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  1. (Courtesy of CNW) Also at the start of the summer they should have 50 electric vehicles part of their fleet.
  2. LA RECHERCHE Vers une taxe sur le kilométrage Mathieu Perreault - La Presse 08 juillet 2009 | 05 h 00 Photo Ève Guillemette, Le Nouvelliste - Agrandir Les ventes de véhicules neufs restent faibles et ceux qu trouvent preneurs consomment de moins en moins à la pompe. Les gouvernements, qui dépendent des taxes sur l'essence, sont pris au dépourvu. Certains envisagent de changer la donne et de taxer plutôt selon le kilométrage et le poids des véhicules. Depuis que le prix de l'essence a connu un pic, l'an dernier, les ventes de véhicules restent faibles aux États-Unis et au Canada. C'est une bonne nouvelle pour l'environnement et pour le portefeuille des automobilistes. Mais les gouvernements, qui dépendent des taxes sur l'essence, sont pris au dépourvu. Certains envisagent de changer la donne et de taxer plutôt le kilométrage. "Nous pensons que les gens utiliseront de plus en plus des véhicules consommant moins d'essence", indique Jim Whitty, du département des Transports de l'Oregon, le seul État qui ait mis ce concept à l'essai. "C'est très bien pour le climat. Mais le financement des routes dépend des taxes sur l'essence. Si l'on vend moins d'essence, ça voudra dire moins d'argent pour les réparations et la construction. Je ne suis pas sûr que les électeurs soucieux de l'environnement veuillent nécessairement des routes moins bien entretenues." L'avantage d'une taxe sur le kilométrage est qu'elle n'a pas besoin d'être ajustée pour compenser les améliorations de la consommation d'essence du parc automobile. "Augmenter le taux de la taxe sur l'essence est un suicide politique, dit M. Whitty. C'est impossible. Mais la réalité, c'est que les voitures de l'avenir consommeront beaucoup moins d'essence, et que certaines n'en consommeront pas du tout. Déjà, on voit que la technologie hybride se répand sur beaucoup de modèles, parfois sans même avoir été publicisée." L'essai routier qu'a concocté M. Whitty incluait 300 automobiles, qui étaient suivies pendant un an grâce à une borne installée dans le véhicule. Les données de la borne pouvaient être téléchargées sans fil quand la voiture s'arrêtait dans une station de collecte de données. Un jour, ces stations de collecte de données pourraient être installées dans les postes d'essence. Le coût était de 200$US par véhicule. Mais si tous les véhicules de l'État étaient enregistrés, il baisserait à 100$, selon M. Whitty. Taxation en fonction de l'usure "L'avantage d'une taxation au kilomètre, c'est qu'on pourrait ajuster son taux en fonction de l'usure réelle causée par chaque automobiliste, dit l'ingénieur. Les véhicules plus lourds, comme les fourgonnettes et les véhicules utilitaires sport, endommagent plus les routes que les compactes. Mais en ce moment, on ne peut pas les pénaliser, parce qu'on ignore s'ils sont plus ou moins utilisés que les véhicules plus légers; un VUS utilisé seulement les fins de semaine aurait par exemple un impact similaire à celui d'une petite voiture qui servirait tous les jours. On pourrait vraiment passer à un principe d'utilisateur-payeur. Et ça favoriserait encore plus les petites voitures, qui consomment généralement moins, du moins pour les gens faisant beaucoup de kilométrage." Il s'agirait en quelque sorte d'une généralisation du principe du péage électronique. L'Oregon, qui a "inventé" la taxe sur l'essence en 1919, n'a pas décidé si la deuxième phase du projet, qui prévoit la mise au point d'un système fonctionnel, irait de l'avant. "Notre Congrès ne se réunit qu'une fois tous les deux ans, dit M. Whitty. Notre rapport a été complété à la fin de 2007, et le Congrès n'a commencé sa session qu'à la fin de janvier dernier." Il faudrait 10 millions US pour éliminer certains bogues lors de la deuxième phase, en plus des 2,9 millions déjà dépensés durant la première phase, qui était gérée par des ingénieurs de l'Université de l'Iowa. ******** Led: Ce qui est intéressant c'est que la consommation urbaine d'essence est plus grande en ville sur une plus courte distance ce qui encouragerait théoriquement les véhicules plus urbain à rester en ville tout en limitant leurs déplacements même s'ils consomment moins. Ça encourage le transport en commun, décourage l'étallement urbain (rapprochement des centres) et limite l'utilisation peu importe la consommation. La reglementation sur la consommation d'essence devrait s'appliquer au constructeurs et la reglementation sur les distances au utilisateurs... Peut-être que cela va nous aider à améliorer les routes là ou elles en ont besoin (Montréal) sans affecter necessairement les prix de transport de marchandises (réduction du prix de l'essence vs taxe sur le kilométrage). Qu'en pensez-vous?
  3. Les voitures électriques sont presque prêtes 22 juillet 2008 - 14h58 Presse Canadienne Agrandir La voiture électrique Zenn, fabriquée à Saint-Jérôme. La batterie au lithium-ion, qui se retrouve déjà dans plusieurs appareils électroniques courants, sera sous peu en mesure d'alimenter les voitures électriques rechargeables et deviendra dès lors la réponse toute indiquée aux cours élevés du carburant. C'est ce qu'ont estimé mardi des experts réunis dans le cadre d'un congrès en Californie. Mais même si la technologie semble fort prometteuse, les manufacturiers de la planète sont toujours confrontés à de nombreux obstacles, notamment les coûts élevés, la durée de vie des batteries et la surchauffe, selon les participants à la conférence Plug-In 2008 à San Jose, en Californie. Tien Duong, du département de l'Energie des États-Unis, croit néanmoins que la batterie au lithium-ion est presque prête à remplacer les piles à hydrure métallique de nickel qui se trouvent actuellement dans plusieurs véhicules hybrides gazéo-électriques. La batterie au lithium-ion pourrait être en mesure de donner aux véhicules un rayon de 64 kilomètres par charge, a quant à lui estimé Haresh Kamath, du Electric Power Research Institute. Mais les batteries au lithium-ion requises même par une petite voiture coûteraient aujourd'hui environ 10 000 $ US, a-t-il ajouté. Ce coût devra être abaissé de moitié avant que ces véhicules ne deviennent vraiment intéressants.
