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  1. Pas que j'ai un intérêt pour la chose, mais du moment que le Québec rayonne, ça vaut la peine de le souligner *** Collier de haute joaillerie dévoilé à Montréal MONTRÉAL – Le petit monde de la joaillerie montréalaise était en ébullition vendredi soir, lors du dévoilement d’un collier de haute joaillerie comprenant une pierre faisant partie du Guinness des records. La fameuse pierre, une tourmaline «paraiba» ovale de 192 carats, est la plus grosse des «paraiba» découvertes à ce jour. Elle figure parmi les pierres précieuses les plus célèbres du monde. Le collier «Paraiba Star of the Ocean Jewels» a nécessité plusieurs mois de travail. C’est le maître joaillier Patrick Gravelle, de la bijouterie montréalaise Kaufmann de Suisse, qui a donné vie au bijou. «Le dévoilement de cette œuvre est une formidable occasion de faire rayonner le savoir-faire québécois à travers le monde», a souligné Vincent Boucher, homme d’affaires montréalais propriétaire de la pierre. En 2009, la valeur de la pierre seule était estimée à plus de 125 millions $. La tourmaline «Paraiba» Découverte à la fin des années 80, la tourmaline «Paraiba» est considérée comme étant la plus précieuse des pierres fines rares. C’est dans la petite ville de Sao Jose da Batalha, au Brésil, qu’un mineur a découvert les premiers échantillons d’une tourmaline de couleur «bleu vert turquoise», en 1989. http://fr.canoe.ca/artdevivre/mode-beaute/article1/2013/10/21/21210261-ca.html
  2. Complexe Funéraire Goyer. Photos prises pour le début des travaux 24 juillet,suivante 12 août, et 15 septembre.. Le Complex Funéraire est situé sur le boul Desjardins ou était le dépositaire GM Desjardins Automobile. Yvon L'Aîné
  3. je ne crois pas que cet article à été publier encore... quand même intéressant. La souveraineté ne serait pas « mauvaise » pour le Québec Le 29 juin 2012 à 14h11 | ARGENTMise à jour le 21 février 2013 à 15h53 Olivier Bourque Argent Un chercheur de l'Institut Fraser croit que la souveraineté ne serait pas mauvaise économiquement pour le Québec. Il compare la province à la Slovaquie qui a vécu un véritable essor après l'éclatement de la Tchécoslovaquie en 1989. « Ça pourrait avoir un effet positif sur le Québec. En tout cas, ça ne serait sûrement pas la crise que certains anticipent. Je crois même que les liens avec les autres Canadiens seraient plus chaleureux », a souligné le chercheur Filip Palda, appelé à commenter un sondage soulignant que la moitié des Canadiens sont peu inquiets quant à une possible séparation. Cette position semble surprenante pour l'Institut Fraser. Leur dernière étude, qui date d'environ 20 ans, indique que les coûts de la séparation « seraient très élevés pour le Québec » et qu'un tort serait porté « aux deux économies ». « L'étude de l'institut a été publiée à une autre époque lorsque la situation était différente », a souligné M. Palda qui a confirmé que cette nouvelle position était la sienne. Il a ainsi fait une comparaison avec la Slovaquie qui est devenue un pays en 1989 après la Révolution de velours. « Avant que ça devienne un pays, nous étions pessimistes. Il était isolé, sans aucune nouvelle technologie, et recevait une péréquation. Mais les Slovaques ont généré un taux de croissance impressionnant à un rythme spectaculaire », a souligné le chercheur. « Je ne crois pas que le Québec souffrirait s'il perdait sa péréquation (NDLR: une balance de 4,4 milliards $). Pour le Québec, c'est un mauvais encouragement pour les politiciens », a-t-il poursuivi. M. Palda croit que l'avenir sera aux petites nations qui pourront tirer profit du nouveau contexte économique. « L'appartenance à un grand pays est en train de disparaître. Car la technologie permet d'avoir accès à de grands marchés. […] Avant, le commerce s'effectuait Est-Ouest au Canada, mais maintenant c'est Nord-Sud », a-t-il poursuivi. L'IREC… en accord Fait inusité, cette position rejoint celle de l'Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), jugée à gauche sur l'échiquier économique. Le chercheur Robert Laplante croit que la comparaison avec la Slovaquie n'est toutefois pas tout à fait correcte. « Le Québec a davantage de ressources et de moyens. Mais il est vrai que la Slovaquie a profité de sa séparation pour s'ouvrir économiquement », a-t-il souligné. M. Laplante croit surtout que la fédération canadienne actuelle est très loin d'aider l'économie québécoise. « On le voit très bien, a-t-il soutenu. Les sables bitumineux font hausser le dollar canadien et cela fait mal à nos exportations. Donc pour le Québec et même l'Ontario, ce n'est pas du tout viable économiquement de rester dans le Canada. » Mais comment le Québec pourrait-il aller combler le montant de péréquation qu'il reçoit chaque année? Le chercheur croit que la province pourrait couper dans le gras. « Bien sûr, c'est préoccupant. Mais il faut savoir qu'on pourrait très bien équilibrer nos finances publiques en éliminant les doublons. Il y en a beaucoup actuellement. Et les dépenses ne seraient pas les mêmes dans un Québec souverain. Pas sûr qu'on se payerait des F-35 à 30 milliards $ », a-t-il constaté. Imprimer http://argent.canoe.ca/nouvelles/affaires/souverainete-mauvaise-quebec-29062012
  4. Tout juste deux semaines après que le Delta Centre-Ville ait annoncé sa fermeture, voilà que le Hilton Bonaventure est lui aussi mis en vente. En effet, la compagnie SilverBirch Hotels & Resorts a décidé de remettre sa propriété sur le marché, précisant toutefois que l'établissement se portait toujours très bien, mais qu'il était simplement temps pour elle de s'en départir. Elle est ainsi à la recherche d'un nouvel acquéreur et désirerait apparemment que ce dernier conserve la vocation hôtelière de l'endroit. http://www.montrealinfo.com/fr/nouvelles/hilton-bonaventure-de-retour-sur-le-marche
