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  1. Selon les données les plus récentes, le capital de risque investi au Québec représente une part de 0,21% du produit intérieur brut (PIB), ce qui place la province au cinquième rang mondial. Pour en lire plus...
  2. Pierre-André Normandin La Presse L'augmentation du nombre de décès de piétons sur les routes du Québec incite Montréal à maintenir l'interdiction du virage à droite au feu rouge, a indiqué le maire Denis Coderre. <!-- .excerpt --> La Société d'assurance automobile du Québec a présenté hier le bilan routier sur les routes de la province. Si le nombre de décès a globalement diminué l'an dernier, une hausse de 40 % a été observée chez les piétons. Le maire de Montréal estime que ce bilan peu reluisant met fin au débat lancé par certains maires de l'île pour permettre le virage à droite au feu rouge, comme ailleurs dans la province. « C'est clair qu'il n'y aura pas de virage à droite à Montréal. Ça met le couvercle », a indiqué Denis Coderre ce matin. Pas question de revenir sur cette décision, a-t-il ajouté. « Montréal reste ferme sur cette question. » http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201704/05/01-5085560-le-bilan-routier-scelle-le-sort-du-virage-a-droite-a-montreal.php<strike></strike>
  3. http://www.journaldemontreal.com/2016/01/20/les-plus-pauvres Nous sommes tellement habitués à ce genre de manchettes, c’est à peine si cela se fraye encore une place dans les bulletins de nouvelles. Le Québec est la province la plus pauvre du Canada. L’Île-du-Prince-Édouard a connu une meilleure croissance depuis deux ans. Cette minuscule province nous a dépassés. Dixième sur dix. Ces données de l’Institut de la statistique du Québec auraient dû semer la panique dans la population, nous servir un électrochoc pour revoir tout notre modèle économique. On devrait voir des gens s’arracher les cheveux, des vieillards frapper les lampadaires avec leur canne et des politiciens pleurer de rage. Rien de tel ne se produit au Québec. Endormis On reçoit cette nouvelle comme un fait divers. Certains nient la réalité en se moquant des statistiques, d’autres se réfugient derrière l’idée que nous sommes choyés d’avoir un modèle plus «égalitariste». Le pauvre François Legault fait cavalier seul en s’époumonant depuis des mois à l’Assemblée nationale à essayer d’intéresser quelqu’un à la tragédie de notre appauvrissement collectif. La statistique dont on parle est pourtant simple: le revenu disponible par habitant. Combien en moyenne nous reste-t-il dans nos poches pour vivre une fois que les gouvernements nous ont plumés? Difficile à truquer, pas difficile à interpréter. Il nous en reste beaucoup moins dans nos poches. Cela correspond pas mal à l’idée de pauvreté. Niveler par le bas Pourquoi ne pas être consolés par cette notion d’un Québec plus égalitaire? Il y a au Québec un écart moins grand entre riches et pauvres, cela est vrai. Mais attention. Les pauvres du Québec sont plus pauvres qu’ailleurs, la classe moyenne est plus pauvre aussi. Ladite égalité vient du fait que nous avons moins de riches. Moins de riches, donc moins de raison d’être jaloux peut-être, ce qui donne une impression de justice. Par contre, moins de riches signifie aussi moins de contributeurs pour payer les impôts qui financent tous nos beaux services publics. Une analyse complète permet difficilement de conclure que l’égalitarisme viendrait compenser pour le triste constat que nous sommes globalement plus pauvres. L’importance de l’écart mérite aussi qu’on s’y attarde. Plus de 4200 $. C’est le montant en moyenne de revenu disponible que nous avons de moins dans nos poches, par habitant! Faites le calcul: cela signifie que le couple québécois moyen dispose de près de 10 000 $ de moins pour faire face à ses obligations et se payer de petites gâteries. Les garderies auront beau coûter moins cher ici, on parle d’un écart énorme dans le même pays. Je reste estomaqué par une question existentielle: comment le discours dominant au Québec peut-il continuer d’être en faveur de la sauvegarde du supposé «modèle québécois»? Comment en sommes-nous venus à penser que notre modèle étatique, social et syndical nous rend service avec des résultats semblables? Mystère.
