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  1. Description Le Quartier M est un nouveau projet de 28 condos dans Mercier Hochelaga-Maisonneuve de 1, 2 ou 3 chambres allant de 689 à 1147 pi2. Le développement vous propose des unités familiales, le stationnement intérieur ou extérieur et une cour intérieure avec de grands espaces verts. Le Quartier M est situé près du Marché Maisonneuve, de la Promenade Ontario et du métro Pie-IX. Vous profiterez d'une vie de quartier grâce aux nombreux parcs et services accessibles à pied. Les condos sont en vente à partir de 156 400$ et presque toutes les unités sont admissibles à des subventions de la ville de Montréal (4500 à 10 000$). Les familles sont également admissibles au remboursement intégral de la taxe de bienvenue. Livraison à partir de Juillet 2014. Plus d'information à la page: http://www.mondev.ca
  2. Les riches sont moins nombreux qu’on ne le pense Nos impressions sur le 1 % le plus riche ne s’appuient pas sur la réalité de l’économie québécoise. Les Québécois peuvent s’indigner des salaires excessifs gagnés à Wall Street, mais les financiers de New York ne paient pas d’impôt à Revenu Québec. On entend beaucoup parler de la concentration accrue de la richesse, particulièrement dans le 1 % supérieur de la distribution des revenus. Il est alors naturel d’imaginer que l’État pourrait facilement financer des programmes sociaux en augmentant les impôts des mieux nantis. « Faire payer les riches » est devenu un slogan répandu parmi ceux qui s’opposent au coup de frein donné dans les dépenses publiques. Malheureusement, nos impressions sur le 1 % le plus riche ne s’appuient pas sur la réalité de l’économie québécoise, et trop souvent sur des données et des anecdotes venant de l’extérieur. Les Québécois peuvent bien s’indigner des salaires excessifs gagnés à Wall Street, mais les financiers de New York ne paient pas d’impôt à Revenu Québec. La proposition selon laquelle le fisc québécois pourrait tirer des revenus plus importants des hauts salariés se heurte à au moins deux problèmes. D’abord, la concentration des revenus a été moins forte au Québec ces 30 dernières années que dans le reste du Canada, et beaucoup moins forte qu’aux États-Unis. En fait, elle s’est largement limitée aux économies anglophones ; la part du 1 % supérieur est restée stable dans les autres économies industrialisées. On constate la même tendance au Canada : Une des hypothèses avancées pour expliquer cet écart — la question demeure ouverte — porte sur le pouvoir de négociation : une menace de la part d’un anglophone hautement qualifié de quitter son pays pour prendre un emploi mieux rémunéré à New York ou à Londres serait plus crédible que celle venant d’un Japonais, d’un Suédois ou… d’un francophone. Ce pouvoir de négociation se traduit par des salaires plus élevés — mais seulement pour ceux qui sont assez bien placés pour chercher des offres à l’étranger. Par ailleurs, la proportion de hauts salariés est moins importante au Québec que dans les autres provinces. Et les « riches » québécois sont moins nombreux que leurs homologues ailleurs au pays : Le taux de hauts revenus au Québec est semblable à celui des provinces atlantiques et inférieur à celui de toutes les autres régions du Canada. Même si sa population équivaut à moins de la moitié de celle du Québec, l’Alberta compte plus de hauts salariés que le Québec. À ces deux points, il faut en ajouter un troisième: une augmentation du taux d’imposition risque de réduire les revenus pour le fisc. Comme je l’ai déjà expliqué au magazine Maclean’s, le taux d’imposition qui maximise les revenus au Canada est autour de 50 %, et c’est ce qu’applique déjà le Québec. Les Québécois peuvent se féliciter d’avoir bien résisté à la tendance vers la concentration des revenus, mais il faut aussi accepter l’autre côté de cette médaille. Il est illusoire de croire que le gouvernement du Québec pourrait générer des revenus substantiels en imposant davantage les mieux nantis: les riches sont moins nombreux qu’on ne le pense, et ils gagnent moins qu’on ne le pense. Si l’État veut plus de revenus, il lui faut ratisser plus large. Stephen Gordon est professeur titulaire au département d’économique de l’Université Laval à Québec. http://www.lactualite.com/actualites/politique/les-riches-sont-moins-nombreux-quon-ne-le-pense/
