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  1. http://journalmetro.com/local/rosemont-la-petite-patrie/actualites/969345/un-nouveau-pub-ludique-dans-rosemont/ 25/05/2016 Mise à jour : 25 mai 2016 | 17:16 Un nouveau pub ludique dans Rosemont Par Hugo Jolion-David TC Media Collaboration spéciale - Andréanne Lupien Le nouveau rendez-vous de tous les passionnés de jeux dans Rosemont Les amoureux des soirées jeux de société sauront désormais où aller dans Rosemont avec la récente ouverture du Randolph pub ludique de Rosemont au 6505 rue des Ecores, coin Beaubien Est. C’est le deuxième pub de la lignée Randolph après celui de la rue Saint-Denis dans le quartier latin, ouvert en juillet 2012. Le concept montréalais a été créé par quatre passionnés de jeux : le comédien Normand D’Amour et ses trois associés, Justin Bazogue, Joël Gagnon et Benoît Gascon. Selon les créateurs, l’idée était de mettre en avant l’innovation dans le domaine des jeux contemporains en offrant un espace de rencontre où des animateurs proposent des jeux en fonction de la motivation et des préférences des clients. Face à l’extrême motivation de ces derniers, le pub a rapidement été victime de son succès : « Depuis deux ans le Randoph du quartier latin a une file d’attente de deux heures tous les vendredis et samedis. Il était grand temps d’ouvrir une nouvelle succursale pour satisfaire la demande » raconte Normand D’Amour. Et quel autre endroit que Rosemont pour développer le concept : « Rosemont, c’est mon quartier. Je suis né ici. C’est le plus beau et le meilleur quartier du monde. Et en plus, des quatre lieux visités, c’était le plus adéquat » explique-t-il dans un sourire. Dans un très vaste espace lumineux et décoré sous la thématique des jeux de société, le pub peut accueillir 209 personnes, du mercredi au dimanche, autour de plus de 500 jeux tels que les Aventuriers du rail, Scotland Yard ou encore Au feu!.
  2. http://journalmetro.com/culture/955808/clap-de-fin-a-lexcentris/ Cinq mois après la fermeture temporaire de l’Excentris, le groupe français MK2, qui souhaitait reprendre le cinéma du boulevard Saint-Laurent et l’agrandir, s’est finalement retiré du projet. Cela a forcé l’organisme à but non lucratif Cinéma Parallèle, propriétaire de l’Excentris, à se placer officiellement sous la loi sur les arrangements avec les créanciers le 5 mai prochain. La Société de développement des entreprises culturelles, actionnaire principal de l’Excentris, devrait reprendre l’immeuble pour le revendre. Quant à l’exploitant de salles français MK2, qui envisageait d’étendre son réseau, il flirte plutôt avec l’idée de construire un complexe au centre-ville de Montréale sent via Tapatalk
  3. La société Daly et Morin est fondée en 1896 par William Joseph Daly et Albert Morin. Ils reprennent le fonds de commerce d'un quincaillier et d'un fabricant de peintures résistantes au feu. L'entreprise se situe à Montréal, sur la place Jacques-Cartier. Les associés réorientent les affaires de la société et se concentrent sur le commerce de gros et la manufacture de stores, de draperies, de pôles, de tringles et de la quincaillerie nécessaire à l'installation de ces produits. En 1902, ils déménagent leurs locaux sur la rue Saint-Sulpice et installent leur manufacture à Lachine (Montréal) quatre ans plus tard. En 1910, les bureaux de vente sont relogés dans les magasins de l'Hôtel-Dieu et en 1927, les entrepôts se situent tous à Lachine. À la veille de la crise de 1929, la compagnie affiche un chiffre d'affaires d'un million de dollars. Elle fournit plusieurs magasins, dont Morgan's, et est présente dans plusieurs régions du Canada. Son principal concurrent est une entreprise de la région de Chicago, aux États-Unis. Les bureaux de vente demeurent dans le Vieux-Montréal jusqu'en 1930, ils sont ensuite déménagés à Lachine. L'usine cesse ses activités en 1975. http://www.patrimoine-culturel.gouv.qc.ca/rpcq/detail.do?methode=consulter&id=13134&type=pge#.Vwp2gnrApDQ
  4. La caverne de Saint-Léonard deviendrait le «Centre de la Terre» La caverne de Saint-Léonard pourrait devenir un site d’attraction scientifique et éducatif, dans la même veine que le Biodôme et le Planétarium, selon la Société de spéléologie du Québec qui compte faire de ce site le «Centre de la Terre». «Alors que le Planétarium permet d’en apprendre davantage sur l’espace […] le « Centre d’interprétation de la Terre » aura comme mission d’expliquer aux visiteurs la formation des calcaires ordoviciens des basses-terres du Saint-Laurent et les mouvements de glaciers», explique le dossier de projet consulté par TC Media. Formé il y a 10 000 ans, le site caverneux qui se trouve en plein cœur de la métropole est géré par la Société de spéléologie du Québec. Chaque année, 1500 à 2500 visiteurs explorent cette caverne longue de 35m. C’est ce succès que l’organisme souhaite utiliser comme rampe de lancement pour mettre en place un projet d’envergure. «Au cours des dernières années, nous n’avons pas réussi à répondre à la demande. Nous voudrions faire quelque chose de plus gros pour mettre en valeur la grande histoire géologique du site», indique François Gélinas, directeur général de l’organisme. La vision Le nouveau centre d’interprétation serait ouvert à l’année et offrirait des salles présentant des expositions permanentes et temporaires. Actuellement, le site n’est accessible que du mois de mai au mois d’août, en raison de la main-d’œuvre, qui est composée de guides étudiants, et des conditions météorologiques. La neige et le froid ne permettent pas d’ouvrir la caverne par temps froid. De nouveaux aménagements, dont une salle étanche et l’agrandissement du pavillon du parc Pie-XII, devraient être réalisés pour permettre d’ouvrir plus de six mois par année. «Il nous faut un sas afin d’éviter que des chocs thermiques cassent la roche de la grotte. De plus, avec l’agrandissement du pavillon, nous pourrions y déménager et y faire de l’animation», explique M. Gélinas. D’autres cavernes qui demeurent inexploitées pour le moment à Saint-Léonard pourraient également être aménagées, dont celle de la rue du Saguenay. «C’est une deuxième étape. La caverne Saguenay est située dans un secteur résidentiel, et nous voudrions sonder les voisins pour nous assurer de ne pas les déranger lors de nos visites», souligne le directeur général. Le coût de la construction de cette structure n’est pas encore connu. Toutefois, l’organisme estime qu’il faudrait environ 250 000$ pour mettre en place les expositions et acheter de l’équipement. Ce montant n’inclut pas les travaux au pavillon ni la construction du sas. Les premiers pas Afin de réaliser son projet, la société souhaite y aller graduellement. Dès cet été, elle doublera son nombre de visites, passant de trois à six visites par jour. M. Gélinas espère atteindre les 30 000 visiteurs si le site est accessible à l’année. L’organisme devrait rencontrer l’arrondissement de Saint-Léonard, notamment pour la question des travaux au pavillon, au cours des prochaines semaines. De plus, il compte également commencer les démarches pour trouver du financement. «Si tout va bien, je nous donne cinq ans pour réaliser le projet», dit M. Gélinas. TC Media a tenté de joindre l’arrondissement de Saint-Léonard, mais sans succès. http://journalmetro.com/local/saint-leonard/actualites/919667/la-caverne-de-saint-leonard-deviendrait-le-centre-de-la-terre/
