Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'avait'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

Aucun résultat à afficher.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. Ralentissement économique Recul de 1,4% du PIB du Québec au cours du dernier trimestre de 2008 27 mars 2009 - 13h02 La Presse Canadienne QUEBEC -- Le produit intérieur brut (PIB) du Québec a diminué de 1,4 pour cent au quatrième trimestre de 2008, sur une base annualisée et ajustée pour éliminer l'effet des saisons. Pour l'année 2008 dans son ensemble, comparativement à 2007, le PIB du Québec a crû de 1,0 pour cent. En 2007, la croissance avait été de 2,6 pour cent. En comparaison, pour l'ensemble du Canada, au quatrième trimestre, l'économie a enregistré une baisse annualisée de 3,4 pour cent. Toujours pour l'ensemble du pays, en 2008, une croissance 0,5 pour cent a été enregistrée par rapport à l'année précédente. En 2007, la croissance avait été de 2,7 pour cent au Canada. Tant au Québec qu'au Canada, la diminution du taux de croissance annuel du PIB provient de la baisse des exportations et aussi du ralentissement de la demande intérieure finale, a indiqué vendredi l'Institut de la statistique du Québec. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2009/03/20090327-130203.html
  2. Tata lance la voiture la moins chère du monde AFP Édition du mardi 24 mars 2009 Alors que l'industrie automobile en Europe et aux États-Unis fait les frais de la crise, Tata lance la voiture la moins chère du monde, la Nano, dont les premiers modèles seront livrés en juillet en Inde. Les consommateurs visés? Les millions d'Indiens qui ne peuvent s'offrir une voiture classique. Des problèmes ont toutefois retardé la production de la Nano, qui soulève aussi l'ire de certains écologistes. Mumbai -- Le groupe indien Tata a lancé hier la voiture la moins chère du monde, la Nano, un véhicule «révolutionnaire» à 2000 $US pour les classes moyennes émergentes de l'Inde, mais aussi pour l'Occident en pleine crise économique. «Nous sommes ravis de présenter la Nano à l'Inde et au monde», a déclaré Ratan Tata, président du conglomérat éponyme, lors d'une cérémonie en grande pompe à Mumbai pour cette mini-automobile à ultra bas coût «offerte au peuple indien et plus tard à d'autres marchés ailleurs dans le monde». Promise aux Indiens au tarif record de 100 000 roupies (2000 $US) dans sa version la plus rudimentaire, la Nano pourrait être vendue en Europe en 2010-11 --mais à 5000 euros -- avec des équipements répondant aux normes de sécurité et de pollution, avait annoncé M. Tata au salon automobile de Genève en mars. Alors que l'industrie automobile en Europe et aux États-Unis fait les frais de la récession, «la situation économique actuelle rend [la Nano] plus attrayante», a-t-il relevé. En Inde, les commandes débuteront le 9 avril pour des livraisons en juillet, a précisé le patron de la filiale Tata Motors, Ravi Kant. Tata vise les dizaines de millions de foyers indiens positionnés entre les classes urbaines bourgeoises et les milieux défavorisés et qui ne peuvent pas s'offrir une voiture classique. «J'ai observé ces familles sur des deux-roues: le père au guidon d'un scooter, son fils assis devant lui, sa femme juchée derrière et tenant leur bébé», racontait M. Tata l'an passé. «La Nano leur fournira un moyen de transport à quatre roues, sûr et abordable», a-t-il plaidé hier. Déjà dévoilée au monde entier en janvier 2008, cette «voiture du peuple» est animée par un minuscule moteur de 624 cm3 -- celui d'une bonne moto -- qui la fera plafonner à 105 km/h, sans freins ABS, ni direction assistée, ni climatisation. Mais à peine 50 000 exemplaires devraient être produits cette année, contre une prévision initiale de 250 000 unités par an, en raison d'obstacles rencontrés par Tata Motors qui ont retardé de plusieurs mois la mise en production. En octobre, le premier groupe automobile indien avait dû abandonner l'usine de la Nano quasiment achevée dans l'État du Bengale occidental et en construire une autre au Gujarat. Après y avoir investi 350 millions $US, Tata avait été poussé hors du Bengale par des paysans ulcérés par la réquisition de leurs terres pour en faire une zone industrielle. Et comme l'usine du Gujarat ne sera pas terminée avant la fin de l'année, Tata a rapidement assemblé ses premiers modèles dans un autre site. «C'est un lancement à la va-vite», a critiqué Mahantesh Sabarad, du courtier Centrum Broking, qui se dit par ailleurs «inquiet de la demande des consommateurs» au vu de «la contraction des salaires et [des] craintes pour l'emploi» en Inde. De fait, la dixième puissance économique de la planète est violemment frappée par la crise mondiale, notamment avec une baisse de la consommation, le moteur de la croissance. Déjà, les ventes de voitures ont chuté de 20 % fin 2008, après des années de progression à deux chiffres. Avec la Nano, «j'en aurai pour mon argent», s'est toutefois félicité Hasmukh Kakadia, un cadre financier qui veut se débarrasser de sa Ford Fiesta achetée à 13 000 $US. «Dans une économie en berne, je réfléchirais à deux fois avant de mettre de l'argent dans une nouvelle voiture. Mais pas pour celle-là», a-t-il dit. Reste que la Nano alarme les écologistes: «Un mode de transport pas viable pour l'Inde» avait dit en 2008 l'Indien Rajendra Pachauri -- président du Groupe international d'experts sur le changement climatique (GIEC) et prix Nobel de la paix 2007 -- dont le pays est déjà le troisième pollueur de la planète.
