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  1. La saison estivale 2010, de mai à septembre, peut être qualifiée d'excellente pour l'ensemble de l'industrie touristique montréalaise. En effet, les dernières analyses font état d'une augmentation de plus de 13 % du nombre de chambres d'hôtel vendues durant l'été 2010, comparativement à celui de 2009. Le prix des chambres a quant à lui augmenté d'environ 6,8 % pour l'été. Plusieurs facteurs expliquent l'accroissement du nombre de visiteurs dans la métropole cette année, notamment le retour du Grand Prix de Formule 1 du Canada et la stabilisation de l'économie mondiale. Mais les efforts considérables déployés par les intervenants touristiques pour promouvoir Montréal à titre de destination dynamique et le travail des professionnels de l'industrie des congrès pour attirer des réunions d'affaires d'envergure dans la ville ont aussi porté fruit. « L'année 2009, qui avait si cruellement frappé notre industrie, est désormais chose du passé et nous ne pouvons que nous réjouir des excellents résultats de l'été 2010 », mentionne le président-directeur général de Tourisme Montréal, l'honorable Charles Lapointe. « La rapidité avec laquelle nous avons réagi pour contrer à la fois la conjoncture économique maussade de l'an dernier, l'entrée en vigueur du passeport obligatoire pour nos voisins américains désireux de séjourner au Canada et la restriction de visa pour les voyageurs mexicains, a permis à Montréal de tirer son épingle du jeu dans un contexte où la concurrence est extrêmement féroce entre les villes. Grâce, entre autres, au travail acharné et à l'expertise des équipes de Tourisme Montréal comme des artisans de l'industrie, la métropole a pu se démarquer des autres destinations et attirer un nombre record de visiteurs, qu'il s'agisse de séjours d'agrément ou de congrès, et je tiens à dire merci à tous ceux et celles qui ont contribué à ce succès », de conclure Charles Lapointe. Un des défis pour les prochaines années sera de continuer à combler les quelque 5 000 chambres d'hôtel ajoutées depuis une décennie, principalement dans le créneau de qualité supérieure. Le parc immobilier du Grand Montréal compte aujourd'hui plus de 31 000 chambres. Ces récents investissements majeurs montrent que Montréal se démarque avec une offre qui se renouvelle, ce qui entraîne des répercussions positives sur l'expérience touristique des visiteurs internationaux. Une vision et une stratégie proactives pour conserver l'élan La stratégie de développement et de commercialisation de la destination, amorcée l'an dernier, se poursuit afin de conserver les acquis de Montréal sur la scène mondiale avec notamment la mise sur pied, dans les prochains jours, d'une démarche stratégique proactive. Tourisme Montréal a remis le mandat entre les mains de l'un des conseillers en stratégie les plus respectés de Montréal, M. Marcel Côté, associé-fondateur du groupe Secor. Dès la semaine prochaine, un sondage sera réalisé auprès des membres de l'organisation et une consultation effectuée auprès de leaders de l'industrie touristique montréalaise et québécoise. Cette nouvelle démarche permettra de trouver des avenues novatrices pour Tourisme Montréal en marketing, en vente et en développement de produits. Elle s'inscrit aussi dans la mission de l'organisation d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion, d'accueil et de positionnement de la destination auprès des marchés de voyages d'affaires et d'agrément. Montréal reçoit annuellement quelque 7,5 millions de touristes, tous séjours confondus, dont les dépenses touristiques représentent 2,5 milliards de dollars. Bilan saison touristique 2010 à Montréal : http://www.octgm.com/pdf/bilan-touristique-ete-2010.pdf http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1157&lang=fr
  2. et j'ai nommé les résidents du platô Hugo Fontaine La Presse Condos sur pilotis: la construction démarre, l'opposition renaît Mardi, un promoteur a officiellement conclu une transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue du Mont-Royal. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction d'un controversé projet de condos sur pilotis a débuté la semaine dernière au coeur du Plateau-Mont-Royal. Un chapitre de plus dans un feuilleton qui dure depuis sept ans. Mardi dernier, le promoteur a officiellement conclu la transaction de 1,25 million de dollars avec Stationnement de Montréal pour l'acquisition des droits aériens lui permettant de construire 98 condos par-dessus les terrains de stationnement situés rue Généreux, au nord de l'avenue Mont-Royal, entre les rues De Lanaudière et Marquette. L'arrondissement avait délivré les permis nécessaires en décembre. Vers la fin de la semaine, des pelles mécaniques sont apparues sur un des terrains pour casser l'asphalte. La construction démarre, sans qu'aucune affiche n'indique la nature des travaux. Ça ne fait pas le bonheur de tout le monde dans le Plateau. Au début des années 2000, près de 12 000 personnes avaient signé une pétition contre le projet. Laurent Imbault, qui a été le porte-parole d'une coalition de citoyens qui s'opposaient à l'arrivée de ces condos, dénonce aujourd'hui l'absence d'intervention des politiciens. «Au bout du compte, tout le monde a enterré cette histoire en s'imaginant que ça allait disparaître tout seul.» Les inquiétudes des citoyens touchent principalement la question de la sécurité dans un stationnement recouvert et peu visible. La densification d'un quartier déjà dense est aussi une préoccupation. La Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, qui s'est toujours opposée au projet, annoncera aujourd'hui qu'elle interpelle le maire Gérald Tremblay et la mairesse d'arrondissement Helen Fotopulos. Une rencontre entre la Société et l'arrondissement est aussi prévue en après-midi. «On aurait espéré que le projet ne se fasse jamais, a précisé le directeur général de la Société, Michel Depatie. Mais il faut prendre le problème où il est rendu.» Un projet dans les règles Le porte-parole d'Helen Fotopulos, Marc Snyder, rappelle que la mairesse a fait connaître à plusieurs reprises son opinion très négative sur ce projet. "Mais à partir du moment où le projet respecte la réglementation de toutes les façons, l'administration est obligée d'émettre les permis", explique-t-il. "Nous avons été mis devant un fait accompli par Stationnement de Montréal", affirme Mme Fotopulos, qui n'a pas trouvé cela "très élégant". "Si le projet se fait, ma priorité est que le chantier soit exemplaire en termes d'impact sur le voisinage, les résidants et les activités commerciales", a ajouté la mairesse. En plus de causer un tollé chez les marchands et les citoyens, le projet, d'abord approuvé par l'administration Bourque en 2000, fait l'objet d'un bras de fer juridique entre le promoteur David Owen et la Ville. Des recours judiciaires sont toujours en cours, dont une poursuite de 5,7 millions en dommages et intérêts contre la Ville. La Cour supérieure a ordonné aux deux parties de tenir une conférence de règlement qui aura lieu en avril. Avec la collaboration de Catherine Handfield source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080331/CPACTUALITES/803310468/5077/CPACTUALITES ----------------- Let me in but don't let anybody else come after me... c'est exactement l'attitude des platôiste
