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  1. http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/379343/un-nouveau-quartier-pour-les-riches-ou-pour-tout-le-monde Un nouveau quartier pour les riches ou pour tout le monde? 29 mai 2013 07h46 | Marco Fortier | Le blogue urbain Photo : Société immobilière du Canada (SIC) Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Ce quartier vaut de l’or. À deux pas du centre-ville de Montréal, grand comme 120 terrains de football, le Bassin Wellington a le potentiel d’accueillir 3 millions de pieds carrés de bâtiments, soit une superficie équivalente à deux fois la Place Ville-Marie. Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Sans faire de bruit, la Société immobilière du Canada (SIC) a appelé le mois dernier les promoteurs immobiliers à soumettre des projets pour redonner vie à ce secteur au passé industriel. La SIC a confié ce mandat de relance au groupe financier Brookfield. On en sait bien peu sur les intentions de Brookfield et de la SIC, une société d’État qui a pour mission de développer les terrains du gouvernement fédéral. Mais déjà, des groupes communautaires de Pointe-Saint-Charles montent au front pour éviter que le Bassin Wellington soit offert à un promoteur privé sans véritable débat public. Ne pas répéter Griffintown « Il reste tellement peu de terrains publics dans ce secteur, ils ont tous tellement été bradés au profit d’entreprises privées, que nous demandons un développement qui réponde aux besoins réels des Montréalais », dit Karine Triollet, du groupe communautaire Action-Gardien. Elle dit craindre une répétition de ce qu’elle considère comme « les erreurs de Griffintown », le quartier voisin : la construction de milliers de condos vendus à prix d’or, sans tenir compte des 80 % de Montréalais qui n’ont pas les moyens de s’y installer. « Un maigre 15 % à 20 % de logements communautaires, c’est insuffisant », dit-elle. Karine Triollet n’est pas contre le développement économique, mais elle dit souhaiter une vaste réflexion sociale avant de lancer ce nouveau chantier. On verra dans les prochains mois si les groupes communautaires auront été entendus. Ou si l’épaisseur du portefeuille sera le principal critère pour choisir les résidants.
  2. Sans vouloir remettre de l'huile sur le feu, je trouve l'article intéressant et révélateur Publié le 07 juin 2013 à 06h19 | Mis à jour à 06h19 Francis Vailles, André Dubuc La Presse (Montréal) Jacques Villeneuve a récemment déclaré que l'impôt n'a rien à voir avec son départ du Québec. Pourtant, au fil des années, le coureur automobile n'a pas hésité à faire des détours par Monaco et Andorre, en passant par la Suisse, pour s'installer dans des lieux fiscalement accommodants. Même au Québec, qui n'est pourtant pas un paradis fiscal, la loi lui a offert des options intéressantes pour minimiser les impôts sur sa fortune, estimée à plusieurs dizaines de millions de dollars. Exemption sur la plus-value? Selon nos recherches, une disposition de la Loi de l'impôt permet à un contribuable, à certaines conditions, d'éviter l'impôt sur la plus-value de la plupart de ses placements s'il a été résidant moins de 60 mois durant les 10 dernières années. L'exonération s'applique sur l'essentiel des biens dont le contribuable était propriétaire à son arrivée et qu'il a conservés jusqu'au jour de son départ, explique André Lareau, professeur de fiscalité à l'Université Laval. Il n'est pas possible de connaître les dates d'arrivée et de départ qu'a déclarées Jacques Villeneuve au fisc. Toutefois, selon un document suisse obtenu par La Presse, Villeneuve a eu sa résidence principale dans la commune d'Ollon, dans les Alpes suisses, jusqu'au 30 juin 2007. Le document indique qu'il a alors déménagé dans un appartement terrasse du Vieux-Montréal. La règle de cinq ans pourrait donc avoir cessé de s'appliquer pour Jacques Villeneuve vers le 30 juin 2012. Selon nos informations, le pilote a mis en vente son chalet des Laurentides en février 2012 et sa maison de Westmount en 2012, également. Lui-même nous a confirmé avoir cessé d'être résidant en 2012, mais il n'a pas voulu préciser la date. Dès que l'échéance de 60 mois est franchie, le gain en capital de ce portefeuille devient pleinement imposable au Canada. Le moment où Jacques Villeneuve a cessé d'être résidant canadien pour devenir résidant d'Andorre est donc «très, très important», confirme Éric Labelle, fiscaliste chez Raymond Chabot Grant Thornton. S'il part officiellement avant le 60e mois, il ne paie pas d'impôt de départ sur le gain de ses avoirs. S'il part après, ses gains sur cinq ans deviennent pleinement imposés. Cette disposition concerne seulement l'impôt sur la plus-value de ses biens (gain en capital). Durant sa résidence au Canada, Villeneuve devait tout de même payer des impôts sur tous ses revenus mondiaux, même sur les intérêts et dividendes d'un portefeuille qui serait resté dans un paradis fiscal. Par contre, à l'avenir, il ne paiera pas d'impôt sur ses revenus et placements, puisqu'il n'y a pas de tels impôts dans la principauté d'Andorre, où Jacques Villeneuve est maintenant résidant. Un autre paradis fiscal Officiellement, Jacques Villeneuve a quitté la Suisse pour s'établir au Québec en 2007. Toutefois, le coureur automobile avait un pied-à-terre à Montréal dès 2003, a appris La Presse. L'ex-pilote de Formule 1 s'est alors acheté un penthouse par l'entremise d'une société des îles Vierges britanniques, paradis fiscal des Antilles. Cette société, baptisée Sapphire Blue Holdings, a comme adresse une boîte postale à Tortola, capitale des îles Vierges britanniques, où les entreprises ne paient pas d'impôts. Nulle part le nom de Jacques Villeneuve ne figure sur l'acte d'achat notarié de la transaction, en 2003, ni sur l'emprunt hypothécaire avec la Banque HSBC, en 2005. Sapphire était alors représentée par un avocat de Montréal. Une transaction subséquente précise cependant que Jacques Villeneuve est actionnaire à plus de 90% de Sapphire. Le condo a été acheté de sa soeur, Mélanie Villeneuve, en 2003. Sapphire l'a payé 400 000$, soit près de 300 000$ de moins que ce que Mélanie Villeneuve avait elle-même payé un an plus tôt. Les trois fiscalistes consultés par La Presse ne s'expliquent pas pourquoi une société des îles Vierges britanniques a été utilisée. Selon eux, Sapphire a probablement dû payer au Canada un impôt net de 25% sur le gain de 1,1 million réalisé à la vente du condo, en 2008, même si la société était incorporée dans un paradis fiscal. Résidence principale et secondaire Au Canada, Jacques Villeneuve a toujours deux propriétés connues situées à Westmount et à Harrington, dans les Laurentides. Le fisc permet au contribuable de choisir une propriété comme résidence principale, qui devient alors non imposable. La maison rénovée de Westmount, en vente à 7,5 millions de dollars, a été payée 3 millions, ce qui permet d'espérer un gain appréciable. La propriété de Harrington a été payée 1 million et elle est en vente à 5 millions. L'une des deux propriétés - idéalement celle qui procure le plus grand gain - sera non imposable, à titre de résidence principale. Quant à l'autre, elle pourrait également être exemptée d'impôts, selon l'historique fiscal de Villeneuve. En effet, selon les règles fiscales canadiennes, le pilote peut utiliser des pertes en capital réalisées au Canada ou ailleurs dans le monde durant son séjour ici pour réduire ou annuler le gain en capital qu'il réalisera à la vente de ses biens ici. «Il ne fait rien d'illégal. Au fond, il structure ses affaires pour payer le moins d'impôt possible, comme c'est le cas des autres coureurs automobiles», dit Éric Labelle. Son parcours fiscal Jacques Villeneuve a récemment déclaré que l'impôt n'a rien à voir avec son départ du Québec. La Presse a fait le tour de ses activités pour constater que les questions fiscales ont pourtant été bien présentes au fil de sa carrière. PRINCIPAUTÉ DE MONACO Ligne de départ Années de résidence: 1996-2002 0% Pas d'impôt sur le revenu des particuliers, ni sur les plus-values ni sur le capital. SUISSE, CANTON DE VAUD (OLLON) 1er virage Années de résidence: 2002-2007 Forfait fiscal Plutôt que de remplir un document dans lequel il déclare ses revenus et ses placements, le contribuable négocie une somme annuelle forfaitaire avec les autorités fiscales, calculée selon ses dépenses en Suisse. ÎLES VIERGES BRITANNIQUES Arrêt aux puits Année de création de la société d'investissement: 2003 0% Pas d'impôt sur le revenu des sociétés ni sur les gains en capital. «Dans les îles Vierges britanniques, c'est très facile de créer des sociétés-écrans. Ça coûte très peu cher, quelques centaines de dollars. Ça permet aux gens de faire des investissements et de détenir des comptes de façon anonyme, au moyen de prête-noms.» - Entretien téléphonique avec La Presse de Gabriel Zucman, chercheur à l'École d'économie de Paris et auteur de l'article «Missing Wealth of Nations», portant sur les paradis fiscaux. QUÉBEC La chicane Années de résidence: 2007-2012 49,97% Taux d'imposition marginal sur les revenus de 49,97%. Gain en capital imposé à 50%. Pleine exemption d'impôts sur la résidence principale. Exemption sur le gain en capital des avoirs étrangers pour les contribuables qui résident cinq ans ou moins. PRINCIPAUTÉ D'ANDORRE Ligne d'arrivée: Années de résidence: 2012 0% Aucun impôt direct ni sur les revenus de travail et de placements ni sur les successions pour les personnes physiques ayant leur résidence en Andorre.
