI Emmanuel Delacour 15/11/2011 18h22 MONTRÉAL – Plus de 25 000 Montréalais demandent une consultation publique sur l’état de l’agriculture urbaine dans leur métropole. Une pétition du Groupe de travail en agriculture urbaine (GTAU) a circulé lors des trois derniers mois dans les 19 arrondissements de l’agglomération, afin d’exiger que l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) prenne en charge l’organisation de cette enquête dans les meilleurs délais. Les signatures recueillies dépassent largement les 15 000 demandées par la Ville de Montréal, «ce qui fait la démonstration de la volonté de la population d’avoir une tribune officielle pour discuter de cet enjeu», a dit Marie-Ève Chaume, porte-parole du GTAU et responsable de dossier au Conseil régional de l’environnement de Montréal. Mme Chaume affirme qu’il est grand temps qu’un portrait clair de la situation et des problèmes de l’agriculture urbaine soit dressé. «La Ville de Montréal est en train de préparer son projet d’urbanisme pour les prochaines années, nous avons donc profité de cet élan pour relancer l’intérêt de la population pour ce qui est de la culture et de l’élevage en milieu urbain», s’est justifiée Marie-Ève Chaume. L’opposition d'accord Les deux partis d’oppositions n’ont pas tardé à féliciter le GTAU pour ses efforts et ont manifesté leur soutien pour la tenue d’une consultation publique. «Vision Montréal souhaite que l’administration Tremblay reconnaisse cette volonté populaire et confie à l’OCPM le mandat de mener une enquête publique sur le thème de l’agriculture urbaine», a commenté Louise Harel, chef de l’opposition officielle. Projet Montréal «participera activement à la consultation publique qui suivra le dépôt de cette pétition», a prévenu de son côté Carl Boileau, conseiller d’arrondissement dans le district de De Lorimier. La Ville de Montréal n’avait pas retourné nos appels en fin d’après-midi, mardi.
  14. Assemblée publique de consultation - 25 août 2008 Ville-Marie ASSEMBLÉE PUBLIQUE DE CONSULTATION Les personnes intéressées sont priées de noter que le conseil d’arrondissement, à sa séance du 5 août 2008, a adopté les premiers projets dont la description suit. a) Résolution accordant à certaines conditions, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011) et en dérogation aux articles 10, 61, 68, 97 et 369 (2) du Règlement d'urbanisme de l'arrondissement Ville-Marie (01-282), l’autorisation de construire un édifice de 10 étages sur le lot 2 162 266 situé du côté nord du boulevard René-Lévesque, entre les rues Labelle et Saint-Hubert. :thumbsup:
  15. Mis à jour aujourd'hui à 8h01 --------------- Publié le 12 août 2009 à 05h45 | Mis à jour à 08h01 Le secteur du stade passe au vert En plus de la Ville, la Régie des installations olympiques prendra aussi des initiatives dans le secteur. «C'est trop bétonné à notre goût, dit Sylvie Bastien, porte-parole de la RIO. Ça pourrait faire un lien visuel vert.» Avec l'apport de la RIO, le projet dépassera les 200 millions d'investissements. Éric Clément La Presse La Ville de Montréal, les Muséums nature de Montréal ainsi que les gouvernements fédéral et provincial lanceront en septembre un ambitieux projet à la fois touristique, muséal et écologique appelé le Quartier de la vie, a appris La Presse. Le secteur du Jardin botanique et les abords du Stade olympique seront reliés par une «immense place publique interactive». Le projet total est évalué à 189 millions de dollars. Cinq institutions en feront partie: le Biodôme, le Jardin botanique, le Planétarium et l'Insectarium, de même que le futur Centre sur la biodiversité. Le Quartier de la vie aura pour but de prolonger la mission des quatre muséums, soit de faire connaître et apprécier les sciences de la nature et la nature elle-même aux générations présentes et futures. Ces quatre muséums représentent déjà le plus grand complexe muséal de sciences naturelles au Canada. Le Quartier de la vie sera une expérience sociale et environnementale inédite pour le visiteur. «Rien à voir avec du show-business ou des activités commerciales habituelles, nous dit une source proche du concepteur. Les activités seront en phase avec les valeurs fondamentales des gens, pour qu'ils se reconnectent avec la nature et pour que, à terme, un citoyen qui trouve un papier par terre le ramasse même si ce n'est pas le sien.» La place publique qui sera créée partira de