  5. (13/04/2007) Les Montréalais pourraient bientôt aller magasiner sous le viaduc du boulevard Notre-Dame. Le maire de Montréal a laissé échapper cette information hier, lors de sa conférence de presse sur la démolition de l'autoroute Bonaventure. Gérald Tremblay commentait alors le projet de transformer le viaduc du CN en galerie marchande et s'est permis un parallèle avec celui de Notre-Dame. Le viaduc Notre-Dame a été conçu pour accueillir des commerces sous sa structure. Mis à part les trois arches de métal qui délimitent les rues qui se rendront au fleuve, le reste de l'ouvrage est en béton et peut facilement s'adapter à une vocation commerciale. La construction de nombreuses unités d'habitation tout autour du viaduc amène la Ville à soutenir l'implantation de commerces de quartier à cet endroit. «Il y a un promoteur qui s'appelle Télémédia qui a acheté la gare Viger pour neuf millions de dollars. Il y a un financement international très important et, dans les plus brefs délais, on va annoncer un projet. Et vous allez voir, ce qui était prévu il y a un certain nombre d'années va se réaliser», a laissé entendre le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Développement Télémédia s'est refusé à tout commentaire, prétextant que l'annonce était prématurée et qu'une conférence de presse sera convoquée en mai sur cette question. La compagnie qui souhaite développer ce quartier s'est associée à deux autres investisseurs européens. Déjà, on sait qu'elle veut transformer l'ex-gare Viger en hôtel de luxe et construire des tours d'habitation dans le stationnement de l'ex-gare. Dans les années 90, l'ex-maire Jean Doré avait proposé un projet semblable, mais rien n'avait été fait.
  6. MtlMan

    Coderre maire?

    http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201009/28/01-4327537-coderre-reflechit-a-son-avenir.php
  7. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2013/02/22/rester-a-montreal-pour-innover/
  8. (D'après PC) - Le cinéma Le Parisien, qui faisait partie du paysage du centre-ville de Montréal depuis des années, ferme ses portes. Le propriétaire de l'entreprise, Les Cinémas Fortune, a vendu la salle mercredi et a mis la clé sous la porte dans le même souffle. Aucune autre information n'a été fournie par le propriétaire qui s'est limité à annoncer la vente et la fermeture dans un communiqué. Jeudi, le cinéma était placardé et des déménageurs étaient à l'oeuvre. Les raisons de la vente ainsi que le nom du nouveau propriétaire de l'immeuble ne sont pas encore connus. Le Parisien avait longtemps été l'épicentre du Festival des films du monde, mais son heure de gloire était passée depuis quelques années. Il était toutefois encore le seul cinéma à diffuser des films en français rue Sainte-Catherine. Famous Players a déjà été propriétaire des lieux. Les Cinémas Fortune est également propriétaire du cinéma Angrignon, dans l'arrondissement montréalais de LaSalle, et de salles à Gatineau (arrondissement de Hull) et à Québec (arrondissement de Sainte-Foy).
  9. De l'argent pour les espaces verts à Montréal Publié le 22 janvier 2013 à 16h04 Québec va accorder une subvention de 50 millions de dollars pour favoriser l'accès aux espaces verts et aux plans d'eau sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal. Les ministres Jean-François Lisée, responsable de Montréal, et Sylvain Gaudreau, des Affaires municipales, confirmeront la décision mercredi en présence du maire de Montréal, Michael Applebaum. Cette subvention avait été annoncée dans le budget de novembre déposé à l'Assemblée nationale par Nicolas Marceau. On prévoyait alors des sommes pour favoriser «les trames vertes et bleues» à Montréal. Une tranche de 10 millions de dollars était prévue pour Québec. Le gouvernement Marois aiguillera aussi des fonds pour réaliser des études sur les TOD, les points de développements associés aux transports, essentiellement l'aménagement des secteurs autour des bouches de métro et des gares d'autobus et de trains de banlieue. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201301/22/01-4613902-de-largent-pour-les-espaces-verts-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1
  10. Montréal a trouvé preneur pour la partie sud de l'îlot de la Cité du commerce électronique, au centre-ville. L'acquéreur, l'homme d'origine syrienne Bachar Ghreiwati, paie comptant 12,25 millions à la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) au terme d'un appel d'offres public pour vendre les immeubles du 977, rue Lucien-L'Allier et du 1000, rue de la Montagne, au centre-ville. L'autre soumissionnaire était Broccolini, qui se proposait de racheter le tout pour 2,5 millions. La SHDM, antérieurement la Société de développement de Montréal, était la mandataire du gouvernement et de la Ville dans ce projet en 10 phases de la Cité du commerce électronique. Le bras immobilier de la Ville a acquis les terrains et devait les céder par emphytéose au promoteur. Finalement, seulement deux phases ont été réalisées. La Société détenait toujours deux immeubles qui n'ont pas été démolis puisque la phase 3 ne s'est jamais matérialisée. Avec le fruit de la vente, la SHDM remboursera un prêt rotatif contracté auprès de la Caisse centrale Desjardins dont le solde s'élève à 6,4 millions. L'acheteur était représenté par le courtier Groupe immobilier Premium. Au téléphone, son président Fouad El-Dick a affirmé que son client est actif sur la scène immobilière à Montréal depuis six ans déjà. Il soutient qu'il y possède plusieurs propriétés, sans indiquer lesquelles. M. Ghreiwati détient des immeubles à Los Angeles également. «Le ministère des Finances a procédé aux investigations nécessaires à l'égard de l'acheteur et accepte la transaction», lit-on dans les documents de la Ville. Selon une évaluation de la firme Poisson Prud'homme, réalisée en 2010, la valeur marchande de la propriété atteint près de 9,5 millions, tandis que l'évaluation municipale se chiffre à 6 millions. Les frais de décontamination sont évalués à 1 million. Dans l'acte de vente, l'acquéreur s'engage à déposer un plan de réhabilitation environnementale et un plan de démantèlement du bâtiment sur Lucien-L'Allier au ministère du Développement durable, dans des délais à convenir entre eux. La vente n'est assujettie à aucune condition de développement. Le zonage en vigueur permet les usages commercial, résidentiel ou immeubles de bureaux... http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201301/03/01-4607977-montreal-realise-deux-ventes-importantes-dans-la-cite-du-commerce-electronique.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS4
  11. On avait pas de fil je crois, mais le projet était dans les plans en même temps que le Parc Laurier (maintenant réouvert et vraiment très beau!). Aujourd'hui, le Carré était complètement clôturé. Les travaux sont commencés!
