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  1. L'AMT a lancé aujourd'hui un appel d'offres pour l'élargissement des accotements du Boulevard Taschereau, entre le chemin du Golf à La Prairie et l'avenue Mario à Brossard (juste avant l'A-10), afin d'y aménager une voie réservée pour autobus. https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/Categorie?ItemId=29400a8f-cfd6-4bb3-b9e6-b1dd856f61ab&SubCategoryCode=C02&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=4334bb39-7893-4125-a8db-1b056b53d297&VPos=228
  2. RDP-PAT veut une rue Sherbrooke Est «digne d’une métropole» Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles (RDP-PAT) s’est doté d’un plan d’urbanisme afin de donner une vision d’avenir pour la rue Sherbrooke, artère que l’arrondissement veut plus verte, moderne et urbaine. Le plan de développement urbain, économique et social (PDUES) adopté lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement établit les lignes directrices de l’aménagement du territoire aux abords de la rue Sherbrooke. Selon Yann Lessnick, conseiller en planification à la direction du développement du territoire, l’arrondissement misera sur le développement résidentiel et commercial lors de l’élaboration d’éventuels projets dans cette artère du quartier. «Nous voulons que la rue Sherbrooke devienne un corridor urbain contemporain digne d’une ville comme Montréal, dit-il. Nous voulons que les citoyens sentent déjà, lorsqu’ils arrivent de Repentigny par la rue Sherbrooke, qu’on arrive dans une métropole.» Des efforts seront donc consacrés afin de mettre en valeur la portion de rue entre le carrefour giratoire à l’extrémité est de la rue Sherbrooke et la gare de Pointe-aux-Trembles à la hauteur de la 57e Avenue, tronçon où circulent quotidiennement 24 000 véhicules. Une meilleure image Les promoteurs qui souhaitent développer des projets dans le secteur devront se plier à certaines normes établies par l’arrondissement. «Nous souhaitons avoir un cadre bâti particulier à l’entrée de la ville. Travailler avec des matériaux nobles, avoir une architecture relevée qui sera durable, mais qui offrira une conception visuelle intéressante afin de bonifier l’image de cette partie de la rue», indique M. Lessnick. Les espaces verts qui longent la rue Sherbrooke, dont le Parc de la Coulée Grou et le Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies seront également mis en valeur. «L’arrondissement est vu comme un lieu urbain dans un milieu naturel, c’est une image que nous aimons et que nous voulons conserver», souligne le conseiller en planification. Commerces et résidences Rappelons que ce plan a été adopté à la suite de plusieurs consultations auprès des citoyens et organismes du secteur. «Les gens veulent avoir des commerces de proximité. Des restaurants, des lieux pour se réunir, des petites boutiques spécialisées, et c’est sur ça que nous allons mettre l’accent dans ce plan.» Plusieurs intersections pourraient devenir de nouveaux pôles commerciaux, notamment le coin des rues de la Rousselière et de la Famille Dubreuil. «Cette partie de la rue Sherbrooke est considérée comme un désert alimentaire. Il est difficile de se procurer des aliments frais, alors nous allons essayer de trouver une façon de changer cette situation, signale M. Lessnick. Nous voulons offrir des services complémentaires afin que les gens ne soient pas obligés de se déplacer à Anjou ou Repentigny afin de se procurer certains produits.» Finalement, on indique qu’en ce qui concerne le développement résidentiel, l’arrondissement favorisera une densification du secteur. «On parle de projets de six étages et plus. Les gens sont tout à fait d’accord avec cette approche et nous pensons que c’est également une façon de moderniser cette artère», conclut le conseiller. Selon l’arrondissement, près de 35 hectares de terrains vacants sont disponibles pour le développement résidentiel et commercial dans ce secteur du quartier. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/915674/rdp-pat-veut-une-rue-sherbrooke-est-digne-dune-metropole/
  3. 17,4 M$ pour rénover le centre récréatif de Montréal-Est Par Samantha Velandia TC Media Les membres du conseil municipal ont opté pour la rénovation du centre récréatif Édouard-Rivet qui devrait coûter près de 17 M$. Les élus qui avaient flirté avec la possibilité de la relocalisation et reconstruction d’une nouvelle bâtisse, ont écarté cette idée après avoir été informés que le centre récréatif actuel, était encore en bon état. «Nous sommes agréablement surpris d’apprendre que le bâtiment est structurellement sain, et que des rénovations sont non seulement envisageables, mais souhaitables puisque nombre des matériaux utilisés durant la construction sont plus durables que ceux utilisés de nos jours», dit Francine McKenna, directrice des communications à la municipalité. Elle ajoute qu’une telle solution est aussi plus favorable aux principes de développement durable. «La rénovation est moins génératrice de débris que la démolition», affirme Mme McKenna. Rappelons qu’au mois de janvier, la municipalité avait annoncé la relocalisation et reconstruction de deux bâtiments municipaux, soit le centre récréatif et le garage municipal. Le coût des travaux était alors estimé à 45,5 M$. Depuis, une étude de faisabilité relative à la rénovation du centre récréatif, confiée à la firme MACOGEP, a été divulguée. Selon les sommaires décisionnels du dernier conseil municipal, les résultats de l’étude en question ont recommandé de retenir le scénario de la rénovation car cela favoriserait la préservation d’un bâtiment significatif en plus de privilégier le développement durable. On recommande également de rénover plutôt que de reconstruire afin d’alléger la dette à long terme et de diminuer le coût global des travaux. La piscine priorisée Mme McKenna, de la municipalité, explique que des appels d’offre seront lancés au cours des mois de novembre et de décembre. Les travaux qui devraient commencer au mois d’août 2016, s’échelonneront sur une période de 12 mois. La piscine, le gymnase et l’aréna seront rénovés. Certains espaces du centre récréatif seront également «repensés afin d’en accroître leur fonctionnalité», explique Mme McKenna. La directrice avance que l’échéancier des travaux sera conçu afin de minimiser l’impact sur les citoyens et ajoute que «la piscine sera toutefois priorisée et rouvrira dès que la rénovation sera terminée.»