  4. http://journalmetro.com/actualites/montreal/756997/mille-voitures-electriques-en-libre-service-dici-5-ans/ 1000 voitures électriques en libre service d'ici 5 ans à Montréal 14/04/2015 Mise à jour : 14 avril 2015 | 19:42 Ajuster la taille du texte Mille voitures électriques en libre-service d’ici 5 ans Par Mathias Marchal Métro Montréal disposera d’ici 5 ans d’un réseau de 1000 autos électriques en libre-service. C’est ce qu’a annoncé le maire Denis Coderre en conférence de presse mardi. «Avec ce projet, Montréal fait d’une pierre quatre coups: déployer un système de véhicules électriques en libre-service, encourager tous les véhicules électriques car les bornes de recharge seront accessibles à tous, diminuer les gaz à effet de serre et positionner la ville en tant que leader dans l’électrification des transports», a déclaré M. Coderre. Un appel international d’intérêts sera lancé en juin aux entreprises intéressées afin de mieux cerner les besoins et «bâtir un système typiquement montréalais». Il aboutira au lancement d’un appel de propositions en octobre pour trouver une entreprise qui installera et gérera le réseau, les bornes de recharge restant de la responsabilité de la Ville et ses partenaires (Stationnement de Montréal, Hydro-Québec et la Commission des services électriques). Impossible par contre de savoir si, au terme du processus de sélection, il restera un ou plusieurs fournisseurs de service, comme c’est le cas actuellement avec car2go et Auto-mobile. Pressé de questions, le maire est resté flou sur le sujet, indiquant que cela serait tranché plus tard dans le processus. Pour l’opposition officielle, l’idée de lancer un appel d’offres indique d’ores et déjà qu’un seul fournisseur sera retenu. «Ça a toute les apparences d’un appel d’offres dirigé pour favoriser l’entreprise AutoLib’ [NDLR : service de libre-service en vigueur de Paris], le maire ayant déjà rencontré le patron de cette entreprise», a déclaré Alex Norris, un élu de Projet Montréal. «La batterie des Bluecar de Bolloré [le groupe français qui fournit les véhicules d’Autolib’] est plus performante (250km en ville). Il suffirait donc de mettre des critères élevés d’autonomie de la batterie pour favoriser l’entreprise», indique Vincent Dussault, blogueur pour RoulezÉlectrique.com. «Si la Ville veut des véhicules électriques, pourquoi ne joue-t-elle pas avec le système de vignettes universelles déjà en place pour favoriser les véhicules électriques et financer un réseau de recharge public», se questionne t-il. En attendant le début du déploiement du nouveau système, dès 2016, le centre-ville et les arrondissements, jusqu’ici récalcitrants, pourront adopter le système de vignette universelle 403 permettant à Auto-mobile et car2go d’étendre leur offre. Les maires des arrondissements de Ville-Marie, Hochelaga-Maisonneuve et Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension ont déjà indiqué leur intention de déployer cette vignette. Les représentants de car2go et Auto-mobile ont tous deux salué la nouvelle de l’électrification future du système d’autos en libre-service auquel ils affirment vouloir participer. Auto-mobile disposera dès cet été de 60 autos 100% électriques sur le territoire, en plus de véhicules hybrides . Et si les 340 autos Smart de car2go fonctionnent à l’essence, l’entreprise américaine propose des Smart électriques sur trois marché: Austin, Amsterdam et Stuttgart. 30 La Ville veut réduire de 30% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020 par rapport aux données de 1990. Elle compte aussi sur l’électrification des autobus et des véhicules municipaux.
  5. Une nouvelle qui a passée sous le radar. Montréal dépensera 100 M $ pour un nouveau pont à l’île Bizard La Ville de Montréal consacrera 100 millions $ pour remplacer le pont Jacques-Bizard, de l’arrondissement de L’Île-Bizard-Sainte-Geneviève, qui date de 1966. L’adoption du règlement d’emprunt, mercredi, «permettra de rénover le pont actuel et d’en construire un nouveau pour éviter toute interruption du lien routier», a dit le responsable des infrastructures au comité exécutif de la Ville de Montréal, Lionel Perez, par communiqué. Le pont actuel compte trois voies de circulation, une voie cyclable et un trottoir et est emprunté par 30 000 véhicules par jour. Le nouveau pont aura quatre voies, pour permettra de réduire les périodes de congestion. Les travaux ne débuteront pas avant 2018, pour prendre fin en 2020. http://www.tvanouvelles.ca/2016/02/10/montreal-depensera-100-m--pour-un-nouveau-pont-a-lile-bizard
  6. 29 novembre 2011 Communiqué Le futur Centre de transport Stinson de la STM La construction du Centre de transport Stinson a été annoncée hier. Situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, en bordure des rues Stinson et Montpellier, ce bâtiment de deux étages, d'une superficie totale de plancher de 38 400 mètres carrés, abritera 300 bus, soit 200 réguliers et 100 articulés. Certains aménagements de base seront prévus de façon à accueillir éventuellement des véhicules électriques. La STM compte mettre tout en œuvre pour que ce nouveau bâtiment reçoive la certification LEED OR (Leadership in Energy and Environmental Design). Ce serait alors le premier centre de transport LEED OR au Canada. Intégration des principes de développement durable Pour obtenir la certification LEED, la STM doit non seulement minimiser les impacts du projet au niveau de l'environnement, mais également assurer une gestion efficace des ressources. Elle doit se préoccuper de la qualité de vie des résidents du secteur, par exemple, en contrôlant les eaux de surface, boues et poussières pendant le chantier. Les matériaux utilisés seront de provenance régionale dans la mesure du possible. La circulation des véhicules se fera majoritairement à l'intérieur du centre, ce qui va être moins incommodant pour les résidents. Des espaces verts et boisés seront aménagés sur le terrain pour contribuer à sa mise en valeur et à la réduction des îlots de chaleur. Un système permettra de récupérer une partie des eaux de lavage et de pluie. Le toit végétal couvrira une surface équivalant à un terrain et demi de football, soit environ 25 % de sa surface totale. Une attention particulière sera apportée à l'éclairage extérieur afin de limiter sa projection au site même. La performance énergétique sera optimisée de façon à récupérer près de 85 % de la chaleur lors des périodes froides. Ouverture à l'automne 2013
  7. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport/hydro-quebec-veut-sa-voiture-electrique/584722 Excellente nouvelle! (y)
