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  1. Une nouvelle tour de onze étages à la Place Charles-LeMoyne Rive-Sud Express Diane Lapointe VIEUX-LONGUEUIL –Une nouvelle tour de onze étages s’élèvera bientôt dans le ciel de la Place Charles-LeMoyne, dans l’arr. du Vieux-Longueuil. Le Ville de Longueuil, propriétaire du terrain situé sur la rue Saint-Charles Ouest, entre l’Université de Sherbrooke et l’entrée des autobus, a accepté l’offre d’achat des Habitations Trigone pour un montant de 1 763 929$. L’entreprise projette de réaliser un édifice de condominiums de luxe évalué à plus de 47 M$. Il comportera 170 unités de condo d’une valeur moyenne de 275 000 $, un stationnement souterrain de deux étages et des espaces commerciaux au rez-de-chaussée La Ville de Longueuil prévoit percevoir des revenus de taxes de mutation sur la portion résidentielle de 515 000$, et des revenus annuels de 536 000$ en taxation résidentielle et de 26 000$ pour la portion commerciale.
  2. Si on doit constamment être bombarder d'opinions apocalyptiques sur Montréal, je crois que la diffusion des bonnes nouvelles devraient aussi être partager. L'article tient à y aller du titre "Toronto a les frais de garde les plus élevés au Canada", mais je trouve encore plus pertinent que Montréal a en fait les frais les plus bas. On parle d'une différence annuelle de 17,820$ par enfant. Comme l'article le mentionne c'est plus cher que d'envoyer ses enfants à l'université (on ne comparera pas les données des frais universitaires entre les deux ville en plus, même si...) ou c'est l'équivalent d'un deuxième hypothèque. Quel frein énorme au développement économique d'une ville. Si tu as deux ou trois enfants, ça ne vaut pratiquement pas le peine pour un des parents d'aller retourner travailler. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1005326/cout-garderie-toronto-montreal-winnipeg
  3. http://www.journaldemontreal.com/2016/01/20/les-plus-pauvres Nous sommes tellement habitués à ce genre de manchettes, c’est à peine si cela se fraye encore une place dans les bulletins de nouvelles. Le Québec est la province la plus pauvre du Canada. L’Île-du-Prince-Édouard a connu une meilleure croissance depuis deux ans. Cette minuscule province nous a dépassés. Dixième sur dix. Ces données de l’Institut de la statistique du Québec auraient dû semer la panique dans la population, nous servir un électrochoc pour revoir tout notre modèle économique. On devrait voir des gens s’arracher les cheveux, des vieillards frapper les lampadaires avec leur canne et des politiciens pleurer de rage. Rien de tel ne se produit au Québec. Endormis On reçoit cette nouvelle comme un fait divers. Certains nient la réalité en se moquant des statistiques, d’autres se réfugient derrière l’idée que nous sommes choyés d’avoir un modèle plus «égalitariste». Le pauvre François Legault fait cavalier seul en s’époumonant depuis des mois à l’Assemblée nationale à essayer d’intéresser quelqu’un à la tragédie de notre appauvrissement collectif. La statistique dont on parle est pourtant simple: le revenu disponible par habitant. Combien en moyenne nous reste-t-il dans nos poches pour vivre une fois que les gouvernements nous ont plumés? Difficile à truquer, pas difficile à interpréter. Il nous en reste beaucoup moins dans nos poches. Cela correspond pas mal à l’idée de pauvreté. Niveler par le bas Pourquoi ne pas être consolés par cette notion d’un Québec plus égalitaire? Il y a au Québec un écart moins grand entre riches et pauvres, cela est vrai. Mais attention. Les pauvres du Québec sont plus pauvres qu’ailleurs, la classe moyenne est plus pauvre aussi. Ladite égalité vient du fait que nous avons moins de riches. Moins de riches, donc moins de raison d’être jaloux peut-être, ce qui donne une impression de justice. Par contre, moins de riches signifie aussi moins de contributeurs pour payer les impôts qui financent tous nos beaux services publics. Une analyse complète permet difficilement de conclure que l’égalitarisme viendrait compenser pour le triste constat que nous sommes globalement plus pauvres. L’importance de l’écart mérite aussi qu’on s’y attarde. Plus de 4200 $. C’est le montant en moyenne de revenu disponible que nous avons de moins dans nos poches, par habitant! Faites le calcul: cela signifie que le couple québécois moyen dispose de près de 10 000 $ de moins pour faire face à ses obligations et se payer de petites gâteries. Les garderies auront beau coûter moins cher ici, on parle d’un écart énorme dans le même pays. Je reste estomaqué par une question existentielle: comment le discours dominant au Québec peut-il continuer d’être en faveur de la sauvegarde du supposé «modèle québécois»? Comment en sommes-nous venus à penser que notre modèle étatique, social et syndical nous rend service avec des résultats semblables? Mystère.
