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  3. PwC fait l'acquisition du cabinet Lehoux Boivin, situé à Brossard. Une transaction qui concrétise la volonté de l'entreprise de s'étendre dans les régions québécoises et de se rapprocher des PME. «Ce n'est qu'un début dans la réalisation de notre plan stratégique, dit Nicolas Marcoux, associé directeur national, bureau de Montréal et grandes villes chez PwC. Nous étudions d'autres possibilités d'acquisition sur la Rive-Nord de Montréal, et même sur l'île.» En vigueur depuis le 1er août, la transaction accroît de 40 personnes les effectifs de PwC au Québec. Ils grimpent donc à 1 035, dont 790 à Montréal, 190 à Québec et 15 à Gatineau. Les deux cofondateurs du cabinet de Brossard, Mario Boivin et Gilles Lehoux, passeront chez PwC. Martin Fontaine et Louis-Alexandre Lehoux, fils du cofondateur du cabinet, y deviennent quant à eux associés. Les deux parties ont refusé de divulguer le montant de la transaction. Ce dernier qualifie de «coup de foudre d'affaires» la rencontre entre les deux cabinets. «Nous sommes très près de nos clients et très engagés envers la communauté locale, dit-il. PwC, qui a une forte clientèle parmi les grandes entreprises, souhaite justement se rapprocher des PME. Nous partageons la même vision et les mêmes objectifs.» Le nouvel associé de PwC croit que les clients de Lehoux Boivin bénéficieront grandement de ce ralliement à un géant des services financiers. «Ils auront le meilleur des deux mondes, juge-t-il. Ils continueront de bénéficier du même service de proximité, tout en ayant accès à des services très spécialisés et à un réseau international que nous ne pouvions leur offrir.» Le cabinet Lehoux Boivin a été fondé en 1998. Il présente un chiffre d'affaires annuel d'environ 4 millions de dollars, que PwC croit pouvoir faire doubler ou même tripler assez rapidement grâce à l'acquisition de nouveaux clients. «Ce cabinet multidisciplinaire de premier plan se spécialise dans les services offerts aux PME détenues par des propriétaires dirigeants, explique Nicolas Marcoux. En ce sens, cette acquisition constitue une preuve tangible de notre engagement envers les sociétés privées et les entrepreneurs québécois.» Depuis qu'il est revenu au Québec - il a été leader national, transactions, pour tout le Canada chez PwC, de 2012 à 2015, un poste situé à Toronto -, Nicolas Marcoux n'a cessé de marteler l'intention de PwC de s'implanter dans les régions du Québec et d'offrir ses services aux PME. Il parle même de «changer le visage de PwC au Québec». Choix de modèle d'entreprise au départ, bien sûr. Après tout, le nombre très élevé de PME dans la province rend ce marché attractif pour un cabinet qui compte déjà son lot de très grands clients. Mais cet objectif peut aussi se confondre avec certains intérêts stratégiques de l'économie québécoise, croit Nicolas Marcoux. «On déplore régulièrement que des sièges sociaux quittent le Québec par voie d'acquisitions, note-t-il. Chez PwC, nous croyons que nous pouvons aider les entreprises d'ici à grandir et à devenir elles-mêmes acheteuses et consolidatrices. Grâce à nos services spécialisés, à notre expertise et à notre réseau international, nous souhaitons contribuer à créer les futurs CGI, Couche-Tard et autres WSP québécois.» Soutenir les entrepreneurs C'est par l'internationalisation que les entreprises québécoises deviendront de futures CGI. Or, les PME québécoises manquent de ressources pour se lancer à l'international. En 2012, une étude de Développement économique Canada pour les régions du Québec démontrait que l'un des principaux obstacles à l'internationalisation de nos PME était le manque de connaissances des marchés étrangers, de leurs lois et règlements et des occasions d'acquisitions qu'on peut y trouver. En ce sens, la présence de services professionnels et financiers de haute qualité en région est devenue incontournable. Même si elles n'arrivent pas encore assez à s'installer à l'étranger, peu de PME de nos jours n'ont pas de volet international dans leurs opérations. Plusieurs importent de l'Asie, exportent aux États-Unis ou ratifient des ententes commerciales avec des partenaires étrangers, notamment. Cela fait du réseau international de PwC un atout important pour ces entreprises. Mais en plus de cela, c'est aussi un certain isolement des entrepreneurs qu'il faut briser, selon Nicolas Marcoux. «Les entrepreneurs se sentent souvent seuls face aux importantes décisions qu'ils ont à prendre, déplore-t-il. Ils se heurtent à des dilemmes. Est-ce le moment de faire une acquisition ? De vendre ? De préparer le transfert de l'entreprise ? Ils ont besoin de conseils spécialisés et d'accès à des données de haute qualité concernant la dynamique d'affaires dans leur créneau ici et à l'étranger, de manière à faire des choix stratégiques judicieux.»
