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  1. le 6 novembre 2007 Frank Zampino, président du comité exécutif et responsable des finances à la Ville de Montréal, et Sammy Forcillo, conseiller du district Sainte-Marie–Saint-Jacques et membre du comité exécutif, annoncent la vente du marché Saint-Jacques pour la somme de 2 300 000 $. L’administration municipale avait lancé un appel de propositions à la suite de la décision de relocaliser les services municipaux qui occupaient cet immeuble hébergeant un marché public depuis plus de 75 ans. «Cette transaction amène le nouveau propriétaire à conserver la vocation de marché public en louant la partie extérieure de l’immeuble à la Ville jusqu’en 2022. Cette condition est assortie de cinq options de renouvellement d’une durée de cinq ans chacune, de manière à respecter l’entente intervenue avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal qui exploite déjà cet espace», a commenté Franck Zampino. «De plus, le propriétaire est tenu de réserver le rez-de-chaussée du bâtiment à des commerces d’alimentation, ce qui permettra de relancer le développement commercial et économique du secteur», a-t-il argumenté. Retombées positives? Pour sa part, Sammy Forcillo a souligné que «la conservation et le renforcement de la vocation de marché alimentaire et public bénéficiera aux résidents du quartier qui profiteront de services d’approvisionnement additionnels. Le marché Saint-Jacques a marqué l’histoire de notre quartier et il fera encore la fierté de ses usagers, j’en suis certain ». Il s’est réjoui que la transaction vise également le maintien du caractère architectural du bâtiment construit en 1931. «Cet édifice de style art déco représente une valeur patrimoniale importante tant pour les résidents du quartier que pour l’ensemble de la population montréalaise», a conclu Sammy Forcillo.
  2. LA RETRAITE VOUS VA SI BIEN ! Piscine, plage intérieure, salle d’exercice, allées de quilles, cinéma, salle à manger, loisirs intérieurs et extérieurs… Quand tout est sur place, vous avez le temps de vous adonner à toutes vos envies. Alors, devenez propriétaire ou locataire au Boréa, en toute liberté ! http://www.legroupemaurice.com/fr/projets-en-developpement.html
  3. L'édifice Blumenthal, un immeuble désaffecté de huit étages, deviendra la Maison du Festival de jazz et accueillera, entre autres, une salle de spectacle de 300 places avec resto-bar dédiée au jazz, au blues et à la musique du monde. On y retrouvera aussi un centre de documentation réunissant les archives du festival, un temple de la renommée du jazz et une galerie. L'édifice abritera également des locaux pour les services techniques, les services de sécurité, des loges et autres composantes logistiques requises pour la tenue des événements sur la place des festivals. Le gouvernement du Québec, propriétaire du terrain, alloue près de 9 M$ pour la réfection du bâtiment de 65 000 pieds carrés. Le Festival de jazz, pour sa part, investira 4M$ dans l'aménagement et les équipements requis, dont 3 M$ seront sollicités auprès de partenaires privés. Source: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=3256,15657565&_dad=portal&_schema=PORTAL http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/02/29/002-jazz_n.shtml
  4. Projet en hauteur qui se trame sur le stationnement en face de Concordia entre Guy et Mackay. Ça semble être assez ancien comme projet, et le promoteur est le même que pour le défunt projet du Waldorf, mais je n'ai pas pu trouver de fil pour, alors j'en crée un nouveau: http://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscription.aspx?NumeroInscription=AuLgd7373tZ2xfT9K5fg1Q%3d%3d#D53613 Le site et la ruelle en question:
  5. L'hôtel Hilton Montréal Bonaventure changera bientôt de propriétaire et de nom. Mis en vente à l'été 2013 par SilverBirch Hotels & Resorts, l'hôtel a enfin trouvé un acheteur, l'hôtelier Claude Chan, président du groupe Kejja, déjà actionnaire de l'hôtel Le Concorde à Québec, qu'il a acquis l'été dernier. L'annonce officielle sera faite aujourd'hui et le changement de main devrait survenir au printemps. L'hôtel sera ensuite exploité sous le nom Hôtel Bonaventure. Est-ce que quelqu'un a entendu parler de ce changement ? Si cette nouvelle est officielle, cela sous-entend que Hilton pourrait prévoir de construire un nouvel édifice ? [url=]http://www.montrealinfo.com/fr/nouvelles/2015-02-04/passage-de-relais[/url]
