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  1. L'autoroute 20 à Vaudreuil est actuellement le seul segment de l'A-20 qui ne respecte pas les standards autoroutiers. Pas pour longtemps! Autoroute 20 - Parachèvement dans Vaudreuil-Soulanges Le projet de parachèvement de l’autoroute 20, qui s’étendra sur une longueur de 7 kilomètres, offrira aux usagers de la route quatre voies de circulation rapides dans les secteurs visés. Le nouveau tronçon de Vaudreuil-Dorion devra être déplacé de l’axe actuel et longera le chemin de fer du CN. Rapport du BAPE du en 2010, peut-être le début des travaux en 2011! Plus d'info: http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/6C01B6CB760F004CE04400144F0104BD
  2. Montréal International a courtisé fort partout dans le monde en 2011, et ses efforts de séduction ont porté leurs fruits. L'organisation a contribué à attirer des investissements directs étrangers de 668 millions de dollars pendant l'année, une hausse de 16% par rapport à 2010. Montréal International (MI), qui a dévoilé hier soir ses résultats au cours de son assemblée annuelle, a aidé 28 entreprises étrangères à s'implanter ou grandir ici, soit exactement le même nombre qu'en 2010. Parmi les sociétés soutenues, mentionnons le fabricant de jeux vidéo Square Enix, qui a ouvert un nouveau studio à Montréal, Google, qui a doublé ses effectifs dans la métropole, et le développeur de batteries au lithium BatHium, qui a investi 176 millions à Boucherville. Fait intéressant, les trois quarts des projets soutenus sont dans des secteurs de haute technologie. Selon l'organisme, ces investissements ont permis de créer ou conserver 2351 emplois dans la région métropolitaine. L'Europe a été au coeur des efforts l'an dernier, 50% des investissements provenant du Vieux Continent. MI a aussi attiré ou retenu 1887 travailleurs qualifiés à Montréal au cours de l'année par l'entremise de ses missions de recrutement. Le président du conseil d'administration, Normand Legault, a rappelé dans le rapport annuel que le nombre d'agences de promotion qui travaillent à attirer des investissements a quintuplé au cours des 20 dernières années, créant une concurrence de plus en plus vive. «MI continuera en 2012 à faire face à des défis importants, comme l'attractivité croissante des pays émergents comme le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine», a-t-il dit, pointant aussi la force du dollar canadien qui réduit la compétitivité de Montréal par rapport aux villes américaines. L'organisme continuera de jouer les cartes de la main-d'oeuvre qualifiée et bilingue, des programmes de soutien à la recherche et au développement, et de la qualité de vie pour attirer des gens et des dollars à Montréal. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/macro-economie/201204/20/01-4517207-montreal-international-les-investissements-etrangers-en-hausse.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7
  3. ANDRÉ DUBUC La Presse Le marché de la construction résidentielle se porte mieux que prévu après six mois en 2016. C'est particulièrement vrai dans l'île de Montréal, où le nombre de mises en chantier a doublé au deuxième trimestre 2016 par rapport à la même période l'année précédente. La statistique a été reprise par le Service de développement économique de la Ville de Montréal, qui l'a publiée dans le plus récent numéro de son bulletin hebdomadaire Montréal économique en bref. Au total, 1534 unités ont été mises en chantier dans l'île d'avril à juin 2016, comparativement à 766 à la même période en 2015, une hausse de 100,3 %. La moitié sont des copropriétés et 37 %, ou 570 unités, sont des logements locatifs. Depuis le début de l'année, les mises en chantier sont en progression de 28 % dans l'île de Montréal. De janvier à la fin de juin, 4751 logements sont sortis de terre, comparativement à 3704 au cours du premier semestre l'an dernier. Quand on regarde la région de Montréal dans son ensemble, la progression des mises en chantier s'élève à 12,5 %, 7510 mises en chantier en 2016 contre 6674 en 2015. <iframe name="fsk_frame_splitbox" id="fsk_frame_splitbox" frameborder="0" allowfullscreen="" webkitallowfullscreen="" mozallowfullscreen="" style="width: 633px; height: 0px; border-style: none; margin: 0px;"></iframe> PROGRESSION DE 9 % AU QUÉBEC Pour ce qui est de la province de Québec, la construction de logements connaît une progression de 9 % dans les centres urbains de 10 000 personnes et plus depuis le début de l'année. On y dénombre 14 441 mises en chantier au premier semestre 2016 par rapport à 13 198 au cours des 6 premiers mois de 2015. La plupart des économistes des organismes du domaine de l'habitation prévoyaient en début d'année une stabilisation, voire une légère baisse du nombre de mises en chantier au Québec en 2016 par rapport aux quelque 38 000 mises en chantier enregistrées en 2015. Ils n'ont pas revu leur prévision depuis. EN CHIFFRES Mises en chantier au premier semestre 2016 Nombre var. par rapport à 2015 Île de Montréal 4751 + 28 % Région de Montréal 7510 + 12,5 % Province de Québec 14 441 + 9 % (Centres urbains de 10 000 personnes et plus) Source : SCHL http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201607/28/01-5005174-montreal-forte-hausse-du-nombre-de-mises-en-chantier.php
  4. Certains sur ce forum aime bien dépeindre Montréal (et le Québec par association) comme un endroit où les régulations et l'imposition rendent la vie difficile au commerce et à l'activité économique dans son ensemble. Une étude de KPMG place cependant Montréal au 4e rang d'une sélection de 51 villes pour son niveau de compétitivité fiscale. Le hic? C'est que Toronto et Vancouver figurent parmis les villes qui se classent devant Montréal. Deux constats s'imposent ici : - Montréal, globalement, est extrêmement attirante pour l'établissement de nouvelles entreprises. - Montréal, localement, est peut-être moins attirant. Le deuxième constat est difficilement un défaut que l'on pourrait qualifier d'accablant de l'administration régionale. On accuserait donc Montréal de ne pas être plus catholique que le pape? Il faudrait être la ville la plus "lousse" fiscalement du monde industrialisé pour satisfaire certain. Il est normal que Montréal perde "minimalement" au change quand on la compare à des villes situés dans des juridictions où le panier de services publics sont beaucoup moindre. La ville reste néanmoins extrêmement compétitive en terme d'attraction d'activité commerciale. SOURCE : L'étude de KPMG : http://www.ledevoir.com/documents/pdf/rapportkpmgfiscalite.pdf SOURCE : L'article du devoir : http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/475363/fiscalite-le-canada-soigne-bien-les-entreprises-selon-le-classement-de-kpmg?utm_campaign=Autopost&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1468410135
