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  1. Tres intéressant. À Concordia, en français et organisé par L'Association francophone pour le savoir (l'Acfas)! http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/82/600/616/c
  2. ALERTE - Le maire de Montréal arrêté MONTREAL - Le maire de Montréal Michael Applebaum a été arrêté lundi matin et devait être entendu dans la journée par les enquêteurs de l'unité anti-corruption, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Son arrestation s'inscrit dans l'enquête sur de multiples affaires de corruption qui secouent la grande ville québécoise depuis plus d'un an et qui ont entraîne la démission du maire précédent le 5 novembre dernier. (©AFP / 17 juin 2013 12h44) http://www.romandie.com/news/n/_ALERTE___Le_maire_de_Montreal_arrete_78170620131246.asp
  3. Ce n'est pas une blague,y a pas de petits profits... Et si le prochain pape était Québécois? La possibilité que le prochain pape soit Québécois n’est pas exclue. Un des meilleurs spécialistes du marketing touristique, le Québécois Frédéric Gonzalo, analyse ce que serait l'impact d’une telle élection pour le tourisme au Québec. En voici quelques extraits. Il faut savoir qu’entre 100,000 et 200,000 pèlerins par année visitent le village natal des papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Il y aurait donc un énorme défi mais également un beau potentiel à développer l’accès à La Motte, qui se trouve à plus de 600 km de Montréal. Le village compte 300 âmes, aucun gîte touristique ou restauration pour suffire à une telle demande éventuelle, et il faut savoir que la maison d’enfance de Marc Ouellet, l’école et le presbytère ont été détruits et qu’il faudrait repenser en termes de construction ou reconstitution. Au-delà du village de La Motte et de l’Abitibi, c’est l’ensemble de la destination canadienne et québécoise qui y gagnerait car pour le pèlerin international, il s’agirait d’abord et avant tout d’un voyage au Canada. Une offre variée et des forfaits devront être mis de l’avant afin de mettre de l’avant les infrastructures actuelles qui répondent déjà bien aux standards des voyageurs internationaux. On pense notamment à l’Oratoire St-Joseph de Montréal, la Basilique Sainte-Anne-de-Beaupré ou le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap Dans l’axe Montréal-Québec Ces trois lieux de pèlerinage sont situés dans l’axe Montréal-Québec, où l’offre d’hébergement et les modes de transport sont en mesure de supporter une augmentation éventuelle. Il existe néanmoins plusieurs autres lieux de culte en région, notamment l’abbaye bénédictine de Saint-Benoît-du-Lac, dans les Cantons-de-l’Est, l’abbaye Val-Notre-Dame dans Lanaudière ou encore l’Ermitage Saint-Antoine au Saguenay-Lac-St-Jean. Un chemin de Compostelle à la québécoise L’avènement d’un pape québécois saurait-il propulser une nouvelle offre regroupée, par exemple et incorporant des lieux de culte déjà établis? Ce type de circuit existe déjà depuis 1998 sous l’appellation de Chemin des Sanctuaires, une route de 375 km qu’empruntent plusieurs pèlerins à chaque année, liant justement l’Oratoire St-Joseph au Sanctuaire de Sainte-Anne-de-Beaupré. Si Marc Ouellet devient pape, l’industrie touristique québécoise et canadienne devra recevoir la nouvelle comme on accueille l’obtention des Jeux olympiques ou la tenue d’une épreuve de Formule 1. À la différence que le tourisme religieux est ancré dans la foi et dans le temps: les investissements envers ce nouveau créneau seraient porteurs pour plusieurs années à venir, et non seulement pendant une brève période de temps. On parle potentiellement d’un important changement, notamment dans la réaffectation des budgets publicitaires et dans la stratégie commerciale. Ceux que le sujet intrigue liront avec intérêt Le tourisme religieux, un dossier spécial du Réseau de Veille en tourisme. A noter que si le ghanéen Peter Turkson était élu, les retombées économiques pour ce pays peu développé qu’est le Ghana, bien qu’on n’y dénombre aucun site miraculeux ni même remarquable par son architecture, lui seraient sans doute plus utiles. Il y manque toujours, par exemple, plus de 8000 écoles. En attendant, les fidèles scrutent l’arrivée à Rome du prélat québécois : il est où, Ouellet ? — on n’allait pas la rater, celle-là ! C.B. http://www.pagtour.net//index.php?option=com_content&view=article&id=587
