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  1. Une autre perte pour Sainte-Catherine Ouest. Source: Montréal Express Le siège social d’Astral Media, qui se trouve actuellement au 2100 Sainte-Catherine Ouest, déménagera lundi prochain au 1800, avenue McGill College. L’édifice, qui s’appelle actuellement la Place Montréal-Trust, aura désormais pour nom Maison Astral. Ce changement de nom n’affecte toutefois pas la portion centre commercial du bâtiment. La tour à bureaux, qui compte 30 étages, accueillera 400 des 2800 employés de l’entreprise. On ignore ce qui adviendra du 2100 Saint-Catherine Ouest, une propriété du Collège Lasalle.
  2. https://www.lesaffaires.com/blogues/julien-brault/le-mastodonte-americain-wework-occupera-deux-etages-de-la-place-ville-marie/585794
  3. le jeudi 22 novembre 2007 L'Université du Québec à Montréal (UQAM), dans le cadre de son plan de redressement financier, serait sur le point de vendre la Bibliothèque Saint-Sulpice, selon Le Devoir. Un groupe d'acheteurs aurait déposé une offre d'achat d'environ 4 millions de dollars, le 13 novembre dernier, pour mettre la main sur le bâtiment historique du Quartier latin. L'UQAM avait acquis le bâtiment il y a deux ans. Le groupe d'investisseur souhaite y implanter une librairie dont la bannière demeure toutefois inconnue. La transaction est toutefois conditionnelle à l'accord du bureau des gouverneurs de l'Université du Québec et à l'approbation du ministère de la Culture du Québec. Ce dernier pourrait se prévaloir de son droit de premier acheteur en raison de la valeur patrimoniale de l'édifice. Le bureau des gouverneurs de l'UQ se réunit le 12 décembre prochain pendant que le ministère de la Culture a jusqu'à la fin de l'année pour se prononcer. Le groupe d'acheteurs représenterait des intérêts québécois autres qu'Archambault et Renaud-Bray. Construit en 1914, l'édifice a été classé monument historique en 1988. Le plan de redressement de l'UQAM prévoit l'économie de 155 millions de dollars, notamment par la vente de plusieurs immeubles de son parc immobilier. L'UQAM s'est déjà départi de l'édifice La Patrie, l'ancien pavillon des Sciences et le 221-223 Sainte-Catherine est. Elle pourrait encore liquider le Domaine seigneurial de Mascouche et l'auberge La Huardière de Saint-Michel-des-Saints. L'aventure immobilière de l'UQAM a provoqué un gouffre financier de 300 millions de dollars.
  4. Il fut à un certain moment considéré par Cadillac Fairview de construire une seule tour de plus de 200m. sur le site du 750 Peel. Ce projet ne passa toutefois pas au-delà de la phase préliminaire. Le plus récent projet proposé est maintenant celui-ci : http://mtlurb.com/forums/showthread.php/22270
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/548005/des-oeuvres-dart-que-vous-ne-verrez-jamais/
  6. Un hôtel Jaro dans le Vieux-Montréal 14 septembre 2007 - 08h27 LaPresseAffaires.com Grossir caractèreImprimerEnvoyer La chaîne hôtelière Jaro prend pied dans le Vieux-Montréal, arrêtant son choix sur un ancien stationnement situé à l'angle des rues Notre-Dame et St-François Xavier. C'est du moins ce que rapporte The Gazette dans son édition de vendredi. La compagnie de Sainte-Foy, fondée par Jacques Robitaille, a confirmé au quotidien son intention de bâtir un hôtel de 300 chambres sur 10 étages. Toutefois, une demande de permis de développement n'aurait pas encore été faite auprès de la ville de Montréal alors que le terrain devait devenir le site d'un édifice à condos. À l'heure actuelle, Jaro compte six hôtels pour plus de 1000 chambres dans la région de Québec et elle planifierait d'ouvrir un autre établissement dans le Vieux-Québec. Récemment, un autre acteur a annoncé son intention de s'installer dans le Vieux-Montréal en transformant une ancienne succursale de la Banque Royale, sur la rue St-Jacques, en un hôtel de 130 chambres.