  4. Inégalités des revenus: Toronto en tête, Montréal 4e http://journalmetro.com/actualites/national/728640/les-inegalites-de-revenus-croissent-vite-a-toronto/ TORONTO - Les écarts entre les riches et les pauvres s'accroissent plus rapidement à Toronto que dans les autres grandes villes canadiennes, selon une nouvelle étude. Les inégalités de revenus à Toronto augmentent aussi à un rythme plus rapide que la moyenne nationale, selon cette étude commandée par l'organisme Centraide. En analysant les taux de variations des inégalités de revenus des ménages et des individus de 1980 à 2005, l'étude a révélé qu'à Toronto, l'écart entre riches et pauvres s'était creusé deux fois plus que la moyenne nationale de 14% pendant cette période de 25 ans. Si on compare les grandes villes canadiennes, Toronto arrive en tête, avec une croissance de 31% de l'écart entre riches et pauvres en 25 ans; à Calgary, ce taux de croissance a atteint 28%, à Vancouver 17 et à Montréal 15%. Si l'on ne tient compte que des revenus des individus, Toronto arrive encore en tête, avec un taux de croissance de 23% de l'écart entre riches et pauvres, alors que la moyenne nationale est de 6%. L'étude a utilisé des données de Statistique Canada et d'un sondage externe mené auprès de 2684 répondants torontois, afin de connaître leur perception des inégalités et ce qu'elles signifient pour la vie en métropole canadienne. Le rapport conclut que les écarts croissants entre riches et pauvres créent un environnement «où les différents acteurs n'ont pas les mêmes chances», et qu'il est parfois illusoire de penser qu'on va nécessairement réussir à force de travail et de détermination sent via Tapatalk
  5. Jean-Sébastien Marsan 04-09-2014 | 11h18 MONTRÉAL - Les tarifs hôteliers à Montréal ont grimpé de 9 % en moyenne au cours des six premiers mois de 2014 comparativement à la même période en 2013. La métropole s'est même hissée en tête de liste des villes où les voyageurs canadiens ont payé le plus cher pour un hôtel cinq étoiles, avant Tokyo et Los Angeles. C'est ce que révèle le service de réservation d'hébergement en ligne Hotels.com dans son plus récent Hotel Price Index, publié mercredi. Cet indice, fondé sur les réservations effectuées sur le site web Hotels.com et sur les prix réels (non les prix affichés) que paient les clients, a été établi à 100 en 2004. Il atteint 115 en 2014. À l'échelle mondiale, l'augmentation moyenne des tarifs hôteliers est de 4 %. Les hôtels des Caraïbes ont enregistré la plus forte hausse, à 6 %. En Amérique du Nord, en Europe et au Moyen-Orient, les prix réels ont progressé de 5 %. Lorsqu'on regarde de plus près le marché canadien, on constate que les prix des hôtels à Montréal (168 $ la nuitée en moyenne) et à Vancouver (157 $) ont augmenté de 9 % au cours des six premiers mois de 2014, dépassant le marché torontois (152 $ la nuit). Cette année, Montréal se hisse même au top 20 des villes où les Canadiens ont dépensé le plus pour un hôtel cinq étoiles: une moyenne de 573 $, en hausse de 30 % comparativement au premier semestre de 2013. Les plus chics hôtels de la métropole québécoise sont plus coûteux, en moyenne, que les établissements cinq étoiles de Tokyo (533 $), Los Angeles (532 $), Londres (508 $) et Paris (469 $). LES TOURISTES SE RESSEMBLENT Les touristes canadiens en voyage dans leur propre pays ont des comportements assez similaires aux touristes étrangers qui s'offrent un séjour au Canada. Dans les deux cas, la destination la plus populaire demeure Toronto. Les Canadiens préfèrent ensuite Montréal, puis Vancouver, tandis que les étrangers ont tendance à privilégier Vancouver avant Montréal. À ce jour, «2014 est une excellente année à Montréal grâce aux événements comme les congrès et les compétitions sportives», a commenté Eve Paré, présidente-directrice générale de l'Association des hôtels du grand Montréal. «Ces événements contribuent à occuper les chambres d'hôtel et à tirer les prix vers le haut.» Le rapport de Hotels.com dévoile également ce que les Canadiens paient lorsqu'ils réservent une chambre à l'étranger. C'est aux Bahamas que les Canadiens ont payé le plus cher dans la première moitié de l'année 2014 pour une nuit d'hôtel de luxe, à 341 $ par nuit, en hausse de 12 % par rapport à 2013. Suivent les hôtels de la Suisse (246 $ la nuitée, en moyenne), de la Croatie (235 $) et du Royaume-Uni (225 $). Les dix destinations les plus populaires chez les touristes canadiens en 2014 sont New York, Las Vegas, Londres, Paris, Orlando (Floride), Chicago, Los Angeles, San Francisco, Seattle et Rome. http://fr.canoe.ca/argent/depenser/auquotidien/archives/2014/09/20140904-111852.html