  3. Les Cours Géorgiennes - Autant en emporte le vent, version Boucherville Le Devoir Émilie Corriveau Édition du samedi 23 et du dimanche 24 mai 2009 Mots clés : Boucherville, Cours Géorgiennes, Habitation, Québec (province) «On veut que l'endroit reste privé et paisible» Trois types de bâtiments d'inspiration historique constituent Les Cours Géorgiennes. Sur la photo, le modèle Colony. À la croisée des autoroutes 20 et 30, sur la rive sud de Montréal, se trouve la ville de Boucherville. Très prisée pour son caractère familial et son patrimoine historique, cette banlieue connaît depuis quelques années un important développement. C'est au coeur de l'un de ses nouveaux quartiers que sont construites Les Cours Géorgiennes, un projet domiciliaire conjuguant architecture contemporaine et inspiration néoclassique. À deux pas du Carrefour de la Rive-Sud (Ikea), à quelques minutes à peine du pont-tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine, se déploie depuis septembre 2008 le plus récent projet du promoteur Les Habitations Signature Inc. D'une valeur de 125 millions de dollars, le concept comprend 74 bâtiments de trois niveaux, lesquels renferment un total de 592 unités de logement haut de gamme en copropriété. «Nous privilégions toujours un type d'aménagement intégré, plutôt que de construire de grands complexes d'appartements. Pour nous, la qualité de vie est très importante, et nous souhaitons que les acheteurs se sentent réellement chez eux. C'est pour cette raison, par exemple, qu'il n'y a pas de route qui passe à travers le projet. On veut que l'endroit reste privé et paisible. C'est vraiment une question de tranquillité et d'intimité», affirme Gilbert Gagné, directeur principal des ventes chez Habitations Signature. Un peu d'histoire Trois types de bâtiments d'inspiration historique constituent Les Cours Géorgiennes. Nommés Régence, Colony et Les Bourgs, ces bâtiments se caractérisent par une architecture à la fois contemporaine et néoclassique. Les colonnes, les frontons, la fenestration généreuse, la symétrie des constructions et les proportions harmonieuses rappellent le style géorgien, alors que les matériaux choisis et les couleurs donnent un ton actuel à l'ensemble. «Nous travaillons toujours en suivant un thème, explique Michelle Gaston, directrice du marketing chez Les Habitations Signature. Cette fois, nous nous sommes inspirés du film Autant en emporte le vent et de l'architecture qu'on trouve en Géorgie. Les grands balcons, les colonnes, les vastes espaces et l'entrée majestueuse, ç'a été notre point de départ, ce qui a allumé notre flamme, du côté créatif!» Acheteurs variés Conçues pour plaire autant aux familles qu'aux célibataires et aux aînés, Les Cours Géorgiennes proposent 18 modèles de condominiums différents. Pour éviter les mauvaises surprises aux acheteurs et leur faciliter le choix, tous les types de logements peuvent être visités sur place. Chacun a été décoré et aménagé de façon distincte afin que soient mises en valeur les diverses options. De l'unité moderne, dans le genre loft, à l'appartement sur deux étages, beaucoup plus classique, tous peuvent trouver leur compte en matière de style. C'est ce que souligne Mme Gaston: «Nous avons tenté d'aménager les espaces pour qu'ils conviennent à des gens de tous âges et avec des goûts différents.» L'échelle des prix, établie entre 154 000 et 287 000 $, taxes incluses, séduit plusieurs portefeuilles. La majorité des unités étant disponibles entre 180 000 et 220 000 $, de nombreux clients peuvent se permettre ce genre d'achat. «Les Cours Géorgiennes sont un projet qui convient autant au premier acheteur qu'à la jeune famille, au couple plus âgé, aux célibataires ou aux retraités. Les clients ont en moyenne 38 ans, mais on trouve vraiment des acheteurs dans toutes les tranches d'âge. Dans chaque édifice, il y a des unités pour toutes les fourchettes de prix et tous les besoins», précise M. Gagné. Bien aménagé Situé sur un terrain de 1,9 million de pieds carrés, le projet domiciliaire est bordé au nord par le parc de la Futaie (aménagé en milieu naturel) et comprend plusieurs aires naturelles. Au coeur du projet se trouve un espace vert spécialement aménagé; les résidants pourront s'y promener et profiter de la nature comme bon leur semble. Construits à bonne distance les uns des autres, tous les immeubles sont entourés de verdure. La proximité des bâtisses étant raisonnable, voire enviable, les acheteurs n'ont pas l'impression de se trouver chez le voisin lorsqu'ils mettent le nez à la fenêtre. Fait intéressant, le promoteur a pensé à aménager des piscines creusées et chauffées entre les bâtiments. Celles-ci sont accessibles à tous les résidants. Livraison En construction depuis août 2008, les premiers condos des Cours Géorgiennes ont été livrés en décembre de la même année. Plus de 90 unités sont actuellement vendues, sur un total de 592. Le promoteur estime que les derniers condos devraient être prêts d'ici trois ans. «Nous sommes dans les temps et tout va pour le mieux», confirme M. Gagné. *** Collaboratrice du Devoir *** Fiche technique - Les Cours Géorgiennes - Promoteur: Les Habitations Signature Inc. - Situation géographique: Boucherville, près des autoroutes 20 et 30, à proximité du Carrefour de la Rive-Sud (Ikea) - Nombre d'habitations: 74 bâtiments de trois niveaux comprenant un total de 592 unités en copropriété - Trois concepts d'habitation: - Régence - Colony - Les Bourgs - Modèles: 18 modèles de condominium - Superficie des unités: de 894 à 1851 pieds carrés, sur un ou deux niveaux - Prix: de 154 000 $ à 287 800 $, taxes incluses, la majorité se situant entre 180 000 $ et 220 000 $ - Premiers condos livrés en décembre 2008 - Fenestration généreuse - Nombreux espaces verts et parc à proximité - Cour privée pour les condominiums du rez-de-chaussée dans tous les bâtiments - Garages: quelques espaces prévus à l'intérieur, parc de stationnement à l'extérieur - Piscines creusées et chauffées - Vastes balcons - Foyers et sorties (barbecue et cuisinière) au gaz naturel en option - Chauffe-eau au gaz naturel - Frais de notaire inclus si l'acheteur transige avec la banque du constructeur Pour plus de renseignements: http://www.habitations-signature.com http://www.ledevoir.com/2009/05/23/251695.html (25/5/2009 8H48)
  4. Montréal investit 25,2 M $ dans la réfection du boulevard Saint-Laurent Mardi 19 septembre 2006 (Plateau Mont-Royal) Bureau d'arrondissement du Plateau-Mont-Royal Montréal, le 18 septembre 2006 - M. Sammy Forcillo et M. André Lavallée, membres du comité exécutif de la Ville de Montréal, et Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, annoncent un investissement de 25,2 M $ dans la réalisation de la phase 2 du projet de réfection et de mise en valeur du boulevard Saint-Laurent. Il s'agit de travaux majeurs qui visent la section comprise entre la rue Sherbrooke et l'avenue du Mont-Royal. Ils s'inscrivent dans le concept prévu pour l'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre les rues de la Commune et Saint-Zotique. « Nous nous sommes engagés à revitaliser nos infrastructures vieillissantes à Montréal et c'est ce que nous sommes en train de réaliser. Pour le boulevard Saint-Laurent, nous allons restaurer ses infrastructures, égout, aqueduc, chaussée et trottoirs, et en même temps, nous allons mettre en valeur sa personnalité, rendre le boulevard Saint-Laurent plus sécuritaire et plus convivial pour les piétons. Nous prévoyons l'ajout d'aires de livraison et de débarcadères pour soutenir le caractère commercial du boulevard Saint-Laurent et alléger la circulation des véhicules automobiles », de déclarer M. Forcillo responsable des infrastructures et de la voirie au comité exécutif à la Ville de Montréal. Pour la Ville de Montréal, ce projet est un résultat tangible du partenariat avec le milieu, entrepris depuis 2003 et ce, particulièrement avec la Société de développement du boulevard St-Laurent (SDBSL). En fait, plusieurs organismes ont participé aux rencontres de concertation pour l'élaboration du concept d'aménagement retenu par la Ville. En ce qui a trait aux étapes de mise en œuvre de la phase 2, les nombreuses rencontres de travail avec la SDBSL ont fait en sorte que la Ville a réussi à réduire de presque la moitié le calendrier des travaux du projet, passant de 22 à 13 mois. « Ce tour de force est une démonstration éloquente de la collaboration étroite qui s'est établie entre la SDBSL et les intervenants de la Ville de Montréal », a ainsi déclaré M. Gordon Bernstein, président de la Société de développement du boulevard St-Laurent. « Le concept d'aménagement du boulevard Saint-Laurent entre le boulevard René-Lévesque et l'avenue Mont-Royal privilégie le confort, la sécurité des piétons et le transport alternatif par l'élargissement et le dégagement des trottoirs d'environ 75 cm chaque côté, l'ajout de quelque 60 arbres pour un meilleur couvert végétal, l'apport d'une soixantaine de lampadaires pour améliorer l'éclairage, l'ajout d'une dizaine d'aires de livraison et de débarcadères et d'une vingtaine de stationnements à vélos sur chaussée, ainsi que des descentes de trottoirs pour favoriser l'accessibilité universelle », de préciser André Lavallée, responsable du transport collectif et de l'aménagement urbain de la Ville de Montréal. Les travaux visent également à renforcer le caractère historique du lieu par un traitement symbolique des trottoirs représentant la mesure du temps et ainsi améliorer l'aspect visuel