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  1. Le Québec des visiteurs L’imaginaire touristique des «étrangers» est-il différent du nôtre? 31 décembre 2016 | Benoît Legault - Collaborateur | Voyage http://www.ledevoir.com/plaisirs/voyage/487998/le-quebec-des-visiteurs?utm_campaign=Autopost&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1483305280 Photo: Lukas AykroydLe Festival d’été de Québec et ses grands spectacles, un attrait indéniable pour les visiteursÀ quoi rêvent les étrangers quand ils pensent au Québec ? En quoi leurs fantasmes touristiques sont-ils différents des nôtres ? Rêvent-ils du mont Tremblant, de la poutine, du Festival de jazz de Montréal et d’autres icônes dont nous faisons la promotion ? Ou rêvent-ils plutôt de grandes forêts, d’animaux sauvages et d’autochtones ? Quelques « étrangers » (des non-résidants du Québec et des Québécois venus d’ailleurs) racontent. Leurs avis sont fascinants, souvent inattendus, et ouvrent des fenêtres sur leur et notre monde. Nous avons aussi consulté beaucoup de guides touristiques écrits sur le Québec. On peut distinguer quatre types d’étrangers. Il y a ceux de proximité, les Canadiens anglais et les Américains qui mythifient le Québec, lui accordant une aura de raffinement européen. Il y a les Européens, pour qui la province est une interface américaine nichée dans un climat nordique. Et il y a les étrangers de très loin, vivant dans des pays chauds, exotiques, d’où le Québec apparaît comme un pays cher, difficile à atteindre. «Benoit, montre-moi un Montréal où les Anglos ne vont pas», dit mon ami John Matthew, en marge d’un des matchs de baseball des Blue Jays de Toronto disputés à Montréal. John travaille pour les Blue Jays. J’avais l’embarras du choix, car le Montréal que voient les touristes anglos est tout petit, circonscrit. Pour que ce soit facile, je l’emmène donc rue Ontario, dans HoMa, pas bien loin du Stade olympique où jouent les Jays. John était fasciné par une pauvreté bien assumée côtoyant une gentrification élégante. Mais ce qui l’a le plus impressionné, sa rencontre déterminante, fut un hot-dog à 89 cents, relish-moutarde-chou, servi par une wétresse truculente. Il n’en revenait tellement pas qu’il a pris une photo. Et vu que, dans cette rue, tout s’appelle Ontario, ç’était bien amusant aussi. «J’ai adoré pouvoir acheter des saucisses et une bière assortie en même temps chez le saucissier Walter car je ne peux pas faire ça à Toronto.» John a aussi bien aimé se balader en autobus, il avait les yeux grands comme des 30 sous à regarder comment les Montréalais s’habillent, se comportent. John Matthew a apprécié les boutiques émergentes et les restos de hipsters barbus, mais de ça, il y en a beaucoup à Toronto. Photo: Rafael Osio CabricesLa plage du Vieux-Port de Montréal, le fleuve, l’île Sainte-Hélène et le pont Jacques-Cartier : l’architecture urbaine et la nature se déclinent en couches successives qui caractérisent Montréal et d’autres villes du Québec, selon le journaliste latino-américain Rafael Osio Cabrices. Le spectacle du monde Quand je voyage dans les pays latins, en Italie notamment, j’adore regarder les gens car leurs sentiments sont si évidents. Nos Anglos vivent ici le même type de fascination. «Sur le plan culturel, un de mesgrands moments de 2016 a été de voir de grands shows internationaux de rock au Festival d’été de Québec, avec des centaines de milliers de spectateurs exubérants», dit Lukas Aykoyd, un des meilleurs journalistes touristiques au Canada. Il couvre beaucoup aussi la musique et les sports depuis Vancouver. «Les gens sont dans leur bulle, sur la côte Ouest, quand ils assistent à un spectacle. Ici, c’est plus convivial, voir un show est une expérience collective. Voir un match de hockey aussi; assister à un match des Canadiens, c’est unique. Le Centre Bell est la cathédrale du hockey avec son orgue!» Lucas dit que la nature québécoise ne l’attire pas tellement, «car il y a pas mal de nature chez moi. Mais je n’oublierai jamais une balade en scooter sur le mont Royal pendant les couleurs d’automne, en route vers le marché Jean-Talon». Les gens sont dans leur bulle, sur la côte Ouest, quand ils assistent à un spectacle. Ici, c’est plus convivial, voir un show est une expérience collective. Assister à un match des Canadiens, c’est unique. Le Centre Bell est la cathédrale du hockey avec son orgue! Lukas Aykoyd, journaliste touristique au Canada, couvre aussi la musique et les sports depuis Vancouver. Arbres en ville Le marché Jean-Talon fascine les étrangers. Les Nord-Américains baignent joyeusement dans son ambiance bohème, les Européens adorent y trouver des produits québécois exceptionnels, au Marché des saveurs notamment. «Le marché Jean-Talon mepermet de mesentir chez moi à Montréal», explique Rafael Osio Cabrices, journaliste et auteur vénézuélien basé dans la métropole. «Montréal merappelle aussi Caracas à cause de toute la nature qu’on voit et qu’on sent dans la ville», dit-il. Il rejette toutefois la perception du Québécois latin. «C’est vraiment de la foutaise. Viens au Venezuela, tu verras c’est quoi, le caractère latin. Les Québécois sont très calmes, posés. En outre, les hommes d’ici ne sont pas du tout machistes comme le sont ceux de chez nous.» Le Québec est donc latin pour les Anglo-Saxons et nordique pour les Latins ! Des visas pour le Canada On ne se rend pas compte, ici, à quel point il est souvent difficile pour des étrangers d’obtenir un visa afin de visiter le Canada. «Pour la plupart des Latino-Américains, le visa de touriste pour le Canada est plus cher et plus difficile à obtenir que celui pour les États-Unis. Les Latino-Américains qui peuvent venir ici vont vraiment apprécier les restaurants, la ville culturelle intense et les festivals de Montréal, explique Rafael. Très peu de villes de l’Amérique latine ont une vie culturelle comparable. Il y a Mexico, Buenos Aires, et peut-être les mégapoles du Brésil.» Et l’hiver québécois, est-ce exotique et attirant ? «Très peu de Latino-Américains rêvent de l’hiver. Nous avons peur du froid! Toute température sous les 22°C est considérée comme froide chez nous, alors l’hiver comme attrait, non, pas vraiment. Malgré tout, c’est sûr que tous les enfants aiment l’hiver et c’est bien de leur montrer cela une fois. Mais il faut alors acheter des vêtements