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  1. Deux projets immobiliers rue Chabanel à Montréal 13 janvier 2011 | 07h23 Agence QMI Habituellement associée aux activités commerciales, la rue Chabanel, dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, suscite maintenant l’intérêt de promoteurs immobiliers résidentiels. Deux projets de condominiums viennent de recevoir des approbations préliminaires de la Ville. Il s’agit d’une nouvelle phase dans la transformation d’un secteur moribond, amorcée en 2008 par la Ville de Montréal et des investisseurs privés, a appris le quotidien «24H». L’endroit avait perdu beaucoup de son lustre depuis les années 1980, alors qu’il était un pôle économique pour l’industrie de la mode et du vêtement. Selon les informations obtenues, deux promoteurs ont franchi la première étape, s’étant qualifiés avec succès à un appel de propositions lancé l’an dernier par la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM). Ils devront maintenant présenter des plans détaillés à la Ville et l’arrondissement. Double vocation Le projet le plus près de l’étape de réalisation se trouve au coin de l’avenue de l’Esplanade. À cet endroit, un vieil immeuble industriel ayant déjà abrité des manufactures de textiles sera converti pour accueillir 196 condominiums. Le promoteur, le groupe Dayan, serait en mesure de débuter la construction six mois après la demande de permis à la Ville. La structure actuelle du bâtiment sera conservée, et le rez-de-chaussée, où on trouvera des commerces, sera ramené au niveau du sol pour un meilleur accès. Un peu plus à l’ouest, au coin de la rue Meilleur, pourrait voir le jour un bâtiment d’environ 10 étages et de 300 logements, mis de l’avant par le promoteur Macarko. L’endroit est actuellement occupé par un immeuble administratif qui appartenait au gouvernement fédéral. Les deux projets ont la particularité commune d’intégrer des commerces au rez-de-chaussée, précise Richard Blais, chef de la division de l’urbanisme de l’arrondissement. Selon lui, la rue Chabanel, où les promoteurs tentent d’attirer des firmes qui œuvrent dans les domaines de la mode et du design, gardera sa vocation principalement commerciale. «Je ne vois pas de contradiction [entre les habitations et les entreprises]. Une telle chose se fait de plus en plus, les promoteurs trouvent important d’augmenter la masse critique résidentielle à proximité des lieux de travail», explique-t-il. Cure de jouvence Depuis 2008, l’administration Tremblay a consenti presque 18 millions $ pour refaire la chaussée, les trottoirs, les lampadaires et le mobilier urbain de la rue Chabanel. De quoi attirer des investissements privés, croit Gilles Côté, directeur du développement du territoire à Ahuntsic-Cartierville. «C’est du moyen terme. Ça devrait prendre de 5 à 10 ans pour revitaliser tout le secteur», dit-il en mentionnant que quelques nouveaux commerces viennent de s’installer. D’autres secteurs de l’arrondissement connaissent aussi un essor immobilier important. Près de l’autoroute 15, 1300 unités d’habitation sont en construction à la Place l’Acadie. Plus au nord, face au métro Henri-Bourassa, 400 résidences pour personnes âgées seront bientôt terminées, au coin de l’avenue Millen. La Ville et l’arrondissement travaillent aussi sur un futur «quartier vert» sur le site de l’ancienne cour Louvain, qui servait de fourrière à la ville de Montréal. Un projet qui pourrait décoller «dans deux ou trois ans», selon la direction de l’arrondissement.
  2. Le Journal de Montréal 13/09/2007 La société immobilière Cadillac Fairview envisage d’agrandir les Galeries d’Anjou. Et le détaillant Simons est l’un des locataires convoités, selon des renseignements obtenus par le Journal. Le projet d’agrandissement du centre commercial est encore à un stade «embryonnaire», et «rien n’est signé». Néanmoins, la recherche de détaillants intéressés à louer les nouveaux locaux est déjà commencée. Des discussions ont notamment été entreprises avec la chaîne Simons, ont confirmé des sources qui ont requis l’anonymat. Le détaillant de Québec est déjà présent dans deux des quatre Centres à la mode détenus par Cadillac Fairview: le Carrefour Laval et les Promenades St-Bruno. À Laval, une toute nouvelle aile avait été construite en 2002 au coût de 88 M$ pour accueillir Simons (de même que Zara et 78 autres boutiques). L’agrandissement possible des Galeries d’Anjou ne serait toutefois pas d’une telle envergure, selon nos informateurs. Peter Simons, président de la chaîne, n’a pas voulu commenter la nouvelle. À l’heure actuelle, son entreprise possède sept magasins au Québec. √ Après avoir exploité des magasins dans la région de Québec pendant 159 ans (soit depuis 1840), Simons a fait ses premiers pas à Montréal en ouvrant un magasin sur la rue Sainte-Catherine, en 1999.
