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  1. <header id="page-header"> 12/10/2016 Mise à jour : 12 octobre 2016 | 4:00 Découvrez Loop, la nouvelle oeuvre de l’événement Luminothérapie Par Jeff Yates Métro </header> <figure> <figcaption> Un projet d'ekumen, conçu et réalisé par Olivier Girouard, Jonathan Villeneuve et Ottoblix en collaboration avec Generique design et Jérôme Roy </figcaption> </figure> À partir du 8 décembre au Quartier des spectacles, contes de fées, roues futuristes et techniques d’animation anciennes se rencontreront avec Loop, la toute nouvelle installation d’art public dans le cadre de l’événement Luminothérapie. L’œuvre a été choisie suite à un concours organisé par le Quartier des spectacles. Métro a pu obtenir un aperçu du gagnant, qui sera dévoilé officiellement mercredi matin. Les 13 exemplaires de Loop ressemblent à de grosses roues futuristes au centre desquelles on peut s’assoir. Une manivelle permet à une ou deux personnes d’actionner le mécanisme, qui fait tourner une bande d’images autour des utilisateurs. Au gré du mouvement de la manivelle, des lumières clignotent, ce qui crée l’illusion que les images s’animent. Le principe est presque identique à celui du zootrope, l’ancêtre du cinéma, explique un des concepteurs, Olivier Girouard. Le mécanisme rappelle aussi la draisine à levier, ce mode de transport qu’on voit dans les anciens westerns ou dans les dessins animés de Bugs Bunny. Une boîte à musique actionnée par le mouvement de la roue apporte quant à elle une dimension sonore à l’œuvre. L’idée était d’ailleurs de combiner d’anciennes technologies avec un habillement futuriste, selon un autre des concepteurs, Jonathan Villeneuve. «On voulait partir de technologies ultra archaïques, la boite à musique, le zootrope, la draisine à levier. On voulait les transformer et de les inclure dans un objet qui a vraiment l’air sorti du futur.» Les courtes séquences se veulent une sorte de version analogue des gif animés, ces images en mouvement qui pullulent sur le web. «Tout ce qu’on voit sur notre ordinateur, ça a commencé avec des technologies primitives comme ça. C’est un retour à ces racines-là», précise M. Girouard. Le thème de l’édition 2016-2017 de Luminothérapie est le conte traditionnel, tels La belle au bois dormant et Le Petit chaperon rouge. Chacune des installations Loop contiendra une courte animation de trois ou quatre secondes mettant en vedette un de ces comptes. Des vidéoprojections sur les bâtiments autour du site agiront aussi à titre de décor pour les contes, illustre M. Girouard. «Parce que c’est si court et si rapide, c’est mieux de jouer avec des images hyper connues, avance-t-il. La compréhension des images doit se faire tout de suite.» Le projet Loop a été choisi parmi 5 finalistes d’un concours organisé pour le compte de la 7ième édition de Luminothérapie. Il a été réalisé en collaboration avec les entreprises Ottoblix et Generique design, ainsi que Jérôme Roy et Thomas Ouellet Fredericks. Decouvrez Loop, la nouvelle oeuvre de l’evenement Luminotherapie | Metro
  2. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  3. http://www.tvanouvelles.ca/2016/05/15/le-college-royal-militaire-de-saint-jean-reprendra-son-titre-duniversite Ca demeure une bonne nouvelle pour la région de Montréal si ca aboutit
  4. Une firme de design new-yorkaise propose de doter l’Île Sainte-Hélène d’un deuxième dôme conçu comme l’ancien pavillon des États-Unis au cours de l’Expo 67. Selon le magazine de design et d'architecture Dezeen, la firme new-yorkaise Studio Dror aimerait construire une autre sphère géodésique à côté de la Biosphère actuelle, l’ancien pavillon des États-Unis. Ce pavillon avait été conçu à l’époque par l’architecte Richard Buckminster Fuller. Depuis 1990, le dôme est devenu un musée consacré à l’environnement. Le fondateur de Studio Dror, Dror Bensherit, a expliqué son projet au magazine Dezeen: «Comme le ferait le soleil et la lune, notre concept se présente comme une danse poétique avec le design de Fuller. Pour exploiter le potentiel du Parc dans un contexte contemporain.» Cette nouvelle structure, jumelle à celle de l’ancienne Biosphère, en adopterait les mêmes dimensions: 76 mètres de diamètre pour une hauteur de 62 mètres. Toutefois, la nouvelle version des Studio Dror serait construite avec un auvent aménagé à partir du haut de la structure. Ce qui permettrait de créer une zone partiellement abritée autour de sa base. Ses treillis en aluminium seraient aussi conçus pour permettre à la végétation d’y pousser afin de mieux intégrer la structure au décor environnant et d’insonoriser partiellement les lieux. Si le projet des Studio Dror se concrétise, la construction de ce deuxième dôme coïnciderait avec le 50e anniversaire d’Expo 67 l’an prochain. http://www.journaldemontreal.com/2016/04/26/un-nouveau-dome-sur-lile-sainte-helene
  5. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport/hydro-quebec-veut-sa-voiture-electrique/584722 Excellente nouvelle! (y)
  6. Appel d'offres pour la démolition du 1885-1895 rue Villeray : https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=34a37b45-afa3-446f-be48-787800169c00&SubCategoryCode=C03&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=a853c015-7cf5-4074-a4bc-08fa6a5209c3&VPos=227 [sTREETVIEW]https://www.google.com/maps/embed?pb=!1m0!3m2!1sfr!2sca!4v1452868284987!6m8!1m7!1siteKHG5xOYGH3ToEraVniw!2m2!1d45.5519069!2d-73.6138088!3f321!4f0!5f0.7820865974627469[/sTREETVIEW] Bonne nouvelle.