  3. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/ericsson-jean-coutu-valeant-van-houtte-les-projets-d-investissement-prive-se-multiplient-au-quebec/558406#.UbDMbfk98kU Green Mountain Coffee Roasters Canada (GMCR), propriétaire de Van Houtte, a convoqué les journalistes pour leur présenter un «investissement majeur» à Montréal vendredi. L’annonce sera faite par Sylvain Toutant, président de GMCR Canada, en compagnie de Pauline Marois et du maire de la ville, Michael Applebaum. Selon nos informations, un investissement de plusieurs dizaines de millions de dollars sera dévoilé et une centaine d'emplois seront créés. Cette convocation suit l’investissement majeur annoncé en début de semaine par Ericsson. Le géant suédois des télécommunications investira plus d’un milliard de dollars pour construire un nouveau centre de technologies de l’information et des communications mondial à Vaudreuil-Dorion. Le géant de l'épicerie Loblaw a lancé il y a deux jours une nouvelle enseigne pour sa chaîne québécoise Provigo, Provigo Le Marché. Le nouveau concept fait partie d’une offensive en vue de regagner des parts de marché au Québec. Loblaw investira 100 M$ dans la province cette année, soit environ 15 % des dépenses totales consacrées à l'ensemble de ses magasin au pays. Le gouvernement Marois a par ailleurs réussi à attirer le géant britannique des effets spéciaux Framestore à Montréal en début d’année. La société londonienne prévoit créer 200 emplois d’ici la fin de l’année à Montréal pour ainsi devenir la plus importante entreprise d’effets spéciaux au Québec. Tours commerciales En avril, Cadillac Fairview a amorcé la construction de la tour Deloitte, à Montréal, dans le cadre d’un projet de 2G$ pour réaménager les terrains situés autour du Centre Bell. La Tour Deloitte est le premier immeuble à vocation uniquement commerciale détenu et financé par une entreprise privée à être construit dans la métropole en plus de 20 ans. Lisez notre article Deloitte aura sa tour. D’autres projets commerciaux sont en cours. Aimia, la société spécialisée dans les programmes de fidélité, aura aussi un siège social, la Tour Aimia, dans un édifice à bureaux à vocation mixte au centre-ville de Montréal, en face du Square Victoria. Jean Coutu a annoncé la semaine dernière son intention d’investir 190M$ pour un nouveau siège social et un nouveau centre de distribution dans le parc industriel de Varennes. C’est sans compter la pharmaceutique Valeant, qui a inauguré le 21 mai son siège social international à Laval, dans les anciennes installations de Sanofi Canada. Valeant a investi 70 M$ pour moderniser les installations et le transfert de la production de Montréal à Laval. Sanofi Canada a pour sa part inauguré au début de mai son nouveau siège social canadien lundi à Laval, dans un édifice de cinq étages situé à l’angle de l’Autoroute 15 et du boulevard du Souvenir. La société ouvrira également un nouveau centre de distribution à Kirkland, près de Montréal. La ville de Québec a aussi son lot d’investissements. L’assureur La Capitale Groupe financier, notamment, a inauguré ce printemps son nouveau siège social, un édifice de 10 étages. Le projet est évalué à 80 M$.
  4. 62e Congrès de l'UITP en 2017 - Montréal hôte du congrès international sur la mobilité et les transports urbains MONTRÉAL, le 10 avril 2013 /CNW Telbec/ - Montréal a été désignée ville-hôte du 62e congrès international et de l'exposition sur la mobilité et les transports urbains de l'Union internationale des transports publics (UITP), qui se tiendront en 2017, à l'occasion du 375e anniversaire de Montréal. Ce choix est le résultat des efforts conjugués de l'Agence métropolitaine de transport (AMT), de la Société de transport de Montréal (STM), du Palais des congrès de Montréal et de Tourisme Montréal. La nouvelle a été annoncée aujourd'hui à Hambourg, en Allemagne, par le conseil exécutif de l'UITP. Le congrès aura lieu du 13 au 17 mai 2017 et attirera plus de 9 500 délégués et visiteurs provenant de plus de 80 pays, de même que 350 exposants. D'envergure internationale, le congrès générera des retombées économiques évaluées à plus de 13 M$. Finaliste aux côtés de Brisbane en Australie et de Séoul en Corée du Sud, Montréal a été retenue en tant que ville-hôte de ce congrès qui se tient tous les deux ans dans des villes où la mobilité durable occupe une place importante. Pendant cinq jours, une myriade d'acteurs majeurs de l'industrie du transport collectif dans le monde prendront part à des activités de formation, de réseautage et à la tenue d'une exposition dans les installations du Palais des congrès de Montréal. Les partenaires ont également prévu un volet grand public à ce congrès. « Cet événement cadre parfaitement avec la vision de l'AMT de faire la promotion du transport collectif auprès des usagers de la grande région de Montréal. Un tel congrès nous permettra de démontrer notre expertise en matière de planification de projets. Ce sera aussi l'occasion d'échanger de bonnes pratiques sur la gestion des déplacements avec des intervenants de partout dans le monde », a souligné Nicolas Girard, président-directeur général de l'AMT. « C'est à Montréal que nous retrouvons les plus grands utilisateurs du transport collectif en Amérique du Nord et nous voulons travailler à devenir rien de moins que la meilleure société de transport publique au monde dans notre catégorie. Avec tous les projets qui verront le jour d'ici 2017, les voitures de métro AZUR, nos nouveaux bus hybrides et électriques, l'information en temps réel et l'accroissement des voies réservées, Montréal était la ville toute désignée pour recevoir ce congrès » a déclaré M. Michel Labrecque, président du conseil d'administration de la STM. « Au carrefour des grandes infrastructures de transport de la métropole, le Palais des congrès de Montréal est l'endroit idéal pour tenir cet événement », mentionne Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal. « Première ville en Amérique pour l'accueil de congrès internationaux, Montréal et le Palais des congrès feront vivre aux délégués de l'UITP 2017 une expérience événementielle qu'ils ne sont pas près d'oublier ! L'équipe est fière de contribuer au succès d'un événement aussi prestigieux ! » ajoute-t-il. « Le 375e anniversaire de Montréal est une occasion unique de célébrer notre ville, mais aussi une opportunité de démontrer au monde entier le savoir-faire et la capacité d'innovation qui distinguent les Montréalais. La venue du congrès UITP en 2017 permettra entre autres à la métropole de se positionner parmi les grandes villes du monde en ce qui a trait à la mobilité et aux transports urbains. Quelle belle vitrine pour Montréal! », ajoute l'honorable Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal. -------------------------------------------------------------------------------- L'UITP en bref L'Union internationale des transports publics (UITP) est l'organisation regroupant les autorités et les opérateurs de transport en commun. Elle représente un réseau international de 3 400 membres situés dans 92 pays. L'UITP compte un bureau principal à Bruxelles et dix bureaux régionaux et de liaison dans le monde entier. Rappelons que les prochains congrès de l'UITP auront lieu à Genève en Suisse le mois prochain et à Milan en Italie en 2015.
  5. Voici l'appel d'offres affichée sur le site de la Société du Parc Jean-Drapeau en date du 27 février 2013 : Services professionnels pour projets de remise aux normes des installations sportives du bassin Olympique La Société du parc Jean-Drapeau désire obtenir des soumissions pour la prestation de services professionnels en architecture, en architecture de paysage et en ingénierie dans le cadre de son projet de remise aux normes des installations sportives du bassin Olympique de l’île Notre-Dame. La mission comprend, de manière non exhaustive : - Le relevé des espaces; - Les études préparatoires; - La production des plans et devis; - La préparation des échéanciers et des estimations; - La coordination et la surveillance du chantier. Plus de détails à venir!