  5. MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 9 fév. 2016) - La société KanAm Grund et Canderel annonçaient aujourd'hui la signature d'un bail au 1360 René-Lévesque Ouest avec Vigilant Global, une firme de TI novatrice nommée parmi les meilleurs petits et moyens employeurs au Canada. L'entreprise montréalaise occupera des locaux de 76 500 pi2 dans cette prestigieuse tour située en plein cœur du Quartier Windsor, la zone connaissant la croissance la plus rapide au centre-ville de Montréal. Ces tout nouveaux bureaux feront désormais office de siège social de Vigilant Global. « Nous nous réjouissons qu'une entreprise en pleine expansion comme Vigilant Global ait choisi de s'établir au 1360 René-Lévesque Ouest, » déclarait Robert Vineberg de Canderel. « Ce déménagement marque de façon positive l'engagement de cette compagnie envers la communauté montréalaise. Les propriétaires des lieux sont, quant à eux, fiers d'accueillir un nouveau locataire d'envergure dans leur immeuble. » « En tant qu'entreprise ayant ses racines à Montréal, nous sommes très heureux de pouvoir prendre part au développement continu de son centre-ville, » affirmait Arvind Ramanathan, directeur et cofondateur de Vigilant Global. « Au 1360 René-Lévesque Ouest, nous pourrons donner à nos employés un espace de travail dynamique à quelques pas de tout ce que la ville offre de meilleur. » Les partenaires de Vigilant Global dans la création de ce nouvel espace sont P & R Desjardins Construction Inc., Provencher Roy Inc. - design intérieur, BPA et Applied Électronique Limitée. Le 1350-1360 René-Lévesque Ouest continue de consolider son positionnement parmi les adresses les plus convoitées à Montréal par les sociétés cherchant un lieu idéal pour établir leur siège social. Vigilant Global se joint ainsi à une liste de locataires impressionnants, dont CGI, IBM et Ciment McInnis. Le 1360 René-Lévesque Ouest est situé à l'intersection sud-ouest de la rue Lucien-L'Allier et du boulevard René-Lévesque Ouest. Desservie par tous les réseaux de transport public, la propriété est située à environ 100 mètres de nombreux arrêts d'autobus, stations de métro et gares de train. L'immeuble détient la certification LEEDMD argent pour les bâtiments existants (BE). À PROPOS DE LA SOCIÉTÉ KANAM GRUND Fondée en octobre 2000, la société KanAm Grund a généré des transactions immobilières totalisant 25 milliards de dollars américains depuis sa création. Tant à son siège social de Francfort que dans ses bureaux internationaux de Paris et d'Atlanta, l'ensemble de son personnel réunit de nombreuses années d'expérience dans le domaine des investissements immobiliers. Au cours 15 dernières années, la société a concentré ses investissements dans des propriétés de qualité situées au cœur de métropoles internationales telles que Paris, Londres, Washington D.C. et Toronto. KanAm Grund bénéficie ainsi de son propre réseau mondial réunissant plusieurs sites stratégiques importants. Par ailleurs, par son indépendance, la société occupe une position particulière qui lui permet de se concentrer sur une stratégie d'investissement visant le meilleur intérêt des investisseurs. Profitant plus que jamais de cet avantage, les investisseurs institutionnels internationaux se tournent vers KanAm Grund en tant que gestionnaire de fonds, de portefeuilles et d'actifs pour investir et administrer leurs actifs au sein de propriétés allemandes, européennes ou américaines. À PROPOS DE CANDEREL Célébrant cette année son 40e anniversaire, Canderel est une société nationale de développement, de gestion et d'investissement immobilier, avec des projets phares à Montréal, Toronto, Ottawa et Vancouver. Elle a récemment pénétré le marché de l'Alberta par l'entremise de sa société affiliée Humford Management. http://www.canderel.com À PROPOS DE VIGILANT GLOBAL La firme montréalaise Vigilant Global est un chef de fil dans les secteurs de la recherche et du développement (R-D) et des TI. L'entreprise conçoit et met en œuvre des systèmes à haute performance et des solutions logicielles novatrices dans le domaine des finances. Vigilant Global favorise un engagement actif au sein de sa communauté, convaincue qu'une véritable implication sociale enrichit l'expérience que l'on peut tirer de vivre et de travailler à Montréal tout en forgeant un environnement professionnel collaboratif valorisant. Pour en savoir plus, veuillez consulter http://www.vigilantglobal.com. http://www.marketwired.com/press-release/la-societe-kanam-grund-et-canderel-annoncent-larrivee-de-vigilant-global-au-1360-rene-2095121.htm
  6. http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk
  7. Bell frappe un grand coup : 200 hélicoptères vendus! http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/aeronautique-et-aerospatiale/bell-helicopter-obtient-une-commande-de-200-appareils/576792#%2EVPhhJpMYjTk%2Elinkedin