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/943856/energie-est-des-prises-deau-potable-menacees/ 06/04/2016 Mise à jour : 6 avril 2016 | 16:41 Énergie Est: les prises d’eau potable menacées Par Mathias Marchal Métro Métro Les prises d’eau de près de 3,2 millions de Québécois sont concernées par le projet de pipeline Énergie Est, selon un rapport de groupes écologistes publié mercredi et intitutlé Énergie Est : une menace à l’eau potable. Pour arriver à ce chiffre, les environnementalistes ont analysé les 4600km du tracé envisagé par l’entreprise TransCanada, les quelques 3000 plans d’eau traversés et les municipalités qui pourraient être touchées en cas de fuite majeure dans un cour d’eau. Sachant que lors de la fuite de la rivière Kalamazoo, en juillet 2010, la rivière a été polluée sur près de 60km, le rapport conclut que l’eau potable de 5 millions de Canadiens (dont 3,2 millions de Québécois) est à risque. «À Kalamazoo, six ans plus tard, on trouve encore du pétrole lourd qui a coulé dans le fond de la rivière. Si ce scénario se répétait dans la région de Montréal, les prises d’eau potable qui sont dans les rivières et le fleuve pourraient être inutilisables pendant des mois, voire des années», lance Patrick Bonin de Greenpeace Canada qui a participé à l’élaboration du rapport. «Les conséquences économiques et écologiques associées à une dégradation de la qualité de l’eau dans cette région ne s’arrêteraient pas là. Les activités de plaisance et le trafic commercial sur le Saint-Laurent pourraient être touchés, voire interrompus. Les entreprises agricoles et les industries qui dépendent de l’eau provenant d’une de ces rivières pourraient aussi en souffrir», mentionne le rapport. De son côté TransCanada indique avoir investi un milliard de dollars l’an dernier dans la sécurité et l’entretien de ses équipements. «Énergie Est sera équipé des technologies les plus avancées en terme de détection, combinées avec d’autres mesures de sécurité incluant la surveillance aérienne et terrestre», indique Tim Duboyce, un des porte-paroles de l’entreprise albertaine. «Là où un pipeline passe par un cours d’eau ou un autre lieu sensible, nous utilisons un tuyau fabriqué d’une paroi plus épaisse que d’habitude. Pour traverser les cours d’eau principaux, nous favorisons l’application de forages directionnels horizontaux, ce qui permet d’installer le pipeline loin en-dessous des lits des rivières», ajoute-t-il. 1G$ En cas de déversement, la responsabilité de remboursement de TransCanada peut aller jusqu’à 1 milliard de dollars Le document des groupes environnementaux mentionne aussi qu’en décembre 2015, l’Académie nationale des sciences des États-Unis a fait paraître une étude qui montre à quel point le bitume dilué coulait rapidement au fond de l’eau, une fois séparé du diluant censé faciliter son écoulement dans le pipeline. «Pendant des années, les pétrolières ont nié que le bitume dilué coule et leurs plans d’urgence ne prévoient pas de mesures particulières à prendre avec ce type de produit pétrolier. Donc, non seulement le bitume dilué est presque impossible à nettoyer parce qu’il coule, mais les plans d’urgence sont inefficaces car ils ne prévoient pas de formation, de personnel et d’équipements adéquats pour le type d’intervention qui serait requise », ajoute M. Bonin. Lors des consultations, TransCanada n’a pas précisé quelles quantités de bitume dilué pourraient transiter dans le pipeline capable de transporter jusqu’à 1,1 millions de barils par jour. Mais pour Greenpeace, il est acquis que ce type de pétrole circulerait en large quantité étant donné que l’Alberta n’a pas une capacité de raffinage suffisante pour traiter de telles quantités. Actuellement, du bitume dilué circule très certainement dans la ligne 9B d’Enbridge vers Montréal, selon M. Bonin, qui pense que les plans d’urgence devraient être ajustés en conséquence. Pour la Communauté métropolitaine de Montréal, ce rapport coïncide avec des constats qu’ils ont déjà fait, à savoir que «la menace à l’eau potable est effectivement un problème majeur du projet».
  6. 5300 milliards par an de «subventions» à l'industrie des carburants fossiles Publié le 25 mai 2015 à 11h56 Quand vous aurez fini de lire ce paragraphe, les gouvernements du monde auront déjà payé un million de dollars à l'industrie des carburants fossiles, selon le FMI. C'est ce que représentent 5300 milliards de dollars par an, ou 10 millions de dollars chaque minute. C'est davantage que ce que tous ces gouvernements paient en santé. L'évaluation a fait d'autant plus sursauter cette semaine qu'elle provient du Fonds monétaire international (FMI), rarement soupçonné de pencher à gauche. Dans leur analyse, les experts du FMI qualifient ces chiffres de « choquants ». En tout, les compagnies pétrolières et gazières bénéficieront donc en 2015 de subventions directes, d'incitatifs fiscaux et de cadeaux indirects totalisant 5300 milliards. Cela dit, bien que les médias aient abondamment employé le mot « subvention » en traitant cette nouvelle depuis mardi, les « vraies » subventions, c'est-à-dire les sommes versées à l'industrie sous différentes formes (incluant des réductions de taxes), représentent 500 de ces milliards. Le reste, selon les calculs contenus dans le rapport publié le 18 mai, est constitué en bonne partie des coûts engendrés par la pollution sur l'environnement et sur la santé, coûts ensuite assumés par les gouvernements. Des « externalités » coûteuses Ces derniers coûts sont ceux que les économistes appellent, dans leur jargon, des « externalités ». Le calcul des externalités - positives ou négatives - sert parfois à justifier l'imposition d'une taxe sur un produit (les cigarettes, par exemple) ou un remboursement d'impôt (lors d'un don à un organisme de charité par exemple). Externalités et subventions représentent dans ce cas-ci 6,5 % du produit national brut (PNB) mondial. Le chiffre est plus élevé que dans une estimation de 2013 du FMI, non à cause de l'inflation, mais en raison de tout ce qui a été inclus dans les externalités - et qui ouvre la porte à la critique. Comment, par exemple, calcule-t-on dès aujourd'hui les coûts des changements climatiques? Toutefois, en se basant uniquement sur le calcul du présent rapport, la facture totale a augmenté de 3 milliards par année entre 2011 et 2014. Le mythe des carburants fossiles « peu coûteux » est détruit Le FMI ne questionne pas seulement le gigantisme de l'impact qu'ont les carburants fossiles sur l'économie. Il questionne sa logique purement économique : les subventions directes ou indirectes sont à un tel niveau qu'elles découragent les investisseurs tentés de financer d'autres formes d'énergies. Commentant l'étude dans le journal The Guardian, l'économiste britannique Nicholas Stern s'insurge : « Cette importante analyse détruit le mythe que les carburants fossiles sont peu coûteux, en nous montrant quels sont les véritables coûts. Il n'existe aucune justification pour ces énormes subventions aux carburants fossiles, qui déséquilibrent le marché et endommagent l'économie, particulièrement dans les pays les plus pauvres. » Le rapport évalue que de mettre fin à ces cadeaux serait une façon efficace de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre. Et de renvoyer le prix du pétrole à sa juste valeur. Et de sauver 1,6 million de vies par année : une estimation du nombre de morts évitables causées par la pollution de l'air. À eux seuls, la Chine (2300 milliards) et les États-Unis (700) contribuent pour plus de la moitié de la facture, suivis de très loin par la Russie (335 milliards), l'Union européenne (330) et l'Inde (277). http://www.lapresse.ca/environnement/201505/25/01-4872368-5300-milliards-par-an-de-subventions-a-lindustrie-des-carburants-fossiles.php