juste pour un voyage. Ça fait beaucoup d’argent», dit-il. Les Latino-Américains qui peuvent venir ici vont vraiment apprécier les restaurants, la vie culturelle intense et les festivals de Montréal Rafael Osio Cabrices, journaliste et auteur vénézuélien basé à Montréal La Gaspésie, oui et non Photo: Pierre Charbonneau Tourisme QuébecDes fruits de mer servis à l’Auberge de montagne des Chics-Chocs, en Gaspésie. La gastronomie québécoise est à la fois excellente et abordable, un point fort de l’attrait du Québec. Cadre chez Hydro-Québec, Kim-Nhan Ly est la tante de l’auteure Kim Thúy. Arrivée avec la vague des boat people vietnamiens à la fin des années 1970, elle conserve un tendre souvenir de la région de Granby qui l’a accueillie. Et la première qu’elle a voulu visiter, c’est la Gaspésie. «J’en avais fait le tour en auto avec mon chum. C’était un classique touristique incontournable à l’époque. J’ai adoré, mais j’ai peu visité les autres régions du Québec. Pour le moment, mesvoyages, c’est surtout aller dans le Sud et aller voir ma famille disséminée dans plusieurs lieux.» La jeune peintre et entrepreneure française Aurélia Bizouard a vécu en de nombreux endroits au Canada, dont Montréal. Arrivée au pays il y a quelques années, elle n’a pas vu la Gaspésie. «Les voyagistes français ne semblent pas privilégier cette région. Après Québec, on avait visité en groupe Charlevoix et le Saguenay, avec Tadoussac et ses baleines. Voir la grande nature, aller à la rencontre des Québécois, c’était le but du voyage initial», explique-t-elle. «Plus tard, je suis allée sur la Côte-Nord et j’ai pris un traversier vers la Gaspésie en hiver. Le choc des glaces sur la coque, c’était formidable. Le Québec devrait peut-être promouvoir davantage ce type d’expérience», dit Aurélia Bizouard, qui habite maintenant Vancouver. Des guides Photo: Aurélia BizouardLe Vieux-Québec baigne dans une lumière colorée en fin de journée. Ce lieu magique demeure l’attraction numéro un pour les marchés internationaux. Nous avons consulté la majorité des guides internationaux écrits en français et en anglais sur le Québec. La Gaspésie et les autres régions touristiques très éloignées des grands centres sont relativement peu décrites. Le Vieux-Québec et le Montréal culturel sont bien sûr les vedettes de tous les guides, avec des sections secondaires sur les régions limitrophes. Le fjord du Saguenay et la côte de Charlevoix apparaissent comme les étoiles actuelles du tourisme régional tourné vers l’étranger. Les Laurentides et l’Estrie sont aussi régulièrement mentionnées. Et les îles de la Madeleine exercent une certaine fascination. On a toujours l’impression que les étrangers viennent ici pour vivre la culture autochtone. Pourtant, les mentions de ce tourisme sont courtes et furtives dans les guides touristiques étrangers. La reconnaissance étrangère de l’histoire exceptionnelle du Québec est évidente. Par exemple, dans un Insight Guide du Royaume-Uni, on écrit : «Les premiers Nord-Américains après les Indiens, ce sont les Québécois.» Au final, les étrangers semblent aimer à peu près les mêmes attractions et les mêmes endroits que les Québécois, mais pour des raisons différentes, en fonction de leurs traits culturels et de leurs motivations touristiques. Benoit Legault a beaucoup écrit sur le Québec pour des publications étrangères: le Guide du routard, l’édition britannique du Guide Vert Michelin, les guides américains Frommer’s et USA Today.
  2. Voici un bel exemple de ce qui va se produire à l'échelle de la ville, si Montréal ne met pas un frein à l'installation de ces ultra dérangeantes boîtes postales de rue. En fait c'est une chance de constater à petite échelle, l'effet qu'auront ces installations à la grandeur de la ville. Non seulement elles sont laides, mais elles occuperont un précieux espace public le long des trottoirs. Elles seront aussi de véritables obstacles qui nuiront au déneigement l'hiver et bloqueront la sortie des passagers des voitures qui se stationneront à côté. D'ailleurs qui aura la responsabilité de les déneiger pour que les citoyens aient accès à leur courrier en tout temps et de les déglacer lors de pluies verglaçantes? Autant de contraintes auxquelles il faudra ajouter les déchets qui ne manqueront pas de s'accumuler et qui annuleront tous les efforts de propreté de la ville. Sans parler des déjections animales dont les boîtes deviendront une véritable invitation. Pareil pour le vandalisme et la criminalité, en l'occurrence on peut facilement imaginer que certains délinquants en développeront la spécialité. Finalement la dépréciation assurée de toutes les propriétés qui auront à subir ces inconvénients au quotidien. Un dernier détail: qui aura la responsabilité de dédommager les usagers ou les passants si quelqu'un se blesse à cause de la présence de ces boîtes? Beaucoup, beaucoup de questions, mais aucune réponse pertinente des Conservateurs, qui sont totalement aveuglés par les profits potentiels qu'une telle opération apportera. On les voit venir avec leurs gros sabots, ils profiteront ensuite de la plus value de Poste Canada pour la vendre au privé, en laissant villes et citoyens se débattre avec une entreprise, dont le seul mandat sera de faire encore plus d'argent à nos dépends. Plus on analyse l'impact de cette décision stupide et totalement improvisée, plus on réalise que Harper tente de pelleter ses problèmes dans la cour des villes. Les conséquences négatives sont dès le départ évidentes, mais plusieurs autres s'ajouteront certainement à l'usage. J'en conclue que les villes deviendront les dindons de la farce dans cette politique fédérale irréfléchie, en récoltant absolument tous les coûteux inconvénients, tout en laissant l'ensemble des avantages à la société d'État. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201503/06/01-4850084-boites-postales-aussitot-installees-aussitot-vandalisees.