  4. Très bonne nouvelle! Québec veut favoriser le bois dans la construction Dans l'espoir de donner un coup de pouce à l'industrie forestière, le gouvernement Couillard permettra aux entrepreneurs d'avoir recours au bois massif lorsque viendra le temps d'ériger des immeubles de 12 étages ou moins dans la province. Le premier ministre Philippe Couillard a annoncé lundi le lancement d'un ouvrage sur le sujet produit par la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) en collaboration avec l'institut de recherche sans but lucratif FPInnovations. «Pour le marché américain seulement, et de façon très conservatrice, on parle d'un marché de 1 milliard $, a-t-il affirmé en conférence de presse. C'est une grande quantité d'emplois et d'occasions d'affaires pour nos entreprises. C'est clair que tout le monde attendait cela dans le secteur de la forêt.» En agissant de la sorte, le Québec devient la première province à tracer des lignes directrices visant à encadrer la construction en bois pour les édifices d'au plus 12 étages. Les modifications réglementaires apportées en 2010 encadraient les édifices pouvant aller jusqu'à six étages, comme c'est actuellement le cas en Ontario et en Colombie-Britannique. Ailleurs au Canada, on permet le bois pour les immeubles de quatre étages et moins. L'ouvrage d'une soixantaine de pages détaille entre autres les éléments à prendre en compte, comme le type de bois - principalement de l'épinette noire - à utiliser, la résistance au feu, les calculs de structure, les détails d'ancrage ainsi que l'entretien. «Nous avons mené et supervisé des tests sismiques, de feu et de portée pour s'assurer qu'ils répondent au code du bâtiment», a expliqué en entrevue téléphonique le président et chef de la direction de FPInnovations, Pierre Lapointe. En conférence de presse à Dolbeau-Mistassini, au Lac-Saint-Jean, M. Couillard a estimé qu'il s'agissait d'une «avancée importante» qui permettra de «dynamiser» et de faire rayonner le secteur forestier. «J'étais en France, il y a quelques mois, dans (la région de) l'Aquitaine, où l'on demande l'expertise du Québec, a-t-il dit. Voilà certainement un domaine où l'on va rayonner.» Dans la province, M. Couillard a rappelé qu'un projet de tour de 13 étages (12 en bois) et de 94 logements, estimé à 25 millions $, verra le jour à Québec. «Aussi bon» que le béton ou l'acier, le bois se démarque entre autres par sa légèreté et sa résistance aux tremblements de terre, a souligné le président et chef de la direction de FPInnovations. «Nous avons effectué des tests à une magnitude de 6,8 sur l'échelle de Richter, a précisé M. Lapointe. Puisque le bois ondule, on peut réutiliser l'édifice, contrairement au ciment ou l'acier.» Si le premier ministre Couillard a fait valoir que l'Université Laval et l'Université du Québec à Chicoutimi offraient actuellement aux architectes et étudiants une formation tenant compte des nouvelles normes, le dirigeant de l'institut de recherche a estimé qu'il y aura du travail à faire de ce côté. «La majorité des cours donnés depuis des années porte sur des infrastructures d'acier ou de ciment, a dit M. Lapointe. C'est là où il va y avoir de la pédagogie à faire. Les consommateurs sont déjà ouverts au bois.» L'annonce du gouvernement Couillard survient alors que s'étire notamment depuis le mois de juin la crise forestière sur la Côte-Nord, où les industriels forestiers ont suspendu leurs activités, ce qui prive de travail actuellement plusieurs centaines de personnes. Pour le président-directeur général du Conseil de l'industrie forestière du Québec, André Tremblay, le nouveau cadre réglementaire représente un «symbole» pour l'industrie. «Nous sommes les premiers, comme juridiction, à le faire, a-t-il expliqué au cours d'un entretien téléphonique. On vient d'ouvrir une porte additionnelle. Les architectes et ingénieurs vont pouvoir user de leur créativité.» M. Tremblay a également souligné que dans certains cas, l'utilisation du bois pourrait accélérer le processus de construction d'édifices en plus d'offrir des prix concurrentiels. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201508/17/01-4893281-quebec-veut-favoriser-le-bois-dans-la-construction.php
  5. Ooops! Fitch abaisse la note de l'Ontario L'agence de notation de crédit Fitch a abaissé vendredi la note à long terme de l'Ontario, évoquant les «risques» associés à la cible d'un équilibre budgétaire d'ici 2017-18 qu'a choisie le gouvernement libéral de la province. La note à long terme de l'Ontario est désormais de «AA-», comparativement à «AA» précédemment. Cependant, Fitch a aussi révisé à la hausse les perspectives de la province, qui passent ainsi de négatives à stables. Selon l'agence, les options budgétaires de la province seront vraisemblablement «plus limitées» compte tenu de ce que l'Ontario a fait jusqu'à maintenant pour atteindre sa cible. Le ministre ontarien des Finances, Charles Sousa, a indiqué dans un communiqué que le gouvernement était toujours déterminé à atteindre son objectif, tout en admettant que l'annonce de Fitch mettait en évidence les défis qui guettent l'économie de la province. M. Sousa a rappelé qu'il travaillait avec le président du Conseil du Trésor pour gérer les dépenses et pour réduire la dette et le déficit. http://affaires.lapresse.ca/economie/canada/201412/19/01-4829810-fitch-abaisse-la-note-de-lontario.php
  6. MONTRÉAL - En l'honneur de Jean Béliveau, décédé le 2 décembre, la Banque CIBC a allumé les lumières de certains étages de son siège social de Montréal de façon à former le chiffre 4, soit le numéro porté par l'ancien célèbre capitaine des Canadiens de Montréal. Les quatre côtés du gratte-ciel situé sur le boulevard René-Lévesque, visible d'un peu partout au centre-ville, étaient illuminés de cette façon, samedi soir. «M. Béliveau était l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, mais aussi un homme exceptionnel qui a embelli la vie de bien des gens dans la province et au Canada, a déclaré Victor Dodig, président et chef de la direction de la Banque CIBC, dans un communiqué. Nos employés cherchaient une façon appropriée de lui rendre hommage.» L'homme derrière cette idée est Luc Grenier, un conseiller en placement. http://fr.canoe.ca/sports/nouvelles/hockey/canadiens/archives/2014/12/20141206-220113.html