  6. http://monteregieweb.com/Ma_Vallee/main+fr+01_300+Opmedic__3_millions__pour_un_nouvea u_centre_medial_a_SaintHubert.html?ArticleID=64081 9
  7. Un immeuble commercial au-dessus du métro Frontenac Publié le 10 mai 2011 à 07h52 | Mis à jour à 07h52 * Martin Croteau La Presse (Montréal) La station de métro Frontenac, sur la ligne verte, pourrait complètement changer de visage d'ici quelques années. La Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) étudie la possibilité d'y ériger un immeuble commercial de plusieurs étages, un projet qui est accueilli avec enthousiasme par les gens d'affaires du secteur. L'administration Tremblay et la Société de transport de Montréal (STM) ont récemment mandaté la société paramunicipale pour étudier le potentiel immobilier de l'édicule qui coiffe la station, qui se trouve à l'est de l'arrondissement de Ville-Marie. Le projet n'en est qu'à ses balbutiements, mais plusieurs rêvent d'y attirer des entreprises et des organismes à but non lucratif. Il serait au coeur de la revitalisation du quartier Sainte-Marie, secteur moribond que les autorités souhaitent revitaliser de fond en comble. «Le but, c'est d'étudier ce qu'il est possible de faire, a indiqué la porte-parole de la SHDM, Myriam Crevier. Et ensuite, de prendre les grandes orientations à suivre.» La SHDM, chargée de mettre en valeur les terrains publics, est très active dans le quartier Sainte-Marie. Elle planifie en outre un important projet immobilier sur un terrain industriel désaffecté de la rue Ontario, près de la rue Lespérance. Elle étudie également des moyens de mettre en valeur les immenses ateliers de la STM, situés coin De Maisonneuve et Frontenac, que plusieurs citoyens souhaitent voir changer de vocation. L'arrondissement de Ville-Marie a récemment publié un Programme particulier d'urbanisme (PPU) qui dictera les grandes orientations de la revitalisation du quartier Sainte-Marie. Ce plan est actuellement soumis à une consultation publique, et il pourrait être adopté d'ici la fin de l'été. La SHDM remettra son rapport sur le métro Frontenac une fois ce plan adopté. Le directeur de la Société d'investissement de Sainte-Marie, Jean Perron, travaille depuis des années à faire renaître cet ancien quartier ouvrier. Il a bon espoir de voir une première levée de terre d'ici deux ans, laquelle permettrait d'attirer d'autres promoteurs immobiliers dans le secteur. «Ce projet a toujours été considéré comme la pierre angulaire du projet de revitalisation du quartier Sainte-Marie parce qu'il est très symbolique, a-t-il indiqué. C'est ça qui donnerait un signal, un coup d'envoi.» Selon lui, plusieurs entreprises ont déjà signifié leur intérêt à occuper un éventuel bâtiment, lequel pourrait facilement atteindre six étages.
  8. Un premier autobus entièrement électrique sillonnera les rues de Laval dès le printemps prochain, a annoncé la Société de transport de Laval (STL) lundi. La STL a reçu le premier véhicule à la fin de l'année dernière, mais elle doit procéder à une série de tests avant de le mettre en service. Il s'agira d'une première québécoise et canadienne, selon la STL. Le véhicule mesure 40 pieds, soit la taille d'un autobus régulier, a été construit par la firme américaine Design Line. L'autobus est alimenté par une batterie à recharge lente dont l'autonomie est estimée à plus de 200 kilomètres. Le président du conseil d'administration de la STL, Jean-Jacques Beldié, estime que l'expérience de son organisme sera bénéfique à toutes les sociétés de transport qui souhaitent électrifier leur réseau de transport en commun. Le projet-pilote de la STL a été développé en partenariat avec le ministère des Transports du Québec, Hydro-Québec et la Société de gestion et d'acquisition de véhicules de transport. Le ministre des Transports, Sylvain Gaudreault, a indiqué que le gouvernement vise une électrification graduelle du transport collectif au Québec au cours des prochaines années. Son collègue député de Laval-des-Rapides, Léo Bureau-Blouin, a déclaré qu'il s'agissait d'un pas de plus vers l'indépendance énergétique de la province. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/01/14/004-laval-autobus-electrique.shtml?isAutoPlay=1
  9. Montréal a trouvé preneur pour la partie sud de l'îlot de la Cité du commerce électronique, au centre-ville. L'acquéreur, l'homme d'origine syrienne Bachar Ghreiwati, paie comptant 12,25 millions à la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) au terme d'un appel d'offres public pour vendre les immeubles du 977, rue Lucien-L'Allier et du 1000, rue de la Montagne, au centre-ville. L'autre soumissionnaire était Broccolini, qui se proposait de racheter le tout pour 2,5 millions. La SHDM, antérieurement la Société de développement de Montréal, était la mandataire du gouvernement et de la Ville dans ce projet en 10 phases de la Cité du commerce électronique. Le bras immobilier de la Ville a acquis les terrains et devait les céder par emphytéose au promoteur. Finalement, seulement deux phases ont été réalisées. La Société détenait toujours deux immeubles qui n'ont pas été démolis puisque la phase 3 ne s'est jamais matérialisée. Avec le fruit de la vente, la SHDM remboursera un prêt rotatif contracté auprès de la Caisse centrale Desjardins dont le solde s'élève à 6,4 millions. L'acheteur était représenté par le courtier Groupe immobilier Premium. Au téléphone, son président Fouad El-Dick a affirmé que son client est actif sur la scène immobilière à Montréal depuis six ans déjà. Il soutient qu'il y possède plusieurs propriétés, sans indiquer lesquelles. M. Ghreiwati détient des immeubles à Los Angeles également. «Le ministère des Finances a procédé aux investigations nécessaires à l'égard de l'acheteur et accepte la transaction», lit-on dans les documents de la Ville. Selon une évaluation de la firme Poisson Prud'homme, réalisée en 2010, la valeur marchande de la propriété atteint près de 9,5 millions, tandis que l'évaluation municipale se chiffre à 6 millions. Les frais de décontamination sont évalués à 1 million. Dans l'acte de vente, l'acquéreur s'engage à déposer un plan de réhabilitation environnementale et un plan de démantèlement du bâtiment sur Lucien-L'Allier au ministère du Développement durable, dans des délais à convenir entre eux. La vente n'est assujettie à aucune condition de développement. Le zonage en vigueur permet les usages commercial, résidentiel ou immeubles de bureaux... http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201301/03/01-4607977-montreal-realise-deux-ventes-importantes-dans-la-cite-du-commerce-electronique.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS4
  10. https://www.facebook.com/photo.php?pid=11349948&l=24edd1ed64&id=286149459542 Article du devoir en 2002 au moment de la démolition Démolition controversée de l'ancien poste de police du Port de Montréal La Société du Vieux-Port a annoncé hier qu'elle démolira l'ancien poste de police du Port de Montréal et que les travaux commenceront... dès aujourd'hui. Abandonné depuis 1981, le bâtiment est dans un si piètre état que la direction du Vieux-Port estime qu'on ne peut retarder les travaux. Ce n'est pas l'avis du conseiller municipal de Ville-Marie, Robert Laramée, qui considère cette décision aussi discutable que précipitée. Construit en 1923, l'édifice de trois étages situé tout près du quai de l'Horloge était inutilisé depuis deux décennies. Dès 1982, la Société du Vieux-Port avait décelé des faiblesses dans sa structure et avait procédé, au cours des années suivantes, à diverses interventions, dont l'installation de poutrelles d'acier, pour tenter de le consolider, mais en vain. Sa stabilité précaire et la progression des fissures ont convaincu la direction du Vieux-Port qu'une démolition s'imposait. En mai dernier, le Service de sécurité incendie de Montréal avait même jugé l'édifice non sécuritaire et, depuis octobre dernier, celui-ci est recouvert d'une toile pour protéger les passants des chutes de mortier. Alerté, le conseiller municipal de Ville-Marie, Robert Laramée, a songé à obtenir une injonction pour empêcher la Société du Vieux-Port d'aller de l'avant avec ses travaux, mais le contentieux l'en a vite dissuadé, jugeant la démarche inutile. C'est donc par lettre hier qu'il a demandé à Claude Benoît, présidente du Vieux-Port, de surseoir à sa décision car il attribue au bâtiment une valeur patrimoniale certaine. «Il vaut la peine, selon moi, qu'on prenne deux minutes de respiration. Peut-être pourra-t-on trouver le financement nécessaire pour le mettre en valeur», fait-il valoir. Mais selon Jean-Claude Marsan, professeur à l'École d'architecture de l'Université de Montréal, l'ancien poste de police a une valeur patrimoniale plutôt mineure, tant sur le plan historique que sur le plan architectural, et, connaissant le délabrement de l'édifice, il reconnaît que dans «des circonstances comme celle-là, où un édifice est en train de tomber, il faut prendre de telles décisions». http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/14858/demolition-controversee-de-l-ancien-poste-de-police-du-port-de-montreal