  8. Le fabricant californien de véhicules électriques de luxe Tesla Motors est sur le point de frapper un grand coup à Montréal. Tesla aura pignon au 5350, rue Ferrier, près de concessionnaires Mercedes, Jaguar et Rolls-Royce. Le constructeur californien prévoit bientôt présenter un modèle coûtant de 30 000 à 40 000 $. L'entreprise fondée en 2003 par Elon Musk ouvrira son premier véritable magasin au Québec sur la rue Ferrier, a appris La Presse Affaires. Le bâtiment d'environ 45 000 pieds carrés se situe dans le voisinage de l'Orange Julep, à l'ouest de l'autoroute Décarie, dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. Il deviendrait, nous dit-on, l'un des plus importants points de service de Tesla en Amérique du Nord. Toujours selon nos informations, Tesla dépensera plus d'un million de dollars pour aménager les lieux à son goût. Avec des travaux de cette envergure à l'agenda, l'ouverture ne pourra se faire avant les derniers mois de 2014 ou le début de 2015. Un courriel adressé au service de presse de Tesla en Californie est resté sans suite. Dans un article paru le 31 mars 2014, La Presse Affaires, qui s'était rendue au siège social de Tesla à Palo Alto, écrivait qu'un point de vente ouvrirait à Montréal cette année. Mais le secret devait être maintenu jusqu'à la dernière minute, et rien ne serait annoncé avant la signature d'un bail en bonne et due forme. Association naturelle Que Tesla s'installe avec faste au Québec tombe sous le sens. La province est branchée, comme on le sait, sur de vastes ressources hydroélectriques qui font sa fierté. Le gouvernement provincial mène d'ailleurs une ambitieuse politique d'électrification des transports. Tesla est le fabricant automobile de l'heure. Son modèle S, qui va de 0 à 100 km/h en 4 secondes, fait fureur auprès des vedettes d'Hollywood. Le magazine Consumer Reports a qualifié la voiture de «presque parfaite» et lui a accordé la note de 99 %. Inscrite en Bourse, l'action du constructeur (TSLA,) se vend à 78 fois les profits de 2015. On dénombre au 31 juillet environ 250 véhicules Tesla immatriculés au Québec. Le prix de départ du modèle S - plus de 70 000 $ - limite pour l'instant les ventes dans la province, mais celles-ci sont susceptibles de prendre leur envol quand le modèle de «troisième génération», qui devrait coûter de 30 000 à 40 000 $, fera son apparition, autour de 2017. À Montréal, le bâtiment choisi a hébergé dans le passé un concessionnaire Chrysler et, auparavant, une concession Infiniti. Le garage compte une dizaine de postes de travail, communément appelés baies de services, et dispose d'un garage intérieur pour loger les véhicules en stock. La salle d'exposition servira à exposer ses nouveaux véhicules, comme le modèle X, à quatre roues motrices. Lors de notre visite des lieux jeudi, des employés de la compagnie National Démolition s'affairaient à dégarnir l'intérieur du garage. Depuis décembre dernier, les plus importantes installations canadiennes de Tesla se trouvent au 1325, avenue Lawrence Est, à Toronto, un ancien concessionnaire Lamborghini de 17 000 pieds carrés. Une entreprise exceptionnelle Entreprise révolutionnaire avec ses stations superchargeurs capables de recharger 50 % de la batterie en 20 minutes réparties bientôt aux quatre coins de l'Amérique, Tesla a un modèle d'affaires distinct. Ses ventes se font principalement par internet et non par l'entremise de concessionnaires. Ses magasins servent surtout à mettre ses modèles en vitrine et à inviter les clients à un essai routier. Ses points de vente ressemblent d'ailleurs plus à une boutique Apple qu'à un concessionnaire Ford. Tesla s'installe volontiers dans des centres commerciaux de haut de gamme. Dans la Ville-reine, le fabricant automobile s'est installé dans le mail Yorkdale, dans un local de 2500 pieds carrés faisant face aux boutiques Apple et Microsoft. Il a aussi pignon sur la très recherchée rue Robson à Vancouver. À Montréal, la société a choisi de se rapprocher des quartiers cossus de Mont-Royal, Hampstead, Côte-Saint-Luc, Outremont, Notre-Dame-de-Grâce et Westmount. Tesla n'est d'ailleurs pas le seul vendeur d'autos de luxe du quartier. De bord et d'autre de l'autoroute Décarie à cette hauteur, l'automobiliste en moyen peut choisir entre Mercedes, Jaguar et Rolls-Royce. Depuis la fin de 2012, Tesla exploite temporairement un modeste centre de services sur le boulevard des Laurentides, à Laval, où il est possible d'effectuer des essais routiers sur rendez-vous. Nous n'avons pas pu parler directement au représentant Tesla, Renaud-Pierre Bérubé. Son adjointe a confirmé que les clients qui passaient une commande devaient attendre trois mois avant de prendre livraison de l'objet de leurs désirs. Elle a dit que le magasin montréalais n'ouvrira pas ses portes avant 2015. http://affaires.lapresse.ca/economie/automobile/201408/15/01-4791912-tesla-frappe-un-grand-coup-a-montreal.php
  9. Publié le 02 mars 2013 à 06h00 | Mis à jour le 02 mars 2013 à 06h00 Nouer le cordon François Cardinal La Presse L'idée était déjà saugrenue. Voilà qu'elle devient morbide. La CMM a demandé au CIRANO de se pencher sur deux scénarios de péage pour la région métropolitaine, dont le péage-cordon autour du centre-ville, comme à Londres. Or, le bilan de ce dernier, qui fête ses 10 ans ces jours-ci, montre bien les risques qu'une telle mesure ferait courir à Montréal. Implanté dans la capitale britannique le 17 février 2003, le «congestion charge» restreint l'accès au centre de la ville en tarifant les véhicules qui pénètrent dans un périmètre comprenant la City et le West End. À l'époque, la création d'une zone de péage sans précédent a fait rugir au point où le maire anticipait un «bloody day» le jour de l'inauguration. Puis, tranquillement, les esprits se sont calmés, les habitudes ont changé... et les automobilistes se sont trouvés d'autres chemins! L'impact sur la circulation de cette vaste zone de péage est en effet très mitigé. On a bel et bien observé une diminution des voitures en nombre absolu dans le coeur de Londres, mais pas de baisse du trafic ou de la pollution atmosphérique. Comment est-ce possible? Le centre-ville s'est bel et bien vidé d'un certain nombre de voitures, mais celles-ci ont été remplacées par des chantiers, des voies réservées et des pistes cyclables. Résultat: malgré une baisse de 20% du nombre de véhicules, la congestion n'a pas été réduite, bien qu'il s'agisse du tout premier objectif de la mesure. On s'est aussi aperçu que la vaste majorité des autos qui n'entraient plus au centre-ville choisissaient plutôt de le longer. Des bouchons de circulation se sont ainsi formés autour de la zone payante, déplaçant ainsi les problèmes de trafic et de pollution un peu plus loin. On n'a donc pas véritablement réduit la motorisation pour la peine, mais on semble, par contre, avoir réduit les profits des commerçants! Les constats ne sont pas clairs à ce sujet, mais une étude publiée en 2007 dans le réputé Journal of Transport Economics and Policy démontre un impact diffus sur les magasins: certains n'ont pas été affectés, d'autres ont noté une baisse de leurs ventes atteignant 7%. Imaginons maintenant l'impact sur un centre-ville de taille moyenne qui n'a pas le pouvoir d'attraction de la City. Imaginons un péage au coeur d'une métropole dont plusieurs artères commerciales sont mal en point. Imaginons une barrière tarifaire aux portes d'une ville qui rechigne à organiser une journée sans voitures par année... Vrai, il y a un argument de poids en faveur du péage londonien: ses revenus. L'an dernier, la Ville a récolté plus de 430 millionsCAN qui ont permis de développer le transport en commun. Pas mal... si on passe sous silence le tarif exigé (15$) et le fait que le tiers de cette somme (5$) sert à opérer le réseau de péages. Exiger un tel montant serait évidemment impossible ici. Si la 5e métropole mondiale en terme de PIB peine à faire de ce péage une réussite, comment penser une seule seconde que la 78e ferait mieux? Le cordon, tôt ou tard, finirait par l'asphyxier.