  8. Pas d’austérité chez Hydro-Québec Pendant que le gouvernement Couillard propose un gel salarial à ses 540 000 fonctionnaires pour les deux prochaines années, les employés d’Hydro-Québec verront leurs chèques de paie bondir de 7,2 %. Dès le 1er janvier, les salaires de 15 000 travailleurs d’Hydro-Québec seront notamment bonifiés de 4,2 %. En 2016, c’est une hausse de 3 % qui attend les employés de la société d’État. En tout, au cours des quatre prochaines années, les salaires des employés d’Hydro-Québec progresseront de 12,45 %. Ces impressionnantes hausses ont été consenties lors du renouvellement de la dernière convention collective ratifiée il y a un an, en décembre 2013, avec sept des huit syndicats de la société d’État. Pour justifier de telles hausses, Hydro-Québec dit avoir mis fin au controversé régime annuel de primes à la performance offert à ses employés depuis une dizaine d’années. Ce régime de primes était décrié parce qu’Hydro-Québec détient le monopole de la vente d’électricité au Québec et que les objectifs de ce régime étaient trop faciles à réaliser. En 2013 (pour l’année 2012), ce régime a distribué 88 millions $ aux travailleurs d’Hydro-Québec. Pour compenser la fin de ces généreux bonis, la société d’État a toutefois décidé d’ajuster les échelles salariales de ses travailleurs syndiqués à compter du 1er janvier 2015. Prime de 84 M$ Pour l’année 2014 qui se termine, Hydro-Québec dit avoir «gelé» les salaires de ses travailleurs et ne versera pas la fameuse prime au rendement. Or, les travailleurs d’Hydro-Québec ont touché en avril 2014 (pour la dernière fois) la prime dite de rémunération incitative pour la performance financière de la société d’État réalisée en 2013, a appris Le Journal. Cette prime de 84 millions $ équivaut à tout près de 4000 $ par employé ou jusqu’à 4,5 % de leur salaire annuel, soit 1,5 % lorsque les objectifs financiers sont atteints et jusqu’à 3 % en se fondant sur les indicateurs de rendement de l’entreprise. Hydro-Québec persiste à dire que ses travailleurs syndiqués subiront néanmoins un «gel de rémunération» l’an prochain. «Pour 2015, une portion de la rémunération incitative a effectivement été intégrée aux échelles salariales, d’où l’augmentation de 4,2 %», a indiqué hier un porte-parole d’Hydro-Québec, Patrice Lavoie. Les cadres aussi Les travailleurs non syndiqués d’Hydro-Québec ne sont pas en reste. Eux qui ont vu leurs salaires progresser de 1,75 % en 2014, auront droit à une hausse de 2 % en 2015. http://www.journaldemontreal.com/2014/12/17/pas-dausterite-chez-hydro-quebec
  9. Publié le 17 novembre 2014 à 08h40 | Mis à jour à 08h40 La Presse Canadienne Montréal Les sociétés minières québécoises Redevances Aurifères Osisko (T.OR) et Mines Virginia (T.VGQ) ont annoncé lundi leur regroupement afin de créer une nouvelle société de redevances intermédiaire, détentrice de deux redevances situées au Québec. Chaque action de Virginia sera échangée pour 0,92 action d'Osisko. L'arrangement prévoit que les actionnaires de Virginia recevront une contrepartie de 14,19$ par action ordinaire de Virginia, calculée à partir du prix de clôture de l'action ordinaire d'Osisko de 15,42$ CAD à la Bourse de Toronto le 14 novembre 2014. L'offre représente une prime de 41% sur le prix de clôture de l'action de Virginia en date du 14 novembre 2014 ainsi qu'une prime de 27% pour Viriginia basé sur le prix moyen pondéré en fonction du volume sur 30 jours des actions des deux sociétés pour la période terminée le 14 novembre 2014. L'entente épingle la valeur de Virginia à 479 millions. Aux termes du regroupement, les actionnaires existants d'Osisko et Virginia détiendront respectivement environ 61% et 39% de la société combinée, suite aux placements privés parallèles de la Caisse de dépôt et placement du Québec et le Fonds de solidarité FTQ fondé sur une base ordinaire. La société combinée portera le nom de Redevances Aurifères Osisko Ltée, aura une capitalisation boursière estimée de 1,3 milliard et sera basée à Montréal. http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201411/17/01-4819622-osisko-achete-mines-virginia-pour-479-millions.php
  10. MARDI 11 NOVEMBRE 2014 - 14:30 ET | LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe CGI a annoncé mardi avoir obtenu des prolongations d'ententes évaluées à environ 2 milliards $ avec le géant des télécommunications BCE (TSX:BCE), société mère de Bell Canada. Les contrats de services et de solutions de technologies de l'information se poursuivront jusqu'en décembre 2026. Les deux entreprises travaillent ensemble depuis déjà plus de 15 ans. CGI (TSX:GIB.A) est responsable du réseau de technologies de l'information de Bell, notamment en soutenant des centaines d'applications. La société des technologies de l'information dévoilera jeudi ses résultats financiers pour son quatrième trimestre. Son bénéfice net devrait avancer à 222 millions $, par rapport à 141 millions $ l'an dernier, tandis que ses revenus devraient se chiffrer à 2,57 milliards $, d'après les prévisions d'analystes recueillies par Thomson Reuters. En excluant les éléments non récurrents, le bénéfice ajusté devrait grimper de neuf pour cent à 233 millions $, ou 73 cents par action, selon les prévisions. http://www.lesaffaires.com/techno/technologie-de-l-information/cgi-obtient-des-prolongations-de-contrats-de-2-milliards--de-bce/573833 Sent from my iPhone using Tapatalk
  11. Le jeudi 9 octobre 2014, en présence de la mairesse de la Ville de Longueuil, Madame Caroline St-Hilaire, de Madame France Dubé, conseillère à la Ville de Longueuil, de Monsieur Mathieu Duguay, président Société de gestion Cogir, de l’équipe de Jazz Longueuil, des cadres de Société de gestion Cogir et des résidents de Jazz Longueuil, se tenait la cérémonie de pelletée de terre protocolaire marquant le début de la construction de la tour II de la résidence privée pour aînés JAZZ Longueuil. Du même coup, la capsule temporelle contenant divers objets et souvenirs des résidents actuels de Jazz Longueuil a été scellée officiellement. Cette capsule sera installée dans la structure de béton de la tour II avec à son bord, à tout jamais, une petite partie de l'âme des résidents de la phase I. Résidence importante située au cœur de Longueuil, Jazz Longueuil s’agrandit pour accueillir une clientèle d’aînés autonomes de l’agglomération et ses environs. En plus d’offrir plus de 180 nouveaux logements au look contemporain, cette nouvelle résidence offrira des services à valeurs ajoutées à sa clientèle existante et future. Ce projet d’agrandissement, nécessitant un investissement de près de 30 millions de dollars, créera jusqu’à 26 nouveaux emplois. Située face à l’Hôpital Pierre-Boucher et à proximité de tous les services, la résidence Jazz Longueuil était louée à pleine capacité depuis quelques années. L’ajout de la tour II permettra d’offrir des opportunités de location à plusieurs aînés de la grande région qui désirent goûter à l’expérience Jazz. La construction de cette nouvelle tour sera réalisée entièrement par Société de gestion Cogir, l’un des plus importants gestionnaires d’immeubles au Québec. http://www.jazzlongueuil.ca ----