  3. La Caisse appauvrie de 38 milliards Publié le 05 février 2009 à 23h30 | Mis à jour le 05 février 2009 à 23h50 La Caisse de dépôt et placement du Québec va rendre publics des résultats catastrophiques pour l'année 2008, de loin les pires de ses 45 ans d'histoire. Le bas de laine des Québécois a fondu du quart - de 26% environ - selon les chiffres qui circulent à l'interne, dont La Presse a pu prendre connaissance. Une bien piètre performance, comparée à celle de l'ensemble des grandes caisses de retraite au Canada. L'ensemble des fonds de retraite au pays accusera un recul de 16%, prévoient les spécialistes de ce secteur. Les chiffres qui circulent à la CDP ne sont pas finaux, ils n'ont pas encore la bénédiction du comité de vérification interne de la Caisse et du Vérificateur général. Ce dernier a jusqu'au 24 février pour se prononcer sur l'évaluation faite de la valeur des papiers commerciaux, notamment. La Caisse prévoit rendre publics ses chiffres deux jours plus tard, tout de suite après la prochaine réunion du conseil d'administration. Les dirigeants de la Caisse n'ont pas été saisis de ces résultats lors de leur dernière rencontre, vendredi dernier, mais le comité de vérification a commencé son travail. La Caisse avait amorcé l'année 2008 avec 155,4 milliards dans les coffres; à la fin décembre, on en était à 120 milliards, une perte de 38 milliards environ si on tient compte des 3 milliards de cotisations versés par les déposants, c'est-à-dire les grandes caisses d'assurance publiques comme la Régie des rentes, le REGOP (le fond de retraite des fonctionnaires), la CSST, la Société d'assurance automobile, la Commission de la construction et même le Fonds des générations. Avec des pertes d'environ 38 milliards, le verdict tombera, impitoyable. Le rendement de -26% fera porter le bonnet d'âne aux administrateurs du bas de laine des Québécois. Avec ce résultat, sur 10 ans, la moyenne de croissance sera d'un peu plus de 4%, bien loin de la cible à long terme de 7%, le niveau nécessaire pour faire face aux obligations des régimes d'assurance et de retraite, estimé par la CDP l'automne dernier. À la CDP, on a refusé de commenter les chiffres de La Presse. «Nous annoncerons les résultats pour l'année 2008 vers la fin février. D'ici là nous ne commenterons d'aucune façon les rumeurs et les spéculations», a dit Mark Boutet, le vice-président Affaires publiques. D'autres sources à la CDP ont vu dans ces chiffres les bilans que s'échangeaient au cours des derniers jours les cadres de la Caisse. Selon les chiffres qui circulent à la CDP, il faudra inscrire une provision pour pertes d'un peu moins de 4 milliards sur les papiers commerciaux adossés sur des actifs. La Caisse détient 12,6 milliards de ces créances boiteuses, qui sont difficilement négociables parce qu'aucun marché n'existe encore pour échanger ces titres. Avec la dépréciation de 2007, 1,9 milliard , la provision pour perte globale de ce portefeuille risqué dépassera clairement les 40%, bien au-delà de ce qui a été fait jusqu'ici par les autres détenteurs privés. Ces produits complexes - la ministre Monique Jérôme-Forget a déjà dit que les gestionnaires de la Caisse ne savaient pas ce qu'ils faisaient en les achetant - devaient donner un quart de 1% de plus de rendement. Sur le fonds d'actions et d'obligations, le tiers de son portefeuille environ, la Caisse accusera en 2008 une perte de 26 milliards environ. La Caisse a fait aussi des mauvais paris en jonglant avec les devises étrangères - une perte de 5 milliards pour avoir trop souvent mal jugé de la direction du vent. Bien sûr, la crise boursière était mondiale, mais le bilan de la Caisse se compare difficilement à celui des autres grandes caisses de retraite, répertoriées par RBC Dexia, l'étalon qui sert normalement à la caisse pour évaluer sa performance par rapport aux autres fonds de retraite de plus de 1 milliard. Pour RBC, le rendement des très grands fonds de retraite au pays sera un recul de 18,5% pour 2008. Pour l'ensemble des fonds «équilibrés» la médiane est de -16,2%. C'est d'ailleurs ce qu'a atteint le Fonds d'action de la CSN. Le Fonds de solidarité a fait un peu mieux avec -15,3%. Pour Morneau Sobeco, un autre évaluateur de rendement de ces fonds, les administrateurs les moins performants du pays - les 5% en queue de peloton - ont ramené un rendement de -24% en 2008. Au Parti québécois, on se prépare déjà à dénoncer le gouvernement Charest pour cette contre-performance. «Il faut expliquer un écart qui risque d'être de près de 10% entre les résultats de la Caisse et celui des autres fonds. Il y a une urgence à revoir les politiques de placement de la Caisse», observe le critique financier du PQ, François Legault, qui ajoute : «Il y a à la caisse un problème grave dans la gestion du risque; M. Rousseau avait le mandat du gouvernement d'optimiser les rendements; il n'y avait pas de limite au risque.»