  12. Ça fait un p'tit bout de temps que j'ai vu l'affiche sur le vieil immeuble laid qu'ils veulent transformer. Hier soir, il était clôturé. J'imagine que les travaux doivent commencer puisque sur leur site, l'occupation est pour l'automne. Site actuel : https://maps.google.com/maps?q=rue+laurier+ouest,+montreal&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.520846,-73.594698&spn=0.002041,0.005284&sll=45.535934,-73.483644&sspn=0.008522,0.021136&t=h&hnear=Avenue+Laurier+Ouest,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec,+Canada&z=18&layer=c&cbll=45.520987,-73.594581&panoid=rPklogQ4JYd8_0G3VWSHsg&cbp=12,345.24,,0,0.46 Site web : http://www.175laurier.com/
  13. Je suis passé la semaine dernière et j'ai parlé avec le vendeur et j'ai vu la présentation des unités sur un espèce d'écran 3D du building (trop cool) et effectivement, environ la moitié du building était en rouge, donc vendues (surtout du côté Nord, là ou la vue ne sera pas bloquée par le Roccabelle, Avenue des Canadiens etc..). Il m'a dit que la construction devrait débuter en mars et prendre environ 1 an et demi pour les fondations, et ensuite, un étage par semaine pour le reste. Il m'a également dit que la 2e tour était pour du commercial seulement. De plus, il m'a dit qu'un projet de condo de 30 étages allait bientôt être annoncé dans le parking au Nord de la 1ere tour (juste à l'ouest des tours Samcon) et que donc, des clients ayant acheté du côté Nord de la tour pour avoir une vue, allait finalement la perdre. Chose certaine, selon le vendeur, les choses vont très bien pour ce projet, mais c'est un vendeur ;-) Site actuel : https://maps.google.ca/maps?q=Piazza+G.+Agnelli,+10,+rome&hl=fr&ll=45.497407,-73.574034&spn=0.000004,0.002401&sll=41.899023,12.479805&sspn=0.050661,0.076818&t=h&gl=ca&hnear=Via+Virginia+Agnelli,+10,+Roma,+Lazio,+Italie&z=19&layer=c&cbll=45.497407,-73.574034&panoid=B3_Kr9HGDNb7csz6J0EmuQ&cbp=12,37.92,,0,3.42
  14. Presse Canadienne Le jeudi 15 novembre 2007 Montréal L'éditeur Michel Brûlé a dévoilé une statue en hommage au général Charles de Gaulle devant le bureau des Éditions des Intouchables, à Montréal. L'ex-premier ministre Bernard Landry était présent à ce dévoilement. Pour Michel Brûlé, il était important de commémorer le «Vive le Québec libre» de Charles de Gaulle, un événement marquant dans l'histoire du Québec à ses yeux. Il a déclaré que l'ex-maire Pierre Bourque a refusé cet honneur tandis que le maire actuel de la Ville, Gérald Tremblay, était d'accord en autant que la statue «demeure cachée», selon ses dires. Pour M. Landry, le général de Gaulle a une «importance planétaire». Selon lui, de Gaulle a fait connaître la cause du Québec à travers le monde. M. Landry a déclaré qu'au moment où le général a fait sa célèbre déclaration, des analystes de toutes les villes du monde se sont tournés vers la Belle Province et ont tenté d'étudier et de comprendre la question québécoise.Bernard Landry, l'éditeur Michel Brûlé et Aslan, créateur du buste, posent devant la statue du général Charles de Gaulle.