  6. Le Devoir: http://www.ledevoir.com/politique/montreal/398500/%E2%80%8Bbudget-2014-de-la-ville-de-montr%C3%A9al-hausses-de-taxes-moyennes-de-2-8 La Presse: http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201401/29/01-4733596-budget-sous-controle-taxes-en-hausse-a-montreal.php
  7. http://matrix.cwcanada.com/filecabinet/Trans/380675/autoroute%20Laval%203535%20(E).pdf
  8. Le Chemin de Chambly en chantier! Cette rue importante se prépare a recevoir sa toute première piste cyclable entre Vauquelin et le boul. Jacques-Cartier. Les voies véhiculaires seront rétrécies (de 4.1m à 3.4m en moyenne) pour permettre l'implantation de la piste de 3m. Les trottoirs seront élargis à 1.5m également. L'ouverture est prévue cet automne!
  9. Il y a un article qui est passé sans que personne n'y fasse attention dans les médias. Ça vend beaucoup plus dire que les cônes oranges et Ferrandez vont tuer à eux seuls l'activité économique d'une ville de 3 millions d'habitants. On est comme ça ici `: on aime juste quand ça va mal. ------------------------------------------------------------ Transport Montréal: 31 minutes en moyenne pour aller travailler Agence QMI 05/09/2011 16h46 Seriez-vous étonnés d’apprendre que les travailleurs de la région de Montréal passent en moyenne 31 minutes pour se rendre au boulot? C’est ce que révèle la plus récente étude réalisée par Statistique Canada concernant le temps de déplacement entre la maison et le travail en auto, en transport en commun ou à pied. La moyenne canadienne est de 26 minutes, soit cinq minutes de moins qu’à Montréal, tous modes de transport confondus. À Toronto, on parle plutôt de 33 minutes. «Il faut préciser qu’on inclut l’ensemble de la grande région montréalaise», a affirmé Martin Turcotte, chercheur pour Statistique Canada. «Les données vont aussi comprendre des gens qui restent en banlieue et qui travaillent en banlieue à proximité de leur domicile». Cependant, 27% des gens de la région montréalaise prennent 45 minutes ou plus pour leur déplacement entre leur domicile et leur lieu de travail, une proportion plus grande qu’ailleurs au pays. L’étude, intitulée Se rendre au travail: résultats de l’Enquête sociale générale de 2010 a été diffusée en août, mais a été réalisée en 2010 grâce à un échantillon de 6650 répondants. Environ 85% des participants se disent «satisfaits» ou «très satisfaits» de la durée de leur déplacement alors que seulement 15% seraient «insatisfaits». Parmi les gens qui consacrent 45 minutes pour se rendre au bureau, 36% trouvent leur journée «stressante» ou «extrêmement stressante». «On a même vu que le temps de déplacement exerçait une influence indépendante sur le stress. Ça démontre que ce ne sont pas seulement les autres facteurs de la vie qui causent le stress, mais bel et bien le déplacement en tant que tel», a expliqué M. Turcotte. L’étude révèle également que les déplacements sont plus longs en transport en commun qu’en automobile pour une distance équivalente. La moyenne canadienne se situe à 44 minutes pour les usagers des trains de banlieue, des autobus ou du métro. À Toronto et Vancouver, les usagers ont consacré environ vingt minutes de plus que les automobilistes pour se rendre au travail. La situation s’améliore à Montréal puisqu’on parle plutôt de 10 minutes supplémentaires. Près de 75% des automobilistes questionnés à ce sujet estiment que le transport en commun serait «assez peu pratique» ou «très peu pratique», ce qui ne décourage pas pour autant la Société de transport de Montréal. «Notre objectif d’ici 2020, c’est d’aller chercher 5% des automobilistes», a affirmé François Pépin, le directeur des études en planification des transports à la STM. ------------------------------------------------------------ Moyenne des temps de déplacement pour se rendre au travail en 2010: Toronto: 33 min Montréal: 31 min Vancouver: 30 min Ottawa/Gatineau: 27 min Calgary: 26 min Edmonton: 23 min