  4. Vidéotron construira un centre de données à Montréal pour 40 millions LIA LÉVESQUE La Presse Canadienne Vu les besoins croissants, Vidéotron a annoncé mercredi la construction d'un centre de données au coût de 40 millions $. Au cours d'une rencontre avec la presse, mercredi, la présidente et chef de la direction de Vidéotron, Manon Brouillette, a souligné que la décentralisation des serveurs des entreprises vers des centres de données était une tendance lourde à l'échelle mondiale, une tendance dont l'entreprise souhaite profiter. Le centre de 4000 mètres carrés sera situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, dans le Technoparc Montréal. Environ 300 emplois seront ainsi créés durant la phase de construction et entre 15 et 20 emplois permanents par la suite pour gérer les infrastructures, a précisé Mme Brouillette. Vidéotron souhaite ainsi intéresser les entreprises et les institutions de toutes les tailles et ne compte pas s'arrêter aux frontières du Québec. «On vise tout type de clientèle. On a 120 000 clients aujourd'hui; on a une demande de cette clientèle-là, mais également, il y a des clients de grande taille. On voit vraiment une tendance; on est près des frontières. Tout: le climat, le dollar canadien, tout ça fait en sorte que c'est très favorable pour des clients internationaux. L'avantage qu'on a, c'est que nos infrastructures, nous, on est déjà avec nos interconnexions avec les États-Unis, l'Europe, etc., pour recevoir des clients et être capables de transiter les données», a expliqué Mme Brouillette. Le maire de Montréal, Denis Coderre, présent lors de l'annonce, ne cachait pas sa fierté. Il s'est dit doublement content, d'abord pour son Technoparc qui continue de se développer avec un centre de technologie de pointe, ensuite pour la croissance du nombre de centres de données au Québec. «Il ne faut pas se le cacher: le Québec et Montréal connaissent un léger retard dans ce domaine. À titre de comparaison, l'Ontario compte 1146 centres de données; le Québec n'en compte que 411», a dit le maire Coderre. Pierre Dion, président et chef de la direction de Québecor, a précisé qu'en fait, c'est non seulement Montréal et Québec, mais «tout le Canada qui est en retard sur les États-Unis» en la matière. Le maire Coderre pense que ce centre de données de Vidéotron permettra d'attirer ici d'autres entreprises. «Grâce au nouveau centre de données qui sera érigé ici, les entreprises montréalaises et du Québec entier pourront bénéficier d'une infrastructure infonuagique à la fine pointe. Pour Montréal, c'est un avantage incroyable, qui nous permettra d'attirer chez nous de nouvelles entreprises numériques ou de conserver celles que nous avons déjà», s'est-il félicité. http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201509/16/01-4901121-videotron-construira-un-centre-de-donnees-a-montreal-pour-40-millions.php
  5. http://www.985fm.ca/economie/nouvelles/sears-canada-supprime-plus-de-1600-postes-pres-de-294144.html TORONTO - Sears Canada (TSX:SCC) a annoncé mercredi une nouvelle vague de licenciements touchant plus de 1600 travailleurs, dont près de la moitié à Montréal. Le détaillant a indiqué avoir supprimé 283 emplois dans ses entrepôts à travers le pays, espérant ainsi simplifier ses activités logistiques. Sears Canada a en outre dévoilé qu'il impartirait le travail de ses trois centres d'appels pour clients à Toronto, Montréal et Belleville, en Ontario, une décision qui éliminera 1345 emplois au cours des neuf prochains mois. Selon le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa, un total de 771 employés devraient donc subir une mise à pied au centre de contacts clients et au centre de logistique situés dans cet arrondissement montréalais. Le président et chef de la direction de Sears Canada, Doug Campbell, a indiqué que les suppressions d'emplois sont nécessaires à la santé de l'entreprise. «Les décisions de ce genre ne sont pas prises sans une réflexion profonde. (...) Nous planifions pour l'avenir de Sears Canada, et prenons des mesures maintenant qui nous permettront de continuer de servir nos clients», a-t-il fait valoir. Sears Canada tente de réduire ses coûts et d'améliorer ses activités dans le cadre d'un plan de redressement de trois ans visant à s'ajuster à la forte concurrence du secteur du détail. La société a fermé certains de ses magasins les plus en vue et réduit le nombre d'employés dans l'ensemble de ses activités. Les entrepôts touchés par les mises à pied les plus immédiates sont situés à Calgary, Montréal, Belleville et Vaughn, en Ontario, et en banlieue de Vancouver, a précisé le porte-parole Dan Madge. IBM deviendra fournisseur indépendant pour les services à la clientèle, les activités téléphoniques en anglais étant établies aux Philippines et celles en français émanant d'un bureau en Europe, a indiqué le porte-parole Vince Power. Sears Canada réduit l'ampleur de ses centres d'appel depuis plusieurs années. Depuis l'an dernier, Sears Canada a vendu les baux de certains de ses principaux emplacements, et a été plus agressif dans sa réduction du nombre d'employés dans l'ensemble de ses activités, allant des postes au siège social jusqu'aux services aux clients.
  6. Le Delta Centre-Ville de Montréal fermera ses portes le 31 octobre 2013 TORONTO, le 3 juill. 2013 /CNW/ - Delta Hôtels et Villégiatures a été informée par InnVest REIT, la société propriétaire de l'hôtel Delta Centre-Ville de Montréal, qu'au terme d'un examen stratégique de son portefeuille d'établissements, InnVest a vendu l'hôtel. Delta continuera à gérer l'hôtel jusqu'à sa fermeture, le 31 octobre 2013. Le nouveau propriétaire transformera ensuite l'établissement qui servira à un autre usage. « Delta Hôtels et Villégiatures gère l'hôtel Delta Centre-Ville depuis 1999 et n'a pas participé à la décision de vendre ou de fermer l'établissement », a affirmé Raymond Larivée, vice-président régional de Delta Hôtels et Villégiatures pour le Québec. « Nous sommes profondément désolés pour les employés touchés par cette décision et nous les soutiendrons tout au long de la période de transition. Nous leur offrirons des services d'orientation professionnelle par l'entremise de la firme internationale Lee Hecht Harrison, spécialisée dans la mobilité des talents, et nous essaierons également de les réaffecter ailleurs, dans la mesure du possible ». Durant la transition, Delta ne ménagera aucun effort pour réduire au minimum les répercussions sur ses employés et ses clients. L'équipe du Delta Centre-Ville maintiendra la qualité exceptionnelle de service qui caractérise la marque, et tous les programmes et services Delta demeureront en place jusqu'à la fermeture de l'hôtel. Les clients qui ont réservé une chambre ou un séjour d'affaires au Delta Centre-Ville pour une date antérieure au 31 octobre ne seront pas touchés. En ce qui concerne les réservations pour le 31 octobre ou une date ultérieure, Delta envisage diverses possibilités, notamment de les transférer à son autre hôtel de 456 chambres du centre-ville, le Delta Montréal, situé sur l'avenue du Président-Kennedy, qu'elle gère depuis 1986. Si cela s'avère impossible, Delta collaborera étroitement avec les autres établissements Delta de la région et d'autres hôtels de Montréal afin de répondre aux besoins de ses clients. http://www.newswire.ca/fr/story/1193757/le-delta-centre-ville-de-montreal-fermera-ses-portes-le-31-octobre-2013