  15. Saisie de drogue évaluée à 860 millions au Port de Montréal. Après la French Connection voici la Québec Connection.... La Gendarmerie royale du Canada (GRC) a indiqué mercredi avoir mis la main sur 43,3 tonnes métriques de haschich devant transiter par les ports de Montréal et de Halifax, une saisie dont la valeur est estimée à 860 millions $. L'enquête baptisée «Celsius» a débuté à la suite de la découverte de drogue dans des conteneurs aux ports de Montréal et Halifax en 2009 et en 2010. Huit personnes originaires de Montréal, de la Montérégie et des Laurentides ont été appréhendées et une neuvième personne originaire de Gatineau est recherchée. Plusieurs des suspects ont comparu mercredi. Tous font face à des accusations de complot, importation et possession de stupéfiants en vue d'en faire le trafic. Trois des accusés étaient des employés de la compagnie oeuvrant au terminal Cast au Port de Montréal, soit deux inspecteurs et un gardien de sécurité, a expliqué le sergent d'état-major André Potvin, de la GRC. «Lorsqu'un conteneur suspect arrivait à Montréal, une transmission était envoyée au télécopieur d'un hôtel local. L'un des suspects récupérait alors celle-ci et mettait en marche les mesures pour faire sortir le conteneur auprès de la compagnie maritime et prendre possession de façon légale de la marchandise illicite», a-t-il précisé. Les enquêteurs ont rapidement découvert que quelque chose ne tournait pas rond. «Plusieurs irrégularités aux procédures et aux contrôles obligatoires avaient été observées», a raconté le sergent Potvin, qui a décrit un stratagème somme toute assez simple pour des criminels ayant infiltré des postes clés. «Le dernier point avant que les conteneurs puissent sortir et être distribués - on ne parle pas seulement des conteneurs de drogue, mais aussi des conteneurs de marchandises qui sont légitimes - c'est la guérite sécuritaire. Donc, si on a un ou deux vérificateurs sur le côté interne, côté Port, qui disent «celui-là, c'est beau, c'est vérifié» - alors qu'il n'a pas été vérifié - ou quelqu'un dit «celui-là tu le laisses passer', c'est comme ça que ça se passait.» Les conteneurs transportant la drogue pouvaient ainsi être recueillis sans être soumis à aucun contrôle. Le réseau était relié au Gang de l'Ouest mais les policiers ne croient pas que l'ensemble de la drogue était destinée au marché montréalais. La grande quantité saisie laisse plutôt croire que l'ensemble de l'Amérique du Nord et même d'autres marchés internationaux étaient visés par les trafiquants, ce qui inquiète le surintendant principal de la GRC, Gaétan Courchesne. «Je me réjouis du succès de cette opération mais, d'un autre côté, je me questionne sur l'état de la situation que je considère préoccupante, a-t-il déclaré. Si ces organisations tentent d'importer de la drogue en si grande quantité, nous pouvons conclure que la demande existe et que les consommateurs sont nombreux.» Il a d'ailleurs ainsi illustré l'ampleur de la rafle: «La quantité de drogue que nous avons saisie aurait pu générer plus de 43 millions de doses vendues dans la rue. Cela représente plus de sept doses par habitant du Québec, toutes catégories confondues.» L'organisation criminelle impliquée s'approvisionnait principalement au Pakistan. Certains conteneurs ciblés ont été saisis au Pakistan tandis que d'autres ont été interceptés en cours de route, notamment en Italie et en Belgique. Toutes les saisies ont eu lieu entre l'automne 2009 et octobre 2010 mais les arrestations n'ont eu lieu que cette semaine en raison de la durée de l'enquête qui a permis de démanteler le réseau et accumuler les preuves suffisantes. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/201204/18/01-4516674-saisie-de-drogue-evaluee-a-860-millions-au-port-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS4
  16. Voici un très beau projet qui nous a échappé en 2010 : *** Publié le 4 Mai 2010 Jean-Guy Ladouceur RSS Feed Deux mois plus tôt et une économie de 4 M $ Sujets : Sûreté du Québec , école Le Manoir , Mascouche , District de Montréal-Laval-Laurentides-Lanaudière , Québec C’est avec beaucoup de plaisir que les différents intervenants ont inauguré le nouveau quartier général du district de Montréal-Laval-Laurentides-Lanaudière de la Sûreté du Québec à Mascouche, vendredi dernier. Ce bâtiment est le premier de la Sûreté du Québec, et parmi les premiers du gouvernement du Québec, à détenir la certification LEED (Leadership in Energy and Environmental Design). Il occupe une place stratégique à l’intersection des autoroutes 25 et 640 et possède sa propre voie de sortie sur l’autoroute. L’établissement abritera principalement le bureau de l’administration, le centre de gestion d’appels d’urgence (entre 600 000 et 700 000 par année), les bureaux de la surveillance du territoire, le bureau régional d’enquêtes, les locaux de détention et d’entreposage, l’escouade régionale mixte et le bureau du commandant. Au cours de l’année qui vient, les policiers installés un peu partout dans la région, et principalement à l’école Le Manoir, intégreront leurs nouveaux locaux graduellement. Des policiers y ont d’ailleurs pris leur premier quart de travail le 12 avril à midi. En tout, il y aura plus d’une centaine de policiers sur place, sans compter autant de membres civils. En l’absence du ministre Jacques Dupuis, le sous-ministre de la Sécurité publique, Robert Lafrenière, a été délégué à la cérémonie. Caractère particulier Le commandant du poste, Jacques Beaupré, a fait un court historique de cet accomplissement et indiqué que les attendant du 11 septembre 2001 ont eu un effet déclencheur sur ce projet. Il était très fier de confirmer que «…le nouveau QG a été livré deux mois plus tôt que prévu et sa réalisation a coûté 4 M$ de moins que prévu». Celui-ci considère que les nouvelles installations assureront une meilleure cohésion entre les divers services de la SQ. Richard Deschênes, directeur général de la Sûreté du Québec, a avoué que «cette réalisation représente un beau moment de ma carrière. C’est un lieu visible et rassurant pour la population». «Il y aurait toute une histoire à raconter sur ce sujet. Il a fallu beaucoup de coordination. Je peux vous assurer qu’il s’agit d’un joyau d’exécution. Qui aurait pensé qu’un jour on aurait eu un investissement institutionnel d’une telle envergure à Mascouche», a dit le maire Richard Marcotte, visiblement très fier de cette réussite. Le sous-ministre était également fier de cette construction qui peut recevoir éventuellement des agrandissements, et même, résister aux tremblements de terre. http://www.hebdorivenord.com/Economie/Affaires/2010-05-04/article-1077844/Le-quartier-general-MLLL-de-la-SQ-a-Mascouche-inaugure/1
  17. Je viens d'apprendre la mort de cet homme incroyable. Dommage car il était un très bon auteur et débatteur. Je vais m'ennuyer de ses débats avec les gens de differentes religions.