  3. Montréal, c’est quoi? Le Dimanche 7 Juin 2009 | Mise en ligne à 13h40 | Stephane Laporte Dans ma chronique dominicale, je demande ce qu’est Montréal. Los-Angeles, c’est le cinéma. Paris, c’est l’amour. New York, c’est l’argent. Milan, c’est la mode. Montréal, c’est quoi? Un lecteur me répond que Montréal, c’est le night life. C’est, selon lui, ce qui attire les touristes: le sexe bon marché. Selon vous quelle est la spécialité montréalaise? Crédit : By FRANZ' http://www.flickr.com/photos/franksk1/3603415115/
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  5. Un nouvel auditorium au collège Regina Assumpta en 2012 Publié le 23 Juin 2011 Dès la rentrée scolaire 2012, le collège Regina Assumpta comprendra un nouvel auditorium. Le coût du projet, dont l’annonce a été faite par le directeur général, Pierre Carle, est évalué à 12 M$. Sujets : École de musique Regina Assumpta La capacité du nouvel auditorium sera de 700 places, dont 517 au parterre. Le lieu comprendra un mode acoustique propice à la bonne transmission du son non amplifié, pour les différents concerts des orchestres d’harmonie, à cordes et symphonique du collège, les concerts de l’École de musique Regina Assumpta et les chorales, ainsi qu’un mode de son amplifié pour tous les autres événements. L’installation sera implantée au cœur même de l’établissement, dans la cour intérieure, du côté ouest. Par l’entrée principale du collège, les spectateurs auront accès au foyer inférieur menant à l’auditorium, où se trouve présentement la salle Jeanne-Sauvé. Un escalier vitré permettra d’accéder au foyer supérieur, lieu actuel de la salle Marguerite-Bourgeoys. Ces deux foyers vont également servir de lieux de rassemblement pour la tenue d’activités de groupes.
  6. http://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/actualites/932402/une-place-publique-en-lhonneur-dune-journaliste-montrealaise/ 15/03/2016 Mise à jour : 15 mars 2016 | 18:01 Une place publique en l’honneur d’une journaliste montréalaise Par Amine Esseghir TC Media La nouvelle place du quartier de la mode, située à l’angle de la rue Chabanel et de l’avenue de l’Esplanade, sera inaugurée ce printemps et sera baptisée Iona Monahan, en l’honneur de la journaliste canadienne connue dans le milieu de la mode dans la seconde moitié du XXe siècle. Cette initiative fait partie des actions destinées à donner un nouvel essor urbain au secteur du textile. Les travaux de construction ont été lancés en 2015 pour un montant de près de 1 M$. Mme Monahan a vécu de 1923 à 2006. Elle a fait son entrée dans l’industrie de la mode à la fin des années 1940 et a rejoint le célèbre photographe Sam Getz en tant que rédactrice. Elle s’est fait connaître avec un remarquable reportage sur la mode canadienne paru dans le mensuel Mayfair, en février 1959. Jusqu’en 1970, elle collabore avec divers magazines tels que The Montrealer et Fashion en tant que rédactrice en chef et journaliste. Elle produit également des reportages pour la télévision, notamment pour CBC. À partir de 1978, elle entre à la rédaction de The Gazette où elle va signer des articles jusqu’en 2002. Elle est nommée membre de l’Ordre du Canada, en 1985, en reconnaissance du rayonnement qu’elle a donné à la mode canadienne. Elle est également désignée «Femme de l’année» par Fashion Canada vers la fin des années 1970.
  7. Barbie s'installe au Canada : Montréal accueille fièrement EXPO BARBIE, la plus importante exposition permanente de poupées Barbie au monde MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 22 jan. 2016) - Ce n'est pas la poupée Barbie de vos souvenirs. C'est l'étalage de la haute couture, un assemblage des plus grands designers de l'industrie. Un nouveau volet de l'histoire de la mode est sur le point d'être révélé. La poupée la plus adulée de tous les temps ouvre les portes de son musée, EXPO BARBIE en plein coeur du centre-ville de Montréal, aux Cours Mont-Royal. La salle d'exposition d'une superficie de plus de 5000 pieds carrés exhibe plus de 1000 poupées Barbie dans leurs plus beaux atours matérialisant toutes les tendances passées et présentes. Qui d'autre que Barbie pouvait représenter l'évolution de la mode des 60 dernières années? Les connaisseurs de la haute couture seront comblés par ces magnifiques Barbie habillées par les plus grands couturiers tels que Christian Dior, Versace, Givenchy, Donna Karan, Giorgio Armani, Ralph Lauren, Vera Wang, Oscar de la Renta, Christian Louboutin, Zac Posen, Carolina Herrera et Hervé Léger parmi bien d'autres. Aussi, il y a les poupées Barbie du monde du spectacle dont Marilyn Monroe, Audrey Hepburn, Elizabeth Taylor, Beyonce, Cher, Jennifer Lopez, Farrah Fawcett, Barbra Streisand et Lucille Ball pour n'en nommer que quelques-unes. Pour les cinéphiles, Barbie prendra les allures des stars de The Hunger Games, The Wizard of Oz, Twilight, Grease, Titanic, My Fair Lady, Gone with the Wind et Legally Blonde. D'autres poupées Barbie qui retiendront l'attention prennent pour modèles Kate Middleton, Marie Antoinette, Coco Chanel, Grace Kelly et Cléopatre. Ces poupées uniques, confectionnées sur commande sauront fasciner tous les visiteurs, de tous les âges. Le lancement, sur invitation seulement, aura lieu le mercredi 10 février. EXPO BARBIE sera ouverte au public le lendemain. Cette exhibition permanente de classe internationale sera accessible pendant les heures normales d'ouverture, sept jours sur sept. L'entrée est gratuite, mais les dons offerts à « Fais un Voeu ®» Québec seront acceptés. http://www.marketwired.com/press-release/barbie-sinstalle-au-canada-montreal-accueille-fierement-expo-barbie-la-plus-importante-2090361.htm
  8. Incroyable. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/commerce-de-detail/parasuco-ferme-7-boutiques-au-pays/576040 Le détaillant de vêtements Parasuco a décidé de fermer les sept boutiques qu'il détient et exploite en raison de ses difficultés à s'adapter à un secteur de la mode en pleine transformation. La société établie à Montréal, qui n'a pas voulu accorder d'entrevue, a ainsi annoncé vendredi s'être placée sous la Loi sur la faillite et l'insolvabilité au Canada. C'est la firme KPMG qui a été nommée syndic dans ce dossier. Quelque 80 personnes qui travaillent dans ces sept boutiques devraient ainsi perdre leur emploi. L'entreprise exploite six établissements au Québec ainsi qu'une boutique à Mississauga, en Ontario. Toutefois, la plateforme de vente en ligne des Jeans Parasuco, qui emploie plus de 70 personnes et qui compte 40 ans d'existence, sera maintenue. Après Boutique Jacob, les magasins Smart Set et Mexx Canada, entre autres, il s'agit d'une autre bannière qui disparaît dans le secteur de la mode. Sans évoquer la fermeture de ses boutiques, Parasuco faisait déjà état d'importants rabais sur de la marchandise déjà réduite.