  7. http://journalmetro.com/actualites/montreal/841294/ une-cooperative-pour-un-projet-de-monorail/vitesse Par Marie-Eve Shaffer Métro Coop MGV Un groupe de citoyens a mis sur pied une coopérative dans l’espoir de concrétiser le fameux projet de réseau de monorail à grande vitesse au Québec. «Pour que le projet se réalise, on croit que ça doit passer dans une coopérative. On veut que la population soit impliquée dans ce projet», a affirmé mardi le président de la nouvelle coopérative de recherche et de développement Coop MGV, Patrick Leclaire. La nouvelle organisation veut démontrer l’acceptabilité sociale du projet de réseau de monorail afin de trouver le financement nécessaire à la poursuite des études et à sa réalisation, tant auprès des gouvernements que des entreprises privées. Une somme de 250M$ est à prévoir pour la recherche et le développement et un montant oscillant entre 9M$ et 12M$ doit être budgété pour chaque kilomètre que parcourrait le monorail. Le projet que caresse la Coop MGV vise à créer un réseau de lignes de monorail entre plusieurs villes du Québec. Les navettes seraient suspendues à dix mètres du sol à des rails aériens supportés par des poteaux installés dans l’emprise des autoroutes. Elles pourraient accueillir jusqu’à 70 passagers et elles se déplaceraient à 250 km/h grâce à la technologie du moteur-roue, qui a été inventée par l’ingénieur Pierre Couture et qui fonctionne à l’électricité. 3G$ Pour la Coop MGV, l’une des premières lignes de monorail qui devrait voir le jour est celle qui relierait Montréal à Québec. Sa construction coûterait près de 3G$. Les Montréalais pourraient se rendre dans la capitale en une heure environ. «On sait que le projet est rentable. Il coûterait trois fois moins cher qu’un TGV», a dit le vice-président de Coop MGV, Michel Laforest. Ce dernier a vanté l’efficacité du monorail et son impact minime sur l’environnement. D’après la Coop MGV, les études préliminaires, qui serviront à peaufiner et éprouver la technologie du monorail dans le climat du Québec, prendront de trois à cinq ans. Ensuite, la construction de lignes de monorail pourront commencer, tant au Québec qu’à l’étranger. D’autres organisations militent aussi en faveur de la création d’un réseau de monorail à grande vitesse au Québec. L’organisme à but non lucratif MGV Québec, dont le conseil d’administration est notamment formé par l’ancien président du Mouvement Desjardins, Claude Béland, et de l’ex-premier ministre du Québec, Bernard Landry, tente de son côté de sensibiliser les autorités publiques et les industries à la pertinence du projet. «On a les mêmes objectifs [que Coop MGV], mais on n’a pas les mêmes moyens, a expliqué le coordonnateur de MGV Québec, Nicklaus Davey. Ce dernier souhaite que le projet de monorail à grande vitesse soit inclus dans la nouvelle Stratégie d’électrification des transports que doit dévoiler sous peu le gouvernement du Québec. «Quand les études de faisabilité seront déclenchées, [Coop MGV] est une partie prenant avec laquelle on va vouloir travailler parce que ce sera la voix des citoyens, a dit M. Davey, C’est un projet de développement durable. Alors, le volet d’acceptabilité sociale est important. La Coop MGV s’assure qu’en amont, l’enjeu d’acceptabilité sociale est abordé.» L’organisme TrensQuébec essaie pour sa part de convaincre des groupes étrangers puisque selon son directeur, Jean-Paul Marchand, le gouvernement du Québec ne semble pas ouvert au projet de monorail à grande vitesse. «Les choses avancent, mais elles risquent de prendre encore un peu de temps, a écrit M. Marchand dans un courriel adressé à Métro. Chose certaine, nous allons réussir à mettre sur le rail ce système, parce que les retombées pour le Québec sont immenses.» sent via Tapatalk
  8. steve_36

    ArtsGames

    Il est difficile à ce stade ci de mesurer l'ampleur de cette nouvelle mais chose certaine, ca ne peut pas être négatif. Au contraire, c'est une bonne nouvelle et possiblement une excellente nouvelle. Par contre je suis curieux de savoir ou seront situés les bureaux de l'agence et combien d'employés y œuvreront. Je verrais bien les bureaux situés dans le même édifice que ceux du comité olympique canadien ou encore dans le quartier international.