  6. Il a sauvé le Théâtre Rialto et dénoncé le «scandale des garderies libérales». Ezio Carosielli se paye aujourd'hui l’Édifice CIBC, un autre joyau patrimonial au 265, Saint-Jacques, l'ancienne rue des banques, dans le Vieux-Montréal. «Ce sera le Théâtre Saint-James», annonce l’homme d’affaires en tous genres, à la fois avocat, amateur de beaux immeubles et propriétaire de garderies. «Nous ferons comme au Théâtre Rialto : des spectacles, des lancements de disques, des mariages, des pièces de théâtre… Tout ce qui rassemble deux personnes et plus, on le fait !» Les Bitton ne savaient plus trop qu'en faire.Le vendeur est une compagnie à numéros que détient la famille fondatrice de Buffalo Jeans. Elle avait acquis l’immeuble en 2010 de la CIBC après que la banque eut fermé la succursale. Fin 2011, Gabriel Bitton a tenté de le revendre en vain pour 5,7 M$, selon des documents de vente de Cushman & Wakefield. Il vient de la laisser à Ezio Carosielli pour 4,05 M$. «C'est un vrai gentleman», assure le nouveau propriétaire. Un gentleman qui revend tout de même l'immeuble presque un million plus cher que payé en 2010. L’édifice de 35 500 pieds carrés, que le ministère de la Culture et des Communications a l’intention de classer, nécessite peu de travaux, assure Ezio Carosielli. Il prévoit ouvrir dès décembre ou janvier son nouveau Théâtre Saint-James. Seul un permis d’amphithéâtre de la Ville de Montréal est nécessaire, dit-il. «L’idée, c’est de mettre en valeur ce qu’il y a déjà là.» Payant, les spectacles dans les immeubles patrimoniaux ? «Tout-à-fait. Il y a moyen de faire de l’argent avec la culture, répond-il. Mon entreprise est à but lucratif.» Édifice de prestige De monumentales colonnes romaines de granit ornent la façade de l’immeuble d’architecture classique, construit de 1907 à 1909. Il abrite une immense salle de guichets, cinq chambres fortes, de nombreux bronzes, des marbres et une collection de toiles. La Canadian Bank of Commerce, puis la Canadian Imperial Bank of Commerce - après une fusion en 1961 - ont occupé l’édifice jusqu’en 2010. L’organisme de protection du patrimoine Héritage Montréal s’est inquiété de son sort quand l’institution torontoise a décidé de le vendre. Ezio Carosielli a la manie de sauver les immeubles patrimoniaux. Pour 2,1 M$, il a mis la main en 2010 sur le Cinéma Rialto, avenue du Parc, dans le Mile-End. L’ancien propriétaire, Elias Calogeras, voulait le transformer en centre commercial et avait déjà commencé à le dégrader. Mais la valeur patrimoniale de l’édifice, érigé en 1924, est reconnue à la fois par la Ville, Québec et Ottawa, et l’homme d’affaires n’avait pu aller de l’avant. Garderies: le libéral insoumis L’entrepreneur est pour le moins éclectique. Le premier actionnaire de Théâtre Rialto Productions inc., Le Groupe Merveilles d’Ezio Carosielli, possède aussi dix garderies privées. Bien au fait de ce qui se trame dans ce domaine, c’est lui, le militant libéral insoumis, qui a alerté le Vérificateur général au sujet du «scandale des garderies libérales». Se qualifiant lui-même de «connaissance» du ministre déchu Tony Tomassi, responsable du dossier à l’époque, l’avocat avait néanmoins dénoncé la revente de permis de garderies pour des sommes allant jusqu’au demi-million de dollars. Le Parti québécois avait dénoncé le réseau «à la Wal-Mart» du Groupe Merveilles, qui avait obtenu des permis pour offrir au total 800 places dans ses dix garderies. Bon militant libéral, Ezio Carosielli dit avoir versé avec sa famille quelque 14 000 $ à l’ancien parti de Jean Charest depuis 2003. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/vieux-montreal-le-theatre-rialto-achete-ledifice-cibc/550493/1
  7. (D'après PC) - Le cinéma Le Parisien, qui faisait partie du paysage du centre-ville de Montréal depuis des années, ferme ses portes. Le propriétaire de l'entreprise, Les Cinémas Fortune, a vendu la salle mercredi et a mis la clé sous la porte dans le même souffle. Aucune autre information n'a été fournie par le propriétaire qui s'est limité à annoncer la vente et la fermeture dans un communiqué. Jeudi, le cinéma était placardé et des déménageurs étaient à l'oeuvre. Les raisons de la vente ainsi que le nom du nouveau propriétaire de l'immeuble ne sont pas encore connus. Le Parisien avait longtemps été l'épicentre du Festival des films du monde, mais son heure de gloire était passée depuis quelques années. Il était toutefois encore le seul cinéma à diffuser des films en français rue Sainte-Catherine. Famous Players a déjà été propriétaire des lieux. Les Cinémas Fortune est également propriétaire du cinéma Angrignon, dans l'arrondissement montréalais de LaSalle, et de salles à Gatineau (arrondissement de Hull) et à Québec (arrondissement de Sainte-Foy).