  11. Un thread pour toutes les nouvelles dans le monde des affaires de Montréal. Est-ce que quelqu'un pourrait changer le titre du thread s.v.p. ? Une filiale de la Laurentienne achète Fiducie AGF 06 juin 2012 Une filiale de la Banque Laurentienne (T.LB), B2B Trust, et la Société de Gestion AGF (T.AGF.B) ont annoncé mercredi la conclusion d'une entente selon laquelle B2B Trust fera l'acquisition de la totalité d'AGF dans le cadre d'une transaction d'achat d'actions. B2B Trust fera l'acquisition de Fiducie AGF pour une contrepartie au comptant correspondant à la valeur comptable nette de la société au moment de la clôture, soit environ 242 millions de dollars. Fiducie AGF fournit actuellement des CPG, des dépôts à terme, des prêts investissements et des prêts hypothécaires garantis par l'entremise de 20 500 conseillers financiers et 1050 courtiers hypothécaires à la grandeur du pays. L'entente prévoit également le versement d'une contrepartie conditionnelle d'au plus 20 millions sur cinq ans si la qualité du crédit respecte certains critères. En outre, B2B Trust fera en sorte, immédiatement après la clôture, que Fiducie AGF rembourse la dette subordonnée due à la Société de Gestion AGF Limitée et rachète les actions privilégiées détenues par celle-ci, pour une contrepartie totalisant 173,5 millions. La transaction devrait se conclure en août 2012, sous réserve des avis et approbations réglementaires. À la date de clôture, les actifs de Fiducie AGF devraient s'élever à environ 3,8 milliards et comprendront essentiellement l'encaisse et des valeurs mobilières négociables de 700 millions, et des prêts de détail d'environ 3,1 milliards. L'intégration des activités, prévue pour 2013, devrait donner lieu à des charges non récurrentes de 30 millions à 35 millions. Il est prévu que, grâce cette transaction, le résultat net de la Banque augmente d'environ 28 à 30 millions annuellement à compter de 2014. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201206/06/01-4532218-une-filiale-de-la-laurentienne-achete-fiducie-agf.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS2 La Caisse investit 100 millions dans la Banque Laurentienne La Caisse de dépôt et placement du Québec annonce un investissement de 100 millions de dollars en capital-actions dans la Banque Laurentienne. La Banque Laurentienne (T.LB) poursuivra ainsi sa croissance et renforcera sa présence sur les marchés à l'échelle du pays. «La Banque Laurentienne fait partie du paysage québécois depuis plus de 165 ans et a réussi à se tailler une place sur les marchés financiers canadiens, notamment en exploitant une filiale de distribution de services bancaires. Aujourd'hui, la Caisse devient partenaire de cette banque en croissance dont la performance des dernières années est gage d'un avenir prometteur et de rendements attrayants pour nos déposants», a indiqué Normand Provost, premier vice-président, Placements privés à la Caisse. «Nous sommes très heureux de pouvoir compter sur la participation de la Caisse de dépôt et placement du Québec comme actionnaire de la Banque Laurentienne», a indiqué Réjean Robitaille, président et chef de la direction de la Banque Laurentienne. La Banque Laurentienne exploite le troisième plus important réseau de succursales bancaires au Québec. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201206/06/01-4532231-la-caisse-investit-100-millions-dans-la-banque-laurentienne.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  12. Voilà des bonnes nouvelles !!! *** Dix investissements étrangers à surveiller Publié le 17 mai 2012 à 14h04 | Mis à jour le 17 mai 2012 à 14h04 André Dubuc La Presse Dans les dernières semaines, Messier-Dowty, Valeant, CryoCath et Ethanol Grenfield ont annoncé des investissements de 226 millions de dollars dans la région de Montréal. D'autres annonces d'une valeur totale d'environ 300 millions suivront sous peu. La Presse Affaires a eu vent de 10 investissements étrangers en cours ou susceptibles d'être annoncés au cours des prochaines semaines. De quoi tonifier l'économie québécoise qui en a grand besoin. Pfizer: 32 millions Pfizer licencie, Pfizer investit? Il y a toujours de l'action avec l'inventeur du Viagra. En février 2011, la pharma supprimait 150 emplois en R-D à l'ancienne Wyeth, à Saint-Laurent. En juin 2011,Pfizer a inauguré son siège social rénové au coût de 22 millions à Kirkland. Cette fois-ci, il s'agit d'un nouvel investissement de 31,7 millions, dont 2,67 millions d'Investissement Québec. Peu de détails ont filtré jusqu'à présent. Hier, dans nos pages, le nouveau président pour le Canada, John Helou, a dit ne pas vouloir s'engager à faire de nouveaux investissements ou à créer des emplois en échange à un meilleur accès à ses médicaments. Jointe en fin de journée, la porte-parole de Pfizer Canada a refusé de confirmer quoi que ce soit. Nouveau studio pour Speedshape Montréal est peut-être à la veille d'accueillir le studio d'une firme spécialisée dans la conversion de films conventionnel en films de 3D. La firme est aussi connue pour ses animations par ordinateur dans les publicités d'autos. Selon nos informations, SpeedShape, de Detroit, prévoit s'implanter sous peu dans la métropole québécoise avec un investissement de 18 millions. Dans une communication officielle, la firme qui a fait la conversion 3D du film Spy Kids: All the Time in the World évoquait l'ouverture de son bureau montréalais dès juillet 2011. Notre appel laissé au siège social de Detroit est resté sans suite. Selenis Canada: phase 2 Les gens de l'est de Montréal ont bien présente à la mémoire la fermeture de la raffinerie Shell. Le secteur pétrochimique à Montréal est considéré par plusieurs comme moribond. Rare bonne nouvelle, la firme Selenis a ouvert la seule usine de polyéthylène téréphtalate (PET) au pays l'an dernier. Quelque 60 personnes y travaillent. Selenis envisage maintenant la phase 2 de son implantation avec un investissement additionnel de 40 millions. IQ se dit prêt à subventionner le projet à hauteur de 1,65 million. Selenis appartient à Control PET SGPS SA, une filiale du Groupe portugais Imastos Gil. Par courriel, La Presse a tenté sans succès de joindre le chef de la direction Giovanni Iadeluca, actuellement au Portugal. Nouvel agrandissement chez Gameloft Leader mondial dans l'édition de jeux vidéo et sociaux, Gameloft conçoit des jeux pour toutes les plateformes numériques incluant les téléphones mobiles, intelligents et tablettes. Installée au 5800, rue Saint-Denis, à Montréal, Gameloft (environ 400 employés) a dans ses cartons un projet d'investissement de 7,2 millions. Le montant comprend les dépenses en immobilisations et les frais de R-D, mais pas la masse salariale, a-t-on compris. La direction montréalaise n'a pas rappelé. Lors du premier trimestre 2012, les ventes sur téléphones intelligents et tablettes ont progressé de 59% et ont représenté 40% du chiffre d'affaires de la société. SCA à Drummondville, 38 millions à l'étude Ex-usine de la société Cascades, filiale d'une multinationale suédoise, les 200 employés de SCA fabriquent des culottes d'aisance pour adultes, un marché en expansion avec le vieillissement de la population dans les pays occidentaux. SCA mijote un investissement de 38 millions auquel IQ participerait à hauteur de 7,1 millions, dont une subvention de 1,5 million et un prêt sans intérêt de 5,6 millions. L'usine de Drummondville, dans le Centre-du-Québec, nous a référé à sa direction nord-américaine de SCA, à Philadelphie. La porte-parole, Amy Belcourt, a confirmé avoir soumis un projet au