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  1. Les travailleurs manifestent car ils veulent obtenir une part équitable des profits engrangés par le plus important producteur d'engrais de la planète. Pour en lire plus...
  2. http://www.cyberpresse.ca/article/20080822/CPACTUEL/808221014/6685/CPACTUEL Le vendredi 22 août 2008 La fierté olympique souffle à Brossard Agent immobilier originaire de Hong Kong, Raymond Tsim vend des maisons à Brossard depuis près de 20 ans. Photo Martin Chamberland, La Presse Laura-Julie Perreault La Presse Au début des années 90, si on avait demandé à un immigrant de Hong-Kong, fraîchement installé à Brossard, s'il était fier de la Chine, on aurait eu droit à un froid haussement d'épaules. Mais les Olympiques ont changé la donne. Un vent de fierté souffle dans les voiles de la diaspora. Dans la petite salle de réunion de Brossard, campée dans un centre commercial asiatique du boulevard Taschereau, l'atmosphère est à la fête. Sur le mur, les effigies des cinq mascottes des Jeux olympiques semblent partager l'enthousiasme des hommes d'affaires d'origine chinoise. Ils ne tarissent pas d'éloges à l'égard de Pékin. «C'est la première fois qu'une cérémonie d'ouverture atteint ce niveau. Je suis canadien, mais je suis vraiment fier d'être originaire de Chine», dit Michel Wong Kee Song, le président d'une agence de voyages. «En tant que Sino-Canadien, je suis très fier de voir la Chine tenir les Jeux avec un tel professionnalisme. C'est incroyable de voir comment ce pays s'est ouvert rapidement», renchérit Raymond Tsim, patron d'une agence immobilière affiliée à Royal Lepage. «Beaucoup de gens ne veulent voir que le négatif dans les Jeux. Nous, nous voyons le positif. La Chine a démontré qu'elle est sur un pied d'égalité avec l'Occident», ajoute à son tour Warren See, coordonnateur au Québec du World Journal, un quotidien chinois distribué à la grandeur du Canada. Amour retrouvé L'épicerie Kim Phat Photo Martin Chamberland, La Presse Il y a 10 ans, les trois hommes étaient loin de donner autant de crédit au régime communiste. Raymond Tsim a quitté Hong-Kong dans les années 80 pour échapper aux turbulences politiques qui entouraient son île. Warren See l'a suivi en 1994, trois ans avant que Hong-Kong ne soit rétrocédé à la Chine. Michel Wong Kee Song, lui, a immigré de l'île Maurice. Tous trois ont été parmi les premiers à s'établir à Brossard pour faire leur vie. «Brossard m'a toujours rappelé ma vie à Hong-Kong. Prendre le pont Champlain pour aller au centre-ville de Montréal me ramène à l'époque où je devais prendre le traversier pour me rendre au travail le matin à Hong-Kong», se remémore Raymond Tsim. Ils n'ont pas été les seuls à être séduits par cette banlieue de la Rive-Sud. Beaucoup d'hommes d'affaires de Hong-Kong se sont joints à eux en débarquant au Canada. Récemment, des immigrants de la Chine continentale - choisis pour leurs compétences professionnelles - ont jeté leur dévolu sur Brossard. Aujourd'hui, forte de plus de 8000 âmes, la communauté chinoise compte pour 12% de la population de Brossard. Et sa présence ne passe pas inaperçue dans le paysage. Sur le boulevard Taschereau, une vingtaine de boutiques asiatiques s'entassent dans deux centres commerciaux. «On ne le recommande à personne, mais quelqu'un pourrait vivre à Brossard en ne parlant que mandarin ou cantonais», sourit Raymond Tsim. Les banques du secteur ont des employés et des gérants qui parlent chinois, les restaurants sont bondés de membres de la communauté chinoise à l'heure du lunch comme en soirée. Plusieurs épiceries, spécialisées en produits asiatiques, desservent aussi cette population aisée. Bientôt, les propriétaires des épiceries Kim Phat ouvriront le plus grand complexe commercial asiatique au Québec sur le boulevard Taschereau. Un restaurant de 600 places, qui pourra accueillir de grands événements, s'y établira. «Parmi les Chinois, la notoriété de Brossard est telle que beaucoup de gens m'appellent de Hong-Kong ou de Chine continentale et me demandent de leur trouver une maison. Quand ils arrivent, ils ramassent leurs clés», témoigne Raymond Tsim, qui vend des maisons sur la Rive-Sud depuis près de 20 ans. Il connaît bien les goûts de sa clientèle chinoise nantie. «Il y a certaines maisons que j'ai vendues trois ou quatre fois à des familles chinoises», donne-t-il en guise d'exemple. Les trois hommes d'affaires croient que la population chinoise de Brossard grandira vite au cours des prochaines années alors que les Sino-Montréalais, qui travaillent d'arrache-pied pour accéder à un petit bout du rêve américain, continueront de s'enrichir. «Je ne connais personne dans la communauté, surtout parmi les immigés de la première génération, qui travaille moins de 60 ou 70 heures par semaine», remarque Warren See. Mais dans la même phrase, il avoue que les Olympiques le font peut-être mentir. Nombreux sont les membres de la diaspora chinoise qui ont mis quelque peu leur travail de côté pour regarder les prouesses des athlètes chinois à la télévision. Plusieurs passent des soirées entières sur la place Sun Yat-Sen dans le Chinatown ou dans le restaurant Ruby Rouge adjacent. «Quand un Chinois gagne une médaille, le restaurant en entier se soulève», se réjouit Michel Wong Kee Song. Cette fierté retrouvée, croient les hommes d'affaires, pourrait transformer à long terme la diaspora chinoise. Cette force vive, évaluée à plus de 36 millions de personnes, semble plus soudée que jamais. En Afrique. En Asie. Et à Brossard. Carnet d'adresses Le restaurant Foo Wor se remplit tous les midis. On vient s'y délecter de dumplings et autres spécialités cantonaises. Photo Martin Chamberland, La Presse - Restaurant Foo Wor, 8080, boulevard Taschereau. La Mecque des dim sums. - Restaurant Xin Jing Hua, 8050, boulevard Taschereau. Une autre adresse prisée par la communauté chinoise de Brossard. - Restaurant Jardin du Sud. Un café typique de Hong-Kong, dans le centre commercial du 8080, boulevard Taschereau.x - Centre Sino-Québec de la Rive-Sud, principale organisation de la communauté chinoise. http://www.sinoquebec.ca. Présentement au 45, Place Charles-Lemoyne à Longueuil, il déménagera bientôt à la nouvelle Place Kim Phat. - Épicerie Kim Phat. Il y a présentement deux épiceries Kim Phat à Brossard - la première au 8080, boulevard Taschereau et la seconde au 1875, avenue Panama. À l'automne, elles seront toutes deux remplacées par une méga-épicerie au 7209, boulevard Taschereau. Propriété d'une famille chinoise du Cambodge, les épiceries Kim Phat se spécialisent dans les aliments asiatiques.