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-title_article_ECRAN1POS2&utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_Autres%20contenus%20populaires_article_ECRAN1POS2 Publié le 07 mars 2015 à 00h00 | Mis à jour à 00h00 Boîtes postales: aussitôt installées, aussitôt vandalisées Pierre-André NormandinPIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse Lourdement vandalisées et entourées de détritus, les premières boîtes postales à avoir fait leur apparition au coeur de Montréal illustrent déjà les problèmes qu'entraînera la fin de la livraison du courrier à domicile, dénonce le maire du Sud-Ouest, Benoit Dorais. En janvier 2014, Postes Canada a installé des boîtes postales dans la rue Saint-Rémi pour desservir un immeuble jugé problématique. Deux de ses facteurs qui livraient le courrier de porte en porte ont subi des blessures à l'automne 2013. La société de la Couronne assure que l'apparition de ces boîtes n'a rien à voir avec la fin de la livraison à domicile, mais concerne simplement une question de santé et de sécurité au travail. Benoit Dorais y voit néanmoins les limites de l'utilisation des boîtes postales dans les arrondissements centraux de Montréal. Manque de consultation Le maire du Sud-Ouest digère mal l'apparition de neuf boîtes en janvier 2014, puis l'ajout hier d'une dixième. Benoit Dorais affirme que son arrondissement n'a jamais été prévenu de leur implantation sur les trottoirs municipaux. Ce manque d'information est un mauvais signe alors que la fin de la livraison du courrier à domicile en fera pousser des milliers partout à Montréal, dit-il. Postes Canada assure qu'elle avertit habituellement les municipalités avant d'implanter des boîtes. Une porte-parole, Anick Losier, ajoute que la fin de la livraison du courrier à domicile ne touchera pas le Sud-Ouest en 2015. Les secteurs visés cette année sont Lachine, L'Île-Bizard, Dollard-des-Ormeaux, Dorval, Brossard et Greenfield Park. Déneigement difficile L'arrivée de ces boîtes postales a compliqué le déneigement de ce secteur, confie un col bleu interrogé par La Presse. Elles portent d'ailleurs les traces de leur difficile cohabitation avec la machinerie utilisée pour déblayer les rues. Une entaille d'une dizaine de centimètres en témoigne d'ailleurs, vraisemblablement provoquée par la pelle d'une déneigeuse. La réparation effectuée par Postes Canada n'a rien pour rassurer Benoit Dorais. «La boîte endommagée a été réparée avec du "duct tape" gris. C'est vraiment n'importe quoi.» Chez Postes Canada, on disait ignorer qu'un trou sur l'une de ces boîtes avait été couvert d'un papier adhésif. La boîte endommagée fera l'objet d'une inspection et pourrait être changée.
  3. 6 juin 2007 Une partie de la rue Sainte-Catherine deviendra piétonne, entre les rues Saint-Hubert et Papineau, durant six week-ends de l'été. Ce projet pilote, s'il est concluant, pourrait mener à donner accès aux piétons d'autres artères montréalaises. L'expérience avait été tentée avec succès lors des Outgames, l'an dernier. « Les gens aiment ça, prendre un verre et regarder passer les gens », explique le directeur général de la Société de développement commercial (SDC) du Village, Bernard Plante. « C'est une autre ambiance complètement. » L'objectif principal de l'arrondissement est d'attirer les touristes et les consommateurs pour contrecarrer la concurrence des commerces de banlieue. « Toutes les expériences européennes et nord-américaines en terme de piétonnisation ont toutes eu des impacts positifs en terme d'achalandage commercial », soutient le maire de l'arrondissement Benoît Labonté. Les rues transversales demeureront ouvertes durant ces week-ends pour piétons seulement. Résidents et passants accueillent le projet avec enthousiasme et si les réactions demeurent aussi positives à la fin de l'été l'arrondissement pourrait rendre la mesure permanente. « Non seulement sur la rue Sainte-Catherine, mais aussi ailleurs dans l'arrondissement », poursuit le maire Labonté. Le maire de l'arrondissement vise notamment la rue Saint-Paul. Benoît Labonté rappelle que les villes de Boston et Ottawa possèdent toutes des rues piétonnes. De plus, le plan de transport présenté par la Ville, il y a quelques semaines, recommande de diminuer la présence de l'automobile au profit d'autres modes de transport dans la métropole.
  4. Attention tout le monde. C'est maintenant à 6 étages que l'on parle de "tours" à Montréal. Je suis d'accord avec eux par contre de convertir le terrain en parc sur le bord du canal Lachine, préserver l'accès au canal et rendre l'accès plus convivial aussi avec des parcs. Par contre, de dire que à 6 étage, on a une tour...un gratte-ciel un coup parti !? ***************************** Sud-Ouest Un parc ou des condos? Agence QMI Jean-Louis Fortin 16/02/2010 21h45 Le nouveau maire d’arrondissement Sud-Ouest, Benoît Dorais, a décidé de maintenir sur la glace un important projet de condos pour relancer le débat sur l’usage qui sera fait des terrains en bordure du canal de Lachine. Le porte-couleurs de Vision-Montréal a annoncé qu’un forum de consultations publiques se tiendrait d’ici juin sur le redéveloppement controversé du site de l’ancien entrepôt Seracon, situé au 2985 sur la rue Saint-Patrick. Jusqu’à la mi-2009, l’ancienne mairesse de l’Arrondissement et membre d’Union Montréal, Jacqueline Montpetit, caressait l’idée d’y autoriser la construction de deux édifices à logements résidentiels de six étages, qui auraient abrité 150 condos. Puis, le 22 septembre, l’arrondissement a refusé de donner le feu vert à la première étape, soit la démolition de l’entrepôt actuel construit en 1956. Depuis, le projet du promoteur AXXYS fait du surplace. Plusieurs groupes de citoyens, comme Action-Gardien, craignent que des tours à condo de 20 mètres de haut ne viennent «ériger un mur entre le quartier et le canal Lachine», et créent «des problèmes de circulation automobile». Ils ont proposé qu’un parc soit aménagé plutôt que des immeubles. «Relancer le débat public» «Nous avons décidé de relancer le débat public sur des bases plus larges», a expliqué Benoît Dorais en début de semaine. Mardi soir, lors d’une séance spéciale du conseil d’arrondissement, les trois conseillers de Vision Montréal, qui disposent de la majorité des voix, devaient voter afin de permettre la démolition du bâtiment actuel, pour que le propriétaire puisse décontaminer le terrain. «Le propriétaire a toujours agi de bonne foi dans ce dossier et nous devons faire de même», a dit le maire, qui veut que la décontamination soit effectuée alors que des programmes de subventions sont disponibles pour le faire. Les élus devaient aussi établir un zonage résidentiel et commercial dans ce terrain auparavant classé comme industriel.