  8. Galerie, terrasse et théâtre au coin Masson-d’Iberville ? Le réaménagement de l’artère amène de nouvelles idées de développement http://www.journalderosemont.com/Actualites/Vos-nouvelles/2011-11-15/article-2805508/Galerie,-terrasse-et-theatre-au-coin-Masson-d’Iberville-?%2F1 D’abord prévu cet automne, le carrefour Masson – d’Iberville sera complètement réaménagé au printemps prochain. Certains propriétaires de bâtiments dans ce secteur y voient de nouvelles possibilités de développement. Terrasse, galerie d’art et théâtre sont maintenant des discussions entendues. Les plans fournis par le Service développement et des opérations de la Direction des transports de la Ville de Montréal laissent entrevoir de grands changements dans les prochains mois au coin des rues Masson et d’Iberville : le nombre de voies de circulation automobile passant sous le viaduc Masson sera diminué de quatre à deux; une voie cyclable exclusive y sera aménagée; la bretelle sud-est sera supprimée; une piste cyclable prendra place entre Masson et l’entrée de la piste cyclable longeant les voies du Canadien Pacifique; les tronçons des rues à côté du Sel et Poivre, du McDonald’s de même que tout près du Kool Kafé seront réaménagés pour laisser place à des petits coins de verdure. Le propriétaire de ce dernier endroit voit d’ailleurs dans ces changements une occasion de repenser son offre de service. « En plus de tout ces changements, il y aussi la venue et a construction de centaines de condo dans le secteur dans les prochaines années. C’est certain que ça nous amène à revoir ce qu’on veut offrir aux clients, explique Réjean Boudreau, propriétaire du Kool Kafé. Pour ma part, je songe à revenir à mes premiers amours et à ouvrir un petit café-terrasse de jour, où les gens pourraient venir manger une bonne soupe sur l’heure du diner et de bons petits repas sains. » Galerie d’art? Le propriétaire d’un bâtiment industriel situé une rue à l’ouest d’Iberville, au coin de Masson et Chapleau a même reçu une offre d’achat pour la conversion de son édifice en galerie d’art interactive. « J’ai des demandes de la part de promoteurs immobiliers pour l’achat de ma bâtisse, laisse entendre Pierre Beauchamp. Malheureusement, le terrain est contaminé et cela retarde la vente. Mais le projet que j’ai vu, ça cadrerait très bien avec la vision de l’arrondissement et donnerait un nouveau souffle au secteur. Il reste à espérer que l’arrondissement changera le zonage de mon terrain pour que cela se concrétise. » Selon ce qu’on a appris, le projet en question se veut une réplique d’un autre déjà existant à Toronto. On retrouverait, sur un même terrain, une galerie d’art interactive, un théâtre de performance, un cybercafé, une petite salle de spectacles, de même que des immeubles résidentiels, des condos probablement, ce qui assureraient la viabilité financière des éléments culturels, explique la responsable de ce concept, Diane English. « On a déjà fait ce genre de chose et on sait que ça fonctionne. On va prendre notre temps, on ne veut rien brusquer. On va parler avec les gens de l’urbanisme pour s’assurer que tout cela se concrétise », dit-elle.
  9. La Presse Canadienne . les affaires.com . 14-06-2012 (modifié le 14-06-2012 à 11:57) Québec solidaire a déposé jeudi, à l'Assemblée nationale, une pétition portant 3330 signatures qui vise à protéger les employés des magasins Zellers, la chaîne dont plusieurs magasins porteront bientôt la bannière Target. L'acquisition de plus de 35 magasins Zellers au Québec par la chaîne américaine Target pourrait causer la perte de plus de 5000 emplois en 2012, très majoritairement occupés par des femmes. Target prétend n'avoir aucune obligation de respecter l'ancienneté, les salaires et les avantages sociaux des anciens employés de Zellers, ou de les reprendre à son emploi. Le député de Québec solidaire, Amir Khadir, croit que Target contourne l'article 96 de la Loi sur les normes du travail du Québec qui protège les salariés lorsque les entreprises qui les emploient changent de propriétaire. Il reproche à Target d'affirmer que sa reprise des magasins Zellers ne serait en fait qu'une transaction immobilière. Il réclame donc l'intervention de la ministre du Travail, Lise Thériault. Avec des affaires comme ca, ne venez pas me dire qu'on est a droite au Quebec...
  10. L'offre a ete annoncee il y aquelques semaines. Par contre je n'avais pas realiser que Cominar mettait la main sur la Gare centrale... Cominar émet pour 125 millions de dollars de nouvelles unités. Le plus grand fonds de placement immobilier du Québec et plus grand propriétaire commercial de la province met 5 734 000 nouvelles parts en circulation. Le produit de l'émission d'unités servira à réduire sa dette issue du crédit courant et à «financer le programme d'acquisition et de développement continu de Cominar», selon le communiqué émis par le fonds de placement immobilier (FPI). La société de Québec a lancé le 2 décembre une offre d'achat non sollicitée du FPI montréalais Canmarc, l'ancien FPI Homburg. Au comptant, Cominar propose 838,2 millions de dollars pour Canmarc, notamment propriétaire de la Gare centrale, à Montréal, soit 15,30 $ par unité au moment de la proposition. Cominar offre aussi d'échanger 0,7054 unité de son titre contre une unité de Canmarc, jusqu'à concurrence de 16 millions d'unités de Cominar échangées. Quelques jours avant, le 28 novembre, Cominar avait déjà augmenté ses parts dans Canmarc à 15,1 %, en achetant 3,1 millions d'unités. Le FPI de Québec est ainsi devenu le deuxième plus grand actionnaire de Canmarc.