  18. Cette construction remplace un plex abandonné dont la structure était défaillante.
  19. Pas de train haute vitesse entre Montréal et New York 12 octobre 2007 - 07h09 Presse Canadienne Au moment où il lance un grand chantier de renouvellement des infrastructures, le gouvernement du Québec renonce au projet de train rapide entre Montréal et New York, un méga-projet d'au moins 4 milliards $. Cliquez pour en savoir plus : Transport ferroviaire | Chef de l'état | Jean Charest | Eliot Spitzer | Québec-New York Le projet, qui flotte dans l'air depuis des années, n'est plus dans les cartons du gouvernement et ne fera pas partie des échanges tenus vendredi, à New York, entre le premier ministre Jean Charest et le gouverneur de l'État de New York, Eliot Spitzer. Pourtant, en octobre 2005, à Albany, lors du dernier sommet Québec-New York, le gouverneur de l'époque, George Pataki, et le premier ministre Charest avaient clairement dit que l'idée d'un lien ferroviaire haute vitesse entre l'État de New York et le Québec était hissée au rang de «projet» à réaliser à court terme. Les deux hommes s'étaient engagés à tout mettre en oeuvre pour que le projet se réalise. Aux yeux de M. Charest, ce projet constituait un «symbole fort et puissant» des liens qui unissent les deux voisins, et un moyen de plus de réduire les émissions de gaz à effet de serre, par la promotion du transport en commun. Or, deux ans plus tard, le dossier n'a pas bougé. Dorénavant, au ministère des Transports, plus modestement, on mise plutôt sur l'amélioration des infrastructures actuelles, ont indiqué plusieurs sources gouvernementales au cours des derniers jours à La Presse Canadienne. Si ce projet était devenu réalité, les passagers auraient pu faire le trajet Montréal-New York en quatre heures à peine, au lieu de 10 actuellement. Certaines évaluations fixaient à 500 000, voire 700 000, le nombre additionnel de voyageurs intéressés à faire la navette entre les deux villes, si un tel train à haute vitesse avait vu le jour. En 2004, une étude de préfaisabilité, menée par le New York State Department of Transportation et Transports Québec, avait fixé à 4 milliards $ US le coût de réalisation du projet, uniquement pour la construction des voies ferrées sur 613 kilomètres, dont seulement 77 au Québec. Les Américains auraient donc dû assumer la plus grande partie de la facture, soit au moins 4 milliards $, sans compter les wagons et locomotives. Le train de passagers, qui aurait roulé à 240 km/h, nécessitait la construction de plusieurs ponts et tunnels dans les Adirondacks, d'où un coût élevé. Pour Québec, la facture des voies ferrées était évaluée à 110 M$. À l'époque, en 2005, le ministre fédéral des Transports, Jean Lapierre, s'était montré prêt à envisager un financement d'Ottawa pour la portion canadienne du trajet. Mais à l'automne 2006, Ottawa avait refroidi les ardeurs de Québec, alors que le ministre Lawrence Cannon jugeait que le projet n'était pas rentable. Électricité à vendre Vendredi, à New York, après avoir prononcé une allocution devant 400 gens d'affaires, le premier ministre Charest rencontrera pour la première fois le nouveau gouverneur de l'État, Eliot Spitzer. Au cours des derniers mois, M. Spitzer a rendu publiques ses priorités en matière de transport, mais le train rapide New York-Montréal n'en fait pas partie. Même si plusieurs sujets sont à l'ordre du jour de la rencontre, il est clair que la vente d'hydroélectricité au voisin du sud arrive au premier rang des priorités du Québec dans ses relations avec New York. «Nous, on peut faire de l'argent et en même temps on aide l'environnement», a résumé le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, lors d'un entretien téléphonique jeudi. Québec plaidera aussi pour assurer la fluidité du corridor de commerce entre les deux États. Les dossiers d'environnement et de sécurité seront aussi à l'agenda, de même que la tenue souhaitée d'un quatrième sommet Québec-New York. Les trois premiers ont eu lieu en 2002, 2004 et 2005. L'État de New York est le principal partenaire commercial du Québec aux États-Unis. En 2006, la valeur totale des échanges commerciaux a atteint 10,2 milliards $. Un sommet avait été atteint en 2000, avec 14,1 milliards $ d'échanges.