  7. November 12, 2013, 8:55 a.m. ET National Bank Completes Acquisition of TD Waterhouse Institutional Services' Business -- This transaction further confirms National Bank Correspondent Network's leadership position by adding 260 market intermediaries, $35 billion of assets under administration and 130,000 end-clients to its book of business -- The acquisition marks another major step in National Bank's expansion of its wealth management platform across Canada MONTREAL, Nov. 12, 2013 /CNW Telbec/ - Following receipt of all required regulatory approvals, National Bank of Canada ("National Bank" or the "Bank") (TSX: NA) today announced the completion of its acquisition of TD's institutional services business known as TD Waterhouse Institutional Services (TDWIS). This business will be integrated into National Bank's Correspondent Network ("NBCN"), which is Canada's largest provider of custodial, trading, clearing, settlement and record keeping services to independent registered portfolio managers and introducing brokers. Building on its large existing client base, NBCN will be servicing over 400 independent market intermediaries across the country who collectively manage or administer $85 billion for almost one-half million Canadian investors once the TDWIS business is brought on board. This acquisition greatly extends NBCN's reach, further confirming its status as the clear leader in this growing and important segment of the securities industry. "This transaction is another major step in the implementation of National Bank's strategy of expanding across Canada by broadening the footprint of our wealth management platform" said Luc Paiement, Executive Vice President, Wealth Management, Co-President and Co-CEO of National Bank Financial. "It will add considerable scale to our operations and, in the process, bring a number of appreciable benefits to all National Bank wealth management clients in the form of new products and services". "In the last few months we have met with many of our new clients, and are very pleased with the trust and confidence they have shown by joining us. We are committed to delivering to them the same industry leading service and support we have been providing NBCN's clients with for the past 20 years." said Patrick Primerano, Co-CEO of NBCN. "We are proud that all 64 TDWIS employees to whom we made offers have accepted them, and we look forward to welcoming them into our NBCN team of professionals." This transaction is accretive to National Bank's bottom line, adding $0.12 of earnings per share for fiscal 2014 and $0.14 for fiscal 2015, assuming the full benefit of the acquisition is realized in fiscal 2014. As a result of the acquisition, National Bank's Basel III Common Equity Tier 1 ratio will be reduced by approximately 40 basis points as at National Bank's quarter ending January 31, 2014. Client conversion is expected to be completed in the 8 months following the closing of the transaction, and a transition services agreement will be in place in the interim. About National Bank of Canada With $187 billion in assets as at July 31, 2013, National Bank of Canada (http://www.nbc.ca), together with its subsidiaries, forms one of Canada's leading integrated financial groups, and was named among the 20 strongest banks in the world by Bloomberg Markets magazine. The Bank has close to 20,000 employees and is widely recognized as a top employer. Its securities are listed on the Toronto Stock Exchange (TSX: NA). Follow the Bank's activities via social media and learn more about its extensive community involvement at clearfacts.ca and commitment.nationalbank.ca. About National Bank Correspondent Network At the service of its clients for more than 20 years, National Bank Correspondent Network has become Canada's largest provider of custodial, trading, clearing, settlement and record keeping services to independent registered portfolio managers and introducing brokers by continually redefining the industry through innovative product development, expert client care and leading technology. NBCN's team is dedicated to giving its clients the very best service and the breadth of investment choices necessary to build a successful practice. Forward Looking Statements Certain statements included in this press release constitute forward-looking statements meant for its interpretation and shouldn't be used for other purposes. These forward--looking statements are made as of the date of this document. There is a strong possibility that express or implied projections contained in these forward-looking statements will not materialize or will not be accurate. The Bank recommends that readers not place undue reliance on these statements, as a number of factors, many of which are beyond the Bank's control, could cause actual future results, conditions, actions or events to differ significantly from the targets, expectations, estimates or intentions expressed in the forward-looking statements. These factors include, without limitation, the ability to attract and retain key employees who will support the acquired institutional services business, including certain senior management of the acquired institutional services business; the ability to complete the conversion of the client records, systems and operations supporting the acquired business within anticipated time periods and costs; the retention of substantially all of the clients of the acquired institutional services business following the closing; together with general factors such as credit risk, market risk, liquidity risk, operational risk, regulatory risk, and reputation risk, (all of which are described in greater detail in the Risk Management section that begins on page 57 of the Bank's 2012 Annual Report available at http://www.sedar.com); the general economic environment and financial market conditions in Canada, changes in the accounting policies the Bank uses to report its financial condition, including uncertainties associated with assumptions and critical accounting estimates; tax laws in Canada; and changes to capital and liquidity guidelines and to the manner in which they are to be presented and interpreted. The Bank assumes no obligation to update or revise these forward-looking statements to reflect new events or circumstances and cautions readers not to place undue reliance on them. SOURCE National Bank of Canada /CONTACT: (The telephone number provided below is for the exclusive use of journalists and other media representatives.): Claude Breton Assistant Vice-President, Public Affairs National Bank Tel.: 514-394-8644 H ne Baril Director, Investor Relations National Bank Tel: 514-394-0296 Copyright CNW Group 2013 http://online.wsj.com/article/PR-CO-20131112-907876.html
