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  1. Un intéressant et complet dossier dans La Presse Affaires du Vendredi 19 mars lève le voile sur une nouvelle histoire de fraude majeure à Montréal. Une importante entreprise financière américaine, établie à Montréal, en est la principale victime. Quand est-ce que cela va arrêter?? Ces gens ne réalisent pas le dommage substantiel qu'ils font à notre économie? GE Capital: présumé détournement de fonds (Montréal) L'entreprise de financement GE Capital croit qu'elle a été victime d'un détournement de fonds. L'affaire touche trois entreprises de la construction et un petit encanteur de Montréal. L'institution, associée au géant General Electric, soupçonne un de ses cadres supérieurs de Montréal d'avoir participé à ce détournement d'au moins 1 million de dollars, entre 2007 et 2009. Les faits entourant cette histoire sont notamment relatés dans une requête déposée en Cour supérieure, le 3 février. Selon le document, l'ex-vice-président de GE Capital, Carlo Fargnoli, aurait fait trois versements inexpliqués totalisant 1 million à la firme JK Auction, un petit encanteur de Montréal. Les versements auraient été faits dans le cadre de financements pour la relance de trois entreprises de la construction lourde. Après enquête, GE Capital a soupçonné une fraude et congédié M. Fargnoli, le 18 janvier. Carlo Fargnoli travaillait depuis 2003 au siège social canadien de la multinationale, à Montréal. Il agissait à titre de vice-président, gestion des risques et restructuration. Les soupçons de GE Capital, faut-il préciser, n'ont pas été prouvés en cour. Selon la requête, les trois versements n'ont pas fait l'objet de vérifications diligentes et n'ont pas reçu les autorisations appropriées. De plus, les documents justifiant ces trois commissions seraient manquants. JK Auction, qui a reçu les fonds, est un encanteur sans adresse commerciale connue, selon la requête. JK est plutôt situé dans un haut de duplex résidentiel de la 40e Avenue, à Montréal. Son seul propriétaire, Jonathan Kruk, est un étudiant universitaire de 24 ans, selon la requête. Ce sont les contrôleurs financiers de GE Capital qui ont levé des drapeaux rouges sur cette affaire, l'été dernier. «Ils ont observé que certains comptes non rentables étaient refinancés à répétition avec des fonds additionnels de GE malgré leur non-rentabilité et que des montants significatifs d'argent comptant étaient utilisés pour financer les transactions de restructurations, sans documents appropriés», est-il écrit dans la requête. Selon une enquête de La Presse Affaires, GE Capital a perdu 14 millions de dollars dans la faillite de deux des trois groupes de construction en cause (voir autre texte en page 2). Carlo Fargnoli a été rencontré en septembre et en décembre par des responsables de GE. Il aurait reconnu ne pas avoir fait de vérification diligente sur JK Auction et n'aurait pu fournir de justifications précises pour les paiements totalisant 1 million, soutient la requête. Carlo Fargnoli aurait expliqué que JK Auction servait d'intermédiaire pour acquérir, détenir et revendre les actifs d'entreprises en restructuration pour le compte de GE, selon la requête. JK Auction recevait des commissions pour chacun de ces dossiers pour effectuer le transit des actifs, aurait dit M. Fargnoli. Toujours selon la requête, les commissions étaient négociées uniquement entre lui et M. Kruk. GE a demandé à Jonathan Kruk d'obtenir une copie des documents financiers et des états de compte bancaires de JK, mais ce dernier aurait refusé, selon la requête. GE n'aurait pas davantage été en mesure de rencontrer M. Kruk en personne. Construction Selon la requête, GE examine de possibles autres transferts de fonds non conformes à JK dans d'autres dossiers de restructuration. Pour le moment, les trois entreprises en restructuration nommées dans la requête viennent du secteur de la construction. Il s'agit d'Atlas Asphalte, d'Excavations D.P. et de Béton Grilli. Dans le dossier d'Atlas Asphalte, le transit d'actifs par JK Auction aurait donné lieu à une «commission» de 300 000$, en décembre 2007. GE avait alors fait un prêt de quelque 5 millions de dollars dans le cadre de la relance de l'entreprise, selon des documents dont nous avons copie. À l'automne 2008, Atlas a vu ses actifs réunis à ceux d'Excavations D.P. La transaction a de nouveau été financée par GE Capital et a encore donné lieu à un versement de 300 000$ à JK Auction, indique la requête. Le refinancement s'élevait à quelque 13 millions, selon des documents en cour. Enfin, dans le cas de Grilli, GE a fait un prêt de 5,8 millions dans le cadre d'une restructuration, remplaçant la Banque de Montréal comme prêteur. Le transit d'actif a une fois de plus débouché sur une commission non documentée de 400 000$ à JK, en mars 2007, selon la requête. Pour tirer l'affaire au clair, GE Capital s'est adressée à la Cour supérieure pour obtenir l'accès aux documents bancaires de JK Auction détenus par une succursale de TD Canada Trust, rue Chabanel, à Montréal. Dans ses démarches en cour, GE utilise une procédure rare appelée ordonnance Norwich. Poursuite pour diffamation GE marche sur des oeufs dans cette affaire. L'entreprise fait l'objet d'une poursuite de 4,7 millions de dollars pour diffamation de la part de Carlo Fargnoli. La requête a été intentée en novembre 2009 après que M. Fargnoli eut été, dans un premier temps, démis de ses fonctions avec solde. Carlo Fargnoli soutient dans sa requête que GE l'a diffamé en le liant à des activités criminelles. En septembre dernier, le supérieur de M. Fargnoli l'avait rencontré pour lui dire que l'entreprise avait des préoccupations à son sujet concernant sa participation à des activités liées «au monde interlope et aux crimes en cravate». En réplique à cette poursuite, GE demande le rejet de la requête, car elle soutient, entre autres, qu'elle n'a pas diffusé de tels propos à l'extérieur de l'entreprise et qu'elle ne peut donc être accusée de diffamation. L'entreprise veut tout de même se protéger: dans sa requête Norwich impliquant JK, elle demande que les procédures soient mises sous scellé, entre autres pour éviter de nuire à la réputation de M. Fargnoli advenant qu'il soit innocent. GE Capital: documents disparus, suicide et pertes étranges (Montréal) Une série d'événements troublants entourent l'un des principaux dossiers sur lesquels enquête GE Capital, dont un suicide, la disparition de documents comptables et des pertes inexpliquées. Voici ce que La Presse Affaires a appris. Les institutions financières brassent beaucoup d'argent, mais ce n'est pas tous les jours qu'elles perdent 14 millions de dollars avec un seul dossier. C'est pourtant ce qui est arrivé à GE Capital dans une affaire qui touche des entreprises de la construction de Montréal. Les problèmes de GE ont pris naissance à l'automne 2007. À l'époque, l'entrepreneur Joe Iacovelli cherchait ardemment des fonds pour assurer la survie de son entreprise Atlas, qui offrait des services de pavage et de déneigement. GE Capital accepte alors de prêter quelque 5 millions de dollars à Atlas, moyennant des garanties sur tous les équipements. L'affaire est bouclée le 27 novembre 2007, selon les documents en Cour, au grand plaisir des créanciers d'Atlas. Mais le plaisir est de courte durée. Deux mois plus tard, en janvier 2008, l'entreprise fait une série de chèques sans provision, malgré les nouveaux fonds de GE Capital. Le créancier qui s'en plaint est Revenu Québec. Après avoir interrogé Joe Iacovelli, Revenu Québec conclut que l'homme d'affaires a perdu le contrôle de son entreprise aux mains de tierces parties inconnues. «Joe Iacovelli prétend que de fausses factures sont émises par des tiers au nom d'Atlas et que d'importantes sommes sont ainsi encaissées dans des centres d'encaissement, comme si Atlas cherchait à cacher des revenus au détriment des créanciers», écrit Revenu Québec dans une requête en Cour supérieure. Toujours selon cette requête, Joe Iacovelli a dit à Revenu Québec que «Atlas serait totalement étranger à ces opérations et n'en tirerait aucun profit». Un suicide Face à ce constat, Revenu Québec demande à la Cour, en avril 2008, de nommer un séquestre pour contrôler les entrées et sorties de fonds chez Atlas. La firme Litwin Boyadjian entre donc en scène. «Mon mandat n'était pas de vérifier les allégations de Revenu Québec, non prouvée en Cour, mais de contrôler les activités. Je n'ai rien vu de bizarre sous mon contrôle jusqu'à la mauvaise nouvelle», a dit Noubar Boyadjian à La Presse Affaires. La mauvaise nouvelle