la station de métro Viau et se prolongera près du Biodôme et du nouveau Planétarium, qui sera construit d'ici à l'été 2011 au pied de la tour du Stade olympique. Elle se rendra ensuite jusqu'au Centre sur la biodiversité, près du Jardin botanique, en passant sous la rue Sherbrooke. «Il s'agira de la première place publique mondiale dédiée à l'humain et à la nature», nous dit la même source. Ce ne sera pas une place comme les autres. On n'y trouvera pas de parasols, de tables ou de chaises en plastique. Le lieu rendra hommage à la nature, et les citoyens pourront l'aménager à leur façon, par exemple... en déplaçant des «arbres sur roulettes» ou en érigeant des bâtiments écologiques. Le touriste pourra s'approprier les lieux et participer au façonnement de la place, qui évoluera dans le temps au gré des initiatives et des réalisations des visiteurs. Parmi les aménagements qui pourraient être bâtis, on pourrait, par exemple, construire des restaurants sur pilotis en bambou, pour que même les concessions alimentaires soient conformes à l'esprit des lieux. «La facture sera toujours inusitée et audacieuse», nous dit-on. On prévoit que 2,7 millions de personnes participeront chaque année à l'expérience. Le projet lancé par les Muséums nature est coordonné avec la Régie des installations olympiques puisqu'il s'agit de ses terrains. La RIO prendra aussi des initiatives dans le secteur. L'esplanade de béton située au coin du boulevard Pie-IX deviendra verte dans la deuxième phase du projet. «C'est trop bétonné à notre goût, dit Sylvie Bastien, porte-parole de la RIO. Ça pourrait faire un lien visuel vert.» Avec la RIO, le projet total dépassera les 200 millions. L'investissement consenti par la Ville, soit 189 millions, proviendra du programment triennal d'immobilisations et de subventions fédérales et provinciales. La somme comprend les coûts de construction du Planétarium (33 millions) et du Centre sur la biodiversité (24,5 millions), la création de la place publique (30 millions) et les coûts liés à la mise aux normes et à l'amélioration des muséums nature. Ainsi, on créera au Biodôme un nouvel écosystème consacré à l'humain, «une espèce en équilibre avec la nature, essentielle à sa survie». À l'Insectarium, les visiteurs pourront défier leurs peurs et vivre des expériences «d'immersion entomologique» afin d'apprendre à mieux vivre avec les insectes. La création du Planétarium est financée par Québec, Ottawa, Montréal et Rio Tinto Alcan, qui donnera son nom à l'édifice moyennant 4 millions. Quant au Centre sur la biodiversité, les travaux de construction commenceront ces jours-ci près du Jardin botanique. Le bâtiment, voué à la recherche scientifique, à la conservation et à la valorisation de collections biologiques, à la promotion de la préservation des espèces et au transfert des connaissances, sera inauguré l'an prochain. Les élus du comité exécutif ont découvert le projet du Quartier de la vie la semaine dernière et l'ont bien accueilli. «C'est un projet extraordinaire pour le développement de Montréal, nous a dit, hier, un membre de l'administration municipale. Il va permettre la mise en valeur de tout un quartier, au coeur de l'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, et va grandement contribuer à améliorer la stature internationale de Montréal.» *** Wow !! Intéressant
  16. Le Marché climatique de Montréal est ouvert La Bourse de Montréal (MXX) et la Chicago Climate Exchange ont procédé à l'ouverture officielle du Marché climatique de Montréal vendredi matin. 30 mai 2008 - 09h39 Presse Canadienne La cérémonie s'est déroulée en présence du premier ministre Jean Charest et de ministres fédéraux, soit John Baird, ministre de l'Environnement du Canada, et Michael Fortier, ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux. L'ouverture a eu lieu à 9h30 après un décompte avec l'inscription à la cote du tout premier contrat à terme lié aux émissions de gaz à effet de serre négocié en bourse au Canada. L'intention de mettre en place un tel marché avait été annoncée en décembre 2005. Sa mise sur pied avait, elle, été rendue publique quelques mois plus tard, en juillet 2006. La Bourse de Montréal apporte à ce nouveau marché son expertise dans les systèmes de négociation, de compensation, de réglementation des marchés et de gestion du risque financier. La CCX fournit son expérience d'exploitation de la bourse climatique de Chicago. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080530/LAINFORMER/80530084/5891/LAINFORMER01