  3. Ce projet aurait pu se retrouver dans la section rénovations aussi, car c'est la conversion de la manufacture de vêtements « Utility » via Guide Habitation : Description * Prix 1 chambre prix N/D 2 chambres prix N/D * Prix avant taxes. Valeur indicative seulement, prix sujets à changements sans préavis. Des unités avec autres caractéristiques, tailles, nombre de chambres et prix peuvent être disponibles. Avis légal . Dernière mise à jour : 2014-02-26 U-Lofts offre 18 condos, de 1 ou 2 chambres, de 586 à 993 pieds carrés, dans l'ancienne manufacture de vêtements « Utility », au coeur de la Petite-Italie. Profitant d'une localisation avantageuse, à proximité des transports en commun, du marché Jean-Talon, du parc Jarry et de nombreux services et commerces, le projet se distingue par son architecture sobre qui respecte aussi bien le caractère initial de la bâtisse que celui du quartier. Soyez parmi les premiers à découvrir le projet et profitez de prix pré-construction! Inscrivez-vous maintenant : http://www.u-lofts.com
  4. Description Projet de 17 condos de 1 ou 2 chambres (850 pi2 à 1800 pi2) sur 1 ou 2 étages. Certification Novoclimat à venir. Prix: de 204 500$ à 294 900$ + taxes. Stationnement disponible : + 15 000$ + taxes Éligible aux subventions de la Ville de Montréal. Situé près du métro Verdun et de nombreux commerces. Livraison: juillet 2013. C'est un projet des Habitations KPR. Site Web : http://www.michelpaquette.com
  5. Voici une liste et des liens sur les nombreux articles sur Montréal parus dans les médias internationaux en 2012 et début 2013. https://membres.tourisme-montreal.org/pages/mtlMedias.aspx
  6. À l’orée du chic et convoité quartier Fontainebleau se dressera bientôt le projet résidentiel Élysée. Conciliant à merveille les commodités de la vie citadine et la splendeur de la nature bienfaisante, l’Élysée Fontainebleau est synonyme de raffinement et de modernité, de confort et de distinction. Grâce à l’esthétique à la fois classique et contemporaine de son architecture, l’Élysée Fontainebleau possède le charme bucolique des grandes demeures européennes. La présence d’un joli ruisseau bordé d’arbres matures apporte la touche distinctive à l’endroit. La piste cyclable passant à proximité et les nombreux parcs environnants lui donnent un air champêtre empreint de sérénité. Cette oasis de tranquillité est néanmoins fort bien desservie par le réseau de transport en commun et profite de la proximité de nombreux commerces de détail et de services ainsi que de grands axes routiers. Ce projet résidentiel, luxueux mais abordable, se caractérise, en outre, par sa conception soignée résolument moderne mettant à l’honneur des matériaux nobles dans chacune des unités. L’Élysée Fontainebleau, une adresse de prestige à découvrir. http://www.elysee.qc.com/le-projet.html
  7. «L’application Montréal Avant pour découvrir le Montréal d’avant est aujourd'hui disponible pour iPhone et Smartphones Android. Elle permet aux habitants de la ville comme aux touristes de voyager dans le temps en comparant plus de 150 photographies actuelles de Montréal à des clichés vieux de plusieurs décennies voir d’un siècle. Après le succès de Paris Avant et des autres applications lancées en France et en Espagne, les visiteurs de Montréal peuvent désormais eux aussi se prêter au jeu des 7 erreurs ! Comme pour les autres applications déjà publiées, la définition d'une distance de notification au lancement de Montréal Avant permet d'être ensuite automatiquement prévenu à l'approche d’un lieu répertorié. Grâce à l'onglet "Repérer", l'utilisateur peut également voir, sous forme de liste, sur une carte ou en réalité augmentée, les points les plus proches de lui ou encore faire une recherche. Sur la page d’un lieu Avant/Après, il est notamment possible de superposer la photo ancienne au réel et d'en savoir plus sur l’endroit grâce à une description mélangeant commentaire historique et anecdote. De plus, de nouveaux lieux