concerne Joe Iacovelli. Le 5 juin 2008, l'homme dans la soixantaine est retrouvé mort dans sa résidence. Il s'est suicidé, nous confirme Noubar Boyadjian. «Monsieur avait beaucoup de dettes», nous dit M. Boyadjian. Avec la perte de son principal dirigeant, Atlas a dû être de nouveau restructuré. Le financier GE Capital trouve parmi ses clients des repreneurs, également dans le secteur de la construction, soit l'homme d'affaires Piero Di Iorio et sa femme Danielle Poitras. À l'automne 2008, GE prête donc près de 6 millions aux entreprises de Piero Di Iorio pour racheter les actifs d'Atlas. En plus, GE Capital accepte de verser 7 millions pour refinancer les autres entreprises du couple Di Iorio/Poitras, selon des documents en Cour. Financement total: 13 millions. Parmi les autres entreprises du couple Di Iorio/Poitras, mentionnons D.P. Excavations, mais également Location d'auto Fantaisie, une firme qui loue des Porsche, des Ferrari, des Hummer et autres voitures de luxe. En échange des fonds, GE prend en garantie tous les actifs de ces entreprises, par exemple les camions à benne, les bulldozers, les chasse-neige et les immeubles. Il s'agit d'une pratique courante dans l'industrie bancaire. Ainsi, en cas de faillite, GE pourra saisir les biens et se faire rembourser sa dette en priorité sur les autres créanciers. Mais encore une fois, la relance tourne court. Dès janvier 2009, D.P. commence à accumuler des défauts de paiement malgré le refinancement, indique une requête en Cour supérieure. Coup sur coup, les entreprises de Piero Di Iorio sont donc placées en faillite au cours des mois suivants. Ces entreprises doivent quelque 29 millions de dollars à leurs 310 créanciers, dont 18,4 millions à GE Capital, si l'on inclut les intérêts cumulés. »Crimes en cravate»? Les contrôleurs de GE Capital ne restent pas inactifs devant ces financements non rentables à répétition. Le 11 septembre, l'entreprise suspend le vice-président responsable de ces dossiers, Carlo Fargnoli. Selon une autre requête en Cour, l'entreprise soupçonne Carlo Fargnoli d'être lié «au monde interlope et aux crimes en cravate». Pour récupérer son dû, GE mandate le syndic de faillite Aberback & Lapointe. Le syndic tente alors de saisir les biens des entreprises de Piero Di Iorio, mais il appert que la partie n'a pas été facile. En arrivant au siège social du groupe, rue La Martinière, à Rivière-des-Prairies, le syndic aurait été accueilli par des «menaces de vol et de bris d'équipement», selon une requête en Cour. Toujours selon la requête, Aberback & Lapointe aurait constaté que le disque dur de l'ordinateur principal aurait été «arraché» et que les documents importants de l'entreprise auraient disparu. Enfin, certains des camions et des chargeuses-pelleteuses (pépines) à saisir auraient été introuvables. Aberback finit par retracer le matériel sur divers chantiers de Montréal, certains financés par des fonds publics. Parmi eux, mentionnons le chantier du manège militaire de la rue Notre-Dame, dans l'est de Montréal, et celui de l'École des métiers de la construction, rue Parthenais. Une perte de 25 millions Les équipements sont finalement saisis et vendus à l'encan, en février. Mais surprise: le matériel ne vaut qu'une fraction des créances de l'entreprise. Au total, la valeur nette des biens saisis, immeubles compris, ne dépasse guère 4 millions de dollars, nous indique Pierre Martin, représentant d'Aberback & Lapointe. Autrement dit, la perte des créanciers du groupe s'élève à 25 millions, soit l'écart entre les créances totales (29 millions) et la valeur nette (4 millions). Les créanciers ordinaires ne toucheront rien, puisque les dettes de GE, garanties, ont priorité. Malgré cette priorité, la perte de GE dans cette affaire s'élève à plus de 14 millions de dollars. «L'écart entre la valeur des biens et la dette est très élevé, effectivement. Pour le moment, c'est difficile à expliquer. Mais éventuellement, on fera enquête et on cherchera à voir s'il y a des transactions révisables», nous a dit M. Martin.
  2. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201602/17/01-4951521-bombardier-va-supprimer-7000-postes.php Montréal) Bombardier larguera 7000 employés à l'échelle mondiale d'ici deux ans, dont 2000 contractuels. Ces compressions annoncées mercredi seront en partie compensées par des embauches au nombre encore indéterminé dans certains secteurs en croissance, notamment pour soutenir l'accélération de programmes et de projets stratégiques comme le CSeries. Les emplois abolis se trouvent principalement au Canada et en Europe où sont concentrées les activités aéronautiques et de transport sur rail de l'entreprise. Alain Bellemare, président et chef de la direction de Bombardier, explique que ces mesures sont requises pour rendre l'entreprise basée à Montréal plus solide et plus compétitive.
  3. http://journalmetro.com/actualites/montreal/917779/olympiades-dhiver-pour-le-375e-anniversaire-de-montreal/ 17/02/2016 Mise à jour : 17 février 2016 | 3:00 Olympiades d’hiver pour le 375e anniversaire de Montréal Par Laurence Houde-Roy Métro Eric Delbaere/Collaboration spéciale Les organisateurs souhaitent donner aux Montréalais l'envie d'aller jouer dehors. Concours de déneigement de voitures, de fabrication de bonshommes de neige, d’installation d’abris d’auto, de lancer de sapin et de glissade en bacs de recyclage : c’est notamment en pratiquant ces sports inusités que les Montréalais pourront célébrer le 375e anniversaire de Montréal en février prochain. La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal annoncera aujourd’hui la création des Hivernales qui se tiendront durant deux semaines de février 2017, une sorte d’olympiades d’hiver évoquant les premiers carnavals d’hiver tenus à Montréal à la fin des années 1880. «Mais on n’aura rien à leur envier, affirme Gilbert Rozon, commissaire aux célébrations du 375e anniversaire de Montréal. On va créer l’atmosphère d’aujourd’hui avec les moyens d’aujourd’hui. Ceux qui ont connu les premières olympiades trouveront même qu’on a progressé.» M. Rozon espère, par ces activités d’hiver, ajouter un peu de magie à la métropole et donner envie aux Montréalais d’aller jouer dehors. «C’est peut-être simpliste, mais je trouve que l’éclairage de Noël, cela a toujours été magnifique, mais il y a en ce moment une tendance à lever le pied, d’en faire moins», regrette-t-il. Avec l’arrivée dans la métropole de festivals hivernaux comme Montréal en lumière et l’Igloofest, M. Rozon trouve qu’une «sorte de modernisme s’est installé». «On a identifié des places où on peut faire mieux», ajoute-t-il. Avec ces Hivernales, tous les Montréalais seront invités à s’inscrire à des activités sportives sous formes de compétitions amicales, comme une course à obstacles, du curling ludique, du vélo d’hiver et un tournoi de hockey en plein air. Les Hivernales s’allieront d’ailleurs aux 3 festivals hivernaux de Montréal pour la réalisation de ses activités, soit Montréal en lumière, Igloofest et la Fête des neiges. Plusieurs des activités ludiques des olympiades se dérouleront en partenariat avec ces festivals. Ces trois festivals ont d’ailleurs été invité à intégrer dans leur programmation les trois thèmes que les Hivernales mettront à l’honneur : la lumière, la bouffe et le fait de jouer dehors. «[Ces trois thèmes] seront mis à contribution de façon beaucoup plus exceptionnelle qu’à l’accoutumé», insiste Gilbert Rozon. Les Hivernales se dérouleront principalement dans les trois lieux où se tiennent ces festivals: le parc Jean-Drapeau, le Vieux-Montréal et le Quartier des spectacles (sur la Place des festivals et dans les rues du quartier). «On va soit s’intégrer ou se coller à ces festivals, on va créer des ponts tout en gardant chacun notre caractère distinct, explique Gilbert Rozon. L’idée, c’est de miser sur ce qui existe déjà, de l’amplifier. Idéalement, ça donne l’idée de répéter le tout chaque année par la suite.» «Une élite sportive de haut niveau» sera également invitée pendant le festival pour faire des démonstrations de leur sport. Lorsqu’on demande à Gilbert Rozon s’il compte organiser des événements aussi importants que lors du 350e anniversaire de Montréal en 1992, où il y avait eu des spectacles de 10h et une parade avec 15 000 figurants et 250 000 spectateurs, sa réponse est «oui». «On a regardé ce qu’ils avaient fait et ce qu’avait fait Québec pour son 400e anniversaire. On a essayé de prendre les bons coups de chacun et de les mettre à notre sauce et d’innover. Donc attendez-vous à quelques projets très spectaculaires», répond-t-il.