  7. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/424197/comment-vendre-un-pipeline-aux-quebecois Comment vendre un pipeline aux Québécois TransCanada dispose d’un plan précis pour faire aboutir le projet Énergie Est 18 novembre 2014 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement Le rapport souligne que le « scepticisme » par rapport à l’utilisation du train « est très fort » depuis les événements tragiques de Lac-Mégantic. Si elle veut convaincre les Québécois d’appuyer son mégaprojet de pipeline Énergie Est, TransCanada doit vanter la sécurité de ce moyen de transport par rapport au train, dans la foulée de la tragédie de Lac-Mégantic. La pétrolière doit aussi établir des stratégies afin de nuire aux opposants tout en éduquant les citoyens d’ici sur les vertus du pétrole des sables bitumineux. Ce sont là certains des principaux piliers du « plan stratégique » pour le Québec élaboré par la multinationale des relations publiques Edelman, à la demande de TransCanada. Le document, obtenu par Greenpeace et transmis au Devoir, présente plusieurs éléments clés de la stratégie qui devrait se déployer dans le but de convaincre les Québécois d’accepter le passage ici du plus important projet de transport de brut albertain en Amérique du Nord. Revenant d’entrée de jeu sur le fait que le transport de pétrole est devenu un « enjeu majeur » pour les citoyens du Québec depuis la catastrophe de Lac-Mégantic, le rapport souligne que le « scepticisme » par rapport à l’utilisation du train « est très fort » depuis ces événements tragiques. Les Québécois, peut-on lire, souhaitent désormais être mieux « protégés », et « le pipeline pourrait constituer une réponse à cette préoccupation ». Les pipelines peuvent en fait constituer une « nouvelle opportunité » de transport pétrolier, même s’ils demeurent toujours « méconnus » du public. Edelman, qui a aussi travaillé sur le projet de pipeline Keystone XL, propose justement d’éduquer les Québécois à ce sujet. « Les Québécois ne sont pas familiarisés avec le pétrole comme source d’énergie. Les mythes et les appréhensions sont encore plus présents lorsqu’il s’agit du pétrole provenant des sables bitumineux albertains, qui sont directement associés au gouvernement de Stephen Harper. L’éducation sur le sujet est donc fortement requise », peut-on lire dans le document de 45 pages rédigé en anglais. Investir pour convaincre Dans ce contexte éducatif mis en avant par la pétrolière, il serait toutefois préférable d’utiliser le bon langage. « Nous recommandons de continuer à miser sur le terme “ressources naturelles” lorsque cela est possible, plutôt que le terme “sables bitumineux”, qui est perçu négativement », écrit Edelman dans ce rapport daté du 20 mai 2014. Celui-ci fait partie d’une série de documents confidentiels obtenus par Greenpeace. Puisque le projet de pipeline et de port d’exportation de Cacouna touche plusieurs communautés du Québec, la firme de relations publiques souligne l’importance de réaliser des investissements financiers afin de rallier la population à son projet. « Nous recommandons de définir un programme d’investissement communautaire spécifique au fleuve Saint-Laurent en raison de son importance dans le projet, en misant sur la restauration de quais et d’infrastructures riveraines puisque cela pourrait générer un retour sur l’investissement significatif. » Edelman estime aussi que « soutenir une campagne majeure de financement d’une université québécoise tout en contribuant à ses efforts dans la recherche environnementale pourrait aider à démontrer le sérieux de TransCanada par rapport à ces enjeux, mais aussi contribuer à améliorer l’image de la compagnie ». Le Devoir révélait récemment que TransCanada négocie actuellement avec l’Institut des sciences de la mer de Rimouski le financement d’une chaire de recherche sur le Saint-Laurent axée sur l’étude du béluga. En plus de ces engagements financiers, TransCanada devrait rencontrer et chercher à rallier à sa cause des personnalités influentes du Québec. La liste établie par Edelman comprend 19 noms, dont ceux de Brian Mulroney, Lucien Bouchard, Monique Jérôme-Forget, Pierre Marc Johnson, Denis Coderre, Régis Labeaume, le p.-d.g. d’Hydro-Québec, Thierry Vandal, ainsi que le président de la Caisse de dépôt et placement, Michael Sabia. Contrer l’opposition S’il importe de se doter d’alliés, Edelman insiste aussi sur la nécessité de contrer les opposants, qui sont d’ailleurs de plus en plus nombreux. « Si on les laisse faire, les opposants à Énergie Est utiliseront chaque information à leur disposition pour attaquer le projet et TransCanada. » La firme souligne notamment la nécessité d’établir le profil précis des groupes d’opposants. « Dans le but d’ajouter des obstacles aux opposants, nous travaillerons avec des tierces parties et nous les armerons avec l’information dont ils ont besoin pour faire pression sur les opposants et les distraire de leur mission », fait aussi valoir la firme de relations publiques. Ces « tierces parties » pourraient être par exemple des voix « crédibles » recrutées au sein des communautés. Parmi les arguments à mettre en avant, celui des bénéfices économiques semble être en haut de la liste. Edelman estime ainsi qu’à la suite des récentes élections, les Québécois ont tourné le dos à la question nationale et sont désormais plus préoccupés par les problèmes économiques. « Dans ce contexte, le projet Énergie Est pourrait être présenté comme une nouvelle occasion d’insuffler une nouvelle vie dans l’économie du Québec, grâce à la création d’emplois et d’effets indirects positifs sur d’autres secteurs. » La firme recommande par exemple de mettre en avant l’argument des bénéfices économiques afin de mieux faire accepter la construction d’un port pétrolier en plein coeur de la pouponnière des bélugas du Saint-Laurent. « L’impact économique du projet sera un argument fort pour rallier la communauté [de Cacouna] au projet », affirment les auteurs de la stratégie préparée par Edelman. Le projet doit permettre, à terme, de créer 133 emplois directs au Québec. Le pipeline Énergie Est doit faire passer ici 1,1 million de barils de pétrole brut chaque jour, soit l’équivalent de 1335 wagons-citernes. La province deviendra ainsi le point le plus stratégique au Canada pour l’exportation de pétrole des sables bitumineux.
  8. Revue de presse internationale: Nous avons répertorié à ce jour près de 70 articles sur Montréal parus en juillet dans la presse internationale. Consultez la section Revue de presse pour un aperçu des articles. https://membres.tourisme-montreal.org/pages/mtlMedias.aspx Autres nouvelles de TM: Cinq entrevues radiophoniques ou téléphoniques sur des médias qui ciblent la clientèle LGBT ont été réalisées en juillet par notre collègue Tanya Churchmuch. Voyages d'agrément En juillet, l'équipe des gestionnaires a accueilli 20 voyagistes internationaux dont 9 du Royaume-Uni venus dans le cadre d'une tournée de familiarisation initiée par Tourisme Montréal. Salons auxquels Tourisme Montréal sera présent : Catherine Binette participera au Showcase Canada Brésil du 19 au 20 août ainsi qu'au Conozca Canada Mexique du 26 au 28 août. En juillet, l'équipe des gestionnaires a accueilli 45 journalistes, dont 20 des États-Unis, 6 du Canada et 5 de la France. Salons auxquels Tourisme Montréal sera présent : Marie-José Pinsonnault sera à Rockford (IL) du 20 au 23 août pour assister au Travel Media Showcase. Rapport à venir. Catherine Binette participera au salon Go Media, qui aura lieu à Mexico du 26 au 28 août. Rapport à venir. Nouveaux congrès! L'équipe des Ventes a confirmé la tenue des congrès suivants : - Liberal Party of Canada, 19 au 23 février 2014, 1 300 délégués - Hockey Canada, 20 décembre 2014 au 4 janvier 2015 - American Chamber of Commerce Exécutives, 9 au 16 août 2015, 700 délégués - Society for Clinical Trials, 13 au 15 mai 2016, 500 délégués - Electric Drive Transportation Association, 14 au 24 juin 2016, 3 000 délégués Ginette Provost a participé au salon CESSE du 16 au 19 juillet à Providence, RI. Sabrina Pergass et Andrée-Anne Sauvageau, accompagnées de 4 partenaires, ont participé au salon MPI-WEC qui s’est tenu à Las Vegas du 20 au 23 juillet dernier. Rapport de l'événement à venir. L'équipe des Ventes a effectué en juillet 15 visites d'inspection en compagnie de clients potentiels. Voici un aperçu des congrès à venir à Montréal : - Joint Statistical Meetings du 