  10. Géothermie: Hydro-Québec vise une centrale-pilote Jean-François Cliche Le Soleil (Sherbrooke) Il n'y a pas que l'industrie des gaz de schiste qui a un oeil sur le sous-sol du sud de la province. Hydro-Québec aussi lorgne de ce côté, mais pour des raisons autrement plus «vertes» : c'est là, en effet, que la géothermie offre les potentiels les plus intéressants pour d'éventuelles centrales électriques. La société d'État vise même la construction d'une centrale-pilote pour 2015. C'est ce qu'il a été possible d'apprendre lors d'une conférence prononcée mardi au 79e congrès de l'Acfas, à Sherbrooke, par Vasile Minea, chercheur et ingénieur pour la société d'État. M. Minea y a principalement présenté l'évaluation qu'il a faite du potentiel géothermique québécois pour la production d'électricité. Intuitivement, on est porté à croire que la température est plus faible sous terre qu'à la surface, mais ce n'est vrai que jusqu'à une certaine profondeur - relativement faible, d'ailleurs - , sous laquelle la chaleur augmente. Après tout, on estime que la température du noyau de la Terre atteint 4000 °C, et celle de son «manteau» (couche d'environ 3000 km d'épaisseur située entre le noyau et la «croûte», la couche externe de 30 km), environ 1000 °C. À partir de données provenant de 980 forages pétroliers et gaziers creusés principalement entre Québec et Montréal, mais qui incluent un certain nombre de «trous» en Ontario et dans les Maritimes, Vasile Minea a colligé pas moins de 25 000 lectures de température à des profondeurs allant jusqu'à 4,4 km. Il a ainsi pu calculer qu'à 6 km, la température moyenne est de 120 °C dans le sud du Québec et d'environ 113 °C en Gaspésie et dans le golfe du Saint-Laurent. Mais il s'agit là d'une moyenne, la chaleur remontant mieux en certains endroits. Sans gaz à effet de serre Si l'on pouvait «récolter» seulement 2 % de cette énergie thermique, puis amener seulement 10 % de cette «récolte» jusqu'à la surface, puis transformer 13 % de la chaleur remontée en électricité, il y aurait moyen de produire ainsi 40 000 mégawatts (MW) de courant - soit l'équivalent de la capacité actuelle totale de production d'Hydro-Québec. Le tout, évidemment, sans gaz à effet de serre ni grandes étendues inondées. Il y a déjà quelques centrales électriques dans le monde qui génèrent de l'électricité de cette manière. Le principe, explique M. Minea, consiste à injecter de l'eau sous haute pression à grande profondeur. La pression du liquide crée ou agrandit alors des crevasses qui permettent à l'eau de circuler, et donc de recueillir la chaleur de la roche. Un second forage est percé à quelques centaines de mètres pour permettre à l'eau chaude de remonter - ce qu'elle fait à cause de la pression - , puis on en tire de la vapeur qui fait tourner une turbine. Si tout se passe bien, dit M. Minea, c'est-à-dire si d'autres études confirment l'intérêt de l'entreprise, Hydro-Québec pourrait construire une centrale géothermique dès 2015 pour tester la technologie. Mais dans tous les cas, on ne verra pas de sitôt d'exploitation à grande échelle, nuance-t-il. Projet stratégique «À Hydro-Québec, c'est vu comme un projet stratégique, projet à long terme. On vise une application pour l'horizon 2030 à 2050», dit M. Minea. Et pour cause : les coûts de pareilles centrales sont encore très loin d'être compétitifs. Construire une centrale moyenne, a calculé l'ingénieur, coûterait environ 26 millions $ sans compter les imprévus, ce qui donnerait environ 10 400 $ par kilowatt installé; par comparaison, le projet de La Romaine, sur la Basse-Côte-Nord, coûtera environ 5000 $/kW. Mais comme la technologie des forages de grandes profondeurs coûte de moins en moins cher, on peut imaginer que cette source d'énergie pourrait devenir rentable dans, disons, un «avenir envisageable». lien: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201105/12/01-4398731-geothermie-hydro-quebec-vise-une-centrale-pilote.php
  11. Un bel exemple de l'optimisme de la fin des années 60 où l'avenir semblait si prometteur, malheureusement 40 ans plus tard on est encore loin de cette vision idyllique et un peu naïve du monde de demain. Et la maison rêvée que l'on imaginait pour la famille moyenne demeurera une illusion pour encore longtemps, je crois.