  20. Des projets fous! Montréal l'a échappé belle Karim Benessaieh La Presse Imaginez que le Plateau-Mont-Royal, du boulevard Saint-Laurent au parc La Fontaine, n'existe plus, remplacé par un campus. Pour construire l'autoroute Ville-Marie, on a rasé une grande partie de Saint-Henri, du Vieux-Montréal et d'Hochelaga. Une énorme tour évasée et penchée domine le mont Royal, un restaurant trônant à son sommet. Le métro de Montréal, démesuré, est un gouffre financier sans fond, avec ses 112 km de voies et ses 300 stations. Cauchemars d'urbaniste ou d'amant du patrimoine? Pas du tout. Dans l'ambiance folle des années 60, ces projets ont bel et bien existé, des plans ont été dessinés, des études commandées. Voici un florilège de projets ambitieux qui auraient complètement changé le visage de la métropole. Montréal, à quelques occasions, l'a vraiment échappé belle. UNE AUTOROUTE À L'ASSAUT DES VIEUX QUARTIERS Depuis plus de 50 ans, les politiciens et les ingénieurs sont embourbés dans un projet qui ne veut pas aboutir: «l'autostrade est-ouest», une autoroute qui devait être l'équivalent, au sud, de l'autoroute Métropolitaine. Une des raisons de cet échec: il aurait fallu détruire 40% du Vieux-Montréal et des portions considérables des quartiers Saint-Henri et Hochelaga pour la construire. Ce projet, couché sur papier en 1960, «c'est le pire du pire», estime Nancy Dunton, d'Héritage Montréal. Il résume à lui seul le peu de cas qu'on faisait il y a quelques décennies de ce qu'on appelait avec mépris les «vieux quartiers». «Il y avait une espèce de honte de ce qu'on était avant, explique Richard Bergeron, urbaniste et chef du parti municipal Projet Montréal. Cette honte, c'était nos quartiers anciens. Et tout prétexte pour les détruire était bienvenu. On voulait tout démolir.» Urbaniste à la Ville de Montréal dès 1956, directeur des services d'habitation puis d'urbanisme jusqu'en 1986, Guy Legault, lui, défend aujourd'hui cette vision. «Une autoroute, ça fait partie d'un réseau, ce n'est pas isolé. Il faut que l'autoroute Ville-Marie se rende jusqu'à l'autoroute 25. Notre réseau est aujourd'hui infirme, il comporte des noeuds de congestion.» Un musée sans protection Le premier segment, planifié en 1960, devait traverser le quartier Saint-Henri, de ce qui allait devenir l'échangeur Turcot à la rue Guy. «La province voulait passer dans les vieux quartiers, et le service d'urbanisme de Montréal s'y est opposé, raconte M. Legault. On a proposé une solution: construire l'autoroute le long de la falaise Saint-Jacques, une barrière naturelle déjà existante. C'est une bonne solution, je pense.» Le deuxième segment, qui devait longer la rue de la Commune, aurait détruit près de la moitié du Vieux-Montréal. Cette idée, impensable aujourd'hui, rappelle que ce quartier historique ne disposait que de peu de protection à l'époque. On a finalement opté pour l'autoroute en tranchée, partiellement recouverte entre la rue Saint-Antoine (Craig à l'époque) et l'avenue Viger, jusqu'à l'avenue Papineau. Il a tout de même fallu détruire 850 maisons. L'avenue Papineau transformée en autoroute Pour le segment suivant, on a songé à un échangeur gigantesque qui aurait causé la destruction de tout le quadrilatère Papineau-De Lorimier-Ontario-Sherbrooke. L'autoroute Ville-Marie aurait été prolongée vers l'est, entre les rues De Rouen et Hochelaga. Ce dernier quartier aurait pratiquement disparu. «Le service d'urbanisme de la Ville était opposé à ça, c'était hors de question, dit Guy Legault. Notre idée a toujours été de suivre la rue Notre-Dame.» Connectée à la rue Notre-Dame en 1987, l'autoroute Ville-Marie est restée depuis à 8 km de son objectif, l'autoroute 25. «On l'a vraiment échappé belle, dit Richard Bergeron. Je le dis souvent, le pire ne s'est pas produit!» Il rappelle notamment que la rue Berri devait initialement être prolongée jusqu'au nord, une autre autoroute qui aurait traversé le Plateau. L'autoroute 19, elle, devait relier le pont Papineau-Leblanc au pont Jacques-Cartier - un fantasme d'automobiliste aujourd'hui. L'avenue Papineau et quelques centaines de maisons dans son sillage auraient disparu. Le projet d'axe nord-sud a finalement été déplacé vers l'autoroute 25. Comment expliquer la facilité avec laquelle on envisageait à l'époque la destruction de quartiers entiers? Une idée l'emportait sur tout: le progrès. «À l'époque, tout était permis, on pensait que Montréal aurait 7 millions d'habitants, qu'il fallait détruire les quartiers anciens qui entouraient le quartier des affaires du centre-ville, rappelle Richard Bergeron. Il fallait se préparer à la construction de 150 tours. C'était ça, la vision de Drapeau.» Les quartiers aujourd'hui branchés, comme le Plateau-Mont-Royal, étaient loin d'avoir autant la cote dans les années 60, rappelle Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal. «Dans beaucoup de quartiers, le tissu social était effectivement affaibli, des quartiers qui étaient devenus des maisons de chambres, presque des quartiers de transition. On était sans mémoire et sans merci, on avait peu de pitié pour ces quartiers.» Et il y avait une «apathie» de la population, estime-t-il. L'exode vers les banlieues était notamment causé par une perception répandue, celle que «l'espoir ne se trouvait pas en ville. Et ce qui se passait avec la ville ne suscitait pas tellement de passions.» LE JOUR OÙ LE PLATEAU FAILLI TOMBER Ce projet obtient sans conteste «la palme de l'éradication de l'habitat populaire», affirme l'architecte André Lortie dans son livre Montréal voit grand. Le rêve est pourtant beau: en 1966, on dresse les plans d'une université ouvrière en plein centre-ville. Elle aurait compté 12 pavillons et des résidences d'étudiants sur un campus digne des grandes institutions anglo-saxonnes. Petit détail: il fallait raser la quasi-totalité du Plateau-Mont-Royal. Carrément. Du parc La Fontaine au boulevard Saint-Laurent, de la rue Rachel à l'avenue des Pins, tout aurait été démoli, au nom de la «rénovation de l'est de Montréal». Le projet est «plus destructeur encore que l'éradication du Faubourg à m'lasse pour Radio-Canada», commente André Lortie. Il ne verra heureusement pas le jour, remplacé