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  1. je ne crois pas que cet article à été publier encore... quand même intéressant. La souveraineté ne serait pas « mauvaise » pour le Québec Le 29 juin 2012 à 14h11 | ARGENTMise à jour le 21 février 2013 à 15h53 Olivier Bourque Argent Un chercheur de l'Institut Fraser croit que la souveraineté ne serait pas mauvaise économiquement pour le Québec. Il compare la province à la Slovaquie qui a vécu un véritable essor après l'éclatement de la Tchécoslovaquie en 1989. « Ça pourrait avoir un effet positif sur le Québec. En tout cas, ça ne serait sûrement pas la crise que certains anticipent. Je crois même que les liens avec les autres Canadiens seraient plus chaleureux », a souligné le chercheur Filip Palda, appelé à commenter un sondage soulignant que la moitié des Canadiens sont peu inquiets quant à une possible séparation. Cette position semble surprenante pour l'Institut Fraser. Leur dernière étude, qui date d'environ 20 ans, indique que les coûts de la séparation « seraient très élevés pour le Québec » et qu'un tort serait porté « aux deux économies ». « L'étude de l'institut a été publiée à une autre époque lorsque la situation était différente », a souligné M. Palda qui a confirmé que cette nouvelle position était la sienne. Il a ainsi fait une comparaison avec la Slovaquie qui est devenue un pays en 1989 après la Révolution de velours. « Avant que ça devienne un pays, nous étions pessimistes. Il était isolé, sans aucune nouvelle technologie, et recevait une péréquation. Mais les Slovaques ont généré un taux de croissance impressionnant à un rythme spectaculaire », a souligné le chercheur. « Je ne crois pas que le Québec souffrirait s'il perdait sa péréquation (NDLR: une balance de 4,4 milliards $). Pour le Québec, c'est un mauvais encouragement pour les politiciens », a-t-il poursuivi. M. Palda croit que l'avenir sera aux petites nations qui pourront tirer profit du nouveau contexte économique. « L'appartenance à un grand pays est en train de disparaître. Car la technologie permet d'avoir accès à de grands marchés. […] Avant, le commerce s'effectuait Est-Ouest au Canada, mais maintenant c'est Nord-Sud », a-t-il poursuivi. L'IREC… en accord Fait inusité, cette position rejoint celle de l'Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), jugée à gauche sur l'échiquier économique. Le chercheur Robert Laplante croit que la comparaison avec la Slovaquie n'est toutefois pas tout à fait correcte. « Le Québec a davantage de ressources et de moyens. Mais il est vrai que la Slovaquie a profité de sa séparation pour s'ouvrir économiquement », a-t-il souligné. M. Laplante croit surtout que la fédération canadienne actuelle est très loin d'aider l'économie québécoise. « On le voit très bien, a-t-il soutenu. Les sables bitumineux font hausser le dollar canadien et cela fait mal à nos exportations. Donc pour le Québec et même l'Ontario, ce n'est pas du tout viable économiquement de rester dans le Canada. » Mais comment le Québec pourrait-il aller combler le montant de péréquation qu'il reçoit chaque année? Le chercheur croit que la province pourrait couper dans le gras. « Bien sûr, c'est préoccupant. Mais il faut savoir qu'on pourrait très bien équilibrer nos finances publiques en éliminant les doublons. Il y en a beaucoup actuellement. Et les dépenses ne seraient pas les mêmes dans un Québec souverain. Pas sûr qu'on se payerait des F-35 à 30 milliards $ », a-t-il constaté. Imprimer http://argent.canoe.ca/nouvelles/affaires/souverainete-mauvaise-quebec-29062012
  2. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2013/04/25/009-theatre-imperial-diversification.shtml Le reportage de Claude Deschênes Le Cinéma Impérial, qui a 100 ans ce jeudi, redevient un théâtre. La salle de la rue Bleury recommencera à présenter des spectacles vivants tout en conservant sa vocation de cinéma. Les propriétaires ont pris cette décision pour améliorer la rentabilité du lieu. Le théâtre sera prochainement doté de tous les outils nécessaires à la présentation de spectacles grâce à un partenariat avec la firme de location d'équipements de scène APL de Montréal. Le directeur de l'Impérial, François Beaudry-Losique, croit que la présence de cette salle intermédiaire répondra à un besoin. Il a reçu des demandes pour toutes sortes de productions, notamment des comédies musicales, des spectacles de magie et d'orchestres folkloriques. Voici quelques documents d'archives en photo:
