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  1. Louis Audet: la Charte des valeurs menace l'économie Le président et chef de la direction de Cogeco s'est prononcé, mardi, contre la charte des valeurs proposée par le gouvernement péquiste. Louis Audet a déclaré que la charte, qui limiterait le port de signes religieux pour les employés de l'État, nuirait à l'économie québécoise. Lors d'une allocution devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, M. Audet a affirmé que la charte aurait pour effet de diminuer le nombre d'immigrants adoptant la province comme terre d'accueil et, par le fait même, réduirait la richesse que ces nouveaux résidants contribuent à créer. Il a également dénoncé ce qu'il a décrit comme les préjugés défavorables au milieu des affaires, qui seraient de plus en plus forts au Québec. Louis Audet a mentionné un récent sondage effectué par CROP pour Cogeco selon lequel la moitié des Québécois croient que les entreprises privées ne profitent pas à la société. D'après M. Audet, les entreprises privées jouent un rôle essentiel dans la création d'emplois et de richesse, en plus d'être nécessaires pour soutenir les programmes sociaux. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/louis-audet-la-charte-des-valeur-menace-l-economie/565718
  2. Un sondage de l’ACP démontre que moins de Canadiens vivent d’une paie à l’autre. Les employés épargnent davantage, mais plusieurs sont encore loin de leurs objectifs de retraite. TORONTO (6 septembre 2012) – Ce sont de bonnes et de mauvaises nouvelles qui ressortent du sondage auprès des employés qu’a réalisé l’Association canadienne de la paie (ACP) dans le cadre de la Semaine nationale de la paie de cette année. Commençons par les bonnes nouvelles : Un moins grand nombre vit trop près du seuil Les réponses de 3 500 employés de partout au Canada ont permis de découvrir qu’un moins grand nombre vivent d’une paie à la suivante. Bien que 47 % d’entre eux maintiennent qu’ils éprouveraient des difficultés financières si leur paie était retardée d’à peine une semaine, il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’une nette amélioration sur les 57 % de l’an dernier qui avaient du mal à joindre les deux bouts. Les provinces ou régions qui comptent le pourcentage le plus élevé d’employés vivant d’un chèque à l’autre sont : les Maritimes (54 %), le Manitoba (53 %) et l’Ontario (52 %). C’est au Québec que le pourcentage est le plus bas (33 %). Épargner davantage Le quatrième sondage annuel de l’ACP comprend un signe encourageant puisqu’il démontre qu’un plus grand nombre d’employés trouvent qu’ils sont mieux en mesure d’accroître leur épargne. Bien que seulement 40 % employés tentaient d’épargner davantage et le faisaient l’an dernier, ce nombre a augmenté à 66 % en 2012, un saut énorme. Au Québec, les employés sont les meneurs en ce qui a trait à leur capacité d’accroître leur épargne (71 %). Réévaluer les besoins de retraite Les employés au Canada semblent également se préoccuper davantage de leurs besoins de retraite. Un plus petit nombre croit que des économies de 500 000 $ à un million de dollars suffiront pour leur assurer une retraite à l’aise (34 % cette année, 42 % l’an dernier), alors qu’un plus grand nombre croit qu’il leur faudra plutôt entre un million et trois millions de dollars (38 % cette année, 27 % l’an dernier). Et maintenant, les mauvaises nouvelles : Un taux d’épargne toujours bas Bien qu’un plus grand nombre d’employés au Canada économisent, le taux d’épargne demeure bas. Près de la moitié (46 %) affirment qu’ils réussissent à épargner à peine 5 % ou moins de leur paie. Les spécialistes de la planification financière recommandent généralement un taux d’épargne de 10 % de la paie nette. Très éloignés des objectifs de retraite Ce bas taux d’épargne se reflète dans un autre constat inquiétant. Lorsqu’on leur demande jusqu’à quel point ils se rapprochent de leur objectif de retraite, 73 % des employés disent avoir épargné moins du quart des sommes qu’ils aimeraient avoir accumulées. Une conclusion particulièrement préoccupante : même chez les employés qui se rapprochent de la retraite (50 ans et plus), 45 % mentionnent qu’ils ont amassé moins du quart de l’épargne qu’ils avaient souhaité pour leur retraite. Devoir travailler plus longtemps En ce qui concerne les employés, qui se sont fixé une date de retraite : 41 % disent qu’ils devront maintenant travailler plus longtemps – cinq ans de plus en moyenne – qu’ils ne l’avaient prévu en 2007; la principale raison qui explique cette nécessité de travailler plus longtemps est « Je n’épargne pas assez pour ma retraite »; l’âge médian de retraite est de 60 ans. L’endettement est le principal obstacle à l’épargne Deux employés sur cinq au Canada dépensent leur paie nette ou davantage. En résumé « Le sondage de cette année montre qu’un plus grand nombre d’employés au Canada sont maintenant en mesure d’épargner davantage et que moins d’entre eux vivent d’une paie à la suivante », a remarqué Caroline Bernard, présidente du conseil de l’ACP. « Toutefois, à peine 13 % ont épargné la moitié ou plus de leur objectif de fonds de retraite. » Patrick Culhane, président-directeur général de l’organisme, affirme que l’insuffisance d’épargne-retraite est particulièrement préoccupante parmi les travailleurs les plus âgés. « Plusieurs d’entre eux quitteront le marché du travail dans quelques années à peine, pourtant la plupart d’entre eux sont bien loin de leurs objectifs de retraite. » Les professionnels de la paie peuvent souvent aider les employés à épargner automatiquement en demandant qu’une partie de leur paie nette soit versée dans un compte d’épargne distinct ou dans un régime enregistré d’épargne-retraite (qui contribue à réduire l’impôt sur le revenu personnel). Consultez le site http://www.payroll.ca pour une synthèse des conclusions du sondage (sous le volet Salle de presse) ou pour toute autre information. Les porte-parole de l’ACP sont accessibles pour des entrevues. [...] http://www.payroll.ca/Content/NavigationMenu2/Salledepresse/Communiqusdepresse/Communiqué_de_presse.htm
  3. Qu'ils aient visité le Vieux-Port, marché sur le Mont-Royal ou encore arpenté les rue du Plateau, les visiteurs qui ont mis les pieds dans la métropole pour deux nuitées ou plus au cours de l'année 2011 sont vraisemblablement repartis satisfaits de leur séjour, puisque 84% d'entre eux ont affirmé avoir certainement l'intention de recommander la destination à leurs proches. Et près de 49% des touristes ont donné une note de satisfaction de 9 sur 10 à la métropole en 2011, alors qu'ils étaient 40% à lui attribuer ce résultat en 2006. C'est du moins ce que révèle un sondage mené par la firme de recherche Ipsos pour le compte de Tourisme Montréal, dévoilé mercredi. Ainsi, l'année dernière 7,8 millions de touristes ont foulé le sol montréalais, une augmentation de 1,7 % par rapport à 2010. De ce nombre, 56 % provenaient du Québec, 21 % du reste du Canada et 23 % des États-Unis ou d'ailleurs dans le monde. Parmi les attraits les plus visités par les voyageurs, le Vieux-Port arrive en tête, suivi du parc du Mont-Royal et du Quartier chinois. Médias sociaux Par ailleurs, les données du sondage démontrent que les médias sociaux ont maintenant une importante influence dans le choix des destinations touristiques. La preuve, à la suite de leur séjour dans la métropole québécoise, près de 37% des visiteurs partagent leur expérience à Montréal en publiant en ligne des photos de leur voyage, alors que 25% d'entre eux émettent des commentaires sur différents sites Internet. De plus, le web a été l'outil le plus utilisé par les touristes qui ont atterri à Montréal pour l'organisation et les réservations. Plus de la moitié d'entre eux (57%) ont eu recours à internet pour planifier leur voyage. http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201205/23/01-4527907-les-visiteurs-satisfaits-de-leur-sejour-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  4. Avec les infrastructures sportives dont nous disposons, quel autre sport voudriez-vous voir le plus a Montréal? Baseball Football Basketball Autre quelqu'un peut m'aider a faire un sondage pour ca?