  7. Finances: Montréal grimpe encore en grade Publié le 25 mars 2013 à 12h17 | Mis à jour à 12h17 La réputation de Montréal comme place financière grimpe encore d'un cran dans le classement des «centres financiers mondiaux» réalisé par une firme spécialisée de Londres, et dont les résultats sont discutés ce midi lors d'une conférence du CORIM. (Conseil de relations internationales de Montréal) Montréal se classe maintenant au 16e rang parmi les principales villes d'activités financières dans le monde. C'est un rang de mieux que le classement de l'an dernier, mais aussi neuf de mieux qu'il y a six ans. Toutefois, selon le principal auteur du classement, Mark Yeandle, directeur du Z/yen Group de Londres, le progrès de Montréal risque de stagner si la métropole québécoise n'y met pas plus d'efforts ciblés de coordination et de promotion. En fait, Montréal subit encore un «déficit de réputation» au niveau international, en dépit de ses avantages concrets comme ville financière d'envergure intermédiaire, a expliqué M. Yeandle en entrevue avec La Presse Affaires, ce matin. «Les attributs du secteur financier à Montréal demeurent sous-estimés et méconnus dans le milieu de la finance internationale. C'est une question de moyens de promotion, mais aussi des choix que Montréal doit faire et promouvoir envers les types de services financiers où elle a de vrais avantages concurrentiels, a expliqué Mark Yeandle. «C'est inutile de chercher à rivaliser des gros centres financiers comme Londres, New York et même Toronto, qui font partie du top-10 mondial. À mon avis, Montréal devrait cibler les secteurs où elle a déjà le plus de capacités. La gestion d'avoirs financiers, par exemple, où Montréal pourrait même concurrencer des pays comme la Suisse, qui perd peu à peu son avantage du secret bancaire.» Dans le secteur des produits dérivés, ajoute M. Yeandle, la spécialisation de la Bourse de Montréal est porteuse d'un bon potentiel alors que ce marché migre de plus en plus des transactions privées (au comptoir) vers des marchés mieux supervisés et plus transparents. Un bémol, toutefois. «La spécialisation des produits dérivés requiert un bon mélange de talents en finances, mais aussi en technologies. C'est très différent des talents requis en gestion d'avoirs », souligne Mark Yeandle, ce qui suggère un défi additionnel de gestion pour les principaux intervenants en finance à Montréal. Autres détails et commentaires dans le cahier Affaires de La Presse de mardi. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201303/25/01-4634540-finances-montreal-grimpe-encore-en-grade.php
  8. Ruelles vertes La nature reprend sa place Agence QMI Emmanuel Delacour 31/05/2012 19h35 MONTRÉAL – De petits trésors se cachent dans les ruelles du Plateau-Mont-Royal. Une agence de visites guidées à Montréal entreprend de dévoiler ces joyaux verdoyants méconnus. Lors des fins de semaine de juin, Ivan Drouin fera découvrir aux curieux quelques ruelles verdies par la Ville de Montréal et par ses citoyens. «C'est une exploration qui commence avec l'histoire urbaine de la métropole. J'explique aux gens comment l'aménagement des jardins et des ruelles a évolué depuis les maisons coloniales françaises, les manoirs anglais, et les habitations de l'époque industrielle», étale M. Drouin. À partir de ce petit retour en arrière les explorateurs des allées apprennent comment au fil du temps, la ruelle, qui était utilisée par divers services tels que les livreurs de charbon et les vendeurs de guenilles, perdra sa vocation pratique. Délaissée par les travailleurs, la ruelle a été quelque peu désertée au cours des années. Effet boule de neige Toutefois, depuis les années 1970 quelques citoyens ont décidé de faire tomber les palissades de leur cour arrière pour que la flore n'y soit plus restreinte, mais qu'elle s'étende à la ruelle. Ainsi, c'est un mouvement communautaire a pris naissance et a fait boule de neige dans les quartiers. «Quand les gens voient une belle ruelle verte, l'envie leur prend d'embellir à leur tour l'espace public. Bien évidemment, il faut des personnes précurseurs, prêtes à engendrer le mouvement, car c'est beaucoup de travail», explique M. Drouin. C'est en effet à la sueur de leur front que de simples citoyens entreprennent de transformer leur allée. Pour que l'arrondissement s'implique, il faut souvent que deux propriétaires proposent le projet en passant par leur écoquartier. L'arrondissement demande parfois un accord signé de 60 % jusqu'à 90 % des propriétaires des bâtiments de la ruelle concernée. «Il faut un plan d'aménagement, un échéancier, une coupe du béton. Le processus prend deux années au minimum. Et une fois que tout cela est fait, ce n'est pas fini, il faut qu'un comité de ruelle s'occupe de son entretien», souligne M. Drouin. Les réseaux sociaux ont toutefois facilité le processus, puisqu'un simple clic sur Facebook permet désormais aux membres de ces regroupements de savoir quand se feront la prochaine semaison ou les grandes périodes d'arrosage. C'est avec des essais et des erreurs que ceux-ci ont parfois transformé leur allée bétonnée en véritable chemin à faire rougir de jalousie les vallons irlandais. Meilleure qualité de vie Au-delà de l'aspect esthétique, ces ruelles aménagées semblent améliorer la qualité de vie des résidents. «Quand elles sont propres et verdies, les automobilistes sont moins tentés à passer dans les ruelles, ce qui diminue la circulation et le bruit. De plus, il y a moins de criminalité, moins de gens qui consomment de la drogue le soir, parce qu'ils constatent que les résidents surveillent et tiennent à leur petit passage», affirme M. Drouin. Plus d'information sur les visites des ruelles vertes du Plateau-Mont-Royal est disponible sur le site tourskaleidoscope.com.