  4. Barbie s'installe au Canada : Montréal accueille fièrement EXPO BARBIE, la plus importante exposition permanente de poupées Barbie au monde MONTRÉAL, QUÉBEC--(Marketwired - 22 jan. 2016) - Ce n'est pas la poupée Barbie de vos souvenirs. C'est l'étalage de la haute couture, un assemblage des plus grands designers de l'industrie. Un nouveau volet de l'histoire de la mode est sur le point d'être révélé. La poupée la plus adulée de tous les temps ouvre les portes de son musée, EXPO BARBIE en plein coeur du centre-ville de Montréal, aux Cours Mont-Royal. La salle d'exposition d'une superficie de plus de 5000 pieds carrés exhibe plus de 1000 poupées Barbie dans leurs plus beaux atours matérialisant toutes les tendances passées et présentes. Qui d'autre que Barbie pouvait représenter l'évolution de la mode des 60 dernières années? Les connaisseurs de la haute couture seront comblés par ces magnifiques Barbie habillées par les plus grands couturiers tels que Christian Dior, Versace, Givenchy, Donna Karan, Giorgio Armani, Ralph Lauren, Vera Wang, Oscar de la Renta, Christian Louboutin, Zac Posen, Carolina Herrera et Hervé Léger parmi bien d'autres. Aussi, il y a les poupées Barbie du monde du spectacle dont Marilyn Monroe, Audrey Hepburn, Elizabeth Taylor, Beyonce, Cher, Jennifer Lopez, Farrah Fawcett, Barbra Streisand et Lucille Ball pour n'en nommer que quelques-unes. Pour les cinéphiles, Barbie prendra les allures des stars de The Hunger Games, The Wizard of Oz, Twilight, Grease, Titanic, My Fair Lady, Gone with the Wind et Legally Blonde. D'autres poupées Barbie qui retiendront l'attention prennent pour modèles Kate Middleton, Marie Antoinette, Coco Chanel, Grace Kelly et Cléopatre. Ces poupées uniques, confectionnées sur commande sauront fasciner tous les visiteurs, de tous les âges. Le lancement, sur invitation seulement, aura lieu le mercredi 10 février. EXPO BARBIE sera ouverte au public le lendemain. Cette exhibition permanente de classe internationale sera accessible pendant les heures normales d'ouverture, sept jours sur sept. L'entrée est gratuite, mais les dons offerts à « Fais un Voeu ®» Québec seront acceptés. http://www.marketwired.com/press-release/barbie-sinstalle-au-canada-montreal-accueille-fierement-expo-barbie-la-plus-importante-2090361.htm
  5. Akelius Canada, filiale de la suédoise Akelius Residential Property, vient d'acquérir quatre immeubles d'habitation au centre-ville de Montréal, un investissement de 120 millions pour 415 logements. Il s'agit du Westmount Estates, au 1800, De Maisonneuve Ouest, du Plaza Drummond, au 3435, Drummond, du 3421, Drummond et du 4555, Bonavista, dans Côte-des-Neiges. Les propriétés étaient auparavant contrôlées par Cromwell Management, propriété de George Gantchev et Stanley Zipkin. Akelius est entrée au Canada en 2011. Elle se concentre dans les marchés de Toronto et Montréal pour le moment. Elle vient de franchir le cap des 1000 logements à Montréal avec ces dernières acquisitions. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201601/26/01-4943781-un-groupe-suedois-investit-120-millions-au-centre-ville.php
  6. http://www.spimmobilier.com/avenir.html LES TERRASSES OTWAY Réalisées par SP Immobilier, concepteur du projet Les terrasses Cherrier et Les terrasses Chambord dont le développement est synonyme de bon goût, d’'originalité et de qualité. Les terrasses Otway sauront vous séduire par son style moderne et ses matériaux haut de gamme. Situés en plein coeur du Mile End à deux pas de la rue Bernard et la rue Laurier ces condos de prestige vous offriront les attraits et le charme de Montréal.