  4. Projet en hauteur qui se trame sur le stationnement en face de Concordia entre Guy et Mackay. Ça semble être assez ancien comme projet, et le promoteur est le même que pour le défunt projet du Waldorf, mais je n'ai pas pu trouver de fil pour, alors j'en crée un nouveau: http://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscription.aspx?NumeroInscription=AuLgd7373tZ2xfT9K5fg1Q%3d%3d#D53613 Le site et la ruelle en question:
  5. Ajout d'un étage résidentiel et transformation de la façade Présentation http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/2360_NOTRE_DAMEO_22-06-15_PRESENTATION.PDF Avant: Après:
  6. Afin de maximiser l'offre commerciale du centre-ville et la vitalité des quartiers - La Ville de Montréal lance le Plan commerce avec l'appui financier du gouvernement du Québec MONTRÉAL, le 8 mai 2015 /CNW Telbec/ - Le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le ministre des Transports et ministre responsable de la région de Montréal, M. Robert Poëti, annoncent la mise sur pied du Plan commerce. Ce plan directeur définit le cadre dans lequel les stratégies du Service de développement économique de la Ville seront élaborées au cours des prochaines années en matière de mise en valeur et de développement de l'activité commerciale montréalaise. Ce plan dispose d'un budget de 40,5 M$ de la Ville de Montréal, qui comprend une somme de 9,5 M$ provenant d'une aide financière du gouvernement du Québec accordée dans le cadre de l'Entente Montréal 2025, administrée par le Secrétariat à la région métropolitaine. « Le Plan commerce que nous dévoilons aujourd'hui, et qui est appuyé par un budget de 40,5 M$, se veut un engagement ferme de la Ville envers sa diversité commerciale, son centre-ville, les sociétés de développement commercial et le commerce de proximité. Il résulte de notre collaboration avec les arrondissements, les villes liées et l'Association des sociétés de développement commercial (ASDC) de Montréal que je tiens à remercier. Je remercie aussi le gouvernement du Québec pour son soutien financier à ce projet essentiel au développement économique de Montréal. Ensemble, nous avons l'ambition de miser sur une offre commerciale dynamique, afin d'asseoir le rayonnement de notre centre-ville et la vitalité de nos quartiers », a affirmé M. Denis Coderre. « Le gouvernement du Québec est fier de soutenir la mise en œuvre du Plan commerce. Miser sur le dynamisme et la valorisation de l'offre commerciale montréalaise, en faisant appel à la concertation et à la collaboration de tous les acteurs en cause, est une approche stratégique et nécessairement gagnante. Nous adhérons à cette démarche qui permettra de consolider des actions déjà entreprises et d'améliorer le visage et la notoriété de notre métropole. Voilà une vision qui rejoint tout à fait la volonté gouvernementale quant au développement et à la prospérité de Montréal », a ajouté le ministre Robert Poëti. Une forte compétition, qui se joue à l'échelle internationale et qui se répercute chez les commerçants, combinée à la popularité croissante du magasinage en ligne, figurent parmi les enjeux qui exigent de revoir l'approche du commerce de détail, en tenant compte des nouvelles habitudes de vie et de consommation de la population. Malgré de nombreux changements opérés au cours des dernières années, les rues commerciales montréalaises, avec leur ambiance conviviale, leur créativité et une programmation festive, conservent généralement leur attrait pour les consommateurs. Ces commerces innovateurs, créatifs et uniques se retrouvent aujourd'hui bien au-delà du centre-ville. Toutefois, la compétition est bien réelle et il y a lieu de continuer à déployer des efforts soutenus afin de maintenir Montréal et son territoire parmi les destinations commerciales de premier plan. Le Plan commerce, qui couvre dans son ensemble la période de 2015 à 2026, propose quatre axes d'intervention, appuyés par des programmes de financement pour assurer pleinement l'atteinte de ses objectifs : gérer de manière dynamique la fonction commerciale ; dynamiser le centre-ville pour accroître sa contribution au rayonnement de Montréal ; accompagner les commerces lors de travaux d'infrastructures d'envergure sur les grandes artères commerciales ; maintenir l'engagement municipal en soutien à la rénovation commerciale de qualité. Quatre mesures importantes prendront effet dès 2015 et 2016 : La relance du programme PR@M Commerce pour la période 2016-2020, qui passe de 12,7 M$ dans la version précédente (2007-2014) à 15,4 M$, et ce, pour stimuler et aider la rénovation des bâtiments commerciaux sur 20 rues et artères de l'agglomération. À chaque année, quatre rues commerçantes ou grandes artères commerciales seront admissibles au programme ; L'investissement de 1,5 M$ dans la promotion de la diversité commerciale et du commerce de proximité pour l'ensemble de l'agglomération montréalaise ; L'injection, pendant 4 ans, de 4,7 M$ dans les Sociétés de développement commercial (SDC) du territoire de la Ville de Montréal pour les aider à mieux contribuer à l'amélioration des affaires de leur secteur et encourager la création de nouvelles SDC ; La création du programme PR@M Artères en chantier pour un montant 13,9 millions $ afin de tourner une situation négative en une situation d'opportunité lors de la tenue de chantiers d'infrastructures majeurs sur sept artères commerciales montréalaises entre 2015 et 2024. Le secteur commercial montréalais en quelques chiffres Le commerce à Montréal, c'est : 14 000 entreprises de biens et services de consommation, dont 8 331 sont des commerces de vente au détail ; une structure commerciale composée majoritairement de propriétaires indépendants, représentant 30 % des commerçants de l'ensemble du Québec ; une offre commerciale répartie en trois formats, soit le magasin sur rue, le centre commercial et le regroupement de magasins ne partageant pas d'aires intérieures communes ; une abondance de magasins ayant pignon sur rue, composée autant de grandes chaînes, de bannières de franchises que de commerces indépendants ; près de 120 000 emplois contribuant à près de 4,5 % du PIB de l'agglomération ; un chiffre d'affaires global estimé à près de 40 milliards de dollars. SOURCE Communiqués Montréal sent via Tapatalk