  11. Attention tout le monde. C'est maintenant à 6 étages que l'on parle de "tours" à Montréal. Je suis d'accord avec eux par contre de convertir le terrain en parc sur le bord du canal Lachine, préserver l'accès au canal et rendre l'accès plus convivial aussi avec des parcs. Par contre, de dire que à 6 étage, on a une tour...un gratte-ciel un coup parti !? ***************************** Sud-Ouest Un parc ou des condos? Agence QMI Jean-Louis Fortin 16/02/2010 21h45 Le nouveau maire d’arrondissement Sud-Ouest, Benoît Dorais, a décidé de maintenir sur la glace un important projet de condos pour relancer le débat sur l’usage qui sera fait des terrains en bordure du canal de Lachine. Le porte-couleurs de Vision-Montréal a annoncé qu’un forum de consultations publiques se tiendrait d’ici juin sur le redéveloppement controversé du site de l’ancien entrepôt Seracon, situé au 2985 sur la rue Saint-Patrick. Jusqu’à la mi-2009, l’ancienne mairesse de l’Arrondissement et membre d’Union Montréal, Jacqueline Montpetit, caressait l’idée d’y autoriser la construction de deux édifices à logements résidentiels de six étages, qui auraient abrité 150 condos. Puis, le 22 septembre, l’arrondissement a refusé de donner le feu vert à la première étape, soit la démolition de l’entrepôt actuel construit en 1956. Depuis, le projet du promoteur AXXYS fait du surplace. Plusieurs groupes de citoyens, comme Action-Gardien, craignent que des tours à condo de 20 mètres de haut ne viennent «ériger un mur entre le quartier et le canal Lachine», et créent «des problèmes de circulation automobile». Ils ont proposé qu’un parc soit aménagé plutôt que des immeubles. «Relancer le débat public» «Nous avons décidé de relancer le débat public sur des bases plus larges», a expliqué Benoît Dorais en début de semaine. Mardi soir, lors d’une séance spéciale du conseil d’arrondissement, les trois conseillers de Vision Montréal, qui disposent de la majorité des voix, devaient voter afin de permettre la démolition du bâtiment actuel, pour que le propriétaire puisse décontaminer le terrain. «Le propriétaire a toujours agi de bonne foi dans ce dossier et nous devons faire de même», a dit le maire, qui veut que la décontamination soit effectuée alors que des programmes de subventions sont disponibles pour le faire. Les élus devaient aussi établir un zonage résidentiel et commercial dans ce terrain auparavant classé comme industriel.
  12. Un jeune graffiteur qui pratiquait son art un dimanche après-midi risque de payer le prix fort pour sa passion. Accusé de méfait pour avoir détérioré un mur, il risque 5000$ d'amende, en plus de se retrouver avec un casier judiciaire. Dans l'attente de sa comparution devant la cour municipale de Montréal le 10 mai prochain, le jeune homme reste toujours incrédule devant la sévérité de sa peine. «On parle d'un graffiti! Sur les forums où je suis allé, les gens disaient qu'ils n'en revenaient pas, explique-t-il. Je suis conscient que ce mur a un propriétaire mais, en même temps, le street art fait partie de l'esprit de la ville. Il faut lutter contre la grisaille de la ville.» Stéphane (nom fictif), 26 ans, a commencé à pratiquer le street art il y a un an. «L'idée du street art est super-intéressante: c'est de démocratiser l'art, de le rendre disponible à un grand public, de ne pas être soumis aux musées et aux contraintes pour être exposé. J'aime pouvoir offrir mes trucs à tout le monde.» Pris la main dans le sac Seulement voilà: la générosité de l'artiste qui crée pour tous semble laisser insensible le propriétaire du commerce de la rue Sainte-Catherine Est, sur le mur duquel Stéphane avait entamé un dessin au pochoir. «J'ai eu la chance de terminer avant que la police arrive. J'avais pris beaucoup de risques, c'était un dimanche à 3 h de l'après-midi», admet-il. Était-il conscient des risques associés à sa pratique? «Oui, mais je trouve que 5000$ et un casier judiciaire, c'est cher payé. Je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi intense, dit celui qui travaille avec de jeunes enfants. Un casier judiciaire me mettrait vraiment dans le pétrin.» Peu d'endroits légaux Contrairement à bien des artistes qui associent le graffiti à l'illégalité, Stéphane n'a rien contre les murs où il est légal de dessiner, mais ils sont encore beaucoup trop rares à Montréal, selon lui. «Ils se comptent sur les doigts de la main. Il y a quelques places pour en faire, mais dès que tu fais un truc, quelqu'un passe par-dessus, et on ne peut pas leur en vouloir parce qu'il n'y a pas de place», dit-il. La Ville pourrait faire plus pour les arts de la rue, croit-il, plutôt que de réprimer les artistes. «C'est naïf de penser que le graffiti va s'arrêter. Depuis sa création, le graffiti n'a pas disparu, et il ne s'arrêtera pas.» http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/201103/30/01-4384534-un-graffiti-qui-pourrait-couter-cher.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS4
  13. Le propriétaire d'Alcan renonce à l'entente conclue avec le géant minier chinois en février dernier. Il annonce la création d'une coentreprise spécialisée dans le minerai de fer avec BHP Billiton. Pour en lire plus...