  3. Bientôt un camping urbain à Montréal ? par Philippe Lépine 17 Juillet 2012 Si l’idée de camper au centre-ville semble relever du mouvement Occupy, elle réjouit les amoureux de la nature et du tourisme durable qui ne peuvent pas s’évader de la ville. Les premiers piquets ont déjà été plantés dans certaines métropoles, et à Montréal, un projet de campings urbains est sur la table… de piquenique. Les amateurs de plein air, les cyclotouristes et les vacanciers à petit budget pourraient être séduits par l'ambitieux projet de Vincent Léger et ses partenaires : créer des terrains de camping à deux pas du centre-ville. « Une tente pour 75 dollars au lieu d'une chambre à 250, ça vaut la peine », croit le consultant en écotourisme et copromoteur du projet. Selon lui, de tels endroits permettraient à Montréal de devenir un leader en tourisme vert et de faire concurrence aux Américains, qui attirent beaucoup de voyageurs avec des campings semblables à New York. Le groupe Boréalis, dont Vincent Léger fait partie, voit grand. Il propose d'utiliser la bâche du Stade olympique, qui doit être remplacée, pour couvrir un écocamping au Parc olympique. Un autre camping pourrait être aménagé au bassin Peel, près du canal de Lachine, où les projets de casino et du Cirque du Soleil ont avorté en 2006. Ces campings seraient exclusivement réservés aux tentes et n'offriraient pas de service d'électricité, ce qui en ferait un substitut vert aux types d'hébergement traditionnels. Mais ne déroulez pas votre sac de couchage trop vite. La Ville n'a pas encore délivré les autorisations nécessaires. Les promoteurs consultent actuellement Tourisme Montréal afin d'élaborer un plan d'aménagement. Le porte-parole de l'organisme, Pierre Bellerose, croit que ce type d'hébergement pourrait attirer une nouvelle clientèle dans la métropole. « Le problème, c'est que les terrains sont très chers dans les grandes villes et qu'on ignore encore si le projet serait assez rentable », dit-il. Le groupe Boréalis serait tout de même prêt à occuper temporairement les terrains vacants. http://www.lactualite.com/culture/bientot-un-camping-urbain-montreal?page=0,1 http://ecocampingurbaincanada.wordpress.com/
  4. Je sais qu'il y a un fil là dessus, mais je ne trouve pas!! SVP Vous joindre à la page Facebook pour appuyer la cause: https://www.facebook.com/Bars.Ouverts.6.du.matin Débordements à la sortie des bars: MC Mario propose une rencontre au sommet Publié le 15 octobre 2011 à 05h00 | Mis à jour le 15 octobre 2011 à 12h33 Vincent Larouche La Presse Les débordements à la sortie des bars ont souvent fait les manchettes au cours des derniers mois. Craignant lui-même la suspension de son permis d'alcool en raison d'une série d'incidents violents, le populaire DJ MC Mario croit que le moment est venu pour une rencontre au sommet entre tenanciers, policiers et élus afin d'échanger sur la gestion des fins de soirées bien arrosées dans la métropole. « À 3 h du matin, quand tout le monde sort, ça ressemble à l'équivalent d'un Centre Bell qui se vide... après une grosse partie en séries contre Boston », reconnaît Mario Tremblay, alias DJ MC Mario. Figure incontournable de la vie nocturne montréalaise avec ses trois millions d'albums vendus, le copropriétaire du Club 1234, rue de la Montagne, se serait passé de la publicité négative des derniers mois. Le 14 septembre, La Presse a révélé que son bar avait été convoqué devant la Régie des alcools à la demande de la police. De 2005 à 2010, les policiers y ont dénombré plus de 40 incidents violents : portiers frappés à coups de couteau, clients battus par des portiers, bagarres à coups de verre, de bouteille et de chaise, coups de feu, présence de membres de gangs de rue. Lorsque les audiences ont commencé devant la Régie cette semaine, d'autres médias se sont emparés de l'histoire. MC Mario ne croit toutefois pas que son établissement pose un problème particulier. « Presque tout le monde s'est déjà fait suspendre son permis. Mais souvent, c'est déguisé en rénovations. Nous, c'est tellement médiatisé qu'on aurait du mal à passer ça pour des rénovations », explique-t-il en entrevue à La Presse. Il souligne que d'autres reportages ont montré que les débordements à la sortie des bars ne sont pas l'affaire d'un seul tenancier. En septembre, une vidéo diffusée sur YouTube et reprise par plusieurs médias montrait