  10. http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2014/01/20140113-121935.html L'autoroute 40 ouest a été complètement fermée à la circulation, lundi midi, après qu'un morceau de béton eut chuté d'un viaduc dans l'ouest de Montréal. (Photo Agence QMI) Une voiture a été touchée par du béton et d'autres véhicules ont subi des crevaisons. (Photo Agence QMI) L'incident, qui n'aurait pas fait de blessé, s'est produit près de la sortie pour les boulevards Henri-Bourassa et Hymus <small class="caption" style="color: rgb(128, 128, 128); font-family: arial, helvetica; background-color: rgb(20, 21, 35);">(Photo Agence QMI)</small> Une voiture a été touchée par du béton et d'autres véhicules ont subi des crevaisons. <small class="caption" style="color: rgb(128, 128, 128); font-family: arial, helvetica; background-color: rgb(20, 21, 35);">(Photo Agence QMI)</small> L'incident, qui n'aurait pas fait de blessé, s'est produit près de la sortie pour les boulevards Henri-Bourassa et Hymus
  11. Ilot Voyageur Architectes: ? Fin de la construction:2009 Utilisation: Nouveau pavillon de l'UQAM/résidences/nouveau terminus d'autobus Emplacement: Quartier Latin, Montréal ? mètres - 16 étages Descriptions: - Le nouveau pavillon comprendra 2 155 résidences universitaires. - Les gaz d'échappement des autos et des autobus seront récupérés dans le stationnement sousterrain. - sur 800 place de stationnement, 100 seront réservées pour le covoiturage et les véhicules à faible consommation d'essence. - Le projet inclu 560 places pour les vélos.
  12. Vers une nouvelle culture de la mobilité urbaine Accroître de 16 % les déplacements collectifs d'ici à 2012 Florence Junca Adenot, Responsable du Forum Urba 2015 et professeure au département d'études urbaines et touristiques de l'UQAM Le Devoir édition du lundi 09 juin 2008 La Commission européenne adoptait en 2007 son livre vert sur les transports urbains. La loi cadre québécoise sur le développement durable remonte à 2006. Le concept de mobilité urbaine durable émerge dans un contexte urbain en changement. Les déplacements des personnes et des biens se multiplient et se diversifient dans l'agglomération montréalaise comme ailleurs, alors que la croissance démographique stagne. La pollution atmosphérique, avec ses effets sur la santé, s'accroît. Les coûts économiques et sociaux de la congestion routière grimpent. La raréfaction prévue de l'offre de pétrole entraîne déjà une escalade des prix de l'essence. La recherche d'une meilleure qualité de vie urbaine guide les choix citoyens. Ces phénomènes remettent en question la planification des transports et les modes de développement des villes au cours des 30 dernières années. Les fonds publics québécois récemment injectés fixent à 8 % l'augmentation de l'achalandage des transports collectifs d'ici 2012. C'est insuffisant; 8 % furent atteints de 1998 à 2003, par l'AMT et les organismes de transport de la région de Montréal. Durant cette période, la part des déplacements en transports collectifs s'est maintenue autour de 20 %, en raison de la forte hausse du nombre d'automobiles. Une hausse de 8 % est donc loin d'être suffisante. Une hausse de 16 à 20 % correspond à la cible à atteindre. Mais comment y parvenir? La mobilité urbaine durable Améliorer la fluidité routière par l'élargissement des voies et la construction de nouvelles est un choix du passé. La mobilité et les modes de transport retenus doivent maintenant intégrer des critères d'efficacité économique, de qualité de vie urbaine et de préservation de l'environnement. L'accessibilité sécuritaire et équitable, à un coût raisonnable, aux emplois, aux services, à l'éducation aux loisirs, ainsi que la mobilité durable deviennent deux exigences. Les nouveaux défis du transport des personnes conjuguent dynamisme économique, diminution des émissions polluantes, consommation réduite des ressources non renouvelables et des espaces, et recyclage de ses composants. La localisation des activités des villes est remise en question, afin de parvenir à générer moins de déplacements et à modifier leurs routes, facilitant ainsi les moyens collectifs et actifs. De l'auto aux transports collectifs et actifs Réconcilier la flexibilité offerte par la voiture et les principes de mobilité urbaine durable passe par un changement de culture, tant chez les usagers, les transporteurs et les entreprises que chez les décideurs. Multiplier les transports par bus, train, métro, tramway, les voies réservées sur tous les axes, favoriser la multimodalité et l'intermodalité entre les modes et les services, faciliter l'usage du vélo et de la marche, tout cela offre des alternatives intéressantes et contribue à diminuer les solutions motorisés responsables de 40 % des GES et de la majorité des accidents. L'espace routier libéré aide ceux qui en ont besoin et limite les pertes en heures travaillées, qui atteignent un million annuellement à Montréal. Une offre de transport, meilleure qualitativement et quantitativement, plus souple, intégrée, mieux adaptée aux différents espaces du Montréal métropolitain, passe par une approche imaginative et moins segmentée entre les organismes de transport. Utiliser l'auto autrement Soixante-dix pour cent des citoyens urbains des pays industrialisés voient l'auto comme le meilleur moyen de transport. L'utiliser autrement permet de l'intégrer à la chaîne de transport. Les stationnements incitatifs combinent l'auto et un transport collectif. Le covoiturage, organisé par les programmes employeurs, accroît le taux d'occupation des véhicules (1,2 personne aux heures de pointe), diminue d'autant ceux en circulation, et génère des économies. L'usage des flottes d'autos concilie flexibilité et transports collectifs. Les taxis offrent un transport individuel optimisant l'usage de la voiture. Ces choix requièrent des politiques cohérentes sur tous les plans. Par exemple, ne pas élargir une route pour favoriser la fluidité mais plutôt y insérer des voies réservées aux transports collectifs; ou encore encourager les entreprises, dont 56 % des places de stationnement sont gratuites à Montréal, à les rendre payantes et à assumer les frais de transports collectifs de leurs employés. La mobilité urbaine durable signifie aussi des véhicules moins polluants, utilisant moins de ressources non renouvelables, plus petits en ville. Et à quand l'électrification des trains de banlieue et l'usage de bus et de véhicules électriques ou bimodes dans les parcs d'entreprises et des organismes publics? À quand des stimulants à produire et à acheter des véhicules moins polluants et moins gourmands? Le Québec est un bassin naturel pour ces expériences. Concevoir la ville autrement Trente ans d'aménagement distribuant les fonctions urbaines sur un territoire de plus en plus vaste desservi en auto, a des effets pervers et coûteux sur la métropole, et ce, d'autant plus que les déplacements domicile-travail font plus de place aux déplacements variés, toute la journée. Or, la mobilité urbaine durable appelle à limiter la longueur des déplacements auto et à les éliminer si possible. Un moyen efficace consiste à intégrer les