gouvernement, mais n'a pas voulu dévoiler les détails. Bonduelle Canada: 13 millions Le français Bonduelle qui a acheté Aliments Carrière (Artic Gardens) en 2007 continue de prendre les bouchées doubles. Il a acheté en mars quatre usines de la société américaine Allens. La société a encore de l'appétit pour le Québec. Selon le quotidien d'information financière Les Échos, de Paris, «ses unités canadiennes ont atteint un niveau de saturation qui ne lui permet pas de profiter de l'essor de la demande». La Presse Affaires a appris que Bonduelle va injecter prochainement 13 millions dans ses installations québécoises. Un tel investissement s'accompagne généralement de nouveaux emplois. IQ versera 900 000$ dans le cadre de l'enveloppe Essor. Ce programme vise à appuyer les projets dans une perspective d'accroissement de la compétitivité et de la productivité, de création d'emplois et de développement durable, notamment en accélérant la concrétisation de projets d'investissement dans le contexte de l'implantation, de l'expansion ou de la modernisation d'entreprises. Emballages Lacroix Situé dans la région d'Argenteuil au nord-ouest de Montréal, Emballages Lacroix, qui fabrique l'emballage design des yogourts Yoplait, injecte 24 millions en équipements neufs en trois ans dans ses usines de Saint-Placide et de Saint-Eustache. Québec donne un coup de pouce de 500 000$. Une cinquantaine d'emplois seront créés. Groupe Lacroix, près de Genève, dans le Jura, emploie 200 personnes au Québec. L'usine de Saint Placide augmente sa superficie de 50%, à 320 000 pieds carrés, précise Nicolas Bouvret, responsable nord-américain des opérations, au téléphone. Lacroix vient par ailleurs de lancer cette semaine une machine en Arizona, pour couvrir l'Ouest américain. Emballages Winpack de Vaudreuil-Dorion Winpak, de Winnipeg, produit des matériaux d'emballage pour les produits alimentaires périssables. Dans son rapport annuel 2011, la société confirme un agrandissement en 2012 à son usine du chemin Dumberry à Vaudreuil-Dorion. Une chaîne d'extrusion/couchage/laminage y sera notamment installée. Selon nos informations, Winpack, cotée en Bourse, investira près de 36 millions dans ses installations du Grand Montréal où elle emploie 350 personnes. Investissement Québec y va d'une subvention de 4,1 millions. JTI-Macdonald Corp. On entend plus souvent parler des cigarettiers dans les palais de justice que dans les pages économiques des journaux par les temps qui courent. La vénérable usine de la rue Ontario, dans le quartier Centre-Sud, à Montréal, a pourtant modernisé sa chaîne de production au coût de 17,5 millions dans les derniers mois. Il s'agit du plus important investissement des 10 dernières années. Cette année, la société a refait une beauté à sa tour de l'horloge. «On a une demande plus accrue sur nos produits depuis quatre ans, explique Michel Poirier, président régional, Amériques. On augmente notre part de marché. On a eu besoin d'un équipement encore meilleur capable de produire de meilleurs produits.» Environ 230 personnes travaillent dans la seule usine canadienne du cigarettier Japan Tobacco International. Construite en 1874, l'usine roule les cigarettes Macdonald Special, au sommet des ventes au Québec. Kronos: 44 millions Varennes rêvait d'une usine de titane éponge de 800 millions en 2007. Son actionnaire en a décidé autrement. À défaut du gros lot espéré, Kronos, qui produit du bioxyde de titane, va actuellement de l'avant avec un investissement en trois phases d'un maximum de 44 millions en 3 ans pour lequel Investissement Québec fournit 8,1 millions. «Le but est réduire nos coûts fixes pour rester concurrentiel», explique le directeur de l'usine Serge Payette. Le gros des investissements sert à l'automatisation de l'ensachage, selon ses dires. L'usine emploie 420 personnes.
  13. (Montréal) Avec l'arrivée du printemps, les coureurs ont repris leur entraînement en vue du Marathon de Montréal, en septembre prochain. Pour la première fois, celui-ci sera organisé par une société californienne appartenant à des financiers de New York, dont l'objectif est de maximiser le profit de ses sociétés en portefeuille. Cela n'empêchera pas l'organisation de faire appel à 1500 bénévoles, ni de recevoir des centaines de milliers de dollars en aide publique. En septembre dernier, Bernard Arsenault a vendu la société Gesport, organisatrice du Marathon de Montréal, à Competitor Group, de San Diego. Depuis cette date, le Marathon de Montréal est présidé par Peter Englehart, associé de Falconhead Capital, une firme de capitaux privés de New York qui détient 100% de Competitor Group. «Competitor détient 100% de Marathon de Montréal», a confirmé Dana Allen, première vice-présidente, dans un entretien. Le communiqué publié à l'époque par M. Arsenault a annoncé l'association entre l'épreuve montréalaise et la série de marathons Rock'N'Roll, qui a attiré 390 000 participants en 2011, mais il ne faisait pas mention d'un transfert de propriété. Par la suite, des articles parus sur le sujet ont parlé d'une «vente partielle» de l'épreuve montréalaise, sans en préciser les détails. Les parties refusent de dévoiler le prix de la transaction. Un OSBL «En fait, le Marathon est encore un organisme sans but lucratif, précise Dominique Arsenault, fille de Bernard et responsable des communications de Marathon de Montréal. C'est la société qui gère le Marathon [qui a été vendue]. C'est probablement une des meilleures façons d'amener l'événement à un autre niveau, poursuit-elle. Les capitaux que nous n'aurions pas pu nécessairement aller chercher, les gens de Competitor Group les ont. C'est déjà une grosse machine bien implantée», explique-t-elle. L'an dernier, la course montréalaise a attiré près de 24 000 participants; 27 000 sont attendus en 2012. «On veut augmenter la participation, surtout en provenance des États-Unis», a dit Dana Allen. La société pour laquelle elle travaille vaut au moins 115 millions US (voir autre texte). «Notre but est d'amener plus de touristes à Montréal en faisant la promotion de l'événement dans nos magazines et auprès des coureurs inscrits dans notre banque de données.» Les marathons Rock'N'Roll sont des événements festifs, où les coureurs ont la possibilité de voir des performances musicales tous les deux kilomètres le long du parcours. Un concert est aussi prévu au fil d'arrivée. Les subventions sont-elles nécessaires? Comme bien des épreuves du genre en Amérique, le Marathon de Montréal fait appel aux bénévoles et à l'argent des contribuables pour la tenue de la course. Qu'une société à but lucratif valant plus d'une centaine de millions fasse appel à des bénévoles et à l'argent des contribuables pour tenir une épreuve de course à pied a soulevé la controverse ailleurs, à San Diego notamment, où Competitor Group a dû rembourser des subventions de 344 000$ aux autorités locales (voir autre texte). Au Québec, les bailleurs de fonds publics acceptent volontiers de subventionner des événements populaires comme les grands festivals qui sont gérés par des sociétés commerciales, du moment que les retombées économiques et les touristes sont au rendez-vous. Dana Allen ne craint pas pour ses subventions, malgré le statut à but lucratif du nouveau propriétaire du Marathon. «Dans les discussions que nous avons eues avec la Ville et les responsables de l'industrie touristique, nous avons senti beaucoup d'enthousiasme. Ils nous appuient et sont persuadés que ce sera bon pour la ville parce que nous allons faire venir à Montréal plus de coureurs de l'extérieur», dit-elle. L'an dernier, Québec a versé 177 000$ au Marathon de Montréal. De son côté, la Ville de Montréal offre gratuitement les services policiers et d'autres services publics, comme elle le fait d'ailleurs pour le Tour de l'île ou les festivals. La valeur des services atteint 425 000$ pour la course de 2012 (321 000$ en 2011). Tourisme Montréal, qui gère la taxe d'hébergement de 3% du revenu de location des chambres d'hôtel, finance également l'événement depuis trois ans, mais l'organisme refuse de divulguer publiquement sa contribution. Des critiques Un ancien organisateur du Marathon se montre critique. «Idéalement, l'organisation d'un événement comme ça devrait être donnée à un groupe local», soumet Alain Bordeleau, qui en a été le responsable de 1992 à 1996. Il