  12. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201410/23/01-4811777-societe-generale-des-dizaines-demplois-crees-a-montreal.php
  13. Tres intéressant. À Concordia, en français et organisé par L'Association francophone pour le savoir (l'Acfas)! http://www.acfas.ca/evenements/congres/programme/82/600/616/c
  14. Le Cirque Éloize a imaginé des projets d’animation du parc Jean-Drapeau en vue du 50e de l’Exposition universelle 25 février 2014 | Frédérique Doyon | Actualités culturelles Le Devoir La Biosphère pourrait faire l’objet d’une mise en lumière permanente à l’instar de la tour Eiffel. L’idée fait partie d’un bouquet de propositions pour animer le parc Jean-Drapeau, à l’occasion du 50e anniversaire de l’Exposition universelle en 2017, a appris Le Devoir. La Société du parc Jean- Drapeau (SPJD) a mandaté le Cirque Éloize pour mettre sur pied une table de concertation afin d’imaginer des programmations spécifiques pour le site des îles Notre-Dame et Sainte-Hélène, en vue du 50e de l’Expo, mais qui se déploieront dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. L’exercice s’articule autour de sept grandes orientations pour dynamiser le site à long terme. Chaque orientation a donné lieu à des idées bien concrètes, inspirées de ce qui se fait ailleurs dans le monde. L’illumination du fameux dôme géodésique de l’architecte Richard Buckminster Fuller, icône de l’Expo, est l’une des idées proposées pour remettre en valeurs les icônes architecturales de l’Expo, un des axes de développement abordés dans le rapport qui n’a pas encore été rendu public, mais dont Le Devoir a eu un aperçu. Une autre proposition consiste à doter le parc de bateaux-péniches de services (hôtellerie, restauration, etc.) sur les bords du fleuve. Un concept similaire, qui existe à Amsterdam et à Paris, est l’une des idées soumises au chapitre de la réappropriation du fleuve. Il faudra attendre avant de savoir quelles recommandations seront retenues. La direction de la SPJD doit d’abord déposer le rapport à son conseil d’administration, puis à la Ville et à la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal. Car ces propositions se joindront à l’ensemble du programme du double anniversaire — voire triple, puisqu’il coïncide aussi avec le 150e de la Confédération canadienne. Et le budget de ce programme d’animation n’est pas encore attaché. Il s’articulera à l’ambitieux programme d’aménagement du parc déjà connu, qui vise à revitaliser quatre secteurs clés au coût de 55 millions de dollars : la Place des Nations, la construction d’une promenade riveraine panoramique de trois kilomètres le long du Saint-Laurent, la création d’un espace d’accueil autour du métro et l’aménagement du Parterre de l’île Sainte-Hélène — où se déroule le festival Osheaga — pour accueillir confortablement 45 000 personnes. Le parc Jean-Drapeau est le premier grand parc public montréalais (constitué en 1874, avant le mont Royal), et jouit depuis 2007 du statut de site patrimonial. Le projet de valorisation et de développement Horizon 2017 totalise 159,7 millions de dollars étalés depuis 2012, jusqu’en 2017.
  15. Une société espagnole obtient d'importants avantages pour s'implanter au Québec Publié le 22 janvier 2014 à 13h31 Comblée par de l'électricité au rabais et un congé fiscal de dix ans, la société espagnole FerroAtlàntica va s'implanter au Québec. À l'occasion du Forum économique mondial de Davos, le premier producteur mondial de silicium métal a annoncé mercredi un investissement de 375 millions de dollars au Québec et la création de plus de 300 emplois. Le site de la future usine n'est pas encore choisi, mais la construction est prévue «dans les prochains mois» et le début des activités est fixé à la fin de l'année 2016. Le silicium métallurgique est une composante d'alliage destinée entre autres à l'industrie automobile, à la production de silicone, de béton haute performance et de panneaux solaires. Avec le quartz, des résidus forestiers pourront être utilisés pour la transformation des matières premières en silicium métal. L'entreprise espagnole est la première société à profiter des mesures incitatives que comporte la politique économique «Priorité emploi» présentée l'automne dernier par la première ministre Pauline Marois et le ministre des Finances Nicolas Marceau. FerroAtlàntica aura donc droit à un congé de taxes d'une durée de dix ans et à un rabais d'un cent du tarif L d'électricité consenti aux grandes entreprises (4,4 cents le kilowattheure). Investissement Québec souhaite prendre une participation de cinq à dix pour cent dans le projet, ce qui représente un montant oscillant entre 20 millions et 30 millions de dollars. Des conditions «très favorables», a convenu le directeur général de FerroAtlàntica, Pedro Larrea, en point de presse. «L'avenir de FerroAtlàntica aujourd'hui se trouve au Québec, a lancé M. Larrea. Nous avons trouvé de la compréhension pour nos problèmes et des solutions à nos problèmes, des solutions pour l'électricité (et) des solutions financières.» La création de 300 emplois est un baume pour Mme Marois qui a été rattrapée à Davos par les difficultés de Bombardier. Le géant de l'aéronautique a annoncé mardi le licenciement de 1700 employés, dont 1100 au Canada, notamment aux installations de Montréal et Mirabel. La première ministre a dit être «très désolée» pour les travailleurs mis à pied, mais s'est montrée optimiste pour l'avenir. «Je suis confiante pour la suite des choses. Bombardier est une très grande entreprise. Ils ont eu dans le passé certaines difficultés, ils ont toujours respecté leurs engagements», a-t-elle souligné. Conséquence du contexte économique, Bombardier accuse une diminution de son carnet de commandes pour les avions d'affaires. En outre, l'entrée en service de ses appareils CSeries a été reportée à la deuxième moitié de 2015. Un tel ralentissement n'est pas inédit dans l'industrie de l'aéronautique, a fait valoir Mme Marois, rappelant que les constructeurs Embraer et Airbus avaient aussi été confrontés à des délais dans la mise en service de nouveaux appareils. Quant aux travailleurs licenciés, le gouvernement du Québec fera tout ce qu'il peut avec les programmes existants pour les accompagner «s'il y a lieu», a indiqué Mme Marois. http://affaires.lapresse.ca/dossiers/forum-economique-de-davos/201401/22/01-4731350-une-societe-espagnole-obtient-dimportants-avantages-pour-simplanter-au-quebec.php