choix d'aménagement, de transports et l'environnement en localisant les activités résidentielles plus denses, les commerces, bureaux, services, parcs autour des pôles de transports collectifs, selon les principes du TOD (Transit Oriented Development) ou du nouvel urbanisme. Cette approche conduit à repenser les quartiers urbains et le modèle de développement des banlieues pour créer des milieux de vie priorisant l'usage des transports collectifs et actifs. Ces nouveaux lieux urbains rendent accessibles, à pied, la plupart des services de proximité. Un chantier collectif stimulant La mobilité urbaine durable est un fantastique chantier collectif et il y a urgence d'agir. Beaucoup de mesures sont peu coûteuses. Les citoyens s'impatientent devant la flambée des prix de l'essence et réclament des interventions. Les médias ont un rôle fondamental de sensibilisation et de vigie à jouer. Les entreprises ont la responsabilité économique et sociale d'aider leurs employés à se déplacer autrement et de changer leurs propres pratiques. Les constructeurs cherchent à rendre moins énergivores et polluants leurs véhicules. Les organismes de transport et leurs consultants sont au coeur du défi de modifier et d'augmenter leurs offres et leurs pratiques. Les planificateurs urbains et ministériels cherchent la voie pour aménager la ville autrement. Le système éducatif forme en ces matières et fait évoluer les connaissances. Enfin, les élus, à tous les niveaux, et au premier rang les élus municipaux, ont la lourde responsabilité de piloter les changements, de décider, et de financer adéquatement ce chantier qui représente un investissement pour l'avenir. La complexité des interventions, la difficulté des choix et la multitude des lieux de décision ne doivent pas servir de prétextes pour retarder ces choix de société incontournables. Lien
  13. Qu'est-ce que le PRT? Il s'agit d'une catégorie de transport en commun ou les véhicule sont de petites tailles. Pour contrer la perte d'efficacité du au nombre de place limité, les PRT sont doté de la capacité d'aller directement au point voulu sans faire toutes les arrêts intermédiaire. Les véhicules sont surnommé pour le moment des "Pod". L'idée n'est pas nouvelle. Des gens on déjà réfléchit à ce type de transport durant les années 60 et 70. Cependant, la technologies n'y était pas encore et ils nécessitait l'emploi de rail qui rendait le système très coûteux. De nos jours, plusieurs technologies rendre possible ce type de transport. (Pod du PRT ULTra de l'Aéroport Heathrow de Londres) Principe: Il s'agit de petit véhicules électrique guidé par des chemin. Dans la solution retenu à Londres, les chemin ne sont que des simples muret de béton ou des senseurs analyse la distance entre le véhicule et les senseurs pour se dirigé. Ce procédé à l'avantage d'avoir un coût par Km très bas. Plus bas que bien d'autre système similaire. (tramway, trolleybus, etc). Les véhicule ayant des roues et se dirigeant par lui même, il a la possibilité de facilement choisir son itinéraire. On implémente alors des voies de contournement des stations ou des chemins plus direct et ainsi le pod peut se rendre dans un temps record à sa destination. Les véhicule étant plus petit, l'emprise au sol est moins importante. Mais ça, c'est si on a l'intention de les faire circuler dans la rue. Il est possible de leur faire des voies sur-élevées et/ou les faire passer dans un tunnel de métro. Il serait même possible d'envisager une parfaite interopérabilité entre les tunnels et la surface. Dans ce mode les station de métros pourrais être transformer en point d'accès au tunnel, les pods fessant leur trajet sur terre en périphérie et irais dans les tunnels au endroit ou la ville est plus denses. L'avancé technologiques qui rend le système plus efficace aujourd'hui est le transfert du contrôle du véhicule de l'ordinateur centrale vers les pods. En effet, ces dernier son autonome et ont le trajet disponible en mémoire. Il sont donc autonome et capable de s'orienté par eux même. Ils analyse leur environnement et peuvent ainsi opéré avec d'autre véhicule autonome de manière transparente. Si la voie est bloqué, le véhicule le détectera et s'arrêtera. Il est même possible d'en faire des mini-train pour profité de l'effet d'aspiration du véhicule de tête et ainsi sauver de l'énergie. L'autre avancé et l'utilisation de batterie au lieu de chemin électrifié. Cela simplifie les coûts de mise en place et la complexité des voies. En ce moment, les véhicule se recharge au station et via bande à quelques endroit sur la piste via contact mais il n'est pas exclus d'y apporter la recharge sans fils. Le faible poids de chaque véhicule aussi simplifie la mise en place de viaduc et autres structures, ces dernières devant supporter moins de poids. Avantages sur l'auto: - Non polluant - Utilisation commune - N'est pas nécessaire de les stationner - Peut rouler très près des autres véhicules et les mouvement sont coordonnés par ordinateurs, augmentant le débit - Véhicule sur demande Avantage sur les mode de ToC Traditionnel - Personnel - Se rend à destination via le chemin le plus rapide - ne s'arrête pas au station intermédiaire - Totalement automatisé Concernant la capacité de transport, la grande flexibilité du système offre plusieurs avantages pour augmenter le nombre de passagers transporter par heure. Dans un cas typique d'une ligne dans chaque direction sur une seul ligne, le PRT fait moins bonne figure que les autres types de transport. Cependant, la faible emprise au sol permet de facilement doubler le nombre de ligne, augmentant d'autant plus la capacité du système. Dans un système multi-lignes, les lignes alternatives pourront être utilisé en cas de congestion de la ligne directe. Ces dernières aussi pourront être utilisé pour déplacer les pods vides aux heures de pointes. Solution la plus éco-énergétique ? Les pods de la compagnie ULTra sont en ce moment un des véhicules les moins énergivore. Ils nécessitent 819 BTU/passagers/miles tandis qu'un autos nécessites en moyenne 3496 BTU/passagers/miles. Ils sont donc vraiment plus efficace que l'autos et en plus, ils s'alimente à l'électricité. Cependant, si on le compare avec les autres types de transport en commun, ce qui est plus difficile étant données que cela varie selon la source d'énergie, le type de véhicule et la fréquence de passages, on obtiens environs: 4318 BTU/Passagers/miles pour l'autobus 2750 BTU/Passagers/miles pour le tramway et autre train électrique 2570 BTU/Passagers/miles pour les trains de banlieues Evidemment, ces chiffres sont des moyennes basés sur certains équipement et en situation réel, cela peux varier de beaucoup. cependant, dites vous que plus il y a de véhicules avec peu ou pas de passagers qui circules, plus la moyenne de consommations par passagers/miles augmente, ce qui n'est pas le cas du PRT puisque les déplacement à vide son minimisé. La consommation est si faible que plusieurs pensent pouvoir l'alimenté via l'énergie solaire (chose qui bien sur, sera impossible si on les fait circuler dans des tunnels.) Voici une vidéo qui montre comment fonctionne le système.