  9. La Ronde: plusieurs nouveautés en 2016 Le Huffington Post Québec | Par Marie-Josée Roy Publication: 03/09/2015 05:59 EDT Mis à jour: il y a 2 heures La saison 2015 de La Ronde s’achève sous peu, mais qu’à cela ne tienne, on annonce déjà des nouveautés pour l’été 2016! Et on peut déjà prédire que les amateurs de sensations fortes en auront pour leur argent l’an prochain… Tout d’abord, le Vampire, cette montagne russe aux allures de chauve-souris, sera allongé et fera faire une vrille arrière aux courageux qui y monteront! La montée d’une hauteur de 32 mètres au début de la «balade» demeure inchangée mais, quelques secondes plus tard, le train effectuera un tonneau et entraînera ses passagers dans cinq inversions hallucinantes, à une vitesse de 80 km/h, à l’envers! De quoi avoir l’estomac en bouillie… Puis, on inaugurera la zone Avenue Aventure, qui sera un lieu d’excitation pour toute la famille. Deux manèges y seront ajoutés : le Phoénix, un scooter volant dont le «conducteur» aura le contrôle et qui devra être maîtrisé à contrevent, et le Gravitor, une structure qui projettera les personnes haut dans les airs et qui tourbillonnera encore et encore, dans une mer de sons et de lumières. Le mouvement créera une danse spectaculaire pour l’œil. En chiffres, le Phoénix sera constitué de 8 scooters volants, qui accueilleront chacun deux passagers en rotation à haute vitesse, tandis que le Gravitor comptera huit nacelles suspendues, qui contiendront deux passagers chacune et une manette permettant une rotation de la nacelle à 360 degrés, et sera décoré de 1500 lumières sur les sièges, les bras et la colonne principale de la nacelle. L’Halloween à La Ronde En attendant ces changements, à compter du samedi 3 octobre prochain, La Ronde revêtira ses habits les plus effrayants pour célébrer l’Halloween. Le District 5-10 – Dans le noir, un sentier de zombies, et l’Empailleur, une nouvelle attraction à faire frissonner, sont les attraits à découvrir d’ici la fermeture officielle de La Ronde en vue de l’hiver. Ceux-ci se greffent à la quarantaine de manèges déjà existants du parc montréalais, dont la Maison rouge, nouvelle maison hantée en hommage aux clowns, qui a ouvert ses portes au printemps 2015. Le passeport-saison 2016 de La Ronde sera mis en vente ce week-end, pendant le congé de la Fête du Travail, du 3 au 7 septembre. Ceux qui se le procureront à ce moment bénéficieront d’un rabais de 70% et d’une multitude d’autres avantages. Consultez le http://www.laronde.com pour plus d’informations. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/09/03/nouveautes-la-ronde-2016_n_8081546.html
  10. http://www.ledevoir.com/art-de-vivre/jardinage/443536/dans-la-bibliotheque-la-cathedrale-verte-un-projet-innovant-et-impressionnant La Cathédrale verte, un projet innovant et impressionnant 27 juin 2015 |Lise Gobeille | Jardinage Le projet de reconversion de l’incinérateur des Carrières en jardins suspendus, proposé par l’entreprise la Cathédrale verte, est une excellente nouvelle. La planification est l’aménagement de la fameuse rampe d’accès avec, entre autres, 15potagers en bac. Illustration: Cathédrale verte Le projet de reconversion de l’incinérateur des Carrières en jardins suspendus, proposé par l’entreprise la Cathédrale verte, est une excellente nouvelle. La planification est l’aménagement de la fameuse rampe d’accès avec, entre autres, 15potagers en bac. Jardins Le projet de reconversion de l’incinérateur des Carrières en jardins suspendus, proposé par l’entreprise la Cathédrale verte, est une excellente nouvelle. Il est grand temps de redonner vie à cet espace massivement bétonné, élément visuel marquant du paysage montréalais avec ses cheminées. Lors de l’événement Je vois Mtl, le projet s’est intégré à celui d’un corridor vert en direction du site Outremont de l’Université de Montréal. L’incinérateur Friche industrielle désaffectée depuis 22 ans, l’ancien incinérateur de déchets est situé dans l’arrondissement Rosemont–La Petite-Patrie sur la rue des Carrières à Montréal. Impressionnant bâtiment, il se distingue par ses deux immenses cheminées de 75 m de haut et par son imposante rampe d’accès extérieure. Par sa localisation au coeur de la ville, sa reconversion vers des technologies propres et sa végétalisation sont intelligentes et intéressantes. Qui sait… ? Le site pourrait même devenir un attrait touristique inusité ! La cathédrale verte, en plus d’être un projet, est une société par actions. Cette dernière souhaite — car