viennent régulièrement compléter la base existante ! « Pour chaque ville ou nous avons créé une application, on constate des changements à travers le temps. Mais l’évolution de Montréal se situe à un tout autre niveau : malgré son histoire relativement récente, de nombreux lieux ou quartiers sont méconnaissables ! C’est la possibilité d’observer cette transformation urbaine qui fait la force des nombreux clichés Avant/Après fournis par notre partenaire Guillaume St-Jean pour l’application. » explique Jean Carrière, l’un des créateurs de MaVilleAvant. Montreal Avant est désormais disponible sur l’Apple Store et Google Play (Android) au prix de lancement de 1,99 $ CAD. Prochaine étape pour les applications MaVilleAvant : Vancouver Avant, prévue avant l’été. Pour plus d’informations sur les applications MaVilleAvant, rendez-vous sur le site internet http://www.mavilleavant.com»'>http://www.mavilleavant.com» Source : http://www.mavilleavant.com
  8. Le bateau qui a reçu la fameuse canne au pommeau d'or est un pétrolier. Ces bateaux sont d'ailleurs plus nombreux dans la voie maritime à hauteur de Montréal, ce qui explique la bonne performance du port en 2011. http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_18h/2011-2012/Reportage.asp?idDoc=193791
  9. C'est un drôle de quartier, le Mile End. Pas vraiment la fin d'un monde, plutôt le début d'un nouveau. Rien à voir avec le district de l'est de Londres auquel il a emprunté son nom. Ce quartier est situé à l'extrémité du Plateau, qui surplombe Montréal. Son nom fait référence à l'époque où le maigre village de Saint-Louis se trouvait encore à un mile des limites de la ville. Terre de chasse, le lieu va rapidement se développer à la fin du XIXe siècle avec l'arrivée du chemin de fer du Canadien Pacifique, se transformant en une zone industrielle dont témoignent encore aujourd'hui les façades des fabriques de brique rouge. C'est dans l'une d'elles que s'est établie, à l'orée des années 2000, la société de jeux vidéo UbiSoft, et avec elle une armada de nerds et de geeks venus de toute la technosphère. Depuis lors, ils n'ont cessé de “s'interactiver” face à la traditionnelle église polonaise, l'un des nombreux lieux de culte du Mile End, qui fut longtemps une terre d'accueil des émigrés fraîchement débarqués. Cette cohabitation est emblématique des mutations que connaît le quartier, où se côtoient toutes les communautés, venues d'Europe de l'Est et du pourtour méditerranéen, et aujourd'hui du monde entier. Avec ses petites rues bien alignées où se dressent des maisons de deux étages, ses ruelles parsemées de jardinets, son atmosphère bohème, le Mile End a de faux airs du Village new-yorkais des glorieuses sixties, poussant la ressemblance jusqu'à avoir lui aussi une Little Italy comme voisine. Lesbiennes extraverties et juifs orthodoxes, vieux immigrés et primo-arrivants, antiquaires et hipsters, tous font désormais la vie de ce qui est considéré depuis peu comme le quartier le plus branché de Montréal. Des poètes comme Leonard Cohen ou des cinéastes comme Xavier Dolan y sont installés, suivant un mouvement initié il y a quinze ans par la scène indépendante musicale, à commencer par les tutélaires Godspeed You ! Black Emperor et Constellations… De nombreux labels y ont ainsi établi leurs studios, à l'instar de Dare to Care Records, de Bonsound et même d'une maison qui s'est baptisée Mile End Records. Pas de doute : avec ses nombreux cafés musicaux, comme le Cagibi, où les musiciens jouent en vitrine, et L'Assommoir, tenu par l'un des deux fils de Robert Charlebois, le Mile End concentre sur quelques kilomètres carrés une énorme créativité, qui résonne dans tout le Canada, et même au-delà. Il en va de même pour ses galeries et ses vastes ateliers d'artistes, qui ont investi des friches industrielles à l'époque où les loyers le permettaient. Car derrière cette explosion artistique, synonyme de ravalement de façades, un danger guette, à chaque coin de rue, la drôle de vie du Mile End : la gentrification. Déjà, certaines opérations immobilières attestent qu'elle a bel et bien commencé. Jacques Denis A lire les commentaires des lecteurs...sur la droite de la page. http://www.lemonde.fr/voyage/article/2011/10/05/a-montreal-le-quartier-de-mile-end-pionnier-et-alternatif_1540693_3546.html