  4. Économie québécoise Les ministres Bachand et Gignac se font rassurants Agence QMI 11/08/2011 11h34 QUÉBEC – Le gouvernement du Québec ne s’en fait pas pour l’économie de la province, malgré la croissance anémique aux États-Unis et en Europe, et les secousses boursières partout sur la planète. «L’économie québécoise va bien», a affirmé le ministre des Finances Raymond Bachand lors d’un point de presse jeudi matin à Québec. Il a mentionné que les prévisions de croissance 2 % pour cette année «sont maintenues», mais qu’il faudra réviser les chiffres pour l’an prochain en raison des nuages qui s’accumulent dans le ciel économique un peu partout dans le monde. Raymond Bachand a souligné que le taux de chômage est près d’un creux historique dans la province et que les investissements et la consommation demeurent soutenus. Les exportations se maintiennent, selon le ministre des Finances. Il a affirmé que cette bonne performance est notamment due au plan de contrôle de la dette qui prévoit un retour à l’équilibre budgétaire en 2013-2014. Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, s’est toutefois dit «préoccupé par la situation américaine», mais il a rappelé que le «boom en Asie nous aide». Les deux ministres ont souligné qu’il faut faire la distinction entre la bourse et l’économie. Selon eux, l’économie peut croître malgré des chutes boursières. Rendement de la Caisse de dépôt et placement Le ministre Bachand ne s’est pas montré préoccupé à propos du rendement de la Caisse de dépôt et placement. «Je n’ai pas d’inquiétudes sur le rendement de la Caisse de dépôt», a-t-il dit. Selon lui, les dirigeants du bas de laine des Québécois ont adopté «un plan de gestion du risque costaud» qui le protège davantage de la volatilité boursière qu’en 2008, lors de la dernière crise financière mondiale. La Caisse doit divulguer ses résultats pour les six premiers mois de l’année plus tard en août.
  5. Publié le 04 octobre 2010 à 06h29 | Mis à jour à 06h29 (Montréal) Ils déposent plus de brevets, lancent plus d'entreprises et attirent plus de capital-risque que quiconque sur la planète. Malgré un territoire pauvre en ressources naturelles et une situation politique instable, les Israéliens se sont hissés au sommet des indicateurs internationaux d'innovation. Le Québec, qui traîne la patte en la matière, peut-il s'inspirer de l'État hébreu? > Suivez Philippe Mercure sur Twitter Lundi dernier, à Québec. Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, lance les mises en candidature pour combler un tout nouveau poste: celui de «scientifique en chef». La personne choisie deviendra à la fois le chef d'orchestre, le conseiller du gouvernement et le porte-parole de tout ce qui touche à la recherche québécoise et son financement. Ce rôle, les Israéliens le connaissent bien. Ils comptent sur un scientifique en chef depuis 1984. Le parallèle n'est pas fortuit. «Mon idée de créer le scientifique en chef est venue quand j'ai regardé ce qui se passe en Israël - un petit pays, mais qui a des gains de productivité très élevés», a révélé à La Presse Affaires le ministre Gignac lors du dévoilement de la stratégie québécoise sur l'innovation, au printemps dernier. Cet exemple illustre un fait méconnu, mais facile à vérifier: le milieu de l'innovation québécois a les yeux rivés sur Israël, un territoire qui compte une population et un PIB similaires à ceux de la province, mais qui innove beaucoup plus. «Israël est