  16. désolée, je n'avais pas vu l'autre thread... vous pouvez supprimer celui-ci
  17. Québec avance 1,2 million au studio Cinesite Publié le 15 janvier 2014 à 11h07 | Mis à jour à 11h07 Québec prête 1,2 million de dollars à la société de Grande-Bretagne Cinesite pour qu'elle implante un studio de production d'effets visuels et d'animation à Montréal. Le prêt est octroyé par le bras investisseur du gouvernement provincial, la société Investissement Québec. La venue du studio qui créera autour de 200 emplois a été rendue publique par La Presse ce matin. La nouvelle devrait être confirmée lors du passage de la première ministre Pauline Marois à Londres la semaine prochaine. On doit à Cinesite les effets spéciaux de la série de films Harry Potter. Il s'agit du second studio britannique à choisir Montréal en un an. À peu près à la même date l'an dernier, Framestore avait annoncé l'ouverture de nouvelles installations à Montréal. L'entreprise avait pu bénéficier d'un prêt sans intérêt de 900 000$ étalé sur 5 ans, ce qui coûte environ 35 000$ par année au gouvernement. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201401/15/01-4728925-quebec-avance-12-million-au-studio-cinesite.php
  18. <section class="intro tiny" style="outline: none; width: 1007px; background-color: rgb(14, 15, 16); padding: 25px 0px; height: auto; font-family: sans-serif; font-size: 16px; line-height: 16px;">http://www.375mtl.com/fr/a-propos/ Mandat</section> Active depuis le printemps 2013, la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est un organisme à but non lucratif qui a pour mandat la conception et l’organisation des célébrations du 375e anniversaire de Montréal en 2017, en concertation avec différents partenaires privés et publics. Soucieuse de mettre les Montréalais au cœur de la fête, la Société œuvre à définir une vision rassembleuse des célébrations, sur laquelle s’ancreront six principales stratégies d’intervention : Collaborer à l’identification de legs porteurs et appuyer leur réalisation Élaborer une programmation de qualité Mettre en œuvre une stratégie de financement en adéquation avec les orientations Assurer la visibilité des célébrations Mobiliser la communauté montréalaise Administrer la Société de façon rigoureuse Principes d'action Dans la réalisation de son mandat, la Société s’engage à travailler de concert avec la communauté montréalaise afin que tous puissent profiter de l’opportunité extraordinaire qu’offre 2017 pour la métropole. Privilégiant la mise en valeur des atouts existants, elle agit tel un catalyseur qui favorise les initiatives privées et publiques. Consciente de l’exceptionnel levier que constitue le 375e anniversaire de Montréal, la Société désire en maximiser les expériences et les retombées, bien au-delà de 2017, afin de léguer un héritage tangible et durable aux générations futures. Par toutes ses actions, elle vise à renforcer le sentiment de fierté et d’appartenance des Montréalais ainsi qu’à accroître la visibilité et le rayonnement de la métropole. Valeurs La Société agit en toute objectivité, balisant ses actions par de hauts standards d’honnêteté, de transparence et d’impartialité. Son équipe, ses administrateurs et les membres de ses comités privilégient des valeurs d’intégrité, de loyauté, de respect et d’efficience, dans un esprit d’ouverture et de concertation. Historique Cap sur 2017 : le 375e anniversaire de Montréal se prépare depuis un certain temps! Déjà au printemps 2010, la Ville de Montréal annonce la création du Bureau du 375e, une entité administrative amenée à réfléchir à la vocation d’ensemble des célébrations en proposant un certain nombre d’orientations et d’objectifs prioritaires. Puis, en 2011, le Bureau tient une vaste consultation citoyenne. C’est dans ce cadre que s’active l’Opération CARTE BLANCHE, en collaboration avec l’Office de consultation publique de Montréal. Il s’agit d’une occasion privilégiée, pour des centaines de Montréalaises et de Montréalais, de partager leurs idées et leur vision. Sur la base de ces importantes consultations publiques, le Bureau du 375e dépose, au printemps 2012, les orientations des célébrations qui sont officiellement adoptées par les membres du comité exécutif de la Ville de Montréal en septembre suivant. Dans son rapport, le Bureau recommande également la création d’un organisme indépendant et à but non lucratif, chargé de concevoir et d’organiser les célébrations. Cette recommandation donne ainsi naissance à la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal. Le Bureau du 375e termine son mandat en décembre 2012. Fondation de la Société À la fin de l’été 2012, la Ville de Montréal annonce la création de la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal et nomme Jacques Parisien président du conseil d’administration ainsi que Gilbert Rozon commissaire aux célébrations. Puis, en février 2013, une contribution financière destinée à soutenir les activités de la Société est confirmée par le conseil municipal. C’est en juillet suivant qu’est ensuite dévoilée la composition du conseil d'administration qui regroupe 28 Montréalaises et Montréalais, nommés pour leur leadership, leur vision et leur profond désir de contribuer au développement de Montréal. Visitez la section Plan d’action pour en savoir plus sur les travaux de la Société. La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est membre de : Tourisme Montréal Culture Montréal Chambre de commerce du Montréal métropolitain Société des Attractions Touristiques du Québec (SATQ) Festivals et Événements Québec (FEQ)