elle n’a pas encore de projet concret à son actif — reconvertir des usines en technologies propres, réaménager écologiquement des sites industriels et créer de nouvelles signatures dans le paysage. Elle a été fondée par deux passionnés des technologies vertes et de l’écologie urbaine : Nicolas Vézeau, formé à l’École nationale d’administration en France et gestionnaire de portefeuille, et Jean-Baptiste Reulet, spécialiste de la vidéo 3D. Mis au défi par leurs conjointes lors d’une sortie sur le mont Royal d’aller au bout de leur idée et de réaliser un projet concret, ils ont pris trois à quatre ans avant de tout ficeler. En somme, depuis 2011, le projet de reconversion de l’incinérateur a été présenté dans différents événements, où il a suscité beaucoup d’intérêt et remporté des prix. Toutefois, c’est lors de sa présentation à Je vois Mtl, l’automne dernier, qu’il a pris un nouvel élan en s’inscrivant dans une vision plus large de corridor vert et en s’associant au Carrefour Verdir de Concertation Montréal (anciennement la CRE), à la Société de verdissement du Montréal métropolitain (Soverdi) et en créant des partenariats avec la Soder de Rosemont et Vrac environnement (Groupe d’action et de recherche en développement durable). Le projet vert Toujours à Je vois Mtl, les acteurs du projet se sont donné comme mission de réaliser, pour 2017, un espace de biodiversité en plein coeur de la ville en connectant, grâce à la voie ferrée, l’incinérateur des Carrières au campus d’Outremont. Ils souhaitent mobiliser tous les acteurs du milieu autour du corridor pour rendre les quartiers plus verts, plus sains et plus actifs. Les objectifs qu’ils cherchent à atteindre sont les suivants : augmenter la biodiversité, favoriser la connectivité écologique, améliorer le cadre de vie, puis offrir un milieu agréable et sécuritaire pour faciliter la mobilité active et l’activité physique. Deux mots sur la biodiversité, selon Pierre Bélec, responsable du corridor à la Soverdi, « la biodiversité est sûrement déjà intéressante à l’intérieur de l’emprise [du Canadien Pacifique], c’est plutôt auprès des propriétaires, le long de voies ferrées, qu’il y aura un travail à faire ». Quant au verdissement de l’incinérateur, la planification est l’aménagement de la fameuse rampe d’accès avec 15 potagers en bac, l’installation de 20 écosystèmes en pots et la construction de deux pergolas végétalisées. Le tout serait irrigué par un système d’arrosage qui fonctionne avec la gravité. Au sol seraient plantées des grimpantes pour habiller les piliers et le flanc de la rampe d’accès et pour les cheminées aussi, je présume, puis des saules seraient utilisés pour la décontamination des sols. En plus de devenir une zone verte singulière, cette métamorphose donnerait accès grâce à la rampe à l’un des points accessibles les plus hauts à l’est du mont Royal. On pourrait y observer la croix du mont Royal, la Place Ville-Marie et le Stade olympique. De plus, les deux gigantesques cheminées verdies le jour et illuminées la nuit deviendraient certainement des repères à Montréal. Économie circulaire Le projet inclut la reconversion de l’incinérateur en centre de traitement de déchets nouvelle génération. En bref, à partir de ces derniers seraient produits sur place des bioplastiques pour la fabrication à l’aide d’imprimantes 3D d’objets pour utilisation locale, tels que des prothèses. La reconversion a été établie selon les principes de l’économie circulaire, qui veulent que le déchet d’une industrie soit recyclé en matière première pour une autre industrie ou la même. Nicolas Vézeau, lors de notre rencontre, affirmait que lui et son acolyte sont prêts à verdir et irriguer l’incinérateur, mais que, malgré le soutien de François Croteau, maire de Rosemont–La Petite-Patrie, de Guillaume Lavoie, conseiller de ville de la circonscription Marie-Victorin dans l’arrondissement, de Réal Ménard, maire de l’arrondissement Mercier—Hochelaga-Maisonneuve et responsable du Développement durable, de l’Environnement, des Grands Parcs et des Espaces verts à la Ville de Montréal, d’Alexandre Boulerice du NPD dans Rosemont et même du maire Denis Coderre, la demande pour un bail emphytéotique de 35 ans du bâtiment, qui appartient à la Ville, est prise dans les dédales de l’administration. Assurément que la situation demande de la conciliation, car entre autres, le terrain est utilisé par l’écocentre ; mais pour un projet aussi intéressant, il y a sûrement place pour une entente. À quand l’issue ?