est aussi détenteur du record québécois au marathon avec un temps de 2 heures 14 minutes et 19 secondes, réalisé en 1984 à Ottawa. «L'idée que le Marathon puisse réinvestir ses profits dans le milieu pour soutenir le développement des athlètes ou l'offre de services est une avenue intéressante», croit l'ancien olympien, qui gagne sa vie dans l'import-export. C'est le cas à la Coupe Rogers, organisée par Tennis Canada. Les profits de l'événement vont au développement des joueurs, confirme Valérie Tétreault, coordonnatrice des communications de Tennis Canada. «Si ce sont des intérêts américains qui organisent le Marathon, les profits vont aller du côté des États-Unis», s'inquiète Alain Bordeleau. Johanne Turbide, professeure de comptabilité à HEC Montréal et spécialiste en gestion financière des OSBL, ne partage pas les mêmes craintes. Elle souligne que les OSBL doivent démontrer aux autorités que sans l'appui public, l'activité ne peut pas faire ses frais. «Les bailleurs de fonds publics font le travail de vérification», soutient-elle. L'universitaire reconnaît néanmoins que les OSBL manquent de transparence. Au Québec, ceux-ci n'ont de compte à rendre qu'à leurs membres (au minimum trois personnes) et, à l'occasion, aux bailleurs de fonds. Competitor a refusé de divulguer les chiffres de Marathon de Montréal. Un précédent Outre la question de la transparence, la vente du Marathon à des intérêts étrangers soulève des interrogations quant au transfert de propriété des grandes manifestations populaires comme les festivals. «Avec le Marathon, on est en présence d'une forme de précédent», estime Martin Roy, directeur général du Regroupement des événements majeurs internationaux (REMI), lequel ne compte pas le Marathon de Montréal parmi ses 22 membres. «Au REMI, on est là pour travailler à la pérennité d'un secteur qui a été formé par des visionnaires qui, un jour, passeront la main. On espère que ça va se faire au profit de la collectivité et des Québécois», a-t-il indiqué. ---------------- La manifestation sportive en un coup d'oeil Date 23 septembre 2012 Épreuves > marathon > demi-marathon > 10 km > 5 km > 1 km Participants en 2011 24 000 ---------------- Qui est le nouveau propriétaire du Marathon de Montréal? Competitor Group Création : 2007 Propriétaire : Falconhead Capital (100%) Président et chef de la direction : Scott Dickey Principaux actifs > 58 événements, dont 27 Marathons Rock'N'Roll > Base de données de plus de 7 millions de coureurs et de triathlètes > 4 magazines spécialisés: tirage mensuel de 600 000 copies > Plateformes numériques (Competitor.com et Raceit.com) ----------------- MARATHONS LES PLUS POPULAIRE EN 2011 NEW YORK 47 133 FINISSANTS CHICAGO 35 755 FINISSANTS LONDRES 35 126 FINISSANTS BERLIN 32 816 FINISSANTS TOKYO 32 395 FINISSANTS Source : Rapport annuel, Running USA http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201204/23/01-4518267-le-marathon-de-montreal-entre-les-mains-de-financiers-new-yorkais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  14. Le Canadien National (T.CNR) a annoncé jeudi l'acquisition de 161 locomotives pour faire face à l'augmentation prévue du trafic et améliorer son efficacité opérationnelle. Le prix d'achat n'a pas été rendu public. La société ferroviaire montréalaise a précisé qu'elle recevrait 35 nouvelles locomotives de GE Transportation et 30 autres d'Electro-Motive Diesel, en 2013 et 2014. Le transporteur fera également l'acquisition cette année de 42 locomotives d'occasion de GE, de 11 locomotives en location de GE et de 43 locomotives d'occasion d'EMD. Ces achats doivent permettre au CN de faire face à la croissance prévue du volume au cours des deux à cinq prochaines années, a indiqué le vice-président exécutif et chef de l'exploitation de la société, Keith Creel, dans un communiqué. M. Creel a affirmé que «les locomotives, neuves ou usagées, permettront d'accroître l'efficacité opérationnelle et de réduire la consommation de carburant». «Le CN pourra ainsi retirer du service des locomotives plus anciennes nécessitant plus d'entretien, et affecter des locomotives de ligne moins économes en carburant à des opérations de manoeuvre moins intenses dans des triages et sur des voies locales, tout en disposant de locomotives supplémentaires lui permettant de faire face à l'accroissement du trafic», a-t-il ajouté. Le CN compte une flotte d'environ 1900 locomotives. Les actions du Canadien National ont terminé la séance de jeudi à 77,75$ à la Bourse de Toronto, en baisse de 1,13$, soit un peu moins de 1,5%, par rapport à leur précédent cours de clôture. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/transports/201203/22/01-4508346-le-cn-achete-161-locomotives.php
  15. Source: La Presse, 10 novembre 2010 La pharmaceutique Pfizer a annoncé mercredi qu'elle investirait 22 millions de dollars afin de procéder à des travaux de reconstruction et de modernisation de son siège social de Kirkland, dans l'ouest de l'île de Montréal. Selon le président de l'entreprise, Paul Lévesque, cet investissement démontre que Pfizer souhaite demeurer «le chef de file» de l'industrie biopharmaceutique, qui constitue d'après lui un secteur «vital» pour la province. Les 22 millions seront consacrés à la reconstruction du bâtiment original de Kirkland et à la modernisation des installations et des équipements utilisés quotidiennement par les employés. Les travaux sont déjà en cours, précise le communiqué diffusé mercredi, et devraient prendre fin d'ici mars 2011. En tenant compte uniquement du secteur de la construction, le projet aura créé une centaine d'emploi, fait valoir l'entreprise. Pfizer a près de 2100 employés au Québec, ce qui en fait la société pharmaceutique qui compte le plus d'effectifs dans la province
  16. La Presse Canadienne Publié le 31 mai 2011 Toronto Intact Financial (TSX:IFC) fait l'acquisition des activités canadiennes de la société d'assurance établie à Paris Groupe Axa pour 2,6 milliards $. Intact a affirmé mardi que l'acquisition d'Axa Canada - la sixième plus importante société d'assurance automobile, résidentielle et commerciale au Canada - accentuerait la valeur de ses primes perçues au Canada de 2 milliards $, à plus de 6,5 milliards $. Intact Financial, connue sous ING Canada avant son entrée en bourse en 2009, a dit avoir accepté de verser jusqu'à 100 millions $ de plus si Axa atteint ses objectifs de rentabilité sur cinq ans. L'entente doit augmenter les bénéfices d'exploitation par action de l'assureur canadien de 15 pour cent à moyen terme et la synergie après-taxe doit ajouter jusqu'à 100 millions $ par année. Charles Brindamour, président et chef de la direction d'Intact, a affirmé que l'acquisition accélérerait les efforts de la compagnie pour construire «un assureur canadien risques divers et propriétés de classe mondiale avec la capacité de réussir dans un environnement de concurrence accrue». Jean-François Blais, président et chef de la direction d'AXA Canada, a fait valoir que la transaction représente une «excellente occasion pour le groupe de joindre un leader canadien avec un passé de performance remarquable et des valeurs similaires». Intact, société installée à Toronto, a dit qu'elle complèterait l'acquisition avec 500 millions $ de ses propres capitaux, l'émission d'actions de 800 millions $ et le financement par le crédit de 1,3 milliard $. L'entente requiert l'approbation réglementaire et devrait être finalisée plus tard cette année. Groupe Axa, établie à Paris, compte 214 000 employés desservant 95 millions de clients à travers le monde. Axa Canada a 2300 employés et vend des assurances de maisons, d'automobiles et de commerces de même que des assurances-vie. Les actions d'Intact valaient 49,77 $, mardi, en baisse de 40 cents, ou moins d'un pour cent, par rapport à leur précédent cours de clôture. ----- Très mauvaise nouvelle pour Montréal. Nous perdons un autre siège social - une fois l'intégration complet, je m'attend à 300 mis à pied a Montréal avec l'exode des service comptable, légal, paie, ressource humaine etc.. De plus, les bureaux de Intact sont sur Crémazie et à St-Hyacinthe, donc le personnel non courtier qui reste seront probablement transféré hors du centre-ville. Présentement AXA occupe ~ 150,000 pied carrée dans la Tour AXA qui reprendra probablement le nom 2020 University bientôt.