  4. Publié le 11 mars 2009 à 13h41 | Mis à jour à 13h45 Hockeyville Canada: Thetford Mines s'interroge sur la transparence du concours Bernard Barbeau La Presse Canadienne Thetford Mines a obtenu 739 000 votes, selon le décompte officiel. Pourtant, le maire Luc Berthold, a dit en entrevue savoir que quelque 3 millions de votes ont été logés en faveur de sa municipalité. La Ville de Thetford Mines tourne la page et concède la victoire à Terrace, en Colombie-Britannique, qui a été couronnée «Hockeyville 2009» en fin de semaine dernière. Mais elle se pose plusieurs questions et déplore le silence des organisateurs du concours. Thetford Mines, une ville de 26 000 habitants, a obtenu 739 000 votes, selon le décompte officiel. Pourtant, le maire de Thetford Mines, Luc Berthold, a dit en entrevue savoir que quelque 3 millions de votes ont été logés en faveur de sa municipalité. Son équipe est arrivée à cette évaluation à partir de chiffres de Bell Canada. M. Berthold a reconnu que les organisateurs se réservaient le droit d'annuler certains votes, mais il ne voit pas comment autant peuvent l'avoir été. Il se défend bien d'être mauvais perdant. «N'est-ce pas légitime pour une ville qui est capable de démontrer qu'elle a eu près de 3 millions de votes de demander pourquoi les deux tiers ont été rejetés?», a-t-il demandé. Les votes multiples étaient non seulement permis, ils étaient encouragés. Le maire de Terrace, David Pernarowski, a quant à lui reconnu, plus tôt cette semaine, ne pas savoir comment sa collectivité, qui compte 20 000 âmes, a pu s'y prendre pour accumuler 1,9 million de votes. Il a cependant assuré que la campagne avait suscité énormément d'enthousiasme. Le maire Berthold a dit ne pas avoir été en mesure, depuis le début de la semaine, de parler avec qui que ce soit parmi les organisateurs pour obtenir des explications. Spécifiant qu'il n'espère pas faire changer le résultat officiel, Luc Berthold a demandé à la Société Radio-Canada (SRC), à la Ligue nationale de hockey (LNH) et à Kraft Canada de mettre en place, à l'avenir, un système de votation transparent, vérifié par une firme comptable indépendante. Il ne va toutefois pas jusqu'à parler de magouille. «Je ne peux accuser personne, parce qu'on n'a pu parler à personne, a-t-il dit. On ne sait pas ce qui s'est passé.» Le maire Berthold s'est cependant rappelé un curieux épisode. «La Ligue nationale de hockey, sur son site Internet, au mois d'octobre 2008, (...) faisait un sondage à savoir dans laquelle des cinq provinces de l'Ouest Kraft Hockeyville 2009 aurait lieu, a-t-il raconté. Et il n'y avait aucune mention des provinces de l'Est dans le sondage. On a posé des questions là-dessus dimanche, et lundi matin le communiqué avait été changé sur le site. C'est la seule manipulation d'information qu'on a vue de nos yeux.» Thetford Mines a terminé au cinquième et dernier rang parmi les finalistes, derrière Terrace, mais aussi Woolwich, en Ontario, Humboldt, en Saskatchewan, et Harbour Grace, à Terre-Neuve-et-Labrador. Les résultats du scrutin effectué la semaine dernière par le biais du Web et du téléphone ont été annoncés samedi soir sur les ondes du réseau CBC, dans le cadre de l'émission Hockey Night In Canada. En tant que municipalité gagnante, Terrace accueillera en septembre un match préparatoire opposant les Canucks de Vancouver et les Islanders de New York. Située à 575 km à l'ouest de Prince George, Terrace recevra aussi de Kraft Canada 100 000 $ à être investis dans ses infrastructures sportives. En tant que finalistes, Thetford Mines, Woolwich, Humboldt et Harbour Grace recevront 25 000 $ chacune pour rénover leurs arénas. Une ville québécoise, Roberval, au Saguenay-Lac-Saint-Jean, avait enlevé les honneurs du concours l'an dernier. Certains pensent que c'est là la véritable raison de la défaite de Thetford Mines.
  5. La SHDM est autorisée à vendre six immeubles Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du vendredi 06 mars 2009 Mots clés : Moratoire, Ventes, Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), Montréal Malgré le moratoire imposé à l'égard de toutes les transactions effectuées par la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), le comité exécutif de la Ville de Montréal a autorisé mercredi la vente de six immeubles. La SHDM soutient que c'est par mesure de précaution que l'approbation du comité exécutif a été demandée. La transaction concerne des immeubles obtenus dans le cadre du Programme d'acquisition de logements locatifs (PALL) et vendus aux groupes qui en assurent déjà la gestion, soit des organismes à but non lucratif et des coopératives d'habitation, a précisé hier Pierre Hurtubise, porte-parole de la SHDM. Le comité exécutif avait déjà donné son accord quant à la mise en vente des immeubles, mais on ignorait alors les détails des transactions à venir. Dans les documents présentés aux élus mercredi, on précise qu'il importe de «dissiper toute ambiguïté quant à la validité des décisions antérieures en raison du moratoire décrété le 12 novembre 2008». Rappelons que la Ville avait imposé un moratoire au coeur de la tourmente qui avait éclaboussé la SHDM l'automne dernier. Le rapport du vérificateur général, chargé d'examiner les transactions effectuées par l'organisme depuis le 1er janvier 2007, doit être remis à la Ville le 27 avril. Contrainte de revoir certaines de ses pratiques, la SHDM a aussi proposé mercredi aux élus une nouvelle procédure d'approbation pour les transactions qu'elle devra effectuer lorsque le moratoire sera levé. Cette procédure prévoit deux étapes. Dans un premier temps, l'autorisation préalable du comité exécutif sera requise pour vendre un actif spécifique. Une fois l'acquéreur identifié et les conditions de vente déterminées, une seconde autorisation devra être obtenue des élus. La SHDM a également déposé un rapport d'étape au comité exécutif. On y précise notamment que les procédures visant à transformer la SHDM en société paramunicipale ont été entreprises. Le comité exécutif a par ailleurs autorisé des crédits additionnels de 230 000 $ afin de permettre au vérificateur général de compléter son mandat concernant le dossier de la SHDM. Des frais d'honoraires professionnels supplémentaires sont requis car le mandat du vérificateur a été prolongé, a-t-on expliqué hier. Prévu pour le 15 mars, le dépôt du rapport a été reporté d'un mois. http://www.ledevoir.com/2009/03/06/237568.html (6/3/2009 5H41)