du boulevard en misant sur la qualité d'exécution. L'objectif est de maintenir la personnalité actuelle de la « Main » en misant sur le raffinement et la sobriété. Le concept d'aménagement urbain a été réalisé en collaboration avec les services municipaux, les arrondissements et la firme Schème, spécialisée en aménagement urbain et paysager et en architecture. Pour Mme Helen Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, le boulevard Saint-Laurent constitue le cœur de la Ville de Montréal. «J'ai souvent dit que le boulevard Saint-Laurent nous ressemble et nous rassemble. Il a été la voie d'accès de l'immigration et il demeure le lieu de convergence de plusieurs des cultures qui sont venues se greffer aux cultures francophone et anglophone pour façonner Montréal. Le plan de réaménagement annoncé aujourd'hui constitue plus qu'un symbole de ce que doit être et de ce que sera le Montréal de demain. Il éclate la frontière de jadis pour faire place à un axe de convergence des nouvelles valeurs qui doivent guider le développement harmonieux et durable de notre cité. C'est, bien sûr, un excellent projet pour le Plateau, mais c'est aussi un projet majeur pour Montréal», a declaré Mme. Fotopulos. Avec ses conseillers Isabel Dos Santos et Michel Prescott, elle convie les riverains, les citoyens de l'arrondissement et les montréalais intéressés, à une séance publique d'informations au Centre Ex-Centris, le jeudi 12 octobre prochain à 18h où le projet sera expliqué en détails. Source : Cabinet du maire et du comité exécutif
  5. Salut à tous, J'aimerais avoir votre opinion sur une idée que j'ai eu aujourd'hui. Outre vos commentaires sur l'idée elle-même, j'aimerais surtout avoir des suggestions quant à la stratégie à adopter afin de faire réaliser un tel projet (qui contacter, comment s'y prendre, etc.). Merci! --- Avec le développement du Quartier des Spectacles, et avec le Village gay et le secteur commercial le plus dense au Canada, la rue Ste-Catherine est certainement l'une des artères les plus intéressantes en Amérique du Nord. Elle pourrait peut-être même être considérée comme l'une des meilleures au monde... si ce n'était de ce no man's land, ce secteur dénué d'âme qui se siue entre Berri et St-Laurent, soit entre le Village et le Quartier des Spectacles. J'ai pensé à un concept de développement pour ce secteur, afin de le rendre attrayant. Il s'agirait d'un secteur de transition entre le Village et le QdS, qui aurait néanmoins une identité propre. Le concept que j'ai en tête est le suivant: le secteur serait divisé en trois zones/tronçons (voir le 2e fichier joint) ayant chacun un thème particulier. La première zone, qui ferait la transition avec le QdS, aurait pour thème l'ART; la deuxième, faisant échos aux édifices de l'UQÀM, aurait pour thème le SAVOIR; et la troisième, faisant la transition avec le Quartier Gai, aurait pour thème la DIVERSITÉ. Deux éléments permettraient de reconnaître l'identité de chaque zone. D'abord, la pièce maîtresse de mon concept: d'un bout à l'autre de ce secteur, il y aurait un mince ilôt au centre de la rue Ste-Catherine (entre les deux voies), où une structure permettrait d'afficher des oeuvres de grande taille (photos, tableaux, etc.). Les passants pourraient admirer les oeuvres des deux côtés de la rue. Dans la zone ART, on retrouverait sur l'îlot des oeuvres artistiques ; dans la zone DIVERSITÉ, on retrouverait des oeuvres illustrant la diversité humaine.... vous saisissez le concept. Les oeuvres présentées seraient des expositions temporaires, pouvant être renouvellées sur une base plus ou moins régulière. Bref, les touristes visiteraient ce secteur afin d'y découvrir les différentes expositions. En plus d'être un lieu de transition entre deux quartiers, ce secteur deviendrait une destination en elle-même. Le deuxième élément consisterait en la construction de grandes arches à l'entrée de chacune des trois zones. Ces arches seraient des portes d'entrée permettant d'identifer la saveur thématique de la zone dans laquelle le passant est sur le point de pénétrer. Outre ces deux éléments principaux, on pourrait réaménager le parterre à la manière du Quartier des Spectacles, planter des arbres, proposer un mobilier urbain audacieux, etc. Je crois que toutes ces modifications permettraient de transformer un secteur sans saveur en une destination touristique d'envergure, et de faire de la rue Ste-Catherine une artère capable de rivaliser avec la Rambla de Barcelone et les autres artères majestueuses à travers la planète. Qu'en pensez-vous? Le Philosophe
  6. Dévoilement du concept d'aménagement de la rue Chabanel et prolongement de la rue Jean-Pratt Des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation de l'Acadie-Chabanel Montréal, le 6 août 2008 - Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, accompagné de M. Alan DeSousa, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025 au comité exécutif, et de Mme Marie-Andrée Beaudoin, mairesse de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et responsable du développement social et communautaire au comité exécutif, a annoncé des investissements de 19,3 M$ pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. De cette somme, un montant de 17 M$ servira à réaménager la rue Chabanel et un montant de 2,3 M$, à prolonger la rue Jean-Pratt où les travaux ont, d'ailleurs, débuté à la fin juillet. « En 2005, nous nous étions engagés à consentir des investissements majeurs pour la revitalisation du secteur l'Acadie-Chabanel. Cette dernière étape finalise un projet qui permettra entre autres d'améliorer l'attractivité de cette artère importante. Déjà les projets d'investissements privés dans le secteur sont estimés à 250 M$, voilà des retombées concrètes », a déclaré M. Tremblay. « Ce secteur offre un important potentiel de développement grâce, notamment, au fort gabarit des immeubles dont la superficie de plancher atteint les dix millions de pieds carrés. D'ailleurs, l'Acadie-Chabanel représente un pôle de développement dont la portée dépasse largement l'arrondissement. C'est pourquoi nous avons identifié ce quartier comme prioritaire dans notre stratégie de développement économique », a ajouté M. DeSousa. Le réaménagement de la rue Chabanel, entre le boulevard Saint-Laurent et la rue Meilleur, vise à transformer la rue pour y créer un véritable milieu de vie. Ainsi, le concept d'aménagement retenu permet d'améliorer la sécurité et le confort des piétons, de rehausser la qualité des aménagements du domaine public, d'offrir un cadre vert et durable par un reverdissement important, de favoriser la présence des transports actifs et de donner une identité propre à la rue Chabanel. Les travaux de prolongement de la rue Jean-Pratt, entre les rues Chabanel et Beauharnois, offriront, de plus, un meilleur accès aux nouveaux immeubles qui y ont été construits récemment. « Ces travaux permettront d'améliorer considérablement le cadre de vie du quartier conformément aux préoccupations des résidants et des commerçants que nous avons consultés à plusieurs reprises. Et nous avons la ferme intention de les tenir informés de l'avancement des travaux et d'être à l'écoute de leurs besoins afin de minimiser les impacts sur leur quotidien », a noté Mme Beaudoin. Le concept d'aménagement de la rue Chabanel a été développé par un consortium composé de la firme Affleck + de la Riva architectes, de Version & Vlan paysages et d'Éclairagepublic à la suite d'un appel de propositions. Adopté en 2005, le plan d'action Réussir l'Acadie-Chabanel comportait cinq volets, soit l'implantation de la gare Chabanel, inaugurée en janvier 2007, la mise en place d'initiatives économiques structurantes, la création d'un partenariat de gens d'affaires, mis sur pied en mars 2007, la planification détaillée du secteur, approuvée en octobre 2006, et la création d'un programme d'aide aux propriétaires d'immeubles à grand gabarit, en vigueur depuis le début de l'année. Arrondissement Ahuntsic-Cartierville / Montréal, QC Portes Ouvertes Réaménagement de la rue Chabanel 29 mai 2008 Les dessins préliminaires du réaménagement de la rue Chabanel - un projet réalisé par Affleck + de la Riva en collaboration avec Version/Vlan Paysages, Éclairage Public et l'agence de signalisation IF - seront presentés au public lors de l'événement des Portes Ouvertes du bureau de l'arrondissement Ahuntsic-Cartiervlle au 555 Chabanel Ouest, 6é étage.