  9. Cette année, Tourisme Montréal souhaite attirer les visiteurs... par le ventre! L'organisme a même financé un encart de 22 pages dont plusieurs seront consacrées aux restaurants de la métropole, qui paraîtra dans le numéro de juin du National Geographic Traveler. Cet encart - écrit par les journalistes du magazine - se retrouvera aussi dans le quotidien Toronto Star ainsi que dans le magazine Food and Drink. Impossible toutefois d'avoir un avant-goût des tables montréalaises qui voleront la vedette. Tourisme Montréal a suggéré une liste de restaurants aux reporters du National Geographic Traveler, mais l'organisme ignore lesquels ont réussi à séduire leurs papilles. Toutefois, selon nos sources, les photographes du magazine se seraient notamment présentés aux 400 Coups, dans le Vieux-Montréal... Chose certaine, Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, est convaincu que cette campagne saura mettre les gourmets en appétit. À la suite de la publication du cahier, une tournée du Montréal gastronomique sera également organisée pour des journalistes américains et canadiens. «Il y a 10 ans, les gens venaient ici surtout pour l'histoire, pour le fait français, explique Charles Lapointe. Mais depuis cinq ans, dans les éléments qui attirent les touristes, la gastronomie arrive à égalité avec l'attrait historique.» Simple effet de mode? Selon lui, Montréal est beaucoup plus qu'un simple effet de mode et jouit toujours d'une réputation enviable sur la scène gastronomique internationale. «En 2011, une centaine d'articles ont été écrits dans 12 pays sur la cuisine montréalaise, sur les restos de quartier.» Et la métropole figure au palmarès des 10 villes du monde où l'on mange le mieux, selon le guide touristique Frommer's. Quelques chiffres Prix moyen d'un repas (entrée, plat, dessert) Montréal 43$ Paris 51$ Barcelone 61$ Tokyo 91$ Les touristes ont dépensé 503 millions de dollars dans les restaurants montréalais en 2008. http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/restaurants/201204/13/01-4515151-montreal-une-destination-gastronomique.php
  10. Déjà une facture de 4 millions $ L’annulation du contrat va coûter cher aux Montréalais Agence QMI Julie Charette 23/09/2009 20h16 Avant même la présentation par le consortium GÉNIeau de la note finale pour l'annulation du contrat des compteurs d'eau, la Ville de Montréal devra d'ores et déjà débourser près de 4 millions $. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a fait rouler hier deux têtes après l'annulation du contrat de 356 millions$, une décision qui coûtera à elle seule près de 427 000$ à la Ville. Les contrats de travail du directeur général, Claude Léger, et du directeur des affaires corporatives, Robert de Linval, ont ainsi été immédiatement résilié. Ces deux cadres auront toutefois droit à des indemnités de départ correspondant à 12 mois de salaire. Claude Léger touchera donc 244 494$ tandis que Robert de Linval empochera 182 070$ pour un total de 426 564$. Pénalité de 3,5 millions $ À ce montant de 426 564$, il faut aussi ajouter une pénalité de 1% en cas d’annulation, soit 3,5 millions$, incluse dans le contrat avec GÉNIeau. La Ville devra aussi vraisemblablement payer pour certains des travaux déjà réalisés par GÉNIeau. Le consortium a d’ailleurs indiqué mardi par voie de communiqué mardi qu’il évaluera dans les prochaines semaines «les conséquences financières qui résulteront de la terminaison du contrat». Nouvelle directrice générale Dans la foulée du départ de Claude Léger, le maire Tremblay a confié à la directrice générale adjointe, Rachel Laperrière, le poste de directrice générale par intérim. Le Service du capital humain de la Ville a déjà été chargé de pourvoir aux postes de directeur général et de directeur des affaires corporatives. Le poste de directeur général doit toutefois être entériné par le conseil municipal. Première femme directrice générale de la Ville de Montréal, Rachel Laperrière était auparavant responsable des parcs, des loisirs, des espaces verts, du Biodôme et du Jardin botanique.