un monde que je connais particulièrement bien et qui a influencé mes réflexions depuis sept ans», dit Jacques Bernier, associé principal de Teralys - plus important réservoir de capital-risque du Québec et de tout le Canada avec 700 millions sous gestion. M. Bernier dit aller en Israël en moyenne une fois par année. Il y a deux ans, Raymond Bachand, actuel ministre des Finances qui occupait à l'époque le siège de M. Gignac au Développement économique, s'y est aussi rendu avec une importante délégation commerciale. But de la mission: tisser des liens, mais aussi prendre quelques notes. «Israël est similaire au Québec à plusieurs points de vue, observe M. Bachand en entrevue. Il y a la taille, il y a ses secteurs porteurs qui sont très similaires à ceux du Québec - la biotechnologie, la pharmaceutique, les technologies de l'information. Et Israël est un leader mondial à la fois dans les secteurs technologiques et le capital-risque.» «Pour motiver un changement de perspective sur la technologie au Canada ou au Québec, Israël est le pays qui nous offre la plus belle occasion», dit carrément Céline Bak, du Russell Mitchell Group, groupe de consultants en technologie établi à Ottawa. Pourquoi Israël? «Quand on parle de la Chine, les gens nous disent: ils sont un milliard et demi, il n'y a pas de démocratie, ce n'est pas la même chose, répond Mme Bak. Avec Israël, on n'a pas d'excuse. C'est un pays où il n'y avait rien ou si peu il n'y a pas si longtemps, et tout d'un coup il se retrouve chef de créneau dans plein de secteurs.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/international/201010/04/01-4329218-israel-les-lecons-pour-le-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
  6. Charest dirigera une première mission québécoise en Russie Rémi Nadeau La Presse Canadienne Québec Publié le 06 décembre 2009 à 15h50 | Mis à jour le 06 décembre 2009 à 15h58 Le premier ministre Charest souhaite établir des contacts politiques et économiques qui pourraient permettre à des entreprises québécoises de percer cet important marché de 150 millions d'habitants. Le premier ministre Jean Charest dirigera une première mission économique officielle toute québécoise en Russie, dans les prochains jours, dans l'espoir de jeter les bases d'une relation d'affaires durable avec cet acteur des économies émergentes. Pendant quatre jours, à compter de mardi, M. Charest souhaite établir des contacts politiques et économiques qui pourraient permettre à des entreprises québécoises de percer cet important marché de 150 millions d'habitants. Les représentants d'une dizaine d'entreprises l'accompagneront lors de visites à Moscou et St-Petersbourg, dont Bombardier Produits Récréatifs, CAE, SNC Lavalin et Gaz Métropolitain. «Les Russes ont peu d'expertise dans le domaine de la technologie, des infrastructures et même des produits manufacturiers. Tout est à faire là-bas, ils ont besoin d'étrangers pour diversifier leur économie, largement dominée par les hydrocarbures», a expliqué en entrevue à La Presse Canadienne le ministre des Relations internationales, Pierre Arcand, qui sera aussi de la partie. Entre 1998 et 2008, avant d'être sérieusement affectée par la crise économique, la Russie a affiché des taux de croissance annuels atteignant 7%. À son arrivée au pouvoir en 2003, le gouvernement Charest avait ciblé ce marché avec ceux de la Chine, de l'Inde et du Brésil, en constatant que ses liens étaient pratiquement inexistants avec ces nouveaux acteurs économiques en développement. S'il représente un potentiel d'affaires alléchant, le marché russe n'est toutefois pas facile à pénétrer, notamment en raison de la corruption qui y est omniprésente et de la lourdeur administrative imposée par l'État. «Les entrepreneurs étrangers sont réticents à intervenir en Russie, parce que le pays n'est jamais bien classé au chapitre de la corruption, c'est un héritage de l'époque soviétique», a