  6. Circuit City ferme un magasin sur cinq 3 novembre 2008 - 10h22 Agence France-Presse et LaPresseAffaires.com Les opérations de liquidation des magasins concernés débuteront dès cette semaine. Le distributeur américain de produits d'électronique grand public Circuit City (CC) a annoncé lundi que, face à l'effondrement de ses ventes, il allait fermer 155 de ses 721 magasins d'ici la fin de l'année. C'est plus d'un cinquième de son réseau et de 7800 postes abolis. Circuit City, principal rival au plan national du groupe Best Buy (BBY), dont le chiffre d'affaires est presque quatre fois plus important, a précisé que sa restructuration entraînerait également le licenciement d'environ 17% de ses salariés. Quelque 7800 postes devraient être ainsi supprimés. Les opérations de liquidation des magasins concernés débuteront dès cette semaine. «Depuis la fin de septembre, des événements sans précédent intervenus sur les marchés financiers et de la consommation ont entraîné une forte détérioration des tendances macroéconomiques. Le climat affaibli a entraîné un ralentissement des dépenses de consommation», a justifié le directeur général James Marcum, cité dans le texte. M. Marcum avait précédemment jugé «inacceptables» les performances de la société, marquées par une perte nette de 235,7 M$ US lors des trois mois achevés à la fin d'août et par une baisse des ventes de 13,3%. L'annonce intervient alors que le secteur de la distribution s'attend à une saison de Noël catastrophique. Habituellement, la profession réalise 22% de son chiffre d'affaires annuel pendant cette période. La semaine dernière l'agence de notation Standard and Poor's avait tablé sur une baisse de 2% à 2,5% des ventes d'électronique de Noël par rapport à l'an dernier, en expliquant que «la vente des produits chers, comme les TV à écran plat et les ordinateurs portables devrait baisser (...) Les ventes d'appareils plus petits comme les téléphones portables et les jeux vidéos devraient mieux se porter, mais seront quand même sous pression», ajoutait-elle. Le 24 octobre, l'opérateur de la Bourse de New York avait averti Circuit City qu'elle risquait la radiation d'ici six mois, la valeur de son titre étant resté inférieure à 1 $ pendant trente jours d'affilée. Le titre de Circuit City a perdu quelque 96% de sa valeur en un an. L'action gagnait toutefois 23% à 32 cents lundi matin à la Bourse de New York.
  7. Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers 17 février 2009 - 09h44 ARGENT Dette de 1,7G$ US - Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers La société de casinos Trump Entertainment Resorts Inc. (TRMP) s’est placée mardi sous la protection de ses créanciers en vertu du Chapitre 11 de la loi sur la faillite. La requête était largement anticipée, après que le président et fondateur de l’entreprise, le flamboyant Donald Trump, eut quitté son siège au conseil d’administration la semaine dernière. Sa fille, Ivanka Trump, avait aussi démissionné. La société avait raté une échéance de paiement d’intérêts au montant de 53,1M$ le 1er décembre dernier, alors que les clients se font plus rares dans les établissements. Les détenteurs d’obligations ont poussé la société à avoir recours au chapitre 11, ce que ne voulait pas M. Trump. La dette de la société de casinos se chiffrait à environ 1,74G$ US le 31 décembre dernier, en comparaison avec des actifs de 2,1G$ US, selon l'agence Reuters. Donald Trump a affirmé que la compagnie représentait moins d’un pour cent de sa valeur nette, et que cet investissement n’avait plus de valeur pour lui. Trump Entertainment Resort Holdings avait déjà eu recours au chapitre 11 en 2004, pour en sortir une année plus tard avec M. Trump au poste de chef de la direction.
  8. George St-Pierre (GSP) : Victoire sans équivoque Samedi 31 janvier 2009 RDS.ca Georges St-Pierre (Photo PC) Le Québécois Georges St-Pierre n’a laissé aucun doute quant à son statut de légende vivante des arts martiaux mixtes. L’athlète originaire de Saint-Isidore a facilement défendu sa ceinture des poids mi-moyens de l’UFC en battant par K.-O. technique le champion des poids légers B.J. Penn, lors du UFC 94 présenté samedi soir à Las Vegas. St-Pierre (18-2), qui avait battu Penn par décision partagée à UFC 58 en mars 2006, a été en contrôle de la première à la dernière seconde et les médecins n’ont eu d’autre choix que de stopper le carnage après un quatrième round où l’Américain en a eu plein les bras. « Je m’entrainais depuis le mois de septembre en vue de combat », a déclaré le Québécois, qui a été ardemment encouragé par les spectateurs réunis au MGM Grand Garden Arena. « Je suis très fier de ce que j’ai réalisé. » Après un premier round où les deux combattants sont demeurés debout, St-Pierre a véritablement commencé son travail de destruction en envoyant son adversaire au sol au deuxième assaut. Le Québécois a lancé de solides coups de poings au visage de Penn, le coupant sous l’œil gauche. St-Pierre a également envoyé quelques coups de genou dans les côtes de Penn, qui tentait tant bien que mal de retenir St-Pierre avec ses deux jambes. Dès le début de la troisième reprise, St-Pierre a délivré une solide gauche au visage de Penn, qui a immédiatement commencé à saigner du nez. Le reste du round s’est déroulé au sol, l’Américain continuant à encaisser la rafale de coups du Québécois. Le quatrième assaut aura été à l’image des deux précédents à la différence que Penn avait de plus en plus de mal à monter sa garde. Le supplice a finalement pris fin après que les médecins eurent décidé le combattant originaire d’Hawaï en avait eu assez. ------------- Ce gars la est une grande vedette, le Québécois le plus populaire internationnalement actuellement, nul n'est prophète en son pays qu`ils disent...