  7. http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk
  8. 5300 milliards par an de «subventions» à l'industrie des carburants fossiles Publié le 25 mai 2015 à 11h56 Quand vous aurez fini de lire ce paragraphe, les gouvernements du monde auront déjà payé un million de dollars à l'industrie des carburants fossiles, selon le FMI. C'est ce que représentent 5300 milliards de dollars par an, ou 10 millions de dollars chaque minute. C'est davantage que ce que tous ces gouvernements paient en santé. L'évaluation a fait d'autant plus sursauter cette semaine qu'elle provient du Fonds monétaire international (FMI), rarement soupçonné de pencher à gauche. Dans leur analyse, les experts du FMI qualifient ces chiffres de « choquants ». En tout, les compagnies pétrolières et gazières bénéficieront donc en 2015 de subventions directes, d'incitatifs fiscaux et de cadeaux indirects totalisant 5300 milliards. Cela dit, bien que les médias aient abondamment employé le mot « subvention » en traitant cette nouvelle depuis mardi, les « vraies » subventions, c'est-à-dire les sommes versées à l'industrie sous différentes formes (incluant des réductions de taxes), représentent 500 de ces milliards. Le reste, selon les calculs contenus dans le rapport publié le 18 mai, est constitué en bonne partie des coûts engendrés par la pollution sur l'environnement et sur la santé, coûts ensuite assumés par les gouvernements. Des « externalités » coûteuses Ces derniers coûts sont ceux que les économistes appellent, dans leur jargon, des « externalités ». Le calcul des externalités - positives ou négatives - sert parfois à justifier l'imposition d'une taxe sur un produit (les cigarettes, par exemple) ou un remboursement d'impôt (lors d'un don à un organisme de charité par exemple). Externalités et subventions représentent dans ce cas-ci 6,5 % du produit national brut (PNB) mondial. Le chiffre est plus élevé que dans une estimation de 2013 du FMI, non à cause de l'inflation, mais en raison de tout ce qui a été inclus dans les externalités - et qui ouvre la porte à la critique. Comment, par exemple, calcule-t-on dès aujourd'hui les coûts des changements climatiques? Toutefois, en se basant uniquement sur le calcul du présent rapport, la facture totale a augmenté de 3 milliards par année entre 2011 et 2014. Le mythe des carburants fossiles « peu coûteux » est détruit Le FMI ne questionne pas seulement le gigantisme de l'impact qu'ont les carburants fossiles sur l'économie. Il questionne sa logique purement économique : les subventions directes ou indirectes sont à un tel niveau qu'elles découragent les investisseurs tentés de financer d'autres formes d'énergies. Commentant l'étude dans le journal The Guardian, l'économiste britannique Nicholas Stern s'insurge : « Cette importante analyse détruit le mythe que les carburants fossiles sont peu coûteux, en nous montrant quels sont les véritables coûts. Il n'existe aucune justification pour ces énormes subventions aux carburants fossiles, qui déséquilibrent le marché et endommagent l'économie, particulièrement dans les pays les plus pauvres. » Le rapport évalue que de mettre fin à ces cadeaux serait une façon efficace de réduire de 20 % les émissions de gaz à effet de serre. Et de renvoyer le prix du pétrole à sa juste valeur. Et de sauver 1,6 million de vies par année : une estimation du nombre de morts évitables causées par la pollution de l'air. À eux seuls, la Chine (2300 milliards) et les États-Unis (700) contribuent pour plus de la moitié de la facture, suivis de très loin par la Russie (335 milliards), l'Union européenne (330) et l'Inde (277). http://www.lapresse.ca/environnement/201505/25/01-4872368-5300-milliards-par-an-de-subventions-a-lindustrie-des-carburants-fossiles.php
  9. Moins d’un million de dollars par mine par Michel Pepin publié le 1 mai 2015 à 17 h 24 Il y a parfois des chiffres qui parlent plus que les mots et plus que toutes les promesses. Par exemple, il y a CE chiffre, 23 650 000, qui en dit plus long que tous les Plan Nord de ce monde. Ce chiffre représente le nombre de dollars que les propriétaires des 24 mines en exploitation au Québec ont versés en redevances en 2013-2014 selon les comptes publics du Québec. C’est moins d’un million de dollars par mine, en moyenne. Oui, c’était une mauvaise année, les prix des minerais étaient bas et les minières ont donc réalisé très peu de profits. Néanmoins, cela n’a pas empêché ces entreprises de retirer pour au moins 7 milliards de dollars en minerais du sous-sol québécois. De ces 23 millions de dollars, il pourrait être déduit les coûts d’administration au ministère pour le secteur des mines (plus de 15 millions de dollars). Il pourrait être aussi pris en compte le coût des 723 sites miniers abandonnés qui devront être réhabilités par l’État. Une facture de 800 millions de dollars est évoquée sur le site du ministère. Les crédits d’impôt relatifs aux ressources et les avantages fiscaux reliés aux actions accréditives ne sont pas pris en compte dans ce calcul. Dans son rapport de 2009, le vérificateur général révélait que ces dépenses fiscales représentaient une somme plus importante que l’ensemble des redevances minières. Rien n’indique, au contraire, que la situation était différente en 2013-2014. En revanche, il est vrai qu’il y a eu une année (2011) où 300 millions de dollars ont été recueillis en redevances minières, alors que la pelletée de minerai de fer valait trois fois celle d’aujourd’hui. Toutes ces données n’ont pas refroidi l’enthousiasme du premier ministre Couillard qui a évoqué, sans la moindre gêne, la priorité que représente le développement durable dans le cadre du dévoilement de sa version du Plan Nord. Il n’est pas facile d’imaginer le caractère durable du développement minier, une activité qui consiste à extraire une ressource qui ne peut se renouveler. Tout cela confirme que la vision de Québec pour le développement des ressources minières repose surtout sur la création d’emplois et l’activité économique que cela peut générer en région. Toutefois, la Caisse de dépôt et placement et Investissement Québec possèdent des participations dans certains projets (la mine d’or Osisko à Malartic et le projet de mine de diamants Renard de Stornoway) qui pourraient se révéler profitables. Car, si en apparence, Québec a reçu moins d’un million de dollars par mine, en réalité, il n’a même pas reçu « une cenne la tonne », comme on disait du temps de Duplessis. En fait, en 2013-2014, le gouvernement du Québec a payé les compagnies minières pour exploiter son sous-sol, qui elles, malgré la baisse des prix par rapport à 2011, ont accéléré la cadence de production et ont extrait davantage de fer, de nickel, de cuivre et d’or en 2013-2014. Si tout va bien, ce sont 65 millions de dollars que les Québécois recevront en 2014-2015 en redevances minières. En échange de 7 milliards de dollars de ressources. Si tout va bien. http://blogues.radio-canada.ca/politique/2015/05/01/moins-dun-million-de-dollars-par-mine/
  10. J'ai pris toutes ces photos l'été dernier.
  11. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201105/27/01-4403442-les-habitations-jeanne-mance-se-refont-une-beaute.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Publié le 27 mai 2011 à 11h56 | Mis à jour à 11h56 Les Habitations Jeanne-Mance se refont une beauté Louise Leduc La Presse Les Habitations Jeanne-Mance, longtemps mal-aimées et mal cotées, se refont une beauté. Pour l'heure, fort d'un budget de 32 millions, on en est encore à l'amélioration des lieux extérieurs - mini terrain de soccer, plantation d'arbres, petit marché public - mais la rénovation des appartements en tant que tels commencera l'an prochain, à raison d'une centaine par année. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, était sur place ce matin pour rendre compte des améliorations apportées à l'environnement immédiat de ces logements sociaux situés au centre-ville, entre Ontario et de Maisonneuve. Pas moins de 1700 personnes y vivent et la Ville est consciente depuis longtemps de la nécessité de réhabiliter les lieux. Si l'augmentation de la surveillance autour du complexe a déjà fait une différence, la rénovation des appartements demeure l'enjeu important. Le maire Tremblay a souligné que ces rénovations ne seront pas faciles, puisqu'il faudra déménager des gens, mais c'est possible, a-t-il dit. Il en veut pour preuve la réussite de la Place L'Acadie, dans le nord de la ville. Là-bas, «on a dû déménager des gens, on a payé le déménagement, trois mois de loyer, et les gens sont de retour». C'est ce qui devra être fait aussi aux Habitations Jeanne-Mance, en un chantier qui s'étendra sur plusieurs années.