indiqué la professeure de science politique de l'Université Laval, Aurélie Campana. «Puis, les Russes n'ont pas de tradition d'économie de marché et les pratiques ne sont pas encore ancrées chez les hommes d'affaires», a-t-elle ajouté. Sans minimiser les obstacles, le ministre Arcand estime toutefois que bien des exemples de succès en territoire russe devraient suffire à convaincre les entrepreneurs québécois que le jeu en vaut la chandelle. Il cite par exemple le cas de l'homme d'affaires canadien George Cohon, qui a ouvert le premier restaurant de la chaîne McDonald's à Moscou, et qui en a fait le plus rentable à travers la planète. M. Arcand souligne aussi que sur 200 entreprises de Grande-Bretagne s'étant installées en Russie depuis 1992, la grande majorité d'entre-elles y sont demeurées et font des affaires d'or. «C'est sûr que la corruption existe, mais, des complications, il y en a dans tous les pays. Puis, les entreprises étrangères ne resteraient pas sur place si cela ne fonctionnait pas. Elles font de l'argent et il y a là beaucoup d'avenir», a argué celui qui s'est rendu à Moscou une première fois en avril dernier, afin de préparer le terrain pour cette mission du premier ministre. Sur le plan politique, Jean Charest rencontrera notamment le vice-premier ministre Viktor Zubkov. La signature d'une entente de coopération Québec-Moscou est probable. Il prononcera une allocution sur les occasions d'affaires liées à la tenue des Jeux Olympiques de Sotchi, puis effectuera même une présentation de son Plan Nord, à l'occasion d'une table ronde sur le développement du Nord et des régions éloignées. Par ailleurs, M. Charest assistera mercredi à une représentation de «Varekai», premier spectacle permanent du Cirque du Soleil à Moscou. Avant de rentrer au pays, le premier ministre se rendra à Copenhague, au Danemark, où il participera à la conférence des Nations-Unies sur les changements climatiques. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200912/06/01-928440-charest-dirigera-une-premiere-mission-quebecoise-en-russie.php
  7. L'économie québécoise poursuit son déclin Olivier Schmouker . les affaires.com . 26-11-2009 L'agriculture est en partie responsable du déclin. Photo : Bloomberg. Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a regressé de 0,3% en août, portant le recul à 2% sur les huit premiers mois de l’année, selon l’Institut de la statistique du Québec. Depuis le début de 2009, le Québec n’a enregistré qu’une seule hausse du PIB, de 0,6% en juin. En 2008, la croissance de l’économie avait atteint un taux de 1,3% au Québec. Qu’est-ce qui a aggravé le déclin de l’économie québécoise à la fin de l’été? La décroissance de la production des industries productrices de biens, qui s’est chiffrée à 0,6%. Les pertes proviennaient de l’industrie de la fabrication (– 1,2%), de celle de l’agriculture, de la foresterie, de la pêche et de la chasse (– 1,2%) ainsi que de celle des services publics (– 0,4%). Toutefois, la production de l’industrie de l’extraction minière, pétrolière et gazière et celle de la construction se sont appréciées respectivement de 4,1% et de 0,6%. De leur côté, les industries productrices de services ont vu leur production diminuer de 0,2% en août. C’est leur quatrième recul depuis le début de 2009. Les industries à l’origine du repli sont celle de l’information et de la culture (– 1%), celle des services professionnels, scientifiques et techniques (– 0,7%) et celle de la finance et des assurances, des services immobiliers et de location à bail et de gestion de sociétés et d’entreprises (– 0,1%).
  8. La marge de profit des stations-services rattrape la moyenne québécoise, à 5,8 ¢/litre. Pour en lire plus...
  9. Après des mois de discours rassurants sur la solidité de l'économie québécoise, la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, admet que son prochain budget sera déficitaire. Pour en lire plus...