  3. Les Canadiens étaient toujours prêts à dépenser davantage dans les magasins au début de l'été, mais ils en avaient moins pour leur argent. Pour en lire plus...
  4. Le lundi 11 août 2008 Montréal-Nord s’embrase Philippe Orfali, Hugo Meunier, Patrick Lagacé et Martin Croteau La Presse Montréal-Nord s'est embrasé hier soir après avoir passé 24 heures sous tension. Samedi soir, Fredy Villanueva, 18 ans, a été tué par la police, et deux autres jeunes ont été blessés. Hier soir, le ressentiment d'une partie de la population a éclaté sous forme de brasiers, de voitures saccagées et de commerces pillés. Au plus fort des affrontements, peu avant minuit, des émeutiers ont échangé des coups de feu avec des policiers retranchés derrière leurs voitures de patrouille, sur le boulevard Maurice-Duplessis. Tous les abribus du secteur ont été fracassés. Des commerces ont été pillés et la marchandise volée a servi à allumer une quinzaine d'incendies un peu partout dans le secteur. À mesure que la soirée avançait, les émeutiers se sont déplacés vers l'est. Au coin du boulevard Langelier, ils ont mis le feu à des bonbonnes de propane, provoquant de violentes explosions. Des casseurs ont utilisé des scooters pour transporter du carburant et alimenter les dizaines de feux qui flambaient dans le secteur. Pendant ce temps, des curieux approchaient par centaines, prenaient des photos, filmaient la scène avec leurs téléphones cellulaires. «C'est bien fait, la police le méritait», a déclaré une spectatrice, croisée près du théâtre des affrontements. Boulevard Rolland, là où tout a commencé, des éclats de verre couvraient la chaussée, restes des bouteilles lancées vers les agents. Les policiers de l'escouade antiémeute, équipés de casques, de boucliers et de matraques, sillonnaient le quartier par groupes pour contenir les débordements. Et des dizaines de feux illuminaient les rues autour du parc Henri-Bourassa, au coin du boulevard Rolland et de la rue Pascal. Peu avant 22h, des voitures ont pris feu devant la caserne de pompiers située à cette intersection. C'est derrière ce bâtiment que, la veille, un policier du SPVM a abattu le jeune Fredy Villanueva. Les pompiers qui ont voulu éteindre le brasier se sont fait lancer des bouteilles, des pierres et des projectiles en tous genres. Lorsqu'ils ont battu en retraite, les feux allumés un peu partout dans le secteur ont brûlé librement. Et des pillards ont saccagé la caserne. Les voitures, poubelles, tables de pique-nique et bonbonnes de propane incendiées se sont multipliées dans les minutes suivantes. Peu après 23h, une fourgonnette garée devant un immeuble commercial au coin des rues Arthur-Chevrier et Rolland a pris feu à son tour. Les flammes ont effleuré l'immeuble, qui abrite un club vidéo, un restaurant, un magasin à 1$ et une douzaine d'appartements. Comme les pompiers étaient hors-jeu, les policiers se sont adressés aux citoyens. Ils ont demandé à quiconque possédait des boyaux d'arrosage de participer aux efforts pour combattre les flammes. Pendant quelques minutes, un policier de l'escouade antiémeute a été seul à tenter d'éteindre le feu. Ce n'est qu'à 23h45 qu'un camion de pompiers, escorté par des policiers, a pu se frayer un chemin jusqu'à l'immeuble. Au moment de mettre sous presse, vers 1h30, les policiers tentaient toujours de disperser les casseurs retranchés à l'intersection des boulevards Maurice-Duplessis et Langelier, le dernier foyer de résistance. Policiers blessés Deux policiers ont été blessés pendant les émeutes, a indiqué le porte-parole du SPVM, Raphaël Bergeron. Une agente a dû être évacuée de toute urgence après avoir reçu une balle dans la cuisse, mais sa vie ne serait pas en danger. Un autre agent a reçu un objet dans le pied. Un ambulancier qui travaillait sur les lieux a aussi été blessé lorsqu'il a reçu un projectile sur la tête. Les membres des médias n'ont pas été épargnés. Un caméraman de TVA a été pris à partie par des émeutiers. Et un photographe de La Presse, Robert Skinner, a été attaqué par des pillards. Trois jeunes hommes lui ont fracassé une bouteille sur la tête pour ensuite lui voler ses appareils photo. Une casse annoncée Samedi soir, un policier et une policière ont abordé un groupe de jeunes qui jouaient aux dés dans le stationnement du parc Henri-Bourassa. Ils ont interpellé Dany Villanueva, 22 ans, qui a refusé de coopérer. Selon des témoins, un membre de sa bande a sauté au cou d'un des agents. Dans la mêlée, celui-ci a dégainé son arme et a tiré quatre coups de feu. Le frère de Dany, Fredy Villanueva, est mort. Deux de ses amis ont été blessés. La nouvelle du drame s'est répandue comme une traînée de poudre à Montréal-Nord, un quartier notoirement fréquenté par les gangs de rue. Dans la journée d'hier, plusieurs habitants du secteur ont clamé leur ras-le-bol face à la «brutalité policière» dans leur quartier. D'autres promettaient déjà de venger la jeune victime. «J'ai entendu un jeune parler à des flics, raconte Mathieu, 