  11. Publié le 20 juillet 2009 à 06h44 | Mis à jour le 20 juillet 2009 à 06h45 Percées de soleil, risques d'orages Sur le front de l'économie, les nouvelles encourageantes se succèdent. Aux États-Unis, les géants financiers Goldman Sachs et JPMorgan Chase ont rapporté de spectaculaires profits pour le deuxième trimestre de l'année. En Chine, la croissance a été de 7,9% au cours des trois derniers mois, ce qui laisse penser que l'Empire du Milieu atteindra son objectif de 8% pour l'année. Selon les experts consultés par Bloomberg, les ventes de maisons chez nos voisins du Sud devraient avoir atteint en juin leur plus haut niveau depuis octobre 2008. Et pour la première fois, l'administration Obama fait publiquement preuve d'optimisme: le secrétaire au Trésor, Tim Geithner, a parlé jeudi dernier d'«importants signes de reprise». Bref, le pire semble passé. Toutefois, l'économie américaine (et donc l'économie mondiale) reste exposée à des risques considérables. Et avant que la reprise ne s'installe pour de bon, beaucoup de gens vont perdre leur emploi, ou leur maison, ou les deux. Malgré son bénéfice de 3,4 milliards de dollars américains au second trimestre, la situation de JPMorgan Chase révèle à quel point l'économie américaine reste fragile. La banque a fait son argent dans le secteur de l'investissement. Au chapitre du crédit à la consommation et des prêts hypothécaires, par contre, elle a subi des pertes importantes. Le crédit personnel a aussi plombé les résultats de la Bank of America. Ainsi, sa division de cartes de crédit a perdu 1,6 milliard au cours du deuxième trimestre. Enfin, le groupe financier CIT, important prêteur aux PME, se retrouve au bord de la faillite. On peut toutefois voir comme un signe encourageant le fait que les Bourses n'ont pas paniqué devant cette perspective et que Washington a refusé de venir en aide à CIT. De toute évidence, on estime que l'économie est désormais assez solide pour résister à la faillite d'un acteur de moyenne importance. L'envers de cette stabilisation, c'est que les mauvaises habitudes semblent revenir au galop. En vertu de son système de rémunération, Goldman Sachs pourrait verser une moyenne de 770 000$ à chacun de ses 29 000 employés en 2009. Les plus hauts dirigeants recevront des dizaines de millions. Ne s'agit-il pas du genre de pratiques qui ont poussé les banquiers à prendre des risques excessifs dans le passé? Avec la confiance qui revient, le secteur financier relève la tête et combat plus férocement les nouveaux contrôles envisagés par les gouvernements. La semaine dernière, le patron de JPMorgan a averti l'administration Obama que la réglementation plus sévère imposée aux émetteurs de cartes de crédit nuira considérablement à ce secteur déjà en difficulté. Les gouvernements doivent certes se garder d'aller trop loin. Mais après ce qui s'est passé depuis un an, le secteur financier ne peut pas espérer qu'on lui fasse aveuglément confiance. Souhaitons par ailleurs que les petits investisseurs aient appris de la crise que, peu importe la sévérité des règlements, ils sont les premiers responsables de la protection de leurs avoirs. Il leur faut s'informer, diversifier leurs placements, épargner, ne s'endetter qu'avec prudence. Et surtout, se tenir loin de ceux qui leur promettent des rendements miraculeux. apratte@lapresse.ca
  12. Le ministre des Finances du Manitoba dépose le 10e budget du gouvernement de Gary Doer sur fond de crise économique. L'équilibre budgétaire est toutefois maintenu. Pour en lire plus...