  14. Quartiers huppés de Montréal - Des promoteurs contourneraient le moratoire sur les condominiums Le Devoir Bahador Zabihiyan Édition du mardi 19 mai 2009 Mots clés : Moratoire, Condominums, Comité Logement Centre-Sud, Montréal Certains promoteurs optent pour des copropriétés par actions, ce qui permet de chasser plus facilement les locataires Une trentaine de locataires du complexe du Club Sommet, un immeuble d'environ 300 logements, situé dans le Golden Square Mile, contestent leur éviction. Des failles existeraient dans le moratoire sur les condominiums permettant aux propriétaires de se débarrasser des locataires et de mettre leurs logements rénovés sur le marché à des prix beaucoup plus élevés, notamment dans les secteurs huppés du centre-ville, d'après Éric Michaud, du Comité Logement Centre-Sud. Les règles pour construire des condominiums étant trop sévères, certains promoteurs optent pour des copropriétés par actions. Or, les locataires sont moins bien protégés lorsque leur immeuble devient une copropriété de ce type. «Quand on convertit un immeuble en condos, on ne peut plus faire d'agrandissements, on ne peut plus faire de travaux majeurs, il y a des garde-fous. Or, comme ce type de conversion-là [copropriété par actions] n'est pas encadré, les propriétaires peuvent faire tout ce qu'ils veulent», affirme M. Michaud. Ce dernier décrit le procédé comme une conversion en condominium «déguisée». «C'est un danger pour la protection du parc locatif», rajoute-t-il. Selon lui, environ 500 logements, principalement situés au centre-ville, seraient aujourd'hui concernés par des conversions en copropriété par actions. Une trentaine de locataires du complexe du Club Sommet, un immeuble d'environ 300 logements, situé dans le Golden Square Mile au 3475, rue de la Montagne, ont même engagé un avocat afin de porter l'affaire devant la Régie du logement, après avoir contacté sans succès la Ville de Montréal et le ministère des Affaires municipales et du Logement. Les locataires étaient au tribunal de la Régie du logement la semaine dernière. Ils demandaient notamment au propriétaire de mieux les dédommager pour leur éviction. Ils souhaitent aussi que ce dernier leur verse des dommages et intérêts pour les nuisances engendrées par les travaux importants entrepris dans l'immeuble depuis deux ans. En effet, le propriétaire, Casperdiny IFB Realty Inc., a décidé d'y effectuer des travaux majeurs notamment en combinant des petits appartements afin d'en faire des plus grands logements, qui sont par la suite vendus entre 137 000 $ et 575 000 $ environ, ou loués pour des loyers situés entre 1100 $ et 2000 $ par mois, d'après le site Web de la compagnie et les publicités publiées dans plusieurs quotidiens montréalais. Or, le propriétaire n'aurait pas pu entreprendre des travaux, ni se débarrasser des locataires aussi facilement si le projet était un condominium et non une copropriété par actions. Joanne Dolan habite au Club Sommet depuis une vingtaine d'années et refuse de quitter son logement. Elle estime qu'il devrait y avoir un moratoire sur les copropriétés par actions. «Si on avait une conversion en condominium, les locataires et leurs baux seraient protégés par la Régie du logement contre les évictions et les travaux dans l'immeuble, jusqu'à ce qu'ils décident de partir. On devrait avoir le même type de moratoire pour les copropriétés», constate Mme Dolan, avant de retourner dans la salle devant le juge pour défendre sa cause et répondre aux questions de l'avocat du propriétaire. Un procédé bien connu La copropriété par actions est un procédé bien connu de l'Association des courtiers et agents immobiliers du Québec (ACAIQ) qui le présente, sur leur site Internet, comme un bon moyen de contourner le moratoire sur la construction des condominiums mis en place en 2001. «Ce mode d'acquisition immobilière, surtout présent dans les grandes villes, a notamment été développé pour contourner les difficultés liées aux restrictions à la conversion d'immeubles locatifs en propriété divise [condominium]. La détention d'action avec droit d'usage d'un appartement peut, en pratique, présenter des similarités avec la copropriété divise d'un immeuble», peut-on lire sur le site de l'ACAIQ. Les investisseurs n'achètent pas un appartement, mais des actions dans la société qui possèdent l'immeuble. Ces actions leur donnent ensuite droit à un logement. Lors de la conversion d'un immeuble en condominium, les locataires déjà présents peuvent continuer à occuper leur logement et renouveler leurs baux autant de fois qu'ils le veulent. De plus, le propriétaire ne peut y effectuer des