  12. Voici un bel exemple de ce qui va se produire à l'échelle de la ville, si Montréal ne met pas un frein à l'installation de ces ultra dérangeantes boîtes postales de rue. En fait c'est une chance de constater à petite échelle, l'effet qu'auront ces installations à la grandeur de la ville. Non seulement elles sont laides, mais elles occuperont un précieux espace public le long des trottoirs. Elles seront aussi de véritables obstacles qui nuiront au déneigement l'hiver et bloqueront la sortie des passagers des voitures qui se stationneront à côté. D'ailleurs qui aura la responsabilité de les déneiger pour que les citoyens aient accès à leur courrier en tout temps et de les déglacer lors de pluies verglaçantes? Autant de contraintes auxquelles il faudra ajouter les déchets qui ne manqueront pas de s'accumuler et qui annuleront tous les efforts de propreté de la ville. Sans parler des déjections animales dont les boîtes deviendront une véritable invitation. Pareil pour le vandalisme et la criminalité, en l'occurrence on peut facilement imaginer que certains délinquants en développeront la spécialité. Finalement la dépréciation assurée de toutes les propriétés qui auront à subir ces inconvénients au quotidien. Un dernier détail: qui aura la responsabilité de dédommager les usagers ou les passants si quelqu'un se blesse à cause de la présence de ces boîtes? Beaucoup, beaucoup de questions, mais aucune réponse pertinente des Conservateurs, qui sont totalement aveuglés par les profits potentiels qu'une telle opération apportera. On les voit venir avec leurs gros sabots, ils profiteront ensuite de la plus value de Poste Canada pour la vendre au privé, en laissant villes et citoyens se débattre avec une entreprise, dont le seul mandat sera de faire encore plus d'argent à nos dépends. Plus on analyse l'impact de cette décision stupide et totalement improvisée, plus on réalise que Harper tente de pelleter ses problèmes dans la cour des villes. Les conséquences négatives sont dès le départ évidentes, mais plusieurs autres s'ajouteront certainement à l'usage. J'en conclue que les villes deviendront les dindons de la farce dans cette politique fédérale irréfléchie, en récoltant absolument tous les coûteux inconvénients, tout en laissant l'ensemble des avantages à la société d'État. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201503/06/01-4850084-boites-postales-aussitot-installees-aussitot-vandalisees.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-title_article_ECRAN1POS2&utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_Autres%20contenus%20populaires_article_ECRAN1POS2 Publié le 07 mars 2015 à 00h00 | Mis à jour à 00h00 Boîtes postales: aussitôt installées, aussitôt vandalisées Pierre-André NormandinPIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse Lourdement vandalisées et entourées de détritus, les premières boîtes postales à avoir fait leur apparition au coeur de Montréal illustrent déjà les problèmes qu'entraînera la fin de la livraison du courrier à domicile, dénonce le maire du Sud-Ouest, Benoit Dorais. En janvier 2014, Postes Canada a installé des boîtes postales dans la rue Saint-Rémi pour desservir un immeuble jugé problématique. Deux de ses facteurs qui livraient le courrier de porte en porte ont subi des blessures à l'automne 2013. La société de la Couronne assure que l'apparition de ces boîtes n'a rien à voir avec la fin de la livraison à domicile, mais concerne simplement une question de santé et de sécurité au travail. Benoit Dorais y voit néanmoins les limites de l'utilisation des boîtes postales dans les arrondissements centraux de Montréal. Manque de consultation Le maire du Sud-Ouest digère mal l'apparition de neuf boîtes en janvier 2014, puis l'ajout hier d'une dixième. Benoit Dorais affirme que son arrondissement n'a jamais été prévenu de leur implantation sur les trottoirs municipaux. Ce manque d'information est un mauvais signe alors que la fin de la livraison du courrier à domicile en fera pousser des milliers partout à Montréal, dit-il. Postes Canada assure qu'elle avertit habituellement les municipalités avant d'implanter des boîtes. Une porte-parole, Anick Losier, ajoute que la fin de la livraison du courrier à domicile ne touchera pas le Sud-Ouest en 2015. Les secteurs visés cette année sont Lachine, L'Île-Bizard, Dollard-des-Ormeaux, Dorval, Brossard et Greenfield Park. Déneigement difficile L'arrivée de ces boîtes postales a compliqué le déneigement de ce secteur, confie un col bleu interrogé par La Presse. Elles portent d'ailleurs les traces de leur difficile cohabitation avec la machinerie utilisée pour déblayer les rues. Une entaille d'une dizaine de centimètres en témoigne d'ailleurs, vraisemblablement provoquée par la pelle d'une déneigeuse. La réparation effectuée par Postes Canada n'a rien pour rassurer Benoit Dorais. «La boîte endommagée a été réparée avec du "duct tape" gris. C'est vraiment n'importe quoi.» Chez Postes Canada, on disait ignorer qu'un trou sur l'une de ces boîtes avait été couvert d'un papier adhésif. La boîte endommagée fera l'objet d'une inspection et pourrait être changée.
  13. Saputo regarde du côté de l’Australie 21 juillet 2008 - 11h19 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Saputo (SAP) est parmi les trois acheteurs potentiels à vouloir mettre la main sur la laitière Australian Dairy Farms. Il s’agirait d’une acquisition de près de 1 G$. C’est ce que rapporte Bloomberg qui relaie l’information de l’Australian Financial Review. Le géant Parmalat et la coopérative australienne Murray Goulburn seraient également sur les rangs. Click here to find out more! Pour Saputo, il s’agirait d’une première incursion dans le marché australien. Ces offres ont été déposées vendredi dernier après que Dairy Farmers a indiqué que ses profits allaient dépasser la hausse prévue initialement de 15 à 25%. La direction de l’entreprise n’a pas voulu commenter la possible transaction à LaPresseAffaires.com. Outre le Canada, Saputo possède en ce moment des usines aux États-Unis, en Argentine, en Allemagne et au Royaume-Uni. À la Bourse de Toronto, vers midi, l’action de Saputo pointait à 27,07 $ en hausse de 9 cents.
  14. http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/environnement/20150216-amenager-un-corridor-vert-entre-le-mont-royal-et-outremont.html Accueil Campus Environnement Aménager un corridor vert entre le mont Royal et Outremont LUNDI, 16 FÉVRIER 2015 11:50 JOURNAL FORUM ENVIRONNEMENT Cette vue aérienne de Montréal permet de voir le ruban vert qui partirait de l’Université, près du parc du Mont-Royal, et se déploierait vers le nord. Cette vue aérienne de Montréal permet de voir le ruban vert qui partirait de l’Université, près du parc du Mont-Royal, et se déploierait vers le nord. Créer un corridor vert reliant le mont Royal au futur campus d'Outremont, voilà l'essentiel du projet Darlington. «Nous voulons mettre en contact ce puits de biodiversité extraordinaire que constitue le mont Royal avec l'autoroute verte représentée par les abords des chemins de fer», dit Alexandre Beaudoin, conseiller à la biodiversité au Vice-rectorat aux finances et aux infrastructures, secteur du développement durable, de l'Université de Montréal. Sous nos pieds, dans le quartier Côte-des-Neiges, coulent les vestiges des ruisseaux Rimbault et Darlington, qui drainaient les eaux de surface vers la rivière des Prairies. Observés par les cartographes militaires du 19e siècle dans le quartier agricole, ces ruisseaux ont été canalisés puis enfouis; ils coulent dans les aqueducs de la ville. C'est sur l'axe de cette voie naturelle qu'on veut ériger ce ruban de nature. Le projet a fait l'objet d'une présentation officielle à la Ville de Montréal à l'occasion de la consultation «Je vois Mtl», en novembre dernier, par le recteur de l'UdeM, Guy Breton. Dans un premier temps, l'objectif est de favoriser l'agriculture urbaine dans Côte-des-Neiges en proposant aux résidants de mettre en terre et d'entretenir des plantes dans une cinquantaine de bacs disposés au coin des rues, le long du corridor écologique. Par la suite, on aimerait amener les propriétaires à renoncer à la pelouse pour semer plutôt du couvre-sol et des plantes indigènes. Dans une perspective à plus long terme, tout un système de gestion écologique de l'eau sera mis en œuvre. «On veut proposer de défaire le raccordement des gouttières aux égouts collecteurs pour que les eaux de pluie se déversent vers la rue. L'eau recyclée pourrait servir à diminuer les îlots de chaleur plutôt que