  9. Un autre exemple des créations de Montréal qui s'exporte L'exposition du MBAM sur Jean Paul Gaultier sera à Paris en 2015 22 janvier 2014 11h53 | La Presse canadienne | Actualités culturelles Photo : Pedro Ruiz - Archives Le Devoir La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée «historique». L'exposition La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles, initiée, produite et mise en tournée par le Musée des beaux-arts de Montréal avec la collaboration de la Maison Jean Paul Gaultier, sera présentée à Paris du 1er avril au 3 août 2015. Il s'agira d'une dixième étape pour l'exposition, après Montréal, Dallas, San Francisco, Madrid, Rotterdam, Stockholm, Brooklyn, Londres et l'Australie. La directrice et conservatrice en chef du Musée des beaux-arts, Nathalie Bondil, qui avait initié le projet, parle d'une tournée « historique » et a indiqué, par communiqué, vivre « une joie sans précédent de partager le message profondément humaniste et tolérant de ce fils prodigue de retour dans sa Ville lumière ». L'exposition propose des pièces inédites de haute couture et de prêt-à-porter créées entre 1970 et 2013. La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles a par ailleurs accueilli son millionième visiteur lors de son passage au Brooklyn Museum, à New York. En 2014, elle voyagera au Barbican Art Centre de Londres du 9 avril au 25 août et poursuivra sa route vers d'autres destinations qui seront annoncées prochainement.
  10. Canon EOS 5D Mark II Hands-on Preview September 2008, Phil Askey and Richard Butler Preview based on a pre-production EOS 5D Mark II Back in August 2005 Canon 'defined a new DSLR category' (their words) with the EOS 5D. Unlike any previous 'full frame' sensor camera, the 5D was the first with a compact body (i.e. not having an integral vertical grip) and has since then proved to be very popular, perhaps because if you wanted a full frame DSLR to use with your Canon lenses and you didn't want the chunky EOS-1D style body then the EOS 5D has been your only choice. Three years on and two competitors have turned up in the shape of the Nikon D700 and Sony DSLR-A900, and Canon clearly believes it's time for a refresh. So here is the 5D Mark II, which punches high in terms of both resolution and features, headlining: 21 megapixels, 1080p video, 3.0" VGA LCD, Live view, higher capacity battery. In other words, a camera that aims to leapfrog both its direct rivals, either in terms of resolution (in the case of the D700) or features (in the case of the DSLR-A900). Full detail below. Key features / improvements 21 megapixel CMOS sensor (very similar to the sensor in the EOS-1Ds Mark III) Sensor dust reduction by vibration of filter ISO 100 - 6400 calibrated range, ISO 50 - 25600 expansion (1Ds Mark III & 5D max ISO 3200) Auto ISO (100 - 3200) in all modes except manual 3.9 frames per second continuous shooting DIGIC 4 processor, new menus / interface as per the EOS 50D Image processing features: Highlight tone priority Auto lighting optimizer (4 levels) High ISO noise reduction (4 levels) Lens peripheral illumination correction (vignetting correction) [*]RAW and SRAW1 (10 MP) / SRAW2 (5 MP) [*]RAW / JPEG selection made separately [*]Permanent display of ISO on both top plate and viewfinder displays [*]AF microadjustment (up to 20 lenses individually) [*]Three custom modes on command dial, Creative Auto mode [*]Image copyright metadata support [*]98% coverage viewfinder (0.71x magnification) [*]3.0" 920,000 dot LCD monitor with 'Clear View' cover / coatings, 170° viewing angle [*]Automatic LCD brightness adjustment (ambient light sensor) [*]Live view with three mode auto-focus (including face detection) [*]No mirror-flip for exposures in Live View if contrast detect AF selected [*]Movie recording in live view (1080p H.264 up to 12 minutes, VGA H.264 up to 24 mins per clip) [*]Two mode silent shooting (in live view) [*]New jump options in play mode [*]HDMI and standard composite (AV) video out [*]Full audio support: built-in mic and speaker, mic-in socket, audio-out over AV (although not HDMI) [*]IrPort (supports IR remote shutter release using optional RC1 / RC5 controllers) [*]UDMA CompactFlash support [*]New 1800 mAh battery with improved battery information / logging [*]New optional WFT-E4 WiFi / LAN / USB vertical grip [*]Water resistance: 10 mm rain in 3 minutes
  11. Tout dernier projet d'annoncé pour la Pointe-Nord de l'Île-des-Soeurs. Ce projet sera situé en face de la tour Évolo. Le Pavillon Evolo : un mode de vie intime à L’Île-des-Sœurs Une vue spectaculaire sur le fleuve. Un nouveau quartier phare. Bienvenue au Pavillon Evolo, premier édifice riverain de moyenne hauteur de la Pointe-Nord de L’Île-des-Sœurs. Le Pavillon Evolo vous offre l’opportunité exclusive de vivre dans un édifice intime, directement au bord de l’eau. Situé en face d’une plaza piétonnière et des jardins d’Evolo 2, le Pavillon Evolo vous procure un environnement proposant différents services et activités de détente. Cet immeuble de cinq étages comprendra seulement 39 condominiums dont les superficies varieront de 665 à 1175 pi2, ainsi que quatre penthouses exclusifs dotés de vastes terrasses sur le toit de l’édifice. Modèle de conception intelligente, ces condos ont été soigneusement planifiés afin de maximiser la valeur de chaque pied carré. Exploitant l’élégance des lignes pures, le design réfléchi optimise espace, lumière et points de vue. Plus qu’un simple édifice, c’est un nouveau mode de vie à L’Île-des-Sœurs