  7. Half of Quebec's anglophone and allophone population have considered leaving the province in the past year, a new EKOS poll commissioned by the CBC suggests. While only 10 per cent of francophone respondents said they had considered leaving, the top reasons why people said they have considered leaving weren't centred on language. Most people across all groups named taxes, jobs, political uncertainty and the economy as the most significant reasons they had contemplated a departure. As part of an exclusive two-week series, CBC Montreal will look at what is pushing people to consider relocating out of Quebec, what is keeping them in the province, and what hopes they have for their future in Quebec. A total of 2,020 Quebec residents were interviewed by phone between Feb. 10 and 18, 2014, with a margin of error of plus or minus 2.2 percentage points, 19 times out of 20. More information about the survey methodology appears at the bottom of this story. Asserting 'English-ness' Marc Stamos is a native Quebecer, but he is planning to move his family elsewhere after the birth of his second child. Stamos said his bilingualism used to be a source of pride, but language has become so politicized again in the province that it's become a point of contention. "For the first time since the '90s, I feel like I have to assert my anglophone-ness, my English-ness," he said. "You know, things have been dormant and so calm for so long that my brother and myself and my friends were comfortable speaking French." He said Bill 101 had a significant impact on his life, but the economy picked up and things looked better. "All of a sudden, our friends, our bilingual friends and even some of our French friends … are starting to want to leave again, starting to think, do they want to go through the whole roller-coaster again. Because of that, I don't want to speak French in public anymore." Stamos, who has lived outside of the province but chose to return to raise his family, said the access to education, health care and social services that initially brought him back to Montreal isn't enough to keep him here anymore. Economic factors In total, 16 per cent of respondents cited the economy as their main reason for considering a move out of province. It was tied with political uncertainty as the top reason for potentially leaving Quebec. Brett House, senior fellow at the Jeanne Sauve Foundation and the Centre for international Governance Innovation, says the economic picture in Quebec isn't as bleak as some of the perceptions, but the province is underperforming. "We're mediocre right now — we're not doing great, but we're not a disaster either," he said. "We're improving a bit, but we could do a lot better. "Quebec has the potential to be one of the two economic engines of this country, in addition to Ontario and yet, it's still performing far below what it should be." About the survey A total of 2,020 Quebec residents were interviewed by phone between Feb. 10 and 18, 2014, as part of this CBC-commissioned EKOS study. The margin of error for a sample of 2,020 is plus or minus 2.2 percentage points, 19 times out of 20. Those surveyed included 782 anglophones (with a margin of error of plus or minus 3.5 percentage points 95 per cent of the time), 1,009 francophones (with a margin of error of plus or minus 3.1 percentage points 95 per cent of the time) and 223 allophones (with a margine of error of plus or minus 6.5 percentage points 95 per cent of the time). Anglophones are respondents who identified their mother tongue as English; francophones are people who identified their mother tongue as French; and allophones identified their mother tongue as "other." http://www.cbc.ca/news/canada/montreal/half-of-quebec-non-francophones-consider-leaving-1.2549484
  8. Earth to anglos: This is Quebec. Bus drivers speak French BY NICHOLAS ROBINSON, THE GAZETTE JANUARY 7, 2014 I’m an expat American whose family transferred here (my father worked for ICAO) in 1976. In 1988, after having gone to college and graduated in California, I moved to Japan and spent five years there, teaching English. When I returned, my parents had relocated to California, but left their condo here unrented and unoccupied. Naturally, I chose to resettle here instead of California, and I’ve been here ever since. I spoke French before I came to Montreal, having learned it in francophone African countries, so I had no problems getting around Montreal. Except in my lengthy absence, Bill 101 had been passed, and many anglos were hightailing it out on the 401. It was strange coming back to a Montreal that had language issues; I’d never had the Eaton-fat-lady experience while I had been here in the 1970s and had never had any problems back then. And at first, actually, for over a decade, I resented the ridiculous sign law that made English two-thirds smaller than French on signs, plus all the “tongue-trooper” shenanigans over the years. But then my mind started changing, and today I’m pretty much the polar opposite to what I was in 1994. I now teach Japanese to individuals in Montreal, having enthusiastically learned it from scratch while in Japan. Most of my students are francophone, but we usually end up having the class with a mixture of all three languages. Now when I hear about people “not getting service” in English in such institutions as hospitals, or not being responded to in English by bus drivers, my stance is: tough luck. When I moved to Japan, I quickly discovered that almost nobody spoke English, and that in order to function, I would have to learn Japanese — and fast, which I did. And now I feel maybe Bill 101 should have gone farther and made all signs only in French. After all, we are living in a French-speaking province that just happens to be in the middle of a vast country called Canada. Any anglos who have been here for any length of time — over a year or so — should at least be able to carry out basic living functions in French and learn how to read signs in French. The wheedle-factor here is enormous. To my mind, the French speakers of Quebec have been incredibly tolerant of the anglophone “community,” and a vast swath of them have gone to the immense trouble of learning English — when they don’t have to at all. Yet they do, happily and willingly and without a single murmur of protest. Why then, can’t the so-called “anglophone community,” knowingly residing in a province that has every right in the world to make everything in French, not do a better job of learning French? Earth to anglos: this is Quebec. In Quebec most people speak French. Bus drivers have every right in the world to respond to you in French, even when you speak to them in English. And my suggestion to these besieged individuals is simply: learn how to speak French. There are literally hundreds of places where you can learn it absolutely free. Or take some of my classes and move to Japan, where there is a severe shortage of English teachers; I promise there are no French speakers there to hound you. Nicholas Robinson teaches Japanese in Montreal. © Copyright © The Montreal Gazette