travaux majeurs jusqu'à ce que les locataires quittent les lieux. Thomas Robert Reiner, dont la compagnie Asta Corporation Inc. gère le projet au nom de Casperdiny, ne cache pas qu'il aurait «sauté sur l'occasion» si la Ville l'avait laissé construire des condominiums au Club Sommet. Il estime que l'immeuble, «composé aux trois quarts de petites unités de types, logements étudiants», n'est pas financièrement viable. «Dans ce riche quartier du Golden Square Mile, il faut faire des unités de 800, 900, 1000, 1100 pieds carrés pas 400», remarque-t-il. De plus, il affirme qu'il n'a «aucun retour sur investissement» à l'heure actuelle, car les loyers du Club Sommet sont trop faibles. Enfin, d'après M. Reiner, il est plus facile de financer un projet de condominium qu'un projet de copropriété par actions. C'est donc par défaut qu'il a opté pour un projet de copropriété par actions. Mais il estime avoir tout fait pour aider les locataires à trouver un nouveau logement, notamment en leur payant des mois de loyer gratuit et des frais de déménagement. «D'ailleurs, la grande majorité ont accepté de partir», constate-t-il. La Régie devrait rendre sa décision vers la fin de l'année. Mais d'autres projets de conversion en copropriété par actions sont en cours. Ted Pearson était présent à l'audience à la Régie du logement, jeudi dernier. Lui n'habite pas au Club Sommet, mais dans les appartements d'Embassy Row, avenue du Docteur-Penfield. Mais M. Pearson estime qu'il risque fort de se faire chasser de son logement. «Il y a une conversion en copropriété [par actions] là-bas aussi», dit-il, avant que l'audience ne reprenne. http://www.ledevoir.com/2009/05/19/251067.html (19/5/2009 18H14)
  15. Vente massive chez le roi des appartements lesaffaires.com # Hugo Joncas # 10:01 El-Ad, principal propriétaire résidentiel au Québec en 2008, ne conserve que le Village olympique. Jusqu'en décembre dernier, Yitzhak Tshuva était le plus grand propriétaire d'appartements au Québec, avec plus de 6 000 unités. Aujourd'hui, le magnat israélien achève de se débarrasser de son portefeuille de logements au Canada. Au Québec, il ne conserve que ses résidences pour personnes âgées et le Village olympique, où il planifi e la construction de Cité Nature. Les dernières transactions sont sur le point d'être achevées, selon des courtiers bien au fait des négociations. Par l'intermédiaire de sa société fermée, El-Ad, et de Delek, cotée à la Bourse de Tel-Aviv, M. Tshuva a vendu plus de 8 000 appartements au Canada depuis décembre. Ido Rosen, directeur fi nancier d'El-Ad Canada, n'a pas voulu dévoiler la valeur totale du portefeuille sur le point d'être vendu. El-Ad s'est déjà départie de 4 630 unités au Canada, dont plus de 1 500 au Québec, pour 360 millions de dollars américains (448 M$ CA). D'autres projets résidentiels en vue El-Ad ne se retire pas pour autant du Canada. L'entreprise compte utiliser le fruit de la vente pour fi nancer des projets au pays. À Montréal, elle construira Cité Nature, un complexe résidentiel de 1 400 unités. À Toronto, El-Ad veut ériger Emerald City, qui compte 2 200 unités. " Nous aurons besoin d'argent pour ces deux grands projets ", dit M. Rosen. Delek, aussi contrôlée par M. Tshuva, vient en outre de vendre le Châtel, un immeuble de 27 étages et 300 appartements situé au 1625, boulevard De Maisonneuve Ouest. Alberto Crecco a déboursé 36,7 M$ pour cet immeuble qui comprend 20 000 pieds carrés de bureaux et 10 000 pieds carrés de locaux commerciaux. M. Crecco détient maintenant plus de 2 000 logements à Montréal et Toronto. Il exploite en outre 500 000 pieds carrés de bureaux dans ces villes, ainsi que le Carrefour de la Pointe, un centre commercial de l'Est de Montréal. M. Crecco entend réaliser d'autres acquisitions d'ici la fi n de 2009. " On veut acheter tant du résidentiel que du commercial et des immeubles de bureaux. " http://www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2009-04-23/492226/vente-massive-chez-le-roi-des-appartements.fr.html (23/4/2009 11H22)
  16. Le président du Canadien de Montréal, Pierre Boivin, confirme à La Presse que la famille Gillett, propriétaire de l'équipe et du Centre Bell, réévalue sa stratégie financière. Pour en lire plus...
  17. La Financière Power, le conglomérat montréalais propriétaire de l'assureur Great-West et du Groupe Investors, affiche une perte nette de 773 millions de dollars au quatrième trimestre 2008. Pour en lire plus...
  18. Le conglomérat industriel United Technologies, propriétaire entre autres de Pratt Whitney, supprimera quelque 11600 emplois en raison de la chute de ses ventes. Pour en lire plus...