  11. Logement abordable: la nouvelle politique du Plateau échaude un promoteur http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/796387/logement-abordable-la-nouvelle-politique-du-plateau-echaude-un-promoteur/ Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement, les élus ont fait retirer de l’ordre du jour la seconde lecture du projet du Groupe Canvar qui souhaite reconvertir le bâtiment situé au 30, boulevard Saint-Joseph Est en un immeuble mixte de 89 logements, afin de «laisser le temps au promoteur de faire une proposition d’inclusion de logements sociaux». L’arrondissement s’est doté d’une nouvelle politique en matière de logement social. Depuis le 1er juin, le Plateau-Mont-Royal demande aux promoteurs d’inclure 20% d’unités de logement abordables dans les projets résidentiels dérogatoires de cinq unités et plus. Pour être conforme avec la nouvelle politique du Plateau, le promoteur devrait consacrer 18 unités à prix modiques dans son projet, ou encore verser dans un fonds spécial 15 000$ pour chaque unité de logement abordable non-construite. Joint par téléphone, Richard Varadi, le principal actionnaire du Groupe Canvar, n’a pas caché son mécontentement. «Je n’ai rien contre le logement abordable, mais je suis en colère avec l’arrondissement. Qu’est-ce que tu veux négocier? On nous met un fusil sur la tempe. On va aller se battre en cour s’il le faut.» Présentement, le projet est sur la glace. Le Groupe Canvar étudie toutes ses options pour faire valoir ses droits. «On ne va plus travailler dans le Plateau, a laissé tomber l’homme d’affaires. On a une hypothèque sur ce bâtiment et on est maintenant pris avec. Si l’arrondissement ne modifie pas le zonage, on ne peut pas aller de l’avant avec le projet et l’immeuble ne sera pas intéressant pour un éventuel acheteur.» «On ne sait pas encore ce qu’on va faire avec notre projet, a précisé M. Varadi à TC Media plus tard dans un courriel. La meilleure chose pour nous sera de tout simplement trouver un locataire. L’option de convertir l’immeuble n’est plus possible avec les politiques et les exigences de l’arrondissement.» L’homme d’affaires croit que la nouvelle politique du Plateau est contreproductive. «Si un promoteur doit céder au logement abordable une unité sur cinq, j’imagine qu’il va monter le prix des cinq autres pour balancer.» Rappelons que la Ville de Montréal a adopté en 2005 une stratégie d’inclusion facultative de 15% logements sociaux et de 15% de logements abordables dans les projets immobiliers de 200 unités et plus. L’arrondissement se montre confiant Le conseiller Richard Ryan, responsable du dossier de l’habitation demeure confiant que le Plateau-Mont-Royal trouvera un terrain d’entente avec le Groupe Canvar. «Il n’y a encore d’entente, mais j’ai discuté avec le promoteur et il a montré certains signes d’ouverture. Peut-être qu’il se dirigera vers une compensation.» L’élu ne croit pas que la nouvelle politique fera fuir les investisseurs immobiliers dans le Plateau. «Les 20% d’unités abordables que nous demandons aux projets dérogatoires sont vendues, pas données, a rappelé M. Ryan. Les promoteurs feront moins de profits, mais ils ne perdront pas d’argent. Les arrondissements centraux comme le Plateau possèdent une plus-value que recherchent les promoteurs, malgré le prix des terrains et les contraintes de construction reliées à la densité.» «Maintenant, les choses sont claires. Rosemont fait la même chose, le Sud-Ouest y songe, et je ne serais pas surpris que d’autres arrondissements nous suivent.» Le conseiller a souligné par ailleurs que certains projets dérogatoires dans l’arrondissement ont prévu l’inclusion de logements à prix modique avant même l’adoption de la politique.