  7. Bombardier Produits Récréatifs (BRP) entamera sous peu la construction d’un tout nouveau centre de design et d’innovation de 15 M$ à Valcourt. D’une superficie de 54 000 pieds carrés, le nouvel édifice regroupera toutes les ressources de BRP en design sous un même toit. Ces employés travaillent actuellement à Valcourt et à Sherbrooke. BRP commencera les travaux dès ce printemps en démolissant un bâtiment pour faire place à la nouvelle construction. Cette dernière devrait être prête à acceuillir plus de 50 employés en 2008. «BRP est aux premiers rangs d'une industrie en constante évolution et où la compétition est de plus en plus forte en raison de la mondialisation, explique dans un communiqué le pdg de BRP, José Boisjoli. Dans ce contexte, il devenait primordial de regrouper nos équipes de design afin d'augmenter la synergie entre elles et ainsi accroître notre capacité de créer des produits plus innovateurs et compétitifs.» Le fabricant des Ski-Doo, Can-Am, et autres Spyder veut faire de ce nouveau centre sa vitrine technologique. La société espère d’ailleurs attirer des designers de partout au monde grâce à la convivialité accrue du nouvel édifice. En plus des équipes de design, le bâtiment abritera aussi le service des achats. En outre, l’équipe de compétition déménagera dans un autre immeuble des environs.
  8. Les anglophones et les allophones sont les principaux responsables de la diminution de la population du Québec, selon une nouvelle étude qui sera dévoilée ce matin au 78e congrès de l'Association francophone pour le savoir. Les francophones hors Québec contrebalancent le départ des francophones, concentrant davantage la dualité linguistique canadienne. «Le solde migratoire négatif du Québec existe parce qu'il y a plus d'anglophones et d'allophones qui quittent le Québec qu'il n'en arrive», explique Éric Forgues, de l'Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques au Nouveau-Brunswick, qui présentera ses analyses ce matin. «Il y a un processus de consolidation linguistique. Les francophones du Canada se concentrent au Québec et les anglophones vont dans les provinces anglophones. Il y a même une consolidation régionale au Québec: les anglophones quittent les régions pour se rendre à Montréal. Le Saguenay, par exemple, perd lentement ses derniers anglophones.» Au total, le Québec a perdu 0,2% de sa population entre les recensements de 2001 et de 2006. C'est la plus faible baisse depuis au moins 40 ans. Mais quand on y regarde de plus près, le Québec francophone n'est pas celui qui en souffre: il a gagné 0,5% de population de 2001 à 2006, alors que les anglophones ont perdu 1,4% de leur population. Les allophones ont une perte absolue aussi grande que les anglophones, environ 8000 personnes, mais M. Forgues n'a pu calculer cette perte en proportion à cause de questions méthodologiques. «Le Québec retient difficilement ses allophones», dit le démographe néo-brunswickois. Par contre, le saignement de la communauté anglophone s'amenuise. «Chez les plus jeunes, les 20 à 29 ans, il y a même une légère augmentation de 0,3%», dit M. Forgues. Cela se compare à une baisse à peine perceptible chez les francophones du même âge, pour un solde provincial négatif de 0,1%. Plus d'immigrants américains Par ailleurs, d'autres données démographiques dévoilées au congrès de l'ACFAS montrent que la quantité d'Américains émigrant au Canada a doublé au début du millénaire. «Je ne crois pas que ce soit dû à l'opposition aux politiques de Bush», explique l'auteur de l'étude sur la migration américaine, Jack Jedwab, directeur de l'Association pour les études canadiennes à Montréal. «Ça montre plutôt que le Canada est maintenant aussi bien vu au point de vue des possibilités de carrière que les États-Unis, avec un avantage sur le plan de la qualité de vie.» De 1991 à 2000, 43 000 Américains ont émigré au Canada. Le taux a doublé entre 2001 et 2006, atteignant presque le même nombre en moitié moins de temps: 39 000 entre 2001 et 2006. La moitié d'entre eux choisissent l'Ontario et seulement 10% le Québec. Ce chiffre est deux fois plus élevé que le nombre de Canadiens émigrant aux États-Unis. Selon Bruno Ramirez, historien à l'Université de Montréal, les migrations entre les deux pays concernent essentiellement des travailleurs extrêmement qualifiés, par exemple en finances ou en informatique, qui profitent de visas dans le cadre de l'ALENA. La presque totalité des visas accordés par les États-Unis en vertu de l'ALENA va à des Canadiens, les Mexicains ne remportant que 2% du total. * * * Solde migratoire du Québec Nombre d'habitants perdus: 1966-1971: 70 720 1971-1976: 59 805 1976-1981: 141 725 1981-1986: 63 300 1986-1991: 25 550 1991-1996: 37 440 1996-2001: 57 310 2001-2006: 11 645 Source: Statistique Canada * * *
  9. pedepy

    rues mixtes

    depuis quelques temps j'ai une idee en tete de rue 'mixte', mais je me demande si ca se fait ailleurs alors je vous demande votre avis. les derniers rendu du 2-22 donnent une idee de ce que ca pourrait etre: la rue n'est pas delimitee de l'espace pieton par une difference de 'hauteur' entre trottoir et l'asphalte, mais par une difference au niveau du pave et des obstacles (comme les poteau). je me demandais juste si une configuration semblable ne pourrait pas existe ou ces barrieres seraient amovibles: de chaque cote, l'espace pieton reserve, au centre l'espace automobile et entre les deux un espace tampon, l'ete reserve aux pietons et l'hiver reserve au stationement. comme ca on pourrait transformer des rues comme mont-royal, st-laurent ou ste-catherine en rue pietonnes (ou semi pietonnes) en saison estivale et redonner l'espace au stationement en hiver ou la rue pietonne n'est plus si importante mais le stationement l'est doublement. edit: voici un dessin qui aide a illustrer mon idee: l'espace en vert est celui qui pourrait etre utilise selon les besoin. les fleches blanches montre les 'bornes' qui pourraint etre deplacer. on pourrait utiliser d'autre elements comme des bacs a fleurs, etc .. un peu comme ici: en ete, il pourrait aider a aleger la circulation des pietons et/ou (surtout sur des rues comme mont-royal) permettre aux commercant d'installer des terraces qui ont plus d'allure, avoir de l'animation de rue, ou des commerces ambulants. puis l'hiver, on redonne la portion de rue a la circulation automobile, pour du stationement par example.
  10. Martin Croteau La Presse L'escouade policière Marteau a investi les locaux du Groupe F. Catania en lien avec le Faubourg Contrecoeur, hier, alors que le ton continue de monter entre la firme et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) au sujet de ce projet immobilier de l'est de Montréal. En matinée, des agents de la Sûreté du Québec, appuyés par des policiers de Longueuil, ont investi le siège social de l'entreprise à Brossard. Ils y ont rencontré des dirigeants et des employés de la compagnie en plus de consulter certains documents. Selon nos sources, la perquisition est liée au Faubourg Contrecoeur, le projet immobilier qui se trouve au coeur du scandale qui a ébranlé la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) dans les derniers mois. Par l'entremise de la SHDM, la Ville de Montréal a vendu au Groupe F. Catania cet immense terrain à l'est de l'autoroute 25. L'évaluation municipale était de 31 millions de dollars, mais la SHDM l'a vendu au prix de l'évaluation marchande de 19 millions. Elle a déduit de ce prix divers frais, dont 11 millions pour la décontamination du terrain. Or, des enquêtes ont établi que la décontamination pourrait avoir coûté beaucoup moins cher - entre 5,9 et 7 millions. L'été dernier, la nouvelle direction de la SHDM a donné jusqu'au 31 janvier au Groupe F. Catania pour lui fournir les factures de la décontamination. La firme a demandé un délai jusqu'au 28 février, mais elle n'a toujours pas rendu les documents, a récemment révélé à La Presse le directeur général de la SHDM, Guy Hébert. Cette sortie a indisposé le Groupe F. Catania, qui a expédié une lettre à la SHDM pour l'aviser qu'elle ne fournirait pas les documents demandés tant que le travail de décontamination ne serait pas terminé, c'est-à-dire à la fin de l'été. «L'idée était que ça allait se négocier entre eux et non sur la place publique, a indiqué le porte-parole de la firme, Philippe Roy. La relation s'est refroidie et le Groupe F. Catania a décidé de ne pas remettre toutes les factures à la SHDM et d'attendre la fin de la décontamination.» La SHDM évaluera donc ses options dans les prochains jours. «Parce qu'on n'a pas encore les documents demandés, on a décidé de confier le dossier à nos procureurs», a indiqué son porte-parole, André Bouthillier.