  5. Publié le 17 décembre 2009 à 07h28 | Mis à jour à 07h36 Popularité des PM: Charest en milieu de peloton Catherine Handfield La Presse Le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams, est le plus apprécié de tous les chefs des provinces canadiennes. Les temps sont plus durs pour son homologue albertain, Ed Stelmach, qui détient le plus faible appui parmi ses électeurs. C'est ce qui ressort d'un sondage Angus Reid réalisé auprès de 7000 adultes canadiens du 23 au 29 novembre. En cette fin d'année, Danny Williams obtient 78% d'appuis à Terre-Neuve-et-Labrador, révèle le sondage mené en ligne. Brade Wall de la Saskatchewan arrive en deuxième position, avec 58%. «En dépit des problèmes du système de santé, Danny Williams et Brade Wall reçoivent d'excellentes cotes peu importe ce qui se passe. C'est un phénomène avec ces deux chefs», note Jaideep Mukerji, vice-président affaires publiques d'Angus Reid. Leur forte personnalité et la façon font ils gèrent l'économie de leur province expliquent en partie leur forte cote de popularité, selon M.Mukerji. À l'opposé, Ed Stelmach continue de dégringoler dans les sondages. Seulement 14% des répondants albertains approuvent la façon dont il s'acquitte de ses tâches. Cette chute est essentiellement due aux difficultés économiques en Alberta, selon Jaideep Mukerji. Dalton McGuinty, de l'Ontario, ne fait guère mieux avec 18% d'appuis. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, obtient quant à lui 25% d'appuis. Il arrive donc au cinquième rang, après Darrell Dexter de la Nouvelle-Écosse (43%) et Greg Selinger du Manitoba (29%). «Jean Charest a eu un moment de popularité assez marqué cet été (32%), mais une série de facteurs fait en sorte que sa popularité est légèrement à la baisse», indique M. Mukerji. À son avis, le refus du gouvernement d'ordonner une enquête publique sur les allégations de corruption dans l'industrie de la construction y est pour quelque chose.
  6. Les Montréalais trouvent leur ville sécuritaire Karim Benessaieh La Presse Publié le 05 octobre 2009 à 07h34 | Mis à jour le 05 octobre 2009 à 07h39 Les palmarès le rappellent constamment, les Montréalais le confirment. Pour 79% d'entre eux, la métropole est une ville sécuritaire, selon un sondage Angus Reid Strategies-La Presse dont nous dévoilons aujourd'hui le quatrième volet. À la question «Trouvez-vous que Montréal est une ville sécuritaire?» seulement 14% répondent non, tandis que 7% se disent incertains. Ce sont les plus jeunes, soient les répondants entre 18 et 34 ans, qui se sentent le plus en sécurité, avec un taux de réponses positives de 82%. Plus on vieillit, moins ce sentiment est fort, les 55 ans et plus estimant à 73% que leur ville est sécuritaire. «La variation est faible, mais on constate que l'impression d'insécurité augmente avec l'âge», note Jaideep Mukerji, vice-président aux Affaires publiques d'Angus Reid. L'évolution est semblable selon la langue parlée. Si 89% des allophones confirment que la métropole québécoise est sécuritaire, ce taux tombe à 72% chez les francophones. Entre les deux, les anglophones répondent à 83% «oui» à cette question. Et ils ont raison, selon le palmarès 2008 de la firme Mercer. Sur les 215 villes évaluées dans le monde, Montréal héritait de la 22e position. Mieux, elle se classe première en Amérique du Nord, ex aequo avec quatre autres villes canadiennes. Ce classement a été établi selon trois critères: les relations avec les autres pays, la stabilité intérieure et la criminalité. Avec 29 homicides en 2008, pour un taux de 1,6 meurtre par 100 000 habitants, Montréal est loin de la moyenne mondiale de 8,8, selon le dernier rapport mondial de l'ONU sur la violence et la santé datant de 2002. La métropole québécoise est par ailleurs à des années-lumière du taux du reste des Amériques, qui est de 19 homicides par 100 000 habitants selon ce document. Malgré ce sentiment général de sécurité, les Montréalais sont critiques des efforts en matière de lutte contre les gangs de rue. Quand on leur demande si Montréal lutte adéquatement contre ce phénomène, seulement 36% répondent par l'affirmative, alors que 44% sont d'avis contraire. Dix-neuf pour cent se disent incertains. «À peine plus que le tiers des Montréalais pensent que la lutte est suffisante, c'est peu, estime M. Mukerji. On constate que Montréal a été très touché depuis quelques années par ce phénomène et qu'il a laissé des séquelles.» Les francophones sont de loin les plus insatisfaits, avec un taux de 53% de réponses négatives contre 37% pour les anglophones et les allophones. Dans les groupes d'âge, ce sont les 35-54 ans, à 51%, qui trouvent que la lutte contre les gangs de rue est inadéquate. SONDAGE ANGUS REID STRATEGIES-LA PRESSE Trouvez-vous que Montréal est une ville sécuritaire? Oui 79% Non 14% Pas certain (e) 7% Trouvez-vous que Montréal lutte adéquatement contre les gangs de rue? Oui 36% Non 44% Pas certain (e) 19% Sources : Angus Reid Strategies Les répondants pouvaient choisir plusieurs réponses. Le pourcentage cumulatif est donc supérieur à 100. Le sondage Angus Reid Strategies-La Presse a été réalisé les 9, 10 et 11 septembre derniers, auprès de 815 répondants à l'aide d'un formulaire sur le web. Il s'agissait de résidants de Montréal, francophones (59%) et anglophones et allophones (41%), aptes à voter aux prochaines élections municipales. La marge d'erreur de ce sondage est de plus ou moins 3,43%, 19 fois sur 20. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200910/05/01-908416-les-montrealais-trouvent-leur-ville-securitaire.php