une disgracieuse séance de brasse-camarade entre policiers et jeunes. Quelques jours plus tard, un reportage de La Presse a évoqué la tâche difficile des deux groupes d'intervention du Service de police de la Ville de Montréal qui sont dépêchés sur le boulevard Saint-Laurent les jeudi, vendredi et samedi soir pour gérer le flot des fêtards éméchés. MC Mario affirme que plusieurs des incidents retenus contre son bar se sont produits dans la rue. « Jamais je ne pourrais prétendre faire le shérif de la rue de la Montagne, même avec mon entreprise de sécurité », dit-il. Travailler en équipe Le vétéran des boîtes de nuit croit que le contexte actuel est propice à une remise en question. Toutes les parties concernées devraient se réunir pour discuter de la situation, suggère-t-il. « La question devrait être étudiée avec les policiers, la Ville et les représentants des bars, en équipe, pour arriver à des solutions », dit-il. Il dit ne pas avoir de solution toute prête, mais est prêt à partager son expérience. « Je connais des endroits en Europe qui ferment tardivement. Ils arrêtent par exemple de vendre de l'alcool à 3 h, mais les gens peuvent rester jusqu'à 6 h le matin. Ici, on peut le faire parfois quand la police est plus tolérante, comme au jour de l'An. Et on a moins de problèmes ces fois-là », dit-il. D'ici là, il espère que la Régie sera clémente à son endroit. La décision n'est pas pour demain. Plusieurs jours seront nécessaires pour débattre devant le tribunal de l'interminable liste d'incidents qui lui sont reprochés.
  5. Montréal: un surplus «choquant» après les coupures22 octobre 2010 | 07h47 La découverte d’un surplus de 77 millions $ dans le budget 2010 de la ville de Montréal, au terme d’une année où les compressions budgétaires se sont succédé, irrite les deux partis d’opposition à l’hôtel de ville. L'hôtel de ville de Montréal (Photo: Agence QMI)Tant Vision Montréal que Projet Montréal déplorent que l’administration Tremblay ait évoqué un déficit pendant tout l’été, et demandé aux arrondissements de revoir à la baisse leurs budgets, avant ce revirement de situation. «C’est un peu l’habitude de l’administration de monsieur Tremblay, de crier au loup», avance la chef de l’opposition officielle à l’hôtel de ville, Louise Harel, qui a bien l’intention de «demander des comptes lors du Conseil municipal, la semaine prochaine», à propos des états financiers révélés par le journal «24H», jeudi. «Ça va rendre difficile les sacrifices qu’ils ont demandés aux arrondissements. En juillet, 9 millions $ ont été coupés dans des services concrets, comme des rénovations d’arénas, ou l’entretien des parcs», déplore-t-elle en entrevue. Indices annonciateurs Déjà, au cours des dernières semaines, certaines décisions de la Ville laissaient entrevoir un portrait plus rose qu’annoncé. À la mi-septembre, Gérald Tremblay a annoncé une redistribution «surprise» de 12 millions $ aux arrondissements, en fonction de critères tels les dépenses de déneigements et les coûts des services aux familles. Aussi, les pompiers et les cols bleus se sont vu offrir des augmentations salariales qui dépassaient de 1 % le cadre financier initial de la ville. Dans le cas des cols bleus, ils ont également obtenu la création de 446 postes permanents. Peter McQueen, conseiller de ville de Projet Montréal dans l’arrondissement Côte-des-Neige-Notre-Dame-de-Grâce, croit que les prévisions de déficit étaient «alarmistes», mais «de bonne foi». «Ce qu’on trouve choquant, c’est l’annonce que le directeur général va couper 125 millions $ en 2011 et un autre 125 millions $ en 2012. […] Ce n’est plus une erreur honnête, c’est jouer avec les chiffres», dit-il. Benoît Dorais, maire du Sud-Ouest et membre de Vision Montréal, est allé jusqu’à préparer une motion qui sera débattue la semaine prochaine, pour que soit revue à la hausse la dotation de son arrondissement, dont la situation financière est en «équilibre précaire». Même si Alan DeSousa, le responsable des finances au Comité exécutif, prévient que «2011 restera une année difficile», Peter McQueen croit que l’avenir est plus rose que ce qu’on laisse entendre aux Montréalais. «Je crois qu’ils [la formation du maire] sont trop pessimistes. On voit un boom à l’horizon, avec toute la construction résidentielle ou commerciale. Il ne faut pas hésiter à investir dans l’infrastructure municipale pour stimuler ces investissements», avance le conseiller.