  5. (Courtesy of The Gazette) I left out the other part of the article, speaking about restaurants in Sherbrooke and Magog. Plus there is a map showing the locations of each one, that was in the article.
  6. Tremblay seul dans la course Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 16/02/2009 05h17 - Mise à jour 16/02/2009 11h33 Gérald Tremblay semble bien en selle la mairie de Montréal. À l'aube d'une année électorale qui pourrait lui donner un troisième mandat à la mairie de Montréal, Gérald Tremblay semble complètement seul dans la course, selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le compte du Journal de Montréal. Le maire de Montréal éclipse totalement ses deux adversaires déclarés, Benoît Labonté et Richard Bergeron. Les résultats du sondage sont particulièrement catastrophiques pour le chef de l'opposition et nouveau chef de Vision Montréal, Benoît Labonté. Avec seulement 4 % des intentions de vote, il se retrouve derrière le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. «Benoît Labonté doit démontrer qu'il est une alternative sérieuse au maire Tremblay. Mais actuellement, pour les Montréalais, il n'y a pas de réelle alternative», analyse le sondeur Jean-Marc Léger. Car la principale force du maire sortant, c'est sa popularité. «Il est très populaire. Les autres sont accueillis dans l'indifférence actuellement», ajoute-t-il. Des inconnus De fait, les deux adversaires de Tremblay sont totalement inconnus de la majorité de la population. Trois personnes sur cinq ne connaissent par Benoît Labonté et seulement une personne sur cinq dit connaître Richard Bergeron, qui était pourtant candidat à la mairie aux dernières élections de 2005. Il avait fini avec 9%des voix. Est-ce possible que l'un des deux réussissent à surprendre Gérard Tremblay au fil d'arrivée? «Rien n'est impossible. Il peut se passer bien des choses d'ici les élections. Mais si des élections avaient lieu maintenant, Gérald Tremblay l'emporterait haut la main», indique M. Léger. Vision Montréal en déroute Le sondage tombe bien mal pour Benoît Labonté qui essaie tant bien que mal de maintenir l'unité de son parti Vision Montréal. Depuis l'automne dernier, au moins quatre personnalités de premier plan du parti ont claqué la porte: Robert Laramée, Claire Saint-Arnaud, Pierre Minville et, plus récemment, Christine Hernandez. Élu maire de l'arrondissement Ville-Marie sous la bannière du parti de Gérald Tremblay en 2005, Benoît Labonté a claqué la porte en septembre 2007 et rejoint Vision Montréal, l'ancien parti de l'ex-maire Pierre Bourque. Il a été nommé chef de Vision Montréal en mai dernier. Si Gérald Tremblay est élu pour un troisième mandat, il sera le premier à réussir l'exploit de-puis Jean Drapeau. Ni Jean Doré ni Pierre Bourque n'ont réussi à se faire élire trois fois.
  7. La presse 11 janvier 2009 Contrairement à ce qu'affirmait à La Presse le maire Gilles Vaillancourt, Laval est loin de protéger 5% de son territoire, selon le Conseil régional de l'environnement de Laval, en s'appuyant sur un rapport du gouvernement du Québec. En février 2007, la Direction du patrimoine écologique du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP) a placé la région de Laval au tout dernier rang au Québec pour le pourcentage de son territoire consacré à la protection de l'environnement. Avec 0,73% d'aires protégées, Laval en comptait 6 fois moins que la moyenne québécoise, 20 fois moins que Montréal et 5 fois moins que la Montérégie. «On est rendus à 4,5% ou 5%», affirmait pourtant à La Presse le maire Vaillancourt, dans un dossier publié en décembre. L'enjeu a une certaine importance parce que les aires protégées sont plus difficiles à créer dans le sud du Québec, et c'est la région où il y a le plus de biodiversité dans la province. Et Laval n'est pas en reste à ce chapitre. Par exemple, dans l'ouest de l'île Jésus, la forêt de Sainte-Dorothée - non protégée - abrite sept des huit espèces de chauve-souris du Québec, 139 espèces d'oiseaux, dont une dizaine de rapaces, et aussi le petit polatouche, l'écureuil volant. Appelé à préciser comment Laval arrive à plus de 4% d'aires protégées, Gilles Benoit, assistant directeur au service de l'environnement, explique que la définition de la Ville diffère de celle du MDDEP. «La différence provient de la définition des aires et du terme protégé, dit-il. Par exemple, sur la rivière des Mille-Îles, on a des grandes zones inondables non bâties et non bâtissables. Nous les considérons comme des zones protégées.» Il y en aurait pour 600 hectares, dit-il. «Si la Ville n'en est pas propriétaire, comment peut-elle prétendre que ces aires sont protégées? répond Guy Garand, directeur général du CRE de Laval. Il peut y avoir de la coupe de bois, par exemple.» M. Benoit ajoute qu'une forêt de 43 hectares sauvegardée à Fabreville, dans le nord-ouest de l'île, ne fait pas non plus partie de l'inventaire provincial. Selon M. Garand, il y a une bonne raison: le zonage n'offre pas une protection suffisante. «Le terrain pourrait être dézoné par la simple volonté de l'administration municipale, après consultation», dit-il. Les deux hommes ne s'entendent pas non plus sur la superficie totale des réserves fauniques et naturelles de Laval. M. Benoit en compte pour 200 hectares, et M. Garand un peu plus d'une centaine. Acte de foi Mais la Ville de Laval demande un acte de foi encore plus grand pour 300 hectares de terrains qu'elle possède et qu'elle compte dans sa liste, sans vouloir dire où ils sont. «Ces terrains sont à des endroits stratégiques pour la conservation, dit M. Benoit. On sait que ces terrains vont être en grande partie utilisés à des fins de conservation. On ne spécifie pas où ils sont pour éviter d'être poursuivi pour expropriation déguisée par les propriétaires des terrains voisins.» Ce raisonnement ne tient pas la route, dit Guy Garand. «Comment risque-t-on d'être accusé d'expropriation déguisée, si on agit sur son propre terrain? Je ne comprends pas. En attendant, ils peuvent s'en départir à leur guise. Tout est fait en cachette. Les citoyens ont le droit de savoir où sont dépensés les deniers publics.»