  7. Publié le 10 août 2009 à 23h45 | Mis à jour le 10 août 2009 à 23h45 Les Québécois favorables à l'euthanasie Catherine Handfield La Presse Un peu plus de trois Québécois sur quatre sont d'accord pour que l'euthanasie soit légalisée au Québec, révèle un sondage Angus Reid-La Presse. Un droit qui devrait toutefois être limité aux grands malades, selon une majorité de répondants. Jaideep Mukerji, vice-président aux affaires publiques d'Angus Reid Strategies, avoue avoir été surpris par les résultats du coup de sonde mené les 4 et 5 août auprès de 800 adultes québécois. La marge d'erreur du sondage, fait en ligne, est de 3,5%. «Il est surprenant de voir à quel point les Québécois sont en faveur de l'euthanasie et que leur opinion sur le sujet est claire», observe M. Mukerji. Parmi les répondants, 31% se disent «fortement d'accord» avec la légalisation de l'euthanasie et 46% se disent «modérément d'accord». À l'opposé, 8% sont «fortement en désaccord» et 9% sont «modérément en désaccord». Le débat sur l'euthanasie a refait surface cet été. À la mi-juillet, le Collège des médecins du Québec a annoncé qu'il envisageait de recommander la décriminalisation de l'euthanasie dans des circonstances précises. Le Groupe de travail en éthique clinique publiera un document de réflexion à la mi-octobre, a révélé le quotidien The Globe and Mail. Cette prise de position viserait à faire pression sur le gouvernement fédéral afin qu'il modifie le Code criminel. Si on se fie aux résultats du sondage, le Collège des médecins du Québec aura l'appui de la population dans sa démarche. Trois Québécois sur quatre estiment que rouvrir le débat sur l'euthanasie est une bonne idée. Et les appuis se trouvent dans toutes les sphères de la société, note Jaideep Mukerji. «Les réponses des Québécois sont constantes, peu importe le sexe, le revenu ou le lieu de résidence», souligne-t-il. Le seul groupe qui a fourni une réponse légèrement différente est celui des 55 ans et plus : 71% sont en faveur de la légalisation, soit 6% de moins que la moyenne. Par ailleurs, près de 50% des répondants estiment que les provinces devraient avoir le droit de déterminer si l'euthanasie est permise ou non. Trente pour cent souhaitent que la question demeure de compétence fédérale. Limité aux grands malades Si les Québécois sont d'accord avec la légalisation de l'euthanasie, ce droit devrait toutefois être limité aux gens atteints de graves maladies, révèlent les résultats du sondage. Quelque 85% des Québécois sont d'accord pour permettre au médecin d'aider un malade à mettre fin à ses jours quand ce dernier est en phase terminale et qu'il éprouve d'intenses douleurs. La majorité des répondants sont en faveur de l'euthanasie pour les gens atteints d'une maladie incurable qui les laissent tétraplégiques (58%) ou encore pour les malades dans le coma qui ont déjà précisé qu'ils souhaitaient mourir s'ils se retrouvaient dans une telle situation (86%). À l'opposé, les trois quarts des répondants s'opposent à l'euthanasie d'un malade qui désire mourir en même temps que son conjoint. Dans le même ordre d'idée, près de 50% s'opposent à ce qu'un parent puisse demander la mort d'un enfant qui souffre d'une forme grave d'une maladie comme la paralysie cérébrale. «On peut déduire que les Québécois ont besoin d'une justification morale pour permettre l'euthanasie et qu'une souffrance terrible peut en être une pour eux», analyse Margaret Somerville, directrice fondatrice du Centre de médecine, éthique et droit de McGill. Mme Somerville attribue en partie au déclin de la religion le fait que les Québécois se montrent si favorables à l'euthanasie. «C'est difficile d'argumenter contre l'euthanasie si on n'a aucune croyance religieuse...» note-t-elle. Suzanne Philips-Nootens, professeure à la faculté de droit de l'Université de Sherbrooke, appelle pour sa part à la prudence dans l'analyse des résultats du sondage. «Les répondants se sont prononcés sur une situation abstraite, dit-elle. Mais le jour où les gens deviennent réellement malades, les études démontrent que leur opinion sur l'euthanasie a tendance à changer.»