3 au 8 août, 5 500 délégués - International Paralympic Committee Swimming World Championships 2013, 4 au 20 août, 2 000 délégués - World Mining Congress & International Association for Automation and Robotic in Construction 2013, 9 au 17 août, 3 000 délégués - Otakuthon - Festival d'amine 2013, 15 au 19 août, 2 000 délégués - IPAC Annual Conference, 15 au 22 août, 500 délégués - International Conference on Pharmacoepidemiology, 22 au 30 août, 1 000 délégués - Championnat canadien de canoë-kayak de vitesse 2013, 24 août au 1 septembre, 1 200 délégués Visites d’inspection L'équipe des Services aux congrès a accueilli les organisateurs des congrès suivants en visites d'inspection afin de les accompagner dans la planification : - American College of Veterinary Pathologists (ACVP), du 16 au 20 novembre 2013 - SPIE Astronomical Telescopes and Instrumentation, du 22 au 27 juin 2014 - International Federation for the Surgery of Obesity (IFSO), du 26 au 30 août 2014 Rencontre précongrès Nos collègues sont allées à la rencontre des participants du congrès American Society of Agricultural and Biological Engineers (ASABE) afin d'encourager la participation des délégués à l'édition montréalaise qui aura lieu du 13 au 16 juillet 2014. http://www.culturalamontreal.com/63/Aout_2013.htm https://membres.tourisme-montreal.org/pages/accueil.aspx
  9. Hôpitaux de l’arrondissement de Mont-Royal L’Hôtel-Dieu n’a jamais été « excédentaire »! 16 juillet 2014 | Michel Bergeron, Claude C. Roy - Professeurs émérites, Université de Montréal | Montréal Le rapport du groupe d’experts, présidé par l’architecte Marie Lessard, sur l’avenir des bâtiments « excédentaires » de l’Hôtel-Dieu de Montréal et du Royal Victoria Hospital vient d’être discrètement déposé sur le site Web du Secrétariat à la région métropolitaine. Le rapport est très fouillé, minutieux et lumineux. Il rejette clairement tout projet de construction de condos sur les sites des deux hôpitaux et dresse, sur le plan financier, un tableau quasi apocalyptique des solutions proposées par divers intervenants. Il convient de souligner la franchise et le professionnalisme de ces experts. Dans le cas de l’Hôtel-Dieu de Montréal, le rapport est toutefois basé sur une fausse prémisse, à savoir que cet hôpital a été classé, de façon péremptoire, par l’Agence régionale de santé et des services sociaux de Montréal (ARSSSM), comme excédentaire et accepté comme tel par le gouvernement précédent, alors que l’Hôtel-Dieu ne l’est pas du tout si l’on considère le nombre toujours élevé de patients hospitalisés ou admis à l’urgence. Mais les experts n’avaient pas le mandat gouvernemental de modifier la question et, en particulier, de souligner que, avec l’entrée en service de deux nouveaux centres hospitaliers universitaires, la fermeture de l’Hôtel-Dieu accentuerait la crise des urgences à Montréal et provoquerait un allongement des listes d’attente dans les services hospitaliers. Cette situation chaotique est inscrite dans les prévisions mêmes du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), situation dont l’ARSSSM préfère ne pas tenir compte. Pour cette agence, aucun argument — qu’il soit patrimonial, universitaire ou géopolitique — ne tient. Cet argument ne semble pas davantage émouvoir Madame Hélène David, ministre de la Culture et députée d’Outremont, qui reste silencieuse depuis des mois. On n’a aucunement besoin de l’Hôtel-Dieu, aurait soutenu l’Agence devant les experts. Une insulte à notre intelligence alors qu’un document produit par l’agence en octobre dernier venait confirmer le manque de lits à Montréal. C’est surtout un affront à l’oeuvre des religieuses Hospitalières de Saint-Joseph et à la contribution de cette institution à l’histoire de Montréal. Cette agence aurait autorisé la vente de l’Hôtel-Dieu ainsi que du Royal Victoria, pour lequel l’Université McGill a montré son intérêt. Il faut rappeler que le MSSS a investi 50 millions tout récemment pour rénover les urgences et les blocs opératoires de l’Hôtel-Dieu. Nous faisons face à un gaspillage honteux. On fermerait tout cela et en même temps, on planifie le même type de rénovations à l’Hôpital général de Montréal, situé à quelques centaines de mètres de l’Hôtel-Dieu. Incohérence et injustice ! Compte tenu de l’état actuel de notre système de santé, le Québec n’a pas la marge de manoeuvre financière nécessaire pour fermer l’Hôtel-Dieu sans compromettre davantage l’accessibilité aux soins de proximité. De plus, les citoyens de Montréal seront privés du seul hôpital francophone situé au pied du Mont-Royal, c’est-à-dire au centre-ville. À moins de vouloir affronter, à court terme, une nouvelle crise des urgences et des listes d’attente, le MSSS doit absolument maintenir l’Hôtel-Dieu comme hôpital de proximité, avec son urgence et 150 lits, pour les citoyens des quartiers environnants. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/413481/hopitaux-de-l-arrondissement-de-mont-royal-l-hotel-dieu-n-a-jamais-ete-excedentaire
  10. Le Masson propose 4 condominiums de 2 chambres sur 2 étages, de 984 et 1390 pi2, à 300m du Parc Maisonneuve et à 5 minutes de marche de la promenade Masson, dans Rosemont. Caractéristiques: Chambre principale avec walk-in Mezzanine avec terrasse privée Balcons pour chaque unité Stationnement disponible (en option) Salle de bain et salle d'eau Choix de finitions Situé à proximité des transports en commun et d'une multitude de services et commodités, le projet offre un excellent rapport qualité / prix idéal pour un premier investissement. Garantie Abritat et garantie des maisons neuves de 5 ans 3 condominiums disponibles pour occupation immédiate: En vente: App 101 et App 102: 265 000$ + taxes App 204: 290 000$ + taxes Ou en location: App 101 et App 102 - 1300$ par mois App 204 - 1500$ par mois Plus d'information à la page: http://www.pierreviens.com
  11. Croissance surprenante du PIB québécois Les analystes ont été surpris par la hausse du PIB québécois en août. Cette nouvelle donnée vient remettre l’économie du Québec sur les rails. Le PIB du Québec a bondi de 0,4 % en août, un gain qui s’ajoute à l’augmentation de 1,5 % en juillet, et qui se compare à une progression de 0,3 % à l’échelle canadienne. Ce faisant, pour les huit premiers mois, la progression du PIB québécois s’inscrit à 1,1 % par rapport aux mêmes mois de 2012, comparativement à 1,5 % au Canada, selon les données de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ). « La hausse du PIB du mois d’août est généralisée dans presque tous les grands secteurs d’activité économique », a souligné l’ISQ. Cette activité a toutefois été plombée par un recul de 0,5 % dans le secteur de la construction. Compte tenu de la faiblesse des derniers trimestres, ce rapport est le bienvenu, a écrit Matthieu Arseneau, économiste principal à la Financière Banque Nationale. « L’activité économique atteint un niveau record dans le secteur des services, et la production industrielle affiche un second gain mensuel consécutif, une première en 2013. » L’analyste met cependant en exergue le poids du recul de l’activité dans la construction et son effet d’entraînement sur les dépenses de consommation. À ses yeux, la performance d’août ne devrait pas être suffisante « pour empêcher l’économie de décélérer pour une troisième année consécutive en 2013 ». Au Mouvement Desjardins l’économiste principale, Hélène Bégin, a précisé que la statistique d’août excède les attentes. « Les diverses statistiques mensuelles publiées récemment par Statistique Canada étaient plutôt mixtes, ce qui ne laissait pas présager un résultat aussi positif. L’activité économique au Canada, qui a progressé de 0,3 % en août grâce à l’impulsion du secteur de l’énergie, plaçait la barre haute pour le Québec. » Le Québec devait au moins récupérer le terrain perdu au fil de 2013, « c’est maintenant fait ». Mme Bégin va plus loin. Au-delà de l’effet de surprise, le gain mensuel est significatif. « Il permet de solidifier les bases de l’économie qui semblaient chancelantes depuis quelque temps. L’acquis de croissance du PIB réel pour le troisième trimestre se situe à 3,3 %, ce qui remettra le Québec sur les rails. » L’analyste maintient sa prévision de croissance du PIB québécois pour 2013 à 1,2 %. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/393907/croissance-surprenante-du-pib-quebecois