  12. Le promoteur a fait une demande de dérogation pour bâtir 9 étages (immeuble commercial) à cet endroit, mais ce fut refusé par l'arrondissement. Reste qu'à attendre une nouvelle proposition certainement plus modeste. https://www.google.ca/maps/@45.509326,-73.573306,3a,75y,3.35h,90.55t/data=!3m6!1e1!3m4!1suXaL01e-l4LIVuaIi9IfSA!2e0!7i13312!8i6656?hl=fr
  13. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/banque-industrielle-commerciale-chine-montreal/ Bonne nouvelle, évidemment, mais l'histoire ne dit pas ou ils vont s'installer.
  14. Architectes: Birtz Bastien Beaudoin Laforest Architectes Fin de la construction: 2016? Utilisation: Éducation Emplacement: Hochelag' ? mètres - 3 éages Description: Remplacement de l'École Baril, contaminée et démolies au printemps 2015. Le portail de l'actuel édifice de l'école construite en 1911 sera conservé. Un gymnase double vitré, une bibliothèque sur deux étages, 17 arbres plantés et 21 classes fenestrées, voici à quoi ressemblera la nouvelle école Baril dans Hochelaga. Au-delà du style contemporain, l’histoire centenaire de l’établissement sera conservé. «Il était important d’inclure des éléments contemporains, tout en s’inspirant du contexte historique de l’école», indique Clément Bastien, architecte de la firme Birtz Bastien Beaudoin Laforest, qui a présenté les plans de la nouvelle école Baril aux parents, le 30 mars dernier. Comme pour le bâtiment original, la nouvelle structure gardera une base en maçonnerie de pierre. Les deuxième et troisième étages seront en argile. De plus, bien que contaminé, le portail de l’école sera conservé et érigé devant l’entrée principale.
  15. La Presse Canadienne SAINT-BRUNO-DE-MONTARVILLE La société chinoise Solutions d'alarme incendie Maple Armor Canada a annoncé mardi la construction d'une nouvelle usine à Saint-Bruno-de-Montarville, sur la Rive-Sud de Montréal, un investissement de 30 millions de dollars qui devrait entraîner la création de 70 emplois à terme. La filiale de Beida Jade Bird Group espère que sa nouvelle installation, qui fabriquera des systèmes d'alarme incendie, sera opérationnelle au courant de 2015. Le président du conseil de Beida Jade Bird Group a indiqué avoir choisi de s'installer en Amérique du Nord en raison de sa main-d'oeuvre hautement qualifiée et de son accès aux marchés mondiaux. La production de l'usine de Saint-Bruno sera d'abord destinée au marché chinois, où la demande est particulièrement vigoureuse, mais une diversification des marchés d'exportation est ensuite prévue, a précisé Gelin Zhang, vice-présidente de Maple Armor. http://affaires.lapresse.ca/economie/fabrication/201408/19/01-4792920-la-chinoise-maple-armor-ouvrira-une-usine-a-saint-bruno.php
  16. via le Journal de Montréal LONGUEUIL Une nouvelle voie réservée CHRISTOPHER NARDI / AGENCE QMI Publié le: lundi 11 août 2014, 16H16 | Mise à jour: lundi 11 août 2014, 17H23 Les résidents de la Rive-Sud profiteront dès le printemps d’une nouvelle voie réservée de cinq kilomètres qui reliera la gare d'autobus Brossard-Panama au terminus Longueuil. L'Agence métropolitaine de transport (AMT) rallongera donc la voie réservée sur le boulevard Taschereau grâce à deux tronçons de voies bidirectionnelles. La première sera située entre la rue Auguste et l’échangeur de la route 116 et le second tronçon reliera l’échangeur à la voie réservée actuelle aménagée à la sortie du boulevard Lafayette. Selon une porte-parole de l’AMT, cette construction amènera une économie de temps de 5 % à 15 % aux voyageurs. De plus, elle permettra aux autobus qui y circulent de respecter leurs horaires en réduisant la congestion sur leur route. «L’aménagement de voies réservées permet des gains en terme de fiabilité et de régularité des horaires. Elles garantissent en quelque sorte le temps de parcours, un avantage significatif pour les clients», explique Claudia Martin. Au total, ce seront près de 250 autobus provenant de trois sociétés de transport de la Rive-Sud qui emprunteront la nouvelle voie quotidiennement. L’AMT a lancé l’appel d’offres pour les travaux la semaine dernière et s’attend à entamer la construction d’ici les prochaines semaines. La voie réservée devrait donc être inaugurée au début de l’année 2015.