  8. Une "nouvelle" un peu vieille Stationnement : Montréal dans la moyenne nationale 25 juin 2009 | 15h16 Agence QMI Sarah-Maude Lefebvre 24 heures La Métropole se classe au 5e rang des villes canadiennes où il en coûte le plus cher par jour pour se stationner. Loin derrière la ville championne, Calgary, qui à 22$ par jour est la 2e ville la plus chère après New York sur le continent, Montréal se classe légèrement au-dessus de la moyenne nationale avec un taux moyen de 17$ par jour pour se stationner. 3e pour les tarifs par mois Selon le sondage annuel sur les prix de stationnement de Colliers International, il en coûte 460$ par mois pour se stationner au centre-ville de Calgary, soit une centaine de dollars de moins qu’au centre-ville de New-York. Toronto (305$), Montréal (280$), Edmonton (275$) et Vancouver (224$) complètent le top 5 des villes les plus coûteuses en terme de stationnement, si on se fie aux résultats de ce sondage publié dans The Gazette. Comme le rapporte le quotidien, les Montréalais peuvent tout de même s’estimer chanceux puisqu’ils paieraient 1020 dollars américains par mois s’ils habitaient à Londres ou encore 748 dollars s’ils étaient des résidents de Hong Kong. C’est à Régina qu’il en coûte le moins cher pour stationner son auto au centre-ville avec 148$ par mois. Saskatoon, Victoria, Winnipeg, Ottawa et Halifax ne dépassent pas non plus le cap des 200$ par mois. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2009/06/20090625-151618.html
  9. Le mode PPP rebute ingénieurs et économistes Publié le 09 juin 2009 à 06h41 | Mis à jour à 06h42 André Noël La Presse Après les architectes, c'est au tour des ingénieurs et des économistes du Québec de se montrer sceptiques, sinon carrément opposés à la construction d'hôpitaux universitaires comme le CHUM en mode de partenariat public-privé (PPP). «Le PPP est un mode de réalisation inadéquat pour des projets complexes et comportant des inconnues comme les hôpitaux universitaires CHUM et CUSM, de même que pour la reconstruction du complexe d'échangeurs Turcot», a affirmé Zaki Ghavitian, le président de l'Ordre des ingénieurs du Québec. Au même moment, l'Association des économistes québécois publie un sondage montrant que seulement 32% de ses membres voient d'un bon oeil le choix du PPP pour la réalisation de grands projets d'hôpitaux universitaires. Cette association professionnelle regroupe 787 économistes; le tiers d'entre eux ont répondu à un sondage réalisé par la firme Léger Marketing. Plus tôt cette année, le président de l'Ordre des architectes, André Bourassa, avait affirmé que la construction du CHUM en PPP n'avait «pas de sens», étant donné la complexité du projet. Le président de l'Ordre des ingénieurs abonde dans ce sens. «Un hôpital est un organisme en perpétuel changement, a dit Ghavitian, au cours d'un entretien, hier. Il y a toujours une évolution en médecine et dans les besoins de la population. On ne peut pas figer cela dans un contrat de PPP. Ce n'est pas tout. Actuellement, il n'y a pas beaucoup de financiers qui prêtent de l'argent. Le gouvernement est appelé à garantir l'emprunt, comme il l'a fait pour la salle de l'Orchestre symphonique de Montréal. Cela signifie qu'il ne transfère plus les risques au secteur privé, ce qui est la raison d'être des PPP.» La firme de sondage Léger Marketing a posé cette question à 228 économistes: «Le gouvernement du Québec est sur le point d'investir plus de 5 milliards de dollars pour la construction de trois grands centres hospitaliers universitaires (CHUM, CUSM et Sainte-Justine). Est-ce que ce serait selon vous une bonne ou une mauvaise chose que ces trois projets soient réalisés en mode PPP?» Le tiers des répondants (32%) seulement ont répondu que c'est une bonne chose; 53% estiment que c'est une mauvaise chose; 15% n'ont pas d'opinion. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/200906/09/01-873825-le-mode-ppp-rebute-ingenieurs-et-economistes.php
  10. Internet pourra-t-il remplacer les journaux? Mario Boulianne, Le Droit (Ottawa) 08 juin 2009 | 13 h 37 La majorité des gens disent que le changement est une bonne chose. Mais, en réalité, c'est une façon d'accepter qu'une chose que l'on ne désirait pas, est finalement arrivée. C'est exactement ce que je me dis lorsque je constate la poussée vertigineuse d'internet. J'ai toujours trouvé déplorable que de plus en plus de gens se fient à la toile pour s'informer, délaissant du même coup les sources d'informations traditionnelles comme les journaux. LeDroit, comme la majorité des salles de nouvelles, peut compter sur des journalistes professionnels qui offrent aux lecteurs une source fiable d'information, basée sur des recherches et des entrevues, ainsi que sur une relative objectivité. Sur le net, il est hasardeux de se fier à ces "sources" plus ou moins bien informées. Les blogueurs sérieux ne sont pas légion. À moins qu'ils soient liés à un média reconnu, les blogueurs n'ont que peu de crédibilité, à mon avis. Les rumeurs et les légendes urbaines sont au coeur de leurs articles. Et pourtant, on n'hésite pas à répandre ce qu'on peut lire sur le Web. Vendredi, un sondage Nanos réalisé pour le compte de la revue Options politiques était publié. On pouvait y lire que la télévision demeure la principale source d'information des Canadiens, malgré la popularité croissante d'internet - et dire que Radio-Canada mettra fin à son bulletin du midi dans la région. Ce sondage, réalisé auprès de 1001 Canadiens du 26 mai au 1er juin, révèle que 48,2% des Canadiens s'informent en regardant les nouvelles télévisées. Les journaux constituent la deuxième source d'information avec une popularité de 20,6%. La radio arrive au troisième rang comme source d'information avec 14,9%. Et en cette ère d'Internet, seulement 13,8% des Canadiens disent s'informer en lisant les nouvelles sur le Web. Et vlan pour les "Twitter" de ce monde. La télévision est donc la source d'information la plus populaire, selon ce sondage. Les recherches de Nanos démontrent aussi que la télévision a davantage la cote dans toutes les régions du pays et auprès des Canadiens de tous les âges. Même pour ceux âgés de 18 à 39 ans, la télévision est deux fois plus populaire qu'Internet. On constate aussi le même phénomène chez les Canadiens de 18 à 29 ans, qui choisissent la télévision à 46%, Internet à 22,6% et les journaux à 15,3%. Pour le chroniqueur que je suis, je ne peux nier la force d'Internet et surtout, son utilité dans mon métier. Mais je m'inquiéterai toujours de ce médium qui ne fait que peu de place à la crédibilité de ses sources. Mais ce sondage me donne des raisons de croire que les journaux ont encore la cote quant à la qualité de son information. D'ailleurs, il n'est pas rare que les émissions de télé et de radio du matin se basent presqu'exclusivement sur ce qui est écrit dans les journaux pour vous informer dès votre réveil. Un autre résultat qui me donne de l'espoir, les deux tiers des personnes sondées disent s'informer en lisant les journaux et ils le font en lisant la version papier. Les autres le font en lisant la version Web... qui est gratuite. Alors, à ceux et celles qui lisez cette chronique dans sa version papier, n'oubliez pas de recycler votre journal préféré. Quant aux autres qui utilisent la souris, vous pourrez toujours vous dire que le site cyberpresse.ca est une source très fiable d'information. Oups... la pile de mon portable est vide. Je dois vous quitter. J'aurais dû prendre une feuille et un crayon! Vous avez une nouvelle à nous communiquer ou encore une idée pour un reportage? Écrivez-nous à technaute@cyberpresse.ca.