  12. Le quartier Chabanel, haut lieu de la mode à Montréal, a été durement frappé par le déclin de l'industrie manufacturière. Plusieurs acteurs du quartier travaillent toutefois à sa revitalisation. Défilés de créateurs du quartier en journée pendant la Semaine de la mode de Montréal, salon de prêt-à-porter bisannuel; plusieurs projets sont en discussion dans le quartier Chabanel. Les entreprises locales y vont aussi de leurs propres initiatives, comme Rudsak qui agrandira sa boutique et y ouvrira un bistro vers la fin août. «La boutique aura 5000 pieds carrés et le bistro sera intéressant pour la cinquantaine d'employés de notre siège social et les autres travailleurs du coin. Cet investissement va avec le mouvement en cours pour revitaliser le quartier», explique Érik Gaudreault, directeur marketing chez Rudsak. D'après le Regroupement Chabanel, plus de la moitié de l'activité canadienne de l'industrie de la mode est québécoise. C'est dans le quartier Chabanel qu'on retrouve la concentration la plus importante de l'activité avec plus de 600 entreprises et 12 000 emplois associés au secteur. Aujourd'hui, les acteurs qui réussissent à tirer leur épingle du jeu doivent user de stratégie. «Ils développent un produit de niche. C'est bon aussi qu'ils aient leur propre magasin de détail, ou de bons points de vente établis, ou une stratégie de vente par l'internet», remarque Eyal Cohen, promoteur du 555 Chabanel et membre du conseil d'administration du Regroupement Chabanel. Par exemple, Rudsak compte une dizaine de boutiques au Québec et en Ontario. Trois autres seront ouvertes prochainement. Démarrée en 1994 dans le quartier Chabanel, l'entreprise y fabrique toujours une partie importante de ses sacs. «Ils sont faits à la main. Nous gardons la production ici pour assurer un meilleur contrôle de la qualité», explique M. Gaudreault. Mettre en valeur le quartier Dans l'industrie de la mode depuis 30 ans, Eyal Cohen est très actif dans les différents projets de revitalisation de Chabanel. En 2010, le Centre international de mode de Montréal, un organisme de commercialisation qu'il a mis sur pied dans le 555 Chabanel, a organisé l'événement Midi Fashion lors de la Semaine de mode. Les médias et les acheteurs sont venus assister durant le jour à des défilés de différents créateurs du quartier Chabanel. «Il y avait de gros noms, mais aussi des designers moins connus qui ne sont pas présents dans les grands défilés en soirée de la Semaine de mode, précise M. Cohen. Notre objectif était de montrer que c'était possible. Maintenant, nous souhaitons que l'événement soit repris par la Semaine de mode.» Ce souhait est partagé par Jean-François Daviau, coprésident de Sensation Mode, l'organisme derrière la Semaine de mode de Montréal. «Le quartier Chabanel est un actif important pour l'industrie de la mode. Midi Fashion a mis en confiance les gens des médias et les acheteurs de l'étranger. Ils ont été rassurés de voir que Montréal a ce quartier qui rassemble autant d'acteurs de l'industrie et autant de savoir-faire. Cet événement est très pertinent pour mettre en valeur le quartier et l'industrie de la mode à Montréal.» Question de budget «Nous sommes en discussion avec les gens du quartier, précise M. Daviau. Nous aimerions aller chercher le tiers du financement auprès du gouvernement du Québec, mais l'échéancier est serré pour cette année. Ça demeure possible, mais je ne peux rien confirmer.» Le Regroupement Chabanel travaille aussi sur un projet de salon de prêt-à-porter pour présenter deux fois par an aux acheteurs locaux et internationaux tout le prêt-à-porter montréalais. «Les grandes villes de la mode ont un salon de prêt-à-porter, mais pas Montréal, déplore M. Cohen. Ça existait avant et nous souhaitons reprendre l'initiative en force. Une étude de faisabilité a été faite et nous attendons une réponse de la table de concertation qui regroupe tous les designers pour trouver où l'organiser, à quel moment et avec qui. Nous espérons que ça démarrera en août-septembre 2013, ou au printemps 2014.» http://affaires.lapresse.ca/portfolio/ahuntsic-cartierville/201205/28/01-4529188-une-deuxieme-vie-pour-le-quartier-de-la-mode.php