  11. Projet d'oléoduc entre Lévis et Montréal Le BAPE donne son accord Dernières nouvelles La raffinerie Ultramar à Lévis (archives) Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) appuie le projet d'oléoduc d'Ultramar entre la raffinerie de Lévis et le terminal de Montréal-Est. Le BAPE considère que le transport du pétrole est plus sécuritaire et plus flexible par oléoduc que par train ou par navire. Le BAPE évalue que la capacité de production actuelle des raffineries du Québec et de l'Ontario ne répond pas à la demande intérieure. Il manquerait actuellement 100 000 barils par jour. Selon l'organisme, ce déficit pourrait être en partie comblé par la construction du nouvel oléoduc, le pipeline Saint-Laurent, puisqu'Ultramar espère ainsi transporter deux fois plus de barils de pétrole par jour entre Lévis et Montréal, soit 100 000 barils quotidiennement. Le BAPE estime également que le pipeline Saint-Laurent produirait moins de gaz à effet de serre. Inquiétudes Le projet soulève toutefois certaines inquiétudes, particulièrement auprès des producteurs agricoles. Selon la présidente du secteur Kennedy de l'Union des producteurs agricoles (UPA), Gaétane Dallaire, plusieurs agriculteurs ne souhaitent pas que l'oléoduc passe sur leurs terres puisqu'ils craignent notamment de l'endommager avec leur machinerie agricole et d'en être tenus responsables. Le BAPE mentionne à cet effet, dans son rapport, que le tracé de l'oléoduc doit être revu. En plus de traverser plusieurs terres agricoles, le tracé actuel contribuerait à accroître le déboisement des zones forestières. Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement suggère que l'oléoduc longe plutôt l'autoroute 20 et emprunte des emprises de l'oléoduc de l'entreprise ESSO. Le BAPE recommande également que des consultations publiques soient menées à ce sujet. L'UPA pourrait également proposer un autre tracé au cours des prochaines semaines. Ultramar reste sur ses positions De son côté, Ultramar rejette la possibilité de revoir le tracé du futur oléoduc entre Lévis et Montréal ou de mener des consultations publiques à ce sujet. L'entreprise soutient que les dangers sont pratiquement inexistants et qu'elle assumerait la responsabilité advenant une rupture de l'oléoduc. Selon le porte-parole d'Ultramar, Michel Martin, la pétrolière a déjà fait ses devoirs. « Depuis le tout début, on a rencontré une multitude de gens tout le long du tracé proposé. Il y a de nombreux aménagements qui ont été faits le long du tracé pour résoudre les problématiques qui se présentaient localement. » Ultramar espère que la construction de l'oléoduc débutera d'ici le début de l'année 2008.
  12. Économie 100 M$ pour construire 1100 logements Mise à jour : 31/08/2009 17h37 C'est le plus important projet de logements locatifs jamais vu depuis 40 ans à Québec. La firme Beaudet & Saucier va investir 100 millions $. d'ici sept ans, pour construire 13 immeubles résidentiels, regroupant 1100 logement, dans le secteur Lebourgneuf. Structure de béton armé, stationnement souterrain, accès contrôlé électroniquement et finition soignée : on parle de logements de 3½, 4½ et 5½ pièces qui vont se louer entre 700 et 1200 $ par mois. Clientèle cible : les babyboomers à l'aise qui vendent leur maison et ne veulent pas demeurer en condominium. Le projet arrive à point puisqu'il y a rareté de logements à Québec, depuis quelques années, En effet, le taux d'inoccupation se situe présentement à 0,6 %, alors que la situation d'équilibre voisine 2,5 %.
  13. Saturn Canada n'est plus Publié le 28 août 2009 à 15h24 | Mis à jour à 15h38 Saturn Canada n'est plus. Le nouvel acheteur de la marque, Penske, n'est pas intéressé à la division canadienne et les 60 concessionnaires du réseau se retrouvent le bec à l'eau. Les concessionnaires canadiens, dont 15 sont situés au Québec, ont appris la nouvelle par lettre il y a quelques jours. Ils devront cesser de vendre des véhicules Saturn au plus tard le 31 décembre. «Au Canada, il y a un très grand territoire à couvrir pour le peu de volume de ventes, explique Jean-Claude Gravel, dont le groupe exploite entre autres une concession Saturn sur la Rive-Sud et à l'Île-des-Soeurs. Penske a donc préféré continuer à exploiter le produit Saturn strictement aux États-Unis.» Les propriétaires de voitures Saturn pourront néanmoins obtenir le service et faire honorer leur garantie dans le réseau de concessionnaires GM. Penske Automotive, basée en Illinois, a indiqué à La Presse Affaires que l'entreprise ne pouvait faire aucun commentaire sur Saturn, la transaction n'étant pas encore officiellement complétée. Penske continuera de vendre des véhicules GM dans son réseau de 350 concessionnaires américains. Selon l'entente entre les deux entreprises, GM continuera de fabriquer les Saturn pour le compte de Penske.