par une version plus modeste animée par les mêmes nobles motifs: l'Université du Québec à Montréal. Nancy Dunton, d'Héritage Montréal, est fascinée par «cette haine inimaginable» de l'époque pour les vieux quartiers. «On parle de renouvellement urbain, mais on veut en fait raser des quartiers au complet! Plus on lit sur cette époque, plus on est pris par ça, cette rage d'écraser le passé, sans réflexion sur le contexte. Comme si c'était une façon de mettre en arrière la noirceur de la guerre.» Cette attitude est d'autant plus révoltante que les vieux quartiers montréalais ont un «génie» qu'on redécouvre aujourd'hui, dit Richard Bergeron. Le concept de village urbain autour de la paroisse, la distribution des rues commerciales, la densité, le fait de pouvoir y vivre à pied, la qualité de l'architecture... «Il n'y a pas une règle d'urbanisme hyper tendance actuellement dans le monde qui n'avait pas été parfaitement comprise et mise en forme entre 1880 et 1920, dans les quartiers anciens de Montréal, estime l'urbaniste et conseiller municipal. Il y a du génie dans un quartier ancien de Montréal, autant qu'à Stockholm ou Copenhague, qui servent aujourd'hui de référence pour la qualité de l'aménagement urbain.» *** L'HOMME QUI RÊVAIT D'UNE TOUR endant toute sa carrière, Jean Drapeau a voulu donner une tour emblématique à Montréal. Il y est finalement parvenu l'année de sa retraite politique, en 1986: l'énorme mât du Stade olympique, qui porte le titre surréaliste de «plus grande tour penchée au monde». Cette structure n'était toutefois pas son premier choix. Deux fois, d'abord au début des années 60, puis des années 80, il a plutôt tenté de la planter sur le mont Royal. Embauché par la Ville en 1956, Guy Legault, directeur de l'urbanisme et de l'habitation au cours des trois décennies suivantes, se souvient de l'obsession de son patron en 1960. «Ça m'avait rendu vraiment malade. J'étais jeune urbaniste, je ne comprenais pas ça du tout, aller sacrer une tour sur le mont Royal...» Il ne s'agissait pas d'un projet modeste: «La tour du mont Royal serait devenue une merveille du monde et aurait servi de point de ralliement à tous les peuples de la terre», raconte dans ses mémoires Yvon Lamarre, alors président du comité exécutif. Le projet tombe, et l'on songe ensuite à construire une tour «Montréal-Paris» pour l'Expo 67. Présentée aux médias en décembre 1964, elle ressemble étrangement à celle qui, deux décennies plus tard, surplombera le Stade olympique. Cette tour devait être financée en partie par la Ville de Paris, qui n'a jamais confirmé sa participation. Selon Guy Legault, l'échec serait également lié à des problèmes techniques: «Là où on voulait placer la tour, il y avait une faille, la faille Logan. C'est un endroit où le roc est fracturé, ça ne pouvait pas tenir.» Le maire, opiniâtre, verra tout de même sa tour apparaître sur les plans de l'architecte du Stade olympique, Roger Taillibert. Selon l'ex-directeur de l'urbanisme, c'est à la demande expresse du maire Drapeau que l'édifice sera orné d'une tour. Il faudra cependant attendre jusqu'en 1986 pour voir cette structure enfin construite, et un an de plus pour la visiter. Peu auparavant, en 1985, une tour sur le mont Royal rappelant l'obsession originelle de Jean Drapeau est proposée par Radio-Canada. La société d'État, appuyée par l'administration de la Ville, souhaite remplacer sa vieille antenne de télécommunications par une tour de plus de 300 m, digne de celle du CN à Toronto. Le projet provoquera une levée de boucliers et l'entrée en scène de celui qu'on surnommera monsieur Patrimoine, Dinu Bumbaru. «Souvent, les administrations municipales pensent qu'un parc, c'est simplement un endroit qui attend d'être bâti, dénonce-t-il. On voulait remplacer l'antenne de transmission par une structure, plus digne, plus haute, avec un restaurant qui tourne. On disait qu'il ne se passait rien au parc du mont Royal, que c'était un endroit abandonné, mais il y avait 2 millions de visiteurs!» *** UN MÉTRO TROP GRAND POUR MONTRÉAL En 1967, un an après l'inauguration du métro de Montréal, un fonctionnaire manifestement enthousiaste trace les plans du futur réseau. Il prévoit que, en 1982, le métro comptera 9 lignes et quelque 300 stations sur un total de 112 km. Plus de quatre décennies plus tard, le métro de Montréal n'a même pas la moitié de cette envergure, avec ses 68 stations et ses 4 lignes longues de 65 km en tout. Ouf! peut-on dire aujourd'hui: le réseau prévu en 1967 était manifestement démesuré et aurait coûté une fortune. Montréal, qui engloutit chaque année quelque 360 millions de dollars dans ses services de transports en commun, aurait dû y consacrer près du double. «Ils voulaient vraiment ce plan de métro? Ils en fumaient du bon! lance Richard Bergeron, chef de Projet Montréal et docteur en aménagement. C'est de la folie furieuse. Il ne faut pas avoir une réponse excédant de 10 fois le problème posé, c'est un des principes de rationalité en urbanisme.» Ce plan est influencé par l'enthousiasme de l'époque, estime-t-il, alors qu'on croyait que la métropole québécoise compterait 7 millions d'habitants en l'an 2000. Légendes urbaines que tout cela! rétorque Guy Legault, qui a été, en 1967, le premier directeur du service de l'habitation de la Ville de Montréal. «On a fait des prévisions de population, et c'était un peu comme jouer aux cartes ou au loto. Il y avait trois scénarios: 7, 5 et 3 millions d'habitants. On ne parle que de l'hypothèse de 7 millions, ce n'est pas correct. C'était la possibilité la plus farfelue, celle à laquelle on ne croyait pas.» L'ex-fonctionnaire insiste: le scénario qu'on croyait le plus vraisemblable, et qui n'est pas si loin de la réalité aujourd'hui, était de 3 millions d'habitants dans la grande région métropolitaine. Quant à cette fameuse carte digne de la science-fiction établie en 1967, il se souvient l'avoir déjà vue. «Mais je pense que ça n'a jamais été bien sérieux. C'était des idées en l'air. On n'a pas la densité de population pour faire ça. Je ne connais pas la source de ce plan, mais c'est du wishful thinking. On savait bien que l'expansion n'allait pas se poursuivre indéfiniment au rythme des années 60.»