d'encombrer les égouts collecteurs», explique M. Beaudoin. Portland, ville modèle Mettant à profit la phytoremédiation, cette technologie consistant à dépolluer les sols par l'action des végétaux, le projet Darlington prévoit une importante phase de décontamination des lieux consacrés au corridor vert. Tous les 200 m, le long du corridor projeté, on aménagera des «noyaux secondaires de biodiversité», soit des zones où la faune pourra trouver refuge. Mises bout à bout, ces aires formeront quelque 5000 m2 de verdure. «Le quartier a la particularité de compter plusieurs écoles, bâtiments universitaires et hôpitaux, mentionne le biologiste. La collaboration du personnel de ces entreprises est essentielle pour réaménager leur espace (stationnements et cours de récréation par exemple) dans une perspective de développement durable.» Pour que le projet évolue, la population devra toutefois mettre la main à la pâte. Là se situe d'ailleurs le principal obstacle, selon lui. «Notre plus grand défi est de faire comprendre ce projet à la population, qui devra changer ses habitudes. Planter quelques arbres de plus sur son terrain, ça ne posera peut-être pas de problème, mais renoncer aux pelouses, ça ne fera pas l'affaire de tout le monde.» Au cours d'un voyage à Portland, en Oregon, Alexandre Beaudoin a constaté de ses yeux qu'une conversion est possible. «Tout, dans cette ville, est repensé en fonction du développement durable et de la participation citoyenne. Les murs et toits végétalisés sont nombreux; les rues sont parsemées de fleurs et d'arbustes; les eaux de pluie sont recyclées...» Avec une population 10 fois supérieure, la région montréalaise est loin de pouvoir se comparer avec Portland, où l'on dénombre environ 300 000 habitants. Mais ce n'est pas pour décourager le biologiste apiculteur, qui rêve à ce corridor vert depuis son arrivée au secteur du développement durable de l'UdeM il y a quatre ans. Mathieu-Robert Sauvé Rapport complet Le renard comme symbole On imagine aisément des papillons ou des oiseaux passer d'un arbre à l'autre le long du corridor vert que veut mettre en place l'Université de Montréal entre le mont Royal et Outremont. Mais le symbole qui plaît le plus à son promoteur, c'est le renard roux. Naguère nombreux dans les environs du mont Royal et du cimetière Notre-Dame-des-Neiges, les renards ont été décimés par une maladie transmise par le chien domestique. «On sait que, après avoir complètement disparu, les renards sont revenus récemment habiter le territoire laissé vacant», relate Alexandre Beaudoin. Pour lui, cette renaissance d'une espèce emblématique de la nature québécoise est un signe d'espoir. sent via Tapatalk
  15. Incroyable. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/commerce-de-detail/parasuco-ferme-7-boutiques-au-pays/576040 Le détaillant de vêtements Parasuco a décidé de fermer les sept boutiques qu'il détient et exploite en raison de ses difficultés à s'adapter à un secteur de la mode en pleine transformation. La société établie à Montréal, qui n'a pas voulu accorder d'entrevue, a ainsi annoncé vendredi s'être placée sous la Loi sur la faillite et l'insolvabilité au Canada. C'est la firme KPMG qui a été nommée syndic dans ce dossier. Quelque 80 personnes qui travaillent dans ces sept boutiques devraient ainsi perdre leur emploi. L'entreprise exploite six établissements au Québec ainsi qu'une boutique à Mississauga, en Ontario. Toutefois, la plateforme de vente en ligne des Jeans Parasuco, qui emploie plus de 70 personnes et qui compte 40 ans d'existence, sera maintenue. Après Boutique Jacob, les magasins Smart Set et Mexx Canada, entre autres, il s'agit d'une autre bannière qui disparaît dans le secteur de la mode. Sans évoquer la fermeture de ses boutiques, Parasuco faisait déjà état d'importants rabais sur de la marchandise déjà réduite.
  16. Le dernier film de Paul Walker a été tourne pour certaines scènes a Montreal. On peut y voir la Biosphère comme.......prison! Egalement le pont Champlain, la skyline de Montreal et aussi les grands silos du Port. Tout ces endroits sont supposes être a Detroit!
  17. La Caisse va financer le Train de l'Ouest et le SLR sur Champlain. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/economie/2015/01/13/001-entente-financement-infrastructure-caisse-depot-placement-quebec.shtml?isAutoPlay=1
  18. Pas d’austérité chez Hydro-Québec Pendant que le gouvernement Couillard propose un gel salarial à ses 540 000 fonctionnaires pour les deux prochaines années, les employés d’Hydro-Québec verront leurs chèques de paie bondir de 7,2 %. Dès le 1er janvier, les salaires de 15 000 travailleurs d’Hydro-Québec seront notamment bonifiés de 4,2 %. En 2016, c’est une hausse de 3 % qui attend les employés de la société d’État. En tout, au cours des quatre prochaines années, les salaires des employés d’Hydro-Québec progresseront de 12,45 %. Ces impressionnantes hausses ont été consenties lors du renouvellement de la dernière convention collective ratifiée il y a un an, en décembre 2013, avec sept des huit syndicats de la société d’État. Pour justifier de telles hausses, Hydro-Québec dit avoir mis fin au controversé régime annuel de primes à la performance offert à ses employés depuis une dizaine d’années. Ce régime de primes était décrié parce qu’Hydro-Québec détient le monopole de la vente d’électricité au Québec et que les objectifs de ce régime étaient trop faciles à réaliser. En 2013 (pour l’année 2012), ce régime a distribué 88 millions $ aux travailleurs d’Hydro-Québec. Pour compenser la fin de ces généreux bonis, la société d’État a toutefois décidé d’ajuster les échelles salariales de ses travailleurs syndiqués à compter du 1er janvier 2015. Prime de 84 M$ Pour l’année 2014 qui se termine, Hydro-Québec dit avoir «gelé» les salaires de ses travailleurs et ne versera pas la fameuse prime au rendement. Or, les travailleurs d’Hydro-Québec ont touché en avril 2014 (pour la dernière fois) la prime dite de rémunération incitative pour la performance financière de la société d’État réalisée en 2013, a appris Le Journal. Cette prime de 84 millions $ équivaut à tout près de 4000 $ par employé ou jusqu’à 4,5 % de leur salaire annuel, soit 1,5 % lorsque les objectifs financiers sont atteints et jusqu’à 3 % en se fondant sur les indicateurs de rendement de l’entreprise. Hydro-Québec persiste à dire que ses travailleurs syndiqués subiront néanmoins un «gel de rémunération» l’an prochain. «Pour 2015, une portion de la rémunération incitative a effectivement été intégrée aux échelles salariales, d’où l’augmentation de 4,2 %», a indiqué hier un porte-parole d’Hydro-Québec, Patrice Lavoie. Les cadres aussi Les travailleurs non syndiqués d’Hydro-Québec ne sont pas en reste. Eux qui ont vu leurs salaires progresser de 1,75 % en 2014, auront droit à une hausse de 2 % en 2015. http://www.journaldemontreal.com/2014/12/17/pas-dausterite-chez-hydro-quebec
  19. http://www.ledevoir.com/environnement/actualites-sur-l-environnement/424197/comment-vendre-un-pipeline-aux-quebecois Comment vendre un pipeline aux Québécois TransCanada dispose d’un plan précis pour faire aboutir le projet Énergie Est 18 novembre 2014 |Alexandre Shields | Actualités sur l'environnement Le rapport souligne que le « scepticisme » par rapport à l’utilisation du train « est très fort » depuis les événements tragiques de Lac-Mégantic. Si elle veut convaincre les Québécois d’appuyer son mégaprojet de pipeline Énergie Est, TransCanada doit vanter la sécurité de ce moyen de transport par rapport au train, dans la foulée de la tragédie de Lac-Mégantic. La pétrolière doit aussi établir des stratégies afin de nuire aux opposants tout en éduquant les citoyens d’ici sur les vertus du pétrole des sables bitumineux. Ce sont là certains des principaux piliers du « plan stratégique » pour le Québec élaboré par la multinationale des relations publiques Edelman, à la demande de TransCanada. Le document, obtenu par Greenpeace et transmis au Devoir, présente plusieurs éléments clés de la stratégie qui devrait se déployer dans le but de convaincre les Québécois d’accepter le passage ici du plus important projet de transport de brut albertain en Amérique du Nord. Revenant d’entrée de jeu sur le fait que le transport de pétrole est devenu un « enjeu majeur » pour les citoyens du Québec depuis la catastrophe de Lac-Mégantic, le rapport souligne que le « scepticisme » par rapport à l’utilisation du train « est très fort » depuis ces événements tragiques. Les Québécois, peut-on lire, souhaitent désormais être