  19. Sans vouloir remettre de l'huile sur le feu, je trouve l'article intéressant et révélateur Publié le 07 juin 2013 à 06h19 | Mis à jour à 06h19 Francis Vailles, André Dubuc La Presse (Montréal) Jacques Villeneuve a récemment déclaré que l'impôt n'a rien à voir avec son départ du Québec. Pourtant, au fil des années, le coureur automobile n'a pas hésité à faire des détours par Monaco et Andorre, en passant par la Suisse, pour s'installer dans des lieux fiscalement accommodants. Même au Québec, qui n'est pourtant pas un paradis fiscal, la loi lui a offert des options intéressantes pour minimiser les impôts sur sa fortune, estimée à plusieurs dizaines de millions de dollars. Exemption sur la plus-value? Selon nos recherches, une disposition de la Loi de l'impôt permet à un contribuable, à certaines conditions, d'éviter l'impôt sur la plus-value de la plupart de ses placements s'il a été résidant moins de 60 mois durant les 10 dernières années. L'exonération s'applique sur l'essentiel des biens dont le contribuable était propriétaire à son arrivée et qu'il a conservés jusqu'au jour de son départ, explique André Lareau, professeur de fiscalité à l'Université Laval. Il n'est pas possible de connaître les dates d'arrivée et de départ qu'a déclarées Jacques Villeneuve au fisc. Toutefois, selon un document suisse obtenu par La Presse, Villeneuve a eu sa résidence principale dans la commune d'Ollon, dans les Alpes suisses, jusqu'au 30 juin 2007. Le document indique qu'il a alors déménagé dans un appartement terrasse du Vieux-Montréal. La règle de cinq ans pourrait donc avoir cessé de s'appliquer pour Jacques Villeneuve vers le 30 juin 2012. Selon nos informations, le pilote a mis en vente son chalet des Laurentides en février 2012 et sa maison de Westmount en 2012, également. Lui-même nous a confirmé avoir cessé d'être résidant en 2012, mais il n'a pas voulu préciser la date. Dès que l'échéance de 60 mois est franchie, le gain en capital de ce portefeuille devient pleinement imposable au Canada. Le moment où Jacques Villeneuve a cessé d'être résidant canadien pour devenir résidant d'Andorre est donc «très, très important», confirme Éric Labelle, fiscaliste chez Raymond Chabot Grant Thornton. S'il part officiellement avant le 60e mois, il ne paie pas d'impôt de départ sur le gain de ses avoirs. S'il part après, ses gains sur cinq ans deviennent pleinement imposés. Cette disposition concerne seulement l'impôt sur la plus-value de ses biens (gain en capital). Durant sa résidence au Canada, Villeneuve devait tout de même payer des impôts sur tous ses revenus mondiaux, même sur les intérêts et dividendes d'un portefeuille qui serait resté dans un paradis fiscal. Par contre, à l'avenir, il ne paiera pas d'impôt sur ses revenus et placements, puisqu'il n'y a pas de tels impôts dans la principauté d'Andorre, où Jacques Villeneuve est maintenant résidant. Un autre paradis fiscal Officiellement, Jacques Villeneuve a quitté la Suisse pour s'établir au Québec en 2007. Toutefois, le coureur automobile avait un pied-à-terre à Montréal dès 2003, a appris La Presse. L'ex-pilote de Formule 1 s'est alors acheté un penthouse par l'entremise d'une société des îles Vierges britanniques, paradis fiscal des Antilles. Cette société, baptisée Sapphire Blue Holdings, a comme adresse une boîte postale à Tortola, capitale des îles Vierges britanniques, où les entreprises ne paient pas d'impôts. Nulle part le nom de Jacques Villeneuve ne figure sur l'acte d'achat notarié de la transaction, en 2003, ni sur l'emprunt hypothécaire avec la Banque HSBC, en 2005. Sapphire était alors représentée par un avocat de Montréal. Une transaction subséquente précise cependant que Jacques Villeneuve est actionnaire à plus de 90% de Sapphire. Le condo a été acheté de sa soeur, Mélanie Villeneuve, en 2003. Sapphire l'a payé 400 000$, soit près de 300 000$ de moins que ce que Mélanie Villeneuve avait elle-même payé un an plus tôt. Les trois fiscalistes consultés par La Presse ne s'expliquent pas pourquoi une société des îles Vierges britanniques a été utilisée. Selon eux, Sapphire a probablement dû payer au Canada un impôt net de 25% sur le gain de 1,1 million réalisé à la vente du condo, en 2008, même si la société était incorporée dans un paradis fiscal. Résidence principale et secondaire Au Canada, Jacques Villeneuve a toujours deux propriétés connues situées à Westmount et à Harrington, dans les Laurentides. Le fisc permet au contribuable de choisir une propriété comme résidence principale, qui devient alors non imposable. La maison rénovée de Westmount, en vente à 7,5 millions de dollars, a été payée 3 millions, ce qui permet d'espérer un gain appréciable. La propriété de Harrington a été payée 1 million et elle est en vente à 5 millions. L'une des deux propriétés - idéalement celle qui procure le plus grand gain - sera non imposable, à titre de résidence principale. Quant à l'autre, elle pourrait également être exemptée d'impôts, selon l'historique fiscal de Villeneuve. En effet, selon les règles fiscales canadiennes, le pilote peut utiliser des pertes en capital réalisées au Canada ou ailleurs dans le monde durant son séjour ici pour réduire ou annuler le gain en capital qu'il réalisera à la vente de ses biens ici. «Il ne fait rien d'illégal. Au fond, il structure ses affaires pour payer le moins d'impôt possible, comme c'est le cas des autres coureurs automobiles», dit Éric Labelle. Son parcours fiscal Jacques Villeneuve a récemment déclaré que l'impôt n'a rien à voir avec son départ du Québec. La Presse a fait le tour de ses activités pour constater que les questions fiscales ont pourtant été bien présentes au fil de sa carrière. PRINCIPAUTÉ DE MONACO Ligne de départ Années de résidence: 1996-2002 0% Pas d'impôt sur le revenu des particuliers, ni sur les plus-values ni sur le capital. SUISSE, CANTON DE VAUD (OLLON) 1er virage Années de résidence: 2002-2007 Forfait fiscal Plutôt que de remplir un document dans lequel il déclare ses revenus et ses placements, le contribuable négocie une somme annuelle forfaitaire avec les autorités fiscales, calculée selon ses dépenses en Suisse. ÎLES VIERGES BRITANNIQUES Arrêt aux puits Année de création de la société d'investissement: 2003 0% Pas d'impôt sur le revenu des sociétés ni sur les gains en capital. «Dans les îles Vierges britanniques, c'est très facile de créer des sociétés-écrans. Ça coûte très peu cher, quelques centaines de dollars. Ça permet aux gens de faire des investissements et de détenir des comptes de façon anonyme, au moyen de prête-noms.» - Entretien téléphonique avec La Presse de Gabriel Zucman, chercheur à l'École d'économie de Paris et auteur de l'article «Missing Wealth of Nations», portant sur les paradis fiscaux. QUÉBEC La chicane Années de résidence: 2007-2012 49,97% Taux d'imposition marginal sur les revenus de 49,97%. Gain en capital imposé à 50%. Pleine exemption d'impôts sur la résidence principale. Exemption sur le gain en capital des avoirs étrangers pour les contribuables qui résident cinq ans ou moins. PRINCIPAUTÉ D'ANDORRE Ligne d'arrivée: Années de résidence: 2012 0% Aucun impôt direct ni sur les revenus de travail et de placements ni sur les successions pour les personnes physiques ayant leur résidence en Andorre.