  12. http://argent.canoe.ca/nouvelles/bmo-prevoit-90-000-emplois-montreal-13062013
  13. L'île de Montréal a atteint Kyoto Publié le 12 juin 2013 à 14h06 L'abandon progressif du mazout pour chauffer les maisons a permis à l'agglomération de Montréal de rejoindre un club select: elle figure parmi les bons élèves qui ont respecté un des principaux objectifs du protocole de Kyoto, soit de diminuer de 6% les émissions de gaz à effet de serre par rapport à 1990. L'inventaire 2010 des GES, que vient de rendre public la Ville de Montréal, attribue essentiellement cette performance au secteur résidentiel, dont les émissions ont baissé de 40% entre 1990 et 2009. Le secteur industriel a quant à lui diminué ses émissions de 7%. Le portrait est tout autre en ce qui concerne les secteurs commercial et institutionnel, dont les émissions ont augmenté de 34%. «La croissance de la demande énergétique du secteur ainsi que l'augmentation de la consommation de mazout et de gaz naturel» expliquent cette hausse, note le rapport. Ce bilan concerne la Ville de Montréal, ses 19 arrondissements et les 14 villes reconstituées sur l'île. L'agglomération couvre un territoire d'environ 500 km carrés pour une population de 1,8 million d'habitants. Les émissions de ce grand ensemble sont passées de 15 013 kilotonnes d'équivalent CO2 en 1990, à 14 090 kilotonnes en 2009. L'agglomération est cependant encore loin de l'objectif annoncé en 2005, qui était de réduire de 30% d'ici 2020 les émissions par rapport à 1990. «La réduction globale de 6% (...) peut sembler mineure, mais il est important de considérer que cette réduction a eu lieu malgré une hausse de 6% de la population», explique le rapport. En terme d'émissions de GES par habitant, on note ainsi une baisse de 11% entre 1990 et 2009. Au Quebec, pendant la même période, les émissions par habitant ont baissé de 13%. Plus de détails à venir. http://www.lapresse.ca/environnement/201306/12/01-4660516-lile-de-montreal-a-atteint-kyoto.php
  14. Seul le Québec, IPE et la Saskatchewan ont eu augmentation du taux de chômage Faut croire que la reprise économique est maintenant bien amorcée au pays. Retour aux chiffres normaux... *** Emploi - Perte de 25 700 emplois au Québec en décembre Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage a légèrement augmenté en décembre, pour s'établir à 7,5 %, en hausse de 0,1 % par rapport à novembre. Statistique Canada souligne que 17 500 emplois ont été ajoutés en décembre au pays après deux mois de baisses. Toutefois, le taux de chômage a augmenté parce que davantage de personnes ont cherché activement du travail. L'organisme rapporte une augmentation de 43 000 du nombre de personnes travaillant à temps partiel en décembre mais note aussi une baisse de 26 000 du nombre de travailleurs à temps plein. Le nombre d'emplois dans le secteur de la fabrication a augmenté de 30 000 en décembre. Parallèlement, le nombre d'emplois a baissé de 7200 dans les services publics et est resté à peu près inchangé dans les autres secteurs. Pour l'ensemble de l'année 2011, les gains sont de 199 000 emplois au pays. La grande majorité de ces emplois ont été créés durant les six premiers mois de l'année. Hausse du chômage au Québec Dans les provinces, l'emploi a augmenté en décembre en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'emploi a toutefois diminué au Québec pour un troisième mois consécutif. La diminution était estimée à 25 700 emplois en décembre, portant le taux de chômage à 8,7 %. Les baisses les plus marquées au Québec se situent dans le secteur de la construction (monctezuma : pourant c'est pas les chantiers qui manquent !?!?) et dans celui des soins de santé et de l'assistance sociale. Le Québec a connu une baisse de 51 000 emplois en un an. Taux de chômage par province, décembre (novembre entre parenthèses) Terre-Neuve-et-Labrador 12,8 (13,2) Île-du-Prince-Édouard 11,4 (11,1) Nouvelle-Écosse 7,8 (8,6) Nouveau-Brunswick 9,4 (9,8) Québec 8,7 (8,0) Ontario 7,7 (7,9) Manitoba 5,4 (5,5) Saskatchewan 5,2 (5,1) Alberta 4,9 (5,0) Colombie-Britannique 7,0 (7,0)
  15. COMMUNIQUÉS 31.05.12 Réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal : Trafic de marchandises record en 2011 En 2011, le volume total des marchandises manutentionnées au Port de Montréal a atteint 28,5 millions de tonnes, dépassant le record de 27,9 millions de tonnes enregistré en 2008. Ce résultat, dévoilé lors de la réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal (APM), représente une hausse de 10,1 % par rapport à l'année 2010. À la fin de 2011, le bénéfice net s'est élevé à 7,1 millions de dollars, grâce, notamment, à un contrôle rigoureux des dépenses. Le Port de Montréal manutentionne des conteneurs, du vrac liquide, du vrac solide, du grain, en plus d'accueillir des croisiéristes. En 2011, l'activité du secteur des conteneurs a augmenté de 3,6 % par rapport à 2010, pour atteindre 12,5 millions de tonnes de marchandises, ou 1,36 million de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds). Du côté du vrac liquide, le port en a manutentionné 10,1 millions de tonnes l'an dernier, soit 34 % de plus qu'en 2010. Cette hausse s'explique par l'augmentation des réceptions de produits raffinés par navires. Les autres produits liquides ont connu une hausse de 9,1 % par rapport à l'année dernière, grâce surtout à une augmentation de la demande d'éthanol. Le volume de manutention du vrac solide a, quant à lui, connu une augmentation de 7,1 %, due surtout aux chargements de gypse, d'engrais, de charbon et de minerai de fer. Cette augmentation ne tient pas compte du trafic céréalier, qui a connu une année de transition avec le transfert de la gestion des opérations du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, le 1er juillet dernier. Par ailleurs, la saison 2011 s'est clôturée par 40 croisières internationales et fluviales pour un total de 38 031 passagers. Le Comité croisières Montréal, initié en juin 2011, compte maintenant neuf partenaires de l'industrie touristique montréalaise qui travaillent à faire connaître l'escale Montréal auprès des professionnels du voyage. Les premiers résultats sont prometteurs : on attend cette année 55 500 passagers, soit une augmentation de 46 % du nombre de passagers. L'APM remercie tous les partenaires du Comité croisières Montréal pour le bon travail accompli. Faits marquants Le terminal céréalier - Le 1er juillet 2011, le Port de Montréal a procédé au transfert du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, qui depuis, en assure la gestion des opérations. Cette entente à long terme s'inscrit dans une démarche visant à consolider et à augmenter le trafic des céréales au port, tout en continuant de fournir un service de haut calibre aux producteurs québécois. « Avec l'arrivée de Vittera, toutes nos installations sont dorénavant exploitées par des compagnies spécialistes de leur domaine », a déclaré Mme Sylvie Vachon, présidente-directrice générale de l'Administration portuaire de Montréal. « Le Port de Montréal peut