  9. La revue Le moniteur du commerce international (lemoci.com) offre ce mois-ci un dossier spécial sur les affaires au Québec. On y retrouve entre autres une entrevue avec Pauline Marois, première ministre du Québec, sur les forces économique de la province et sur les nouvelles opportunités d’investissement en marge de l’Accord de libre-échange avec l’Europe. http://www.montrealinternational.com/wp-content/uploads/2014/01/MOCI-DossierQuebec.pdf
  10. Après avoir été à la traîne de l’économie canadienne durant la majeure partie de 2012, l’économie du Québec a amorcé 2013 du bon pied. La croissance s’est accélérée à un rythme nettement plus élevé que dans le reste du pays en janvier. Au cours du premier mois de 2013, le PIB du Québec a progressé de 0,9%, par rapport à une hausse de 0,2% dans l’ensemble du Canada, révèle mardi l’Institut de la Statistique du Québec. Ce bond de la croissance fait oublier le recul prononcé de 0,6% observé au cours du dernier mois de 2012. Sur une base annuelle, le PIB de la province a augmenté de 1,9% en janvier par rapport au même mois de 2012. Au Canada, la progression a été de 1%. Gains chez les manufacturiers Bonne nouvelle pour le secteur manufacturier, les fabricants ont enregistré une hausse de la production de 1,8% en janvier. Ce résultat fait suite à un repli de 0,3% observé en décembre. Les services publics ont pour leur part affiché une hausse de 1,5%. L’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ont noté une observation de 1,6%. En revanche, le secteur de la construction a accusé une baisse de 0,2%. Les ressources naturelles, l’extraction minière, l’exploitation de carrières et l’extraction de pétrole et gaz ont aussi enregistré une baisse de production, de 1,6%. Les ventes au détail progressent Le commerce de détail prend également du mieux dans la province. Statistique Canada a annoncé mardi que les ventes au détail ont augmenté de 0,7% au Québec entre janvier et février. Lisez notre texte pour les résultats de février. Cela fait suite à une hausse de 2,1% observée en janvier dans la province. La performance du secteur du détail au cours des deux premiers mois de 2013 est rassurante, car les commerçants de la province avaient connu un dur mois en décembre. Les recettes des détaillaints avaient en effet fléchi de 2,5% au cours du dernier mois de 2012. La santé du secteur du détail est d'autant plus importante, car d'autres secteurs clés de l'économie, la construction et les exportations, notamment, montrent des signes de faiblesse. Vendredi, l'économiste Hélène Bégin, de Desjardins, a signalé que faute d’une embellie des exportations avant l’an prochain, l’économie du Québec doit compter sur les consommateurs et les entreprises pour maintenir sa croissance. «Les dépenses de consommation et les investissements des entreprises joueront un rôle important afin de maintenir l’économie du Québec en territoire positif», écrit-elle dans une note. http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/l-economie-du-quebec-a-amorce-2013-en-lion/556660#.UXaRs0qWW3N Etonnant pour le secteur de la construction,vu le nombre de grues à Montréal..mais bon ce n'est pas Montréal partout au Québec non plus...ce chiffre va surement s'améliorer avec le début des gros projets au printemps.
  11. Québec Le taux de chômage recule Agence QMI 08/02/2013 10h43 OTTAWA - Le taux de chômage a diminué au Québec en janvier, alors qu'il s'est créé plus de 5000 emplois, a indiqué vendredi Statistique Canada. Les chiffres sur l'emploi de la province détonnent avec la perte de plus de 20 000 emplois au Canada. L'agence fédérale a souligné que si l'économie de la province a détruit 7900 emplois à temps partiel, elle en a créé 13 300 à temps plein, pour une création nette de 5500 emplois. Cette embellie dans le monde du travail a contribué à ramener le taux de chômage à 7,1 %, en baisse de deux dixièmes de point de pourcentage. Au Canada, le portrait est beaucoup moins reluisant, alors qu'il s'est perdu 21 900 emplois en janvier, essentiellement des postes à temps plein (20 600). Les économistes sondés par l'agence Bloomberg attendaient une création de 5000 emplois. Le taux de chômage a reculé d'un dixième de point de pourcentage, à 7 %. En décembre, à la fois le Québec et le Canada avaient enregistré une création d'emplois, soit respectivement de 5200 et 31 200 emplois, en chiffres révisés. Au pays, l'hémorragie d'emplois s'est surtout produite en Ontario, avec une perte de 31 200 emplois. L'emploi à temps plein a reculé de 43 000. Comme il y avait moins de personnes à la recherche de travail, le taux de chômage a diminué de deux dixièmes de point dans la province voisine pour passer à 7,7 %. Au pays, le secteur public s'est délesté de quelque 27 000 employés le mois dernier, alors que l'emploi dans le secteur privé a diminué de 18 800. Le nombre de travailleurs autonomes s'est accru de 23 900. Par rapport à 12 mois plus tôt, le nombre d'employés du secteur privé a augmenté de 1,9 % ou de 210 000, alors que le nombre d'employés du secteur public et celui des travailleurs autonomes ont connu peu de variation, fait savoir l'agence fédérale. Le nombre de personnes travaillant dans l'enseignement et le secteur de la fabrication a chuté, alors qu'il s'est accru dans la construction et les administrations publiques. Les mauvaises statistiques sur les mises en chantier et l'emploi faisaient réagir négativement le dollar canadien, qui perdait 49 centièmes de cent par rapport au dollar américain, à 99,73 cents, à 9 h 12.