mieux « protégés », et « le pipeline pourrait constituer une réponse à cette préoccupation ». Les pipelines peuvent en fait constituer une « nouvelle opportunité » de transport pétrolier, même s’ils demeurent toujours « méconnus » du public. Edelman, qui a aussi travaillé sur le projet de pipeline Keystone XL, propose justement d’éduquer les Québécois à ce sujet. « Les Québécois ne sont pas familiarisés avec le pétrole comme source d’énergie. Les mythes et les appréhensions sont encore plus présents lorsqu’il s’agit du pétrole provenant des sables bitumineux albertains, qui sont directement associés au gouvernement de Stephen Harper. L’éducation sur le sujet est donc fortement requise », peut-on lire dans le document de 45 pages rédigé en anglais. Investir pour convaincre Dans ce contexte éducatif mis en avant par la pétrolière, il serait toutefois préférable d’utiliser le bon langage. « Nous recommandons de continuer à miser sur le terme “ressources naturelles” lorsque cela est possible, plutôt que le terme “sables bitumineux”, qui est perçu négativement », écrit Edelman dans ce rapport daté du 20 mai 2014. Celui-ci fait partie d’une série de documents confidentiels obtenus par Greenpeace. Puisque le projet de pipeline et de port d’exportation de Cacouna touche plusieurs communautés du Québec, la firme de relations publiques souligne l’importance de réaliser des investissements financiers afin de rallier la population à son projet. « Nous recommandons de définir un programme d’investissement communautaire spécifique au fleuve Saint-Laurent en raison de son importance dans le projet, en misant sur la restauration de quais et d’infrastructures riveraines puisque cela pourrait générer un retour sur l’investissement significatif. » Edelman estime aussi que « soutenir une campagne majeure de financement d’une université québécoise tout en contribuant à ses efforts dans la recherche environnementale pourrait aider à démontrer le sérieux de TransCanada par rapport à ces enjeux, mais aussi contribuer à améliorer l’image de la compagnie ». Le Devoir révélait récemment que TransCanada négocie actuellement avec l’Institut des sciences de la mer de Rimouski le financement d’une chaire de recherche sur le Saint-Laurent axée sur l’étude du béluga. En plus de ces engagements financiers, TransCanada devrait rencontrer et chercher à rallier à sa cause des personnalités influentes du Québec. La liste établie par Edelman comprend 19 noms, dont ceux de Brian Mulroney, Lucien Bouchard, Monique Jérôme-Forget, Pierre Marc Johnson, Denis Coderre, Régis Labeaume, le p.-d.g. d’Hydro-Québec, Thierry Vandal, ainsi que le président de la Caisse de dépôt et placement, Michael Sabia. Contrer l’opposition S’il importe de se doter d’alliés, Edelman insiste aussi sur la nécessité de contrer les opposants, qui sont d’ailleurs de plus en plus nombreux. « Si on les laisse faire, les opposants à Énergie Est utiliseront chaque information à leur disposition pour attaquer le projet et TransCanada. » La firme souligne notamment la nécessité d’établir le profil précis des groupes d’opposants. « Dans le but d’ajouter des obstacles aux opposants, nous travaillerons avec des tierces parties et nous les armerons avec l’information dont ils ont besoin pour faire pression sur les opposants et les distraire de leur mission », fait aussi valoir la firme de relations publiques. Ces « tierces parties » pourraient être par exemple des voix « crédibles » recrutées au sein des communautés. Parmi les arguments à mettre en avant, celui des bénéfices économiques semble être en haut de la liste. Edelman estime ainsi qu’à la suite des récentes élections, les Québécois ont tourné le dos à la question nationale et sont désormais plus préoccupés par les problèmes économiques. « Dans ce contexte, le projet Énergie Est pourrait être présenté comme une nouvelle occasion d’insuffler une nouvelle vie dans l’économie du Québec, grâce à la création d’emplois et d’effets indirects positifs sur d’autres secteurs. » La firme recommande par exemple de mettre en avant l’argument des bénéfices économiques afin de mieux faire accepter la construction d’un port pétrolier en plein coeur de la pouponnière des bélugas du Saint-Laurent. « L’impact économique du projet sera un argument fort pour rallier la communauté [de Cacouna] au projet », affirment les auteurs de la stratégie préparée par Edelman. Le projet doit permettre, à terme, de créer 133 emplois directs au Québec. Le pipeline Énergie Est doit faire passer ici 1,1 million de barils de pétrole brut chaque jour, soit l’équivalent de 1335 wagons-citernes. La province deviendra ainsi le point le plus stratégique au Canada pour l’exportation de pétrole des sables bitumineux.
  20. http://www.groupedayan.com/9425-rue-meilleur.php sur ce lot vacant: [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?q=9425+Rue+Meilleur&ie=UTF8&ll=45.537952,-73.656209&spn=0.001182,0.002401&sll=45.5388622,-73.6597156&sspn=0.0057713,0.0109864&hnear=9425+Rue+Meilleur,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&t=h&z=19&layer=c&cbll=45.53788,-73.656476&panoid=30JHmLjEgX1eF_6IBh9ovQ&cbp=12,323.89,,0,-9.19[/sTREETVIEW]
  21. Dans le sujet sur l'état des rues commerciales dans le Plateau Mont-Royal, il y avait un désaccord sur l'appréciation des saillies vertes. Pour l'un c'était de la mauvais herbe, pour l'autre, c'était très réussi. J'ai donc décidé de faire un sujet montrant quelques exemples de verdissement à Montréal, histoire d'avoir un endroit où montrer ce qu'on aime, ce qu'on aime pas. Le verdissement prend une place importante dans plus en plus de villes, et a un impact de plus en plus significatif sur l'urbanisme, le paysage urbain, et même la configuration de nos rues. Je trouve donc pertinent d'en parler dans un forum d'urbanisme! J'ai donc fait un petit tour rapide dans mon quartier et aux alentours: le nord du Plateau, Saint-Viateur Est, le Mile-End. Nous sommes en septembre, donc c'est pas mal moins fleuri et coloré que durant le reste de l'été, mais ça donne une idée de la qualité de l'infrastructure, je crois. La saillies vertes Ces saillies ont non seulement pour objectif de verdir une rue, mais aussi d'augmenter le dégagement pour la visibilité des piétons et des automobilistes, ainsi réduire la distance à traverser dans une rue. Une des plus grande saillies sur le Plateau. Elle va de la rue Boucher jusqu'à Maguire, et ainsi s'occupe de deux intersections d'un seul coup. Il y a une bonne diversité dans les plantes choisies pour l'aménagement. Sur Fairmount, une grande saillie est aussi devenue une petite place publique bien occupée: Voici quelques autres saillies dans le secteur: Retrait d'un cul-de-sac dans le parc Laurier On avait bien ri de la peinture verte sur la chaussée, mais l'aménagement final est plus qu'un simple bout de gazon. Les travaux du parc Laurier ont permis de revitalisé le parc. Le sud du parc Laurier est maintenant très populaire. La fin de semaine, il est difficile de trouver la moindre place libre. Il n'y a pas grand monde un vendredi matin de septembre par contre, plus simple pour les photos . Verdissement du terre-plein de Saint-Joseph Pas vraiment la place pour un motif floral complexe, c'este du foin et des arbres, plutôt que du béton et un bac à fleurs. Champ des possibles, nouveau parc laissé à l'état naturel C'est grâce à la pression populaire que cet espace n'a pas été aménagé en parc traditionnel. Il est donc laissé dans un état naturel. Par contre, le terrain est fortement contaminé, et ça énerve le gouvernement du Québec. En tout cas, c'est une bonne oasis de verdure à côté d'un imposant centre d'emplois. Verdissement du domaine public par les citoyens Les fameuses fausses d'arbre appropriées par des citoyens et des commerces pour y planter quelques fleurs. Je n'ai pas les exemples les plus éloquents en photos, c'était ce qu'il y avait sur mon chemin. Voici une initiative plus particulière: des bacs sont installés pour y planter des trucs comestibles (un organisme bénévole gère tout cela). Rendu en septembre, ça pousse moins bien, mais il y a quelques semaines on pouvait même cueillir son propre blé d'inde de ces bacs. Le papier présent est un plan avec les emplacements de ces bacs comestibles dans le quartier. Il y a du verdissement partout, et je n'ai pas couvert les ruelles vertes du coin. S'il y a du verdissement que vous aimez dans votre coin, ou s'il y a des aménagements qui sont dignes de la mauvaise herbe que vous voulez dénoncer, n'hésitez pas à mettre vos photos dans ce sujet!