  6. L'expert en investissements Stephen Jarislowsky ne croit pas que la vente de Bell soit une question d'importance nationale susceptible d'avoir des conséquences négatives. Pour en lire plus...
  7. Sur la rue Henri-Julien, dans le Plateau, au 4878 je crois, il y a un petit projet résidentiel que je trouve intéressant. Premièrement l'architecture est quand meme relativement audacieuse et c'est un projet assez vert tout en étant urbain mais surtout parce qu'il se trouve derrière un immeuble déjà existant. C'est à dire que pour accéder à cet immeuble de 4 étages il faut passer sous une passerelle d'un petit immeuble d'appartement et alors que l'on croit se retrouver dans la cours de l'immeuble existant on découvre le nouveau projet qui est présentement en construction. http://www.jutrascourtage.com/3-projet-condominium/Les_Quatre_Arbres.html
  8. Publié le 07 avril 2009 à 10h01 | Mis à jour à 10h03 Tomorrow's Tourist: Où irons-nous dans 20 ans? Le Burj Al Arab hôtel, à Dubaï. Isabelle Audet La Presse Ian Yeoman a lancé Tomorrow's Tourist, un livre dans lequel il se risque à prévoir où en sera le voyage en 2030. Le futurologue et professeur à l'Université Victoria, à Wellington, y présente une vision plutôt optimiste du tourisme de demain. «Toutes proportions gardées, de plus en plus de personnes vont voyager dans 20 ans, explique-t-il. La crise économique ou les changements climatiques ne devraient pas y changer grand-chose. Historiquement, l'homme s'est toujours adapté. Il va voyager, mais différemment.»Pendant plusieurs années, le professeur s'est penché sur les données touristiques passées et présentes de dizaines de destinations touristiques. Il les a recoupées avec d'autres statistiques comme l'évolution du revenu des ménages et les changements dans la structure des familles. À la lumière de ces chiffres, il croit notamment que la Chine deviendra la première destination touristique mondiale avant 2030 et que le tourisme en Europe se déplacera vers l'est, concentré autour de la mer Adriatique. Il dégage aussi des tendances qui s'accentueront au cours des prochaines décennies: le grantravelling - les grands-parents voyageant avec leurs petits-enfants, les voyages en profondeur sur plusieurs mois, et, à l'opposé, la disneylandification du tourisme. Les adultes auront, prévoit-il, un besoin croissant d'escapades pour s'éclater, magasiner, et se laisser aller à des frivolités. Dubaï, Las Vegas et Macao répondront encore plus à cette demande. L'auteur croit qu'un même touriste pourrait avoir envie de s'amuser une semaine dans les casinos de Macao, et ensuite de planifier un voyage humanitaire au Gabon. «La clé, c'est la diversification du tourisme, explique-t-il. Les Américains changent leur coupe de cheveux en moyenne à tous les 18 mois: ils aiment le changement, tout comme la plupart des Occidentaux.» Ces prévisions sont-elles réalistes? Tout à fait, croit Michèle Laliberté, analyste au Réseau de veille de la Chaire de tourisme Transat de l'ESG UQAM. «Nous ne nous sommes jamais hasardés sur cette avenue-là, mais il y a quand même beaucoup de phénomènes qui sous-tendent les affirmations du livre de M. Yeoman.» L'analyste confirme aussi qu'en période d'incertitude économique, l'industrie touristique se montre friande de telles prédictions. «Toute l'industrie touristique du Québec voudrait avoir une boule de cristal, constate-t-elle. On se rend compte que les Américains nous boudent de plus en plus et on cherche à les attirer. Avec les vols directs de plus en plus longs, le Canada devient un choix parmi une liste mondiale. La question, c'est de savoir comment se démarquer.»
  9. L'ex-gouverneur de la Banque centrale du Canada croit que l'institution qu'il dirigeait et le gouvernement Harper abordent la crise actuelle avec des lunettes roses. Pour en lire plus...
  10. Le discours de l'ancien patron de la Caisse, Henri-Paul Rousseau, n'a pas répondu à toutes les questions selon le Parti québécois, qui réclame toujours la tenue d'une commission parlementaire. Pour en lire plus...