  10. Les circonstances qui président à la création d’une ville et façonnent son destin tiennent autant de l’histoire que de la géographie. Mais à quelles causes attribuer par la suite son aura, l’art de vivre qu’on y pratique, en un mot sa personnalité ? Sur la planète globalisée, Montréal apparaît comme la ville de toutes les proximités. Ville française à bonne distance de Paris, métropole nord-américaine à un jet de pierre de New York, Montréal offre le visage d'une ville tour à tour vibrante, imprévue, aléatoire, conviviale, où créer et vivre peuvent être stimulants. Qu'est-ce qui fait la spécificité de cette ville et la rend si attachante ? Voici un instantané de la création à Montréal, en ce début du XXIe siècle, à travers les multiples disciples où s'illustre la créativité montréalaise. Cet ouvrage éclaire la contribution que cette ville, dans une perspective résolument nord-américaine, apporte à la notion de l'art pour tous formulée en son temps par Antoine Vitez. Il donne aussi à voir et à rêver. Nombreux sont les visiteurs de passage à Montréal qui n'en sont plus repartis. Montréal attire, Montréal retient. Vous laisserez-vous tenter ? Principaux collaborateurs : Caroline Montpetit, Nicolas Mavrikakis, Daniel Canty, Odile Tremblay, Guylaine Massoutre, Ian Mc Gillis, Martin Winckler, Catherine Mavrikakis. Photographes et illustrateurs : Dominique Lafond, Roger Lemoyne, Patrice Lamoureux, Gérard Dubois, Thierry Labrosse, Marie-Reine Mattera, Bérangère Ferrand. http://www.editionsheliotrope.com/librairie/32/montreal_la_creative
  11. Boom ou bulle? 6 mai 2010 | 06h37 Nathalie Elgrably-Lévy Économiste sénior, Institut économique de Montréal Depuis quelques semaines, c’est la confusion. Face à la hausse fulgurante du prix des maisons, les Québécois sont nombreux à avancer l’hypothèse d’une bulle. En revanche, la classe politique et de nombreux experts au service des grandes banques prétendent qu’en dépit des apparences, la crainte est non fondée, qu’il n’y a pas de bulle… mais qu’il faut néanmoins rester vigilant. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty a d’ailleurs annoncé en février dernier des mesures pour «prévenir» la formation d’une telle bulle. Doit-on croire ce qu’on nous raconte et présumer qu’il s’agit d’un boom, ou bien nous fier à ce que nous observons et conclure qu’il s’agit d’une bulle? Mais d’abord, comment distinguer les deux phénomènes? Trois conditions doivent habituellement être réunies pour observer une bulle : (1) la hausse des prix est très rapide et disproportionnée; (2) le crédit est facile à obtenir; et (3) des mesures incitatives favorisent involontairement des comportements non désirés. Le cas américain est éloquent. En 1995, Washington oblige les banques à accorder des prêts à des clients peu solvables (subprime). Dès 1996, Fannie Mae et Freddie Mac se lancent dans la titrisation des hypothèques à risque. En 1997, l’Oncle Sam réduit l’imposition des gains en capital provenant de la vente d'une maison. La Réserve fédérale réduit son taux directeur qui passe de 6% en janvier 2001 à 1,75% en décembre 2001, puis à 1% en juin 2003. Comme il fallait s’y attendre, le prix des maisons augmente de manière historique, et les Américains s’endettent au-delà du raisonnable. C’est la bulle! Mais la Fed augmente son taux directeur à partir de 2004, ce qui refroidit le secteur immobilier. Très vite, de nombreux propriétaires sont incapables de respecter leurs obligations financières. Les banques saisissent les maisons, les prix chutent et la bulle éclate. Si les marchés canadien et américain sont différents à plusieurs égards, ils ont en commun plusieurs caractéristiques. Jusqu’à récemment, les Canadiens pouvaient s’acheter une maison sans aucune mise de fonds et avec une hypothèque amortie sur 40 ans. Du jamais vu! À l’instar de la Fed, la Banque du Canada a réduit son taux directeur à 0,25%, un niveau historiquement très bas, tandis que le gouvernement Harper a introduit une série de mesures visant à faciliter l’accès à la propriété (relèvement de la limite de retrait des REER, crédit d'impôt pour l'achat d'une première habitation, etc.). Quant à la Société canadienne d’hypothèques et de logement, elle a augmenté considérablement ses acquisitions de titres hypothécaires. On croirait à un «remake» de l’expérience américaine! Résultat? À l’échelle canadienne, le prix moyen d’une maison a augmenté de 95% de janvier 2000 à février 2010. À Montréal, la hausse atteint 113,2%. La dette des familles canadiennes représente maintenant 142% de leur revenu disponible, ce qui les rend terriblement vulnérables à la moindre hausse des taux d’intérêt. Si ce qui précède ne constitue pas une bulle, ça lui ressemble drôlement! Comme ce fut le cas pour toutes les bulles, celle-ci finira également par éclater. Quand? Je l’ignore, mais ce n’est qu’une question de temps. Et quand les Canadiens subiront la douleur d’une violente correction immobilière, les autorités monétaires et la classe politique chercheront des coupables à lapider sur la place publique. C’est alors qu’il nous faudra rester sourds aux discours tapageurs et nous souvenir des véritables artisans de notre malheur : la Banque centrale qui a adopté une politique monétaire malsaine, et des incitations à l’endettement
  12. Ce document est purement fictif, une invention d'un étudiant dans ces moments libres. Une fantaisie d'un (possiblement) futur architecte qui aime sa ville et l'architecture, et qui s'imagine des projets un peu partout dans celle-ci. Si on me dit que je n'ai pas le droit de mettre l'insigne de la Ville de Montréal et/ou la signature de Gérald Tremblay sur le document, je les enlèverais. À noter que la signature de Gérald Tremblay est disponible sur google, en recherchant Gérald Tremblay signature. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- 13 septembre 2007 Projet pilote Développement Griffintown Historique Ancien quartier ouvrier irlandais, Griffintown fut pratiquement entièrement rasé en 1962 pour faire place à de nombreux stationnements et industries. L’ouverture du Planétarium de Montréal, en 1967, est l’un des projets de l’époque. Depuis la fin du 20e et le début du 21e siècle, plusieurs projets prirent places pour revitaliser ce quartier, considéré comme la porte d’entrée de la ville de Montréal. La revitalisation des quais du Vieux-Port et le 1 McGill sont dans les premiers projets. Viendront ensuite plusieurs transformations d’anciens édifices industriels en condos, la Cité Multimédia, les édifices de l’ETS et de nombreux complexes résidentiels. En 2006, un vaste projet de revitalisation, incluant un nouveau casino, un complexe récréo-touristique, la transformation d’une partie de l’autoroute Bonaventure en boulevard urbain et la construction de plusieurs immeubles résidentiels et commerciaux fut abandonné, dut à la trop grande opposition au ceint de la population du quartier, très défavorisée. Aujourd’hui, de nombreux projets sont proposés et en études par la ville. Situation Griffintown est bordé par le fleuve à l’est, la rue McGill au nord, la rue St-Jacques à l’ouest, et la rue Guy au sud. Profil Développement Griffintown est une division immobilière de la Ville de Montréal. Celle-ci a pour but de favoriser le développement de l'ancien quartier. Elle vit le jour après que la société Devimco proposa un projet d'envergure pour transformer Griffintown en immense centre de type milieu de vie urbain (lifestyle center), semblable au projet du même prometteur à Brossard (Quartier Dix30). Le dévoilement du projet amena plusieurs contestation au ceint de la population, dut surtout à l'uniformité architecturale des nouvelles constructions du projet. Au cours des consultations publiques qui suivirent, les commentaires négatifs recueillis s'inquiétaient de voir «le même style de bâtiments dans tout le quartier, comme il est commun de voir quand un seul promoteur développe un grand espace.» (Office de la consultation publique de Montréal) De ces commentaires, la Ville de Montréal, aidé du Ministère des Affaires municipales et des Régions du Québec, mirent au point un projet pilote, nommé Développement Griffintown, concernant le développement immobilier