  9. Publié le 30 janvier 2009 à 06h50 | Mis à jour à 06h55 Hugo Fontaine La Presse (Montréal) C'est un exemple on ne peut plus clair des effets de la récession américaine chez nous. Le manufacturier d'électroménagers Mabe doit licencier 150 employés de son usine montréalaise parce que son principal client, le géant américain Home Depot, cesse ses commandes de sécheuses. Pour l'usine montréalaise, anciennement connue sous le nom de Camco, cela implique une baisse significative de la production. Principalement consacrée à l'exportation, elle est d'autant plus vulnérable au dépérissement de l'économie américaine. «L'usine fonctionne à haute efficacité, mais on est à la merci de la consommation aux États-Unis, a expliqué à La Presse Affaires John Caluori, représentant national du Syndicat canadien des communications, de l'énergie et du papier. Le client principal a cessé, pour le moment, d'acheter nos produits.» Mabe fabrique à Montréal des sécheuses pour le compte de General Electric. M. Caluori dit ne pas savoir quelle proportion de la production était destinée à Home Depot. «Mais quand de grandes surfaces ferment la switch, ça représente des volumes importants.» Home Depot est durement touchée par la déprime des consommateurs américains. Le détaillant de quincaillerie a d'ailleurs annoncé la suppression de 7000 emplois plus tôt cette semaine. Espoir John Caluori garde espoir que les emplois perdus à l'usine Mabe, qui compte environ 800 employés dans le seul département de la production, puissent être récupérés dans l'avenir. «Il n'y a pas d'autre raison que le contexte économique actuel pour expliquer ces mises à pied, dit-il. Si la consommation est relancée aux États-Unis, on revient sur la carte.» Il souligne que l'entreprise a déjà procédé à des renvois temporaires au cours de saisons creuses, et que les employés avaient été rappelés. Mais rien n'est garanti, et M. Caluori concède que l'inquiétude persiste. «Il n'y a pas un salarié dans les usines du Québec qui n'est pas craintif face aux impacts économiques.» Le printemps dernier, Mabe avait transféré 30% de la production montréalaise au Mexique (surtout des modèles de haut de gamme). Mais elle prévoyait maintenir le rythme de production à l'usine de la rue Dickson en misant sur les électroménagers conventionnels. En 2007, le SCEP avait obtenu de Mabe des garanties qu'elle ne fermerait pas l'usine d'ici 2012. La direction de l'usine Mabe de Montréal n'a pas rappelé La Presse Affaires.
  10. L'économie québécoise était au neutre en octobre 23 janvier 2009 - 11h58 Presse Canadienne Le produit intérieur brut (PIB) du Québec est resté inchangé en octobre dernier par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés vendredi par l'Institut de la statistique du Québec. En septembre, il avait augmenté de 0,6% et en août, il avait reculé de 0,4%. En octobre, les industries productrices de biens ont généré une hausse de 0,7%, alors que les industries productrices de services ont vu leur production reculer de 0,3%. Dans l'ensemble, neuf industries sur 19, ce qui représente près de 50% du PIB québécois, ont montré des pertes dans leur production en octobre par rapport à septembre. Pour en lire plus...
  11. Le Lord anglais ne verra pas sa peine de prison commuée par le président américain sortant, malgré la demande qu'il avait faite. Pour en lire plus...
  12. La Bourse de Toronto a suspendu le processus d'examen qu'elle avait mis en place mercredi sur les actions ordinaires et privilégiées de Nortel Networks. Pour en lire plus...
  13. General Motors a indiqué jeudi qu'il avait retenu comme hypothèse une chute du marché automobile américain de 20% pour établir le plan de retour à la viabilité. Pour en lire plus...
  14. Beijing annonce mercredi que la croissance chinoise de 2007 avait été plus forte que prévu, ce qui la catapulte mécaniquement devant l'Allemagne. Pour en lire plus...
  15. Barclais avait déjà annoncé la semaine dernière la suppression de 408 postes au sein de ses services informatiques en Grande-Bretagne. Pour en lire plus...
  16. Un déficit record de 1200 G$ US attendu aux États-Unis 7 janvier 2009 - 10h38 Agence France-Presse Le déficit budgétaire des États-Unis pour l'exercice 2008-09 devrait atteindre le montant exceptionnel de 1200 G$ US, soit 8,3% du PIB, a indiqué mercredi le bureau du Budget du Congrès américain (CBO). En comparaison, le déficit budgétaire des États-Unis pour l'exercice 2008 (clos à la fin de septembre) a atteint 438 G$ US, soit 3,1% du produit intérieur brut (PIB). Les chiffres du CBO ne prennent pas en compte le plan de relance massif de l'économie américaine voulu par la future administration Obama et les démocrates du Congrès. Ce plan pourrait coûter jusqu'à 775 G$ US, peut-être plus après l'examen du texte devant les deux chambres du Congrès. Selon le rapport du CBO, le déficit tomberait à 4,9% du PIB en 2010 pour revenir aux alentours de 700 G$ US, ce qui resterait encore l'un des chiffres les plus élevés de l'histoire des États-Unis. Mardi, le président élu Barack Obama avait averti que le chiffre de 1000 milliards allait probablement être atteint. «Mon équipe budgétaire m'a mis au courant. Peter Orszag (futur directeur du budget à la Maison-Blanche) prédit qu'au rythme actuel nous aurons 1000 G$ US de déficit avant même d'entamer le prochain budget», avait dit le futur président lors d'une conférence de presse. «Nous aurons potentiellement 1000 G$ US de déficit pour les années à venir, même avec le redressement de l'économie auquel nous travaillons», avait estimé M. Obama. Le CBO est un organisme indépendant des partis qui est chargé au Congrès américain de fournir des analyses économiques afin d'aider les parlementaires à prendre des décisions dans le domaine budgétaire. Cet organisme emploie environ 230 personnes, dont une majorité d'économistes experts en administration publique. _________________________________________________________________________________ Le secteur privé américain perd 693 000 emplois 7 janvier 2009 - 09h19 Agence France-Presse Le marché de l'emploi continue de se dégrader à un rythme effréné aux États-Unis, où le secteur privé a détruit 693 000 emplois en décembre. C'est du moins ce qu'indique l'étude du cabinet en ressources humaines ADP publiée mercredi. L'ampleur des pertes d'emplois est très nettement supérieure à celle que prévoyaient les analystes, qui tablaient sur 493 000 suppressions de postes. Elle semble annoncer un très mauvais rapport officiel sur l'emploi, alors que les chiffres de novembre avaient déjà été désastreux (553 000 emplois détruits). Ce rapport, qui couvre à la fois l'emploi dans le secteur privé et le secteur public, doit être publié vendredi par le département du Travail. ADP a par ailleurs revu en forte hausse son estimation du nombre d'emplois supprimés en novembre dans le secteur privé, à 476 000 (au lieu de 250 000). Cette révision du mois passé ainsi que la différence avec les prévisions des économistes pour décembre doivent néanmoins être interprétées avec prudence, ADP ayant changé profondément la méthode et le modèle statistique qu'il utilise pour son enquête afin de se rapprocher le plus possible de la façon dont procède le ministère.