  7. http://plus.lapresse.ca/screens/859bc2a2-f0ed-470c-862f-943a02746c63%7C_0.html FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE La place Émilie-Gamelin est bien accueillante pour les manifestants, qui s’y donnent rendez-vous ces jours-ci. Mais pour le flâneur urbain, on repassera… C’est un espace hypercentral, dans une ville hypersécuritaire. Un espace auquel on a ajouté de gros jeux d’échecs et des camions de bouffe. Mais personnellement, je ne ferais pas de détour pour y passer un samedi après-midi avec mon fils, disons. Bon, ça prouve peut-être que je suis un papa poule. Mais surtout, que tout ce qui a été tenté au cours des dernières années pour faire de la place Émilie-Gamelin un lieu public accueillant et invitant – pour tous – a cruellement échoué. Cette fois sera-t-elle la bonne ? Je l’espère. J’ai appris qu’on va tenter complètement autre chose, cette année. On va fermer la place pour un mois, à partir de lundi prochain, afin de la transformer en « village » animé jour et soir, tout l’été, avec resto, bar, café, jardins et spectacles. On va aménager un marché public, un jardin communautaire, une terrasse avec tables et parasols, un immense lieu de projections. Bref, on va tenter d’en faire un lieu convivial pour tout le monde. Pas juste les revendeurs de drogue. *** Ça fait maintenant quatre ans que le Partenariat du Quartier des spectacles tente de « renipper » la place Émilie-Gamelin avec des événements ponctuels. Mais rien à faire : dès qu’ils prennent fin, le lieu redevient insécurisant. Changement complet de stratégie, donc. Fini les coups de pinceau et les interventions à la pièce. On a embauché l’organisme derrière le Village éphémère, Pépinière & Co, afin de créer un village semi-permanent, de mai à octobre. « On veut vraiment changer l’allure de la place, et sa réputation par le fait même », précise Pascale Daigle, du Partenariat. Sous l’enseigne lumineuse « Jardins Gamelin », on va donc retrouver de nombreux bancs, des bacs à fleurs, des chaises de type Adirondack, ainsi qu’une scène circulaire où se tiendront des événements programmés et spontanés : spectacles, conférences, animation, yoga matinal. On ajoutera une canopée lumineuse ainsi qu’une « œuvre magistrale illuminée » en suspension. À l’ouest, on ouvrira un restaurant dans une construction de conteneurs où l’on vendra du café tôt le matin, et de la bière tard le soir. On installera une dizaine de tables avec chaises et parasols afin que les gens puissent profiter de leur consommation ou de leur propre lunch. Au sud de la place, on retrouvera de l’agriculture urbaine : jardin de tournesols, production de légumes, plantations diverses, serre, etc. Et à l’est, on installera un marché de fruits et légumes et on se servira de la façade de la Place Dupuis comme toile de projection. « Montréal est une ville d’événements, fait remarquer Jérôme Glad, de Pépinière & Co. Mais l’événementiel est souvent en rupture avec la ville au quotidien : on installe des clôtures et des tentes génériques, puis une fois terminé, on remballe tout. » « Là, on veut inverser la logique : investir le lieu, en faire un canevas cohérent, puis y attirer des événements qui donneront à la place un caractère propre. » *** Est-ce qu’on est dans l’embourgeoisement localisé ? Une façon de repousser ceux qu’on préférerait ne pas voir ? De remplacer ceux qui ont élu domicile dans le parc par des hipsters et leur macchiato ? Le Partenariat du Quartier des spectacles s’en défend. Il assure que son village s’implantera avec l’aide de l’arrondissement et du Service de police de la Ville de Montréal, qui veilleront à maintenir la cohabitation. Comme à l’époque des interventions de l’ATSA. À l’arrondissement de Ville-Marie, on ne cache pas que « les comportements de personnes marginalisées » sont source de préoccupation. Mais le but n’est pas de les faire disparaître, assure la porte-parole Anick de Repentigny. « Il n’est pas question d’exclure qui que ce soit. L’arrondissement souhaite une cohabitation sociale optimale. » De toute façon, renchérit Jérôme Glad, l’idée n’est pas de lisser l’endroit pour en faire une autre place des Festivals. « On a vraiment une approche de quartier, à échelle humaine, ouverte et inclusive. On veut que ça devienne un lieu propice aux rassemblements et aux pique-niques. On veut que ce soit une grande terrasse pour tout le monde. » Pas une autre place des Festivals, donc, mais pas un autre « Village éphémère » non plus, ces événements populaires et branchés qui ont eu lieu ces deux dernières années (bonne nouvelle : une démarche est en cours pour que cet événement revienne au Pied-du-Courant à compter du 19 juin). « On mise plutôt sur une réappropriation d’un lieu public par toutes sortes de monde », affirme Jérôme Glad. Pensons au Marché des ruelles dans la rue Sainte-Catherine, ou au Marché des possibles dans le Mile End. Ne nous contons pas d’histoire. Ce sera tout un défi d’assurer une cohabitation des usagers actuels et futurs. Mais un défi qu’il vaut certainement la peine de tenter de relever. Car s’il ne faut pas chasser les marginalisés, on ne peut chasser non plus les riverains et les commerçants. sent via Tapatalk
  8. Dubaï souhaite un accord de jumelage avec la Ville de Montréal Dubaï a embauché un lobbyiste la semaine dernière afin qu'il fasse la promotion, à l'Hôtel de Ville de Montréal, d'un accord de jumelage entre les deux villes. Une telle entente de coopération a généralement pour but de permettre le transfert d'informations, de savoir-faire et d'expertises sur des sujets d'intérêts et de compétences communs. Selon la Chambre de commerce et d'industrie de Dubaï, qui a embauché le lobbyiste, la conclusion d'une entente de jumelage vise notamment la signature d'un accord de collaboration en vue de l'exposition universelle de 2020 de Dubaï, « afin de partager l'expertise de Montréal dans le domaine de l'horticulture ». L'expertise de Montréal en matière d'horticulture s'est développée au fil des années, avec le Jardin botanique, mais aussi, notamment, grâce à l'exposition internationale les Floralies, en 1980, suivies de trois éditions des Mosaïcultures internationales dans les années 2000. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/01/21/dubai-desire-montreal-comme-jumelle_n_6516102.html
  9. GDS

    Le Namur (2017)

    Le projet « Le Namur » est situé cœur du quartier « Le Triangle » dans l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. Situé à proximité de trois stations de métro (Namur, de la Savane et Plamondon), les Habitations Trigone, en partenariat avec Le Fonds immobilier de solidarité FTQ, sont fiers de vous présenter ce tout nouveau projet TOD (Transit-Oriented Developement). D’une architecture urbaine et épurée, nous vous offrons un magnifique bâtiment de 10 étages comportant 176 unités. Le bâtiment sera composé de studios ainsi que d’unités avec une ou deux chambres de façon à desservir les diverses clientèles composées entre autres d’étudiants, de jeunes professionnels et de jeunes familles. De plus, il comportera deux niveaux de stationnement souterrain ainsi que plusieurs caractéristiques afin de répondre au style de vie actif des locataires et leur donner plus de confort. Le plan de développement du quartier « Le Triangle », par l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce, vise non seulement à augmenter l’offre résidentielle dans ce secteur mais également l’ajout d’espaces verts, de pistes cyclables et de nouveaux commerces à proximité. http://www.habitationstrigone.com/fiche_projet/namur/