ainsi mettre toutes ses énergies à développer son créneau d'excellence : le commerce maritime mondial. » La Cité portuaire - Lors de son allocution, Sylvie Vachon a rappelé l'importance que le Port de Montréal accorde au projet de Cité portuaire, une initiative de la Ville de Montréal visant à développer l'Est de Montréal. La volonté de se rapprocher des communautés montréalaises fait partie des priorités de l'APM. Mme Vachon s'est également déclarée très encouragée par les travaux du comité provisoire qu'elle a présidé, et qui était chargé d'étudier la possibilité de créer une grappe industrielle de logistique et de transport pour le Grand Montréal. « J'ai bon espoir que tous les paliers gouvernementaux interpelés confirmeront leur participation financière sous peu.», a-t-elle déclaré. Développement durable À la suite de la politique de développement durable adoptée en 2010, le Port de Montréal a accueilli sa première locomotive à génératrices multiples, qui permet de réduire de 54 % la consommation de carburant, et de 90 % les émissions de gaz à effet de serre (GES). Trois autres locomotives seront livrées en août prochain. Quant au nouveau portail d'entrée des camions, inauguré en mars 2011, il réduit de moitié le temps d'attente des véhicules et, du coup, les émissions de GES. Le portail a d'ailleurs reçu le Grand prix d'excellence en transport de l'Association québécoise du transport et des routes, en mai 2011. De plus, le Port de Montréal a obtenu la plus haute cote de performance dans la catégorie Leaderhsip environnemental, décernée par l'Alliance verte, un programme environnemental volontaire destiné à l'industrie maritime du Canada et des États-Unis, et dont le Port de Montréal est l'un des membres fondateurs. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1800&lang=fr
  16. Les tenues bigarrées de Jean Paul Gaultier et les guerriers chinois en terre cuite ont valu l'an dernier au Musée des beaux-arts de Montréal la plus forte fréquentation de son histoire, soit quelque 767 000 visiteurs d'avril 2011 au 31 mars 2012. Le succès remporté par ces deux expositions a permis de faire voler en éclats le record précédent de 636 219 visiteurs, établi en 2007-2008 grâce aux expositions dédiées à l'art cubain, au couturier Yves Saint-Laurent et Wharol Live. Il s'agit pour le MBAM d'une hausse de 20 % par rapport à ce record précédent et de 36 % par rapport à l'an dernier. Le MBAM doit une fière chandelle à L'empereur guerrier de Chine et son armée de terre cuite, qui a permis l'entrée de plus de 250 000 visiteurs à ses tourniquets. Les mannequins animés de Gaultier ont fait tourner la tête de 175 000 visiteurs alors que le redéploiement des collections permanentes a joué un rôle marquant dans l'atteinte de ce nouveau record. http://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/346642/767-000-visiteurs-en-2011-2012
  17. Publié le 20 septembre 2011 à 07h32 | Mis à jour à 13h05 Trois îles à protéger contre les promoteurs à Laval Charles Côté La Presse Les cinq députés libéraux de Laval, la ministre Michelle Courchesne en tête, ont réitéré ce matin leur appui à la protection de trois grandes îles de la rivière des Mille-Îles, entre Laval et Terrebonne. «Nous sommes sensibles à la valeur et au potentiel écologique des iles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre», ont souligné les députés lavallois dans un communiqué commun, dans lequel ils «réitèrent l'importance de protéger les trois grandes îles de la Rivière des Mille Îles». Hier, une étude réalisée à la demande de Mme Courchesne a été publiée par l'organisme Sauvons nos trois grandes îles. L'étude réalisée par Éco-Nature affirme qu'il faut agir rapidement pour les préserver. «En raison de la situation précaire de nombreuses espèces et des pressions grandissantes sur l'habitat, il apparaît capital d'assurer la protection de ces habitats le plus rapidement possible», affirme le rapport. Les auteurs du rapport ont passé en revue différents inventaires de la faune et de la flore réalisés au cours des dernières années, en plus de faire de nouvelles études sur le terrain. Les îles sont situées juste à l'ouest de l'autoroute 25, entre le quartier Saint-François de Laval et la ville de Terrebonne. Elles totalisent près de 200 hectares, le quart de la superficie du parc des Îles-de-Boucherville. «À elles seules, les trois grandes îles abritent 245 espèces végétales, dont 14 sont actuellement en péril et deux représentent des plantes d'intérêt. Ces habitats diversifiés supportent une richesse animale tout aussi impressionnante avec 226 espèces observées», précise le rapport. On trouve une forêt ancienne dans l'île aux Vaches, la plus grande. Cette érablière à érables noirs serait la plus vaste du Québec. On trouve aussi dans l'archipel de nombreux noyers cendrés, une présence «remarquable» pour cet arbre actuellement menacé dans toute l'Amérique du Nord par une maladie. Parmi les espèces animales observées, certaines sont en péril, comme l'aigle royal, l'alose savoureuse, l'esturgeon jaune ou la tortue géographique. «Ces îles contribuent à la biodiversité de la Rivière des Mille Îles, assurent le maintien de nombreuses espèces en péril et constituent une composante naturelle majeure dans le paysage urbain de la grande région de Montréal», conclut le rapport. «Tout ce qu'on demande, c'est que le gouvernement soit l'instigateur d'un projet d'acquisition aux fins de conservation», dit Huguette Larochelle, de l'organisme Sauvons nos trois grandes îles, qui a recueilli une pétition de plus de 40 000 signataires à l'appui de son projet de parc de conservation. Une filiale de la firme immobilière Monit, de l'homme d'affaires Alex Kotler, est propriétaire de la majeure partie de l'île aux Vaches. La Ville de Laval évalue son terrain à 5,6 millions. Monit détient aussi l'île Saint-Pierre, évaluée à 627 000$. L'île Saint-Joseph, la seule à être reliée par un pont, appartient en majeure partie à une société dirigée par Luigi Liberatore. Les terrains détenus par la société de M. Liberatore valent 2,4 millions.
  18. Tourisme Montréal a la cote Agence QMI Mélanie Colleu 17/11/2011 18h18 MONTRÉAL – Les touristes semblent ravis de leur escale à Montréal, si bien que la plupart d’entre eux ramènent dans leurs valises l’intention d’inciter leurs proches à suivre leur exemple. Une enquête de satisfaction effectuée à la demande de Tourisme Montréal indique en effet que plus de 80 % des répondants accordent une note d’au moins 8 sur 10 à leur séjour dans la métropole. Environ 99 % affirment même vouloir recommander la destination à leur famille et leurs amis. L’ambiance générale de la ville, l’art, la culture, la courtoisie des habitants et l’offre de divertissement de la métropole font, entre autres, pencher la balance du côté positif. «Les visiteurs apprécient l’accueil qu’ils reçoivent à Montréal ainsi que la convivialité des Montréalais», a dit Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, en soulignant également les nombreux évènements culturels et sportifs que propose la ville tout au long de l’année. Plus de 7 millions de touristes en 2010 La fréquentation touristique montréalaise en 2010 a enregistré une augmentation de 4,5 % par rapport à 2009. Tout au long de l’année, 7,4 millions de visiteurs ont traversé le St-Laurent pour venir flâner quelques jours dans les rues pavées du Vieux-Port, l’un des lieux les plus prisés de l’île. Près de 55 % d’entre eux provenaient du Québec, environ 21 % d’une autre province canadienne et autour de 24 % des États-Unis ou d’ailleurs dans le monde. Le sondage a été réalisé auprès des visiteurs ayant séjourné au moins deux nuits à Montréal durant l’année 2010.