  22. Photos qui montrent le projet de revitalisation du secteur du métro: Les images proviennent du site de Dessau. J'ai hâte de voir si l'esplanade ressemblera à ce qu'on voit dans ces images.
  23. Ces photos date du Samedi 17 avril 1988. Cette journée devait être une date fatidique pour ces deux tours jumelles qui ont "décorés" le ciel de Montréal pendant plusieurs années. Le 17 avril, une seule tomba, l'autre suivi son destin deux semaines plus tard soit le 2 mai suivant. ....et j'y était (avec la petite caméra Minolta de mon père) ...... Quelques minutes avant le dinamitage de la première tour (Celle avec le lettrage "MIRON"). L'évènement avait attiré beaucoup de monde ainsi que plusieurs média. Ces deux-là avaient un point de vue de premier plan....au risque de ce blesser !! Le décompte est commencé.... Et BOUM, un peu de boucanne et ç'a commence a fléchir....et elle tombe.... Il n'en reste qu'une seule. Le décompte est maintenant commencé pour elle aussi. BOUM....un peu de boucanne mais elle ne veut pas tomber !! Les artificiers en viendront a bout deux semaines plus tard, le 2 mai 1988.
  24. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;">http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/406038/batir-des-tours-porteuses-de-sens Bâtir des tours porteuses de sens </header>19 avril 2014 | Frédérique Doyon | Actualités en société <figure class="photo_portrait left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 10px 0px 0px; float: left; width: 224px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : ArwcheekLa tour Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar</figcaption></figure><section class="retenir retenir_portrait" style="box-sizing: border-box; width: 386px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; background-color: rgb(239, 239, 242); padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-bottom: 10px;">«Montréal n'a pas besoin d'être dans cette course à la Dubaï. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d'un côté et pas assez dans le reste du territoire.» — Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture</section> Les édifices emblématiques de Montréal datent des années 1960. Le petit boom changera-t-il la donne ? Qu’est-ce qu’un bon design architectural pour ces hautes structures ? Avec son centre-ville entre fleuve et mont Royal, Montréal n’a pas développé une culture du gratte-ciel. Le mot même est un abus de langage… Et la qualité relative des édifices en hauteur, depuis le boom des années 1960, en témoigne. «Beaucoup de tours sont insignifiantes à Montréal, elles ne sont pas porteuses de sens, souligne Clément Demers, le directeur général du Quartier international de Montréal. Pour avoir une tour de qualité, ça prend un promoteur visionnaire qui croit à la valeur culturelle de l’architecture, pas juste à la valeur financière. Ça prend aussi un marché prêt à l’absorber.» Comme à Toronto, dont la banlieue de Mississauga a retenu l’attention quand les tours de la firme chinoise MAD, surnommées « Marilyn Monroe » pour leurs formes sensuelles, ont remporté le prix Emporis Skyscraper 2013. «L’engouement suscité par le projet [issu d’un concours auquel les promoteurs étaient d’abord réfractaires] a décuplé les investissements», rapporte Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture. Selon Clément Demers, les bâtiments en chantier qui se multiplient à Montréal depuis quelques années, et encore d’ici 2020, majoritairement des condos, n’y ajouteront pas beaucoup de personnalité. Ceux qui se démarquent du skyline — la silhouette caractéristique de la ville telle qu’elle se découpe dans le ciel — sont encore et toujours la fameuse Place Ville-Marie de I.M. Pei (1962), la tour de la Bourse de Luigi Moretti (1963), le Westmount Square de Ludwig Mies van der Rohe (1967). Il ajoute le 1250, René-Lévesque (1992) de Kohn Pedersen Fox and Associates. Rien dans le radar des 20 dernières années, où débute la course aux tours à condos ? Jean-Pierre Chupin signale le bel effort récent du Louis Bohème en face du Devoir, signé Menkes Shooner Dagenais LeTourneux (MSDL) en 2010, pour le souci des matériaux et ses 27 étages qui donnent de l’ampleur à la ville sans lui imposer une masse côté place des Festivals. Car «la principale qualité des édifices en hauteur est leur participation à la construction de la ville, affirme M. Chupin. Est-ce qu’ils la régénèrent ou arrivent comme une brutalité dans la ville?» Il dégage deux autres aspects à considérer pour un design architectural réussi. «La tête d’une tour, c’est sa participation au skyline. C’est ce qu’on remarque en premier. Est-ce que ce sera une forme ou une enseigne?» Au risque parfois de briser le «skyline»plutôt que de l’enrichir… Plus important encore, il y a «le rapport à la rue qu’il ne faut jamais négliger». Effet carte postale Pendant que l’on compte nos (petits) gratte-ciel significatifs sur les doigts d’une main, le reste du monde en abonde. Car la course au plus haut, au plus flamboyant se poursuit, avec un souffle nouveau depuis le chantier du (One) World Trade Center, dans l’après-11- Septembre. Pour le meilleur et pour le pire. «À Dubaï, souvent, ils font les plans avant même de savoir ce qu’ils vont mettre dedans. L’image a beaucoup d’importance. Est-ce qu’on veut un effet carte postale ou une ambiance, une ville habitée?» En explosion dans ces régions émergentes, le gratte-ciel témoigne d’un pouvoir d’affirmation face au monde. Difficile de passer sous silence l’élégant Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar, cylindrique avec sa tête en dôme, qui conjugue lignes contemporaines et motifs d’architecture islamique. Les courbes, injectées dans l’imaginaire architectural par des Antoni Gaudí, Oscar Niemeyer et Frank Gehry, rendues techniquement possibles grâce à l’évolution de l’ingénierie et des outils informatiques, se répandent dans le paysage urbain mondial. «On est dans des tentatives récentes pour revoir la forme», dit M. Chupin en citant le projet montréalais Peterson et ses balcons ondoyants à venir. À l’angle de René-Lévesque et Bleury vient de sortir de terre l’hôtel Marriott Courtyard, avec une courbure qui sert de parfait contre-exemple, selon le professeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. «Sa forme semi-bombée n’apporte rien à la qualité de l’espace urbain.» «Ce n’est pas parce que les outils le permettent que c’est la solution à appliquer partout», note Anik Shooner, de la firme MSDL, qui insiste sur l’importance d’éviter les modes en architecture et d’analyser les volumes et formes de la ville pour dessiner un édifice. MSDL planche sur deux autres édifices à pleine hauteur, le YUL et le 900, De Maisonneuve. Expérimentation «Montréal n’a pas besoin d’être dans cette course à la Dubaï,clame M. Chupin. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d’un côté et pas assez dans le reste du territoire.» Tant qu’à chercher matière à inspiration, c’est du côté des concours d’idées architecturales eVolo qu’il suggère de regarder. Le premier prix est revenu à l’Américain Jong Ju-lee pour Vernacular Versatility qui reprend, en la transformant, la tradition architecturale coréenne du hanok, aux structures apparentes et aux bordures de toit recourbées. Le troisième prix remporté par les Sino-Canadiens YuHao Liu et Rui Wu explore l’usage structurel du CO2 dans les gratte-ciel. Un champ de recherche qu’il juge sous- exploité à Montréal, malgré les étiquettes LEED qui se multiplient. «Une tour devrait être un lieu d’expérimentation et d’apothéose, dit M. Chupin rappelant la longue vie de ces mégastructures. Là, alors, on mériterait de parler d’un Montréal du futur.»
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