  17. Enfin une bonne nouvelle *** Le secteur manufacturier retrouve son niveau d'avant 2008 http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/manufacturier/le-secteur-manufacturier-retrouve-son-niveau-d-avant-2008/568948 C’est une bonne nouvelle qu’avait à annoncer ce matin les Manufacturiers et Exportateurs du Québec : le secteur manufacturier a retrouvé en mars le niveau d’avant la crise économique mondiale de 2008. La création de PME ou leur expansion fait moins de bruit que la fermeture de grosses usines comme Electrolux, à L’Assomption, mais les dernières statistiques montrent un dynamisme certain. Si les ventes de biens manufacturiers au Canada, en mars, ont augmenté de 216 M$ pour atteindre près de 51 G$ (milliards de dollars), c’est essentiellement parce les ventes au Québec ont cru de 243 M$ au cours du même mois. Cette augmentation au Québec suit une légère baisse de 15 M$ en février et une hausse de 355 M$ en janvier. Ce qui a permis au secteur manufacturier québécois de retrouver son niveau de ventes de 12 G$ de 2007. En 1994, à l’aube de l’Accord de libre-échange nord-américain, l’ALENA, les ventes manufacturières au Québec se chiffraient à 7 G$. Cet accord allait fournir une poussée d’adrénaline au secteur manufacturier dont les ventes ont grimpé à 12 G$ au début du 21e siècle. La période 2001 à 2007 en a été une de relative stabilité. Puis, la crise de 2008 a amputé 2 G$ de ventes au bilan de 2009. Il aura donc fallu quatre ans pour récupérer ces 2 G$. Audrey Azoulay, directrice des affaires publiques et relations gouvernementales de MEQ, se réjouit de cette bonne nouvelle mais préfère attendre avant de sabrer le champagne. «La baisse du dollar canadien a sans doute à voir avec la bonne performance du secteur manufacturier. La question est de savoir comment va évoluer notre dollar au cours des prochains mois. Et puis, le faible coût de l’énergie aux États-Unis, surtout à cause de l’exploitation massive du gaz de schiste, fait un dure concurrence à nos entreprises.»
  18. La SAQ, avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal, prévoient la construction d'une nouvelle succursale sur une partie du terrain de stationnement proche de la bâtisse de Première Moisson.
  19. EXCELLENTE NOUVELLE ET UN SIEGE SOCIAL QUI RESTE A MONTREAL Publié le 02 avril 2014 à 10h17 | Mis à jour à 12h33 Osisko (T.OSK), qui fait l'objet d'une offre d'achat hostile du géant Goldcorp (T.G), a finalement trouvé son chevalier blanc. Avec l'aide de la Caisse de dépôt et placement du Québec et de l'Office d'investissement du Régime de pensions du Canada (OIRPC), l'entreprise torontoise Yamana Gold (T.YRI) propose d'acheter la moitié de la société aurifère québécoise pour 1,37 milliard. Si la proposition est acceptée, les actionnaires d'Osisko recevront l'équivalent de 7,60 $ par action (2,19 $ en argent comptant, 2,06 $ sous forme d'une participation dans Yamana et 3,35 $ sous la forme d'une action du nouvel Osisko). C'est environ 10 % de plus que le cours de clôture des actions d'Osisko hier et 22 % de plus que l'offre de Goldcorp, dont la valeur était de 6,21 $ hier soir. En fin d'avant-midi, mercredi, l'action d'Osisko s'échangeait à 7,45 $ à la Bourse de Toronto, une possible indication que tous les investisseurs ne sont pas convaincus que la transaction avec Yamana ira de l'avant. Dans le cadre de l'entente, la Caisse de dépôt et l'OIRPC injecteront chacun 275 millions dans Osisko. La Caisse investira dans un «contrat de fourniture d'or» alors que l'OIRPC accroîtra la facilité de crédit d'Osisko. De plus, la Caisse et Investissement Québec convertiront en actions leurs débentures d'Osiko, dont la valeur totalise 75 millions (partagé à parts égales). Selon Osisko, la transaction permettra de distribuer 1 milliard en tout aux actionnaires de l'entreprise. «L'annonce d'aujourd'hui procure une valeur beaucoup plus importante à nos actionnaires, a déclaré le PDG d'Osisko, Sean Roosen. Elle offre aussi aux actionnaires la certitude de pouvoir continuer à participer au potentiel de croissance futur de notre mine Canadian Malartic, qui génère des flux de trésorerie disponibles très solides, ainsi que la capacité de continuer à bénéficier de nos futurs travaux d'exploration et de développement.» «Cette transaction nous permet d'entrer dans une nouvelle juridiction nord-américaine de calibre mondial, a quant à lui commenté le grand patron de Yamana, Peter Marrone. Elle amène une augmentation immédiate de notre production et une amélioration de notre structure de coûts déjà avantageuse.» La transaction devra être approuvée par les actionnaires lors d'une assemblée qui aura lieu d'ici le 20 mai. Jusqu'ici, Goldcorp a assuré ne pas avoir l'intention de bonifier son offre pour Osisko, mais le géant vancouvérois a encore le temps de changer d'avis.