  19. Nouveau projet sur l'avenue Masson.. La SAQ présentement sise au coin de la 7eme Avenue est supposé déménager là.. ****FUTURE RUE PIÉTONNIÈRE***** Projet "Le Masson": une SAQ et 12 appartements en copropriété sur la Promenade Masson, près des restos branchés et au coeur de l'action d'un quartier à la mode. Construction supérieure avec la garantie de qualité-habitation, excellent rapport qualités/prix. PROJET ALDO CONSTRUCTION NB 5 stationnements disponibles en option. (Coût 10,000$ chacun)
  20. Publié le 08 juin 2011 à 11h09 | Mis à jour le 09 juin 2011 à 06h23 (Montréal) Les grues dressées aux quatre coins de Montréal ne mentent pas: la construction de condos se porte bien dans la métropole, au point où un nouveau record a été franchi le mois dernier. Au total, 1211 appartements ont été mis en chantier en mai, comparativement à 795 un an plus tôt, révèlent les données publiées hier par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Du jamais vu, selon David L'Heureux, analyste principal de marché à la SCHL, qui fait toutefois une mise en garde pour la suite des choses. «Étant donné que les copropriétés commencées en 2010 n'ont pas encore toutes été achevées, nous prévoyons une augmentation des stocks et un ralentissement du rythme des mises en chantier d'ici la fin de l'année», a-t-il averti. Ce boom du condo neuf apparaît bien collé à la réalité du marché montréalais, où ce type de propriété est en forte demande. Selon un rapport diffusé hier par la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM), la revente d'appartements a progressé de 4% le mois dernier par rapport à mai 2010, alors que le nombre total de transactions a fléchi de 4%. La copropriété séduit en masse les premiers acheteurs, très actifs sur le marché à cette période-ci de l'année. Ils continuent de privilégier les quartiers en périphérie du centre-ville de Montréal. Les ventes de condos ont ainsi explosé de 29% dans l'arrondissement de Rosemont-Villeray le mois dernier, de 21% dans le Plateau-Mont-Royal et de 16% dans le sud-ouest de l'île, indique la CIGM. Sur un an, le prix médian des copropriétés a grimpé de 7% dans la région métropolitaine, à 220 739$, et de 9% dans l'île de Montréal, à 255 000$. Laval fait figure d'exception, avec une hausse salée de 15% (à 205 000$). Comment expliquer l'envolée lavalloise? «On a pas mal de volatilité du côté du prix des condos à Laval: en avril on était à " 2%, en mars à " 3%, en février à " 11% et en janvier à -3%, a souligné Paul Cardinal, directeur de l'analyse du marché à la CIGM. Mieux vaut regarder le cumulatif depuis les cinq premiers mois de l'année ("5%).» À deux ponts de là, la Rive-Sud a encaissé une baisse de 5% du prix de ses condos en mai, à 180 000$. Ce recul est concentré à Brossard, Saint-Lambert, Candiac et La Prairie. Le prix médian a malgré tout grimpé de 3% pendant les cinq premiers mois de 2011, si on compare à la même période l'an dernier. Équilibre La revente de maisons unifamiliales a baissé de 8% dans le Grand Montréal le mois dernier, mais leur prix médian a progressé de 4%, à 266 500$. Les ventes de «plex» de deux à cinq logements ont reculé de 9%, tandis que leur prix est demeuré stable à 390 000$. Dans l'île, les ventes de maisons individuelles ont fléchi de 16% et celles de plex, de 12%. Les prix ont respectivement progressé de 8% et 3%, à 363 500$ et 420 000$. Paul Cardinal voit d'un bon oeil le recul global de 4% du nombre de transactions le mois dernier, moins brutal que les replis des mois précédents, dont 18% seulement en avril. «C'est la 13e baisse consécutive, sauf que c'est la plus faible depuis le mois de mai 2010, donc c'est encourageant», a-t-il dit à La Presse Affaires. Le marché demeure «de façon générale» à l'avantage des vendeurs, excepté dans le segment de la maison unifamiliale à Vaudreuil-Soulanges et en banlieue nord et, dans celui du condo, à Vaudreuil, Laval et en banlieue nord, a précisé M. Cardinal. Le nombre de propriétés inscrites par des vendeurs continue de gonfler de mois en mois, donnant toujours plus de pouvoir de négociation aux acheteurs. Le nombre d'inscriptions en vigueur a grimpé de 19% par rapport à mai 2010, avec 25 829 propriétés en vente dans la région métropolitaine. Par ailleurs, dans son rapport publié hier, la SCHL indique que les mises en chantier de maisons individuelles ont reculé de 21% en mai dans le Grand Montréal, alors que celles de jumelées ont fléchi de 21%. La forte construction de condos a néanmoins contribué à une hausse globale de 10% des mises en chantier, avec 2121 logements entamés. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201106/08/01-4407244-construction-de-condos-sommet-historique-a-montreal.php
  21. Les arts de la scène ont la cote au Québec Mise à jour le jeudi 14 octobre 2010 à 17 h 13 Les Québécois sont toujours friands de spectacles. En 2009, un nouveau sommet a été atteint avec 17 000 représentations dans la province, en augmentation de 3 % par rapport à 2008, selon les plus récents chiffres publiés par l'Observatoire de la culture et des communications du Québec. Les spectacles au Québec ont attiré 7,4 millions de personnes, soit 6 % de plus qu'en 2008. Ils ont généré des revenus de billetterie de 274,6 millions de dollars, en hausse de 16 % par rapport à l'année précédente. Les 10 spectacles les plus populaires sont des productions québécoises : •Cirque du Soleil - Ovo •Martin Matte - Condamné à l'excellence •André Sauvé - André Sauvé •Louis-José Houde - Suivre la parade •Cavalia - Cavalia •Véronic Dicaire - Véronic Dicaire •Rachid Badouri - Arrête ton cinéma •Cirque du Soleil - Allegria •Céline Dion - Taking Chances •Grande gueules - Complices . Ces 10 spectacles concentrent 18 % de l'assistance et 32 % des revenus de billetterie des spectacles présentés en 2009. Le cirque et l'humour ont la cote La fréquentation des spectacles de cirque et de magie atteint de nouveaux sommets avec une hausse de 58 % de l'assistance et de 244 % des revenus de billetterie par rapport à 2008. Le succès populaire des spectacles d'humour ne se dément pas, avec une croissance de 36 % de l'assistance et de 83 % des revenus de billetterie entre 2007 et 2009. En 2009, l'humour a généré 45,5 millions de dollars de revenus de billetterie grâce à 1,3 million de spectateurs, soit plus que les revenus du théâtre (33,6 millions) et de la danse réunis (8,5 millions). Ces deux catégories d'évènements ont attiré 1,9 million de spectateurs. Après deux ans en baisse, les spectacles de chansons francophones connaissent une croissance de l'assistance de 12 % et une hausse des revenus de billetterie de 26 % par rapport à 2008. Montréal, Québec et les régions Depuis 2006, les spectacles payants tenus dans les régions de Montréal et de la Capitale-Nationale ont connu un taux de croissance annuel moyen de 5 % de l'assistance et de 16 % des revenus de billetterie. Au cours de la même période, les autres régions du Québec ont vu leur assistance diminuer de 3 %, et leur revenu stagner. http://www.radio-canada.ca/nouvelles...chiffres.shtml Bonne Nouvelle pour le Quartier Des Spectacles!