plus contrôlé par la ville de Montréal. Fonctionnement de Développement Griffintown Le fonctionnement de Développement Griffintown est, en quelque sorte, une acquisition des terrains de tout le quartier, mais seulement en termes de droit de regards et de décision. Les terrains appartiendront toujours à leur propriétaire, mais celui-ci ne pourra prendre de décisions sans que celles-ci soient approuvées par les dizaines d’architectes et urbanistes qui travailleront conjointement à la réalisation du projet et à son bon fonctionnement. ( Pour plus d’informations, veillez vous référer au centre de services à la clientèle de la Ville de Montréal) Objectifs de Développement Griffintown - L’objectif premier est une meilleure gestion des projets proposés, afin que ceux-ci respecte le patrimoine architectural du quartier. - Évitera des projets de masses amenant une uniformité architecturale des bâtiments proposés. - Accélèrera le processus de réalisation des projets en aillant un lien direct avec la Ville. - Facilitera la réalisation de projets en accélérant le processus de consultation publique. Vision première La vision première de ce projet pilote est la revitalisation du quartier Griffintown par plusieurs projets indépendants construis par des promoteurs et architectes autant locaux que venant de l'étranger. Les projets seront sélectionnés afin de permettre un bon équilibre entre les espaces commerciaux, résidentiels, hôteliers et de bureaux. Promesse de développements futurs Plusieurs promoteurs, grandes compagnies et plusieurs grands hôtels se disent déjà intéressés. De ceux-ci, beaucoup sont déjà à un stade avancé dans le processus de proposition. ( Plus de détails dans le prochain communiqué) Projets de réaménagement de Griffintown Afin d'attirer les projets, de nombreux travaux de réflexions des rues, d’agrandissement de trottoirs et l’aménagement de parcs seront fait par la ville de Montréal. Un agrandissement du réseau sous-terrain de la ville fait aussi partie des projets de base. ( Plus de détails dans le prochain communiqué) Communiqués à venir D’autres communiqués concernant Développement Griffintown sont à venir dans les prochains jours. Ceux-ci parleront plus du réaménagement du quartier, des projets de base, et ainsi que les projets privés qui se concrétisent de plus en plus. La Ville de Montréal, le Ministère des affaires municipales et Développement Griffintown vous remercie.
  13. Festival international de jazz de Montréal - Deux jours de plus et cinq mégaconcerts extérieurs Le Devoir Caroline Montpetit Édition du mardi 09 juin 2009 Mots clés : Stevie Wonder, Ben Harper, Festival international de jazz de Montréal, Musique, Montréal, Québec (province) Le président-directeur général du Festival international de jazz de Montréal, Alain Simard, a annoncé hier que les festivaliers pourront bénéficier de la présence de nombreux écrans géants sur lesquels seront projetés plusieurs spectacles Photo: Jacques Grenier Ce sont Ben Harper et ses Relentless7 eux-mêmes qui feront la clôture de la programmation gratuite du Festival international de jazz cette année, en se présentant à 21h30 sur la scène General Motors de la Place des festivaliers, que Stevie Wonder aura inaugurée 13 jours plus tôt. En ce 30e anniversaire de son existence, le Festival international de jazz de Montréal s'offre en effet deux jours de programmation supplémentaires, en plus de présenter des spectacles dans deux nouveaux espaces de diffusion, la maison du festival Rio Tinto Alcan et sa salle Astral, inaugurées pour l'occasion, et la Place des Festivals, où sera érigée la scène General Motors. Ces deux très gros spectacles extérieurs s'ajouteront à trois autres, dont un spectacle réunissant Patrick Watson, Lhasa de Sela et Guy Nadon, ainsi que quelques invités-surprises, le 5 juillet à 21h. Deux jours plus tard, le public pourra applaudir plusieurs artistes qui s'étaient produits dans le documentaire Rocksteady: the Roots of Reggae, qui explorait les racines du reggae en Jamaïque. Juste avant le spectacle de Ben Harper et ses Relentless7, les amateurs de rythmes cubains sont conviés à la scène Rio Tinto Alcan, où se