  20. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/ericsson-jean-coutu-valeant-van-houtte-les-projets-d-investissement-prive-se-multiplient-au-quebec/558406#.UbDMbfk98kU Green Mountain Coffee Roasters Canada (GMCR), propriétaire de Van Houtte, a convoqué les journalistes pour leur présenter un «investissement majeur» à Montréal vendredi. L’annonce sera faite par Sylvain Toutant, président de GMCR Canada, en compagnie de Pauline Marois et du maire de la ville, Michael Applebaum. Selon nos informations, un investissement de plusieurs dizaines de millions de dollars sera dévoilé et une centaine d'emplois seront créés. Cette convocation suit l’investissement majeur annoncé en début de semaine par Ericsson. Le géant suédois des télécommunications investira plus d’un milliard de dollars pour construire un nouveau centre de technologies de l’information et des communications mondial à Vaudreuil-Dorion. Le géant de l'épicerie Loblaw a lancé il y a deux jours une nouvelle enseigne pour sa chaîne québécoise Provigo, Provigo Le Marché. Le nouveau concept fait partie d’une offensive en vue de regagner des parts de marché au Québec. Loblaw investira 100 M$ dans la province cette année, soit environ 15 % des dépenses totales consacrées à l'ensemble de ses magasin au pays. Le gouvernement Marois a par ailleurs réussi à attirer le géant britannique des effets spéciaux Framestore à Montréal en début d’année. La société londonienne prévoit créer 200 emplois d’ici la fin de l’année à Montréal pour ainsi devenir la plus importante entreprise d’effets spéciaux au Québec. Tours commerciales En avril, Cadillac Fairview a amorcé la construction de la tour Deloitte, à Montréal, dans le cadre d’un projet de 2G$ pour réaménager les terrains situés autour du Centre Bell. La Tour Deloitte est le premier immeuble à vocation uniquement commerciale détenu et financé par une entreprise privée à être construit dans la métropole en plus de 20 ans. Lisez notre article Deloitte aura sa tour. D’autres projets commerciaux sont en cours. Aimia, la société spécialisée dans les programmes de fidélité, aura aussi un siège social, la Tour Aimia, dans un édifice à bureaux à vocation mixte au centre-ville de Montréal, en face du Square Victoria. Jean Coutu a annoncé la semaine dernière son intention d’investir 190M$ pour un nouveau siège social et un nouveau centre de distribution dans le parc industriel de Varennes. C’est sans compter la pharmaceutique Valeant, qui a inauguré le 21 mai son siège social international à Laval, dans les anciennes installations de Sanofi Canada. Valeant a investi 70 M$ pour moderniser les installations et le transfert de la production de Montréal à Laval. Sanofi Canada a pour sa part inauguré au début de mai son nouveau siège social canadien lundi à Laval, dans un édifice de cinq étages situé à l’angle de l’Autoroute 15 et du boulevard du Souvenir. La société ouvrira également un nouveau centre de distribution à Kirkland, près de Montréal. La ville de Québec a aussi son lot d’investissements. L’assureur La Capitale Groupe financier, notamment, a inauguré ce printemps son nouveau siège social, un édifice de 10 étages. Le projet est évalué à 80 M$.
  21. http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/379343/un-nouveau-quartier-pour-les-riches-ou-pour-tout-le-monde Un nouveau quartier pour les riches ou pour tout le monde? 29 mai 2013 07h46 | Marco Fortier | Le blogue urbain Photo : Société immobilière du Canada (SIC) Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Ce quartier vaut de l’or. À deux pas du centre-ville de Montréal, grand comme 120 terrains de football, le Bassin Wellington a le potentiel d’accueillir 3 millions de pieds carrés de bâtiments, soit une superficie équivalente à deux fois la Place Ville-Marie. Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Sans faire de bruit, la Société immobilière du Canada (SIC) a appelé le mois dernier les promoteurs immobiliers à soumettre des projets pour redonner vie à ce secteur au passé industriel. La SIC a confié ce mandat de relance au groupe financier Brookfield. On en sait bien peu sur les intentions de Brookfield et de la SIC, une société d’État qui a pour mission de développer les terrains du gouvernement fédéral. Mais déjà, des groupes communautaires de Pointe-Saint-Charles montent au front pour éviter que le Bassin Wellington soit offert à un promoteur privé sans véritable débat public. Ne pas répéter Griffintown « Il reste tellement peu de terrains publics dans ce secteur, ils ont tous tellement été bradés au profit d’entreprises privées, que nous demandons un développement qui réponde aux besoins réels des Montréalais », dit Karine Triollet, du groupe communautaire Action-Gardien. Elle dit craindre une répétition de ce qu’elle considère comme « les erreurs de Griffintown », le quartier voisin : la construction de milliers de condos vendus à prix d’or, sans tenir compte des 80 % de Montréalais qui n’ont pas les moyens de s’y installer. « Un maigre 15 % à 20 % de logements communautaires, c’est insuffisant », dit-elle. Karine Triollet n’est pas contre le développement économique, mais elle dit souhaiter une vaste réflexion sociale avant de lancer ce nouveau chantier. On verra dans les prochains mois si les groupes communautaires auront été entendus. Ou si l’épaisseur du portefeuille sera le principal critère pour choisir les résidants.