  14. Montréal et les autres villes liées de l'île pourraient prélever environ 27 millions de dollars par année en appliquant la taxe sur les véhicules immatriculés dans leur territoire au même taux que la Ville de Toronto. Depuis le 1er septembre 2008, le gouvernement de l'Ontario perçoit pour la Ville de Toronto une «taxe sur les véhicules personnels» de 60$ par année, en même temps que les droits d'immatriculation. >>> Véhicules immatriculés dans l'île de Montréal À Montréal, comme dans le reste de la région métropolitaine, les résidants paient déjà, depuis les années 90, en même temps que l'immatriculation de leur voiture, une somme de 30$ par année destinée au financement des transports en commun. Si l'on porte cette somme à 60$, multipliée par 894 419 (le nombre de véhicules immatriculés dans l'île de Montréal, selon les données les plus récentes de la Société de l'assurance automobile du Québec), les villes de l'agglomération de Montréal percevraient donc 26,8 millions de dollars par année. Mais ce n'est là qu'une hypothèse puisque les maires Gérald Tremblay et Peter Trent n'ont pas précisé à combien s'élèverait la taxe ni à quel type de véhicules elle s'appliquerait. MM. Tremblay et Trent ont de plus indiqué que cette taxe pourrait varier selon le poids ou le type de véhicule. À Toronto, la taxe est perçue sur les véhicules personnels seulement. Selon les données de la SAAQ, il y avait 702 000 automobiles et camions légers immatriculés dans l'île de Montréal en 2009, et près de 113 000 véhicules du même type immatriculés à des http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201011/06/01-4339993-si-montreal-imitait-toronto-des-revenus-potentiels-de-27-millions.php
  15. Vendredi 5 Février 2010 à 11h54 Hyundai de retour au Canada ? Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Les affaires de Hyundai vont tellement bien au pays que ce constructeur coréen évoque maintenant la possibilité de construire une usine au Canada d’ici 10 ans. C’est la déclaration pour le moins étonnante qu’a faite Steve Kelleher, président de Hyundai Canada, en entrevue à la Presse canadienne. Hyundai est l’un des rares constructeurs à avoir profité de la récession en 2009. Tandis que l’industrie de l’auto a vu ses ventes chuter de 13% au Canada, ce fabricant a progressé de 26%. Pour la première fois au pays, ses ventes ont passé la barre des 100 000 véhicules. Résultat : la part de marché de Hyundai a grimpé de 4,9% en 2008 à 7,1% en 2009. Ce n’est pas seulement parce que les véhicules de Hyundai sont attrayants en raison de leur bas prix. C’est aussi parce que Hyundai, qui a longtemps été associé à des voitures de piètre qualité, a travaillé fort pour améliorer ses véhicules et changer son image de fabricant de tacots. Évidemment, un possible retour de Hyundai au Canada suscite des sentiments partagés chez les Québécois qui se souviennent du feuilleton de l’usine de Bromont. Cette usine des Cantons de l’Est a fermé ses portes en 1994 après avoir essuyé de lourdes pertes pendant cinq ans, envoyant 850 travailleurs au chômage. Les gouvernements du Québec et du Canada avaient offert des subventions de 110 millions de dollars au constructeur coréen pour qu’il s’établisse à Bromont. Toutefois, seulement 46 millions avaient été versés au moment de la fermeture. Construite au coût de 450 millions de dollars, l’usine n’a jamais tenu ses promesses. Au sommet de sa production, elle assemblait 20 000 voitures par année, ce qui est bien en deçà des 100 000 véhicules prévus à l’origine. Désaffectée, l’usine abrite maintenant un fabricant d’éoliennes. Bromont a été un vrai cauchemar financier pour Hyundai, qui a fini par vendre son usine pour une bouchée de pain (moins de 3 millions !). Aussi, il serait étonnant que ce constructeur coréen revienne en ces terres. Et encore plus au Québec, qui est très excentré par rapport au cœur de l’industrie automobile, situé au sud de l’Ontario. Bref, si Hyundai revient un jour au Canada - et c’est un gros si -, le Québec ne devrait pas trop entretenir de grands espoirs… Et oui, c’est Jean Charest qui a inauguré l’usine de Hyundai de Bromont, alors qu’il était ministre dans le gouvernement conservateur de Brian Mulroney. Parions que le premier ministre n’aura pas cette chance une seconde fois. Photo de Pierre McCann, de La Presse.
  16. Saturn Canada n'est plus Publié le 28 août 2009 à 15h24 | Mis à jour à 15h38 Saturn Canada n'est plus. Le nouvel acheteur de la marque, Penske, n'est pas intéressé à la division canadienne et les 60 concessionnaires du réseau se retrouvent le bec à l'eau. Les concessionnaires canadiens, dont 15 sont situés au Québec, ont appris la nouvelle par lettre il y a quelques jours. Ils devront cesser de vendre des véhicules Saturn au plus tard le 31 décembre. «Au Canada, il y a un très grand territoire à couvrir pour le peu de volume de ventes, explique Jean-Claude Gravel, dont le groupe exploite entre autres une concession Saturn sur la Rive-Sud et à l'Île-des-Soeurs. Penske a donc préféré continuer à exploiter le produit Saturn strictement aux États-Unis.» Les propriétaires de voitures Saturn pourront néanmoins obtenir le service et faire honorer leur garantie dans le réseau de concessionnaires GM. Penske Automotive, basée en Illinois, a indiqué à La Presse Affaires que l'entreprise ne pouvait faire aucun commentaire sur Saturn, la transaction n'étant pas encore officiellement complétée. Penske continuera de vendre des véhicules GM dans son réseau de 350 concessionnaires américains. Selon l'entente entre les deux entreprises, GM continuera de fabriquer les Saturn pour le compte de Penske.