  22. Le français en progression dans le monde Mise à jour le mardi 12 octobre 2010 à 11 h 58 Le nombre de francophones est en constante augmentation dans le monde, selon une vaste étude de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Cette enquête internationale révèle que c'est en Afrique que le français affiche ses progrès les plus importants. Selon le rapport intitulé La Langue française dans le monde 2010, on estime actuellement à 220 millions le nombre de personnes capables de lire et d'écrire en français dans le monde. Ces données ne tiennent cependant pas compte des millions de personnes capables de parler et de comprendre le français sans toutefois savoir le lire et l'écrire. Selon le rapport de l'OIF, au moins 70 millions des 220 millions de francophones répertoriés dans le monde vivent en Afrique subsaharienne. Si on ajoute à ce chiffre tous les francophones du Maghreb (nord de l'Afrique), c'est plus de la moitié des francophones qui vivent actuellement en Afrique. Un demi-milliard de francophones africains La croissance des populations francophones africaines est telle que selon les experts consultés, en 2050, neuf francophones sur dix proviendront du continent africain. Bref, dans 40 ans, l'Afrique comptera plus d'un demi-milliard de francophones. Cette croissance du français en Afrique est directement liée aux progrès de la scolarisation dans cette partie du monde, ont constaté les chercheurs. Le rapport donne l'exemple du Burkina Faso et du Mali où, en 25 ans, le nombre de personnes capables de lire et d'écrire le français en Afrique a été multiplié par cinq. En Afrique subsaharienne, l'enseignement du français a bondi de 19 %, et en Afrique du Nord de 13 % entre 2007 et 2010, rapporte l'étude de l'OIF. Compte tenu de la situation, des efforts importants de scolarisation doivent être entrepris en Afrique pour conserver et faire fructifier ces acquis. Et pour ce faire, la compétence des maîtres est cruciale, souligne l'OIF. Selon Clément Duhaime, administrateur de l'OIF, à Paris, il faudra plus de 2 millions de nouveaux professeurs en Afrique subsaharienne seulement au cours des 5 à 10 prochaines années pour répondre à la demande. Outre l'Afrique, l'enseignement du français a également progressé au Moyen-Orient (+13 %) ainsi qu'en Asie et en Océanie (+6 %) au cours des trois dernières années. Recul du français en Europe et en Amérique Alors qu'il explose en Afrique, le français perd du terrain en Europe et en Amérique. Sur le continent américain, l'enseignement du français comme langue étrangère a accusé un faible recul de 1 % au cours des trois dernières années. En Europe, toutefois, il a reculé de 17 % au cours de la même période. Recul et concentration des francophones au Canada Au Canada, le rapport de l'OIF a aussi noté un recul du français. Selon le rapport, le nombre de personnes dont la langue maternelle est le français est passé de 27 % à 22 % au Canada, de 1971 à 2006. Les chercheurs ont également noté une concentration des populations de langue française au Québec et près de ses frontières. Le rapport souligne aussi la faible proportion de Canadiens hors Québec qui ont le français comme seconde langue, soit 7 % en 2006. Le français en bonne position sur le web Sur Internet, le français fait bonne figure en dépit de la nette domination de l'anglais (45 % des pages). Selon le rapport de l'OIF, le français arrive au troisième rang, derrière l'Allemand, au chapitre de la création de nouvelles pages Internet. Le français fait partie des 15 langues parlées dans le monde qui ont plus de 100 millions d'usagers. Le français a un statut officiel dans 29 pays et trois gouvernements. Les données recueillies dans cette étude ont été compilées par 40 chercheurs d'une quinzaine de pays en collaboration avec plusieurs organismes internationaux et universités. L'Université Laval, à Québec, l'Institut statistique de l'UNESCO, l'Agence universitaire de la francophonie et l'Agence américaine pour le développement international (USAID) ont notamment collaboré à cette vaste enquête commandée en 2008 par l'Organisation internationale de la francophonie. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/10/12/001-francophonie-stat-monde.shtml
  23. Les taux de réduction des gaz à effet de serre atteints l'an dernier sont 10 fois moins élevés que les prévisions des conservateurs à Ottawa, montre un rapport d'Environnement Canada. Pour en lire plus...
  24. Une saison très tranquille pour la Voie maritime Publié le 08 janvier 2010 à 17h11 | Mis à jour le 08 janvier 2010 à 17h16 Sylvain Larocque La Presse Canadienne Montréal La Voie maritime du Saint-Laurent vient de mettre fin à sa 50e saison de navigation en enregistrant son plus faible niveau d'activité «depuis le début des années 1960». La Corporation de gestion de la Voie maritime estime que le volume total de marchandises transportées dans le corridor aura totalisé 30,5 millions de tonnes en 2009, une baisse de 25,3% par rapport à 2008. La chute «peut être attribuée à l'importance de la récession, qui a entraîné une forte diminution des transports de minerai de fer et d'acier sur la voie navigable», a expliqué l'organisme dans un communiqué diffusé vendredi. Le président et chef de la direction de la Corporation de gestion, Richard Corfe, a rappelé que l'industrie sidérurgique, qui a grandement souffert de la récession, représentait «une forte proportion» de l'activité de la Voie maritime. M. Corfe a tenu à souligner que son équipe déployait des efforts afin de diversifier les marchandises transportées sur la Voie maritime, tout en reconnaissant que le corridor allait rester «centré» sur le transport de marchandises en vrac. «Nous préparons un avenir où la Voie maritime sera foncièrement plus polyvalente et pourra accueillir une plus vaste gamme de navires transportant des marchandises spécialisées, a indiqué le dirigeant. Nous nous employons à cette fin à mettre en oeuvre l'amarrage mains libres. Il évitera aux armateurs de devoir investir dans un équipement uniquement nécessaire à la navigation dans la Voie maritime, il réduira la taille de l'équipage nécessaire aux éclusages et il rehaussera à la fois la productivité et la sécurité.» En 2009, la Voie maritime a reçu 1,6 million de tonnes de nouvelles marchandises, qui se sont traduites par des recettes de péage de plus de 2 millions de dollars. Entre Hamilton et Montréal, on a mis en place un projet pilote qui permet le transport de conteneurs spécialisés par remorqueur et chaland, en lieu et place des liens routiers et ferroviaires. Plus tôt cette semaine, la présidente-directrice générale de l'Administration portuaire de Montréal, Sylvie Vachon, a déclaré qu'elle s'attendait à ce que le trafic se maintienne cette année par rapport à 2009, ou qu'il augmente légèrement. Elle n'entrevoyait pas le retour aux niveaux records de 2008 avant deux ou trois ans. En 2009, le port de Montréal a enregistré une baisse de 11,9% de son volume total. La Corporation de gestion s'est par ailleurs félicitée, vendredi, qu'aucune nouvelle espèce aquatique envahissante n'ait été signalée dans les eaux de la Voie maritime depuis 2006. Il s'agit de la première période de trois ans depuis 1965 au cours de laquelle on a réussi à garder ces espèces à distance, grâce notamment au rinçage des citernes de ballast à l'eau salée. La saison de navigation 2009, qui a duré 274 jours, a pris fin le 28 décembre. La Voie maritime du Saint-Laurent permet de relier l'océan Atlantique aux Grands Lacs.
  25. Montréal en 1re place devant toutes les grandes villes américaines et canadiennes MONTRÉAL, le 22 déc. /CNW Telbec/ - Montréal est devenue la première destination pour l'accueil d'événements associatifs internationaux en Amérique du Nord, voilà ce que démontrent les résultats récents du classement préliminaire 2009 de l'International Congress and Convention Association (ICCA). En accueillant des milliers de congressistes chaque année et en étant le principal hôte des rencontres internationales d'envergure dans la métropole québécoise, le Palais des congrès confirme une fois de plus sa position de leader sur le marché international. En effet, les résultats à ce jour sont éloquents. Montréal rafle la première position parmi toutes les destinations situées en Amérique du Nord, devançant ainsi les grandes villes américaines et canadiennes, dont New York, Boston, San Francisco, Washington, Miami et Chicago, de même que Vancouver et Toronto. Par ce rang, Montréal grimpe de 8 positions par rapport au classement 2008. "Ce résultat est une grande victoire pour Montréal et témoigne du dynamisme de la métropole québécoise et de son pouvoir d'attraction auprès des grandes associations internationales qui doivent composer avec une offre élargie depuis les dernières années", lance Marc Tremblay, président-directeur général au Palais des congrès. "Comme principal hôte de rencontres internationales dans la métropole, nous sommes heureux de constater que les efforts et la passion qui animent les grands partenaires de l'industrie comme Tourisme Montréal, Montréal International, les centres de recherche et la Ville de Montréal portent leurs fruits et permettent de faire vivre une expérience inoubliable à ces milliers de visiteurs qui viennent du monde entier", ajoute-t-il. Le classement préliminaire 2009 de l'ICCA démontre également que Montréal est en nette avance par rapport aux autres grandes villes canadiennes. Pour l'année financière 2008-2009, le Palais a accueilli un total de 16 congrès internationaux (incluant les congrès américains) et 15 congrès canadiens et québécois, générant au total plus de 168 millions de dollars de retombées économiques pour la métropole, sans compter les répercussions des événements d'envergure comme les expositions commerciales.
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