  8. Publié le 01 août 2013 à 16h02 | Mis à jour le 01 août 2013 à 16h07 La Banque Nationale du Canada (T.NA) et la Banque TD (T.TD) ont conclu un accord, par l'entremise de filiales, prévoyant l'acquisition par la Banque Nationale des services institutionnels de TD connus sous le nom de Services institutionnels TD Waterhouse. À l'instar du Réseau des correspondants de la Banque Nationale, Services institutionnels TD Waterhouse offre des solutions de post-marché, comprenant la garde de valeurs, la négociation, la compensation, le règlement et la tenue de dossiers, pour des gestionnaires de portefeuille inscrits et des courtiers remisiers indépendants canadiens. La Banque Nationale indique un prix d'achat à 250 millions de dollars, «sous réserve d'un mécanisme de rajustement du prix fondé sur la conservation des actifs». Elle ajoute que la transaction devrait augmenter le résultat par action récurrent de la Banque Nationale en 2014 et en 2015 de 12 cents et de 14 cents respectivement, dans la mesure où les retombées de l'acquisition se «concrétisent pleinement» dès l'exercice financier 2014. La Banque Nationale estime que la transaction réduira son ratio de fonds propres attribuables aux actions ordinaires (CET1) selon Bâle III d'environ 40 points de base. La transaction devrait avoir lieu plus tard cette année, sous réserve des autorisations réglementaires requises et autres conditions. Selon l'institution, son Réseau des correspondants sert actuellement plus de 140 gestionnaires de portefeuille et courtiers, agissant comme intermédiaires de marché indépendants, qui à leur tour servent ensemble plus de 350 000 comptes clients et gèrent des actifs de plus de 50 milliards de dollars. «Par cette acquisition, nous étendrons notre portée avec plus de 260 intermédiaires de marché additionnels, 130 000 comptes clients et environ 34 milliards d'actifs», a fait valoir par communiqué Luc Paiement, coprésident et co-chef de la direction, Financière Banque Nationale, et premier vice-président à la direction - Gestion de patrimoine. «Je suis convaincu que nos clients et nos employés continueront de se développer pleinement avec la Banque Nationale», a indiqué pour sa part Mushtak Najarali, premier vice-président, Services institutionnels TD Waterhouse. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201308/01/01-4676201-la-banque-nationale-soffre-un-morceau-de-la-td.php
  9. Microsoft achète la division affaires de l’entreprise lavalloise InCycle Software pour un montant qui n’a pas été dévoilé. Plus précisément, Microsoft achète la division InRelease, qui conçoit des solutions de gestion de développement continu d’applications. Grâce à cette acquisition, le numéro un mondial du logiciel dit vouloir «élargir son offre de solutions de développement des opérations utilisant Microsoft Visual Studio et Team Foundation Server.» Visual Studio est un ensemble d’outils qui permet de développer des applications Web, alors que Team Foundation Server est un système de développement collaboratif de logiciels. «L'acquisition d'InRelease ajoutera des capacités de gestion de lancement aux solutions de gestion du cycle de vie des applications (application lifecycle management, ou ALM en anglais) et de développement des opérations offertes par Microsoft, ce qui aidera les clients à offrir de meilleures applications plus rapidement et plus efficacement», a expliqué l’entreprise de Redmond dans un communiqué. «InRelease a été conçu comme un complément aux fonctionnalités existantes de Visual Studio. Nous sommes très heureux qu'il fasse maintenant partie d'une solution d'ALM intégrée dont tous les clients Visual Studio pourront bénéficier», déclare Claude Remillard, président d'InCycle Software. Fondée en 2002, InCycle Software possède des bureaux à Laval, New York, San Francisco et Seattle. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/microsoft-achete-a-laval/558304#.Uaz00thKR5F
  10. J'ai trouvé çà à Hollywood qui vient d'ouvrir, http://www.littleforkla.com/ et puis un bagel shop à Beverly Hills qui s'inspire de Montréal mais d'après les clients qu'on voit ici...
  11. Courtesy of Advisors.ca http://www.advisor.ca/news/industry-news/bmo-makes-buying-gold-simple-59141 Seems like BMO is following Scotia bank.
  12. Le 7e ciel pour les clients de l’hôtel Le Dauphin Rivesudexpress.ca VIEUX-LONGUEUIL – Afin d’offrir plus de services à ses clients, l’hôtel Le Dauphin, situé sur la rue Saint-Laurent dans l’arr. du Vieux-Longueuil, souhaite agrandir ses installations. Le bâtiment passerait ainsi de six à sept étages. Un second projet de règlement à cet effet était à l’ordre du jour du conseil d’arr. du Vieux-Longueuil, le 16 août. Il est à noter que ce projet d’agrandissement n’amènera pas l’aménagement de cases de stationnement supplémentaires, car aucune autre chambre ne sera construite à ce nouvel étage. En effet, les propriétaires, Jean-Pierre et Jean-François Milot, prévoient plutôt y ajouter deux salles de réunion, une salle à déjeuner, une salle d’entraînement et une terrasse avec une vue sur Montréal. Selon la Direction de l’urbanisme et du développement durable de la Ville de Longueuil, «le secteur est propice aux bâtiments de grande hauteur».
  13. lien video: http://www.youtube.com/watch?v=BRHTZ7TnMAA BRANCHEZ-VOUS! est allé manger dans un restaurant d'un tout nouveau genre au centre-ville de Montréal, l'iBurger. À cette occasion, nous avons pu tester leur table techno, qui intègre un écran tactile permettant aux clients de consulter le menu et de passer leur propre commande. Ouvert depuis la fin janvier à Montréal par Alexandre Maher (président), Frank Roche (VP aux opérations) et Jonathan Cyr (chef cuisinier), l'iBurger se distingue par la présence d'une surface tactile animée par un Mac Mini sur le dessus de chaque table. Le véritable défi des fondateurs de l'iBurger est de rentabiliser leur projet notamment en vendant des franchises, car chaque table coûte environ 3 200$. Pour l'instant, des personnes basées au Canada et au Maroc se sont montrées intéressées par l'achat d'une franchise iBurger. Évidemment, l'expérience du restaurant ne se résume pas uniquement à son aspect technologique. Lors de notre passage à l'iBurger, nous avons mangé un burger d'agneau accompagné d'un verre de vin rouge, proposé sur le menu pour accompagner le plat. Lors