  17. Année record pour le port de Montréal 5 janvier 2009 - 13h05 Qui réclame l'appui du fédéral - Année record pour le port de Montréal Le trafic total du port de Montréal devrait totaliser plus de 26,6 millions de tonnes, en hausse d'environ 2,5 pour cent en comparaison de 2007. La Presse Canadienne MONTRÉAL _ La direction du port de Montréal, qui affiche une année record en 2008, réclame du gouvernement fédéral qu'il investisse rapidement dans les projets des portes d'entrée continentale et sur l'Atlantique. Le président-directeur général de l'Administration portuaire de Montréal (APM), Patrice M. Pelletier, dit espérer que le gouvernement ira bientôt de l'avant avec son projet d'investir 2,1 milliards $ dans les portes de commerce et, principalement, dans les corridors du Saint-Laurent et des Grands-Lacs, question de contribuer à combattre la récession. Par ailleurs, selon les chiffres préliminaires, l'année 2008 a été une année record pour le port de Montréal qui a connu une croissance supérieure aux 10 principaux ports à conteneurs de l'Amérique du Nord. Le trafic de conteneurs devrait atteindre 1 460 500 conteneurs EVP (équivalent vingt pieds) soit une croissance de 7,2 pour cent en 2008, un résultat qualifié d'exceptionnel par la direction du port. Le trafic total du port de Montréal devrait totaliser plus de 26,6 millions de tonnes, en hausse d'environ 2,5 pour cent en comparaison de 2007 qui avait déjà été une année historique pour le port. M. Pelletier inaugurait officiellement lundi le début d'une nouvelle année d'activités au port de Montréal en remettant la Canne à pommeau d'or au capitaine Rossiter, du Royaume-Uni, commandant du Maersk Patras, premier navire océanique entré au port de Montréal sans escale en 2009. Le Maersk Patras avait quitté le port de Rotterdam, aux Pays-Bas, le 23 décembre dernier à 10h00, sous pavillon du Royaume-Uni.
  18. L'entreprise a annoncé jeudi avoir conclu un accord à l'amiable pour régler des recours en justice en nom collectif à la suite d'une épidémie de listériose qui avait eu pour origine une de ses usines de production. Pour en lire plus...
  19. CGI abolit 100 postes à Montréal 18 décembre 2008 - 06h52 La Presse Philippe Mercure CGI (GIB.A) abolit 100 postes à Montréal. La Presse Affaires a appris que l'entreprise déménagera ou supprimera 77 emplois dans sa division «technologies et infrastructures», en plus d'une vingtaine d'autres dans différentes unités. L'information, qui n'a pas été annoncée publiquement, a été confirmée hier par la direction de l'entreprise. CGI avait coupé 100 postes à Montréal dans la même division en septembre dernier. «On est toujours en mode restructuration dans nos différentes unités d'affaires, a expliqué hier Lorne Gorber, vice-président, communications et relations avec les investisseurs. Nous sommes une entreprise d'impartition et c'est sûr que nos clients nous demandent d'être de plus en plus efficaces dans nos services.» Les pertes d'emploi touchent surtout des techniciens qui travaillaient dans les centres de données. La nouvelle leur a été annoncée le 8 décembre. «C'est là où il y avait le plus de pression côté marché, côté prix, dit M. Gorber. La technologie est de moins en moins chère avec le temps, et ça devient de plus en plus automatisé.» Une partie des emplois sera déménagée dans l'un des 11 autres centres de données de CGI -il y en a par exemple deux en Inde, un à l'Île-du-Prince-Édouard, un à Saguenay et un à Sherbrooke. M. Gorber a expliqué que les salaires des employés sont moins élevés dans ces endroits qu'à Montréal ou Toronto. Une partie des postes sera tout simplement abolie, mais M. Gorber n'a pas été en mesure hier de préciser combien. CGI s'occupe de gérer les technologies de l'information des entreprises qui décident de lui confier ce mandat plutôt que de s'en occuper à l'interne. Pour illustrer quel genre d'emploi quitte Montréal, M. Gorber a pris l'exemple des Rôtisseries Saint-Hubert, dont les serveurs informatiques qui gèrent les commandes des clients sont abrités chez CGI. «Il y a 10 ans, il fallait être devant la boîte pour faire le monitorage de ces serveurs. Maintenant, tu peux faite le monitoring de n'importe où dans le monde. La technologie évolue, et il faut qu'on évolue avec elle.» M. Gorber a précisé hier que, malgré ces abolitions de poste, CGI demeure en mode croissance. L'entreprise cherche actuellement à combler 500 postes dans le monde, dont une centaine au Québec. «Certains employés ont quitté immédiatement, certains ont accepté l'offre d'essayer de trouver quelque chose (un autre emploi à l'intérieur de l'entreprise). Si tu es un employé, tu peux prendre ton package, ou tu peux prendre environ deux mois pour qu'on t'aide à te trouver quelque chose», a dit hier M. Gorber. D'autres licenciements à prévoir? "Non, répond M. Gorber. On est toujours en mode d'amélioration continue, mais il n'y aura pas de grosse vague de mises à pied à cause des marchés dans lesquels on opère." C'est aussi l'avis d'Eric Bernofsky, analyste chez Valeurs mobilières Desjardins, qui ne s'attend pas à de grandes rationalisations chez CGI. Il souligne d'ailleurs que pour une entreprise de la taille de CGI, qui emploie 7200 employés au Québec, un réajustement de 100 employés n'est pas majeur. CGI avait procédé à une rationalisation importante en 2006 en abolissant 1000 postes, dont environ 500 à Montréal. Tant M. Gorber que l'analyste Eric Bernofsky affirment que les abolitions de postes ne doivent pas être liées au ralentissement économique. "CGI est susceptible de gagner de nouveaux clients en période de ralentissement, alors que les entreprises doivent couper et confient la gestion de leurs technologies de l'information à l'externe", dit M. Bernofsky. ABOLITIONS DE POSTES CHEZ CGI 2006 : 1000 postes abolis au Canada, dont environ 500 à Montréal Septembre 2008: 100 postes abolis à Montréal Décembre 2008 : 100 postes abolis à Montréal Nombre d'employés de CGI au Québec : > 6900 en 2006 > 7200 aujourd'hui Pour en lire plus...