  17. Publié le 24 mai 2009 à 08h19 | Mis à jour à 08h19 La révolution d'Obama Alain Dubuc La Presse Barack Obama a annoncé cette semaine une initiative qui aura un impact économique et environnemental considérable. Il s'agit d'une entente avec l'industrie pour imposer de nouveaux standards d'émissions des véhicules, qui réduiront de façon significative la consommation d'essence et les émissions de gaz à effet de serre. Ce virage, que le président américain a décrit à juste titre comme historique, a eu peu d'échos ici. Et pourtant, même si elle a été décidée à Washington, cette politique nous affectera autant que les Américains. Parce que les 20% de l'industrie automobile nord-américaine qui se trouvent au Canada devront se conformer à ces standards. Et parce que le gouvernement canadien, à la remorque de Washington, sans politique énergétique propre, a déjà laissé entendre qu'il s'ajusterait à ces normes américaines. Cela veut dire que nous serons directement affectés en tant que consommateurs. Entre 2012 et 2016, les producteurs devront réduire les émissions de dioxyde de carbone des véhicules du tiers, et la consommation d'essence d'environ 30%. Pour les automobiles, la consommation devra être, en moyenne, de 35 milles (48 km) au gallon en 2016, soit environ 5,6 litres aux 100 kilomètres. C'est une révolution. Cet objectif extrêmement ambitieux a réussi à rallier le gouverneur républicain de la Californie, Arnold Schwarzenegger, dont les efforts pour imposer des normes environnementales sévères dans son État avaient été bloqués par l'administration Bush. Mais le tour de force du président, c'est d'avoir réussi à faire accepter cette révolution aux constructeurs automobiles qui, jusqu'ici, avaient résisté farouchement. C'est sans doute là un des effets positifs de la crise. L'industrie américaine, qui vit maintenant aux crochets de l'État, n'est plus capable d'imposer sa logique. L'impact environnemental sera significatif, si l'industrie réussit à se conformer à ces normes. Cela équivaut, sur une période de six ans et demi, à retirer 177 millions d'autos de la circulation. Ces mêmes normes, qui s'appliqueront de ce côté-ci de la frontière, auront un effet important, quand on sait qu'au Québec, 31% des émissions des GES proviennent du transport routier. Ce sera tout un choc pour l'industrie, qui devra faire des miracles pour respecter ces cibles, modifier sa gamme de véhicules, accélérer l'innovation technologique, investir des milliards pour convertir les usines. Ce n'est pas rien. Les consommateurs seront aussi touchés. Ces autos moins énergivores coûteront 1300$ de plus, quand on additionne l'effet des normes des administrations Bush et Obama. Cette somme pourra toutefois être récupérée par le choix d'une plus petite auto et par les économies d'essence. Et pourtant, cette nouvelle politique, qui représente un des gestes les plus significatifs pour réduire les émissions de GES, n'a pas suscité ici les réactions qu'elle méritait. Parce que c'est aux États-Unis? Parce que Barack Obama fait trop d'annonces? J'ai une autre explication. J'y vois le reflet d'une tension entre deux façons de résoudre les défis environnementaux: l'approche pragmatique et l'approche militante. Cette réduction draconienne des standards des émissions sera efficace, elle donnera des résultats. Mais elle s'inscrit dans la logique du système; elle ne remet pas en cause la culture de l'automobile, elle la rend plutôt moins nuisible, elle la civilise. La plupart des groupes environnementaux privilégient plutôt une approche qui réduit la place de l'automobile, par le vélo, les transports en commun, l'aménagement urbain. Des avenues dans lesquelles il faut mettre toutes nos énergies. Mais derrière les objectifs immédiats, les batailles environnementales se mènent à un second niveau et s'inscrivent dans un projet plus global qui cherche aussi à modifier les comportements humains, à repenser le système socioéconomique. Voilà pourquoi le projet américain ne suscite pas tant d'enthousiasme. Les militants voudraient changer le système. Ce que montrent les projets du président Obama, c'est que le système peut changer. adubuc@lapresse.ca
  18. Selon le Washington Post, le plan de restructuration de GM, qui a déjà reçu 15,4G$US en aide publique, prévoit que de moins en moins de véhicules vendus sur le marché américain seront fabriqués aux États-Unis. Pour en lire plus...
  19. Les partisans de la voiture tout électrique font fausse route Le Devoir Louis-Gilles Francoeur Édition du vendredi 09 janvier 2009 Mots clés : environnement, voiture électrique, Transport, Automobile, Québec (province) Il vaut mieux miser sur l'hybride rechargeable, selon un rapport produit pour l'Élysée Photo: Jacques Nadeau D'un point de vue environnemental et social, le recours massif à l'automobile tout électrique n'est pas la solution pour les prochaines décennies: c'est plutôt du côté de la voiture «hybride rechargeable» que se trouve la solution de base pour réduire la contribution du parc automobile au réchauffement de la planète et à la pollution urbaine. Cette conclusion est celle du rapport produit à la demande du gouvernement français par un de ses plus éminents spécialistes en énergie, Jean Syrota, qui conclut en outre que le recours à l'hydrogène n'est pas non plus une solution viable et adaptée au transport. Le rapport Syrota, signé par l'ancien président de la Commission de régulation de l'électricité de France, bouleverse les constructeurs internationaux et plusieurs gouvernements depuis sa publication imprévue par la revue française Le Point, il y a quelques semaines. L'Élysée avait ce rapport en main depuis la fin de septembre, mais refusait de le divulguer. Le Financial Times, qui a consacré un article récemment à ce rapport désormais en ligne sur le site Internet du Point, se demande si le président Sarkozy ne s'est pas assis dessus pour ne pas indisposer ses amis des grands groupes Boloré et Dassault, lesquels ont plein de projets du côté des tout électriques. Les projets de Dassault sont d'ailleurs inspirés des brevets d'Hydro-Québec, notamment dans le projet de construction de la Cleanova. Pour être supportable à l'échelle internationale, explique le rapport Syrota, l'inéluctable croissance du parc automobile devra être compensée par la réduction de la consommation unitaire de chaque véhicule, des émissions polluantes et des émissions de gaz à effet de serre (GES). Cela exigera un changement radical à la fois des habitudes des consommateurs et des stratégies des constructeurs. Le carburant, y lit-on, demeure la source d'énergie la mieux adaptée à la propulsion des véhicules parce qu'elle leur confère une étonnante mobilité. Mais ce qu'il faut, c'est réduire de façon radicale leur consommation. On peut déjà obtenir une réduction de la moitié de cette consommation avec les solutions techniques connues. Mais, précise le rapport Syrota, «le véhicule hybride rechargeable sur le réseau électrique, qui peut s'assimiler à un véhicule électrique à complément thermique, combine les avantages des véhicules électriques en ville (faibles nuisances locales) et des véhicules thermiques à combustibles liquides sur route (autonomie et performance sur route)». Ce véhicule, qu'on peut recharger la nuit à la maison quand les réseaux ne sont pas surchargés, n'exige pas la coûteuse infrastructure de recharge urbaine de certains projets de tout électriques, comme celui du Project Better Place, qu'examine avec intérêt la Ville de Montréal. Cette conclusion est aussi celle du physicien Pierre Langlois, dans son livre récent, Rouler sans pétrole. Ce dernier avançait que si on dotait d'ici 2030 les véhicules thermiques de la planète avec des tout-électrique ayant une autonomie de 400 km, la planète épuiserait ses réserves de lithium à cette seule fin, ce qui est impensable. Or, dit-il, il n'est pas nécessaire de doter une hybride rechargeable de grosses batteries puisque 80 % du kilométrage quotidien de la plupart des automobilistes ne dépasse pas 100 km et qu'un conducteur sur deux parcourt moins de 50 km chaque jour. Une hybride rechargeable peut donc fonctionner en mode tout électrique la plupart du temps et globalement réduire de 80 à 90 % la facture de combustible de la plupart des gens, ce que corrobore le rapport Syrota. Et cela, sans imposer à la société un réseau de recharge pour les automobilistes équipés de tout électriques. Le tout-électrique, dit-il, demeure donc une «voiture de niche» pour des usages commerciaux urbains ou comme seconde voiture. Pierre Langlois se dit tout à fait en accord avec le rapport Syrota, qui conclut aussi que l'air comprimé et l'hydrogène «n'ont vraisemblablement pas d'avenir comme sources d'énergie des automobiles» à cause des problèmes de stockage et parce que l'électricité servant à les produire, comme le précise le rapport Syrota, «serait mieux utilisée directement» que transformée en liquide problématique. http://www.ledevoir.com/2009/01/09/226445.html ( 9/1/2009 7H52)
  20. Les ventes des manufacturiers canadiens ont baissé de 5,4% en janvier dernier par rapport à décembre, soit le niveau le plus bas atteint en 10 ans. Sans surprise, l'industrie automobile a été la plus touchée. Pour en lire plus...