  10. LAVAL, QC, le 7 août 2014 /CNW Telbec/ - Habitations Trigone s'apprête à démarrer son premier projet de développement résidentiel sur le territoire lavallois. Le projet nommé « District Concorde » sera situé au coin de l'avenue Léo-Lacombe et François-Souillard. Celui-ci sera à moins de 700 mètres de la station de métro et de la gare de train De La Concorde. Habitations Trigone est fière d'inaugurer un autre projet de type T.O.D (développement orienté vers le transport en commun) qui s'accorde parfaitement avec la philosophie de la compagnie. District Concorde offre une grande variété de produits qui saura combler les besoins des futurs propriétaires. Le projet compte 480 unités de condos réparties dans 9 bâtiments incluant un stationnement hors sol avec toit vert ainsi qu'un stationnement souterrain. Ce projet innovateur favorisera un mode de vie actif puisque les résidents pourront marcher afin de se rendre au métro ou au train. Le premier bâtiment devrait être complété d'ici le printemps 2015. Le projet District Concorde s'insère dans le cadre d'une volonté de la ville de Laval à vouloir revitaliser le secteur de la station de métro concorde. La ville prévoit revoir complètement le concept d'aménagement afin de créer un milieu de vie de qualité pour les futurs résidents. De plus, un crédit de taxe sera accordé par la ville aux nouveaux propriétaires de ce secteur. Nous sommes heureux d'annoncer que l'ouverture du bureau des ventes du projet aura lieu ce samedi 9 août dès midi sur la rue François-Souillard à Laval. Habitations Trigone est une entreprise active dans le secteur de la construction domiciliaire depuis près de 25 ans, ayant à son actif plus de 10 000 unités construites sur la Rive-Sud et Rive-Nord de Montréal. C'est la réputation de qualité et d'intégrité d'Habitations Trigone qui a permis à cette entreprise de se hisser aux premiers rangs de la construction domiciliaire au Québec. Notre passion de construire est toujours aussi vivante et nous continuerons à développer des projets innovateurs, localisés sur des sites de choix, pour des espaces de vie accessibles à tous. Condo neuf a vendre a Laval-des-Rapides, District Concorde | Habitations Trigone
  11. 49e Finale des Jeux du Québec - Été 2014 : la Ville de Longueuil aménagera une nouvelle plage au parc de l’île Charron Longueuil, Mardi 15 avril, 2014. La Ville de Longueuil procèdera à des travaux de 800 000 $ au parc de l’île Charron pour accueillir les compétitions de natation en eau libre et de sauvetage sportif (volet plage) de la 49e Finale des Jeux du Québec, du 1er au 9 août prochain. Cet investissement permettra à la Ville de favoriser l’accès aux berges pour les citoyens, de bonifier ses installations et de mettre en valeur les rives du fleuve Saint-Laurent. Les travaux, qui s’étaleront de mai à juillet, permettront l’aménagement d’une plage sablonnée, la construction d’une terrasse en bois, l’installation de voiles d’ombrages et d’infrastructures sanitaires. Des équipements provenant des deux premières phases du Marché public, tels que des voiles pare-soleil et des conteneurs colorés, seront récupérés et intégrés dans l’aménagement. Des végétaux seront plantés, un terrain de volleyball sera aménagé, et du mobilier de parc sera installé afin de rendre les lieux plus conviviaux. « Le parc de l’île Charron occupe une place à part parmi tous les espaces verts de Longueuil. Situé au milieu du fleuve Saint-Laurent, il permet aux citoyens de s’évader de la ville et de profiter du calme de la nature. C’est l’endroit idéal pour un aménagement qui sera un legs permanent de la tenue des Jeux du Québec chez nous. Ce projet témoigne à nouveau de notre volonté d’améliorer les infrastructures récréatives pour les citoyens et pour leur offrir un meilleur accès aux rives du fleuve », a expliqué la mairesse de Longueuil, Caroline St-Hilaire. Les analyses ont démontré que la qualité de l’eau dans ce secteur autorise la baignade. La Ville de Longueuil a d’ailleurs obtenu l’autorisation du Ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs du Québec pour la réalisation de ce projet, qui respectera les normes et règlements environnementaux en vigueur. Une seconde phase de travaux sera menée l’année prochaine afin de faciliter l’accès au site et de rendre la circulation plus fluide dans le secteur. http://longueuil.ca/fr/node/38399 Plan: http://longueuil.ca/sites/www.longueuil.ca/files/communiques/2014/ile_charron_plan_conceptuel.pdf
  12. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=22557&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Montréal crée le Bureau de la Ville intelligente et numérique 26 mars 2014 Montréal, le 26 mars 2014 - Afin que la métropole devienne un chef de file mondialement reconnu parmi les villes intelligentes et numériques, le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le vice-président du comité exécutif et responsable des technologies de l'information, de la Ville intelligente, de la réforme administrative et de la jeunesse, M. Harout Chitilian, annoncent la mise en place du Bureau de la Ville intelligente et numérique qui relèvera directement de la Direction générale. Un budget de 400 000 $ a été accordé par les élus du comité exécutif pour assurer le fonctionnement de ce bureau en 2014. « La création de ce nouveau Bureau au service d'une Ville intelligente et numérique était nécessaire afin de réaliser notre objectif de positionner stratégiquement Montréal au même niveau, voire même plus haut, que les villes de New York, Lyon, Barcelone ou Amsterdam en matière de technologies de l'information. Selon le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF), la grande région métropolitaine se taille une place parmi les 21 métropoles intelligentes (Smart 21) sur 400 candidatures retenues pour l'édition 2014. C'est un bon début, mais l'équipe du Bureau va travailler avec nous afin que nous puissions faire concurrence le plus rapidement possible aux positions de tête », a déclaré M. Coderre. « La mise sur pied du Bureau de la Ville intelligente et numérique est un pas important pour que Montréal devienne une ville plus innovante, plus efficiente et plus transparente. Cette démarche unique prendra en considération les attentes des citoyens, s'inscrira dans une collaboration pleine et entière avec les partenaires institutionnels et privés, et s'articulera autour des tendances technologiques contemporaines », a ajouté M. Chitilian. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique disposera d'une équipe composée de trois personnes sous la responsabilité d'un chef de bureau - Chief Digital Officer (CDO). Ce dernier agira comme référence dans son domaine et exercera une vision et un leadership mobilisateur au sein de l'administration municipale. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique définira d'ici la fin de l'année courante la stratégie de « Montréal, ville intelligente et numérique 2014 », qui s'articulera autour des quatre axes suivants : COLLECTER : TRANSPARENCE DE GESTION; GOUVERNEMENT OUVERT: • Libérer massivement les données et développer des outils de visualisation pour mettre en valeur celles-ci ; • Collecter et analyser les données télémétriques pour accroître le contrôle et l'optimisation de l'usage des ressources publiques. COMMUNIQUER: SYSTÈMES D'ACCÈS; DIFFUSION D'INFORMATION: • Développer une plate-forme web et des applications mobiles pour diffuser l'information en temps réel aux citoyens ; • Déployer les infrastructures de réseaux filaires et sans fil (WIFI) à large bande ; • Mettre en place des centres d'apprentissages et de création locaux des nouvelles technologies. COORDONNER: SERVICES PUBLICS NUMÉRIQUES: • Développer des systèmes intelligents de gestion du transport, des infrastructures, de la sécurité, de l'énergie, de l'eau, et de l'environnement ; • Numériser les services publics tout en préservant les moyens traditionnels (311, émission de permis, etc.). COLLABORER : ACCOMPAGNER L'INDUSTRIE; STIMULER L'INNOVATION ET LA CRÉATIVITÉ: • Accompagner les acteurs privés et institutionnels pour mettre en place un réseau d'incubateurs et d'accélérateurs d'entreprises en technologie ; • Soutenir les besoins des « start-ups » technologiques ; • Favoriser l'usage du domaine public comme laboratoire pour tester des solutions novatrices à des enjeux municipaux. Participez au dialogue via Twitter #innMtl (intelligente, numérique, Montréal)
  13. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/458218/charte-des-valeurs-economie-et-architecture/ Désirant profiter de la campagne électorale, l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) amorce une tournée provinciale pour réclamer de nos élus l’adoption d’une politique nationale de l’architecture. Mine de rien, le dossier traîne depuis plus de 30 ans à l’Assemblée nationale. L’OAQ avait en effet déposé en 1982, alors que René Lévesque était au pouvoir, un livre blanc pour guider le développement urbain du Québec. Le dossier a refait surface à quelques reprises depuis, mais n’a malheureusement jamais mené à l’adoption d’une réelle stratégie provinciale. C’est pourquoi l’OAQ partira, dès la semaine prochaine, à la rencontre de députés, de maires, d’architectes et d’organismes sensibles à notre patrimoine bâti afin de faire valoir les bénéfices d’une telle politique. Seize pays, dont les Pays-Bas et la Norvège, possèdent déjà la leur, alors que 14 autres y travaillent d’arrache-pied. Pourquoi pas le Québec? Une politique provinciale forcerait notre gouvernement à devenir un client exemplaire pour la construction de bâtiments publics, en établissant une série de critères précis à examiner avant de sortir le chéquier pour un musée, un hôpital et même un échangeur autoroutier. En ce moment, l’État québécois persiste trop souvent à sélectionner un projet en ne regardant que la facture. Pas le fournisseur le plus fiable. Pas le plus talentueux. Le moins cher, et ce, peu importe la proposition. Est-ce ce que vous feriez avec votre propre maison si vous souhaitiez, par exemple, l’agrandir? Prendriez-vous le plus bas soumissionnaire (peu importe son CV et ses références) ou opteriez-vous pour le meilleur rapport qualité/prix afin d’assurer une plus-value à votre propriété? Poser la question, c’est y répondre. Pourquoi procéder différemment avec notre patrimoine collectif? Depuis déjà trop longtemps, on dépense des millions et des millions de dollars en édifices publics sans prendre le temps de regarder plus loin que le bout de notre nez. Mais ces bâtiments maximisent-ils vraiment notre productivité au travail? Reflètent-ils notre créativité? Possèdent-ils une valeur touristique? Une stratégie nationale démontrerait [enfin] que nos politiciens se soucient réellement de l’aménagement de notre territoire en affirmant vouloir prioriser un patrimoine bâti de qualité. En donnant l’exemple, on s’efforcerait de transformer nos paysages urbains en une fierté nationale comme dans bien des pays. Mais attention ici. Je ne parle pas de favoriser la construction d’icônes tape-à-l’œil, dispendieuses, qui vieillissent mal et qui n’ont strictement aucun impact sur notre qualité de vie. Je parle plutôt d’une fierté collective qui se rapproche davantage des pays scandinaves avec une architecture à échelle humaine, respectueuse de l’environnement et qui reflète notre identité culturelle. Assurons-nous d’obtenir le meilleur pour notre société. Pas le minimum requis.
  14. via Radio-Canada Près de 200 arbres touchés par l'agrile du frêne à Montréal Mise à jour le samedi 1 mars 2014 à 3 h 10 HNE L'agrile du frêne poursuit sa progression à Montréal. Le dernier bilan de la Ville fait état de 197 arbres infestés par l'insecte ravageur dans la métropole, dont 58 dans l'arrondissement de Merchier-Hochelaga-Maisonneuve. Rosemont-La-Petite-Patrie, Ahuntsic-Cartierville, Notre-Dame-de-Grâce-Côte-des-Neiges et Saint-Laurent sont aussi touchées par l'agrile du frêne. Les maires d'arrondissements et des villes situées sur l'île de Montréal doivent se rencontrer le 10 mars prochain afin de coordonner les efforts de lutte contre l'insecte et discuter de plans d'intervention sur les terrains privés. Comme ailleurs en Amérique du Nord, Montréal doit s'attaquer à l'agrile du frêne, qui menace une partie importante de la canopée montréalaise depuis son apparition en 2011. À Rosemont-La-Petite-Patrie, l'arrondissement procède à l'abattage de 300 frênes infestés ou menacés de l'être qui se retrouvent sur des terrains publics. L'opération devrait être terminée d'ici la mi-mars, selon le maire d'arrondissement, François Croteau. Le parti dont fait partie M. Croteau, Projet Montréal, réclame un fonds d'urgence de 10 millions de dollars de la part de l'administration municipale afin de lutter plus efficacement contre l'agrile du frêne. L'été dernier, Montréal avait investi un million de dollars pour combattre l'insecte. Avec les informations de Benoît Chapdelaine
  15. Voici les 7 propositions lauréates du concours Nordicité, retenues parmi les 36 projets déposés, qui ont été dévoilées le 29 avril à la Cinémathèque québécoise. Pour voir toutes les propositions et consulter le rapport du jury http://aduq.ca/concours-nordicite/ "L’ensemble des propositions permet d’alimenter une réflexion riche qui se poursuivra dans le but de stimuler la créativité en vue de la prochaine saison hivernale. L’ADUQ souhaite ainsi mettre sur pied une série d’évènements, dont le vernissage et un débat, afin que ce concours puisse nourrir en continu la recherche sur le thème. Par la suite, une publication, voire même la réalisation de certaines propositions pourraient être envisageables. Les organisateurs se réjouissent donc de voir que le médium du concours d’idée peut réellement jouer un rôle dans la recherche d’idées novatrices, et alimenter un débat plus concret et imagé."