  10. Le Québec augmente de 40% sa contribution à TV5Monde Il y a 14 heures PARIS (AFP) — Le Québec va augmenter de 40% sa contribution à la chaîne francophone internationale TV5Monde, qui va passer à 2,9 millions d'euros, afin d'y accroître la programmation québécoise, a annoncé lundi à Paris la ministre de la Culture du Québec, Christine St-Pierre. Le gouvernement du Québec va verser 1,5 million de dollars (900.000 euros) supplémentaires à TV5Monde, afin de "renforcer la contribution québécoise aux opérations de la chaîne", notamment concernant le sous-titrage, précise dans un communiqué Mme St-Pierre, qui a visité les locaux de la chaîne à Paris. Cette "augmentation de 40%" porte la contribution québécoise à environ 2,9 millions d'euros, a expliqué à l'AFP la directrice générale de TV5Monde, Marie-Christine Saragosse. Un montant supplémentaire de 400.000 dollars (250.000 euros) sera également alloué à TV5Québec Canada, la branche canadienne de TV5Monde qui émet en langue française dans tout le Canada. Quelque 240.000 dollars (150.000 euros) seront par ailleurs alloués pour la "libération des droits d'auteurs". "Grâce à ces enveloppes, TV5Monde va pouvoir programmer du cinéma québécois", s'est félicité Mme Saragosse. Au total, la participation québécoise à TV5Monde et TV5Québec Canada atteindra 7 millions de dollars (4,4 millions d'euros) en 2009. Mme St-Pierre a souligné "l'importance de continuer à soutenir TV5Monde et TV5Québec Canada, qui doivent demeurer compétitifs dans un environnement hautement concurrentiel". Partenaire de la holding publique Audiovisuel extérieur de la France (AEF), qui coiffe la chaîne France 24 et Radio France Internationale (RFI), TV5Monde dispose d'un budget de 97,5 millions d'euros, auquel l'Etat français contribue pour 71 millions d'euros, les partenaires étrangers (Belgique, Canada, Québec, Suisse) pour 18 millions d'euros, le reste étant assuré par des recettes propres.
  11. L'économie québécoise était au neutre en octobre 23 janvier 2009 - 11h58 Presse Canadienne Le produit intérieur brut (PIB) du Québec est resté inchangé en octobre dernier par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés vendredi par l'Institut de la statistique du Québec. En septembre, il avait augmenté de 0,6% et en août, il avait reculé de 0,4%. En octobre, les industries productrices de biens ont généré une hausse de 0,7%, alors que les industries productrices de services ont vu leur production reculer de 0,3%. Dans l'ensemble, neuf industries sur 19, ce qui représente près de 50% du PIB québécois, ont montré des pertes dans leur production en octobre par rapport à septembre. Pour en lire plus...
  12. La compagnie québécoise fera la fabrication de pièces de remplacement pour le train d'atterrissage de l'appareil Fokker 100. Pour en lire plus...
  13. La Fédération québécoise des municipalités demande à Québec de mettre sur pied une série de mesures afin de stimuler les économies locales en raison de la crise économique. Pour en lire plus...
  14. L'investissement du Groupe Jean Coutu dans les pharmacies américaines Rite Aid continue de peser dans les résultats de l'entreprise québécoise, qui enregistre des pertes nettes de près de 400 millions de dollars au troisième trimestre. Pour en lire plus...
  15. Hydro-Québec et deux distributeurs américains veulent construire une nouvelle interconnexion dans le but d'augmenter les exportations d'énergie québécoise. Pour en lire plus...
  16. La valeur totale des actifs des Québécois atteignait un peu plus de 94 milliards au troisième trimestre de 2008, selon les données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ). Pour en lire plus...
  17. L'imprimerie québécoise a annoncé que Pierre Karl Péladeau, Érik Péladeau, Jean Neveu et Jean La Couture ont démissionné de son conseil d'administration. Pour en lire plus...
  18. Alors que l'économie nord-américaine traverse une zone de turbulences intenses, l'industrie québécoise garde le cap et entend toujours embaucher des centaines d'ingénieurs. Pour en lire plus...
  19. Déjà, le tissu de l'industrie québécoise du vêtement s'était quelque peu élimé au contact des importations des pays émergents et d'un huard trop volatil. Il risque maintenant de s'effilocher avec le resserrement du crédit bancaire. Pour en lire plus...