  12. Rôles d'évaluation 2011-2013 - une valeur foncière de 242,1 milliards de dollars Selon les 16 rôles d'évaluation 2011-2012-2013 de l'agglomération de Montréal, la valeur globale des 460 394 immeubles du territoire a atteint une somme de 242,1 milliards $. Par rapport au rôle actuel, il s'agit d'un accroissement de près de 22,4 % de la richesse foncière de l'île de Montréal, un indicateur positif de la vitalité économique de Montréal. Les augmentations augmentent en moyenne de 23,5 % dans le secteur résidentiel et de 20,2% dans le secteur non résidentiel. Les rôles d'évaluation de l'agglomération montréalaise représentent près d'un tiers des valeurs immobilières au Québec. http://www.montreal2025.com/nouvelle.php?id=1111&lang=fr
  13. Bonne nouvelle pour Montréal. La nouvelle complète se trouve ici: http://www.journalmetro.com/linfo/article/287169--les-montrealais-ont-le-12e-pouvoir-d-achat-au-monde-devant-toronto
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    Fini la récession!

    Fini la récession! Publié le 23 juillet 2009 à 10h41 | Mis à jour à 10h44 Rudy LeCours La Presse (Montréal) La récession a bel et bien pris fin au printemps, selon la Banque du Canada. Elle estime que la croissance de notre économie sera de 1,3% en rythme annualisé durant l'été et de 3,0% cet automne. Ces prévisions trimestrielles contenues dans la nouvelle mouture du Rapport sur la politique monétaire (RPM) sont plus optimistes que celles parues en avril. La Banque estimait alors que l'économie canadienne allait continuer de s'enfoncer dans la récession au troisième trimestre avec un recul de 1,0% de l'activité économique. Pour le deuxième trimestre, la Banque maintient sa prévision de décroissance de 3,5%. Pour l'ensemble de l'année, la taille de l'économie aura rétréci de 2,3%. «L'économie étant soutenue par l'amélioration des conditions financières et le niveau plus élevé que prévu de la confiance des entreprises et des consommateurs, le ralentissement de l'activité au premier semestre de l'année a été moins marqué, lit-on dans le RPM. On s'attend maintenant à ce que la croissance redevienne positive au troisième trimestre.» La reprise ira bon train avec des avancées de 4,0% (en rythme annuel) aux premier et deuxième trimestres 2010 et de 3,8% pour les deux autres. Pour l'ensemble de 2010, la croissance est évaluée à 3,0%. À pareil rythme, l'économie aura retrouvé sa taille d'avant récession (juillet 2008) dans environ un an. Cela fera du Canada une des premières économies avancées, sinon la première, à renouer à la fois avec le retour à la croissance et à l'expansion. Le repli plus modeste qu'anticipé des dépenses des ménages et des entreprises, jumelé à une confiance accrue, justifie ces perspectives plus optimistes. La vitalité du marché de la revente de maisons et la relance des mises en chantier depuis le creux d'avril témoignent de la volonté des Canadiens de profiter des conditions très favorables d'accès à la propriété. La Banque croyait en avril que la morosité ambiante allait amener des ménages ''a reporter leurs achats. Voilà pourquoi elle tablait sur une forte accélération de la demande intérieure en 2011 seulement. Le devancement des décisions d'achat l'amène aussi à ramener de 4,7% à 3,5% sa prévision de croissance pour 2011 La Banque souligne d'ailleurs que les conditions financières demeurent plus favorables au Canada que dans les autres économies avancées depuis les débuts de la crise financière. À preuve, les taux hypothécaires variables s'élevaient en moyenne à 2,75% la semaine dernière, contre 5,35% en juillet 2007, à la veille du gel du crédit en Occident à l'origine de la récession synchronisée la plus grave depuis les années 1930. Idem pour les taux hypothécaires affiché à cinq ans. Ils étaient de 5,85% la semaine dernière contre 7,24%, il y a deux ans. Fait à souligner cependant, ils étaient descendus jusqu'à 5,25% en avril. Leur remontée correspond à celle des taux obligataires à long terme observée depuis lors. Les entreprises