  12. Seul le Québec, IPE et la Saskatchewan ont eu augmentation du taux de chômage Faut croire que la reprise économique est maintenant bien amorcée au pays. Retour aux chiffres normaux... *** Emploi - Perte de 25 700 emplois au Québec en décembre Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage a légèrement augmenté en décembre, pour s'établir à 7,5 %, en hausse de 0,1 % par rapport à novembre. Statistique Canada souligne que 17 500 emplois ont été ajoutés en décembre au pays après deux mois de baisses. Toutefois, le taux de chômage a augmenté parce que davantage de personnes ont cherché activement du travail. L'organisme rapporte une augmentation de 43 000 du nombre de personnes travaillant à temps partiel en décembre mais note aussi une baisse de 26 000 du nombre de travailleurs à temps plein. Le nombre d'emplois dans le secteur de la fabrication a augmenté de 30 000 en décembre. Parallèlement, le nombre d'emplois a baissé de 7200 dans les services publics et est resté à peu près inchangé dans les autres secteurs. Pour l'ensemble de l'année 2011, les gains sont de 199 000 emplois au pays. La grande majorité de ces emplois ont été créés durant les six premiers mois de l'année. Hausse du chômage au Québec Dans les provinces, l'emploi a augmenté en décembre en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'emploi a toutefois diminué au Québec pour un troisième mois consécutif. La diminution était estimée à 25 700 emplois en décembre, portant le taux de chômage à 8,7 %. Les baisses les plus marquées au Québec se situent dans le secteur de la construction (monctezuma : pourant c'est pas les chantiers qui manquent !?!?) et dans celui des soins de santé et de l'assistance sociale. Le Québec a connu une baisse de 51 000 emplois en un an. Taux de chômage par province, décembre (novembre entre parenthèses) Terre-Neuve-et-Labrador 12,8 (13,2) Île-du-Prince-Édouard 11,4 (11,1) Nouvelle-Écosse 7,8 (8,6) Nouveau-Brunswick 9,4 (9,8) Québec 8,7 (8,0) Ontario 7,7 (7,9) Manitoba 5,4 (5,5) Saskatchewan 5,2 (5,1) Alberta 4,9 (5,0) Colombie-Britannique 7,0 (7,0)
  13. J'ai lu ça dans le Globe ce matin, mais rien nulle part ailleurs?? Si c'est vrai, ce serait alors un des plus gros projet d'infrastructure au Québec dans les prochaines années. OTTAWA — Atomic Energy of Canada Ltd. is fighting for its survival, as industry supporters say the federal government is preparing to pull the plug on the heavily subsidized Crown corporation if it loses a bid to build two nuclear reactors in Ontario. If the nuclear agency loses the multi-billion-dollar contract to one of two global players, Ottawa would blame the McGuinty government for the nuclear agency's demise, according to sources. The two governments - which have battled on several fronts - are engaged in a quiet game of chicken over Canada's flagship nuclear vendor and its network of Candu suppliers. The Ontario government wants to be assured that Ottawa has a long-term commitment to the nuclear supplier before selecting its ACR1000 reactor, which is still under development. Ottawa, meanwhile, is considering selling the company, and the result of the highly competitive Ontario bid will be an important factor in its decision. "The [Ontario] competition has accelerated for the feds the whole question of what they are going to do with AECL and the ACR1000 reactor," said Bryne Purchase, a former deputy energy minister in Ontario and now director of the energy and environment program at Queen's University. "This is not just about selling a reactor in Canada, it's critical to AECL's plans to compete in the world." AECL is competing with two much-larger foreign vendors, France's Areva Group, and U.S.-based Westinghouse Electric Co. LLC. Both those companies have access to commercial-type financing from their export credit agencies, and both have more prospects for sales than AECL, meaning they can spread development costs among more projects. As a result, AECL and its partners, led by SNC-Lavalin Group Inc., have asked Ottawa to provide financing and risk-sharing in order to keep its costs competitive. Last week, Natural Resources Minister Gary Lunn said the federal government stands behind AECL. In its most recent budget, the Harper government allocated $300-million to the Crown corporation to continue work on the ACR, and to refurbish its Chalk River research site. But some of AECL's Team Candu industry backers, which include Babcock & Wilcox Canada and GE Hitachi Nuclear Energy Canada, along with SNC-Lavalin Nuclear, worry that the Harper government is injecting just enough money into the company to prepare it for a sale, and to make a plausible - but not necessarily successful - run at the Ontario bid. They fear Ottawa will balk at providing the required billions of dollars in loan guarantees, nor will it wish, as AECL's lone shareholder, to assume the financial risk for potential cost overruns the province will almost certainly demand. AECL and its partners have acknowledged the critical nature of the Ontario decision for Team Candu. In a letter to Mr. Lunn obtained by The Globe and Mail, SNC-Lavalin Nuclear president Patrick Lamarre said an Ontario deal would be a "springboard to support our futures sales worldwide." Based on AECL's past share of the global nuclear market, Mr. Lamarre said the consortium could generate $100-billion for the Canadian economy. However, few people expect AECL to maintain its past market success, or match the heady prediction contained in its recently approved, five-year business plan that it will sell 25 reactors during the next 25 years, and four (including two in Ontario) during the next five years. In 1996, AECL forecast that it would sell 10 reactors over 10 years. It sold three - two to China and one to Romania, in a deal that was resuscitated from one that had begun under former dictator NicolaeCeausescu, and then was halted when his government collapsed. AECL got some good news yesterday for its booming business of refurbishing aged Candus. Hydro-Québec announced a $1.5-billion rebuild of its Gentilly-2 nuclear reactor, which will be completed by the federal corporation. Shawn-Patrick Stensil, an anti-nuclear campaigner for Greenpeace, said both levels of government appear to be looking to "outsource the blame" if AECL fails in Ontario and Ottawa decides to get out of the nuclear business. "The feds will blame the province and the province will say, 'We heeded the advice of outside experts,' " he said. (Ontario has set up an evaluation committee that includes its two nuclear operators, Ontario Power Generation and privately owned Bruce Power.) Since the Chinese and Romanian deals, AECL has been shut out of most promising markets, including the United States, which is itself heavily subsidizing the first few new reactors to be built in that country. Both Areva and General Electric Co. have expressed interest in buying AECL, which is prized for its existing reactor technology for smaller markets, its highly skilled work force, and its lucrative work in servicing Candu reactors around the world. Despite its challenges, however, AECL isn't out of the game in Ontario. While the province has said cost and on-time deliverability are key factors, a third one is the promise of industrial benefits for the province, and the Crown corporation has a deep supplier base in the province to give it an advantage on that score. At the same time, the province and the federal nuclear regulator have invested heavily in Candu know-how, and it will be costly to operate and regulate two
  14. Read more: http://westislandgazette.com/news/32511#comment-17239 All I can say is, these people should just buy some earplugs. It will cost the city of Beaconsfield nothing, instead of building a sound barrier or costing people of Montreal and Quebec, to slow down cars / trains. They are the morons for buying a home, that should have never been built so close to the highway / railway. The city is to blame for zoning those areas as residential. I am so going to town hall meetings from now on. Time to put these senior NIMBYs in their place. Sort of on topic, but not really, the highway speed should be increased to a maximum of 140 and a minimum of 100. Boulevards / Service roads should be 70, instead of 50. The whole transport rules/regulations in this province have to be worked on.