  20. Les dangers de l'interventionnisme avec la Caisse 19 novembre 2008 - 06h32 La Presse Vincent Brousseau-Pouliot Déclenchée sur fond de crise financière, la campagne électorale québécoise accorde une grande place à l'économie.Commeles partis politiques ont décidé d'en faire leur principal enjeu électoral, La Presse Affaires leur pose cette semaine cinq grandes questions économiques. Aujourd'hui: la Caisse de dépôt doit-elle stimuler davantage l'économie québécoise? Message des économistes aux politiciens: laissez la Caisse de dépôt et placement du Québec tranquille. «La Caisse de dépôt, c'est pas touche!» dit l'économiste Pierre Fortin d'un ton catégorique. Et pourtant, le PQ et l'ADQ souhaitent que la Caisse s'implique davantage dans l'économie québécoise. Seul le PLQ est en faveur du statu quo. Les libéraux sont toutefois sur la même longueur d'onde que les économistes consultés par La Presse Affaires: le gouvernement ne devrait pas mêler le développement économique aux activités de la Caisse. «Les deux rôles de rendement et de développement économique sont contradictoires, dit Yves St-Maurice, économiste en chef adjoint du Mouvement Desjardins. Je serais très mal à l'aise si la Caisse devait remplir un double rôle.» Autre problème pour les partisans d'un plus grand interventionnisme à la Caisse: le bas de laine des Québécois grossit plus vite que l'économie québécoise, ce qui explique en grande partie pourquoi ses actifs québécois sont passés de 32,1% à 17,0% de la valeur globale de son portefeuille entre 2002 et 2007. «Il faut tenir compte de la réalité, dit Carlos Leitao, économiste en chef à la Banque Laurentienne. La Caisse est un acteur énorme même à l'échelle canadienne et il ne faut pas limiter son champ d'action.» La Caisse serait-elle devenue trop grosse pour l'économie québécoise? «Ce serait une façon arrogante de présenter les choses, répond Mark Boutet, vice-président des affaires publiques de la Caisse. En chiffres absolus, nous avons quand même augmenté la valeur de nos investissements au Québec au cours des cinq dernières années.» Le contexte économique a aussi changé. En 2002, la Caisse investissait surtout dans le secteur public québécois, qui constituait alors 57% de ses actifs québécois. Cette proportion est passée à 38% en 2007. «Les besoins de financement des gouvernements et des sociétés d'État québécoises ont été moins grands au cours des dernières années, dit Mark Boutet. Comme il y avait moins d'offre, nous avons dû trouver d'autres occasions d'investissement ailleurs.» La Caisse fait aussi valoir qu'elle a augmenté ses investissements dans le secteur privé québécois de 14 à 23 milliards de dollars entre 2002 et 2007. Mais les explications de la Caisse ne convainquent pas tous les partis politiques. Actuellement, la Caisse détient 15% de ses placements privés et 17% de ses placements totaux (privés et publics) au Québec. Selon l'ADQ, c'est définitivement trop peu. «À rentabilité égale, la Caisse doit donner la préférence aux investissements québécois plutôt que d'acheter du papier commercial ou des aéroports à Londres, dit le député adéquiste Gilles Taillon. J'ai l'impression qu'on regarde un peu trop de l'autre côté de la clôture à la Caisse.» L'économiste Pierre Fortin a une solution pour les politiciens qui trouvent que la Caisse n'investit pas assez dans l'économie québécoise: faites-le vous-mêmes. «Si le gouvernement veut stimuler l'économie québécoise, qu'il en prenne lui-même le risque, dit le professeur de l'UQAM. Intervenir dans l'économie est une fonction du gouvernement. La Caisse n'a pas ce mandat-là.» Selon Pierre Fortin, le mandat de la Caisse n'est pas seulement qu'un débat économique. Il s'agit aussi d'un enjeu moral. «Jouer avec les fonds de la Caisse, ce n'est pas juste de la mauvaise économie, c'est immoral, dit-il. La Caisse n'appartient pas au gouvernement mais aux épargnants. Et les épargnants n'ont pas donné le mandat au gouvernement de piger dans leurs économies.» Au contraire de l'ADQ, le Parti québécois