  19. Publié le 22 février 2009 à 07h39 | Mis à jour à 07h43 L'inquiétude ronge les commerçants Un magasin de vêtements fermé, rue Mont-Royal à Montréal. Photo: Robert Skinner, La Presse Mathieu Perreault La Presse Dany Roseman est inquiet. Le président de l'Association des commerçants de la rue Monkland a vu quelques magasins fermer leurs portes dans les derniers mois et sait que d'autres propriétaires songent à les imiter. Pour lui, c'est une évidence: la crise fait déjà mal au commerce de détail à Montréal. «Il faut agir, affirme M. Roseman. Les gens dépensent moins. Il faut les encourager. Les tarifs des parcomètres, par exemple, sont beaucoup trop élevés.» La demi-douzaine de pâtés de maison que compte la portion commerçante de la rue Monkland ne ressemble toutefois pas à la rue Sainte-Catherine au pire de la crise des années 90. Un restaurant français a fermé ses portes récemment - ses vitres sont encore propres devant le papier beige qui les bouche, et les lumières de la plate-bande sont encore allumées. Un local de sous-sol, occupé jusqu'à récemment par un boucher qui a déménagé en face dans un local plus grand, est inoccupé depuis l'automne. Le propriétaire de l'immeuble, Larry, confirme qu'il a plus de difficulté que prévu à le louer. Mais les dizaines d'autres commerces sont encore pimpants. «Il est encore trop tôt pour sauter aux conclusions», estime de son côté le président de la Société de développement de l'avenue du Mont-Royal, Michel Despatie. «Janvier et février sont toujours des mois plus tranquilles, où il y a des changements de locataires commerciaux. Et c'est difficile de faire des comparaisons avec l'année dernière, qui avait été difficile à cause des tempêtes. Ce que je vois pour le moment, c'est que les commerces qui ont une stratégie moins à jour sont plus vulnérables. Un Van Houtte a par exemple fermé: c'est un peu compréhensible face à des concurrents comme Starbucks ou Café Dépôt.» Une inspection de l'avenue du Mont-Royal, du boulevard de Lorimier jusqu'à la rue Saint-Denis, puis de cette rue vers le sud jusqu'à la rue Roy, a permis de relever une quinzaine de magasins fermés. Dans deux cas, il s'agit de magasins de vêtements bas de gamme dont l'enseigne date d'avant la loi 101. Un restaurant à l'est de Papineau est fermé temporairement, le propriétaire ayant dû vendre son commerce pour cause de maladie. L'Entrepôt du cuir, coin Papineau, annonce son remplacement imminent par une boutique Geox. Le propriétaire d'un local récemment déserté par une boutique de vêtements en liquidation, avenue du Mont-Royal, affirme avoir déjà un autre locataire. Le propriétaire de la boutique Verriers Saint-Denis, qui n'est désormais ouverte que sur rendez-vous, affirme que sa décision n'est pas basée sur des ventes en baisse. Seul le propriétaire d'un petit local en sous-sol, rue Saint-Denis, rapporte que les locations commerciales sont plus difficiles qu'au cours des dernières années. Le local est fermé depuis septembre, car le commerçant qui s'y était installé a fait une crise cardiaque. Rien d'inhabituel à signaler La Presse a consulté une demi-douzaine d'autres sociétés de développement de l'île, qui ont confirmé que leurs membres sont inquiets mais qui n'ont pas signalé un nombre inhabituel de fermetures. «Chez nous, il y a toujours une douzaine de magasins qui ferment après les Fêtes parce que c'était des centres de liquidation qui profitaient du magasinage d'avant Noël», dit Mike Parente, de la Société de développement de la plaza Saint-Hubert. M. Despatie mentionne que les baux commerciaux ont énormément grimpé ces dernières années; comme ils ne sont renouvelés qu'aux cinq ou 10 ans, certaines stratégies d'affaires deviennent du jour au lendemain déficitaires. À la chambre de commerce du Montréal métropolitain, le président Michel Leblanc rapporte des «anecdotes» de commerces qui vivent des temps plus durs: l'alimentation et les restaurants haut de gamme, les biens durables comme l'électronique ou les meubles. Mais lui aussi estime qu'il est trop tôt pour sauter aux conclusions. Néanmoins, il s'attend à ce que la croissance des ventes au détail pour le dernier trimestre, qui devait être de 0,4% selon le Conference Board, soit nulle ou carrément négative. M. Leblanc remet toutefois les choses en perspective: au troisième trimestre de 2007, les ventes au détail ont chuté de 2,7%, mais elles ont par la suite rebondi. La chambre de commerce de Laval confirme que les magasins de biens durables sont plus touchés que les autres et signale des fermetures de magasins de meubles. Les centres commerciaux affirment être bien portants. Ni Cadillac Fairview ni Ivanhoé ne rapportent d'augmentation des demandes de réduction de bail. Une brève visite aux Galeries d'Anjou permet de voir que seulement cinq locaux sur 175 sont inoccupés. Jean-François Breton, coprésident du groupe Devimco, note que la croissance des revenus des magasins du Dix30 a été plus lente en janvier par rapport à janvier 2008, mais que Devimco a toujours une liste d'attente de commerces désireux de s'y implanter. «Notre prochaine phase est déjà louée à 55%.»