28 ans, rencontré au plus fort des émeutes. Il leur disait que si ça avait été quatre Blancs, ils n'auraient jamais fait ça.» À la fin de l'après-midi, des dizaines de personnes sont spontanément descendues dans la rue, certaines brandissant des photos du jeune homme de 18 ans. «C'est une manifestation pacifique qui a mal tourné», a résumé une dame qui a refusé de dévoiler son identité. Les casseurs n'étaient pas les seuls à en vouloir au SPVM. Des centaines de voisins, femmes, vieillards, enfants, ont voulu manifester leur colère. «Ce n'est pas un conflit entre Blancs et Noirs, a affirmé un manifestant. C'est un conflit entre les jeunes de Montréal-Nord et la police.» Vers 22h30, des policiers ont remonté la rue Rolland vers le nord en frappant leur bouclier de leur matraque. Ils ont pris position au coin des rues Arthur-Chevrier et Rolland, à quelques mètres d'un groupe de spectateurs qui ne participaient pas à la casse. Lorsque cinq policiers ont foncé vers la foule, une femme haute comme trois pommes n'a pu fuir. Elle a été matraquée et violemment projetée au sol. Un homme s'est alors avancé vers le cordon policier. «On est nés ici, on ne vient pas d'ailleurs! leur a-t-il scandé. Cette journée-ci, on va s'en rappeler. Nous sommes les otages de notre quartier.» Pour plusieurs habitants de Montréal-Nord, les événements d'hier sont le point culminant d'une série d'affrontements entre policiers et jeunes. Et plusieurs s'inquiètent de l'escalade qui échauffe leur quartier. «Ce n'est que le début», a prévenu une femme d'une quarantaine d'années qui observait la scène. Le secteur des émeutes Les rues situées dans ce secteur de Montréal-Nord ont été au coeur des émeutes d'hier soir. Ces événements sont survenus après la mort d'un jeune homme tué par la police samedi. Plusieurs incendies ont été allumés dans les rues et une caserne de pompiers a notamment été saccagée hier soir. http://www.cyberpresse.ca/article/20080811/CPACTUALITES/80810133/6488/CPACTUALITES
  5. mtlurb

    Réunion 101

    Une mer de travailleurs roulent des yeux ou soupirent chaque fois qu'ils sont convoqués à une nouvelle réunion. Quand ils ne grognent pas. Pour en lire plus...
  6. André et Monique, tous deux dans la cinquantaine, se marient cet été. Ils tiennent à planifier le juste partage de leur patrimoine respectif. Pour en lire plus...
  7. Haro sur le fleurdelisé à Pékin Jean-François Bégin La Presse Envoyé spécial Pékin Une chance que Jennifer Carroll ne participe pas aux Jeux olympiques de Pékin. La nageuse, qui avait suscité l'ire de Natation Canada en montant sur le podium avec un drapeau du Québec lors des Jeux du Commonwealth, en 2002, n'aurait même pas le droit de se présenter au Cube d'eau de Pékin avec un étendard fleurdelisé dans son sac. En fait, même les parents présents à Pékin, qui souhaiteraient agiter le drapeau du Québec pour encourager leur enfant lors d'une compétition au cours de la quinzaine olympique, ne pourront le faire. Les organisateurs des Jeux, soucieux d'éviter toute forme de propagande politique - à commencer, selon toute vraisemblance, par les gestes pro-tibétains -, l'ont formellement interdit. Seuls les drapeaux des 205 pays membres du mouvement olympique seront admis sur les sites de compétition. «Ça a été discuté et nos athlètes et leurs parents et amis sont au courant, a indiqué hier la chef de mission du Canada, Sylvie Bernier. Ça fait partie des lois chinoises. Ils ne peuvent pas connaître les drapeaux de partout dans le monde entier. Ils connaissent les drapeaux de chaque pays, ils ne peuvent pas savoir de quoi il s'agit quand quelqu'un sort un drapeau du Québec ou de la Colombie-Britannique. Pour eux, ça peut être une forme de manifestation, de propagande. Alors la consigne est de limiter uniquement au drapeau du pays représenté.» «L'équipe canadienne» Règlement ou non, la chef de mission doute que des athlètes québécois auraient sorti leur drapeau de la province. «On est une équipe, l'équipe canadienne, et on est tous fiers de ça. On est ici pour trois semaines ou un mois et des liens se créent. Je suis fière Québécoise, mais ici, dans le contexte des Jeux olympiques, on est représentant de l'équipe canadienne.» L'interdit a été critiqué au Royaume-Uni, où il n'est pas rare que les fans d'athlètes originaires d'Angleterre, du Pays de Galles ou de l'Écosse (comme ceux du tennisman Andy Murray, par exemple) agitent des drapeaux de ces régions du pays plutôt que l'Union Jack. «Le droit d'agiter votre drapeau national a toujours été un aspect essentiel de l'expérience d'être un spectateur aux Jeux olympiques. Que ce droit soit bafoué maintenant pour des raisons de politique interne va à l'encontre () de la liberté d'expression», a dit au Daily Telegraph de Londres le critique conservateur en matière de sports, Hugh Robertson.
  8. Autant les fonds ont profité de l'envol des ressources ces dernières années, autant ils ont été écorchés par leur dégringolade depuis un mois. Pour en lire plus...