  20. La chaîne de magasins Woolworths disparaîtra 17 décembre 2008 - 14h01 Agence France-Presse Même si elle garde une énorme notoriété, l'enseigne avait vu ses parts de marché chuter ces dernières années, victime de son positionnement flou et des tarifs toujours plus intéressants que proposaient les magasins spécialisés. Les administrateurs du cabinet Deloitte, chargés du redressement de la chaîne de magasins britannique Woolworths, ont confirmé mercredi que toutes ses succursales seraient fermées d'ici le 5 janvier, ayant échoué à trouver un acheteur. La fermeture définitive de la chaîne, qui avait déjà été annoncée par plusieurs médias britanniques, va faire perdre leur emploi aux 22 000 salariés permanents et 5000 intérimaires qui travaillaient dans les magasins, ont-ils ajouté. C'est un énorme coup dur pour le marché de l'emploi au Royaume-Uni, alors que le nombre de chômeurs dans le pays est déjà en voie de dépasser la barre des deux millions avant Noël. Il a grimpé à 1,86 million, soit 6% de la population active, sur les trois mois achevés en octobre. Les administrateurs ont expliqué qu'ils avaient dû prendre cette décision faute de repreneur, ajoutant qu'ils avaient cependant reçu des manifestations d'intérêt pour plus de 300 magasins, sur les 807 encore en fonctionnement, de la part de groupes de distribution concurrents. La disparition de Woolworths est un symbole terrible de la crise qui secoue l'économie britannique. Cette chaîne populaire de magasins, presque centenaire, est une institution en Grande-Bretagne, vendant pratiquement de tout, des jouets aux accessoires de cuisine. Même si elle garde une énorme notoriété, l'enseigne avait vu ses parts de marché chuter ces dernières années, victime de son positionnement flou et des tarifs toujours plus intéressants que proposaient les magasins spécialisés. Criblée de dettes, elle avait été placée en redressement judiciaire à la fin de novembre.
  21. En matinée, il est tombé à 40,20 $, niveau pas atteint depuis le 14 juillet 2004. Toutefois, vers midi, le baril de «light sweet crude» avait remonté un peu pointant à 41,28 $ en baisse de 2,32 $. Pour en lire plus...
  22. Démissions en bloc au conseil de Quebecor World 17 décembre 2008 - 09h27 LaPresseAffaires.com Pierre Karl Péladeau a démissionné du conseil de Quebecor World. Quebecor World (IQW) a annoncé mercredi que Pierre Karl Péladeau, Erik Péladeau (vice-président du conseil), Jean Neveu et Jean La Couture (président du comité de vérification) ont démissionné de son conseil d'administration. Selon le communiqué de Quebecor World, les quatre administrateurs ont jugé «que suite aux demande présentées par Quebecor et ses filiales dans le cadre du processus de restructuration de Quebecor World, qui s'est placée sous la protection du tribunal, que leur démission est souhaitable». Alain Rhéaume, l'administrateur principal, a été nommé en tant que nouveau président du comité de vérification de la Société et siège maintenant au comité de restructuration. André Caillé a été nommé à titre de membre du comité de vérification. M. Caillé demeure président du conseil de restructuration qui est toujours composé de M. Rhéaume, Michèle Desjardins et Jacques Mallette. Quebecor World ne croit pas que ces démissions auront un impact sur son objectif qui est de sortir de la protection contre les créanciers en tant qu'entreprise solide au sein de notre industrie. En janvier 2008, l'imprimeur s'est mis à l'abri de ses créanciers et Quebecor a par la suite rompu progressivement ses liens avec lui. Lors des derniers mois, Quebecor avait décidé de se distancer de sa filiale de l’imprimerie. Quebecor avait notamment fait connaître sa décision de retirer à Quebecor World le droit d'utiliser la raison sociale «Quebecor», dans le but «d'éliminer toute confusion dans l'esprit des gens». Cet automne, l'imprimeur a déménagé son siège social hors de l'édifice qui abrite celui de Quebecor.
  23. Il s’agit de la deuxième acquisition aux États-Unis pour Agropur cette année. En janvier dernier, l’entreprise avait mis la main sur Trega Foods dans l’État du Wisconsin. Pour en lire plus...