  8. L'économiste Benoit Durocher a beau prédire d'autres pertes d'emplois au Canada, il jure être un optimiste dans l'âme. Pour en lire plus...
  9. Repenser et redéfinir le logement social en centre-ville, concours étudiant / Rethinking and Redefining Social Housing in the City Centre, student competition Projects Mention d'honneur (Sébastien-Paul Desparois / Céline Mertenat / Simon Goulet / Benoit Muyldermans) site: Montréal
  10. Publié le 28 novembre 2008 à 15h41 | Mis à jour à 16h44 Deux ténors de Vision Montréal claquent la porte Éric Clément La Presse Critiquant le leadership de Benoit Labonté, le chef de Vision Montréal, deux ténors de ce parti ont claqué la porte, ce vendredi après-midi, a appris La Presse : Claire Saint-Arnaud, la leader de l'opposition officielle, et Robert Laramée, le conseiller spécial de M. Labonté dans l'arrondissement de Ville-Marie ont présenté leur démission. Autant Mme Saint-Arnaud, conseillère municipale dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve que M. Laramée, ex-directeur général de Vision Montréal, ont joué un rôle important pour favoriser la venue de Benoit Labonté dans ce parti il y a un an. Ils l'avaient soutenu pour qu'il en devienne le chef, ce qu'il est devenu le 25 mai dernier lors d'un congrès à la chefferie. Amère, Mme Saint-Arnaud a dit à La Presse que «depuis l'été dernier, Benoit Labonté s'éloignait de ses élus, était dans sa bulle et travaillait en vase clos». Déjà, il y a une semaine, Mme Saint-Arnaud avait failli démissionner mais s'était ravisée. Mais finalement, elle a fait le constat que «ses attentes» ne seraient pas comblées. «Quand j'ai travaillé pour que Benoit reprenne l'opposition et devienne le maire de Montréal, j'ai jamais été aussi sincère de ma vie et je croyais en lui fermement, a-t-elle dit. Mais je cherchais un chef, pas un patron.» De son côté, l'ex-directeur du parti Vision Montréal, Robert Laramée, devenu conseiller spécial de Benoit Labonté dans Ville-Marie l'été dernier, a annoncé également son départ à la fois du parti et de son travail dans l'arrondissement. «Benoit Labonté n'est pas un gars d'équipe, dit-il. Et pourtant, j'ai cru en lui. Aujourd'hui, je me sens libéré.»
  11. C'est ce qu'a écrit lundi dans une note l'analyste Benoît Poirier, de Valeurs mobilières Desjardins. Pour en lire plus...
  12. L'homme d'affaires Benoit Laliberté vient de subir une autre cuisante défaite dans un litige connexe à l'affaire Jitec. Vendredi, un jugement a clairement rejeté sa poursuite de plus de 2 millions de dollars contre l'ex-courtier Marc Beaudoin. Pour en lire plus...
  13. Au Québec, le marché pour le très haut de gamme demeure restreint, selon l'auteur du livre Consommation et luxe, Benoît Duguay. La raison est simple: "Il y a peu de Québécois très riches." Pour en lire plus...
  14. Construction: mauvais présage au Québec 9 septembre 2008 - 06h42 La Presse Hélène Baril Le ralentissement du marché de la construction est évident. À croire les chiffres sur les permis de bâtir publiés hier par Statistique Canada, l'immobilier se porte encore très bien au Québec, qui mène le bal au Canada. Mais à y regarder de plus près, les signes d'un ralentissement du marché sont évidents. «L'essoufflement qu'on annonce déjà depuis un certain temps est là», résume Benoît Durocher, économiste chez Desjardins. Hier, Statistique Canada a fait savoir que la valeur des permis de bâtir a augmenté de 1,8% en juillet au pays. L'augmentation est de 13,2% au Québec, ce qui place la province en tête de peloton, avec la Saskatchewan et le Manitoba. Ces chiffres doivent toutefois être manipulés avec précaution, selon l'économiste de Desjardins. «Les données sur les permis de bâtir sont très très volatiles, explique-t-il, et on ne peut pas en tirer de conclusion.» D'un mois à l'autre, les chiffres jouent au yoyo. Ainsi, avant d'augmenter de 1,8% en juillet, les permis de bâtir avaient baissé de 5,3% en juin, rappelle Benoit Durocher. En regardant l'évolution de ces données sur une période d'an an, il est toutefois possible d'observer que la tendance est à la baisse dans les permis de bâtir du secteur résidentiel alors que, dans le non-résidentiel, la hausse se poursuit, quoiqu'à un rythme moins effréné. Au Canada, depuis un an, les permis de bâtir résidentiels sont en baisse de 5,7%, précise l'économiste. Mais au Québec, ils sont toujours en hausse de 32,3%. Les permis de bâtir sont des intentions de construire qui ne se concrétisent pas toujours. L'économiste de Desjardins estime que les données sur les mises en chantier sont plus révélatrices de l'état du marché immobilier, et surtout moins volatiles que les permis de bâtir. Statistique Canada publie aujourd'hui les chiffres sur les mises en chantier au mois d'août. Les observateurs s'attendent à un rebond, après la baisse observée en juillet et en août. Selon Benoît Durocher, la baisse observée cet été s'explique par les pluies abondantes qui ont arrosé les deux plus importantes provinces canadiennes, l'Ontario et le Québec, et qui ont forcé le report de certains projets. Mais même si les mises en chantier ont rebondi en août -ce qu'on saura aujourd'hui-, la tendance à plus long terme est à la baisse. «Au cours des trois derniers mois, les mises en chantier ont baissé dans toutes les provinces, à l'exception de la Saskatchewan et du Manitoba.» Les perspectives du secteur immobilier au Canada ne sont pas réjouissantes, estime Benoît Durocher, mais ce n'est rien de comparable à la crise qui secoue le marché américain. C'est simplement la fin du cycle haussier du marché immobilier entamé au début des années 2000.
  15. Un citoyen peut-il demander justice pour une transaction qu'il savait illégale? Voilà l'une des questions fondamentales du procès entre Benoit Laliberté et Marc Beaudoin, qui se déroule à Montréal. Pour en lire plus...