  15. Growth in mining sector reshaping Quebec economy BARRIE MCKENNA OTTAWA— Globe and Mail Blog Posted on Thursday, March 15, 2012 12:48PM EDT http://www.theglobeandmail.com/report-on-business/economy/economy-lab/daily-mix/growth-in-mining-sector-reshaping-quebec-economy/article2370299/ Think of the Quebec economy, and the traditional drivers are energy, forestry and manufacturing. But there’s a new engine in Quebec – mining – and it’s reshaping the economy of both the province, and the country. Investment in the province’s mining industry is expected to reach $4.4-billion this year, up 62 per cent from 2011. That’s nearly equal to the capital that will be poured into manufacturing ($5-billion), a remarkable 27 per cent of all business investment in the province and represents half of all mining investment in the country, according to a National Bank of Canada analysis of recent Statistics Canada figures. “That’s never happened before,” National Bank of Canada chief economist Stéfane Marion said in an interview. “It’s a huge growth driver for the province this year, and in the future.” It’s not the only first. Quebec will lead the country in mining investment this year, outpacing Ontario, Mr. Marion said. Mining investment is expected to hit $3.7-billion in Ontario, $2.8-billion in B.C. and $500-million in Alberta. For Quebec, the money pouring into dozens of iron ore, gold, copper and other mining projects could add a full percentage to GDP this year and cause an unexpected boost in royalty revenue for the cash-strapped government. It will also have spinoff benefits for Montreal-area manufacturers, who will help supply mining-related equipment. But Mr. Marion said there are broader implications. The Quebec economy is starting to look a lot more like the booming resource-rich provinces of the West. “This is a material change in the industrial structure of Quebec,” Ms. Marion said. “It brings the interests of Western Canada and Quebec into line. It’s not just a pure Western Canada story now. It’s spreading to Eastern Canada.” Quebec is also positioning itself to capitalize on the growing resource appetite in China and other fast-growing emerging economies, he said. And the good news: The mining boom is just getting started as Quebec plots its 25-year “Plan Nord” strategy.
  16. Comme quoi on peut virer à 180 degrés une situation. Rien en 2008, puis aujourd'hui, une reconnaissance. On se retrousse les manches et on avance! Nice. http://onstartups.com/tabid/3339/bid/75597/The-Big-List-The-Best-and-Worst-Startup-Stuff-In-2011.aspx
  17. (Courtesy of the Financial Post) Reason I put it in culture, it seems more of a Quebec culture to be more laid back and no really care about material wealth, but that is my own point of view.
  18. Source: La Presse, 10 novembre 2010 La pharmaceutique Pfizer a annoncé mercredi qu'elle investirait 22 millions de dollars afin de procéder à des travaux de reconstruction et de modernisation de son siège social de Kirkland, dans l'ouest de l'île de Montréal. Selon le président de l'entreprise, Paul Lévesque, cet investissement démontre que Pfizer souhaite demeurer «le chef de file» de l'industrie biopharmaceutique, qui constitue d'après lui un secteur «vital» pour la province. Les 22 millions seront consacrés à la reconstruction du bâtiment original de Kirkland et à la modernisation des installations et des équipements utilisés quotidiennement par les employés. Les travaux sont déjà en cours, précise le communiqué diffusé mercredi, et devraient prendre fin d'ici mars 2011. En tenant compte uniquement du secteur de la construction, le projet aura créé une centaine d'emploi, fait valoir l'entreprise. Pfizer a près de 2100 employés au Québec, ce qui en fait la société pharmaceutique qui compte le plus d'effectifs dans la province
  19. Michel Munger Argent Les Québécois sont gâtés et ils doivent cesser de résister aux projets de développement économique qui leur sont proposés. C'est ainsi qu'Alain Lemaire, PDG de Cascades (CAS), répond aux inquiétudes qui découlent d'une panoplie de dossiers, tels que le renouvellement de routes ou l'exploitation des gaz de schiste. Il a pris la parole mardi dans le cadre de la Série Enjeux, des Manufacturiers et exportateurs du Québec. «Nous nous faisons mener par le bout du nez par des minorités qui nous empêchent, comme entrepreneurs, de créer de la richesse, dénonce M. Lemaire. Je ne sais pas ce que nous allons faire pour changer cette mentalité-là. Il faut en créer, de la richesse, et l'exploiter. Nous ne pouvons pas passer à côté. Si nous devenons une province de services, nous sommes cloués au pilori. Nous ne pouvons faire concurrence aux Indes et à l'Angleterre dans les services.» Les Québécois vivent dans une zone de confort, renchérit le cadet de la famille Lemaire. «Nous sommes habitués d'être gâtés, dit-il. Nous sommes habitués d'avoir la gratuité [des services]. Nous devons nous détacher de cela, sinon nous ne pourrons pas survivre. Nous pouvons aussi constater que les gens qui vivent au Sud n'ont pas les mêmes avantages que nous. Notre coût de main d'oeuvre est 50% plus cher qu'aux États-Unis.» Le patron de Cascades affirme qu'afin de créer de la richesse, il faut lancer des projets comme les gaz de schiste, mais «de façon respectueuse». «Ça s'applique à beaucoup de choses, précise-t-il, que ce soit la pollution de l'air, d'utilisation de territoires, de mines, de lignes électriques et de barrages. Regardez tous les projets créateurs. J'aimerais que l'on me dise qu'ils ne seront