  13. Cette année, Tourisme Montréal souhaite attirer les visiteurs... par le ventre! L'organisme a même financé un encart de 22 pages dont plusieurs seront consacrées aux restaurants de la métropole, qui paraîtra dans le numéro de juin du National Geographic Traveler. Cet encart - écrit par les journalistes du magazine - se retrouvera aussi dans le quotidien Toronto Star ainsi que dans le magazine Food and Drink. Impossible toutefois d'avoir un avant-goût des tables montréalaises qui voleront la vedette. Tourisme Montréal a suggéré une liste de restaurants aux reporters du National Geographic Traveler, mais l'organisme ignore lesquels ont réussi à séduire leurs papilles. Toutefois, selon nos sources, les photographes du magazine se seraient notamment présentés aux 400 Coups, dans le Vieux-Montréal... Chose certaine, Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, est convaincu que cette campagne saura mettre les gourmets en appétit. À la suite de la publication du cahier, une tournée du Montréal gastronomique sera également organisée pour des journalistes américains et canadiens. «Il y a 10 ans, les gens venaient ici surtout pour l'histoire, pour le fait français, explique Charles Lapointe. Mais depuis cinq ans, dans les éléments qui attirent les touristes, la gastronomie arrive à égalité avec l'attrait historique.» Simple effet de mode? Selon lui, Montréal est beaucoup plus qu'un simple effet de mode et jouit toujours d'une réputation enviable sur la scène gastronomique internationale. «En 2011, une centaine d'articles ont été écrits dans 12 pays sur la cuisine montréalaise, sur les restos de quartier.» Et la métropole figure au palmarès des 10 villes du monde où l'on mange le mieux, selon le guide touristique Frommer's. Quelques chiffres Prix moyen d'un repas (entrée, plat, dessert) Montréal 43$ Paris 51$ Barcelone 61$ Tokyo 91$ Les touristes ont dépensé 503 millions de dollars dans les restaurants montréalais en 2008. http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/restaurants/201204/13/01-4515151-montreal-une-destination-gastronomique.php
  14. Chantelle Grady, Australienne parachutée à Montréal, vient de publier un des plus beau magazine jamais fait sur Montréal. Elle nous dit sur notre ville: ''J'aime qu'elle s'enroule autour de la montagne, j'aime les maisons de briques et leurs escaliers, j'aime les gens chaleureux et accueillants et qu'ils aiment la mode et le style!'' http://alittlerelish.com/magazine/
  15. Nouveau projet sur l'avenue Masson.. La SAQ présentement sise au coin de la 7eme Avenue est supposé déménager là.. ****FUTURE RUE PIÉTONNIÈRE***** Projet "Le Masson": une SAQ et 12 appartements en copropriété sur la Promenade Masson, près des restos branchés et au coeur de l'action d'un quartier à la mode. Construction supérieure avec la garantie de qualité-habitation, excellent rapport qualités/prix. PROJET ALDO CONSTRUCTION NB 5 stationnements disponibles en option. (Coût 10,000$ chacun)
  16. Depuis plusieurs années, on entend les gens dire que Montréal est la capitale de la Mode au Canada! Je crois qu'il est rendu évident que ce n'est plus le Cas. Un autre chose que Toronto nous a volé...ou est ce à cause que nous nous sommes assis sur nos derrière et rien fait??? http://www.cyberpresse.ca/vivre/mode/201004/09/01-4268945-la-semaine-de-mode-de-toronto-un-incontournable.php La Semaine de mode de Toronto, un incontournable Lucie Lavigne La Presse Parmi les quelques designers québécois qui ont présenté leur collection automne-hiver 2010-2011 lors de la Semaine de mode de Toronto, la semaine dernière, il y avait Andy Thê-Anh et Dimitri-Chris Alexiou. Ce dernier, spécialiste de la mode masculine, avait déjà dévoilé sa collection le mois passé lors de la Semaine de mode de Montréal (SMM). Pourquoi donc investir dans une seconde présentation à Toronto? «Nous visons le Canada, il nous faut donc sortir de Montréal, affirme le designer montréalais qui en était à son premier défilé dans la Ville reine. La plupart des médias et acheteurs de Toronto ne sont pas présents pendant la SMM. Certains peuvent dire le contraire, mais je le sais, car je le vois.» Dimitri-Chris Alexiou avait aussi, avec l'aide du Bureau du Québec à Toronto, montré sa collection dans la métropole canadienne en février. Ce qui lui a permis de la «vendre» à la boutique torontoise consacrée à la mode masculine Gotstyle. «La saison prochaine, je vais sûrement présenter ma collection à Montréal et à Toronto. Je ne renie pas Montréal, car c'est ma ville, insiste le créateur. Toutefois, Toronto demeure la porte d'entrée pour le marché canadien, voire nord-américain», précise celui qui planifie un futur défilé à Paris ou peut-être à Milan. Rencontré dans sa boutique de la rue Bellair, l'une de ses deux nouvelles enseignes de Toronto, le Québécois Andy Thê-Anh semble ravi de la nouvelle identité de sa marque. «Le groupe propriétaire Catsima favorise une structure et une image de marque beaucoup plus proches de ma personnalité. Un jour, mes deux boutiques de Montréal adopteront l'allure de celles de Toronto», précise-t-il. L'an dernier, Andy Thê-Anh avait offert une présentation informelle à Toronto. Cette fois, grâce au soutien financier de Rimowa, il a pu organiser un défilé. «Je sais que l'on me critique de ne pas être assez souvent à Montréal, mais pour dépasser les frontières, il faut être à Toronto. Un peu comme le font les acteurs, au moment du lancement d'un film. Les grands bureaux d'acheteurs sont ici», précise le designer reconnu pour les coupes irréprochables et la structure très étudiée de ses tailleurs et robes de soirée. Enfin, quant au positionnement de sa griffe, le créateur cite la Canadienne Lida Baday, modèle (d'affaires), qui se situe entre les marques internationales et les chaînes de grande diffusion. «Mon objectif est d'offrir une grande qualité de production à des coûts raisonnables. Dans ma boutique, on peut aisément trouver un tailleur à moins de 1000$.»