  13. Le Canadien s’implante à Brossard Cyberpresse, PC Les joueurs du Canadien s’entraîneront sous peu de façon permanente dans complexe spécialement aménagé pour l’équipe à Brossard, sur la rive sud de Montréal. Le président du Canadien, Pierre Boivin, en fera l’annonce ce midi, en compagnie du maire de Brossard, Jean-Marc Pelletier. Il s’agit pour le Tricolore de faciliter le quotidien des joueurs et de son personnel de soutien. Les bureaux de l'équipe demeureraient toutefois au Centre Bell, dans le centre-ville de Montréal. En raison de la forte utilisation du Centre Bell, le Canadien doit fréquenter d’autres sites d'entraînement : l'Aréna Martin-Lapointe, dans l'arrondissement Lachine, les Complexes Quatre-Glaces de Brossard et Pierrefonds ainsi que l'Auditorium de Verdun.
  14. Le Conseil de l'industrie forestière du Québec (CIFQ) qualifie de bon augure l'ouverture d'esprit du président américain. Le CIFQ demeure toutefois prudent quant à la suite des choses. Pour en lire plus...
  15. La NCAA au lieu de la LHJMQ à Blainville? (Corus Sports)- Le projet d'une équipe de la LHJMQ sur la couronne nord de l'île de Montréal n'est peut-être pas mort, mais le droit de veto du Junior l'a considérablement affaibli la semaine dernière. Qu'à cela ne tienne, le maire de Blainville François Cantin songe déjà à un plan B : la NCAA. Il donne toutefois encore tout son appui au projet mené par Joël Bouchard, visant à amener une 2e formation du circuit Courteau dans la région de Montréal. Le propriétaire du Junior de Montréal, Farrell Miller, a toutefois assené un solide uppercut au dossier la semaine dernière, en appliquant son droit de veto quant à l'implantation d'une seconde franchise dans un rayon de 40 kilomètres. «J'aimerais voir une équipe forte, que ce soit la LHJMQ ou la NCAA,» a reconnu le maire de Blainville. Actuellement, aucune formation de la NCAA n'a pied à terre au Canada. Plusieurs universités de l'Ouest canadien tentent toutefois depuis quelques années de joindre les rangs sportifs collégiaux américains. «Ce genre d'équipe là chez nous, avec le côté scolaire priorisé malgré que ce soit du sport d'élite, c'est certain que ça nous sourit. Mais je ne suis pas en train de vous dire que le junior majeur ne serait pas une bonne idée aussi.» En division I, la plus forte, les équipes ne disputent que 28 parties au cours de la saison comparativement à 70 dans le hockey junior majeur québécois. M. Cantin y voit une opportunité d'inciter les jeunes à poursuivre leurs études, tout en pratiquant un sport d'élite. «Si ça peut créer un espace qui accroche les jeunes à leur sport, c'est merveilleux.» Écoutez le maire de Blainville François Cantin via l'extrait audio ci-joint. Il discute également de la candidature de sa ville pour l'obtention des Jeux du Canada en 2013. Frédéric Bhérer / Corus Sports
  16. La BMO abandonne ses satellites Mise à jour le dimanche 25 janvier 2009 à 18 h 21 BMO Groupe financier a décidé de procéder à des changements importants dans son offre de service. Une centaine de succursales satellites de la Banque de Montréal, offrant des services de base dans des magasins, fermeront ainsi leurs portes. La moitié de ces fermetures surviendront d'ici la fin avril, dont certaines dans la région de Montréal. Le porte-parole de BMO Groupe financier, Ronald Monet, a affirmé à la télévision de Radio-Canada que le processus de fermeture s'échelonnerait jusqu'en 2012. Plus de 350 employés seront touchés, et la plupart devraient être mutés dans une autre succursale de la BMO. Toutefois, la banque ne peut garantir que tous ces emplois seront préservés, et précise que certains employés devront être flexibles et accepter un déménagement dans une succursale qui ne sera pas dans les environs immédiats de leur ancien lieu de travail. Les succursales en magasins de la Banque de Montréal comptent un ou deux employés, offrent des services bancaires de base et ont des heures d'ouverture plus longues que dans les grandes succursales offrant tous les services. Selon BMO Groupe financier, des sondages menés auprès de la clientèle ont montré qu'elle préférait bénéficier d'une offre de services complète, sous un même toit. Cela aurait donc sonné le glas des petites succursales. Le professeur adjoint en affaires publiques et internationales Patrick Leblond, de l'Université d'Ottawa, estime toutefois que la situation économique a certainement joué un rôle dans la décision de la BMO. La semaine dernière, l'institution financière a également annoncé qu'elle resserrait ses règles de crédit, malgré la baisse du taux directeur de la Banque du Canada. La BMO affirme que ses coûts de financement ont connu une hausse
  17. Le port de Sept-Îles a connu une hausse de 6 % des transbordements au cours de la dernière année. Toutefois, les perspectives de croissance s'annoncent moins bonnes en 2009. Pour en lire plus...