  22. La société montrélaise Groupe MTY réalise la plus importante acquisition de son histoire. L’exploitant de chaînes de restauration rapide allonge 45 M$ pour avaler la majorité des actifs d’un groupe de sociétés qui exploitent les concepts Extreme Pita, PurBlendz et Mucho Burrito. Avec cette transaction, la société fondée par Stanley Ma met du coup le pied aux États-Unis. À la date de clôture, le 17 septembre, Extreme Brandz devrait exploiter plus de 235 Extreme Pita et plus de 70 restaurants Mucho Burrito en opérations au Canada et aux États-Unis, dont deux établissements corporatifs pour chacune des deux enseignes. Le concept PurBlendz, qui est exploité comme une addition aux restaurants Extreme Pita existants, devrait être présent dans près de 70 restaurants. Les trois concepts ont généré des ventes totales supérieures à 103M$ au cours de l'exercice financier le plus récent. La glace est brisée aux États-Unis Comme l'avait indiqué le cahier Investir du journal Les Affaires en avril, MTY étudiait le marché américain depuis plusieurs trimestres pour y dénicher sa prochaine acquisition. Une transaction d'envergure était souhaitable, étant donné que les ventes comparables de la société ont décliné au cours des trois plus récents trimestres. La diversification de ses activités est aussi positive, dans un contexte où l'économie canadienne montre des signes de faiblesse. «Ces deux concepts complémenteront le portefeuille actuel de MTY, non seulement en termes d'offre à ses clients, mais aussi en termes de localisation géographique. Les 40 établissements aux États-Unis seront les premiers restaurants de MTY sur le territoire américain. La glace est maintenant brisée», a dit Stanley Ma, président et chef de la direction de MTY, dans un communiqué. MTY financera cette acquisition avec les liquidités records dont elle dispose et en empruntant une somme de sa facilité de crédit. Au terme de son plus récent trimestre, MTY détenait une encaisse de 35,4 M$. La direction de l'entreprise n'a pas précisé si elle utiliserait la totalité de ses liquidités disponibles pour régler la transaction. L'entente a été conclue avec Alex Rechichi, Mark Rechichi et Sean Black, co-fondateurs du groupe Extreme Brandz. La transaction, sujette à différentes conditions et aux approbations réglementaires habituelles, devrait être conclue le 17 septembre prochain. Suite à cette transaction, Sean Black, co-fondateur de Extreme Brandz, occupera le poste de directeur du développement de la société. Avant l'annonce de cette acquisition, MTY exploitait 2214 restaurants, entre autres sous les enseignes Tiki-Ming, Sushi Shop, Thaï Express, La Crémière, Valentine, Cultures et Jugo Juice. Les transactions sur le titre de MTY ont été arrêtées mardi matin avant le dévoilement de l'acquisition. Le titre a clôturé à 22,70$ lundi. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/groupe-mty-realise-sa-plus-grosse-acquisition-perce-aux-etats-unis/558022#.UaTJ7tga44c Grosse journée pour les Québécoises. MTY perce aux États-Unis, La Vie en Rose en Australie, Bouchard au conseil de CGI... ça bouge! -Yannick Clérouin, LesAffaires.com
  23. 62e Congrès de l'UITP en 2017 - Montréal hôte du congrès international sur la mobilité et les transports urbains MONTRÉAL, le 10 avril 2013 /CNW Telbec/ - Montréal a été désignée ville-hôte du 62e congrès international et de l'exposition sur la mobilité et les transports urbains de l'Union internationale des transports publics (UITP), qui se tiendront en 2017, à l'occasion du 375e anniversaire de Montréal. Ce choix est le résultat des efforts conjugués de l'Agence métropolitaine de transport (AMT), de la Société de transport de Montréal (STM), du Palais des congrès de Montréal et de Tourisme Montréal. La nouvelle a été annoncée aujourd'hui à Hambourg, en Allemagne, par le conseil exécutif de l'UITP. Le congrès aura lieu du 13 au 17 mai 2017 et attirera plus de 9 500 délégués et visiteurs provenant de plus de 80 pays, de même que 350 exposants. D'envergure internationale, le congrès générera des retombées économiques évaluées à plus de 13 M$. Finaliste aux côtés de Brisbane en Australie et de Séoul en Corée du Sud, Montréal a été retenue en tant que ville-hôte de ce congrès qui se tient tous les deux ans dans des villes où la mobilité durable occupe une place importante. Pendant cinq jours, une myriade d'acteurs majeurs de l'industrie du transport collectif dans le monde prendront part à des activités de formation, de réseautage et à la tenue d'une exposition dans les installations du Palais des congrès de Montréal. Les partenaires ont également prévu un volet grand public à ce congrès. « Cet événement cadre parfaitement avec la vision de l'AMT de faire la promotion du transport collectif auprès des usagers de la grande région de Montréal. Un tel congrès nous permettra de démontrer notre expertise en matière de planification de projets. Ce sera aussi l'occasion d'échanger de bonnes pratiques sur la gestion des déplacements avec des intervenants de partout dans le monde », a souligné Nicolas Girard, président-directeur général de l'AMT. « C'est à Montréal que nous retrouvons les plus grands utilisateurs du transport collectif en Amérique du Nord et nous voulons travailler à devenir rien de moins que la meilleure société de transport publique au monde dans notre catégorie. Avec tous les projets qui verront le jour d'ici 2017, les voitures de métro AZUR, nos nouveaux bus hybrides et électriques, l'information en temps réel et l'accroissement des voies réservées, Montréal était la ville toute désignée pour recevoir ce congrès » a déclaré M. Michel Labrecque, président du conseil d'administration de la STM. « Au carrefour des grandes infrastructures de transport de la métropole, le Palais des congrès de Montréal est l'endroit idéal pour tenir cet événement », mentionne Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal. « Première ville en Amérique pour l'accueil de congrès internationaux, Montréal et le Palais des congrès feront vivre aux délégués de l'UITP 2017 une expérience événementielle qu'ils ne sont pas près d'oublier ! L'équipe est fière de contribuer au succès d'un événement aussi prestigieux ! » ajoute-t-il. « Le 375e anniversaire de Montréal est une occasion unique de célébrer notre ville, mais aussi une opportunité de démontrer au monde entier le savoir-faire et la capacité d'innovation qui distinguent les Montréalais. La venue du congrès UITP en 2017 permettra entre autres à la métropole de se positionner parmi les grandes villes du monde en ce qui a trait à la mobilité et aux transports urbains. Quelle belle vitrine pour Montréal! », ajoute l'honorable Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal. -------------------------------------------------------------------------------- L'UITP en bref L'Union internationale des transports publics (UITP) est l'organisation regroupant les autorités et les opérateurs de transport en commun. Elle représente un réseau international de 3 400 membres situés dans 92 pays. L'UITP compte un bureau principal à Bruxelles et dix bureaux régionaux et de liaison dans le monde entier. Rappelons que les prochains congrès de l'UITP auront lieu à Genève en Suisse le mois prochain et à Milan en Italie en 2015.
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