  17. Montréal Une nouvelle place publique à la Plaza Saint-Hubert Agence QMI 22/06/2009 13h11 Partager La Ville de Montréal a inauguré aujourd'hui une nouvelle place publique située au coeur de la Plaza Saint-Hubert, la place Hector-Prud'homme. Cet espace public sis à l'angle des rues Saint-Hubert et Bellechasse a été inauguré officiellement par le maire de Montréal, Gérald Tremblay, le maire de Rosemont-La-Petite-Patrie, André Lavallée et le député de Laurier-Dorion, Gerry Sklavounos. Un ancien stationnement a ainsi été transformé en place publique Hector-Prud'homme. Un espace que son fils, le sénateur Marcel Prud'homme, veut voir devenir «un endroit de tranquillité». Hommage à Hector Prud'homme Médecin de famille ayant oeuvré principalement dans les quartiers de La Petite-Patrie et de Rosemont, Hector Prud'homme a aussi été conseiller municipal du district de Saint-Édouard de 1944 à 1947 et de 1950 à 1954. Le maire Tremblay souhaite que la place Hector Prud'homme devienne un lieu de recueillement pour les Montréalais. «Si on ne se souvient pas de son passé, on n'a pas de présent ni d'avenir», mentionne-t-il. L’aménagement de la place Hector Prud’homme s’est fait au coût de 443 307$ et a bénéficié du «programme de renouveau urbain», un partenariat entre la Ville et le gouvernement du Québec.
  18. Charest enterre les PPP Denis Lessard La Presse (Québec) Le gouvernement Charest va habiller l'opération comme une profonde «réflexion» sur l'avenir de la formule des partenariats public-privé. Mais à Québec tout le monde a compris qu'il s'agissait d'un enterrement de première classe, surtout le président de l'Agence des PPP, Pierre Lefebvre. Le départ de ce haut fonctionnaire doit être annoncé aujourd'hui, après la réunion du conseil des ministres, a appris La Presse. Le protégé de Monique Jérôme-Forget était dans la ligne de mire de bien des membres du gouvernement depuis le départ de la Dame de fer, début avril. Joint lundi, il a refusé de commenter. Cette démission, prédit-on déjà, ouvrira la voie au retour au mode conventionnel pour la construction du CHUM, l'hôpital universitaire de Montréal. Ce changement de cap signifierait un an de retard supplémentaire - il faudra faire travailler des professionnels avant d'aller en appel d'offres général et donner tout le temps nécessaire aux entrepreneurs d'y répondre. Tout récemment le ministre de la Santé, Yves Bolduc, soulignait que le gouvernement reconsidérait le choix de la formule PPP pour le CHUM. «Si le gouvernement ne s'était pas peinturé il y a quelques semaines en faveur du projet en PPP, (il voulait désamorcer un rapport embarrassant du Vérificateur général), on serait déjà revenu en conventionnel», confie une source au centre de toutes ces tractations. «Pour les médecins spécialistes, il est évident que si on abandonne le PPP pour le CHUM c'est une excellente nouvelle», de renchérir de son côté le Dr Gaétan Barrette, le président des 8000 spécialistes. La présidente du Conseil du Trésor, Monique Gagnon-Tremblay, avait aussi des réticences et insiste depuis des semaines sur le fait qu'elle n'a jamais trouvé que les PPP étaient une panacée. Et, en coulisse, Julie Boulet et tout le ministère des Transports travaillent à ce que la réfection de l'échangeur Turcot revienne en mode conventionnel. Même le maire de Montréal, Gérald Tremblay, s'est mis de la partie pour demander que Turcot revienne en construction conventionnelle. Pierre Lefebvre, indique-t-on, voyait clairement dans ces sorties publiques convergentes la mort annoncée du processus de PPP. Depuis les dernières semaines, les associations de professionnels, les ingénieurs, les architectes et les entrepreneurs généraux ont enclenché une campagne publique pour que ces deux immenses projets ne soient plus réalisés en partenariat public-privé. Moins médiatisés, beaucoup d'autres projets, le CHUQ (l'hôpital universitaire de Québec), et des constructions de prisons provinciales, sont aussi «pris dans la mélasse». De sources sûres, on a appris que Pierre Lefebvre restera employé au Trésor pour la transition, et deviendrait, à compter de l'automne prochain, secrétaire associé au Conseil du Trésor, une étape avant son départ de la fonction publique - son contrat arrivait à échéance au printemps prochain. Avec un remaniement