  11. Louise Harel songe à la mairie Radiocanada.ca Louise Harel a admis pour la première fois qu'elle réfléchit sérieusement à la possibilité de se présenter à la mairie de Montréal. Elle a fait cette déclaration lors de son passage hier à l'émission Bons baisers de France, à la télévision de Radio-Canada. Mme Harel avoué qu'elle s'en faisait énormément parler. « J'y réfléchis en sachant qu'il y a un compte à rebours », a-t-elle déclaré. L'ancienne ministre et députée péquiste a ajouté qu'elle devait se questionner sur la faisabilité de la chose. Dans un sondage Angus Reid publié dans Le Presse le 11 mai dernier, on demandait aux Montréalais pour qui ils voteraient parmi les candidats suivants: Martin Cauchon, Denis Coderre, Jacques Duchesneau, Liza Frulla, Louise Harel, Pierre Marc Johnson, Robert Laramée et Gilbert Rozon. Mme Harel était arrivée en tête, avec 17 % des intentions de vote. Elle était suivie de Pierre Marc Johnson, avec 11 % des suffrages, Liza Frulla (9 %) et Denis Coderre (9 %). Le sondage d'Angus Reid a été mené les 6 et 7 mai auprès de 805 personnes vivant sur l'île de Montréal. La marge d'erreur est de 3,5 points.
  12. Un millier de milliards de dettes Mise à jour le mardi 26 mai 2009 à 12 h 23 Crise économique, chômage et précarité ne semblent pas décourager les ménages canadiens de recourir de plus en plus au crédit pour les dépenses courantes. Une étude de l'Association des comptables généraux agréés du Canada (CGA-Canada) révèle que la dette totale des ménages canadiens a atteint 1300 milliards de dollars en 2008. Les auteurs du rapport indiquent que de nombreux Canadiens continuent de cumuler les achats à leurs comptes de cartes de crédit et de gruger leur marge de crédit. Ce qui réduit leur capacité d'épargne. D'après un sondage figurant dans le rapport, 85 % des ménages avaient, en novembre dernier, une dette active de carte de crédit. Quelque 21 % des répondants admettaient ne plus être en mesure de gérer le poids de leur dette. « L'endettement des ménages canadiens a nettement augmenté ces dernières années, ce qui met en péril leur sécurité financière », a affirmé le président et chef de la direction de CGA-Canada, Anthony Ariganello. Pas moins de 49 % des familles avec au moins un enfant de moins de 18 ans ont affirmé que leur dette avait grimpé ces trois dernières années, révèle le sondage réalisé sur Internet auprès de 2014 Canadiens, dont la marge d'erreur est de 2,2 points de pourcentage, 19 fois sur 20. Les marges de crédit et les cartes de crédit représentent la plus grande partie de la dette de consommation des ménages. Le quart des personnes interrogées ne serait pas capable de faire face à une dépense imprévue de 5000 $, tandis qu'une personne sur 10 aurait de la difficulté à débourser un coût imprévu de 500 $. « Nous devons admettre que la situation financière des ménages canadiens s'est détériorée », explique Rock Lefebvre, vice-président de CGA-Canada. Selon lui, il faut rectifier la situation pour maintenir un « environnement économique sain ». L'association estime qu'il est « plus souhaitable d'adopter une approche équilibrée des dépenses, de l'épargne et du remboursement des dettes pour sortir du marasme économique actuel, que d'essayer de promouvoir les dépenses de consommation. »
  13. Commerce de détail - Les Québécois perdent confiance La Presse canadienne Édition du mardi 07 avril 2009 Pour traverser la crise, les détaillants réduisent leurs marges La récession a un impact clair sur la confiance et le comportement des consommateurs québécois, et le secteur du commerce de détail doit sacrifier une portion de ses marges de profit pour se maintenir. Le Conseil québécois du commerce de détail a présenté hier les résultats d'un vaste sondage qui démontre que la confiance des consommateurs québécois est à son plus bas niveau depuis 2004, soit depuis que le Conseil mesure cet indice. Celui-ci a chuté de 23 points depuis le sommet de l'automne 2007 pour se situer à 81,4, glissant en deçà de son creux précédent de 86,6, atteint au lendemain de l'ouragan Katrina à l'automne 2005, alors que les prix du pétrole étaient en forte hausse. De plus, près des deux tiers des répondants (62 %) croient que la situation économique du Québec se détériorera au cours des 12 prochains mois, comparativement à 37 % il y a un an. Quant à leur propre situation financière, 63 % des ménages affirment qu'elle n'a pas changé, une proportion identique à l'année précédente, mais seulement un sur dix (11 %) dit constater une amélioration, comparativement à un sur cinq (21 %) l'an dernier, alors que 26 % affirment que leur situation s'est détériorée, soit 10 % de plus qu'en 2008. Fait à noter, parmi les ménages dont la situation s'est détériorée, une proportion de 18 % imputent cette situation à la diminution de la valeur de leurs placements, ce qui reflète directement la crise financière. «Dans le sondage précédent, l'année dernière, seulement 3 % identifiaient cette cause comme un des éléments principaux ayant causé la détérioration de leur situation financière», a précisé en conférence de presse le président du Conseil québécois du commerce de détail, Gaston Lafleur. Conséquemment, les consommateurs québécois ajustent leurs habitudes. Alors que 18 % disent n'avoir aucunement modifié leur comportement, d'importantes majorités disent rechercher davantage les rabais (69 %), fréquenter les mêmes magasins, mais acheter moins (62 %) ou encore fréquenter davantage les magasins moins chers (59 %). Deux consommateurs sur cinq (39 %) adoptent ces trois comportements. M. Lafleur a souligné que les détaillants parviennent à tirer leur épingle du jeu en se tournant notamment vers les soldes, réduisant de ce fait leur marge bénéficiaire. «Si on regarde par exemple le secteur du vêtement, plusieurs de nos détaillants ont quand même connu des ventes intéressantes, mais c'était au détriment des marges, parce qu'on a dû solder davantage. [...] Les ventes sont toujours présentes, mais par contre la marge bénéficiaire en prend pour son rhume», a-t-il dit. Les intentions d'achat des Québécois sont d'ailleurs révélatrices: ils anticipent réduire leurs dépenses dans toutes les catégories de biens courants, les baisses les plus fortes étant prévues dans les appareils audio et vidéo (-40 %), les meubles et électroménagers (-36 %), le matériel informatique (-31 %), les restaurants (-29 %) et les articles de sport (-28 %). Curieusement, toutefois, un ménage sur quatre prévoit malgré tout réaliser un achat important au cours de l'année, qu'il s'agisse d'une maison, d'un véhicule ou d'appareils électroménagers, une proportion qui se maintient d'une année à l'autre. «Je ne pense pas que les consommateurs québécois soient en situation de panique, mais ils seront probablement plus judicieux dans leurs sélections et leurs choix», a dit M. Lafleur. Le sondage a été réalisé par la firme AltusGéocom entre le 25 février et le 12 mars auprès de 1007 répondants. Sa marge d'erreur est de plus ou moins 3,2 %, 19 fois sur 20.