  9. Voyager à partir des États-Unis Mise à jour le mercredi 23 juillet 2008, 12 h 11 . De plus en plus de voyageurs canadiens se rendent dans des aéroports américains pour profiter des prix moins élevés des billets d'avion. L'aéroport de Syracuse, dans l'État de New York, note une augmentation du nombre de voyageurs canadiens, au cours des derniers mois. Plusieurs consommateurs estiment que faire quelques heures de route pour se rendre à l'aéroport en vaut la peine, et ce, même avec le prix plus élevé de l'essence. C'est le cas de Geneviève Préseault et de son conjoint, qui partent pour Las Vegas cet été. Pour réserver leurs billets d'avion, ils ont d'abord regardé les prix au départ de l'aéroport d'Ottawa, qu'ils ont jugé élevés. Une amie leur a suggéré de vérifier les prix des vols en partance de Syracuse. « Elle, elle part cet hiver, puis elle sauve environ 1000 $ sur ses billets d'avion. Donc, j'ai fait pareil, j'ai regardé à partir d'Internet les prix à partir de Syracuse puis, en tout et partout, je sauve environ, pour deux billets d'avion, je sauve 315 $ à peu près », explique Mme Préseault. Le couple a donc choisi de se rendre à trois heures de route d'Ottawa, à Syracuse, pour partir en vacances. Ils ne sont pas les seuls. De plus en plus de Canadiens traversent la frontière pour profiter des prix moins élevés. La force du dollar canadien et le nombre plus grand de transporteurs à rabais représentent des avantages pour les consommateurs. Il y a quatre ans, l'agence de développement économique de Syracuse a lancé une campagne de publicité ciblant les États voisins. Au cours des derniers mois, l'agence a étendu sa campagne, notamment à Kingston, à Cornwall et à Ottawa. Des publicités ont été achetées dans des stations radiophoniques de l'Est ontarien. L'aéroport estime que 2 % de ses 2 millions de voyageurs en 2007 provenaient du Canada. L'aéroport de Syracuse n'est pas le seul aux États-Unis à voir une progression des voyageurs canadiens. Les aéroports de Plattsburgh, de Burlington et de Buffalo attirent de plus en plus de voyageurs de Toronto et de Montréal. Les aéroports canadiens disent qu'ils ne peuvent rien faire pour arrêter cette progression. RDI.ca
  10. Hochelaga-Maisonneuve - Le retour du mal aimé Alexandre Shields Édition du mercredi 23 juillet 2008 Pauvreté, violence, ruelles sales et immeubles délabrés... les qualificatifs les plus utilisés pour décrire le quartier Hochelaga-Maisonneuve n'ont rien de réjouissant. La réalité est pourtant nettement plus nuancée, soutiennent ceux qui croient au renouveau de ce secteur de l'est de Montréal, qui fête cette année son 125e anniversaire. Dernier de deux articles. «Hochelaga-Maisonneuve, c'est un village, lance la cofondatrice du bistro In Vivo, Annie Martel. Je reconnais les gens et je connais les autres commerçants. Je n'ai jamais vécu cela avant et, pourtant, j'habite à Montréal depuis une douzaine d'années. Il y a ici une grande mixité sociale, des plus pauvres aux plus aisés, mais il y a de la place pour tout le monde.» L'équipe fondatrice de cette coopérative de travail n'a pas hésité un instant à venir s'établir dans le quartier lorsqu'elle a ouvert le bistro, il y a près de trois ans. «On serait peut-être plus riches si on était ailleurs, mais pour nous, c'était important de le faire dans notre quartier», insiste Mme Martel, résidante d'Hochelaga-Maisonneuve depuis cinq ans. L'entreprise s'inscrit d'ailleurs parfaitement dans le renouveau souhaité depuis des années pour ce coin de la ville passablement défavorisé. Les clients peuvent y déguster un menu santé composé de produits d'ici, mais aussi y entendre les artistes de la relève qui s'y produisent sur scène tout en jetant un oeil aux oeuvres d'artistes en arts visuels. Bref, on est loin des éternels «snacks à patates» qui constituaient auparavant l'unique option pour les résidants du quartier. Si la formule a pris du temps à faire sa place, elle fonctionne désormais très bien, selon Mme Martel. L'entreprise a pourtant choisi de s'installer rue Sainte-Catherine, entre Pie-IX et Viau, un secteur en apparence repoussant. «C'est une rue difficile dans un quartier difficile, admet Mme Martel. Mais en même temps, si on ne fait rien, rien ne va changer.» Cette volonté bien concrète de faire bouger les choses est partagée par plusieurs, affirme-t-elle. «Tous les nouveaux commerçants se tiennent, s'entraident. On a tous un intérêt à développer la rue, à se donner des trucs et non pas à se piler dessus. Samedi dernier, par exemple, je suis allée donner un coup de main aux gens du restaurant Les Cabotins, situé tout près.» C'est justement cet esprit de solidarité qui a attiré Gabrielle Moffett il y a quatre ans, lorsqu'elle a ouvert la boutique Coccinelle jaune, spécialisée dans l'artisanat québécois, quelques rues plus à l'ouest. «On me donnerait un local sur l'avenue du Mont-Royal que je ne déménagerais pas, lance-t-elle sans hésiter. Pourtant, j'y ferais sans doute plus d'argent, mais je ne retrouverais pas une vie de quartier aussi riche. Il y a toutes sortes de personnes et les gens se connaissent, se parlent.» Avenir prometteur Directeur de la Société de développement commercial Promenade Ontario depuis 20 ans, Roger Gallagher se réjouit d'un tel vent de fraîcheur, lui qui est convaincu de la possibilité de revigorer Hochelaga-Maisonneuve sans en chasser la population qui y est déjà. «J'ai toujours cru que le quartier n'était pas né pour un petit pain, mais qu'il peut évoluer en gardant une diversité de population. Il faut que les gens peu nantis puissent demeurer dans le quartier. C'est pas comme sur le Plateau Mont-Royal, où on transforme à peu près tout en condos.» Il croit que l'émergence de nouveaux types de commerce, par exemple dans le voisinage de la place Valois, riveraine de la rue Ontario, illustre bien cette diversité. Cette place publique, toute récente, est entre autres bordée d'un restaurant de fine cuisine française, Le Valois, mais aussi d'une chocolaterie et d'une charcuterie. Plusieurs unités résidentielles destinées à de jeunes professionnels «au revenu élevé» ont aussi été bâties dans le secteur. Si les poutines, pizzas et autres déclinaisons typiques du fast food demeurent légion, une plus grande diversité culinaire prend par ailleurs racine. «À l'épicerie, avant, sur les étagères, on voyait des sacs de chips et du Coca-Cola jusqu'au plafond, rappelle M. Gallagher. Aujourd'hui, dans le quartier, il y a des boulangeries, des poissonneries, des fromageries, etc. Si les gens recherchent ce genre de produits, ils peuvent les trouver facilement, par exemple au marché Maisonneuve.» Il espère d'ailleurs un jour voir ce marché, avec son magnifique immeuble central achevé en 1915, devenir «aussi gros que le marché Jean-Talon». L'activité culturelle s'enrichit elle aussi. Des galeries d'art ont désormais pignon sur rue, tandis que la Maison de la culture Maisonneuve a subi une impressionnante cure de jouvence au cours des dernières années. Des artisans de la scène, ceux du Théâtre sans fil, logent dans un immeuble datant de l'époque de la Cité de Maisonneuve, rue Letourneux. Tout près de la place Valois, on trouve en outre, depuis longtemps, un club vidéo de répertoire, Le Septième, doté d'une riche vidéothèque. Un incontournable du quartier, au même titre que le théâtre Denise-Pelletier. «Les millions qui ont été investis au cours des dernières années, que ce soit dans les commerces ou dans le domaine de l'habitation, je n'ai pas vu ça depuis 40 ans», soutient Roger Gallagher, natif du quartier. Responsable du comité développement économique et habitation pour l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Claire St-Arnaud se dit quant à elle convaincue que l'élan est là pour de bon. «Il y a de plus en plus de jeunes, entre 25 et 40 ans, qui viennent s'y installer et transforment le visage du quartier. On le voit à travers la multiplication des cafés et des bistrots dans les rues Sainte-Catherine et Ontario.» De grands pans du parc locatif ont effectivement été rénovés et les projets immobiliers, qu'ils soient constitués de condos ou de logements, sont nombreux. Il faut dire que les promoteurs peuvent compter sur un important patrimoine de bâtiments industriels, et ce, à meilleur prix que dans bien d'autres quartiers de Montréal. Plusieurs locaux commerciaux auraient toutefois eux aussi besoin d'une cure de rajeunissement, ou même de simplement trouver preneur. Nombre de démarches ont d'ailleurs été entreprises auprès de la Ville afin d'obtenir une part des subventions dédiées à la rénovation des immeubles. On espère ainsi attirer davantage d'investisseurs dans le secteur. Il faut dire qu'Hochelaga-Maisonneuve a passé des années à vivoter à la suite du départ des biscuiteries, usines de chaussures et autres Loco shop Angus, qui ont constitué l'essentiel des employeurs pendant des décennies. La fin de cet âge d'or industriel a fait mal. Outre les nombreux bâtiments laissés à l'abandon, la population du quartier a connu une chute importante. Résultat? Aujourd'hui encore, les indicateurs de pauvreté, mais aussi de décrochage scolaire, sont le plus souvent très élevés, même si le portrait socioéconomique change progressivement. Préjugés bien ancrés Or, si le quartier tend à se reprendre en main, les préjugés pèsent encore très lourds. «Le quartier a changé, mais les gens ne viennent pas voir Hochelaga-Maisonneuve, affirme Roger Gallagher. Ils n'osent pas. Quand ils constatent qu'il s'y passe des choses, ils sont surpris. C'est au point où des jeunes qui vivent sur le Plateau Mont-Royal déménagent dans le quartier, mais quand ils invitent leurs amis, ils ne leur disent pas qu'ils vivent dans ce quartier-là. Ils leur disent: "Vous êtes à HOMA", un peu comme s'ils avaient honte.» L'expression «HOMA» est apparue il y a un peu plus de deux ans, dans le but de désigner le quartier sous un vocable plus séduisant, notamment pour promouvoir la vente des nouveaux lofts et condos. L'idée est de le définir comme le prochain secteur en vogue. Bref, le nouveau Plateau. Les difficultés de ce quartier de l'est de Montréal résident en effet beaucoup dans la perception que les gens en ont, explique le directeur général de la Société de développement commercial de Sainte-Catherine Est, Jimmy Vigneux. Ce dernier tente justement de mettre en place un «plan vert» afin d'embellir cette artère, par exemple en redorant les espaces vacants mais aussi les vitrines des commerces. Un employé sera également chargé bientôt de nettoyer les environs de la rue Sainte-Catherine à temps plein. Malgré les efforts déployés sur le terrain, le discours médiatique tend toutefois toujours à enfermer le quartier dans une image péjorative. «Chaque fois qu'on parle du quartier, on dirait que c'est d'un côté négatif, estime Annie Martel. Il faut aussi cesser de dire que c'est le bout du monde. Quand une chroniqueuse de Radio-Canada a fini par parler du bistro In Vivo, c'était pour dire: "C'est tellement loin dans l'Est." On avait l'impression qu'on avait dépasser Pointe-aux-Trembles quand elle parlait.» http://www.ledevoir.com/2008/07/23/198869.html
  11. Aucune entente n'est intervenue depuis le début de l'exécution des mandats de grève le 4 juillet dernier, et les employés de 15 établissements de la région montréalaise pourraient se servir des mandats de grève de 72 heures dont ils se sont dotés. Pour en lire plus...
  12. Leur long exil sous les Tropiques leur a donné la piqûre des hivers doux, et ils espèrent bien y passer en partie leur retraite. Pour en lire plus...
  13. À Saint-Jérôme comme ailleurs au Québec, les prix de l'essence n'ont jamais été aussi élevés. Mais ils sont trop bas, selon la Régie de l'énergie. Pour en lire plus...
  14. Ils ne voient pas d'un bon oeil l'annonce par l'employeur du transfert d'une partie de la production de ses sécheuses vers le Mexique. Pour en lire plus...
  15. Les syndicats négocient les conditions de travail de milliers de salariés de l'industrie hôtelière québécoise. Ils brandissent la menace de grèves sans préavis si les discussions n'avancent pas plus vite dans certains établissements. Pour en lire plus...