mineur, le gouvernement Charest doit annoncer ce matin un jeu de chaise musicale plus imposant du côté de la haute fonction publique - même en fin de semaine, on s'affairait à ce sujet au Conseil exécutif, le ministère du premier ministre. «Québec traîne les pieds» Le gouvernement annoncera le remplacement, par intérim, de M. Lefebvre par un haut fonctionnaire. Depuis des semaines, Québec coupait l'oxygène à l'organisme chargé de préparer les partenariats. L'indécision du gouvernement se manifeste de bien des manières. La moitié du conseil d'administration est parti sans être remplacé - le président du conseil, Claude Garcia, est parti depuis mars -, le sous-ministre des Transports, Denis Jean, assume l'intérim depuis. Pour l'économiste de CIRANO, Marcel Boyer, membre du conseil de l'agence, «le gouvernement traîne les pieds dans ces dossiers. Il y a beaucoup de rumeurs... je pourrai commenter dans quelques jours». «Je suis déçu. Les PPP ont leur place même s'il y a une forte opposition au Québec, ce sont des arguments qui ne tiennent pas la route. L'opposition aux PPP vient en général de gens dont la compétence n'est pas étincelante. Ce n'est pas parce qu'on dit quatre fois la même chose que cela devient vrai pour autant», de conclure l'économiste. Aussi, des postes de cadres à l'Agence ont été annoncés, mais n'ont jamais eu le feu vert pour être comblés.
  19. Langues officielles: Fraser exige un plus grand leadership du fédéral REUTERS Louis Lafortune La Presse Canadienne Quarante ans après l'adoption de la Loi sur les langues officielles, les Canadiens ont toujours beaucoup de difficulté à se faire servir dans les deux langues, surtout les francophones hors-Québec. «L'arbre a été planté, mais seulement quelques fruits sont mûrs», a déclaré mardi matin le commissaire aux langues officielles du Canada, Graham Fraser, lors du dépôt de son rapport annuel. M. Fraser demande au gouvernement conservateur d'«exercer un plus grand leadership» afin d'assurer des services bilingues lors des Jeux olympiques d'hiver de Vancouver en 2010. M. Fraser dénonce l'appui timide du gouvernement de Stephen Harper à la dualité linguistique au Canada. Il cite la Feuille de route 2008-2013 dévoilée l'an dernier par l'ex-ministre de Patrimoine canadien, Josée Verner, qui «ne soutient pas le développement des communautés de langue officielle autant qu'il serait souhaitable». Cette feuille de route est venue remplacer le Plan d'action sur les langues officielles qui venait à échéance l'été dernier. Or, les organismes qui défendent les droits linguistiques au pays n'ont pas encore reçu les sommes promises pour leur financement. «Les sommes annoncées en juin 2008 ne suffiront pas à répondre à l'ensemble des besions des communautés pour leur permettre de faire face aux défis d'ici 2013.» Ce plan d'action du gouvernement Harper ne définit pas non plus de «cibles précises pour guider les institutions fédérales dans leurs interventions», ajoute M. Fraser. Améliorations dans la fonction publique Comme il l'a déjà fait dans ses rapports précédents, Graham Fraser note certaines améliorations au niveau de la fonction publique. Il félicite notamment les services billingues offerts à la Société du Musée canadien des civilisations, à la Commission de la capitale nationale, à la Commission canadienne du tourisme et au Centre national des Arts. Toutefois, l'appareil fédéral a encore du chemin à faire. «En plein contexte de renouvellement de la fonction publique, il faut répéter haut et fort le message que le français et l'anglais ont tous deux leur place comme langues de travail dans les insitutions fédérales et que le bilinguisme est une composante essentielle du leadership», écrit le commissaire aux langues officielles. Graham Fraser annonce qu'il entreprendra cette année une étude sur le leadership dans la fonction publique bilingue. D'autre part, il note encore une fois des lacunes dans les services offerts par le transporteur aérien Air Canada. Il demande au ministre des Transports de déposer un projet de loi qui aurait pour but «la protection et le maintien des droits linguistiques du public voyageur et du personnel d'Air Canada.»
  20. Selon le Washington Post, le plan de restructuration de GM, qui a déjà reçu 15,4G$US en aide publique, prévoit que de moins en moins de véhicules vendus sur le marché américain seront fabriqués aux États-Unis. Pour en lire plus...