  14. Un sondage récent mené par la firme Environics montre que les Canadiens demeurent optimistes face à la crise, et ce, même si une majorité d'entre eux estiment que l'économie n'a pas encore touché le fond. Pour en lire plus...
  15. Sondage Un grand projet pour Montréal Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 18/02/2009 09h04 - Mise à jour 18/02/2009 12h19 http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/02/20090218-090400.html Après avoir perdu le Grand Prix de Formule Un et passé l'année 2008 dans l'ombre du 400e de la ville de Québec, les Montréalais rêvent de grands projets. Deux Montréalais sur trois souhaitent voir la Ville de Montréal investir dans un projet touristique majeur qui pourrait remplacer le Grand Prix de F-1, selon un sondage Léger Marketing-Le Journal de Montréal. De plus, l'idée de poser la candidature de Montréal pour la tenue de l'exposition universelle de 2020, lancée par le candidat à la mairie Benoît Labonté, plaît à une grande majorité des personnes sondées. «Les Montréalais croient que leur ville est mûre pour de grands projets mobilisateurs», analyse le président de Léger Marketing, Jean-Marc Léger. Selon le sondeur, l'exemple donné par la Ville de Québec avec les festivités du 400e anniversaire donne envie aux Montréalais d'en faire autant. «Les Montréalais ont regardé et aimé ce qu'ils ont vu à Québec avec les festivités du 400e qui ont eu un grand succès. C'est certain que ça les motive à en vouloir autant pour la métropole», note-t-il. Labonté jubile Plutôt malmené dans la première partie du sondage qui ne lui accordait, plus tôt cette semaine, un maigre 4% dans les intentions de vote, le chef de Vision Montréal, Benoît Labonté, se réjouit de voir les Montréalais appuyer son projet d'exposition universelle. «Quand on traverse une crise comme celle-ci, il faut des projets rassembleurs. Et la candidature pour l'expo de 2020, ce n'est pas seulement un projet à long terme. Il faut déposer le projet pour 2011 et ensuite, c'est parti pour neuf ans de grands changements et de développement pour Montréal», explique le chef de l'opposition. Selon M. Labonté, Montréal a besoin d'un projet qui leur redonnerait de la fierté. «Regardez l'impact qu'a eu l'Expo 67 sur Montréal, pendant 20 ans. Que serait Montréal aujourd'hui si l'exposition universelle n'avait pas eu lieu?»
  16. Sondage L'économie et le français en déroute Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 18/02/2009 09h10 http://www.canoe.com/archives/infos/quebeccanada/2009/02/20090218-091000.html La langue française perd du terrain à Montréal, et l'économie se dégrade, constatent une majorité des Montréalais interrogés dans le cadre d'un sondage Léger Marketing-Le Journal de Montréal. Trois Montréalais sur cinq trouvent que l'état de la langue française dans leur ville se détériore. L'opinion des Montréalais rejoint donc les conclusions de plusieurs rapports -et d'une récente enquête du Journal de Montréal -qui démontrent que l'utilisation du français recule à Montréal, particulièrement dans les commerces du centre-ville. Le gouvernement a lancé plus tôt cet hiver une vaste campagne pour promouvoir l'usage du français dans les commerces montréalais. L'économie aussi Sans surprise, la même proportion des répondants juge que l'économie de la métropole va de mal en pis. À peine 2% des personnes interrogées croient que l'économie s'améliore. «Avec la crise économique que nous traversons, il est un peu normal que les gens soient pessimistes», fait remarquer le sondeur Jean-Marc Léger.
  17. Le Québec Inc. est en panne Martin Jolicoeur, Les affaires 09:30 Seulement 16% des Québécois ont déjà créé ou repris une entreprise. Le mythe du Québec entrepreneur est résolument en déclin. Un sondage Léger Marketing montre que la province se trouve bonne dernière pour la plupart des indicateurs de l’entrepreneuriat au Canada. Raymond Bachand réagit au sondage Entrepreneuriat : Québec, société distincte Ainsi, seulement 16% des Québécois adultes affirment avoir déjà créé ou repris une entreprise, selon le sondage commandé par la Fondation de l’entrepreneurship. C’est le pire résultat au pays, loin derrière la moyenne canadienne, qui est à 24%. Et quand on se compare, on se désole. Ainsi, en Alberta, 38% des répondants (soit plus du double qu’au Québec) ont vécu l’expérience de l’entrepreneuriat; 30% au Manitoba; 29% en Colombie-Britannique. « La situation est alarmante au Québec, commente Mario Girard, pdg de la Fondation de l’entreneurship. Si rien ne change, si on ne se mobilise pas rapidement pour changer les choses, on se prépare à un lendemain de veille assez terrible. » Basé à Québec, cet organisme a eu l’initiative de ce sondage, le plus important jamais réalisé sur la question au pays. Plus de 17 000 Canadiens ont été sondés, dont plus de 10 000 Québécois. Dans tous les résultats de ce sondage, un entrepreneur est défini comme une personne ayant créé ou repris une entreprise, en incluant les travailleurs autonomes. En queue de peloton Le Québec se trouve également en queue de peloton en ce qui concerne la proportion de ceux qui ont créé une entreprise au cours des cinq dernières années. Ainsi, 2,8% des Québécois affirment avoir tenté l’aventure. Ce résultat est inférieur du quart à la proportion observée dans le reste du Canada (3,7%). Cette proportion atteint 3,6% en Ontario, près de la moyenne nationale, et même 4,3% en Alberta et 4,6% en Colombie-Britannique. Dans cette dernière province, le nombre d’adultes qui affirment avoir fondé une entreprise au cours des cinq dernières années dépasse de 65% celui du Québec ! L’écart est cependant moins grand en ce qui concerne l’intention de création d’entreprises au