demande à la Caisse de prévenir de nouvelles acquisitions d'entreprises québécoises par des intérêts étrangers en créant un nouveau fonds de 10 milliards. Ce fonds serait financé à la fois par les déposants de la Caisse et le gouvernement québécois. «Nous sommes inquiets qu'il y a ait encore des prises de contrôle des sociétés québécoises par des intérêts étrangers en raison de la baisse des marchés boursiers», dit le député péquiste François Legault. Peu importe l'issue des élections du 8 décembre, la Caisse entend continuer d'augmenter ses investissements au Québec. Elle s'oppose toutefois à être tenue un jour de respecter un seuil minimal d'investissements québécois. «Il ne faut pas oublier que la Caisse ne travaille pas dans un monde isolé, dit Mark Boutet, vice-président des affaires publiques de la Caisse. Il ne doit pas y avoir de distorsions sur les marchés. Dans tous les marchés, il y a des cycles. Au cours des dernières années, le financement était tellement facile que les entreprises québécoises n'avaient plus autant besoin de la Caisse. Elles allaient voir des banques québécoises ou étrangères pour obtenir du financement. Si nous avions dû détenir un pourcentage minimal d'actifs québécois, il aurait été difficile à respecter.» Le resserrement du crédit pourrait toutefois aider la Caisse à investir davantage dans l'économie québécoise au cours des prochaines années. «La situation est appelée à changer, dit Mark Boutet. On peut s'attendre à plus de demandes de financement des entreprises québécoises à la Caisse.» POUR L'intervention de la Caisse permettrait de stimuler l'économie québécoise en période de ralentissement économique. CONTRE L'intervention de la Caisse au Québec au-delà d'un certain seuil augmente les risques de voir ses rendements diminuer. L'économie québécoise n'est peut-être pas assez vaste pour satisfaire les critères d'investissement de la Caisse.
  21. Même les mariages les plus solides ne résistent pas toujours à l'épreuve du temps. Après 20 ans à la Banque Nationale, l'économiste en chef Clément Gignac quitte l'institution financière québécoise afin de mettre le cap vers Ottawa. Pour en lire plus...
  22. Le Québec doit-il retourner en déficit? Oui, disent les économistes à l'unisson. Même le grand responsable de l'atteinte du déficit zéro, l'ancien ministre des Finances Bernard Landry, plaide en faveur d'un retour au déficit si l'état de l'économie québécoise continue de se détériorer. Pour en lire plus...
  23. Le ciel sombre n'empêche pas certains de croire que la reprise est suffisamment proche pour commencer à investir dans la forêt québécoise. Pour en lire plus...
  24. L'économie du Québec épargnée par la crise 6 octobre 2008 - 16h01 Presse Canadienne Malgré le ralentissement américain et la crise financière qui s'étend maintenant jusqu'à l'Europe, l'économie québécoise tient bon, affirme le ministre du Développement économique, Raymond Bachand. Il précise qu'il ne faut pas s'attendre à une croissance fulgurante de l'économie québécoise, mais celle-ci réussit à tirer son épingle du jeu, assure-t-il. Il cite d'ailleurs des secteurs économiques qui continuent de bien se comporter, comme l'industrie pharmaceutique, le génie civil et l'aéronautique. Il concède que d'autres secteurs, comme le meuble, l'industrie forestière et celle des pièces automobiles, vont davantage souffrir, puisqu'elles dépendant largement des exportations vers le marché américain. Le ministre souligne que les investissements gouvernementaux annoncés dans les infrastructures y jouent aussi pour beaucoup, soutenant la construction et le génie civil. De son côté, le pdg du Fonds de solidarité FTQ, Yvon Bolduc, s'est montré moins optimiste pour l'ensemble de l'économie québécoise, prévoyant un ralentissement qui va nous toucher pendant 18 à 24 mois. Néanmoins, il assure que le Fonds de solidarité est très solide financièrement et n'a pas de dette, ce qui le place en excellente posture pour affronter les remous.
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