peuvent aussi se financer à meilleur compte qu'il y a deux ans : le taux des obligations corporatives à long terme est passé de 5,42% à 4,54% en deux ans. En décembre, au point culminant de la crise du crédit, les taux avaient grimpé à 6,04% Ces conditions favorables stimulent la demande intérieure, à commencer par celle des ménages. Les entreprises se remettront à investir un peu plus tard quand elles auront complété leur déstockage et recommencé à vendre davantage. La Banque fonde aussi son scénario de reprise en établissant à 87 cents en moyenne, la force relative du huard face au billet vert d'ici la fin de 2011. Il s'agit du taux moyen observé depuis avril. Un niveau beaucoup plus élevé donnera plus de fil à retordre aux manufacturiers exportateurs au moment où ils pourront profiter de la reprise américaine, attendue en fin d'année. La Banque croit d'ailleurs que les exportations canadiennes devraient augmenter de 6% à 7% en moyenne en 2010 et 2011, soit au moins deux fois plus vite que la croissance anticipée de l'économie américaine. Cela tient au fait que ce que les exportations canadiennes sont concentrées dans des secteurs particuliers. Ainsi, l'auto et les matériaux de construction ont été plus affectés par la restructuration de la première et la crise de la seconde. La demande refoulée qui s'est créée devra bientôt être comblée, pour le plus grand bien des manufacturiers canadiens.
  15. 30 ans plus tard Dodge Chrysler ferme ses portes à Longueuil Mise à jour : 22/07/2009 20h02 Une page d'histoire se tourne cette semaine à Longueuil. Le concessionnaire Dodge Chrysler, qui faisait partie du paysage depuis plus de 30 ans, est forcé de fermer ses portes. Tous les véhicules ont déjà été liquidés. La fermeture serait inévitable en raison des difficultés à obtenir du financement des banques. Les propriétaires affirment également qu'ils sont incapables de répondre aux exigences des constructeurs en raison des nombreux bouleversements dans l'industrie automobile. Nouvelles LCN - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - L'immeuble (terrain?) est à vendre. C'est un grand terrain à la porte du Vieux-Longueuil et à coté du centre d'achat Place Longueuil. Un redeveloppement de ce site serait très intéressant. Du residentiel ou un mixte commercial et résidentiel de densité moyenne serait bien.
  16. Une "nouvelle" un peu vieille Stationnement : Montréal dans la moyenne nationale 25 juin 2009 | 15h16 Agence QMI Sarah-Maude Lefebvre 24 heures La Métropole se classe au 5e rang des villes canadiennes où il en coûte le plus cher par jour pour se stationner. Loin derrière la ville championne, Calgary, qui à 22$ par jour est la 2e ville la plus chère après New York sur le continent, Montréal se classe légèrement au-dessus de la moyenne nationale avec un taux moyen de 17$ par jour pour se stationner. 3e pour les tarifs par mois Selon le sondage annuel sur les prix de stationnement de Colliers International, il en coûte 460$ par mois pour se stationner au centre-ville de Calgary, soit une centaine de dollars de moins qu’au centre-ville de New-York. Toronto (305$), Montréal (280$), Edmonton (275$) et Vancouver (224$) complètent le top 5 des villes les plus coûteuses en terme de stationnement, si on se fie aux résultats de ce sondage publié dans The Gazette. Comme le rapporte le quotidien, les Montréalais peuvent tout de même s’estimer chanceux puisqu’ils paieraient 1020 dollars américains par mois s’ils habitaient à Londres ou encore 748 dollars s’ils étaient des résidents de Hong Kong. C’est à Régina qu’il en coûte le moins cher pour stationner son auto au centre-ville avec 148$ par mois. Saskatoon, Victoria, Winnipeg, Ottawa et Halifax ne dépassent pas non plus le cap des 200$ par mois. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2009/06/20090625-151618.html
  17. Le groupe industriel indien Tata lance officiellement la Nano, une automobile réduite à sa plus simple expression et destinée à la nouvelle classe moyenne indienne. Pour en lire plus...