  18. Il s'agirait d'emplois contractuels. Ces suppressions auraient été effectuées depuis le mois d'octobre. La compagnie refuse toutefois de commenter. Pour en lire plus...
  19. Montréal Un homme armé à l'UQAM? Mise à jour : 11/12/2008 14h38 Un homme armé aurait été aperçu à l'Université du Québec à Montréal. Des coups de feu et des détonations auraient été entendus par des témoins. Personne n'aurait été blessé. Les policiers ne peuvent toutefois confirmer que des coups de feu ont été tirés. Un grand nombre de policiers est déployé au coin des rues René-Lévesque et Saint-Denis. D'autres détails suivront.
  20. Lundi, la Banque du Canada a abaissé à un niveau jamais vu en 50 ans son taux directeur, une baisse qui n'a toutefois pas eu un écho immédiat du côté des grandes banques du pays. Lisez la chronique de Nicolas Duguay sur le sujet. Pour en lire plus...
  21. Chute des ventes résidentielles à Montréal 9 décembre 2008 - 10h06 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Montréal n’échappe plus au ralentissement immobilier observé partout au Canada et aux États-Unis. Lors du mois dernier, les ventes résidentielles ont chuté de 31% en comparaison avec celles de novembre 2007. Sur l’année, les chiffres pointent également vers le bas. Les ventes de propriétés sont en recul de 6% face aux résultats de l’année passée. C’est ce qu’indique la Chambre immobilière du Grand Montréal qui a publié ses statistiques, mardi matin. Durant la même période, le prix médian des maisons unifamiliales a grimpé de 3%. Au cours des 11 premiers mois de l’année, la hausse est de 6%. C’est donc dire que le marché immobilier montréalais demeure solide. «Le marché immobilier à Montréal s’est plutôt bien comporté cette année, surtout lorsqu’on considère que les prix sont en hausse et que les ventes sont comparées à celle de 2007, l’année qui a battu tous les records de ventes», a indiqué le chef de la direction de la Chambre, Michel Beauséjour. Selon la Chambre, le marché montréalais n’est toutefois «pas immunisée contre les incertitudes économiques auxquelles les consommateurs font face». Toutefois, comme elle le souligne, Montréalais subit moins de secousses que les autres grands marchés canadiens. Alors que les ventes de maisons unifamiliales ont diminué jusqu’à 37% dans des marchés comme Toronto, Calgary et Vancouver, la baisse n’a été que de 9% dans la Métropole québécoise. Selon la Chambre, les taux d'intérêt, la faible création d'emplois et la chute de la confiance des consommateurs font mal au marché immobilier.
  22. La Nationale supprime 400 postes à son siège social 27 novembre 2008 - 15h35 Presse Canadienne La Banque Nationale (NA) a indiqué jeudi qu'elle allait supprimer 400 postes à son siège social dans le cadre de sa restructuration amorcée en septembre. L'institution financière soutient toutefois qu'au bout de 24 mois, l'opération sera neutre grâce à la création de nouveaux emplois dans les succursales.
  23. L'institution financière soutient toutefois qu'au bout de 24 mois, l'opération sera neutre grâce à la création de nouveaux emplois dans les succursales. Pour en lire plus...
  24. Le Québec résistera toutefois mieux que l'Ontario aux difficiles conditions économiques. C'est ce qu'affirme le Mouvement des caisses Desjardins. Pour en lire plus...
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