  21. Des livraisons dès cette année Nova Bus obtient un contrat de 190M$ de la STM 17 février 2009 - 07h44 http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2009/02/20090217-074446.html Par Louis-Pierre Côté ARGENT Le constructeur d’autobus Nova Bus de Saint-Eustache vient d’obtenir un contrat évalué à environ 190M$ (1,3 milliard de couronnes suédoises) pour fournir 410 autobus à la Société de transport de Montréal. Les livraisons débuteront dès cette année et s’échelonneront sur trois ans. Les 410 autobus, de modèle LFS, remplaceront d’autres autobus construits par Nova Bus qui sillonnent les rues de la métropole depuis 1996. La commande, qui a été annoncée par la société-mère de Nova Bus, Volvo Bus Corporation en Suède, s’ajoute aux commandes déjà placées par la STM. Au cours des trois prochaines années, Nova Bus livrera un total de 958 autobus à la Société de transport de Montréal, soit 214 autobus en 2009, 427 en 2010 et 317 en 2011. Certains des autobus qui seront livrés seront des véhicules articulés. Les nouveaux véhicules seront équipés d’un système de caméras pour améliorer la sécurité des passagers. En plus d'une usine à Saint-Eustache, sur la couronne Nord de Montréal, Nova Bus exploite une usine à Saint-François-du-Lac, dans la région de Nicolet. Plus de détails à venir
  22. Les ventes de véhicules neufs au Canada, en baisse depuis septembre 2008, ont fléchi de près de 15% en décembre dernier. Pour en lire plus...
  23. Trois secteurs porteurs au Québec Canada Industrie des télécommunications Informatique Véhicules et matériels de transport Francophone, proche de l'immense marché états-unien, proposant une fiscalité intéressante et une main d'oeuvre hautement qualifiée, le Québec a de quoi séduire les candidats à l'export... et à l'implantation définitive. Pour ceux que le rêve américain tente toujours, nous avons sélectionné trois secteurs parmi les plus prometteurs. L'aérospatiale et l'aéronautique Cette industrie « pèse » 12 milliards de dollars canadiens (CAD. Elle regroupe 42 000 employés et 235 entreprises. La présence de grands donneurs d'ordres, chefs de file mondiaux (Bell Helicopter, Bombardier, CAE, Pratt and Whitney…) dont les ventes représentent 70 % de l'ensemble de l'industrie, soit 8 milliards de CAD, explique en partie le succès de cette industrie qui regorge de marchés de niche. Par exemple, le Québec est une plateforme de premier choix pour pénétrer le très lucratif marché des avions légers aux Etats-Unis. Automobile et matériel de transport 800 entreprises, 7,2 milliards de CAD de chiffre d’affaires : des chiffres élevés pour un pays qui ne construit aucune voiture ! Regroupant l’automobile, les véhicules commerciaux, les véhicules récréatifs et le matériel ferroviaire, cette industrie bénéficie d’une masse critique d’entreprises et d’une abondance de matières premières en particulier l’aluminium dont le Québec est le quatrième producteur mondial. Le marché des pièces détachées représente 75 % de la production dont la moitié est exportée aux USA. Multimédia Toute l’activité de production de contenus numériques interactifs est représentée au Québec : les jeux électroniques bien sûr, mais aussi les effets spéciaux, l’animation 2 et 3D, la publicité ou encore les services internet. La présence de grands éditeurs comme Ubisoft, Eidos (SCI), A2M ou encore Beenox Studios (Activision) y est pour beaucoup. Mais il faut aussi compter sur les 3000 diplômés par an en sciences informatiques. Une gageure pour un territoire qui ne compte que 7 millions d’habitants (dont la moitié à Montréal). Sophie Creusillet http://www.lemoci.com/node/15557
  24. Suspension de production chez Chrysler Mise à jour le vendredi 6 février 2009 à 14 h 31 La direction du constructeur automobile américain Chrysler annonce la fermeture temporaire d'au moins quatre de ses usines d'assemblage en Amérique du Nord, dont celle de Brampton en Ontario. Les autres usines touchées sont celles de Sterling Heights au Michigan, de Belvidere en Illinois ainsi que celle de Détroit. La production des quatre usines sera interrompue pour cinq jours à partir de la semaine prochaine, soit du 9 au 13 février prochain. Chrysler explique cette décision par la faiblesse de ses ventes de véhicules aux États-Unis et les importants problèmes financiers auxquels elle doit faire face. Un porte-parole de Chrysler a déclaré à l'Associated Press que la direction revoyait son horaire de production toutes les semaines en raison de la conjoncture et que d'autres fermetures temporaires d'usine pourraient survenir. Chrysler, qui emploie plus de 9800 personnes au Canada, a vu ses ventes de véhicules baisser de 55 % en janvier par rapport à la même période l'an dernier et de 30 % sur l'ensemble de l'année 2008 par rapport à 2007. L'usine de Brampton, en Ontario, dont le congé des fêtes avait été prolongé au-delà de la période prévue, emploie plus de 3500 personnes. On y assemble notamment les modèles Chrysler 300, Dodge Charger et Dodge Challenger.
  25. Les ventes de véhicules neufs au Canada ont chuté de 7% en novembre dernier, la baisse la plus marquée depuis 2005. Et les données provisoires pour le mois de décembre indiquent une chute deux fois plus importante. Pour en lire plus...
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