  14. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5i6Fva0ns1hS4JeI-yGHAxzwkXwew De Bernard Barbeau (CP) MONTREAL — Le consortium qui a réalisé l'étude d'impact du projet de construction d'un pont suspendu enjambant la rivière Saguenay à la hauteur de la route 138 privilégie le mode de financement en partenariats public-privé (PPP), même si son coût serait de 143 millions $ plus élevé. Le projet pourrait ainsi coûter jusqu'à 903 millions $. Cette différence pourrait être comblée par la combinaison du "facteur d'efficience du secteur privé" et de la "quantification des risques transférés", estime cependant le consortium composé des firmes SNC-Lavalin et Génivar dans son rapport rendu public mercredi. Or, depuis que la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget a quitté ses fonctions, le gouvernement de Jean Charest semble avoir passablement refroidi ses ardeurs à l'égard des PPP. Le pont relierait les municipalités de Baie-Sainte-Catherine, dans la région de la Capitale-Nationale, et Tadoussac, sur la Côte-Nord. Il s'agirait d'une structure de quatre voies d'une longueur totale de deux kilomètres, ce qui en ferait le plus long pont suspendu en Amérique du Nord, et le cinquième au monde. Le projet comprend aussi l'aménagement de routes d'approche à deux voies. Les travaux dureraient sept ans. Actuellement, le lien entre Baie-Sainte-Catherine et Tadoussac se fait par traversier, ce qui occasionne de longs moments d'attente à la fois en période d'affluence et hors des périodes de pointe. Le "syndrome de la traverse", selon lequel des conducteurs normalement prudents adoptent des comportements dangereux d'abord pour se réserver une place sur le traversier et ensuite pour reprendre le temps perdu, serait aussi en partie responsable de nombreux accidents. "L'aménagement d'un pont en remplacement de la traverse de Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine se révèle l'intervention la plus appropriée à long terme pour répondre à la demande de déplacements entre la Côte-Nord et le reste du Québec", souligne au passage le rapport. Il note également qu'une telle structure aurait un impact positif sur la situation économique de la région, qui "est intimement liée à l'industrie touristique". Toutefois, dans les deux municipalités directement concernées, Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine, on s'inquiète de la disparition d'emplois liés au service de traversier. Le maire de Baie-Comeau, Ivo Di Piazza, ne s'en fait aucunement. "Il y a un certain nombre d'emplois, aussi, qui vont se créer ne serait-ce que par le fait qu'il y ait un pont", fait valoir celui qui est aussi préfet de la MRC de Manicouagan, vice-président de la Conférence régionale des élus de la Côte-Nord, et porte-parole du groupe Nord-Côtiers unis pour l'avenir. "L'effet des emplois qui seront perdus sera compensé par une activité économique plus importante." Au point de vue environnemental, le consortium est d'avis que, puisque "le projet ne touche pas significativement le milieu marin, les principaux impacts négatifs du projet affectent le paysage". "Les piliers du pont seraient en rives de part et d'autre du Saguenay, donc on ne parle pas de piliers dans la rivière", précise Marc Larin, de la Direction de la Côte-Nord de Transports Québec. Des mesures d'atténuation et de suivi sont néanmoins proposées. "Actuellement, ce n'est pas très agréable, au plan environnemental, d'avoir assez souvent des kilomètres de voitures dont le moteur tourne, fait d'autre part valoir M. Di Piazza. Et si on pensait ajouter d'autres traversiers sur la rivière Saguenay, ce serait un trafic supplémentaire et les écosystèmes en seraient d'autant fragilisés à la longue. Le pont m'apparaît la solution environnementale la plus efficace." De plus, "en période d'exploitation, l'arrêt du service de traversier occasionnera un impact positif, en réduisant le niveau de bruit ambiant à l'embouchure du fjord", indique-t-on dans le rapport. La réalisation de cette étude d'impact avait été confiée au consortium SNC-Lavalin-Génivar à l'automne 2002 pour un montant de 2 millions $. Le ministère des Transports attend maintenant de voir quelles réactions suivront la publication du rapport. "L'objectif est vraiment de permettre aux gens de prendre connaissance de l'étude, qui est quand même assez volumineuse, et à la suite des discussions qu'il y aura avec les différents groupes concernés, il y aura une position qui sera prise", indique M. Larin.
  15. Le Journal de Montréal 26/10/2007 Le vieux pont Arthur-Sauvé, entre Saint- Eustache et Laval, sera refait en entier après avoir été réparé d'urgence, il y a deux ans. Selon Le Journal de Montréal, même si le ministère des Transports (MTQ) réserve ses informations pour «une annonce gouvernementale», le pont de 58 ans sera complètement refait sur deux ans, pour environ 25 millions, à compter de l'été prochain. Les plans et devis sont en cours de réalisation. Le concept final devrait être accepté d'ici la fin de l'année. Les appels d'offres seront lancés en janvier. L'été prochain, les travaux seront réalisés aux piles du pont - les piliers de béton dans l'eau - pour les refaire et les élargir. L'élargissement permettra de réaliser une voie supplémentaire sur le pont pour les vélos. C'est en 2009 que se déroulera la phase la plus importante des travaux, lorsque le tablier sera démoli et reconstruit. La future piste cyclable du pont servira alors non pas pour les vélos mais comme seule voie d'accès routière entre Saint-Eustache et Laval-Ouest. Les véhicules d'urgence pourront emprunter le barrage du Grand Moulin, entre Laval-sur-le- Lac et Deux-Montagnes, selon le plan de contingence en préparation. Les 24 000 usagers quotidiens du pont ont déjà connu les inconvénients de restriction sur le pont en 2005. Des fissures dans les soudures des poutres principales avaient été décelées. Les autobus et camions avaient été interdits de circulation sur le pont. Les travaux d'urgence avaient coûté 337 000 $ et duré tout l'été. Depuis, le pont est sous haute surveillance par le MTQ. Les inspecteurs y font des inspections fréquentes, plutôt qu'annuelles. Pressions municipales Les autorités municipales de Laval et Saint- Eustache ont d'ailleurs été tellement exaspérées des problèmes causés il y a deux ans qu'ils ont adopté des résolutions au sujet du pont. Le maire de Saint-Eustache, Claude Carignan, a même demandé avec son conseil au MTQ que le pont soit refait dès 2008. Il a été entendu. «On n'aime pas ça être obligé de faire ce genre de pression, mais c'est notre devoir d'élus municipaux, qui sommes plus près des citoyens et de leurs besoins.» Au MTQ, on est incapable de savoir depuis quand le nouveau pont est en planification. À tout le moins depuis la résolution du maire Carignan, le 13 novembre 2006.
  16. Publié le 24 août 2009 à 04h41 | Mis à jour à 08h13 Une éolienne s'arrime à Montréal L'arrondissement de Saint-Laurent installera dans le parc Philippe-Laheurte une éolienne haute de 9 m. François Cardinal La Presse Montréal aura bientôt sa toute première éolienne de taille, un projet-pilote qui, s'il s'avère un succès, pourrait bien faire des petits dans l'île. L'arrondissement de Saint-Laurent se prépare en effet à installer, dans les semaines à venir, une éolienne à trois pales haute de 9 m dans un parc situé à mi-chemin entre un secteur résidentiel et un secteur industriel. L'objectif n'est pas de copier ce qui se fait en région, où les éoliennes mesurent entre 45 m (Matane et Cap-Chat) et 60 m (Rimouski et Murdochville), mais plutôt de se contenter d'alimenter le système d'éclairage du parc Philippe-Laheurte, où l'éolienne sera érigée. D'une puissance de 2000 W, elle produira une charge d'éclairage de quelque 800 W. Cela sera suffisant, croit-on, pour faire fonctionner les lampadaires qui éclairent les sentiers piétonniers et les pistes cyclables, les terrains de tennis, de basketball et de soccer ainsi que la toute récente sculpture de l'artiste Claude Millette, inaugurée cet été. «À plus de 30 pieds de hauteur, c'est probablement la première éolienne d'une telle envergure à Montréal, se réjouit le maire de l'arrondissement et responsable de l'environnement au comité exécutif, Alan DeSousa. Il y a en outre très peu d'expériences d'éoliennes en milieu urbain, ce sera donc un projet-pilote intéressant à suivre.» Le parc Philippe-Laheurte occupe la portion sud du projet domiciliaire Nouveau-Saint-Laurent (autour des rues Ernest-Hemingway, Cavendish et Raymond-Lasnier). Pour le maire de l'arrondissement, Alan DeSousa, cette zone-tampon entre résidences et industries est l'endroit idéal pour ériger une éolienne. «Dans la vie, il ne faut pas avoir peur de prendre des risques, indique-t-il. Ce projet-pilote nous permettra de répondre à bien des questions: est-ce un outil approprié pour notre communauté? Est-ce que l'énergie produite sera suffisante pour alimenter tous les lampadaires? Quel impact aura l'éolienne sur les oiseaux et les chauves-souris?» Il faudra aussi voir s'il y a suffisamment de vent. À Longueuil, d'ailleurs, l'administration Gladu a décidé de ne pas ériger d'éoliennes sur son territoire, faute de vent. Cette décision a été prise à la suite d'une étude de quelque 40 000$, décriée par les maires de la Rive-Sud pour son caractère farfelu. À Saint-Laurent, le coût total du projet est évalué à 37 000$, mais l'arrondissement ne paiera qu'un peu moins du tiers de cette somme. L'entreprise Enseigne Valois, «partenaire» du projet, paiera le reste. Le document de présentation précise qu'un des objectifs du projet est de voir s'il est possible d'ériger des éoliennes dans «l'ensemble des sites potentiels de l'arrondissement». Cela dépend de l'aspect technique du projet d'énergie renouvelable, mais aussi de ses aspects...?humains. La volonté des élus pourrait bien se heurter à certains obstacles dans cet arrondissement déjà touché par les nuisances de l'aéroport et de certaines industries, comme le démontre une lettre publiée dans la dernière livraison des Nouvelles Saint-Laurent. «Notre arrondissement veut que nous servions de cobayes pour un projet-pilote d'éolienne, se désole son auteure, Josette Lincourt. Ce n'est pas aux contribuables qu'on veut faire plaisir, mais aux constructeurs d'éoliennes. Réveillons-nous, les élections s'en viennent!»