produira une Fiesta Cubana, où l'on attend les Afro-Cuba All stars et Los Van Van. Le festival fait en effet cette année de nombreux réaménagements géographiques, du fait de la construction de nouveaux espaces, et des aménagements liés à l'érection du quartier des spectacles. Il ne s'agit de rien de moins que la maison du festival Rio Tinto, qui compte une nouvelle salle de spectacle de 350 places, un restaurant, le Balmoral qui accueillera également des séances de jam en fin de soirée, une salle de presse qui se transformera cet automne en galerie d'art, et une médiathèque qui offrira au public gratuitement, aussi à partir de l'automne, les archives du festival depuis ses débuts. Hier, le président-directeur général du festival, Alain Simard, annonçait par ailleurs que les festivaliers pourraient cette année bénéficier de la présence de nombreux écrans géants sur lesquels seront projetés de nombreux spectacles, dont les mégaconcerts mentionnés plus haut. Le Salon de guitare déménagera pour sa part ses pénates au Palais des congrès de Montréal, tandis que le Salon des instruments prendra place pour sa part au nouveau village de la musique, à l'angle du boulevard De Maisonneuve et de la rue De Bleury. C'est là aussi que l'on présentera une exposition mettant en valeur les pochettes de la collection Blue Note, à travers le temps, en première partie du festival. Parmi les très nombreux concerts gratuits qui jalonneront le festival, mentionnons Vic Vogel qui rendra hommage aux grands noms du jazz, une soirée spéciale pour saluer les 50 ans de la mort de Billie Holiday, le 6 juillet, avec Kim Richardson, et à 21h, le 3 juillet, Florence K présentera La noche de Lola avec ses musiciens, un spectacle spécialement conçu pour le 30e anniversaire du festival. http://www.ledevoir.com/2009/06/09/254073.html
  14. Écart salarial de 23% au Québec, taux de chômage mondial plus élevé pour les femmes, emplois précaires plus nombreux: les femmes et les hommes ne sont toujours pas égaux question emploi, malgré quelques progrès. Pour en lire plus...
  15. 2008. Une année qui a fait frémir les investisseurs, les travailleurs du bois, les financiers... Il faut aussi ajouter à cette liste les journalistes. Ceux-ci ont vu leur métier être en proie à de nombreux bouleversements. Pour en lire plus...
  16. De nombreux hommes de chevaux de la province craignent que l'arrêt temporaire des courses durant la période hivernale ne sonne le glas de cette industrie au Québec. Pour en lire plus...
  17. La plus grande économie européenne, est entrée en récession pour la première fois depuis cinq ans et va probablement y rester engluée pendant de nombreux mois. Pour en lire plus...
  18. Les bourses asiatiques et européennes cèdent à la panique et connaissent une autre journée noire avec des pertes considérables frôlant les 10 % sur de nombreux marchés. Pour en lire plus...
  19. Les as en capital de risque ont davantage une réputation de requins que de bons samaritains. Ils sont pourtant nombreux à vouloir redonner aux oeuvres de charité, en autant que leur argent soit bien administré. Pour en lire plus...
  20. Le plan de sauvetage des banques américaines était en difficulté face à l'hostilité de nombreux parlementaires, suscitant l'inquiétude des Bourses européennes et asiatiques. Pour en lire plus...
  21. Selon son président, la Banque Nationale n'aurait pas entaché ses relations avec les nombreux clients d'affaires à qui elle avait vendu quantité de PCAA et dont le marché est en crise depuis un an. Pour en lire plus...
  22. Profitant d'une hausse du dollar canadien, les Canadiens ont été plus nombreux à voyager à l'étranger au premier trimestre. Pour en lire plus...
  23. Des baisses de production de 20 à 25% sont attendues pour de nombreux fruits et légumes. Si la pluie se poursuit, ce chiffre pourrait doubler, s'inquiètent des agriculteurs. Pour en lire plus...
  24. Aux prises avec de nombreux obstacles (pluie, essence, économie), La Ronde fait l'expérience des montagnes russes cette saison, au point de rater sa cible de visiteurs attendus jusqu'ici. Pour en lire plus...
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