  17. Ce projet est peut-etre terminé mais j'ai pensé l'ajouter pour mettre un peu laisser croire qu'il se passe beaucoup de chose......au moins dans les petits projets
  18. Publié le 13 juin 2009 à 05h00 | Mis à jour à 07h07 Projets en PPP:Gagnon-Tremblay songe à faire marche arrière Ariane Lacoursière La Presse La présidente du Conseil du Trésor, Monique Gagnon-Tremblay, reconnaît que les avantages liés aux partenariats public-privé (PPP) ne sont pas les mêmes en temps de crise économique. Pour cette raison, elle ne «ferme pas la porte» à l'idée de revenir au mode de construction traditionnel dans quelques grands projets, comme l'échangeur Turcot et le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). «Je suis consciente qu'il y a des avantages aux PPP mais, dans notre contexte économique, si les avantages liés au PPP ne sont pas au rendez-vous, le gouvernement devra prendre les décisions appropriées», a déclaré la ministre. Mme Gagnon-Tremblay n'est «pas insensible» à ce qu'elle a entendu cette semaine. Au cours des derniers jours, l'Ordre des architectes, l'Ordre des ingénieurs, la Corporation des entrepreneurs généraux et l'Association des économistes du Québec ont tous clamé que bâtir un hôpital universitaire et des installations d'envergure comme l'échangeur Turcot en mode PPP n'est pas souhaitable. La coalition «CHU sans PPP» a même vu le jour cette semaine. Sans entrer dans les détails, Mme Gagnon-Tremblay a affirmé que, pour l'instant, le processus suit son cours: «On n'est pas en train d'évaluer un moment pour changer de cap. Mais plusieurs intervenants sont dans le dossier et pourront dire à un moment s'il faut faire marche arrière», a-t-elle dit. Selon nos sources, plusieurs personnes influentes à Québec souhaitent que le gouvernement abandonne les PPP. Un représentant de l'Agence des PPP a d'ailleurs dit cette semaine qu'il se sentait «?bien seul?» dans le dossier PPP. Dans une lettre ouverte publiée jeudi par le quotidien Le Devoir, le président de l'Agence des PPP, Pierre Lefebvre, assure que, si les projets du complexe Turcot et des CHU sont complexes et risqués, il s'agit justement «d'un argument de taille pour que les risques de ces projets ne soient pas assumés uniquement par le gouvernement et les contribuables québécois». Pour sa part, Mme Gagnon-Tremblay affirme que, «quel que soit le mode choisi, la rigueur sera au rendez-vous». «Ma grande préoccupation, c'est l'argent des contribuables», dit-elle. Mme Gagnon-Tremblay n'est pas la seule à ouvrir la porte à un changement de cap. Le cabinet du ministre de la Santé, Yves Bolduc, confirme que les projets de construction de grands hôpitaux en PPP «n'est pas une religion». «On a privilégié le mode PPP parce qu'on nous prouvait que c'était plus avantageux au moment où on a fait l'analyse initiale. Mais quand on aura les propositions finales, on devra réévaluer», a dit l'attachée de presse du ministre Bolduc, Marie-Ève Bédard.
  19. Le mode PPP rebute ingénieurs et économistes Publié le 09 juin 2009 à 06h41 | Mis à jour à 06h42 André Noël La Presse Après les architectes, c'est au tour des ingénieurs et des économistes du Québec de se montrer sceptiques, sinon carrément opposés à la construction d'hôpitaux universitaires comme le CHUM en mode de partenariat public-privé (PPP). «Le PPP est un mode de réalisation inadéquat pour des projets complexes et comportant des inconnues comme les hôpitaux universitaires CHUM et CUSM, de même que pour la reconstruction du complexe d'échangeurs Turcot», a affirmé Zaki Ghavitian, le président de l'Ordre des ingénieurs du Québec. Au même moment, l'Association des économistes québécois publie un sondage montrant que seulement 32% de ses membres voient d'un bon oeil le choix du PPP pour la réalisation de grands projets d'hôpitaux universitaires. Cette association professionnelle regroupe 787 économistes; le tiers d'entre eux ont répondu à un sondage réalisé par la firme Léger Marketing. Plus tôt cette année, le président de l'Ordre des architectes, André Bourassa, avait affirmé que la construction du CHUM en PPP n'avait «pas de sens», étant donné la complexité du projet. Le président de l'Ordre des ingénieurs abonde dans ce sens. «Un hôpital est un organisme en perpétuel changement, a dit Ghavitian, au cours d'un entretien, hier. Il y a toujours une évolution en médecine et dans les besoins de la population. On ne peut pas figer cela dans un contrat de PPP. Ce n'est pas tout. Actuellement, il n'y a pas beaucoup de financiers qui prêtent de l'argent. Le gouvernement est appelé à garantir l'emprunt, comme il l'a fait pour la salle de l'Orchestre symphonique de Montréal. Cela signifie qu'il ne transfère plus les risques au secteur privé, ce qui est la raison d'être des PPP.» La firme de sondage Léger Marketing a posé cette question à 228 économistes: «Le gouvernement du Québec est sur le point d'investir plus de 5 milliards de dollars pour la construction de trois grands centres hospitaliers universitaires (CHUM, CUSM et Sainte-Justine). Est-ce que ce serait selon vous une bonne ou une mauvaise chose que ces trois projets soient réalisés en mode PPP?» Le tiers des répondants (32%) seulement ont répondu que c'est une bonne chose; 53% estiment que c'est une mauvaise chose; 15% n'ont pas d'opinion. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/200906/09/01-873825-le-mode-ppp-rebute-ingenieurs-et-economistes.php