  16. C'est pas Merck qui a coupé des milliers d'emplois au printemps dernier ? Et là, un nouveau siège social ? Je ne comprends rien de l'industrie pharmaceutique !? **** Nouveau siège social pour Merck Canada 10 décembre 2012 Par François G. Cellier Broccolini vient de jeter les bases d’un nouveau bâtiment commercial dans Kirkland. L’immeuble s’intégrera à un édifice existant qui fera l’objet d’une rénovation. L’édifice projeté, qui est actuellement en construction, abritera les bureaux de l’entreprise pharmaceutique Merck Canada, qui en sera le principal locataire. Ce complexe multilocatif longera l’autoroute 40 du côté sud. Cinq étages seront construits pendant une première phase, auxquels s’ajouteront trois autres niveaux lors d’une phase ultérieure. Les travaux visent une certification LEED-NC de niveau Argent. Ils ont commencé récemment et ont été officialisés le 30 novembre dernier, à l’occasion d’une pelletée de terre symbolique. Un projet en mode fast track Quelque 80 % des plans et devis sont terminés. Comme ce projet est en mode fast track , en raison d’une première phase qui doit être livrée à la fin de l’année 2013, l’entrepreneur Broccolini s’affaire déjà à couler les fondations depuis quelques semaines. « Il faut terminer cette étape avant le début des grands froids, pour pouvoir respecter l'échéancier très serré », précise Andrew Tarassoff, l’architecte du projet chez Rubin et Rotman Architects. L’assemblage de la structure d’acier commencera vers la fin du mois de janvier. Au final, l'ensemble du projet nécessitera un investissement de 75 millions $ et totalisera 200 000 pieds carrés de superficie. Défis LEED L’un des défis à la certification LEED pour cet immeuble tient à sa localisation. Situé dans une banlieue, où les transports collectifs ne sont pas accessibles à proximité, il n’obtiendra aucun point LEED en cette matière. Pour compenser cette lacune, il faudra consentir plus d’efforts dans les systèmes mécaniques, qui récupéreront leur propre chaleur afin de la redistribuer ailleurs dans l’immeuble. Le bâtiment comprendra également des refroidisseurs de haute performance, et les simulations d’efficacité énergétique iront plus loin que les standards imposés. En fait, chacun des systèmes est actuellement analysé et observé dans les moindres détails. L’enveloppe du segment agrandi sera essentiellement constituée de murs-rideaux en aluminium-verre. Ceux-ci laisseront entrer une luminosité abondante, ce qui a des répercussions positives sur la santé du personnel, dit-on. Broccolini voulait un verre dont la finition extérieure aura un aspect lisse (sans meneaux apparents), afin de l’harmoniser aux panneaux tympans. Les murs-rideaux représentent un défi d’ingénierie, question de procéder aux bons calculs de chauffage et de climatisation, ce dont la firme en génie mécanique et électrique Dupras Ledoux Ingénieurs devra tenir compte. Le génie en structure est assumé par Shector-Barbacki-Shemie, et le génie civil par exp. Précisons que l’immeuble misera par ailleurs sur un atrium, qui se trouvera entre le nouveau et l’ancien immeuble. Réaménager pour rendre plus durable Le bâtiment existant, qui a été construit il y a cinq ans par Broccolini, n’est pas conçu selon les critères LEED. Il sera difficile de l’adapter aux nouvelles installations, car les coûts pour ce faire seraient très élevés. Ses intérieurs seront toutefois réaménagés, pour les rendre compatibles aux principes LEED. « Nous éliminerons pratiquement toutes les cloisons entre les bureaux, afin de créer des aires de travail ouvertes », explique Andrew Tarassoff. Cela répondra aux normes de Merck Canada, qui a adopté une politique appelée Merck Space (sans cubicules avec panneaux hauts), pour favoriser les interactions entre employés et équipes sur place, ce qui a un impact favorable sur la productivité d’une entreprise.
  17. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=19789&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques En route vers le Rendez-vous 2012 - Un nouveau plan pour la mise en valeur du Vieux-Montréal 25 octobre 2012 Montréal, le 25 octobre 2012 - Mme Helen Fotopulos, responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, a présenté aujourd'hui le nouveau plan de protection et de mise en valeur du Vieux-Montréal. Nouvelle feuille de route, Perspective 2017 trace les grandes lignes de mesures concrètes à prendre afin de conserver et de développer encore davantage les qualités culturelles et patrimoniales exceptionnelles de ce lieu unique qu'est le Vieux-Montréal. La Ville mandate l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) pour la tenue d'une consultation à cet effet. « Cette 3e annonce, d'une série de 10, nous mène un peu plus près du grand Rendez-vous 2012 Montréal, métropole culturelle. En élaborant Perspective 2017, la Ville de Montréal désire protéger et mettre en valeur ce lieu emblématique qu'est le Vieux-Montréal. Ce berceau de la fondation de notre métropole ne cesse d'attirer des gens des quatre coins de la planète par son charme et son caractère distinctif. L'arrondissement historique se porte bien et notre ville ne serait pas la même sans ce territoire qui est le fondement même de l'identité montréalaise. En se dotant d'un plan qui prend le relais du Plan d'action pour le Vieux-Montréal, adopté en 1998, nous entendons bien continuer à prendre tous les moyens nécessaires pour protéger ce joyau patrimonial », de déclarer Mme Fotopulos. C'est donc par le biais d'une consultation publique qui débutera au cours des prochaines semaines que la Ville de Montréal invite les citoyens à une réflexion sur les divers moyens à prendre afin de permettre à l'arrondissement historique de réaliser son plein potentiel. C'est un appel à tous ceux et celles qui ont le Vieux-Montréal à cœur à se joindre à cette réflexion collective que lancera l'OCPM. Le Vieux-Montréal, au cœur des fêtes du 375e anniversaire de Montréal Depuis plus de trois décennies, une série d'actions concertées ont été mises en place par la Ville de Montréal, le ministère de la Culture et des Communications et leurs partenaires publics et privés afin d'assurer la protection et la mise en valeur du cœur historique et patrimonial de la métropole. L'adoption et la mise en œuvre du Plan d'action pour le Vieux-Montréal, en 1998, et de la Politique du patrimoine, en 2005, en sont de bons exemples. Afin de poursuivre ses efforts de mise en valeur, la Ville de Montréal met tout en œuvre pour créer une discussion ouverte et inclusive. Perspective 2017 propose une stratégie de développement de la qualité de chacune des trois dimensions essentielles de ce territoire, soit un milieu de vie de qualité, un haut lieu du patrimoine montréalais et une destination touristique authentique. Cette stratégie vise à développer les outils nécessaires afin que le Vieux-Montréal puisse continuer à contribuer pleinement à la vie sociale, économique et culturelle de la communauté montréalaise et être au cœur des célébrations du 375e anniversaire de la fondation de Montréal en 2017. Le document de consultation est disponible dans ses versions intégrale et résumée, en ligne, à l'adresse suivante : ville.montreal.qc.ca/patrimoineurbain