  16. Benoit Laliberté est un raconteur. Il enchaîne les noms, décrit les lieux et l'ambiance des réunions, parle de Porsche et de Renoir. Mais dans toute son histoire, il lui manque un élément crucial: la preuve écrite de ce qu'il avance. Pour en lire plus...
  17. L'ex-PDG de Jitec, reconnu coupable de délit d'initié et d'avoir trompé des investisseurs, est condamné à 893 000 dollars d'amende. Pour en lire plus...
  18. L'ex-président et actionnaire principal de la société informatique Jitec avait violé la Loi des valeurs mobilières du Québec en 2000. Pour en lire plus...
  19. Un accès de moins au pont Jacques-Cartier Jeanne Corriveau Édition du vendredi 27 juin 2008 Mots clés : Rue Ontario, accès, Jacques-Cartier, Pont, Transport, Montréal Rue Ontario, Benoit Labonté songe à interdire les virages à droite et à gauche sur Papineau Les résidants de la rue Ontario se plaignent depuis des années de la congestion chronique sur leur artère à l'heure de pointe. Les résidants et commerçants de la rue Ontario veulent moins de voitures sur leur artère, mais les banlieusards risquent d'en faire les frais. En réduisant l'accès au pont Jacques-Cartier jusqu'à la mi-octobre, le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, a trouvé un nouveau motif de conflit avec l'administration de Gérald Tremblay. Hier après-midi, rue Ontario à l'angle de la rue Papineau, un petit groupe de citoyens et de commerçants tentaient d'expliquer pourquoi ils tiennent tant à la nouvelle mesure mise récemment en avant par l'arrondissement de Ville-Marie. Dans le cadre d'un projet-pilote, l'équipe du maire Benoit Labonté a décidé d'interdire le virage à gauche à cette intersection pour les automobilistes roulant dans la rue Ontario, en provenance de l'est. La mesure est entrée en vigueur il y a une semaine, au moment même où la rue Sainte-Catherine devenait piétonne. Toutefois, le bruit de la circulation est tel dans ce secteur que leurs propos sont parfois enterrés. «La rue Ontario est étroite et on se retrouve à chaque heure de pointe, surtout vers 15h, avec une circulation extrêmement dense, pare-chocs à pare-chocs, quasiment à partir de la rue Saint-Hubert jusqu'à Papineau», explique Jean Filippi, propriétaire du restaurant Le Petit Extra. La qualité de vie des résidants et l'accès commercial du secteur en pâtissent. La congestion est telle que même les taxis ne veulent plus venir chercher des clients à son établissement pendant l'heure de pointe, dit-il. Le projet-pilote, entériné en mars dernier par l'arrondissement de Ville-Marie, vise à inciter les automobilistes à opter pour un autre trajet afin d'accéder au pont Jacques-Cartier lorsqu'ils viennent de l'Est. L'arrondissement a également évoqué l'idée d'interdire, dans un avenir plus lointain, le virage à droite dans la rue Papineau pour les automobilistes provenant du centre-ville, comme le révélait Le Journal de Montréal, plus tôt cette semaine. L'idée sourit aux résidants et commerçants du secteur. Benoit Labonté souligne que la congestion routière dans ce quartier résidentiel est problématique et que les citoyens s'en plaignent depuis des années. Au terme du projet-pilote, l'arrondissement mesurera les effets de cette mesure sur la circulation et évaluera la possibilité de la rendre permanente. Une interdiction dans l'autre sens pourrait être adoptée, a-t-il confirmé mercredi. «On n'est pas rendus là, mais ce qui va motiver toute décision à cet égard sera la qualité de vie des résidants du secteur. C'est ce qui prime», a-t-il dit. Quant au sort des banlieusards, M. Labonté estime que ceux-ci disposent de bien d'autres accès pour se rendre sur le pont Jacques-Cartier, qu'il s'agisse du boulevard René-Lévesque, de la rue Saint-Antoine ou de la rue Sherbrooke. «Ce n'est pas une question de "pas dans ma cour", c'est une question de respect à l'égard des citoyens du quartier», a-t-il lancé. Plus tôt cette semaine, Gérald Tremblay s'en est pris à l'attitude de Benoit Labonté à l'égard des banlieusards. «La Ville de Montréal ne ciblera jamais les banlieusards. Ils viennent à Montréal, y travaillent et y investissent. Il faut donc les respecter», a-t-il déclaré. Membre de son équipe et conseiller dans Sainte-Marie-Saint-Jacques, Sammy Forcillo s'était opposé à la décision d'interdire le virage à gauche dans la rue Papineau et s'est plaint d'avoir été tenu dans l'ignorance au sujet de l'autre mesure envisagée par le maire Labonté et à laquelle il se dit également opposé. «On a un maire qui travaille tout seul à l'arrondissement, a-t-il commenté en accusant M. Labonté de vouloir se «faire un nom» en «fermant le Centre-Sud». Gérald Tremblay entend examiner le dossier de plus près, mais comme il s'agit d'une rue locale et que la circulation relève des compétences des arrondissements, il s'avérera fort difficile pour la ville centre d'intervenir. Benoit Labonté croit pour sa part que le maire Tremblay serait mal placé pour mettre des bâtons dans les roues de l'arrondissement et qu'il aurait avantage à écouter les résidants du secteur. «On ne peut pas tenir, d'un côté, un discours sur le plan de transport, le ralentissement de la circulation et l'amélioration de la qualité de l'air et, de l'autre, défaire des mesures qui vont en ce sens-là», a-t-il indiqué. À l'hôtel de ville de Longueuil, on demeure prudent. «Ça semble davantage au stade de discussions, mais c'est sûr que le maire de Longueuil ne sera pas content de voir la population pénalisée à son retour à la maison. On réagira en temps et lieu», a précisé Jean Rossignol, relationniste au cabinet du maire Claude Gladu. http://www.ledevoir.com/2008/06/27/195527.html (27/06/2008 7H02)