  20. Publié le 19 février 2009 à 05h10 | Mis à jour à 05h10 La crise frappe, les PPP vacillent André Noël La Presse Résultat de la crise financière: les projets de partenariat public-privé (PPP) vacillent un peu partout dans le monde, les banques hésitant à consentir des prêts aux entreprises impliquées, sauf à des taux d'intérêt élevés, indique un rapport récent de la firme PriceWaterhouseCoopers. De grandes sociétés étrangères qui participent aux deux consortiums présélectionnés pour construire le Centre hospitalier de l'Université de Montréal en PPP connaissent d'ailleurs des difficultés d'accès au crédit, ce qui pourrait retarder le lancement des appels de propositions, a constaté La Presse. «Les marchés du crédit sont presque à sec», explique Richard Abadie, responsable des infrastructures chez PriceWaterhouseCoopers, une firme bien connue pour son expertise en PPP, dans un rapport intitulé Financement des infrastructures - survivre au resserrement du crédit. «Les prévisions à court terme demeurent sombres. Peu de projets (en PPP) seront conclus. Plusieurs d'entre eux ont déjà été mis sur la glace, ajoute le rapport, publié en décembre. Le crédit bancaire est simplement insuffisant, et inefficace, comme source de financement à long terme (...) Il est naïf de s'attendre à ce que les marchés reviennent aux bas taux de financement obtenus pendant le premier semestre de 2007.» Dans le mode conventionnel, les gouvernements empruntent l'argent pour construire des immeubles ou des infrastructures. Ce modèle domine toujours dans la plupart des pays. Le modèle des PPP a émergé il y a quelques années: une compagnie ou un consortium contracte les emprunts, finance la construction du bâtiment, puis le loue au gouvernement. Les partisans des PPP, comme la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget, soutiennent que le gouvernement transfère les risques financiers à l'entreprise privé en agissant de la sorte. S'il y a un dépassement de coûts dans la construction, c'est l'entreprise qui écope et pas le gouvernement, affirment-ils. Mais avec la crise, les banques hésitent à prêter aux entreprises privées. En revanche, elles n'hésitent pas à prêter aux gouvernements. Les gouvernements obtiennent des taux d'intérêt beaucoup plus bas que les entreprises. Dans ce contexte, la construction revient beaucoup plus chère en PPP qu'en mode conventionnel. Des consortiums se sont engagés dans les PPP en faisant des emprunts à court terme, et en croyant pouvoir se refinancer à des taux d'intérêt relativement bas lorsqu'ils commenceraient à toucher les loyers. Mais aujourd'hui, ils éprouvent beaucoup de difficultés à renouveler leurs emprunts sans augmenter les paiements d'intérêt. «Ils pourraient faire face à des paiements de dette plus élevés que prévus, ou même être incapables de se refinancer», prévient le rapport de PriceWaterhouseCoopers. Le mois dernier, La Presse a révélé que la société australienne Babcock and Brown, membre du consortium Accès Santé CHUM, a vu sa situation se détériorer à un tel point que ses actions ont été suspendues en Bourse. Cette entreprise est aussi membre d'un consortium pour la construction en PPP de la salle de concert de l'Orchestre symphonique de Montréal. Ce n'est pas tout. La société espagnole Acciona, qui s'occupe elle aussi de l'ingénierie financière dans le même consortium pour le CHUM, a un taux d'endettement plutôt inquiétant. Cette firme a également emporté l'appel de propositions pour le prolongement de l'autoroute 30 en mode PPP. «Ce groupe est aujourd'hui aux abois, note le journal financier français Les Échos dans son numéro d'hier. Sous la pression de ses banques, qui s'inquiètent de son endettement, Acciona va sans doute être contraint de céder sa participation (dans un groupe énergétique).» Début février, Acciona s'est elle-même plainte que «le marché (est) complexe, avec un accès très limité au crédit». La société anglaise Innisfree, qui s'occupe de l'ingénierie financière dans le deuxième consortium présélectionné pour le CHUM, vient d'appeler le gouvernement britannique à l'aide pour sauver les PPP au Royaume-Uni, considéré comme le pays-modèle en cette matière par la ministre Jérôme-Forget. Dimanche dernier, Tim Pearson, directeur d'Innisfree et porte-parole du Forum sur les PPP en Grande-Bretagne, a indiqué que les sociétés privées avaient besoin de l'aide de l'État pour assurer le financement qui aurait dû être fourni par des prêts commerciaux. Selon lui, l'État britannique devrait consentir une aide de 4 milliards de livres pour sauver les projets en PPP. Le nombre de contrats en PPP signés en Grande-Bretagne l'année dernière est le plus bas depuis 11 ans. Un contrat pour une route de 11 milles a été signé en janvier 2009, mais la moitié du financement est assurée par une banque du secteur public. John Tizard, directeur du Centre pour les partenariats en services publics de l'Université de Birmingham, affirme que les banques n'ont plus d'argent pour les hôpitaux britanniques en PPP. Il suggère de revenir au mode de construction conventionnel qui, selon lui, se révèle moins coûteux et plus rapide à réaliser. Ici même, au Canada, le vérificateur général de l'Ontario vient de souligner que le premier hôpital construit en PPP dans la province a coûté 50 millions de plus que si le gouvernement l'avait réalisé en mode conventionnel, sans partenaire privé.