  18. Images: Guide Habitation Site web: Projet Rive Gouin Danielle Bonneau La Presse Le 16 mars 2012 Magasiner avant d'acheter son condo Cette fin de semaine et la fin de semaine prochaine, les promoteurs de 80 projets résidentiels profiteront des Week-ends visites libres à Montréal pour mieux faire connaître leurs complexes. Certains ont mis les bouchées doubles, cette semaine, afin d'être prêts pour cette vaste campagne de promotion de l'habitation neuve. C'était le cas à Montréal-Nord, où le tout nouveau bureau des ventes du Rive Gouin III ouvre ses portes samedi. Le promoteur et constructeur, Rive Gouin 2, tenait à participer à l'événement afin d'attirer l'attention sur l'immeuble de 20 étages qu'il se propose de bâtir sur la berge de la rivière des Prairies, près de l'hôpital Marie-Clarac. La peinture est également toute fraîche dans le pavillon des ventes de MUV Condos, situé à l'intersection de la rue Molson et du boulevard Saint-Joseph Est, dans Rosemont. «Nous avons devancé l'ouverture officielle du pavillon pour coïncider avec le premier Week-end visites libres, précise Kayla Samuels, vice-présidente, marketing et ventes chez Développement MAP. Le projet suscite tellement d'intérêt, il fallait en profiter.» Non loin, le bureau des ventes du Angus Avenue du Mont-Royal est également inauguré samedi, rue Anne-Hébert, au sud de la rue Sherbrooke Est. «C'est la meilleure vitrine qu'on peut avoir», estime Patrick Côté, un des administrateurs du Groupe Axxco. Le Groupe Cholette, quant à lui, présente pour la première fois les appartements du Angus Nord, ainsi que les 163 unités du Zéro 1, récemment remises en vente, dans le complexe Zéro 1, à l'intersection des boulevards Saint-Laurent et René-Lévesque. Parmi les autres projets lancés en fin de semaine, notons Sfère Condos (dans Ahuntsic), Phoenix Homa (dans Hochelaga-Maisonneuve) et Marconi Condos Urbains (dans Villeray). «C'est la folie furieuse! , s'exclame l'organisateur de la campagne, Jacques Beaulieu. Les 80 projets participants représentent environ le tiers des projets actuellement offerts dans l'île de Montréal et près de la moitié des promoteurs. On est loin des six projets inscrits la première année, en 1996!» Le grand avantage? Pendant ces deux week-ends, les visiteurs peuvent se rendre d'un bureau des ventes à un autre sans prendre de rendez-vous et comparer ce qui est proposé. «Cela facilite le magasinage, précise M. Beaulieu. L'an dernier, la campagne de promotion s'est soldée par 12 000 visites dans les divers bureaux des ventes.» Dans Le Triangle, un quartier en transformation situé à proximité des stations de métro Namur et De la Savane, dans Côte-des-Neiges, quatre projets à distance de marche les uns des autres sont inscrits: Condos Rêve, Condos Vue, Luz Condos et Rouge Condominiums. Les 120 appartements de la phase 4 de Condos Vue sont d'ailleurs mis en vente officiellement aujourd'hui, dans un condo-témoin fraîchement aménagé. «C'est fait exprès, pour profiter de la visibilité», explique Richard Varadi, chargé de projets au sein du Groupe Canvar. [...] Article: http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201203/16/01-4506233-magasiner-avant-dacheter-son-condo.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO23_maison_3732_accueil_POS1
  19. Hôpital Pierre-Boucher : l’urgence devra être agrandie de 300% Le projet pourrait dépasser les 100 M$ Alexandre Lampron Le Courrier du Sud Politique - 26 janvier 2012 à 16:00 LONGUEUIL. Une évaluation des besoins cliniques de la clientèle du territoire du CSSS pierre-boucher jusqu’en 2020, conjuguée à de meilleures pratiques à mettre en place en matière de soins et services, amène l’hôpital à envisager un agrandissement et un réaménagement de son urgence. Après avoir reçu l’aval du conseil d’administration, le 24 janvier, la direction du Centre de santé et services sociaux (CSSS) s’apprête à déposer le projet aux autorités ministérielles au cours des prochaines semaines. Ces dernières devront donner leur autorisation à la réalisation du projet, à la confection des plans et devis et à la construction. «Nous devons réalistement compter quelques années d’ici à la première pelletée de terre, a avoué Donald Hainault, directeur du programme-clientèle santé physique médecine. Une fois toutes ces étapes franchies, la construction devrait s’échelonner sur environ quatre ans, et ce, sans bris de services pour notre clientèle.» Un projet de 100 M$ Si l’établissement devait se limiter à l’agrandissement de l’urgence, qui consiste à la rénovation du bâtiment existant, M. Hainault soutient que cela nécessiterait des investissements de moins 100 M$. Par contre, le projet d’ensemble nécessiterait des ajouts de lits afin de répondre plus adéquatement à la demande croissante. Ce faisant, le projet pourrait alors dépasser les 100 M$. Le projet envisagé par le CSSS pierre-boucher consiste à tripler la surface actuelle de l’urgence, afin de se conformer aux normes en vigueur au ministère de la Santé et des Services sociaux. M. Hainault affirme que l’environnement physique actuel peut comprendre certains risques pour la qualité des services offerts à la population, voire pour la sécurité et la prévention des infections. Rappelons qu’il y a plus d’un an, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, avait donné le feu vert à l’établissement à élaborer un plan fonctionnel et technique (PFT), qui permet d’établir les besoins précis pour les 15 ou 20 années à venir, à l’aide chiffres et de projections, en vue d’un éventuel agrandissement et de l’aménagement de l’urgence. Une pression supplémentaire Les données recensées par l’établissement tendent à démontrer que l’urgence représente une des plus importantes en volumétrie au Québec et que ses installations, qui ont une superficie actuelle de quelque 1100 m2, sont vétustes. L’établissement doit également composer avec une desserte du territoire qui ne cesse de croître. «Lorsque l’urgence a ouvert ses portes en 1982, elle a été conçue afin de répondre à un volume d’activités de 20 000 visites par an. Aujourd’hui, nous avons près de 53 000 visites chaque année. Bien qu’elle ait été agrandie en 2002 dans le but d’y ajouter 12 civières d’observation, portant le nombre à 35, la salle d’urgence demeure trois fois trop petite en regard des normes ministérielles recommandées», a indiqué M. Hainault. Certains secteurs, tels que la radiologie, l’imagerie médicale et la pathologie, ont déjà atteint des limites qui nécessitent des ajustements, en raison entre autres du vieillissement de la population et du rapatriement de services autrefois dispensés à Montréal.