  17. Relance du Mont Orford: un hôtel et des lofts verts Publié le 09 mai 2011 à 05h00 | Mis à jour le 09 mai 2011 à 08h59 * Hélène Baril La Presse (Montréal) Des lofts aux murs de verre, complètement autonomes en énergie, équipés de lits et de baignoires sur rails qui peuvent sortir dehors par beau temps. De drôles d'habitations apparaîtront au pied du mont Orford. «Et il y aura des vélos qui produiront de l'électricité pour avoir accès à l'internet», ajoute Alain Chagnon, président du Vertendre, entreprise immobilière qui participe à une autre tentative de relance du mont Orford. Le Vertendre et Gestion Soroma, la société qui gère le centre de ski et le club de golf au nom du gouvernement québécois, sont devenus récemment propriétaires de 20% de ces deux actifs. L'autre actionnaire est la MRC de Memphrémagog, qui a acquis pour 1$ une part de 80% de la nouvelle société d'économie mixte créée pour tenter de donner un nouveau souffle à cette station touristique qui a connu plus que sa part de déboires depuis sa création, il y a 70 ans. C'est une occasion qu'attend depuis très longtemps Alain Chagnon, dont la famille a déjà réalisé plusieurs projets immobiliers dans la région immédiate du mont Orford. Depuis 2004, les Chagnon ont réuni 1000 acres de terrains au pied de la montagne, un secteur qu'ils ont commencé à aménager sous le nom de Vertendre. En s'associant avec la MRC de Memphrémagog, ils ont obtenu ce qui leur manquait pour continuer ce lotissement: un lien qui reliera leur secteur au domaine skiable, sur le versant ouest de la montagne. Ce lien fera débloquer des investissements d'une dizaine de millions de dollars dans de nouvelles activités de plein air, mais surtout dans l'immobilier, a fait savoir M. Chagnon lors d'un entretien avec La Presse Affaires. «On pense à 900 unités d'habitation au total», dit Alain Chagnon. En plus des 200 lofts accrochés à la montagne, il y aura des maisons individuelles et un hôtel de 200 chambres, le tout construit dans le respect de la nature et de l'environnement. Cet hôtel pourrait être géré par le Club Med. «Le Club Med a toujours un intérêt dans le projet», affirme le promoteur. L'autre intéressé par le projet d'hôtel est l'artiste Heinz Julen, qui a conçu l'hôtel Backstage de Zermatt, en Suisse. L'hôtelier qui s'associera au Vertendre ne misera ni sur les bars ni sur les discothèques pour attirer des clients, assure Alain Chagnon. «Plutôt sur les cerfs et les porcs-épics», dit-il. Qui paiera? La MRC de Memphrémagog a retenu une seule des trois propositions qui lui ont été faites pour relancer le mont Orford, celles du Vertendre et de Gestion Soroma. Les deux autres groupes intéressés ont été disqualifiés parce qu'ils n'ont pas réussi à réunir 1,5 million en garantie. Les deux offres rejetées sont celles de la Coopérative de solidarité du Mont-Orford, regroupement local, et de Camp Fortune, entreprise qui exploite une station de plein air dans l'Outaouais. Contre leur 1,5 million, Vertendre et Gestion Soroma ont obtenu 20% d'une entreprise dont les actifs sont estimés à 7,5 millions et dont la MRC est l'actionnaire majoritaire. C'est donc à la MRC que revient la responsabilité de préserver l'intégrité du territoire du parc national du Mont-Orford. Il n'y aura ni constructions, ni nouvelles pistes de ski, ni rien d'autre sur le territoire du parc, qui est protégé, affirme Guy Joron, directeur général de MRC. Rien, à part les «quelques pylônes» nécessaires au lien vers le Vertendre, précise-t-il. Le coût des projets d'aménagement de la station touristique sera assumé par la société d'économie mixte qui, en tant que propriétaire d'actifs estimés à 7,5 millions et sans aucune dette, pourra emprunter les fonds nécessaires. Alain Chagnon ajoute que la société pourra profiter des programmes gouvernementaux d'aide à l'investissement. Il ne prévoit pas de conflit entre les intérêts collectifs de la MRC et les intérêts privés du Vertendre et de Gestion Soroma. «Si on y trouve notre compte, tout le monde y trouvera son compte», espère-t-il. Parce qu'il vit et travaille dans la région et que ses enfants vont à l'école du coin, Alain Chagnon se dit prêt à prendre plus de risques qu'un promoteur de l'extérieur. «Si on perd de l'argent pendant deux ans, je ne vais pas m'en aller ailleurs», assure-t-il. Après la faillite et les disputes, les projets de vente et de privatisation qui n'ont pas abouti, le gouvernement du Québec a finalement réussi à se débarrasser du problème du mont Orford. Une ère nouvelle commencera le 1er juin, date à laquelle la société d'économie mixte commencera officiellement ses activités.
  18. Un article du Devoir que j'avais manqué. Un paragraphe intéressant, à la fin, à propos d'un rapport sur l'économie de nuit à développer, sera remis au mois de mai au maire. À surveiller.... http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/317687/montreal-sait-elle-encore-faire-la-fete
  19. Invitation aux médias - Rencontre avec le président de Société Générale au Canada - SOCIÉTÉ GÉNÉRALE CHOISIT MONTRÉAL POUR Y INSTALLER UN NOUVEAU CENTRE SPÉCIALISÉ MONTRÉAL, le 18 févr. /CNW Telbec/ - M. Pierre Matuszewski, Président de Société Générale au Canada, invite les représentants des médias du secteur des affaires, de l'économie et des finances à venir en apprendre davantage sur le nouveau centre spécialisé du Groupe qui s'implante à Montréal et sur les nouveaux emplois qui y seront créés. Il y sera aussi question de la présence de la banque française sur l'échiquier québécois et canadien. Cette rencontre se tiendra le mardi 22 février à 10 h 30 dans les bureaux de Société Générale. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/February2011/18/c4040.html
  20. Le Groupe Akka Technologies s'implante à Montréal 4 novembre 2010 | 09h23 Le groupe européen d'ingénierie AKKA Technologies s'implante à Montréal, d'où il entend rayonner partout en Amérique du Nord. AKKA Groupe Amérique du Nord prévoit embaucher plus de 100 personnes «à court terme». La société française compte plus de 5600 employés dans 11 pays à travers le monde. Au dernier semestre terminé le 30 juin, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 197,5 millions d'euros, en hausse de 19,8%, générant un bénéfice avant impôts de 10,7 millions d'euros. Les activités internationales du groupe ont représenté 11,6% du chiffre d'affaires total de la société. AKKA affirme qu'elle entend développer des «partenariats stratégiques» avec des entreprises locales dans les secteurs de l'aérospatiale, du ferroviaire et des nouvelles technologies alternatives. «AKKA Technologies reconnaît l'importance du Québec dans des industries majeures telles que l'aérospatiale et le ferroviaire. La connaissance approfondie d'AKKA Technologies dans ces secteurs d'excellence du Québec permettra d'apporter un savoir-faire ainsi que des solutions innovantes et créatives qui profiteront à toute notre industrie », a commenté dans un communiqué le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac. AKKA a reçu l'aide de Montréal International pour son implantation dans la métropole. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/11/20101104-092356.html
  21. Un monorail pourrait réapparaître sur l'île Sainte-Hélène d'ici quelques années, comme au temps de l'Expo 67. Un projet estimé à 185 millions de dollars a été présenté jeudi dernier devant la Commission des finances du Conseil municipal et la Commission d'agglomération sur les finances, à l'Hôtel de Ville de Montréal. Le monorail circulerait sur une dizaine de kilomètres entre les principaux sites d'activités du parc Jean-Drapeau, de l'île Notre-Dame et la Place Bonaventure au centre-ville de Montréal. Ce moyen de transport est donc à l'étude, et recueille déjà des avis favorables. Le directeur général Christian Ouellet en a notamment parlé avec enthousiasme. La Société du parc Jean-Drapeau propose de réaliser plusieurs autres projets en prévision du 375e anniversaire de Montréal, en 2017. On annonçait également lundi matin la venue d'un nouveau président au conseil d'administration de la Société du parc Jean-Drapeau : Normand Legault. D'après un reportage de Benoît Chapdelaine http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/10/04/006-monorail.shtml J'aimerais bien voir ça un jour! Mais disons que j'aimerais mieux voir un SLR jusqu'à longueil avant!