d'un deuxième passage au resto, nous avons aussi pu déguster l'assiette de fromage. Nous nous sommes régalés!L'écran est protégé par un verre tactile remplaçable en cas d'usure, mais les fondateurs du restaurant veulent garder leur technologie tactile secrète. L'écran tactile sert principalement à afficher et à détailler le menu ainsi que les différents plats, à l'aide d'images dignes de relever de l'art culinaire. Un petit historique est aussi proposé pour expliquer l'origine de chaque catégorie de plats (burger, hot dog, salade, pizza, etc.). Les usagers peuvent ainsi se laisser tenter par un plat et se le commander eux-mêmes. Les commandes sont directement dirigées vers la cuisine depuis la table, mais les clients peuvent aussi s'adresser directement au serveur. Une excellente utilisation de la surface tactile survient à l'heure de l'assiette de fromage. Grâce à des applications spécifiquement conçues pour contrôler le système à distance depuis un iPhone, les serveurs peuvent afficher le nom et la description des fromages. lien pour l'article: http://www.branchez-vous.com/techno/actualite/2011/03/iburger-montreal-restaurant-branche-mac-mini-table-tactile.html Autre article: http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/en-vrac/201103/21/01-4381388-iburger-des-ecrans-tactiles-pour-commander.php site internet: http://iburger.net/
  14. Foreclosures, immigration linked in report Areas hit hardest have high percentage of foreign-born heads of household By Timothy Pratt (contact) Wed, May 13, 2009 (2 a.m.) Las vegas Sun Counties with high foreclosure rates also tend to have large immigrant populations, according to a Pew Hispanic Center report released Tuesday. The study ranked Clark County sixth nationwide in foreclosure rates last year with 8.9 percent of the valley’s houses in the courts. Nearly 1 in 4 heads of household locally were foreign-born, much higher than the national rate of 4.7 percent. Half of those immigrants were Hispanic. But the study’s main author, Rakesh Kochhar, cautioned that focusing on those factors can lead to a “chicken and egg situation.” “The two things appear together, but is there a causal relationship? Not necessarily,” he said. Kochhar noted that jobs building houses drew many immigrants to the Las Vegas Valley in the past two decades. An unknown number of those workers bought homes. The report also shows that Hispanics, blacks and minorities in general entered subprime mortgages at higher rates than the rest of the population. Nationwide, for example, 27.6 percent of home loans to Hispanics in 2007 were high-priced and a third of loans to blacks were in the same category. Only 1 in 10 loans to whites were high-priced. So areas with higher shares of minorities tend to have higher numbers of homeowners with loans at risk of entering foreclosure. Kochhar’s report, titled “Through Boom and Bust: Minorities, Immigrants and Homeownership,” shows that counties with high foreclosure rates exhibit other factors, including rising unemployment rates and sinking home values. Clark County’s unemployment rate for March was 10.4 percent, tenth-highest among major metropolitan areas nationwide. The Pew report looks at unemployment rates only for 2008 as a whole, which in Clark County was 6.5 percent. The construction sector is among the hardest-hit in terms of job loss. And home values in Las Vegas dropped 31.7 percent in 2008, second most in the nation behind Phoenix, according to a recent Standard & Poor’s report. So there are several factors related to high concentrations of immigrants, each somehow related to another. As Kochhar wrote, “the presence of immigrants in a county may simply signal the effects of a boom-and-bust cycle that has raised foreclosure rates for all residents in that county.” Ian Hirsch, who manages Fortress Credit Services and has taken on hundreds of clients seeking to adjust their mortgages to avoid or get out of foreclosure, said the report’s conclusions match his on-the-ground experience. “It doesn’t surprise me,” Hirsch said. He pointed to the dozens of minority and immigrant clients he has seen who say, “This is not what I was told I was getting into” when they come to his office for help. The adjustable rates in their mortgages and the lack of financial assets they brought to the table lead many of those clients to foreclosure, he added. Some of those clients worked in the construction industry, building the homes that came with the boom. Now, Hirsch noted, with the construction of CityCenter and other large commercial projects nearing an end, unemployment may continue to rise in the coming months. This could bring more foreclosures and failed businesses. “Unfortunately,” Hirsch said, “I think it’s going to get worse before it gets better.”
  15. Publié le 22 avril 2009 à 05h00 | Mis à jour à 11h30 Une guerre du café à l'horizon Pierre Couture Le Soleil (Québec) Après la guerre des beignes, assisterons-nous à celle du café? McDonald's vient de lancer une vaste offensive sur Tim Hortons. Le but : gagner des parts dans le très lucratif marché des buveurs matinaux. Ne riez pas, de grosses sommes d'argent sont en jeu. L'an dernier, il s'est vendu au Canada plus de 1,8 milliard de tasses de café dans les restaurants et les établissements spécialisés. Les ventes de café ont ainsi progressé de 2 % (36 millions de tasses) par rapport à 2007. Selon un sondage commandé par la firme NPD Group, le café demeure le produit le plus prisé des Canadiens lorsqu'ils franchissent les portes d'un restaurant. Le tiers des ventes des restaurateurs sont associées au café. En calculant un profit net d'environ 85 % sur chaque tasse vendue, on comprend un peu mieux l'engouement des géants de la restauration rapide pour cette précieuse boisson chaude. Au Canada, Tim Hortons domine outrageusement la vente de café le matin. Ses parts de marché sont estimées à environ 70 %. À l'opposé, McDonald's ne contrôlerait que 10 % des ventes de café entre 6h et 10h30. L'an dernier, les 2917 succursales Tim Hortons ont généré beaucoup de fric, soit des revenus de 2 milliards $. Chez Tim Hortons, environ 50 % du chiffre d'affaires émane de la vente de café. Or, McDo pense qu'elle pourrait s'attirer de nouveaux clients dans ce marché au cours des prochains mois. Depuis lundi, et ce, jusqu'au 3 mai, la multinationale du hamburger offre le café gratuitement à tous les clients qui se présentent dans ses restaurants. Aucun achat n'est requis. Plusieurs analystes estiment que cette façon de faire est audacieuse et pourrait permettre à McDonald's de gagner de nouveaux adeptes (voire ravir des clients à Tim Hortons). On pense notamment aux irréductibles automobilistes qui n'hésitent pas à faire la file de longues minutes le matin chez Tim Hortons pour se procurer un café. McDo cherche depuis longtemps à