Québec. Au cours des cinq prochaines années, 7,1% des Québécois affirment vouloir se lancer en affaires, comparativement à une moyenne de 7,5% dans le reste du pays. Mais bien qu’il soit proche de la moyenne nationale, ce résultat inquiète au plus au point les spécialistes de la question. Il indique en effet un recul brutal de l’ambition d’entreprendre des Québécois, qui tournait autour de 15%, en 2007, d’après le consortium de recherche internationale Global Entrepreneurship Monitor (GEM). « En deux ans, le désir d’entreprendre des Québécois a fondu de moitié ! » se désole Nathaly Riverin, vice-présidente, vigie, recherche et développement à la Fondation de l’entrepreneurship et responsable de GEM Canada. Derrière les Maritimes Le seul aspect pour lequel le Québec semble se rapprocher de la moyenne canadienne concerne la proportion de la population qui affirme... avoir fermé une entreprise ! À ce chapitre, le Québec affiche un taux de 5,8%, comparativement à une moyenne nationale de 5,7%. Un résultat d’autant plus surprenant que la proportion d’entrepreneurs dans la province (7,3%) est presque deux fois moindre que celle du reste du pays (13,8%). À titre de comparaison, en Alberta, pas moins de 16,8% de la population se dit propriétaire d’une entreprise; 8,6% dans les provinces maritimes. « Dans le passé, observe Nathaly Riverin, le Québec parvenait toujours à devancer une ou deux régions du pays. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Québec se trouve au tout dernier rang, et même bien souvent derrière les Maritimes. » Problème de financement ? Par ailleurs, on remarque que les entrepreneurs du Québec comptent davantage sur le financement institutionnel que les autres Canadiens pour créer leur entreprise. Interrogés sur leur principale source de financement, le tiers d’entre eux (34%) citent les banques et autres institutions telles que la SGF ou la Caisse de dépôt et placement du Québec, et seulement 16% leurs économies personnelles. En Alberta, les modèles de financement sont complètement inversés : 39% puisent d’abord dans leurs économies, et 10% seulement s’en remettent aux institutions financières. Autre surprise : lorsque les entrepreneurs du Québec demandent l’aide du gouvernement, c’est une fois sur deux (49%) pour de l’aide financière. Dans le reste du pays, cette proportion n’est que de 30%. Faut-il en conclure que les entrepreneurs du Québec dépendent trop de l’État ou de tiers pour réaliser leurs projets? Pas forcément, estime M. Girard, qui pointe plutôt la rareté des grandes fortunes privées au Québec. Le sondage de la Fondation de l’entrepreneurship est le plus important jamais réalisé sur la question au pays. La firme Léger Marketing a sondé 17 192 Canadiens de toutes les régions du pays par Internet entre le 23 janvier et le 3 février. Parmi les répondants, 10 665 habitent le Québec. Les résultats du sondage comportent une marge d’erreur de 0,33 % au Canada et de 4,1 % au Québec. Ce sondage sera répété chaque année au cours des quatre prochaines années, ce qui permettra de suivre l’évolution de l’entrepreneuriat au pays.
  18. Tremblay seul dans la course Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 16/02/2009 05h17 - Mise à jour 16/02/2009 11h33 Gérald Tremblay semble bien en selle la mairie de Montréal. À l'aube d'une année électorale qui pourrait lui donner un troisième mandat à la mairie de Montréal, Gérald Tremblay semble complètement seul dans la course, selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le compte du Journal de Montréal. Le maire de Montréal éclipse totalement ses deux adversaires déclarés, Benoît Labonté et Richard Bergeron. Les résultats du sondage sont particulièrement catastrophiques pour le chef de l'opposition et nouveau chef de Vision Montréal, Benoît Labonté. Avec seulement 4 % des intentions de vote, il se retrouve derrière le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. «Benoît Labonté doit démontrer qu'il est une alternative sérieuse au maire Tremblay. Mais actuellement, pour les Montréalais, il n'y a pas de réelle alternative», analyse le sondeur Jean-Marc Léger. Car la principale force du maire sortant, c'est sa popularité. «Il est très populaire. Les autres sont accueillis dans l'indifférence actuellement», ajoute-t-il. Des inconnus De fait, les deux adversaires de Tremblay sont totalement inconnus de la majorité de la population. Trois personnes sur cinq ne connaissent par Benoît Labonté et seulement une personne sur cinq dit connaître Richard Bergeron, qui était pourtant candidat à la mairie aux dernières élections de 2005. Il avait fini avec 9%des voix. Est-ce possible que l'un des deux réussissent à surprendre Gérard Tremblay au fil d'arrivée? «Rien n'est impossible. Il peut se passer bien des choses d'ici les élections. Mais si des élections avaient lieu maintenant, Gérald Tremblay l'emporterait haut la main», indique M. Léger. Vision Montréal en déroute Le sondage tombe bien mal pour Benoît Labonté qui essaie tant bien que mal de maintenir l'unité de son parti Vision Montréal. Depuis l'automne dernier, au moins quatre personnalités de premier plan du parti ont claqué la porte: Robert Laramée, Claire Saint-Arnaud, Pierre Minville et, plus récemment, Christine Hernandez. Élu maire de l'arrondissement Ville-Marie sous la bannière du parti de Gérald Tremblay en 2005, Benoît Labonté a claqué la porte en septembre 2007 et rejoint Vision Montréal, l'ancien parti de l'ex-maire Pierre Bourque. Il a été nommé chef de Vision Montréal en mai dernier. Si Gérald Tremblay est élu pour un troisième mandat, il sera le premier à réussir l'exploit de-puis Jean Drapeau. Ni Jean Doré ni Pierre Bourque n'ont réussi à se faire élire trois fois.