  17. Explosion du nombre de lieux de culte à Montréal Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du mercredi 12 août 2009 Mots clés : Arrondissement, Culte, Gestion, Religion, Municipalité, Montréal Le phénomène complique la gestion des arrondissements Les arrondissements montréalais délivrent trois fois plus de permis d'aménagement de lieux de cultes «minoritaires» par année qu'il y a dix ans, selon les chiffres fournis par la Ville de Montréal et compilés par Le Devoir. Une situation qu'ils peinent à gérer, conclut le Conseil interculturel de Montréal dans un avis émis en juin, mais passé presque inaperçu dans les médias. Et ce, sans compter toutes les petites églises, salles de prières et autres mosquées qui opèrent sans permis. Plusieurs arrondissements disent ne pas connaître exactement le nombre exact de lieux de culte sur leur territoire, affirme le Conseil, qui a rencontré des élus, des fonctionnaires et des représentants religieux pour les fins de son étude, déposée le 16 juin dernier. En 2002, les chercheuses Julie Elizabeth Gagnon et Annick Germain, du Centre urbanisation, culture et société de l'INRS, ont dénombré 800 lieux de culte sur l'île, dont 500 sur le territoire de l'ancienne ville de Montréal. Le quart d'entre eux étaient de confession autre que catholique romaine ou protestante. Ces dernières années, les demandes d'aménagement de ces «lieux de culte minoritaires» ont explosé, conséquence logique de l'immigration. «La multiplication des lieux de culte est de plus en plus évidente et les arrondissements ont de plus en plus de difficulté à gérer ça, même si en général ça se passe bien», explique le président du Conseil, Bergman Fleury. «Ce n'est pas parce que les églises [catholiques] ferment que la vie religieuse diminue à Montréal; même qu'elle s'intensifie.» Selon les renseignements fournis par l'ancien Service du développement économique et urbain de la Ville à des chercheurs de l'INRS, 69 dossiers d'aménagement de lieu de culte ont été approuvés entre 1994 et 1999. Entre 2000 et 2009, la Ville de Montréal a reçu au moins 377 demandes. Elle en a approuvé 314 et en a refusé au moins 16 pour l'ensemble des arrondissements, y compris les anciennes villes fusionnées telles Verdun et Saint-Laurent. En excluant les anciennes villes, les arrondissements ont approuvé l'aménagement d'une trentaine de lieux de culte par année depuis 2000, pour une dizaine par année entre 1994 et 1999. Mais ça ne pourrait être que la pointe de l'iceberg, puisque certains arrondissements gèrent la présence de plusieurs lieux de culte actifs qui «existent sans avoir de permis, depuis parfois plus de 15 ans», affirme le Conseil interculturel dans son «avis sur la gestion municipale des lieux de culte minoritaires». «Plusieurs de ces nouveaux lieux de culte se trouvent dans des bâtiments délabrés», ajoute-t-il. Même si des établissements sont non conformes, les arrondissements «n'envoient pas d'inspecteur la plupart du temps». «On ne sait même pas combien sont sans permis, personne ne peut le dire, on connaît seulement ceux qui en ont un», explique Bergman Fleury. «Certains sont clandestins juste parce qu'ils ne connaissent pas la réglementation. On en trouve dans des endroits inattendus: des maisons, des locaux commerciaux ou industriels. Ces églises commencent petites et attirent de plus en plus de fidèles.» Les arrondissements ferment les yeux, juge le Conseil, pour «conforter l'harmonie intercommunautaire et pour éviter que des situations de tensions se multiplient inutilement». Des solutions Loin du Conseil interculturel l'idée de provoquer une application radicale du plan d'urbanisme et de faire fermer des églises. Au contraire. «Les fonctionnaires ne sont pas outillés pour planifier et intervenir adéquatement. Il faut les aider afin d'éviter que ça devienne une source de crise», dit Bergman Fleury. «Il y a un besoin de coordonner la Ville et les arrondissements, souligne-t-il. Pour avoir un permis, on a un jeu de ping-pong entre la ville centre et les arrondissements, qui fait que ça traîne en longueur et des lieux restent sans permis. Les groupes manquent aussi d'information. Ils ne savent pas à qui s'adresser, quels sont les règlements, et même les fonctionnaires ne connaissent pas les modalités d'application du plan d'urbanisme.» Ce qui urge le plus, dit le Conseil, c'est de recenser les lieux de culte, avec ou sans permis. Dans le traitement des demandes pour exploiter un commerce, par exemple, les arrondissements savent exactement combien de magasins compte le quartier. Ce qui n'est pas le cas pour les lieux de culte. «Les élus ne veulent pas imposer de solution radicale pour éviter les tensions et uniquement dans le but d'appliquer un règlement; ils veulent aider à trouver des solutions, mais ils n'ont pas les outils pour [le faire]», observe Bergman Fleury. La Ville de Montréal confirme qu'elle a bel et bien reçu l'avis du Conseil interculturel, mais ne souhaite pas commenter pour le moment. «Plusieurs équipes planchent à en analyser les recommandations», a dit le porte-parole Philippe Sabourin au Devoir. http://www.ledevoir.com/2009/08/12/262568.html
  18. Un immeuble de trois étages menace actuellement de s’effondrer en plein centre-ville de Montréal. Ce sont les pompiers qui ont fait la découverte du danger représenté par cette stucture située au 1029 du Boul. St-Laurent, à l’entrée du quartier Chinois. Ils ont été appelés à se rendre sur place à 9h20 ce matin après avoir reçu un appel d’un citoyen signalant le fait que des briques s’étaient détachées de la cheminée de l’édifice. Une fois sur place, les sapeurs ont procédé à une inspection plus poussée du bâtiment et ont fait la découverte que la façade de l’édifice se détachait progressivement de sa structure. Un ordre d’évacuation a donc été donné. Entre temps, le propriétaire de l’édifice ainsi que les responsables de l’arrondissement ont été appelés à se rendre sur place afin de décider du type d’intervention. L’immeuble en question abrite au premier étage l’entreprise Dragon Siu Enr, un magasin de variété et des appartements aux étages supérieurs.
  19. La ministre de l'Environnement, Lyne Beauchamps, rend public le rapport du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement, qui recommande, entre autres, d'augmenter la qualité de la surveillance et du suivi environnemental. Pour en lire plus...
  20. Publié le 02 juin 2009 à 14h43 | Mis à jour à 14h50 Une boutique montréalaise parmi les meilleures au monde Nadielle Kutlu Cyberpresse Les Touilleurs a récemment été classé parmi les cinq meilleurs commerces de détails au monde, dans la catégorie des articles et accessoires de cuisine. La boutique de l'avenue Laurier, à Outremont, a reçu cette distinction lors du prestigieux concours international Global Innovator Award 2009 (GIA) qui s'est tenu à Chicago. Vingt-quatre pays répartis sur les cinq continents y ont participé.Les Touilleurs a d'abord remporté le concours au Canada pour ensuite représenter le pays sur la scène internationale. Comme une distinction ne vient jamais seule, les propriétaires sont aussi en discussion pour avoir leur propre émission de télévision auprès d'un grand diffuseur, a appris La Presse. C'est la première fois que la boutique, qui a souvent remporté des honneurs, se présentait au GIA. Les critères de sélection reposaient, entre autres, sur la stratégie de marque de l'établissement, le concept, l'expérience client et l'étendue de la gamme de produits. «C'est un prix important, on se retrouvait face à nos pairs et ça permet aussi de mettre Montréal sur la carte», souligne le copropriétaire Sylvain Côté. «On espère que ça va fidéliser encore plus la clientèle et attirer la curiosité de nouveaux clients.» Qu'est-ce qui a séduit le jury ? «On nous a dit que c'était notre unité, l'ensemble de ce que nous offrons. Que ce soit la présentation de notre vitrine, la recette sur le tableau à l'entrée, le personnel, le service à la clientèle, tous ces éléments forment une unité chez Les Touilleurs», explique-t-il. Lorsqu'on entre dans la boutique, on remarque rapidement le look épuré et soigné. « Il n'y pas de boites entassées comme on voit souvent dans d'autres magasins», souligne Sylvain Côté . Le tout reste simple afin de faire ressortir l'objet. Les articles de cuisine sont notamment importés d'Allemagne ou de France. Les propriétaires tentent d'ailleurs d'offrir une exclusivité dans la gamme de produit. Depuis son ouverture en 2002, l'entreprise, qui a atteint un chiffre d'affaires de 1, 1 million $, est devenue une véritable référence dans le milieu. En plus des articles de cuisine, la boutique offre divers cours de cuisine animés par des grands chefs ainsi que des voyages gastronomiques.