  21. WOW! I used to watch Wrastlin' when I was a kid and I always liked Macho man. When your time is up, your time is up! http://www.cyberpresse.ca/sports/201105/20/01-4401488-randy-macho-man-savage-meurt-dans-un-accident.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-title_article_ECRAN1POS2 Randy «Macho Man» Savage meurt dans un accident L'ancien lutteur professionnel Randy «Macho Man» Savage est décédé aujourd'hui dans un accident d'automobile à Tampa, en Floride. La nouvelle a été rapportée par TMZ, qui en a reçu la confirmation par le frère de Randy, Lanny Poffo. Selon ce dernier, Savage, 58 ans, a subi une crise cardiaque vers 9h25 alors qu'il était au volant de sa Jeep Wrangler, dont il a perdu la maîtrise. Il a alors enjambé le terre-plein pour traverser la voie inverse et terminer sa course avec un impact frontal contre un arbre. Il a été transporté au centre médical Largo, où il a succombé à ses blessures. Sa femme Lynn, qu'il avait épousé il y a tout juste un an, était avec lui dans la voiture. Elle n'a subi que des blessures mineures. Les deux portaient leur ceinture de sécurité. L'alcool ne serait pas en cause dans l'accident, selon les services de police.
  22. Ah ça explique le défonçage du terrain sur bois-franc coin henri-bourassa. Ajout: Bon ça creusait là depuis un bon moment, je croyais que c'était un terrain acheté par l'AMT... eh bien non, ça sera une tour résidentielle, et la grue était présente hier. Pas de rendu ou quoi que ce soit sur le terrain... à voir.
  23. C'est ce que j'appelle une bonne nouvelle. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/04/06/006-creation-emploi-2010.shtml
  24. On parle de Sherbrooke est, entre PLessis et Amherst, mais je n'en sais pas plus...... Triste triste..... http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/09/27/003-edifice-sherbrooke.shtml
  25. Publié le 03 juin 2010 à 07h01 | Mis à jour le 03 juin 2010 à 07h06 (Montréal) Signe que le marché immobilier de luxe se porte bien à Montréal, un record vient d'être fracassé dans l'arrondissement d'Outremont. L'agente Marie-Yvonne Paint, de Royal LePage, a obtenu le prix le plus élevé jamais payé dans ce quartier pour une résidence située au 22, avenue Ainslie. La maison vient d'être achetée par un couple d'industriels français au coût de 5,3 millions après sept mois sur le marché. «À Westmount, on a déjà eu ce prix-là, mais pas à Outremont, a indiqué Mme Paint. On a vraiment créé un précédent.» > Suivez Maxime Bergeron sur Twitter Le prix d'origine de la somptueuse résidence - connue sous le nom de Maison Tourville - était de 6,2 millions, mais il a été abaissé en mars. La propriété de cinq chambres à coucher est évaluée à 3,6 millions par la Ville, et ses comptes de taxes municipales et scolaires s'élèvent à 43 693$ par année. Les acheteurs, qui arrivent directement de France, s'y installeront avec leurs cinq enfants. Ils ne manqueront pas d'espace, puisque la propriété compte aussi une maison secondaire pour les invités. Avant cette transaction, le prix le plus élevé jamais obtenu pour une résidence à Outremont était de 2,7 millions, selon les données de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La transaction remonte à 2004. Marie-Yvonne Paint se dit très satisfaite du prix final ainsi que du délai de vente de sept mois, «qui n'est pas long pour cette gamme de prix». La maison a fait l'objet d'un total de trois offres au fil des mois, a-t-elle affirmé. Ce prix de vente, si élevé soit-il, est à des années-lumière de ce que tente d'obtenir un vendeur de l'Île-Bizard, dans l'ouest de Montréal. Il demande 27 millions pour sa propriété de neuf chambres à coucher, sise sur un terrain de 48 000 mètres carrés. Les taxes combinées coûteront 64 000$ par an au futur acheteur... s'il se manifeste. Le marché du haut de gamme dans son ensemble se porte très bien dans la métropole, selon des données obtenues récemment par La Presse Affaires. Quelque 64 maisons de plus de 1 million ont changé de main au premier trimestre, contre 27 pendant la même période en 2009. Le prix moyen de ces transactions était de 1,5 million, comparativement à 1,3 million l'an dernier. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201006/03/01-4286371-un-record-immobilier-fracasse-a-outremont.php
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