pas contestés. On veut refaire l'échangeur Turcot : tout le monde se plaint et on a peur de passer dessus. Mais les gens disent: pas dans ma cour.» «Au Québec, on ne veut pas qu'il se fasse de barrages parce que l'on va tuer trois ou quatre saumons», avance M. Lemaire. Il pose une série de questions qui peuvent susciter le débat : «Pourquoi une analyse environnementale prend quelques mois aux États-Unis, alors qu'elle prend deux ou trois ans à faire ici ? Pourquoi un projet, comme l'exploitation d'une mine, est-il bienvenu ailleurs alors qu'il est mal perçu au Québec ? Met-on trop en évidence le côté potentiellement dangereux ? Peut-être. Fait-on de la démagogie ? Sûrement.» La réputation de la province doit demeurer positive pour ne pas ruiner son économie, soutient le PDG de Cascades. «Soyons pro-actifs et non alarmistes», conclut-il. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/04/20110419-163859.html
  20. C'est ce que j'appelle une bonne nouvelle. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/04/06/006-creation-emploi-2010.shtml
  21. Article complet http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201004/07/01-4268302-construction-le-printemps-sera-chaud-au-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS1
  22. http://www.economist.com/world/americas/displaystory.cfm?story_id=15726687&source=hptextfeatureCanadian cities Mar 18th 2010 | CALGARY AND TORONTO From The Economist print edition And the gloom in Toronto TIME was when the decision over where to put a new Canadian capital-markets regulator would have been automatic. Toronto, Canada’s most populous city and the capital of Ontario, the most populous province, has long been the country’s business and financial centre. The biggest banks are there, as is the stock exchange. Legions of lawyers, accountants and bankers flock daily to the towers surrounding King and Bay streets. And yet the Canadian government is in two minds over the home for the new authority, and may end up splitting it between several cities—partly to placate provincial regulators jealous of their purviews. This hesitation has brought grumbles from politicians in Ontario. But it is tacit recognition that economic and political power in Canada are slowly shifting westward, and in particular to Calgary, the main business centre in Alberta, a province with a large oil and gas industry. Toronto still has the top spot. Greater Toronto has 5.6m people, or almost five times as many as Calgary. It is home to more corporate headquarters than any other Canadian city. Of the 20 biggest companies in Canada, ten are based in the Toronto area. But six are now in Calgary. All are oil and gas firms, whose towers form the city’s dramatic skyline, set against the backdrop of the Rocky mountains. And Calgary has the momentum. The new housing developments that surround the city and stretch to the foothills are evidence that Alberta is sucking in people and investment from the rest of Canada. Between 1999 and 2007, while head-office employment grew by 14.1% in Toronto, it soared by 64.6% in Calgary, according to a report by the OECD, a research body. Alberta’s economy swiftly brushed off the recession. Its leaders dismiss hostility from greens to the tar sands that are the source of much of its hydrocarbons. If Americans do not want their oil, then Alberta will build a pipeline to the west coast and sell it to China, they say. Dave Bronconnier, Calgary’s mayor, laughs off the idea that his city might soon supplant Toronto. But he admits that he has tried to woo one of Canada’s big five banks to come and set up its headquarters. He is also courting branch offices of banks from China, the Middle East and South Korea. Office rents are higher in Calgary than in many other cities, though they have fallen sharply since 2008. But low business taxes and the lack of a provincial sales tax make overall operating costs lower than in Ontario. The city wants to become a global centre for energy companies. Its rivals are Houston, Dallas and Dubai, rather than Toronto, says Mr Bronconnier. This boosterism is in sharp contrast to the downbeat mood back east. Despite the strength of the banks, Toronto and Ontario—the home of Canadian carmaking—have fared badly in the recession. In an editorial earlier this month the Toronto Star, the city’s biggest newspaper, bemoaned growing social inequality, worsening gridlock, a deteriorating transport system and rising taxes. “There’s a nagging but entirely justified sense that Toronto has lost its way,” the paper concluded. Ontarians as a whole are feeling uneasy. In a recent poll taken in the province for the Mowat Centre, a think-tank, half of respondents felt that Ontario’s influence in national affairs is waning and about the same number thought the province is not treated with the respect it deserves. A generation ago Toronto benefited from an influx of businesses from Montreal fleeing the threat of Quebec separatism. That threat has receded, but federal politicians are ever-sensitive to the French-speaking province’s demands. Alberta’s politicians are becoming increasingly bolshy as their economic muscle grows. And Ontario? Torontonians were long used “to assuming that they are the centre of the universe,” as Joe Martin, a business historian at the University of Toronto, puts it. They are awakening to a world in which their planet, though still the biggest in the Canadian firmament, is being eclipsed. Copyright © 2010 The Economist Newspaper and The Economist Group. All rights reserved.