  16. La logique de l’indifférence Joseph Facal http://www.josephfacal.org mercredi 4 juin 2008 Certaines choses sont aussi prévisibles que juillet après juin. Année après année, selon un rituel immuable, le commissaire fédéral aux langues officielles dénonce la difficulté des francophones à travailler dans leur langue au sein de la fonction publique fédérale hors Québec. Cette fois encore, l’incapacité fréquente à se faire servir en français chez Air Canada est pointée du doigt. On nous offre aussi de nouveaux exemples de ces traductions délirantes de l’anglais vers le français dont on rit pour ne pas en pleurer. Le commissaire voit dans le manque de volonté politique du gouvernement fédéral l’explication de cette réalité qui perdure depuis trois décennies. Mais ce constat, qui n’est bien sûr pas faux, reste à la surface des choses. La vraie question est : pourquoi n’y a-t-il pas de volonté politique ? La réponse brutale est qu’il n’y a pas de volonté politique parce qu’il n’y a aucun gain politique à faire pour les autorités fédérales si elles s’attaquent au problème…et aucun prix politique à payer si elles s’en foutent. L’effort individuel de chaque francophone pour défendre et valoriser sa langue est évidemment souhaitable et nécessaire, mais il faut être angélique ou faire de l’aveuglement volontaire pour ne pas voir l’évidente dimension collective et politique de la question. La vérité est que, dans leur immense majorité, les Canadiens anglais hors Québec ont l’une ou l’autre de deux attitudes à l’égard du français : ils s’en sacrent éperdument, ou alors ils sont royalement agacés par ce qu’ils perçoivent comme des exigences que le poids réel du français ne justifie absolument pas. Mettez-vous un instant à leur place. Donner une reconnaissance juridique égale à l’anglais et au français trouve sa lointaine origine dans le fait que les anglophones et les francophones s’unirent jadis pour fonder le Canada. Mais dans les faits, les Canadiens anglais, surtout depuis Trudeau, voient le Canada comme une association de dix provinces égales et non comme un contrat entre deux peuples. L’idéologie du bilinguisme officiel est donc en contradiction avec la représentation qu’ils se font de la nature même du Canada. Ils voient aussi que ce bilinguisme officiel n’empêche pas l’assimilation rapide des francophones hors Québec. À quoi bon toutes ces exigences, toutes ces tracasseries, se disent-ils au fond d’eux-mêmes, pour une langue parlée par à peine 4% des Canadiens à l’extérieur du Québec et qui déclinent rapidement. Un Canadien sur quatre est aujourd’hui de langue maternelle autre que le français ou l’anglais. Plusieurs de ces néo-Canadiens ont accepté, en arrivant ici, d’abandonner en partie leur langue. Ils voient donc comme un injuste traitement de faveur le statut légal donné au français sous prétexte que les francophones étaient là avant eux. Après tout, le multiculturalisme à la canadienne ne leur enseigne-t-il pas que tous les Canadiens sont égaux et que toutes les cultures se valent ? Et même à supposer que l’État fédéral veuille encourager ses citoyens à apprendre d’autres langues que l’anglais, le chinois ou l’espagnol n’est-il pas un placement plus rentable pour un anglo-canadien qui a des ambitions internationales qu’apprendre le français ? Morale de cette histoire : les déboires du français au Canada ne sont, pour l’essentiel, que le reflet de la nature réelle de ce pays et des rapports de force qu’on y trouve. Tout le reste n’est que rhétorique et bons sentiments. Source http://www.josephfacal.org/la-logique-de-lindifference/
  17. du quotidien 24 heures: Les usagers craignent pour leur sécurité DES AGRESSIONS DANS LE METRO Par JEAN-CLAUDE GRENIER Les habitués du transport en commun, surtout ceux qui utilisent régulièrement le métro, ne se sentent plus en sécurité à la suite des agressions survenues samedi et lundi. Ils sont nombreux à déplorer l'absence de sécurité dans les wagons, sur les quais et à l'entrée des stations où se massent des jeunes qui tentent souvent d'intimider les usagers à la sortie des stations. Samedi, un père de famille a été poignardé dans un wagon entre les stations Viau et Pie-IX. Un autre homme a aussi été agressé à l'arme blanche à la station de métro Berri-UQAM. Puis lundi, une adolescente âgée de 16 ans a aussi été poignardée à l'extérieur de la station Vendôme quand elle a voulu s'interposer auprès de trois individus qui tentaient de voler le baladeur MP3 d'un de ses amis. " C'est certain que je suis plus craintive quand je me rends chez moi en fin de journée près de la station Vendôme. Il y a toujours des jeunes qui flânent et qui demandent des cigarettes aux gens qui sortent de la station. Ils sont agressants et intimidants ", affirme Julie Desmarais. Sylvie Lauzon monte dans le métro chaque jour pour se rendre au travail au centre-ville. " Les agressions survenues au cours des derniers jours remettent en question mes déplacements en soirée. Il n'y a pas si longtemps, on se targuait d'avoir le métro le plus sécuritaire en Amérique, mais ce n'est plus le cas. " INTIMIDATION Pier-Alexandre Comeau-Landry n'est pas surpris de constater que la sécurité se détériore dans le réseau souterrain. " J'ai été intimidé à deux reprises à la station de métro Lionel-Groulx. Quand tu es encerclé par trois ou quatre adolescents qui demandent ton baladeur, tu ne résistes pas. Chaque fois, j'ai déposé des plaintes mais je déplore qu'il n'y a pas plus de surveillance. Des usagers se font souvent intimider en plein jour et ils sont laissés à leur triste sort puisque personne ne vient les aider. Les gens tournent le dos quand ils sont témoins d'une situation corsée ", explique-t-il. GANGS DE RUE Pour sa part, Annie Deslauriers admet qu'elle s'interroge sur ses déplacements en soirée en métro. " Je sais reconnaître les gangs de rue puisque j'ai déjà frayé avec ces gens. Présentement, plusieurs membres de ces gangs s'installent dans le métro afin de commettre des vols sur les usagers. Ça semble être facile de commettre un méfait et de se sauver dans les corridors du métro. J'ai vu plusieurs empoignades et des jeunes qui en menaçaient d'autres avec des couteaux. ", conclut-elle. Ça va surement inciter les gens à prendre le metro encore plus! Qu'attendent-ils pour augmenter la sécurité dans le métro?
  18. Les Canadiens n'ont jamais été aussi nombreux à être propriétaires de leur logement. Et ils n'ont jamais autant emprunté pour accéder à la propriété. Pour en lire plus...
  19. Les Mohawks de Kahnawake ne perturberont pas le début des travaux grâce à une entente avec Québec. Ils recevront des terres en compensation de la perte de celles situées sur le trajet de l'autoroute. Pour en lire plus...