  21. Des représentants de syndicats sont convoqués à une réunion avec le premier ministre Shawn Graham pendant qu'une source gouvernementale signale que le budget comprendra un déficit et d'importantes compressions dans la fonction publique. Pour en lire plus...
  22. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/200901/25/01-820797-des-contraventions-pour-les-insultes.php «Cochon», «poulet», «mangeux d'beignes»... Les Montréalais pourraient devoir y penser à deux fois avant d'insulter un policier. La Ville étudie la possibilité de sanctionner les injures adressées à ses agents de la paix. Comme il l'a annoncé à la mi-janvier, le conseil municipal doit aussi entériner demain soir une décision pour interdire le port d'un masque pendant les manifestations. De plus, La Presse a appris que la police de Montréal caresse l'idée de remettre des contraventions aux citoyens qui les insultent. Le contentieux de la Ville vérifie actuellement si ce règlement, en vigueur dans d'autres villes du Québec, serait applicable dans la métropole. «Le comité exécutif et nos avocats ont eu une première rencontre à ce sujet en novembre et doivent se rencontrer de nouveau en mars pour faire le point», a indiqué l'inspecteur-chef Paul Chablo, chef de la division des communications au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Au terme de l'analyse juridique, l'administration municipale décidera si elle souhaite modifier le Règlement sur la prévention des troubles de la paix, de la sécurité et de l'ordre publics. Le responsable de la sécurité publique au comité exécutif de Montréal, Claude Dauphin, se dit «sensible» à la question des insultes, mais n'a pas souhaité commenter davantage. «Nous en discuterons sous peu à la Commission de la sécurité publique, a-t-il dit. Il faut suivre toutes les étapes.» «Une notion de respect» La Fraternité des policiers et policières de Montréal a été la première à proposer à la Ville de sanctionner les insultes et injures à l'égard des policiers, selon son président, Yves Francoeur. Le syndicat en fait la demande depuis 2003. «Le but est d'inculquer la notion de respect envers les policiers, une notion qui se perd à Montréal», a affirmé M. Francoeur, en entrevue avec La Presse. Un règlement similaire est déjà en vigueur à Québec, à Sherbrooke et à Trois-Rivières. À Montréal, cela faciliterait le travail des policiers à la sortie des bars, estime le président du syndicat. «Le service de police est obligé d'envoyer des effectifs très importants boulevard Saint-Laurent. Or, si les policiers pouvaient remettre des contraventions à ceux qui les insultent, ça calmerait les ardeurs et ça empêcherait la situation de dégénérer.» Selon M. Francoeur, «il n'y a jamais eu autant de policiers intimidés, victimes de voies de fait et encerclés que depuis deux ans.» Manifestants masqués La Fraternité est également l'instigatrice d'un règlement qui doit être entériné demain soir au conseil municipal. La Ville veut interdire le port de cagoules et le recours à tout autre moyen de se masquer le visage dans les manifestations publiques. Le règlement serait adopté fin février. Le syndicat a formulé sa première demande au tournant des années 2000 après une violente manifestation dans les rues de Montréal. Un policier avait perdu l'usage d'un oeil après avoir reçu un projectile lancé par un manifestant cagoulé. «Logique et bon sens» «À ce moment-là, on n'avait aucun règlement pour intervenir avant que ça dégénère», a indiqué Yves Francoeur, qui souligne que les policiers de Québec bénéficiaient d'un tel pouvoir. En effet, le Règlement pour le bon ordre et la paix dans la Cité de Québec, adopté en 1865, interdit le port d'un masque sur la place publique. La direction du SPVM assure que, si le conseil municipal entérine la décision, les policiers appliqueront leur nouveau pouvoir «avec logique et bon sens». «Les manifestants qui se couvrent le visage d'un foulard en hiver ou qui revêtent un masque de politicien ne représentent aucun risque, a précisé Paul Chablo. À l'opposé, les gens qui portent un masque à gaz sont susceptibles de recevoir une contravention.»
  23. Le président élu des Etats-Unis Barack Obama a déclaré dimanche à Chicago (Illinois, nord) que les patrons de l'automobile devaient choisir entre changer leur méthodes s'ils veulent bénéficier d'une aide publique, ou bien démissionner. Pour en lire plus...
  24. L'industrie automobile de l'Ontario va perdre de son ampleur et d'autres d'emplois vont disparaître même si les constructeurs en difficulté reçoivent de l'aide publique, a affirmé le premier ministre de la province. Pour en lire plus...
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