  23. Un Québec souverain devrait envisager le dollar américain 17 février 2010 | 18h38 Argent Dans l'éventualité où le Québec devenait souverain, ce nouveau pays devrait envisager d'adopter comme devise le dollar américain, selon Jean-François Lisée, directeur exécutif du Centre d'études et de recherches internationales (CERIUM). À son avis, l'importance grandissante du pétrole dans l'économie canadienne risque d'avoir des conséquences pour les provinces qui ne produisent pas l'or noir, en causant des pertes d'emplois dans le secteur manufacturier. Selon des études d'économistes d'Ottawa, d'Amsterdam et du Luxembourg citée par M. Lisée, le pays a déjà perdu 54 % de ses emplois manufacturiers depuis cinq ans, soit environ 55 000 emplois au Québec. En fait, le pays pourrait être victime du mal hollandais, dont le principe veut qu'un État misant beaucoup sur l'exportation de ses ressources naturelles fait ainsi augmenter la valeur de sa devise, ce qui nuit à ses autres exportations. Qu'il provienne du large de Terre-Neuve-et-Labrador ou des sables bitumineux de l'Alberta, plus le Canada exportera du pétrole affirme M. Lisée, et plus le huard va s'apprécier. Selon les prévisions, la production pétrolière du Canada devrait doubler dans la prochaine décennie, et doubler une fois de plus la décennie suivante. Ce qui laisse une perspective sombre pour des provinces comme le Québec. « Pour des compagnies comme Bombardier ou bien d'autres qui exportent leurs produits en dollar canadien, plus la valeur du dollar augmente, et plus il est difficile d'exporter », explique-t-il. « Être une province productrice de pétrole, c'est merveilleux d'un point de vue économique. Mais être une province, même de services, dans un pays producteur de pétrole, c'est autre chose. L'augmentation du dollar n'est pas un atout, mais un obstacle, et c'est sans compter l'augmentation du prix du pétrole », poursuit-il. Aussi longtemps qu'une province fait partie du Canada, la question d'adopter le dollar américain ne se pose pas et il faut s'adapter en conséquence, précise M. Lisée. Mais à son avis, un Québec indépendant devrait se poser la question, d'autant qu'il faut exclure la création d'une monnaie locale. Landry : «La fédération canadienne appauvrit le Québec»17 février 2010 | 17h09 Argent Une journée après la sortie très médiatisée de Lucien Bouchard contre le Parti Québécois et l’option souverainiste, l’ex-premier ministre Bernard Landry a livré aujourd’hui un plaidoyer pour l’indépendance alors qu’il croit que la fédération canadienne appauvrit le Québec. En entrevue avec Argent, M. Landry qui a dirigé la province de 2001 à 2003 a estimé que le contexte de mondialisation fait en sorte que le Québec doit marcher «plus que jamais vers la souveraineté». À lire également : Un Québec souverain devrait envisager le dollar américain «Pour qu’elle soit vivable et qu’on puisse la réguler, la mondialisation doit être sous la surveillance des organisations internationales. Et qui siège dans ces organisations ? Les États membres des Nations Unies», a estimé M. Landry très en verve. Il a pris pour exemple la dernière Conférence sur l’environnement de Copenhague où plusieurs divergences sont apparues entre Ottawa et le Québec sur les émissions de gaz à effet de serre. «On l’a vu à Copenhague, le cancre qui est le Canada parle au nom du Québec qui est le premier de classe. C’est comme cela à l’OMC et c’est comme cela partout», a-t-il indiqué. Cela fait en sorte que le Canada impose souvent des choix aux Québécois qui ne sont pas en concordance avec les besoins et ses aspirations, constate-t-il. «Est-ce que le Québec achèterait des chars d’assaut et des avions de combat ? Est-ce que le Québec serait en Afghanistan ? Je crois qu’on contribuerait à la paix mondiale mais en fabriquant des hôpitaux de campagne, on ferait des missions humanitaires. Mais on ne se comporterait pas comme une grande puissance et le Canada n’en est pas une», a-t-il dit. Situation alarmante du Québec dans le Canada Encore plus préoccupante est la situation du Québec à l’intérieur du Canada croit l’ancien chef du Parti Québécois, position qu’il a occupé de 2001 à 2005. «On envoie 50 % de nos taxes et impôts à Ottawa comme une province et on a la responsabilité de la santé, de l’éducation et de l’aide sociale. J’ai été ministre des Finances du Québec et ce n’est pas vivable», a-t-il indiqué. Selon lui, il s’agit même d’une position largement partagée par plusieurs grands argentiers du Québec dans l'histoire récente. «On se rappelle que Gérard D. Lévesque (ancien ministre libéral des Finances) disait : ‘Ottawa nous étrangle’. Yves Séguin un autre Libéral affirmait aussi : ‘Ottawa nous vampirise’. Donc on se fait étrangler, vampiriser et on va se dire : ‘Ce n’est pas grave, ce n’est pas urgent’. Il faut se réveiller», a-t-il estimé. Le système de péréquation instaurée au Canada et dont le Québec profite ne trouve pas non plus grâce aux yeux de M. Landry. «Le Canada ne marche pas. La péréquation date de 40 ans. On était une province pauvre à ce moment et on en est encore une. Et même l’Ontario va en toucher. Mais qu’est-ce que c’est cette fédération ?», s’est-il demandé. M. Landry croit que le Québec a tout le potentiel économique pour aller vers la souveraineté. Selon lui, l’industrie du jeu vidéo – 6000 emplois à Montréal – et l’hydroélectricité sont des pierres angulaires du développement économique québécois. «On a tout. On a l’intelligence, la créativité, Bombardier, SNC-Lavalin et les richesses naturelles. Qu’est-ce qui nous faut de plus ?», a-t-il lancé. Du côté politique, M. Landry affirme que la sortie de M. Bouchard est «désolante» et qu’elle envoie un message contradictoire au Canada et à la communauté internationale. Il affirme être encore passionné par la souveraineté et il souhaite encore «mener le combat». «Je n’arrête jamais d’en parler. Je respecte les adversaires. Et je suis sûr que cette cause est celle du destin du Québec et que cela va se faire un jour… J’espère le plus tôt possible», a indiqué M. Landry.
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