rentabiliser ce service peu fréquenté le matin par ses clients. Il faut dire que Tim Hortons tire 60 % de ses revenus le matin. «Cette promotion vise essentiellement à mettre de la pression sur Tim Hortons», signale l'analyste Perry Caicco, de CIBC Marchés mondiaux, dans une note de recherche à ses clients. Car voilà, en pleine récession, McDonald's a tout à gagner. Et Tim Hortons, beaucoup à perdre. Tim Hortons demeure une marque très populaire auprès des Canadiens, mais il semble y avoir une limite à vendre des cafés, des muffins et des beignes le matin. On imagine d'ailleurs mal comment la chaîne de beigneries au nom du célèbre joueur de hockey pourrait faire mieux. Au petit déjeuner, Tim Hortons détient 65 % du marché de la vente de café, alors que près de 50 % de sa clientèle revient au moins quatre fois par semaine dans ses établissements. À moins d'ouvrir de nouveaux restaurants et de risquer de «cannibaliser» davantage ses franchisés actuels, Tim Hortons devra se résigner à des objectifs financiers plus modestes cette année et l'an prochain, pensent certains experts. Au dernier trimestre, Tim Hortons a notamment vu ses revenus grimper de 9,4 %, à 563,7 millions $, alors que ses profits nets ont glissé de 8,7 %, à 69,1 millions $. Alors que l'Association des restaurateurs prévoit une contraction des ventes de 1,8 % cette année dans le secteur de la restauration rapide, Tim Hortons pense toujours faire grimper ses revenus entre 3 et 5 %. Pour faire taire les rumeurs, Tim Hortons a décidé de hausser de 11 % son dividende annuel le mois dernier tout en s'engageant à racheter 5 % de ses actions en circulation en 2009. Chez McDo, l'offensive café devrait déboucher sur l'entrée progressive au Canada des McCafe. Une nouvelle section déjà introduite dans des restaurants de la chaîne en Europe et aux États-Unis. Les McCafe offrent des cappuccinos, des cafés lattés et des pâtisseries à des prix, dit-on, imbattables. Chemin faisant, l'analyste David Hartley, de BMO marchés des capitaux, s'attend à ce que le titre de Tim Hortons fasse du surplace cette année. Il croit que d'ici un an, l'action vaudra 31 $. Hier, le titre de Tim Hortons (TSX : THI) a terminé la journée à 30,64 $, en hausse de 17 ¢. Il y a un an, le même titre s'échangeait autour des 34 $. L'analyste de BMO note toutefois que le titre de Tim Hortons se transige ces temps-ci à des ratios plus élevés que la moyenne de l'industrie. À la Financière Banque Nationale, Jim Durran vient d'ailleurs de revoir à la baisse sa cible annuelle sur Tim Hortons, passant de 37 $ à 33 $. L'analyste redoute les effets de la récession et de la compétition ainsi que les faibles bénéfices dégagés par les succursales aux États-Unis.
  16. Le début de l'ère de la postconsommation? Publié le 31 mars 2009 à 06h42 | Mis à jour le 31 mars 2009 à 06h44 La Presse (Montréal) Avis aux détaillants qui attendent la fin de la récession pour voir les consommateurs se ruer à nouveau dans leurs magasins: ceux-ci risquent de bouder les centres commerciaux beaucoup plus longtemps que prévu. Et la crise économique n'est que la pointe de l'iceberg qui s'apprête à frapper de plein fouet le commerce de détail. C'est en tout cas ce que prédit Dan Stanek, vice-président exécutif de la firme de recherche en commerce de détail TNS Retail Forward. Cet homme, qui possède 25 ans d'expérience en marketing et qui a conseillé des clients de la trempe de Wal-Mart et Toys-R-Us, va même jusqu'à prédire que la crise économique ne fera qu'accélérer notre entrée dans «l'ère de la postconsommation». «Les consommateurs ne font pas que réagir à la crise, a expliqué hier M. Stanek devant une assemblée de commerçants qui voient les clients délaisser leurs magasins. Ils sont en train de renforcer un nouveau modèle de consommation qui s'installe depuis quelques années.» Son allocution, prononcée dans le cadre du Congrès annuel du commerce de détail québécois, visait à démontrer que l'époque où les Occidentaux étalaient leur richesse en consommant tout et n'importe quoi est en train de prendre fin. «La surconsommation n'est plus un signe de succès. Les gens rient de la surconsommation», a dit le conférencier en montrant quelques sites web qui se moquent du consumérisme. Et cette idée de «dépenser moins et vivre mieux» dépasse largement le cercle des anticapitalistes purs et durs. M. Stanek observe que même les plus fortunés sont en train de changer leurs habitudes. «L'idée n'est plus d'en mettre plein la vue avec le luxe et les marques connues», dit-il. Selon lui, la volonté de réduire sa consommation s'allie aujourd'hui aux préoccupations environnementales pour former un «alliage très fort». «On fait rimer économie et écologie. On n'est pas seulement en train de sauver la planète. On sauve aussi de l'argent en même temps.» Mouvement accéléré Nul doute que la crise économique est en train d'accélérer le mouvement. Les consommateurs qui ont vu la valeur de leur maison dégringoler au même rythme que leurs placements n'oublieront pas de sitôt leurs mésaventures, croit M. Stanek. Mais pour lui, «les facteurs économiques ne sont que la pointe de l'iceberg». Et il est faux de croire que la tendance s'inversera aussitôt la crise passée. «Ce n'est pas quelque chose qui va disparaître, dit M. Stanek. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour les détaillants.» En marge de son allocution, M. Stanek a affirmé à La Presse Affaires que les détaillants canadiens pourraient être particulièrement touchés par cette nouvelle mouvance. «Chez vous, près des deux tiers du commerce de détail se fait par des détaillants indépendants. Ces gens n'ont peut-être pas les ressources pour faire face à la tempête. D'un autre côté, la récession a retardé les plans de bon nombre de détaillants américains qui voulaient étendre leurs opérations au Canada. Ça donne la chance aux détaillants canadiens de se repositionner.» Et comment, justement, se repositionner? Tout conférencier qui se respecte donne ses trucs en temps de crise pour «transformer les difficultés en opportunités». Ceux de M. Stanek: d'abord comprendre ce changement de valeurs des consommateurs, puis répondre à leur désir d'économiser et de sauver la planète. Autre filon: si les consommateurs délaissent les marques, ils recherchent aujourd'hui des produits uniques, personnalisés, qui leur ressemblent. M. Stanek a donné plusieurs exemples hier, dont Keds, un fabricant de chaussures qui permet aux clients de faire eux-mêmes le design de leurs chaussures sur internet, où la chaîne de magasins Macy's, qui adapte maintenant chaque magasin aux besoins locaux des consommateurs.
  17. Afin de soutenir le marché, les banques canadiennes comptent proposer à leurs clients des arrangements hypothécaires avant même que ceux-ci n'éprouvent des difficultés à remplir leurs obligations. Pour en lire plus...