  20. Très bonne nouvelle! Rendement de 13,1 % pour la Caisse de dépôt La forte progression des marchés boursiers américains et la vigueur du secteur immobilier aux États-Unis ont permis à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) de générer un rendement moyen de 13,1 % en 2013, une preuve que la stratégie d'investissement de la Caisse « porte fruit », selon le président et chef de la direction, Michel Sabia. Il s'agit d'un rendement supérieur à celui de 9,6 % enregistré en 2012. L'actif net des déposants a atteint 200,1 milliards de dollars au 31 décembre 2013, une hausse de près de 25 millions de dollars en un an. Le rendement annualisé sur quatre ans atteint 10 %. « Dans un environnement économique marqué par d'importants ajustements dans les marchés émergents, une longue période de récession en Europe et des États-Unis en rémission, nous avons gardé le cap sur notre stratégie et continué d'investir dans des actifs de qualité ancrés dans l'économie réelle » — Michel Sabia, président et chef de la direction de la CDPQ M. Sabia a également donné un aperçu de sa stratégie pour les prochains mois. « Nous entrons maintenant dans une période de normalisation qui nous entraînra en terrain inconnu et créera beaucoup d'incertitude. Dans ce contexte, nous allons continuer d'être sélectifs et de miser sur la gestion en absolu et une connaissance en profondeur des entreprises et des marchés dans lesquels nous investissons pour générer des rendements stables, aussi loin que possible des humeurs de marché. » La Caisse souligne qu'elle a poursuivi le déploiement de sa nouvelle stratégie d'investissement en 2013, qui a été guidée par quelques grandes orientations : Augmenter les investissements au Québec (les actifs de la Caisse au Québec ont atteint 53,8 milliards de dollars au 31 décembre 2013) Miser sur la gestion en absolu Investir dans des actifs moins liquides, en infrastructure et en immobilier Renforcer son expertise au sujet des pays émergents http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/26/004-resultats-caisse-depot-2013.shtml
  21. Nouvelle construction avec 40 unités de condominiums ainsi que des espaces commerciaux. --- Site MCafe et Wanda's. Je trouve la proposition suprenante car l'édifice actuel est un des seul de style Tudor à Montréal.
  22. D'abord, sachez que je réalise pleinement que les questions suivantes sont insignifiantes en comparaison du drame du Pont Champlain. Néanmoins, je les pose, pcq je suis intrigué par des détails. Mais avant d'y arriver, j'en profite pour rappeler que le pont Médéric-Martin qui franchit la rivière des Prairies a un débit moyen supérieur à Champlain... 1) Nouveau viaduc Cartier, travée sud (direction est) en construction: que se passe-t-il? On dirait que la structure sert présentement de lieu d'entreposage. 2) Prolongement de la voie de desserte est (direction nord) jusqu'à la r-117 (Labelle) avec raccordement à Dagenais: le nouveau viaduc sur Dagenais enjambant l'A-15 peut l'accomoder, alors qu'est-ce qu'on attend, considérant que cette partie de l'A-15 est constamment congestionnée à l'heure de pointe du soir? 3) Échangeur A-15/A640: quelle est la nature des travaux sous la nouvelle bretelle semi-directionnelle (pas ouverte) A-640 ouest vers A-15 sud? 4) Échangeur A-15/A640 bis: la nouvelle bretelle à virage de 270 degrés (ouverte) A-640 est vers A-15 nord est souvent congestionnée; or j'avais été étonné de découvrir que dans les plans du nouvel échangeur, cette direction (A-640 est vers A-15 nord) serait la seule à ne pas être dotée d'un mouvement semi-directionnel, alors même que ce trajet est celui qui supporte la circulation en provenance de l'A-13 (qui se termine à l'A-640, contrairement aux plans initiaux des années 1970). Généralités. Je ne suis nullement un partisan de la construction d'autoroutes à outrance, mais je déplore que des caractéristiques de conception réduisent l'efficacité du réseau existant, surtout lorsqu'il s'agit de trajets loin du centre de la ville.
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