  24. La plus faible croissance chinoise en 20 ans ? 16 décembre 2008 - 07h28 Agence France-Presse La Chine pourrait terminer l'année 2008 avec la croissance économique la plus faible en près de 20 ans, estiment des économistes après la publication des chiffres de novembre, nettement moins bons que prévu. Une série d'économistes estiment que la croissance sera située en 2008 entre 5% et 6,5% au quatrième trimestre. Pour l'ensemble de l'année, la Banque mondiale avait indiqué qu'elle s'attendait à ce que l'économie chinoise progresse de 9,4%. «Notre prévision est plutôt pessimiste», dit Tao Dong, analyste au Crédit Suisse à Hong Kong, qui prévoit 6,5% de croissance entre octobre et décembre. Selon lui, c'est le niveau le plus bas depuis que la Nation asiatique a commencé à publier des indicateurs trimestriels en 1995. Avant, la Chine avait enregistré une croissance annuelle de 3,8% en 1990. Son économie s'était ensuite emballée, affichant des taux jamais inférieurs à 7,6%, même pendant la crise financière asiatique de 1997. Xing Ziqiang, économiste basé à Beijing pour China International Capital Corporation, partage le même pessimisme, prévoyant un chiffre entre 5% et 5,5% au quatrième trimestre. Les indicateurs publiés depuis la semaine dernière pour le mois de novembre montrent que la quatrième économie mondiale ressent l'impact de la crise mondiale beaucoup plus fortement que prévu. Parmi les principales inquiétudes figure le recul des exportations, pour la première fois depuis 2001, de 2,2% sur un an, alors qu'elles avaient progressé en octobre (+19,2%). L'indice des prix à la consommation, principale mesure de l'inflation en Chine, a progressé en novembre de 2,4% sur un an, son plus bas niveau mensuel depuis près de deux ans, laissant planer la menace d'une déflation dès le premier trimestre 2009. Dans le même temps, la production industrielle en Chine a également fortement ralenti, en augmentant de 5,4% sur un an, alors qu'elle avait atteint un pic en mars (+17,8%). Le dernier chiffre, publié mardi, montre que les investissements en capital fixe ont progressé de 26,8% sur un an entre janvier et novembre, contre 27,2% sur les dix premiers mois. Beijing a pris récemment une série de mesures pour accroître la demande intérieure et adoucir les effets du ralentissement des marchés à l'exportation, notamment quatre baisses des taux d'intérêt depuis septembre. Les autorités ont également adopté un plan de relance budgétaire de 4000 milliards de yuans (724 G$ CAN) jusqu'à la fin de 2010. Cependant, les économistes soulignent qu'il faudra plusieurs mois avant d'en sentir les effets. Dans ce contexte, le gouvernement devrait agir de nouveau. Mardi, le gouverneur de la Banque centrale Zhou Xiaochuan a laissé entendre que de nouvelles baisses des taux d'intérêt pourraient intervenir, soit fin décembre soit au début de l'année prochaine. D'autres programmes pour réduire les impôts, accroître les crédits aux petites et moyennes entreprises et soutenir les familles à revenus modestes sont attendus en fonction des résultats du plan de relance, selon les économistes. Malgré tout, la Chine, qui a connu des taux de croissance à deux chiffres ces cinq dernières années, semble encore mieux placée que les autres économies pour affronter l'hiver. Huang Yiping, économiste chez Citigroup à Hong Kong, prévoit ainsi une croissance de 8,2% en 2009, en prenant en compte les effets des mesures de relance, dont une grande partie sera consacrée aux infrastructures. «Cela serait encore plus bas sans ces politiques», dit-il. BNP Paribas voit une croissance chinoise à 7-8% l'année prochaine
  25. Exclusif Argent St-Hubert discute d'un vaste projet d'expansion en Ontario 12 décembre 2008 - 16h25 En vidéo, M. Léger explique le concept du St-Hubert Express. François Pouliot Katia Germain ARGENT Les Rôtisseries St-Hubert planche actuellement sur un vaste projet d’expansion en Ontario. « Nous sommes en discussions avec un partenaire important, si ça fonctionne, nous y irons massivement », a indiqué à Argent le président de Groupe St-Hubert, Jean-Pierre Léger. Monsieur Léger a soutenu qu’il avait tenté d’acheter les quelque 200 rôtisseries Chalet Suisse du groupe Cara, mais qu’elles n’étaient pas à vendre. « Puisqu’ils ne veulent pas vendre, on va essayer d’y aller autrement. » Au début des années 1980, St-Hubert avait tenté une incursion dans le marché ontarien en ouvrant une vingtaine d’établissements dans le Toronto métropolitain. L’opération avait toutefois été un échec, et, à l’aube des années 90, la bannière québécoise avait retraité au Québec. Le grand patron estime que des erreurs avaient à l’époque été commises. « Le choix des sites n’était pas toujours adéquat. Mais surtout, l’immobilier était à son plus haut niveau. Les coûts de loyer étaient extrêmement chers », se rappelle-t-il. Cette fois, St-Hubert veut attaquer le marché ontarien avec une nouvelle arme : le St-Hubert Express. Le concept requiert moins d’investissements et offre plus de souplesse. Impossible cependant de connaître l’identité du partenaire avec lequel discute le restaurateur québécois. « Ce sont des gens qui connaissent bien le concept de la restauration », indique-t-il simplement. Ce groupe agirait à titre de franchisé et verrait au déploiement des St-Hubert dans l’ensemble de l’Ontario. Jean-Pierre Léger voit un déploiement d’au moins 100 établissements. Il en compte actuellement 96 au Québec, 3 à Ottawa et 1 au Nouveau-Brunswick. « L’expansion ne nous demanderait pas d’investissements si majeurs, le franchisé assumant la majeure partie des coûts », a précisé monsieur Léger. Le chef de direction ne peut fournir d’horizon précis sur la conclusion d’une entente. « Nous travaillons là-dessus. Si c’est dans six mois, tant mieux, si c’est dans un an et demi, ce sera dans un an et demi. Il y a aussi quelques questions de financement de leur côté », a-t-il fait valoir. Dans l’intérim, l’entreprise entend poursuivre son expansion au Québec. Jean-Pierre Léger voit encore de la place pour 15-20 établissements St-Hubert Express dans la province. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/12/20081212-162507.html
×
×
  • Créer...