  18. Publié le 19 février 2009 à 06h14 | Mis à jour à 06h18 Montréal, porte d'entrée du financier Stanford au pays Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville. Francis Vailles La Presse (Montréal) «Nous voulons vous informer que la Banque Stanford Internationale n'a aucun investissement dans les fonds Madoff.» Telle est l'assurance que donnait la banque accusée de fraude à ses clients à la mi-décembre, dans la foulée du scandale Madoff. Cette missive, dont La Presse Affaires a une copie, a été transmise aux clients canadiens de la Banque Stanford, en français et en anglais. L'organisation a un bureau en plein centre-ville de Montréal, avenue McGill College, ce qui en fait la porte d'entrée de l'organisation au Canada. Lundi, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis a gelé les actifs de la Stanford International Bank et de ses affiliés, accusant l'organisation et ses dirigeants, Robert Allan Stanford, James M. Davis et Laura Pendergest-Holt, de fraude massive. La banque, située dans le paradis fiscal d'Antigua, et ses affiliés Stanford Group Company et Stanford Capital Management, de Houston, au Texas, ont vendu des «certificats de dépôt» totalisant environ 8 milliards US en promettant des rendements irréalistes de plus de 10% depuis 15 ans, selon la SEC. Les investissements de Stanford n'étaient pas liquides, contrairement à ce que les dirigeants affirmaient aux clients; une bonne partie était investie dans l'immobilier et des placements privés, selon la SEC. En outre, l'entreprise est exposée aux fonds Madoff, contrairement à l'assurance faite aux clients. Stanford est présente à Montréal depuis quatre ans, selon le registre des entreprises du Québec. Les locaux sont situés au 30e et dernier étage de la Place Montréal Trust, avenue McGill College, la rue la plus chère à Montréal pour la location de bureaux. Les locaux visités par La Presse Affaires sont dignes d'une institution prospère: plancher de marbre, fauteuils en cuir capitonné, vue magnifique sur le centre-ville, etc. À la réception, impossible d'avoir un entretien avec le directeur, Alain Lapointe. La réceptionniste nous renvoie au département des communications de l'entreprise, situé en Floride, où il n'a pas été possible d'avoir la communication. Plus tôt, au téléphone, la réceptionniste nous avait indiqué que tout continuait à fonctionner normalement selon les instructions des clients. Le bureau de Montréal, le seul au Canada, nous a-t-elle dit, compterait une demi-douzaine d'employés. Au début de décembre, l'entreprise a commencé à faire circuler un nouveau bulletin d'information parmi ses employés et clients appelé Stanford Did You Know. Dans ce document obtenu par La Presse Affaires, l'organisation prétend qu'elle continue à croître malgré la crise financière sans précédent. «Ne vous y trompez pas, nous resplendissons plus que jamais», écrit l'entreprise. La SEC s'interroge d'ailleurs sur les rendements improbables de Stanford. En 2008, selon la SEC, la banque soutient que son portefeuille diversifié n'a perdu que 1,8%, comparativement à 39% pour la Bourse américaine (S&P 500). Selon la SEC, les dirigeants n'ont pas collaboré avec les enquêteurs, qui tentaient notamment de savoir ce qu'il est advenu de 90% des fonds de 8 milliards, placés dans une espèce de «boîte noire» inaccessible. Hier, selon l'agence Bloomberg, le SEC disait ne pas savoir où se trouve Allan Stanford. Pas d'enquête à l'AMF Au Québec, l'Autorité des marchés financiers (AMF) n'a pas entrepris d'enquête sur la Banque Stanford. «À la lumière des faits connus, l'AMF n'a pas juridiction, car il s'agit d'une succursale d'une banque étrangère, avec des activités de dépôt», a expliqué Nathalie Drouin, directrice générale du contrôle des marchés de l'AMF. Une telle banque relève plutôt du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), qui a commencé une enquête. Par ailleurs, le directeur de la succursale montréalaise de la banque, Alain Lapointe, est membre du conseil d'administration de l'Association des diplômés de HEC Montréal. À ce titre, il a participé aux campagnes de souscription de l'organisme. M. Lapointe a obtenu son MBA de HEC en 1985. Son nom ne figure pas dans l'acte d'accusation de la SEC. Aucun autre membre du conseil de l'Association n'a de liens avec Stanford et l'organisme n'a pas placé d'argent dans cette banque, nous indique Jacynthe Alain, porte-parole de HEC Montréal. Alain Lapointe n'est pas l'ancien professeur d'économie de cette école, aujourd'hui à la retraite.
  19. Publié le 09 février 2009 à 05h00 | Mis à jour à 09h20 Temps durs à venir pour les hôtels Violaine Ballivy La Presse Les prochains mois s'annoncent difficiles pour les restaurants et les hôtels. Ils devront multiplier les efforts afin de convaincre les clients d'ouvrir leur portefeuille pour se gâter un peu. Des milliers d'entre eux sont réunis ces jours-ci à Montréal pour trouver le produit, le concept, le slogan qui aura raison du ralentissement appréhendé. «Les taux d'occupation sont en baisse, et nos clients (les hôteliers) sont plus exigeants», témoigne Claire Grenier, représentante d'une entreprise qui alimente les hôtels de la province en produits d'entretien, savons, shampoings et autres. Dans les allées du centre d'exposition de la place Bonaventure, où sont réunis quelque 400 fournisseurs d'hôtels et de restaurants jusqu'à mardi, les vendeurs de mobilier, d'ustensiles de cuisine et autres sont souriants. L'optimisme est de rigueur dans ce type de salon. «Il ne faut pas laisser la déprime gagner du terrain, mais c'est sûr qu'il faudra probablement s'ajuster au cours des prochaines semaines, réviser nos façons de faire», dit Victor Francoeur, président de l'Association des fournisseurs d'hôtels et de restaurants. «Il y a des craintes, confirme à son tour Danielle Chayer, directrice générale de l'Association des hôteliers du Québec (AHQ). Si les gens perdent leur emploi, cet été, ils vont faire des sorties d'une journée pour éviter de payer l'hôtel.» L'AHQ a même fait modifier le programme de son congrès annuel, qui débute ce matin à Montréal, pour inclure des séances d'information sur les moyens de surmonter les contrecoups de la crise financière. Victor Francoeur croit que l'une des solutions est de se montrer plus sensible aux clients. «Ce n'est pas normal qu'on néglige de demander à un client qui arrive de l'étranger ce qu'on peut faire pour l'aider à surmonter le décalage horaire.» Le marché devrait aussi se recentrer sur l'Asie, la Russie et l'Inde. «À peine 15% des Américains possèdent un passeport, et les autres ne s'en feront certainement pas délivrer un pour venir au Canada quand il sera essentiel pour traverser la frontière en voiture», dit-il. Des clients en profiteront Pour Michel Archambault, titulaire de la chaire de tourisme de l'UQAM, le moment est idéal pour donner un nouveau souffle à l'industrie. «Le parc hôtelier est vieillissant, il aurait besoin d'une bonne mise à niveau dans plusieurs régions du Québec pour que les clients aient des souvenirs plus favorables de leur passage», dit-il. En concurrence avec ceux des grandes métropoles, les hôtels de Montréal devront aussi se montrer plus féroces pour attirer les clients. «Il faut être imaginatif, être présent sur les blogues, les sites internet, prendre d'assaut le web», dit-il. Les touristes dont le portefeuille n'aura pas été trop malmené par le ralentissement économique devraient en profiter. «Les grandes chaînes hôtelières ont adopté de bonnes stratégies pour fidéliser la clientèle en offrant la troisième nuit gratuitement ou des rabais sur l'internet. Les clients en auront davantage pour leur argent.»