  22. La communauté arménienne construira 74 logements sociaux Publié le Juillet 21 2010 Stéphane St-Amour Une pancarte annonce un projet d’habitation sociale et communautaire sur le terrain avoisinant l’église arménienne bordant le boulevard du Souvenir, à l’ouest de Curé-Labelle. Un immeuble de sept étages, abritant 74 appartements destinés aux personnes de 60 ans et plus, autonomes et à faible revenu, y verra le jour grâce à l’initiative de la communauté arménienne de l’endroit. “C’est en gestation depuis 2007», souligne Azad Temisjian, président du conseil d’administration des Habitations Ararat, organisme sans but lucratif à l’origine du projet. AccèsLogis La Société d’habitation du Québec (SHQ), qui y a donné son aval, financera à hauteur de 50 % les quelque 11 M$ que nécessitera la réalisation de cet immeuble. Ville de Laval avancera pour sa part 1,5 M$, somme qui lui sera intégralement remboursée par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) conformément à l’entente de financement liée aux projets subventionnés par le programme AccèsLogis. Liste d’attente Selon Fritz Delphine, du groupe de ressources techniques Option Habitation Québec, près de 160 personnes apparaissent déjà sur la liste d’attente pour habiter cet immeuble qu’on veut accessible à toutes les communautés culturelles. Parmi les critères de sélection, notons que trois unités d’habitation sur quatre seront réservées aux ménages dont le revenu annuel est de 24 000 $ et moins. Coût d’habitation Le prix des futurs loyers correspond à 94 % du loyer médian en vigueur dans la région. Concrètement, il en coûtera, chauffage, téléphone et câble inclus, 578 $ pour un studio, 714 $ pour un 3 ½ et 834 $ pour un appartement de deux chambres à coucher, explique M. Delphine. À ce loyer, il faut toutefois prévoir un montant supplémentaire de 280 $ par mois pour couvrir les services connexes, tels un repas par jour à raison de 5 jours par semaine, la conciergerie, une surveillance 24 heures par jour, l’animation et les activités sur place. Dans le cas où un couple partage le loyer, la seconde personne devra débourser un montant additionnel de 200 $ par mois… “Peut-être que pour certains ménages, il en coûtera le même prix qu’ils paient présentement pour se loger, mais ils auront droit à une qualité de vie supérieure avec en prime des services», signifie M. Temisjian. Supplément au loyer Cependant, jusqu'à 50 % des futurs locataires pourront bénéficier du Supplément au loyer, «une aide financière destinée aux ménages à revenu faible qui, sans ce soutien supplémentaire, devraient consacrer plus de 25 % de leur revenu au logement», peut-on lire sur le site de la Société d'habitation du Québec (SHQ), qui finance ce programme à hauteur de 90 %. Début des travaux Bien qu’on espère une mise en chantier à l’automne pour une occupation en 2011, les travaux pourraient être repoussés au printemps prochain. Au moment d’écrire ces lignes, la SHQ est à réviser les plans et devis préliminaires avant de lancer les appels d’offres publics.
  23. Vendre Hydro, la SAQ et Loto-Québec? 08/03/2010 L’Ontario étudie sérieusement la possibilité de créer une super entité, d’y transporter ses principales sociétés commerciales, et d’émettre une partie des actions au public. Idée dont devrait s’inspirer le Québec? Le Toronto Star rapportait cette fin de semaine que le gouvernement ontarien pourrait bientôt créer une super société dans laquelle il transporterait Hydro One, l’Ontario Lottery & Gaming Corp, et la LCBO. Cette super entité pourrait valoir entre 50 et 60 G$. Elle serait ensuite en partie vendue à des investisseurs privés ce qui permettrait de faire rentrer entre 18 et 25 G$ dans les coffres de la province. On s’est demandé ce que l’exercice pourrait donner au Québec. La valeur d’Hydro La société d’État a dégagé l’an dernier (2008) un bénéfice avant intérêts, impôt et amortissement (BAIIA) de 8,8 G$. Gaz Métro se négocie à environ 8 fois le BAIIA, mais on va être un peu plus généreux et appliquer un multiple de 10, qui correspond au multiple moyen du secteur des utilités et des producteurs d’énergie des firmes d’investissement Cormark et Desjardins. Cela veut dire 88,8 G$. Il faut retrancher la dette de 36,4 G$. On en arrive à une valeur de 52,4 G$ pour Hydro. La valeur de Loto-Québec On a évalué le BAIIA de la dernière année à environ 1,7 G$. Bien que sa rentabilité soit actuellement sous pression, Loto-Québec a la chance d’évoluer dans un secteur où les investisseurs sont actuellement prêts à payer plus cher pour des actifs que dans d’autres secteurs. L’univers de la maison Oppenheimer se négocie autour de 14-15 fois le BAIIA. On va prendre 14 fois. Moins la dette de un peu plus de 1 G$. C’est une valeur de 22,8 G$ pour Loto-Québec. La valeur de la SAQ Un BAIIA autour de 842 M$. Une dette de 545 M$. Optons pour un multiple de 10, ce qui est à prime sur l’univers des sociétés d’épicerie de Banque Nationale Groupe financier, mais en ligne avec la fiducie Liquor Stores. Valeur : 7,8 G$. Bon pour le Québec? En additionnant la valeur de chacune des société, on en arrive à une super entité qui devrait valoir autour de 83 G$. S’il faut en croire les chiffres du Star, le gouvernement ontarien songerait à céder 35-40% de la super société. Allons-y avec 40%. C’est dire que l’on pourrait retrancher 33,2 G$ à la dette de la province (134 G$). Toute chose étant relativement égale, le service de la dette (actuellement à 6,5 G$) baisserait d’environ 1,6 G$. Il faut cependant aussi retrancher 40% du bénéfice que le gouvernement a actuellement dans ses livres, puisque l’on n’y aurait plus droit. Si l’on retranche 40% de ce que le gouvernement attend de ses sociétés d’état dans le dernier budget, on se retrouve avec un manque à gagner de 1,9 G$. Quoiqu’il rentrerait probablement autour de 600 M$ en impôt (11,9%) que les sociétés se mettraient à payer. Ca fait donc un manque à gagner de 1,3 G$. Au final On se retrouve donc avec un gain de 1,6 G $ et une perte de 1,3 G $, pour un avantage réel de 300 M$. Évidemment, il y a un peu de pommes et d’oranges dans notre calcul, avec des années fiscales qui ne courent pas toujours sur la même période, des écritures qui pourraient parfois être adaptées, des taux d’intérêt qui peuvent grimper et des multiples qui prêtent à discussion. Mais, très sommaire soit-il, l’exercice permet quand même ce constat : il n’y a pas un très fort signal pour une opération du genre. En tenant compte des coûts de transaction, on ne semble pas loin de changer quatre trente sous pour une piastre.
  24. Des prêts hypothécaires plus difficiles à obtenir? André Pratte Dans un article publié en manchette de son édition de samedi, le Globe and Mail révèle que les dirigeants des six plus grandes banques canadiennes pressent le gouvernement fédéral d’imposer des règles plus sévères pour l’obtention de prêts hypothécaires. Les banques sont apparemment inquiètes de voir les prix des maisons continuer d’augmenter au Canada et craignent que, lorsque les taux d’intérêts grimperont, plusieurs personnes soient incapables d’assumer leurs obligations. C’est une situation similaire qui a mené à la crise financière aux États-Unis. Les choses sont tout de même différentes ici puisque 75% des prêts hypothécaires sont assurés par une société de la Couronne, la Société canadienne d’hypothèque et de logement, i.e. par le gouvernement du Canada. Cela assure une certaine solidité au marché. Toutefois, les consommateurs faisant face à une saisie auraient du mal à rembourser leurs autres dettes (notamment celles des cartes de crédit), ce qui réduirait les profits des banques et freinerait l’économie. On ne sait pas dans quelle mesure le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, est sensible aux arguments des banquiers. Il doit notamment considérer le fait que tout resserrement des règles pourrait également avoir un impact néfaste sur la croissance économique, en plus de priver plusieurs Canadiens de la possibilité de réaliser leur rêve (pas très rentable au plan politique…). Néanmoins, les normes actuelles portent en elles des risques importants, me semble-t-il. On peut aujourd’hui acheter une maison en ne déposant que 5% du capital. Ça veut dire 10000$ pour une maison de 200000$! Quelqu’un qui ne peut mettre plus de 10000$ sur la table a-t-il vraiment les moyens d’acheter une maison de 200 000$? De plus, l’échéance du prêt peut aller jusqu’à 35 ans, ce qui veut dire que l’acheteur paie une somme considérable en intérêts. Les banquiers aimeraient que les nouvelles normes imposent un paiement comptant de 10% de la valeur de la maison et que l’échéance du prêt ne puisse être plus longue que 30 ans. Il s’agirait là, à mon avis, de mesures de prudence élémentaire.
  25. Gilbert Rozon a pris position: Gilbert Rozon a pris position en faveur d'un ajustements des heures d'ouverture des établissements du Nightlife montréalais. Il dit, et je cite : « (...) d'autres villes ont pris les moyens et font des villes vibrantes. Toronto a compris (...) Dans notre société moderne, les citoyens d'une ville ont envie d'être des touristes dans leur propre ville. Il ont envie de terrasses, ils ont envie d'un Nightlife. Le Nightlife à Montréal qui finit à trois heures du matin, je ne sais pas comment le dire sans choquer, mais c'est dépassé. Il faudrait qu'il y ait des lieux qui vivent jusqu'à six heures du matin. Il y a des gens qui vivent la nuit et ils ont besoin d'un endroit, sans menacer la société. C'est dépassé ça (...) » passé 18 minutes: http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_montreal/2008-2009/Entrevue.asp?idDoc=82152
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