  21. CGI abolit 100 postes à Montréal 18 décembre 2008 - 06h52 La Presse Philippe Mercure CGI (GIB.A) abolit 100 postes à Montréal. La Presse Affaires a appris que l'entreprise déménagera ou supprimera 77 emplois dans sa division «technologies et infrastructures», en plus d'une vingtaine d'autres dans différentes unités. L'information, qui n'a pas été annoncée publiquement, a été confirmée hier par la direction de l'entreprise. CGI avait coupé 100 postes à Montréal dans la même division en septembre dernier. «On est toujours en mode restructuration dans nos différentes unités d'affaires, a expliqué hier Lorne Gorber, vice-président, communications et relations avec les investisseurs. Nous sommes une entreprise d'impartition et c'est sûr que nos clients nous demandent d'être de plus en plus efficaces dans nos services.» Les pertes d'emploi touchent surtout des techniciens qui travaillaient dans les centres de données. La nouvelle leur a été annoncée le 8 décembre. «C'est là où il y avait le plus de pression côté marché, côté prix, dit M. Gorber. La technologie est de moins en moins chère avec le temps, et ça devient de plus en plus automatisé.» Une partie des emplois sera déménagée dans l'un des 11 autres centres de données de CGI -il y en a par exemple deux en Inde, un à l'Île-du-Prince-Édouard, un à Saguenay et un à Sherbrooke. M. Gorber a expliqué que les salaires des employés sont moins élevés dans ces endroits qu'à Montréal ou Toronto. Une partie des postes sera tout simplement abolie, mais M. Gorber n'a pas été en mesure hier de préciser combien. CGI s'occupe de gérer les technologies de l'information des entreprises qui décident de lui confier ce mandat plutôt que de s'en occuper à l'interne. Pour illustrer quel genre d'emploi quitte Montréal, M. Gorber a pris l'exemple des Rôtisseries Saint-Hubert, dont les serveurs informatiques qui gèrent les commandes des clients sont abrités chez CGI. «Il y a 10 ans, il fallait être devant la boîte pour faire le monitorage de ces serveurs. Maintenant, tu peux faite le monitoring de n'importe où dans le monde. La technologie évolue, et il faut qu'on évolue avec elle.» M. Gorber a précisé hier que, malgré ces abolitions de poste, CGI demeure en mode croissance. L'entreprise cherche actuellement à combler 500 postes dans le monde, dont une centaine au Québec. «Certains employés ont quitté immédiatement, certains ont accepté l'offre d'essayer de trouver quelque chose (un autre emploi à l'intérieur de l'entreprise). Si tu es un employé, tu peux prendre ton package, ou tu peux prendre environ deux mois pour qu'on t'aide à te trouver quelque chose», a dit hier M. Gorber. D'autres licenciements à prévoir? "Non, répond M. Gorber. On est toujours en mode d'amélioration continue, mais il n'y aura pas de grosse vague de mises à pied à cause des marchés dans lesquels on opère." C'est aussi l'avis d'Eric Bernofsky, analyste chez Valeurs mobilières Desjardins, qui ne s'attend pas à de grandes rationalisations chez CGI. Il souligne d'ailleurs que pour une entreprise de la taille de CGI, qui emploie 7200 employés au Québec, un réajustement de 100 employés n'est pas majeur. CGI avait procédé à une rationalisation importante en 2006 en abolissant 1000 postes, dont environ 500 à Montréal. Tant M. Gorber que l'analyste Eric Bernofsky affirment que les abolitions de postes ne doivent pas être liées au ralentissement économique. "CGI est susceptible de gagner de nouveaux clients en période de ralentissement, alors que les entreprises doivent couper et confient la gestion de leurs technologies de l'information à l'externe", dit M. Bernofsky. ABOLITIONS DE POSTES CHEZ CGI 2006 : 1000 postes abolis au Canada, dont environ 500 à Montréal Septembre 2008: 100 postes abolis à Montréal Décembre 2008 : 100 postes abolis à Montréal Nombre d'employés de CGI au Québec : > 6900 en 2006 > 7200 aujourd'hui Pour en lire plus...
  22. Dans les centres de rénovation, la mode des magasins entrepôts a pris fin et laisse place aux commerces de taille plus humaine. Pour en lire plus...
  23. Ça s'appelle appuyer sur l'accélérateur. Le groupe Germain s'apprête à faire pousser plus d'une vingtaine d'établissements au pays... d'ici cinq ans. Pour en lire plus...
  24. Quebecor World passe en mode acquisition * Presse Canadienne, * 25 novembre 2008 L'imprimeur commercial montréalais Quebecor World a fait l'acquisition de deux nouvelles presses offset à découpe réduite afin de rehausser sa plateforme d'encarts publicitaires aux Etats-Unis. Les détails financiers de l'accord n'ont pas été dévoilés. Quebecor World, société insolvable qui a mis en branle un plan de restructuration tandis qu'elle profite de la protection de la loi contre ses créanciers au Canada et aux Etats-Unis, a expliqué que l'achat de ces presses l'aiderait à tirer profit de sa présence croissante au sein du marché américain des encarts publicitaires. "Cet investissement constitue une autre preuve de notre engagement à fournir à notre clientèle la plate-forme la plus flexible et la plus efficace disponible sur le marché de la vente au détail actuel", a déclaré le président et chef de la direction de Quebecor World, Jacques Mallette, par voie de communiqué. "Nous poursuivons les investissements nécessaires en termes de processus, de main-d'oeuvre et d'équipement alors que nous nous rapprochons de notre but qui est de sortir de la protection contre les créanciers en tant que participant solide au sein de notre industrie", a-t-il ajouté. La première des nouvelles presses devrait entrer en service au cours du troisième trimestre de 2009. Quebecor World compte environ 23 000 employés dans une centaine d'imprimeries et ateliers de services connexes aux Etats-Unis, au Canada, en Argentine, au Brésil, au Chili, en Colombie, au Mexique et au Pérou. L'imprimeur produit des magazines, encarts publicitaires, circulaires, livres, catalogues et annuaires, notamment. A la Bourse de Toronto, mardi après-midi, le cours des actions de Quebecor World était de cinq cents, inchangé par rapport à son taux de clôture de la veille.
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