  18. Montréal se stabilise Mise à jour le vendredi 13 mars 2009 à 10 h 55 Le taux de chômage a légèrement baissé à Montréal alors qu'il a augmenté dans l'ensemble du pays, selon Statistique Canada. Le taux de chômage demeure toutefois plus élevé que la moyenne canadienne dans la région montréalaise. Malgré une baisse de 0,7 % dans la région montréalaise au cours du mois de février, le taux de chômage s'est établi à 8,2 %. La moyenne canadienne se situe à 7,7 %. Le taux de chômage dans la région métropolitaine a ainsi baissé par rapport au mois de janvier dernier, mais il a augmenté 0,5 % par rapport au mois de février 2008. Pas moins de 82 600 emplois ont été perdus au Canada en février, ce qui a fait bondir le taux de chômage de 7,2 % à 7,7 %, toujours selon la plus récente enquête sur la population active de Statistique Canada. Il s'agit de la quatrième baisse consécutive de l'emploi recensée par l'agence fédérale. En janvier, Statistique Canada avait annoncé la suppression de 129 000 emplois, ce qui porte le nombre d'emplois perdus à 295 000 depuis octobre dernier.
  19. Le Québec Inc. est en panne Martin Jolicoeur, Les affaires 09:30 Seulement 16% des Québécois ont déjà créé ou repris une entreprise. Le mythe du Québec entrepreneur est résolument en déclin. Un sondage Léger Marketing montre que la province se trouve bonne dernière pour la plupart des indicateurs de l’entrepreneuriat au Canada. Raymond Bachand réagit au sondage Entrepreneuriat : Québec, société distincte Ainsi, seulement 16% des Québécois adultes affirment avoir déjà créé ou repris une entreprise, selon le sondage commandé par la Fondation de l’entrepreneurship. C’est le pire résultat au pays, loin derrière la moyenne canadienne, qui est à 24%. Et quand on se compare, on se désole. Ainsi, en Alberta, 38% des répondants (soit plus du double qu’au Québec) ont vécu l’expérience de l’entrepreneuriat; 30% au Manitoba; 29% en Colombie-Britannique. « La situation est alarmante au Québec, commente Mario Girard, pdg de la Fondation de l’entreneurship. Si rien ne change, si on ne se mobilise pas rapidement pour changer les choses, on se prépare à un lendemain de veille assez terrible. » Basé à Québec, cet organisme a eu l’initiative de ce sondage, le plus important jamais réalisé sur la question au pays. Plus de 17 000 Canadiens ont été sondés, dont plus de 10 000 Québécois. Dans tous les résultats de ce sondage, un entrepreneur est défini comme une personne ayant créé ou repris une entreprise, en incluant les travailleurs autonomes. En queue de peloton Le Québec se trouve également en queue de peloton en ce qui concerne la proportion de ceux qui ont créé une entreprise au cours des cinq dernières années. Ainsi, 2,8% des Québécois affirment avoir tenté l’aventure. Ce résultat est inférieur du quart à la proportion observée dans le reste du Canada (3,7%). Cette proportion atteint 3,6% en Ontario, près de la moyenne nationale, et même 4,3% en Alberta et 4,6% en Colombie-Britannique. Dans cette dernière province, le nombre d’adultes qui affirment avoir fondé une entreprise au cours des cinq dernières années dépasse de 65% celui du Québec ! L’écart est cependant moins grand en ce qui concerne l’intention de création d’entreprises au Québec. Au cours des cinq prochaines années, 7,1% des Québécois affirment vouloir se lancer en affaires, comparativement à une moyenne de 7,5% dans le reste du pays. Mais bien qu’il soit proche de la moyenne nationale, ce résultat inquiète au plus au point les spécialistes de la question. Il indique en effet un recul brutal de l’ambition d’entreprendre des Québécois, qui tournait autour de 15%, en 2007, d’après le consortium de recherche internationale Global Entrepreneurship Monitor (GEM). « En deux ans, le désir d’entreprendre des Québécois a fondu de moitié ! » se désole Nathaly Riverin, vice-présidente, vigie, recherche et développement à la Fondation de l’entrepreneurship et responsable de GEM Canada. Derrière les Maritimes Le seul aspect pour lequel le Québec semble se rapprocher de la moyenne canadienne concerne la proportion de la population qui affirme... avoir fermé une entreprise ! À ce chapitre, le Québec affiche un taux de 5,8%, comparativement à une moyenne nationale de 5,7%. Un résultat d’autant plus surprenant que la proportion d’entrepreneurs dans la province (7,3%) est presque deux fois moindre que celle du reste du pays (13,8%). À titre de comparaison, en Alberta, pas moins de 16,8% de la population se dit propriétaire d’une entreprise; 8,6% dans les provinces maritimes. « Dans le passé, observe Nathaly Riverin, le Québec parvenait toujours à devancer une ou deux régions du pays. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Québec se trouve au tout dernier rang, et même bien souvent derrière les Maritimes. » Problème de financement ? Par ailleurs, on remarque que les entrepreneurs du Québec comptent davantage sur le financement institutionnel que les autres Canadiens pour créer leur entreprise. Interrogés sur leur principale source de financement, le tiers d’entre eux (34%) citent les banques et autres institutions telles que la SGF ou la Caisse de dépôt et placement du Québec, et seulement 16% leurs économies personnelles. En Alberta, les modèles de financement sont complètement inversés : 39% puisent d’abord dans leurs économies, et 10% seulement s’en remettent aux institutions financières. Autre surprise : lorsque les entrepreneurs du Québec demandent l’aide du gouvernement, c’est une fois sur deux (49%) pour de l’aide financière. Dans le reste du pays, cette proportion n’est que de 30%. Faut-il en conclure que les entrepreneurs du Québec dépendent trop de l’État ou de tiers pour réaliser leurs projets? Pas forcément, estime M. Girard, qui pointe plutôt la rareté des grandes fortunes privées au Québec. Le sondage de la Fondation de l’entrepreneurship est le plus important jamais réalisé sur la question au pays. La firme Léger Marketing a sondé 17 192 Canadiens de toutes les régions du pays par Internet entre le 23 janvier et le 3 février. Parmi les répondants, 10 665 habitent le Québec. Les résultats du sondage comportent une marge d’erreur de 0,33 % au Canada et de 4,1 % au Québec. Ce sondage sera répété chaque année au cours des quatre prochaines années, ce qui permettra de suivre l’évolution de l’entrepreneuriat au pays.
  20. La marge de profit des stations-services rattrape la moyenne québécoise, à 5,8 ¢/litre. Pour en lire plus...
  21. Finances : le Québec heurté par la crise * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 11:14 Le Québec est la province canadienne qui enregistre le plus de licenciements dans l’industrie des services financiers. En octobre dernier, l’emploi salarié dans l’industrie des services financiers a en effet diminué de 0,4% au Québec. En Ontario, on n’enregistrait aucune variation, selon l’Institut de la statistique du Québec. Pendant la même période, le nombre d’emplois salariés – toutes industries confondues – augmentait en moyenne de 0,2% au Canada, tout comme au Québec. Une particularité typiquement québécoise Le nombre d’employés a diminué de 1,6% au Québec dans le secteur de l’intermédiation financière. En Ontario, la baisse était de 0,8% ; à l’échelle du Canada, de 0,9%. Dans le secteur de l’assurance, la diminution du nombre d’employés a été de 0,3% au Québec. En revanche, la progression était de 0,6% en Ontario, et la moyenne canadienne, de 0,4%. Quant au secteur des valeurs mobilières et de l’investissement, la contraction du nombre d’emplois salariés a été de 1% en octobre au Québec. À l’inverse, la progression moyenne était de 1,4% au Canada. Et si l’on regarde les 12 derniers mois, la chute se chiffre à 4,4% au Québec, alors que la hausse est de 10,8% en Ontario, et de 9,7% à l’échelle du Canada. Enfin, le secteur du crédit-bail a vu le nombre d’employés se contracter de 0,6% en octobre au Québec. Cette fois-ci, le Québec se situe pile dans la moyenne du Canada (-0,6%). La baisse s’établit à 1,3% au Québec sur les 12 derniers mois (-1,9% en moyenne au Canada).[
  22. Le secteur immobilier canadien devrait résister à un effondrement similaire à celui que connaissent les États-Unis, selon Royal LePage qui ne prévoit qu'une baisse moyenne de 3% des prix des maisons. Pour en lire plus...
  23. La Régie de l'énergie étudie à partir de lundi la demande d'Hydro-Québec d'augmenter de nouveau ses tarifs de 2,2% en moyenne. Pour en lire plus...
  24. L'entreprise hôtelière Groupe Germain a été récompensée pour le concept de la nouvelle bannière Hôtels ALT, lancée en septembre 2007. Le Groupe a reçu une distinction des Worldwide Hospitality Awards pour «le meilleur concept innovant en hôtellerie moyenne gamme». Pour en lire plus...
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