  19. Les Québécois plus optimistes que les Ontariens Publié le 22 janvier 2009 à 00h00 | Mis à jour le 22 janvier 2009 à 06h48 Moins frappées jusqu'ici par la récession américaine et mondiale, les entreprises du Québec s'attendent à affronter le pire de la crise en 2009. L'optimisme de l'an dernier a carrément basculé dans le pessimisme chez les gens d'affaires, selon le nouveau sondage de la société de comptables Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT), réalisé de la fin d'octobre à la fin de novembre et rendu public hier par Sébastien Bellemare, directeur de son Centre international. RCGT a interrogé plus de 7200 dirigeants d'entreprise à capital fermé dans 36 pays, dont 300 au Canada. La marge d'erreur du sondage atteint 5,7%. Pour la première fois, le Québec fait partie de l'étude annuelle réalisée depuis 2003, avec 150 de ses entreprises. C'est une première aussi de voir la confiance chuter autant dans le monde, soit de 56 points de pourcentage. L'an dernier, l'indice affichait +40% pour les optimistes. Cette année, les pessimistes l'emportent avec 16%. Pourtant déjà frappé par le ralentissement économique (forestières, manufacturiers, exportateurs), le Québec devient pour 2009 carrément plus pessimiste que le reste du Canada sur les perspectives économiques, les profits et l'accès au financement. L'écart s'explique toutefois surtout par l'optimisme de l'Ouest canadien, motivé par la possible remontée rapide du prix du pétrole, car l'Ontario reste plus pessimiste que le Québec. Montréal compte par ailleurs plus d'optimistes (+17%) que les autres villes du Québec (+2%) et, surtout, que les régions (-21%) où la méfiance règne. La confiance des PME du Québec devance largement celle des grandes entreprises (42% contre 24%), car elles s'adaptent plus rapidement, selon Sébastien Bellemare. La pire crainte des entrepreneurs du Québec, tout comme de ceux du Canada d'ailleurs, c'est la chute de la demande des consommateurs. La grande majorité des entreprises québécoises (72%) redoutent en outre le financement difficile, au contraire de celles du reste du Canada qui croient à du crédit autant, sinon plus facile (51%). Le Québec craint de plus la rareté du personnel qualifié. Sur la planète, le record du pessimisme revient aux pays développés, avec de nouveau le Japon en tête (-85%), suivi par la France (-60%), le Royaume-Uni (-47%) et les États-Unis (-34%). Le Canada est le seul pays du G8 à rester optimiste (+3%), malgré tout. C'est Hong-Kong qui connaît la plus grande volte-face, avec l'optimisme de l'an dernier (+81%) qui se transforme en grand pessimisme (-49%) dans ce centre financier et commercial du monde. Par contre, les pays émergents voient plutôt des occasions d'affaires dans la récession, notamment en Inde (+83%), au Brésil (+50%) et en Chine (+30%).
  20. Près de la moitié des dirigeants de l'industrie automobile sont d'avis que la baisse des revenus affligera leur secteur d'activité pour les cinq prochaines années encore, indique un sondage KPMG. Pour en lire plus...
  21. Le pessimisme s'installe au Canada Mise à jour le mercredi 7 janvier 2009 à 14 h 08 Réunis à Toronto par l'Economic Club, mercredi, les économistes des grandes banques du pays ont averti les Canadiens que les six premiers mois de l'année seront difficiles. Économie « La première moitié de 2009 sera particulièrement terrible pour le Canada », a déclaré à ce propos l'économiste en chef de la Toronto Dominion, Don Drummond. Selon M. Drummond, si le Canada a été en mesure jusqu'ici d'éviter d'être heurté de front par la crise qui ébranle actuellement les États-Unis, les difficultés américaines devraient rattraper le Canada dès ce trimestre. Il faut ainsi s'attendre, toujours selon ces mêmes économistes, à ce que des dizaines de milliers d'emplois soient perdus au pays et que le taux de chômage grimpe au fil des prochains mois. Du côté de la croissance du produit intérieur brut, il ne devrait pas y avoir de reprises avant le second semestre, voire plus tard, et cette reprise devrait demeurer relativement faible pendant encore plusieurs mois. L'économiste de la Banque de Montréal Sherry Cooper croit toutefois que les politiques monétaires mises en avant par la Banque du Canada à la fin de l'année dernière devraient permettre au Canada de sortir de la récession assez rapidement. Les Canadiens pessimistes Or, il n'y a pas que les économistes des grandes banques qui envisagent des temps difficiles, les Canadiens seraient aussi des plus pessimistes en ce qui a trait à l'économie canadienne. Selon les résultats d'un sondage de la firme Pollara Strategic Insights présenté mercredi aux membres de l'Economic Club of Canada, la confiance des Canadiens à l'égard de l'économie de leur pays atteint son plus bas niveau observé depuis 25 ans. En effet, pas moins de 91 % des Canadiens sondés dans cette étude ont déclaré que le Canada était en récession contre seulement 22 % il y a un an. Consommation au Canada Interrogés sur l'évolution de l'économie canadienne au cours des prochains mois, 57 % des répondants ont déclaré croire que la situation économique va se détériorer au Canada au cours des 12 mois à venir. Au moins 68 % des personnes sondées s'attendent également à ce que l'économie des États-Unis continue elle aussi de se détériorer au cours de l'année à venir. En ce qui a trait à l'emploi, 68 % des répondants s'attendent à une détérioration marquée de l'emploi au pays, alors que 31 % s'attendent à voir un proche ou un membre de leur famille perdre son emploi en 2009. Pour ce qui est des prix, 50 % des Canadiens sondés ont dit craindre une augmentation de l'inflation en 2009, tandis que 80 % d'entre eux craignent plutôt de voir augmenter la dette du Canada. Ils n'étaient que 4 % à exprimer cette crainte il y a un an. En ce qui a trait à leur situation personnelle, 17 % des personnes sondées ont déclaré que leur situation économique s'était améliorée en 2008, 45 % ont affirmé qu'elle était demeurée stable, tandis que 36 % ont noté un recul de leur situation économique personnelle l'an dernier. Méthodologie Ce sondage présenté mercredi aux membres de l'Economic Club of Canada par le président de la firme Pollara Strategic Insights, Michael Marzolini, a été réalisé entre le 11 et le 18 décembre dernier auprès d'un échantillon de 2670 Canadiens et Canadiennes d'âge adulte. Sa marge d'erreur est de plus ou moins 2 %, 19 fois sur 20. Ce sondage est effectué chaque année par la firme Pollara Strategic Insights depuis 1985.
  22. Selon un sondage Presse Canadienne Décima, 58% des répondants au sondage ont dit souhaiter que le gouvernement dépense en fonction de ses moyens, plutôt que d'enregistrer un déficit. Pour en lire plus...
  23. L'économie américaine traverse sa plus longue et sévère récession depuis la Grande Dépression, indique le sondage mensuel du Wall Street Journal. Pour en lire plus...
  24. Selon un sondage dévoilé par le Mouvement Desjardins, pas moins de 42% des Canadiens de plus de 40 ans prévoient reporter leur retraite de 5,9 années en moyenne. Pour en lire plus...
  25. Un sondage national révèle que la confiance des Canadiens par rapport à leur sécurité financière demeure relativement bonne malgré la volatilité financière globale. Pour en lire plus...
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