  20. Pendant qu'Hydro demande aux Québécois d'économiser l'électricité par temps froid polaire, elle allonge plus de 7000 $ pour chaque mégawatt racheté à des clients industriels. Pour en lire plus...
  21. L'Ukraine a en théorie levé le principal obstacle à la reprise des livraisons gazières aux clients européens. Pour en lire plus...
  22. Transat prévoit survoler la récession 18 décembre 2008 - 06h00 La Presse Marie Tison Jean-Marc Eustache Jean-Marc Eustache s'attend à ce que Transat (TRZ.B) traverse sans trop de mal la zone de turbulences économiques actuelle. «Aujourd'hui, je suis serein, je ne vois rien à l'horizon, même si on me dit qu'il est très sombre, je ne vois rien qui me rende extrêmement inquiet», a déclaré le président et chef de la direction de Transat au cours d'une téléconférence hier, à l'occasion de la divulgation des résultats du quatrième trimestre. Les revenus de Transat ont augmenté de 16,2% au quatrième trimestre par rapport à la même période de l'exercice précédent et le bénéfice lié à l'exploitation a grimpé de 80% pour atteindre 15,9 millions de dollars. M. Eustache a affirmé que les réservations pour la saison d'hiver étaient supérieures à ce qu'elles étaient l'année dernière à pareille date. Click here to find out more! Il a ajouté qu'il avait vécu plusieurs périodes de récession et qu'il était également passé au travers les attentats de 1995 en France, les attentats terroristes du 11 septembre 2001 et de la crise du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) au Canada. «Notre entreprise a toujours continué à se développer, a-t-il affirmé. Mon expérience de récession me dit que ça ne devrait pas se passer trop mal.» Il a expliqué que beaucoup de clients de Transat étaient des fonctionnaires, des policiers, du personnel infirmier, des gens qui continuaient à travailler. «Ils sont habitués à voyager assez régulièrement et je pense qu'ils vont continuer à voyager, a-t-il avancé. Peut-être vont-ils diminuer les dépenses dans les biens durables, mais le voyage, ça fait un peu partie des moeurs.» Selon lui, les clients pourraient réduire les dépenses liées au voyage et choisir des forfaits Trois étoiles plutôt que des forfaits Quatre étoiles, mais continuer à voyager quand même. Il s'agira alors d'adapter l'offre aux besoins des clients. «Nous avons un avantage dans notre pays, nous avons un hiver froid, a ajouté le grand patron de Transat. Rendus en février, même les plus durs, qui ont résisté à l'hiver, finissent par craquer et aller dans le sud.» Transat entend quand même faire preuve de prudence. Ainsi, le voyagiste n'entend pas procéder à des acquisitions dans un proche avenir. «S'il y a des acquisitions fantastiques à faire, nous allons regarder, mais je ne pense pas que ce soit le temps de faire des acquisitions», a déclaré M. Eustache. Transat attendra également un peu avant de bâtir un nouvel hôtel sur un terrain acheté à Punta Cana. L'entreprise mettra plutôt l'accent sur l'amélioration de sa rentabilité. Même si les ventes sont prometteuses, l'entreprise s'attend à ce que les marges de 2009 soient inférieures à celles de 2008 en raison de l'affaiblissement de l'économie canadienne et de la concurrence accrue vers le Mexique et les Caraïbes. En 2008, les revenus de Transat ont augmenté de 15% pour atteindre 3,5 milliards. Le bénéfice lié à l'exploitation a glissé de 18,4% pour se fixer à 57,5 millions, en raison surtout de la hausse rapide des prix du carburant. Des éléments qui n'étaient pas liés à l'exploitation ont toutefois plombé les résultats de l'entreprise. C'est ainsi que le bénéfice net de 78,5 millions réalisé en 2007 s'est transformé en perte nette de 50 millions en 2008. Ce dernier résultat est notamment lié à une perte de 106,4 millions liée à la juste valeur marchande du programme de couverture mis en place par Transat pour se protéger contre les fluctuations des prix du carburant. En vertu des règles comptables, cette perte doit être placée dans les résultats. Par contre, selon les mêmes règles, un gain de 196,1 millions lié à la juste valeur du programme de couverture sur les devises ne peut pas être inscrit dans les résultats. Il doit plutôt être comptabilisé au bilan. «Avec les nouvelles règles comptables, nous sommes obligés de dire des choses que, malheureusement, je trouve farfelues», a déploré M. Eustache. Les résultats de 2008 comprennent également une dévaluation de 45,7 millions liée au papier commercial adossé à des actifs (PCAA). Le titre de Transat n'a pas été échangé hier en raison d'une panne informatique majeure à la Bourse de Toronto.
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