  20. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2011/08/02/montreal-remix-ou-la-ville-selon-les-montrealophiles/
  21. Et oui, un ''nouveau'' quartier qui se défini peu à peu. C'est un endroit bien situé qui mérite de se développer alors j'espère que cela va continuer afin de densifier davantage. http://www.orbitat.ca/index.php
  22. Je ne sais pas quel âge a ce projet, mais il est fort probablement plus vieux que 2002. Ce n'est pas une proposition pour le concours de l'OSM. Nomade avait proposé un projet différent de celui-ci! ----------------------------------------------------------------------- Localisation : Montréal, Québec client : Ivanhoé Cambridge Réalisation de NOMADE. Situé dans le Quartier des spectacles Montréal, la solution propose un projet d'ensemble comprenant un hôtel de 250 chambres, des espaces de bureaux, des espaces commerciaux, une salle de spectacles d'une capacité de 2 500 places, de même que la Maison des festivals et d'une agora extérieure pour accueillir les grands évènements montréalais se déroulant autour de ce périmètre. Le parti mise sur une signature architecturale audacieuse et sur une ouverture de l'îlot sur les rues adjacentes, afin de favoriser les circulations.
  23. http://www.paullaurendeau.com/ Habitation Mentana Étude urbaine sur la densité - 2010 Montréal, Québec, Canada Surface du lot : 7 013 m² Implantation du bâtiment : 4 465 m² Taux d’implantation : 64 % Nombre d’étages : 6 Hauteur de bâtiment : 20.5 m Surface totale du bâtiment : 21 511 m² Densité : 3.07 Nombre de logements : 152 Stratégie de densité La stratégie de densité consiste à utiliser la typologie le plus efficacement possible afin de maximiser l’emprise au sol et de proposer un bâtiment de 6 étages. Sur ce site, séparé en deux lot par la rue Boyer, le bâtiment épouse l’espace public, laissant peu d’espace résiduel non construit sur le périmètre externe. Les façades sur 4 côtés bénéficient de l’espace dégagé des voies publiques maximiser les ouvertures et les vues, spécialement sur le parc Laurier au sud. Afin de laisser pénétrer un maximum de lumière dans la cour, le niveau 6 est construit partiellement, offrant des terrasses extérieures privatives et des ouvertures. Le bâtiment entre Boyer et Christophe-Colomb, à cause de l’étroitesse du lot, bénéficie de cours ouvertes orientées vers le sud qui apportent une ensoleillement abondant à tous les logements, ainsi que des espaces verts qui bénéficient autant aux résidents qu’à l’espace public. Le projet atteint une densité de 3.07, valeur un peu inférieure aux petits projets de la rue Rivard et de la rue Drolet à cause de la nécessité de laisser la cour centrale non construite sur tout sa longueur.
  24. Le Centre Saint-Pierre réalisera, au cours de la prochaine année, des études de préfaisabilité Une étude de marché a déjà été réalisée pour le volet hôtelier du projet de requalification Steeve Duguay/Métro L'église Saint-Pierre Apôtre JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 13 décembre 2010 15:55 Mis à jour: 13 décembre 2010 16:33 L’îlot Saint-Pierre-Apôtre, situé dans le quadrilatère formé des rues Panet, de la Visitation, Sainte-Rose et du boulevard René-Lévesque, pourrait connaître une deuxième vie. Le Centre St-Pierre, qui forme l’îlot avec l’église Saint-Pierre Apôtre et le presbytère de la rue de la Visitation, réalisera au cours de la prochaine année des études de préfaisabilité qui, si elles s’avèrent concluantes, pourraient mener à un projet de requalification évalué à près de 30 M$. «Les Oblats, qui sont propriétaires de l’îlot Saint-Pierre, nous ont dit, il y a deux ans, qu’ils ne pourraient plus continuer de s’occuper des bâtiments et qu’ils voulaient se départir de l’ensemble du quadrilatère, a expliqué le DG du Centre St-Pierre, Raymond Levac. Ils nous ont mandatés pour trouver une vocation aux bâtiments pour que ce soit rentable et que le projet poursuive la mission sociale, culturelle et spirituelle des Oblats.» Le projet hôtelier, qui prendrait forme dans le presbytère, est, pour le moment, le plus avancé. Une étude de marché a déjà été réalisée et sera analysée au début de l’année 2011 par un comité de travail qui réunit, entre autres, le Fonds FTQ, le Chantier de l’économie sociale et la Caisse d’économie solidaire. «L’étude est positive, a affirmé M. Levac. Il faudra voir si les bailleurs de fonds considèrent aussi qu’elle est concluante.» Une étude de marché sera également réalisée pour le Centre St-Pierre afin de déterminer s’il y a lieu d’augmenter sa capacité d’accueil. Le stationnement du centre pourrait quant à lui devenir sous-terrain, ce qui permettrait l’aménagement d’un jardin en surface. Enfin, l’église Saint-Pierre Apôtre fera l’objet d’études acoustiques afin de déterminer si elle peut accueillir davantage d’événements culturels et de concerts. Le sous-sol de l’église pourrait également être aménagé afin de loger des artistes. Le comité exécutif de la Ville de Montréal a approuvé, la semaine dernière, une aide financière de 127 500 $ au Centre St-Pierre afin de lui permettre de mener à bien ses études. Échéanciers Selon le calendrier envisagé par le Centre St-Pierre, un projet complet devrait être présenté à la fin de l’année 2012. Le transfert de propriété devrait aussi être complété en 2012. Les Oblats souhaitent vendre leurs bâtiments pour une somme symbolique à un organisme sans but lucratif mis sur pied par le Centre St-Pierre. Les premiers travaux devraient suivre en 2013-2014. http://www.journalmetro.com/linfo/article/718391--une-transformation-de-30-m-pour-l-ilot-saint-pierre-apotre
  25. Projet définitivement à suivre.... ******************************* Carrefour Angrignon Photo: Robert Skinner, La Presse 5. Carrefour Angrignon Le long du boulevard Newman >Propriétaire du Carrefour Angrignon et du Mégacentre voisin: Groupe de Sociétés Westcliff Westcliff envisage la possibilité de construire en densité en périphérie du Carrefour Angrignon, le long du boulevard Newman, où se trouvent actuellement de grands espaces de stationnement. Mais rien n'est prévu à court terme. Le promoteur immobilier doit d'abord déterminer si ce serait compatible avec les opérations commerciales en cours et l'ensemble des conditions contractuelles qui la lient aux commerçants, afin de respecter les normes de stationnement. «Nous partageons la vision de LaSalle et le changement proposé pour l'artère, précise Marc Montpetit, directeur régional chez Westcliff. Le concept d'éco-densité est de plus en plus important. Un environnement de qualité se créera et il se construira de plus en plus de logements. Ce qui attirera des ménages avec des revenus plus élevés. C'est un plus pour le pôle commercial.» http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
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