  21. Montréal Gestion des parcomètres: la Ville se prive de revenus, selon une étude Mise à jour : 26/05/2009 19h39 Les parcomètres poussent comme des champignons à Montréal. Si le système mis en place en 1994 coûte cher aux automobilistes, il l’est davantage pour la Ville. Il y a 15 ans, la Ville de Montréal a privatisé la gestion des parcomètres en la confiant à la Chambre de commerce. Chaque fois qu’un dollar est inséré dans un parcomètre, 20 sous tombent sur le comptoir de la Chambre de commerce. Selon les auteurs d’une étude, en délaissant la gestion des parcomètres depuis 15 ans, la Ville s'est privée de revenus de 16 millions et demi de dollars. Depuis que la Ville a confié la gestion des parcomètres, pour une période de 30 ans, à la Chambre de commerce, les revenus sont passés de 17 à 50 millions de dollars; une augmentation de 297%. Entre 2005 et 2006, ils ont grimpé de 36%; 52% entre 2006 et 2007.
  22. Nouveau vol sans escale entre Montréal et Fort-de-France Air Canada offrira la seule liaison hebdomadaire directe sans escale entre Montréal et Fort-de-France (Martinique). Air Canada offrira la seule liaison hebdomadaire directe sans escale entre Montréal et Fort-de-France (Martinique). Le service sera offert d’abord les samedis, du 4 juillet au 29 août 2009, puis recommencera à longueur d'année à compter du 5 décembre 2009. «Nous nous attendons à ce que ce nouveau service plaise aux Québécois qui sont à la recherche d'un accès direct à une partie de la France établie dans les tropiques et permettant aux vacanciers de profiter d'une vaste gamme d'activités culturelles et sportives. Ce service plaira aussi aux résidants de la Martinique qui pourront profiter des attraits culturels et éducatifs du Québec», a déclaré Daniel Shurz, vice-président, Planification du réseau, Air Canada, par communiqué. La liaison proposera des vols dans des A319 d'Airbus de 120 places offrant la classe affaires et classe économique. Ces appareils possèdent des systèmes de divertissements audio et vidéo individuel qui proposent un choix de 24 films et de 100 heures de programmation télévisuelle. L'horaire permettra aux voyageurs de profiter d'un vaste choix de correspondances pratiques à Montréal avec des villes du Québec, ainsi qu'avec Ottawa et le Canada atlantique. Ce service s'ajoute aux vols bihebdomadaires qu'Air Canada assure déjà entre Montréal et Pointe-à-Pitre (Guadeloupe). Fort-de-France Créole et française, caribéenne et européenne, urbaine et rurale, Fort-de-France est la ville où vécu Aimé Césaire, le maire-poète chantre de la Négritude. Capitale du Pays Martinique, la ville qui s’ouvre sur la Mer des Caraïbes est bordée au nord par les contreforts des Pitons du Carbet et au sud par la plaine du Lamentin. La ville compte 100 000 habitants, les Foyalais, soit le quart de la population martiniquaise. Enfin, puisque les liaisons entre Montréal et Fort-de-France reprendront en juillet, il faut savoir que juillet est un mois de festivals dans la capitale foyolaise et les villages environnants. Se succèdent et se côtoient le Festival de la banane au Lorrain, le Festival de tambour et de flûte à Sainte-Marie, le Festival culturel de Fort-de-France, le Tour cycliste de la Martinique, les Fêtes patronales de Marigot, du Gros-Morne, des Anses d'Arlet, du Carbet, de Schoelcher, du Macouba, de Sainte-Anne, les Nuits culturelles de Rivière-Pilote, la Fête des marins à Case-Pilote, sans oublier le 14 juillet, jour de Fête nationale dans ce département français d'outre-mer.
  23. Rue Saint-Paul - Des commerçants veulent marchander leur appui au projet de piétonnisation Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mardi 24 mars 2009 Mots clés : Rue Saint-Paul, piétonnisation, commerçants, Québec (province) La Ville de Montréal pensait pouvoir aller de l'avant avec son projet de piétonnisation de la rue Saint-Paul cet été, mais voilà que des commerçants s'y opposent. La Société de développement commercial (SDC) du Vieux-Montréal réclame l'abandon du nouveau circuit d'autobus 515 qui emprunte la rue de la Commune en échange de son appui à la piétonnisation d'un segment de la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal. Implanté en juin 2008, le circuit d'autobus 515 indispose les commerçants. L'aménagement d'une voie réservée dans la rue de la Commune a entraîné des bouchons de circulation importants dans cette artère ainsi que dans les rues environnantes, en plus d'éliminer plusieurs places de stationnement de courte durée, déplorent-ils. Le directeur général de la SDC, Daniel Soucy, estime qu'il faudra d'abord régler le problème de l'autobus 515 avant de songer à interdire la circulation dans un segment de la rue Saint-Paul. «Le Vieux-Montréal n'est pas fait pour les autobus. On veut que les gens marchent à pied», explique M. Soucy qui croit que le prolongement d'un circuit d'autobus existant dans l'axe nord-sud constituerait une meilleure solution. Après avoir consulté ses membres, la SDC s'était pourtant montrée favorable à la piétonnisation de la rue Saint-Paul, entre les rues du marché Bonsecours et Saint-Gabriel, du 19 juillet au 1er août. Mais si le circuit d'autobus est maintenu, la Ville n'aura pas l'appui des commerçants au sujet de la piétonnisation, a indiqué hier M. Soucy. Pour la conseillère du district Peter-McGill, Catherine Sévigny, il s'agit d'une volte-face difficile à comprendre. Il y a quelques mois, la Ville et la SDC s'étaient entendues sur les grandes lignes du projet, et les commerçants étaient majoritairement favorables, relate-t-elle. «Il va falloir qu'on évalue le tout, mais je pense que c'est important de piétonniser cette rue-là, a-t-elle indiqué au Devoir. Je ne peux pas comprendre que les commerçants ne veuillent pas au moins l'essayer.» Malgré le faible achalandage de la ligne 515, la Société de transport de Montréal (STM) estime que ce circuit a sa raison d'être, tout comme la voie réservée. Entre 1100 et 1200 personnes montent à bord de ces autobus chaque jour en semaine, ce qui n'est pas considéré comme une très bonne performance. En revanche, ce circuit a été implanté tardivement l'an dernier, signale la porte-parole de la STM, Marianne Rouette. L'administration Tremblay aurait voulu piétonniser la rue Saint-Paul dès l'an dernier, mais le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, avait bloqué le projet, estimant que le projet nécessitait une meilleure planification. L'arrondissement tiendra une soirée d'information au sujet de ce circuit d'autobus, ce soir à 18h, à la Basilique Notre-Dame. La firme Genivar présentera une série de mesures visant à réduire l'impact de la voie réservée sur la circulation. http://www.ledevoir.com/2009/03/24/241447.html (24/3/2009 9H00)
  24. Un mariage de 15milliards de dollars entre les deux plus grandes pétrolières canadiennes, Suncor et Petro-Canada, serait sur le point d'être annoncé, selon le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  25. Les négociations commencent lundi entre Chrysler et le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile. Chrysler a jusqu'au 31 mars pour conclure une entente afin d'être admissible au soutien financier des deux paliers de gouvernement. Pour en lire plus...
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