  20. Plus de maire dans Ville-Marie: antidémocratique, selon Labonté Éric Clément La Presse Montréal La possibilité que le maire de Montréal devienne d’office celui de Ville-Marie à l’issue des prochaines élections municipales en 2009 est jugé antidémocratique par le maire de cet arrondissement, Benoit Labonté. Il appuie sa thèse d’une opinion juridique du cabinet Robinson Sheppard Shapiro qui a établi qu’un tel système de gouvernance est « contraire aux traditions démocratiques en Amérique du Nord». Benoit Labonté, avait convoqué une conférence de presse, vendredi, pour réagir aux ententes signées jeudi entre Québec et Montréal et qui modifient le projet de loi 22. Il les a qualifiées d’excellentes. Mais c’est le dossier de la gouvernance du centre-ville qui a retenu le plus son attention. Il a dit que la disparition de l’élection du maire de Ville-Marie est un «problème démocratique important». «Tel que proposé, on va créer un précédent, dit-il. On va priver 78 000 résidents de Ville-Marie, soit plus que la population de Drummondville, du droit d’élire directement leur maire d’arrondissement. Ce serait les seuls Québécois à être privés de leur droit de vote par une loi provinciale.» Il pense que cette disposition n’est pas nécessaire pour que le centre-ville fonctionne mieux. Il suffit, selon lui, de rapatrier des pouvoirs, sans supprimer la fonction de maire de Ville-Marie. Il a dit être «beaucoup étonné de la réaction rapide de l’élite montréalaise» (visant notamment la Chambre de commerce du Montréal métropolitain) «qui a applaudi cette mesure sans nuance et qui cautionne la perte d’un droit démocratique fondamental d’une certaine partie de la population». M. Labonté espère que les partis d’opposition s’exprimeront sur la question la semaine prochaine en commission parlementaire. D’autant qu’une opinion juridique du cabinet Robinson Sheppard Shapiro, datant de 2003, se penchait sur la possibilité que Ville-Marie soit géré par le maire de Montréal. Cette opinion, transmise aux médias hier, concluait que «le système de gouvernance proposé pour le futur arrondissement, dans la mesure où il substitue au libre choix par les électeurs municipaux de leurs gouvernants une mise en tutelle véritable, est contraire aux pratiques actuelles du gouvernement municipal en Amérique du Nord et aux traditions démocratiques, mais trahit certainement l’esprit et vraisemblablement la lettre des règles constitutionnelles en la matière». Benoit Labonté se demande en plus si le maire de Montréal n’a pas mieux à faire que d’aller s’occuper des puisards de Ville-Marie ou des livres des bibliothèques de quartier. Il trouverait plus logique qu’il soit responsable du développement économique, des grands projets et du tourisme dans Ville-Marie, ce qui ne priverait pas les électeurs de cet arrondissement de leur droit de vote. Centralisation Par ailleurs, Benoit Labonté juge que l’entente Québec-Montréal «constitue un aveu implicite de la part du maire Tremblay que la décentralisation est allée trop loin». Québec donne en effet à Montréal le pouvoir de centraliser une compétence d’arrondissement «s’il en va de l’intérêt général de la Ville». M. Labonté se demande ce qui sera centralisé. Le déneigement ? Le recyclage ? La collecte des déchets? «Le maire ne remet aucunement en cause la décentralisation, réagit Renée Sauriol, attachée de presse du maire Tremblay. Pour le déneigement, s’il y a une situation exceptionnelle, le conseil municipal pourrait, si nécessaire, reprendre le contrôle mais cela ne remet pas en cause les responsabilités des arrondissements.» Benoit Labonté a, sur ce sujet, lancé une pique au maire d’Anjou, Luis Miranda, recruté par le parti du maire Tremblay. «M. Miranda était hyper-décentralisateur, dit-il. J’ai hâte de le voir défendre cette centralisation. Ça va être amusant.» «Il n’est pas question de se départir de services de proximité, dit Luis Miranda au téléphone. Je suis toujours un décentralisateur. Ce n’est pas mon adhésion à Union Montréal qui va changer quelque chose là-dessus.» Enfin, Benoit Labonté se demande quelles nouvelles taxes sont envisagées par le maire Tremblay. «Va-t-il taxer les piscines, les jeux d’enfants, les espaces de stationnement, la possession d’automobile ? Il doit le dire. On ne peut pas d’un côté vouloir attirer les familles sur l’île et les laisser dans le doute jusqu’en 2010 sur comment elles vont être taxées. Moi, je m’engage à ne pas utiliser de nouveaux pouvoirs de taxation avant de faire le ménage à l’hôtel-de-ville où il y a encore beaucoup de gras.» M. Labonté dit qu’à l’image de ce qu’il a fait dans Ville-Marie (réduction de 5% des charges en réorganisant le travail), il peut faire économiser 200 millions à Montréal sur un budget de 4 milliards. http://www.cyberpresse.ca/article/20080613/CPACTUALITES/80613162/6488/CPACTUALITES
  21. La Presse Le mercredi 05 septembre 2007 Il y aura moins d'espaces de stationnement à Ville-Marie d'ici quelques années. C'est l'une des mesures comprises dans le plan de développement durable adopté hier soir par l'arrondissement qui englobe le centre-ville Le plan prévoit une série de 20 mesures qui seront mises en place au cours des prochaines années. On compte notamment éliminer la marche au ralenti inutile des véhicules, construire de nouvelles infrastructures pour les vélos, et stimuler davantage la récupération. Il n'y a actuellement aucun règlement obligeant les entreprises à recycler. Même chose dans les tours d'habitation. L'arrondissement entend corriger la situation. «Dans le quotidien des citoyens, on espère ne rien changer», a indiqué le responsable du dossier, le conseiller Karim Boulos. Le maire de l'arrondissement, Benoit Labonté, a indiqué qu'il était trop tôt pour chiffrer la réduction des places de stationnement. Avec la construction de la piste cyclable sur le boulevard De Maisonneuve, 250 places ont déjà été éliminées au cours des derniers mois, sans soulever de plaintes. D'autres espaces pourraient être éliminés lorsque la Ville de Montréal construira 400 kilomètres de pistes cyclables au cours des prochaines années. Cette mesure fait partie du plan de transport présenté en mai par le maire Gérald Tremblay. Dans différents arrondissements au cours des derniers mois, des commerçants se sont plaints de la réduction des espaces pour garer les voitures, craignant une baisse d'achalandage. C'est notamment le cas sur le boulevard Décarie, dans Saint-Laurent. Mais Karim Boulos, n'est pas inquiet. Car ceux qui souhaitent magasiner au centre-ville en voiture ne devraient pas trop peiner pour se trouver une place. «On a fait une évaluation du nombre de places disponibles pour le stationnement au centre-ville, que ce soit public, privé, extérieur, intérieur. On a trouvé qu'il y a suffisamment d'espace, même un surplus.» Motion Par ailleurs, un conseiller de l'opposition a présenté une motion, dénonçant la rétrogradation de Benoit Labonté. Après la découverte d'une importante fissure sous le boulevard De Maisonneuve, Gérald Tremblay a annoncé qu'il serait désormais responsable du centre-ville, la semaine dernière. C'est un dossier que pilotait le maire de Ville-Marie depuis deux ans. Mais la motion n'a jamais obtenu l'appui du conseil d'arrondissement et ne sera donc jamais envoyée à la ministre. «Que le maire de la ville mette son poids politique dans la réalisation des projets comme le quartier des spectacles et le CHUM, a indiqué Benoit Labonté au terme de la réunion. J'ai plutôt tendance à croire que c'est une bonne nouvelle.»