  20. Je ne dit pas qu'elle a tort necessairement, mais bon, ils chialent pour des pistes cyclables et des support a velos, ils les ont, mais trouvent pareil le moyen de critiquer... ------------------ Où est le design? Gros, gris et laids. Ce sont les trois mots qui décrivent le mieux les nouveaux supports à vélos installés un peu partout dans l'arrondissement de Ville-Marie. On en trouve par exemple face à l'édifice de la Banque Nationale, place d'Armes, rue Saint-Paul, à l'angle de la rue Saint-Sulpice (notre photo) ainsi qu'à l'angle des rues Sainte-Catherine et Labelle. Au total, l'arrondissement en installera 119, au coût total de 80 000$. Le problème, c'est que ces supports à vélos sont affreux. Leur laideur est d'autant plus frappante dans le Vieux-Montréal, un environnement où les rues étroites et les édifices patrimoniaux forment un véritable écrin. On se serait attendu à un objet utilitaire au design plus recherché, en harmonie avec son environnement. On se retrouve avec ces affreuses structures grises sans aucune originalité. Il est pourtant possible de concevoir un mobilier urbain à la fois utilitaire et design. La preuve: à quelques mètres du Vieux-Montréal, dans le Quartier international qui, soit dit en passant, fait partie du même arrondissement, on trouve un mobilier urbain sobre et chic signé Michel Dallaire, le designer industriel québécois de renommée internationale. C'est d'ailleurs à lui que Stationnement de Montréal a confié le design des supports à vélos fixés aux tiges des panonceaux sur lesquels sont inscrits les numéros de stationnement de rue. Et c'est ce même designer qui travaille actuellement sur le modèle de vélo libre-service qui sera proposé dans l'île de Montréal l'an prochain. Pourquoi ne pas avoir fait appel à ses services une fois de plus? Ou à ceux d'un autre designer reconnu? La Ville de Montréal se targue d'être une ville de design. Même l'UNESCO lui a attribué ce titre. Pourtant, Montréal n'a pas le «réflexe design». Si elle l'avait eu, elle aurait proposé un choix de quelques modèles, harmonisés, à chacun de ses arrondissements. À l'heure actuelle, chaque arrondissement peut installer le support de son choix sans que la Ville n'ait son mot à dire. Résultat: un beau bordel visuel. Montréal s'est doté d'un bureau de design pour veiller à ce genre de détails. Où est-il quand on a besoin de lui? source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080527/CPOPINIONS03/805270885/6760/CPOPINIONS03
  21. Pendant au moins 1an et demi ils ont créer des bouhons d'enfer sur Décarie entre les rampes Sherbrooke et de l'autoroute 20. Maintenant il y a une belle rampe d'accès toute neuve qui mène directement sur la Rue Mainsonneuve. Ils ont finis la construction depuis plus de 6 mois maintenant et la rampe est toujours fermée. Quelqu'un peut me dire ce qui se passe à cette endroit ?
  22. Côte revenus, ils ont été en forte hausse en raison de l'acquisition de Putnam par une filiale du holding, la Great-West. Pour en lire plus...
  23. Le chantier de la 13 reconfiguréMise à jour le mercredi 7 mai 2008, 16 h 11 . Transport Québec annonce une modification de la configuration du chantier de construction sur l'autoroute 13 sud entre le pont Louis-Brisson et l'autoroute 40. La nouvelle configuration du chantier a pour but de soulager les importants bouchons de circulation que provoquent ces travaux aux heures de pointe à Laval et sur la ceinture nord de Montréal. À partir de lundi matin, les automobilistes qui circulent sur l'autoroute 13 vers le sud disposeront d'une voie supplémentaire dans la sortie qui conduit à l'autoroute 40. L'ajout de cette voie devrait permettre aux automobilistes de quitter plus facilement et plus rapidement l'autoroute 13 selon le porte-parole de Transport Québec, Mario St-Pierre. Cette première phase des travaux entrepris sur l'autoroute 13 doit se poursuivre au moins jusqu'au mois d'août. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/05/07/007-chantier-13-configuration.shtml ---------------------------------------------------------------------- À cause d'une voie de retranchée sur la 13, c'est le bordel complet dans les rues résidentielles à Laval! C'est complètement fou ces derniers temps le traffic. La file d'auto pour rentrer sur la 13 se rend presque devant chez moi Les policiers en profitent pour coller des contraventions à la pelle parceque des gens sont tellement désespérés qu'ils empruntent le stationnement du mega centre ste-dorothée à la place de la voie de service saturée, vraiment un attrape nigaud. d'autres gens décident d'aller pour le pont lachapelle et la encore la file est énorme, plus au nord que st-martin, et la file déborde sur samson encore. Les gens essaient pleins de petites rues résidentielles pour gagner quelques secondes ici et là... des manoeuvres illégales, des virages là ou il ne faut pas, etc etc etc. Pour donner un ordre de grandeur, le temps de parcours pour aller au métro momontrency en auto double de 15 à 35 minutes pour moi. c'est fou ce que ça peut faire juste enlever une voie... et ça dans une ville faite pour l'automobile. Ça fait me rire les gens qui lancent des idées de fou sur ce forum à propos des autoroutes quand ils n'ont jamais vu de leur propres yeux l'impact d'une autoroute sur les quartiers résidentiels, ou pire quand ils n'ont jamais pris le volant:banghead:
  24. L’anglais toujours un accélérateur de carrière Marc-Olivier Bherer 07/03/2008 14h17 Tandis que le français recule au Québec au profit de l’anglais comme langue de travail, les Anglo-Québécois quittent la province. Que faut-il comprendre de ce phénomène? «Les Anglo-Québécois s’enfuient en masse (et en voiture familiale) de la Belle province depuis la prise du pouvoir par le Parti québécois en 1976. Mais ce n’est que récemment que l’élite québécoise a commencé à considérer cet exode comme problématique», écrivait le National Post dans un éditorial. Au même moment se tenait du 29 février au 2 mars à l’université de Montréal une conférence sur «La revitalisation de la communauté anglophone au Québec: tendances et perspectives d'avenir». Le National Post avait une réponse toute prête à adresser aux Québécois pour redynamiser cette communauté, «Arrêtez de faire des anglophones vos ennemis». Les universitaires Jean-Luc Migue et Gérard Bélanger n’écartent le rôle joué par la xénophobie pour expliquer ces départs. Mais ils ne s’y limitent pas. Ils remarquent dans un article également publié par le National Post répondant à l’éditorial cité plus haut que les anglophones québécois disposent d’un plus grand capital mobilité par rapport à leurs concitoyens. «Ils n’ont pas à franchir des barrières linguistiques et culturelles lorsqu’ils migrent. Ils possèdent de manière historique des aptitudes qui leur permettent de briguer des postes plus en demande et plus lucratifs. En un mot, ils sont plus mobiles. Tant que la province restera une province moins développée économiquement, ils seront plus aptes à partir» que les autres Québécois, tranchent-ils. À l’intérieur même de la communauté anglophone, les individus les plus mobiles sont également les plus diplômés, comme le constate Henry Aubin, du quotidien The Gazette, alarmé par «la fuite des cerveaux» qui frappe la minorité anglophone. «Parmi les adultes nés au Québec dont la langue maternelle est l’anglais, 61% des détenteurs d’un baccalauréat étaient partis vivre ailleurs au Canada, selon les données du recensement de 2001, le dernier en date. La catégorie qui est le plus susceptible de rester au Québec? Ceux qui ont abandonné leurs études au niveau secondaire», s’inquiète-t-il. Il note encore que ceux «qui partent sont généralement bilingues». Le bilinguisme est effectivement une aptitude valorisé par le marché. Le salaire moyen des Québécois bilingues, qu’ils soient anglophones et francophones, était d’environ 38 000 dollars en 2000, soit plus que ne gagnent les personnes ne parlant une seule langue, d’après une étude de l’Institut C.D. Howe. Par contre, selon la même étude, les unilingues anglophones profitaient toujours d’une prime par rapport aux unilingues francophones. Leur salaire moyen en 2000 atteignait 34 097 dollars, par rapport à 29 665 dollars. Plus inquiétant encore, les allophones ne parlant que l'anglais disposaient d’un revenu moyen de 27 216 dollars alors que ceux ne s’exprimant qu’en français gagnaient 21 233 dollars. http://www2.canoe.com/infos/international/archives/2008/03/20080307-141727.html
  25. La fin du pétrole, pas de la voiture Mathieu Perreault - La Presse Photo Archives La Presse - Agrandir La fin de l'ère du pétrole ne siginifie pas nécessairement la fin de l'automobile, estiment les spécialistes. Pour beaucoup d'écologistes, la fin de l'ère du pétrole est synonyme de la disparition de l'automobile. Moins de stations service, plus de trains, tramways et métros à gogo, et des kilomètres de rues piétonnes. Pas si vite, disent cependant deux journalistes du mensuel The Economist. Dans leur livre Zoom, ils admettent que la consommation de pétrole ne pourra pas continuer à augmenter indéfiniment. Mais ils considèrent que l'automobile est trop pratique pour disparaître. «C'est dommage pour les gens qui détestent les automobiles, mais la fin du pétrole ne signera pas l'arrêt de mort de la voiture», a expliqué, en entrevue depuis Londres, l'un des coauteurs, Iain Carson. «Les transports en commun ne peuvent tout simplement pas remplacer totalement les déplacements individuels. Et du point de vue du transport des marchandises, le camion est tout simplement indispensable sur les derniers kilomètres.» L'idée du livre est venue à M. Carson après une discussion avec l'ancien président de Ford, Alex Trotman (décédé en 2005). «C'était un Écossais comme moi, alors nous avons eu des discussions à bâtons rompus. Une fois, il s'était plaint du fait que l'industrie automobile est tenue responsable de tous les maux environnementaux. Alors qu'en fait, le problème, c'est le pétrole. En y réfléchissant bien, et en discutant avec mon collègue qui couvre l'industrie du pétrole, la pertinence d'un livre est devenue évidente. Nous avons même découvert que Jane Jacobs, la grande ennemie de la banlieue, ne tenait pas l'automobile responsable du déclin des centres-villes.» Pour faire le point Le livre ratisse large, et parvient à faire le point sur plusieurs aspects du débat. Tout d'abord, on apprend que les premières voitures étaient à 90% électriques. Henry Ford a même acheté une voiture électrique à sa femme en 1908. Le premier brevet de moteur hybride à l'électricité et à l'essence date de 1905. Il a fallu l'apparition du démarreur électrique, en 1912, pour que le moteur à essence se démarque définitivement. Auparavant, on devait tourner une manivelle, une opération éreintante et souvent dangereuse. Le recul soudain a cassé bien des bras. Zoom fait aussi le procès des partisans du «pic du pétrole «, qui préviennent que d'ici peu, la production d'or noir va nécessairement chuter faute de nouvelles découvertes de gisements. «Quand on assiste à leurs réunions, on dirait qu'on se trouve en présence d'anciens alcooliques, ou de revendeurs de drogue repentis, dit M. Carson. Ce sont très souvent d'anciens membres de l'industrie pétrolière. Ils font montre d'une émotion messianique. Ils ignorent totalement les gisements de pétrole non conventionnels, et les avancées de la technologie d'exploitation des puits. De toute façon, je ne pense pas qu'on ait besoin de prédire un pic de pétrole pour chercher à remplacer l'essence comme carburant automobile. Les sables bitumineux de l'Alberta, par exemple, vont durer longtemps, mais ils sont extraordinairement polluants. Ça ne peut tout simplement pas durer.» Les journalistes sont toutefois optimistes. M. Carson note que les gains d'efficacité des moteurs hybrides n'ont pas été entièrement utilisés pour augmenter la puissance de moteurs, contrairement aux améliorations des 20 dernières années. «Je ne comprends pas ceux qui s'indignent de retrouver un moteur hybride dans un 4X4. C'est tout de même mieux qu'un moteur à essence conventionnel. Le 4X4 Lexus hybride, par exemple, n'a pas plus de puissance que la version normale.» http://monvolant.cyberpresse.ca/200802/19/dossiers/techno/7119-la-fin-du-petrole-pas-de-la-voiture.php
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