  11. La méthode Labeaume Nathalie Collard Certains le trouvent arrogant, d’autres estiment qu’il est trop bouillant, mais il faut avouer que le maire de la Ville de Québec, Régis Labeaume, fait bouger les choses. J’assistais hier au Sommet de la culture à Québec et je ne pouvais m’empêcher de le comparer avec le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Bien sûr, les deux villes sont fort différentes. Québec est tout de même plus facile à gérer que la métropole. En outre, le maire Labeaume est encore au sommet de la vague du 400e, gonflé à bloc. Cela dit…On sent que cet homme a une vision ainsi qu’une détermination à la concrétiser. Quand il dit qu’il veut faire revivre le quartier St-Roch et en faire un quartier de la culture et de la techno reconnu partout à travers le monde et bien, on le croit. Mieux encore, on se dit qu’il va sans doute réussir. Et que ça ne lui prendra pas 10 ans et 25 consultations pour y arriver. La Capitale n’est pas Montréal mais j’avoue qu’hier, l’espace d’une journée, en voyant ce maire si enthousiaste et si déterminé, j’ai ressenti un petit pincement de jalousie…
  12. Christie's Great Estate croit que le marché de la revente d'habitations redémarre dès ce mois-ci à Montréal, malgré la morosité et la tempête économique. Pour en lire plus...
  13. La Banque du Canada émet l'avis que la crise financière internationale pourrait durer encore longtemps au point de créer d'importants problèmes économiques au pays, dont la perte de propriétés par des Canadiens. Pour en lire plus...
  14. La Commission de la construction du Québec prévoit que son industrie parviendra à se maintenir malgré la crise financière en raison des investissements gouvernementaux dans les infrastructures. Pour en lire plus...
  15. Le magnat des médias estime que les pessimistes qui croient qu'Internet va tuer la presse quotidienne sont des «cyniques égarés». Pour en lire plus...
  16. Leurs ventes pour novembre et décembre vont demeurer sensiblement au même niveau que celles de l'an dernier, si l'on en croit un sondage mené du Conseil québécois du commerce de détail. Pour en lire plus...
  17. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a accueilli favorablement, dimanche, l'ensemble de mesures économiques annoncées par la Chine et croit que d'autres pays vont bientôt l'imiter. Pour en lire plus...
  18. Jeff Rubin, économiste en chef chez CIBC, croit que les cours du pétrole «sont plus à blâmer pour le ralentissement économique mondial» que l’effondrement du marché immobilier américain. Pour en lire plus...
  19. Selon Scotia Capitaux, le creux boursier de 2008 a été atteint au début du mois d'octobre. Mais il faut tout de même rester sur ses gardes, croit le stratège Vincent Delisle. Pour en lire plus...
  20. L'ingénieur forestier et ancien directeur général du Service canadien des forêts au Québec, Gilbert Paillé, affirme avoir trouvé la solution à la crise forestière vécue au Québec. Pour en lire plus...
  21. Retour des déficits à Ottawa........ * Presse Canadienne, * 07:23 Un économiste croit que le gouvernement de Stephen Harper doit changer son approche en ce qui a trait aux dépenses du gouvernement pour éviter un déficit budgétaire. L'économiste en chef de la banque Toronto-Dominion, Don Drummond, prévoit que le budget de l'année fiscale en cours, qui se termine le 31 mars 2009, sera équilibré. Cependant, M. Drummond s'attend à un déficit de 10,4 milliards $ pour l'année suivante, et des déficits de 9,9 milliards $, 5,5 millions $ et 2,4 milliards $ pour les trois années suivantes. Selon l'économiste, Ottawa sera obligé de diminuer les dépenses gouvernementales pour éviter les déficits au cours des prochaines années. Même s'il ne croit pas au scénario de récession immédiate pour le Canada, M. Drummond prévoit néanmoins un ralentissement de l'économie canadienne.
  22. C'est ce que croit Raymond Bachand, ministre du Développement économique. Il précise toutefois qu'il ne faut pas s'attendre à une croissance fulgurante de l'économie québécoise. Pour en lire plus...
  23. Face à la crise financière, les États-Unis ont mal réagi croit le premier ministre. Il a assuré qu'il n'avait pas l'intention de réagir de la sorte. Pour en lire plus...
  24. Robert Shiller, professeur à l'Université Yale, croit que le Canada n'a pas connu une véritable bulle immobilière, mais le pays n'est pas à l'abri. Pour en lire plus...
  25. Petite nouvelle positive sur le front économique au Canada: le produit intérieur brut réel a crû de 0,7% en juillet, dépassant largement les prévisions. Pour en lire plus...
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