  22. Le maire Tremblay prend le contrôle du centre-ville «Je pense que si le maire est responsable de tous les maux, alors c’est bien et je l’assume, mais partant de là, il faut des résultats et je veux que les dossiers soient réalisés le plus vite possible», a-t-il dit. Cet été, le patron de Juste pour rire, Gilbert Rozon, avait lancé un pavé dans la mare en accusant Gérald Tremblay de manquer de leadership et de mettre des bâtons dans les roues des promoteurs. Parmi la garde rapprochée de Gérald Tremblay, Benoit Labonté était soupçonné d’avoir cautionné cette sortie. Le maire de Montréal a fait cette annonce durant une conférence de presse hier après-midi pour annoncer l’inspection de structures souterraines privées. Benoit Labonté a été prévenu le matin même vers 8 h, tout juste avant le début de la séance hebdomadaire du comité exécutif. Benoit Labonté conserve néanmoins son siège au comité exécutif où il continuera de s’occuper de la culture, du design et du patrimoine. Le maire de l’arrondissement de Ville-Marie n’a pas voulu accorder d’entrevue. Son porte-parole a indiqué qu’il «respectait» la décision du maire. M. Labonté brillait néanmoins par son absence lors de la conférence de presse. Selon des sources bien informées, le maire de l’arrondissement de Ville-Marie s’attendait à subir une rétrogradation en raison de divergences politiques. Son empressement pour accélérer la réalisation du projet du Quartier des spectacles avait dérangé au sein de l’administration Tremblay-Zampino, a-t-on appris. Le maire Tremblay souhaitait aussi mener de front les dossiers du Quartier des spectacles et de la Société du Havre dans le but d’y laisser son empreinte. Le maire Tremblay a tout de même évité hier de critiquer Benoit Labonté. «Je ne porte pas de jugement, je dis simplement que l’on s’est fixé des objectifs ambitieux mais que je considère réalistes et que ça prend la complicité de l’arrondissement de la ville-centre», a-t-il expliqué. Gérald Tremblay fait valoir que ces dossiers ne concernent pas seulement un seul arrondissement, mais l’ensemble de la ville. Gérald Tremblay a donc précisé qu’il comptait désormais piloter les dossiers majeurs comme celui de la Société du Havre, du Quartier des spectacles, des hôpitaux universitaires, de Griffintown, et de la rue Notre-Dame, entre autres. Il estime que le maire doit être responsable du centre-ville étant donné l’importance de ces projets. «On est rendu à un point où il faut concentrer toute la réalisation de ces dossiers pour qu’on puisse le faire le plus rapidement possible», a-t-il déclaré. Gérald Tremblay participe d’ailleurs cet après-midi à l’annonce d’un investissement du gouvernement du Québec dans la Société du Havre en présence du ministre responsable de la région de Montréal, Raymond Bachand.
  23. Mardi 26 Juin 2007 La Communauté métropolitaine de Montréal est en quête d'une image de marque. " Cette volonté de doter le Grand Montréal de sa propre image de marque relève du besoin d'apporter davantage de cohérence au positionnement et aux efforts de promotion à l'international de la région ", de faire part Robert Charland, membre du comité exécutif de la Ville de Longueuil et président de la commission du développement économique, des équipements métropolitains et des finances de la CMM. L'image de marque qui sera retenue devra communiquer un message clair, homogène et distinctif pour tous les intervenants qui ont des activités à l'international. " Le positionnement et la promotion de la métropole montréalaise à l'étranger sont des enjeux qui touchent l'ensemble de la région métropolitaine ". d'ajouter Benoît Labonté, maire de l'arrondissement de Ville-Marie. Cette recherche d'une image distinctive durera un an. Durant cette période, la CMM recueillera les suggestions et les commentaires de la population, des élus municipaux et des intervenants socio-économiques et culturels de la région. Les citoyens peuvent faire parvenir leurs suggestions en visitant le site web : http://www.legrandmontrealfaitsamarque.com
  24. Les récalcitrants poursuivis en Cour supérieure André Beauvais Le Journal de Montréal 05/02/2007 08h30 Montréal poursuivra en Cour supérieure une douzaine de propriétaires de stationnements illégaux du centre-ville, en vertu de la Loi du Québec sur l'aménagement du territoire et l'urbanisme. La nouvelle a été confirmée par le maire de Ville-Marie, Benoit Labonté. «C'est une première à Montréal. Jamais de telles procédures judiciaires n'ont été engagées mais nous voulons démontrer clairement le sérieux avec lequel nous voulons faire entendre raisons aux récalcitrants», a déclaré le maire. Il y a deux semaines, 24 stationnements illégaux du centre-ville étaient sommés de fermer «immédiatement». Deux contestations Depuis, six terrains ont été fermés volontairement, deux propriétaires ont entrepris des procédures pour contester le geste de l'arrondissement et quatre sont en pourparlers avec les autorités pour «établir des modalités de fermeture», a précisé Benoit Labonté. «Il y a donc une douzaine de propriétaires qui n'ont donné aucun suite à la mise en demeure et aucun signal de leur intention de cesser l'exploitation. «Nos inspecteurs leur ont remis des avis d'infraction, explique le maire, en vertu du règlement municipal, mais ils ne pourront profiter des longs délais de comparution à la Cour municipale puisque les avocats de la Ville vont les poursuivre en Cour supérieure.» Le conseil d'arrondissement, qui se réunira demain, adoptera une résolution pour autoriser ces poursuites.
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