  20. trouvé sur Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200901/13/01-817367-un-nouvel-hippodrome-a-montreal.php Publié le 14 janvier 2009 Un nouvel hippodrome à Montréal? La Ville de Montréal souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome, situé près des autoroutes Décarie et Métropolitaine. Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, mieux connu sous le nom de Blue Bonnets. André Noël La Presse Un nouveau projet se dessine à Montréal: vendre les vastes terrains de l'hippodrome et, avec les profits de la vente, aménager une piste de chevaux de course sur les terrains contaminés et peu constructibles que la Ville possède sur les rives du fleuve, entre les ponts Victoria et Champlain. Le projet est porté par Marcel Lacaille, principal propriétaire de chevaux de course au Québec, et soutenu par Serge Savard, ancien joueur étoile du Canadien et vice-président d'une société immobilière. Une partie importante du milieu des courses y est favorable. M. Lacaille, membre actif de la Société des propriétaires et éleveurs de chevaux Standardbred, a fait valoir son projet à Claude Dauphin, président du comité exécutif de la Ville, lors d'une rencontre, cet automne. Il en a parlé aussi au sous-ministre des Finances, Jean Houde. «M. Lacaille a dit que les courses pourraient se tenir pendant la saison estivale, a indiqué Bernard Larin, porte-parole du comité exécutif, au cours d'un entretien, hier. Il s'agit des terrains de l'ancien Adacport. M. Dauphin a posé des questions. La Ville n'est pas fermée à l'idée. On aimerait voir le projet dans son ensemble.» La Ville de Montréal souhaite développer les terrains de l'actuel hippodrome, situé près des autoroutes Décarie et Métropolitaine, a souligné M. Larin. L'accès en sera amélioré par le prolongement du boulevard Cavendish. Il n'y a presque plus d'activités hippiques dans l'ancien hippodrome, mieux connu sous le nom de Blue Bonnets. En 2006, le gouvernement a privatisé les courses de chevaux au profit de la compagnie Attractions Hippiques, du sénateur Paul Massicotte. Le printemps dernier, cette société s'est placée sous la protection de la loi sur les arrangements avec les créanciers. Aucune course ne s'est déroulée à l'hippodrome de Montréal cet été et quelques-unes seulement ont eu lieu pendant l'automne. Aucune autre n'est prévue avant mai prochain. Marcel Lacaille, propriétaire de la ferme Canaco à Saint-Bernard-de-Lacolle, ne croit pas qu'Attractions Hippiques puisse sauver l'industrie des chevaux de course. Selon une évaluation, le terrain de Blue Bonnets, qui appartient au gouvernement du Québec, pourrait être vendu pour 80 millions, dit-il. Une partie de ce profit pourrait servir à l'aménagement d'un nouvel hippodrome sur les terrains de l'ancien Adacport. «Il suffirait de 50 millions pour aménager une piste de 7/8e de mille, des gradins pouvant recevoir de 8000 à 10 000 spectateurs et un club-house, assure-t-il. Une partie de l'espace pourrait être loué à Loto-Québec. Il n'y aurait pas d'écuries sur place. Mais ça assurerait du travail à bien des gens. L'hippodrome serait dirigé par un Jockey Club.» M. Savard, lui-même propriétaire de quelques chevaux, a confirmé qu'il voulait donner un coup de pouce pour relancer les courses hippiques à Montréal. «Dans les années 70, j'avais plusieurs chevaux, dit-il. Les courses, c'était le fun. Le samedi matin, on allait faire jogger les chevaux avec les enfants. Il faut que le fun revienne à Montréal. Et en cette période économique difficile, ça peut assurer de l'emploi. Mais il faut d'abord régler le litige avec Attractions Hippiques.» «Le gouvernement est toujours lié par contrat à Attractions Hippiques, a souligné Jacques Delorme, porte-parole du ministère des Finances, qui a refusé de commenter la rencontre entre M. Lacaille et le sous-ministre Jean Houde. La destinée des courses se trouve entre les mains du syndic, a ajouté M. Delorme. C'est lui qui va formuler des recommandations. Le ministère les attend. Quand il les aura, il pourra les étudier. D'ici là, aucune décision ne sera prise.» Je crois que ce serait une excellente idée. Le Blue Bonnets est prèsque inutilisé depuis plusieurs années. Au lieu de laisser ces terrains IMMENSES et qui pourraient être développer autrement, pourquoi ne pas prendre cette opportunité pour redevelopper une partie du "technoparc" le long de l'autoroute Bonaventure (des terrains fortement contaminés qui ne se développeront vraisemblablement pas)? You'd kill 2 birds with one stone. Et comme mentionne M Savard, pourquoi ne pas ramener un peu de "fun" à Montréal.
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