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  1. http://www.985fm.ca/economie/nouvelles/sears-canada-supprime-plus-de-1600-postes-pres-de-294144.html TORONTO - Sears Canada (TSX:SCC) a annoncé mercredi une nouvelle vague de licenciements touchant plus de 1600 travailleurs, dont près de la moitié à Montréal. Le détaillant a indiqué avoir supprimé 283 emplois dans ses entrepôts à travers le pays, espérant ainsi simplifier ses activités logistiques. Sears Canada a en outre dévoilé qu'il impartirait le travail de ses trois centres d'appels pour clients à Toronto, Montréal et Belleville, en Ontario, une décision qui éliminera 1345 emplois au cours des neuf prochains mois. Selon le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa, un total de 771 employés devraient donc subir une mise à pied au centre de contacts clients et au centre de logistique situés dans cet arrondissement montréalais. Le président et chef de la direction de Sears Canada, Doug Campbell, a indiqué que les suppressions d'emplois sont nécessaires à la santé de l'entreprise. «Les décisions de ce genre ne sont pas prises sans une réflexion profonde. (...) Nous planifions pour l'avenir de Sears Canada, et prenons des mesures maintenant qui nous permettront de continuer de servir nos clients», a-t-il fait valoir. Sears Canada tente de réduire ses coûts et d'améliorer ses activités dans le cadre d'un plan de redressement de trois ans visant à s'ajuster à la forte concurrence du secteur du détail. La société a fermé certains de ses magasins les plus en vue et réduit le nombre d'employés dans l'ensemble de ses activités. Les entrepôts touchés par les mises à pied les plus immédiates sont situés à Calgary, Montréal, Belleville et Vaughn, en Ontario, et en banlieue de Vancouver, a précisé le porte-parole Dan Madge. IBM deviendra fournisseur indépendant pour les services à la clientèle, les activités téléphoniques en anglais étant établies aux Philippines et celles en français émanant d'un bureau en Europe, a indiqué le porte-parole Vince Power. Sears Canada réduit l'ampleur de ses centres d'appel depuis plusieurs années. Depuis l'an dernier, Sears Canada a vendu les baux de certains de ses principaux emplacements, et a été plus agressif dans sa réduction du nombre d'employés dans l'ensemble de ses activités, allant des postes au siège social jusqu'aux services aux clients.
  2. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/nathalie-petrowski/201309/19/01-4690915-une-nouvelle-mecene-pour-les-arts-a-montreal.php
  3. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/philippe-cantin/201308/05/01-4677016-trois-influents-philanthropes-se-mobilisent-pour-le-parc-olympique.php
  4. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/06/18/003-quebec-projets-aeronautique-bourget.shtml
  5. C’est une disgrâce architecturale, Saint-Henri mérite mieux, tous les autres quartiers aussi. Ce projet n’a aucun sens, on parle d’architecture ou de développement à tout prix? Ce que je vois là c’est un hangar cheap de trois étages déposé sur une petite usine préexistante pour faire du cash vite fait. Oui au développement, oui au développement bien fait! SVP, ne pas confondre la qualité de l'illustration avec la qualité du projet
  6. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/03/12/001-cae-contrats-formation.shtml
  7. Jardin botanique Les Mosaïcultures de retour à Montréal http://fr.canoe.ca/voyages/nouvelles/archives/2012/03/20120308-165723.html Montréal recevra cette exposition horticole à l'été 2013. Le public pourrait admirer prochainement les Mosaïcultures internationales de Montréal. Après 10 ans d'absence, le Jardin botanique devrait accueillir cette exposition horticole à l'été 2013. L'événement aurait dû être organisé cette année. Une trentaine de pays, dont la Chine, la France et le Japon devraient participer à cette manifestation qui est «à la fois une compétition et une exposition où les participants sont invités à présenter leur culture à travers ce médium horticole très spécialisé et spectaculaire», explique le site de la Ville de Montréal. Les Mosaïcultures internationales illustrent l'importance de la « richesse et de la diversité culturelles de notre planète et l'importance d'intégrer l'art des jardins dans le développement du paysage des villes de ce siècle ». Soulignons que les trois premières expositions ont remporté un vif succès avec plus de 2,1 millions de visiteurs. Les retombées économiques ne sont évidemment pas négligeables, évaluées à plus de 150 millions de dollars pour la métropole. La dernière exposition de sculptures florales a eu lieu dans le Vieux-Port de Montréal, en 2003.
  8. Je sais pas pour vous, mais même si d'un côté le ralentissement de l'économie canadienne, qui est la cause de ceci, m'inquiète, je suis tout de même content de voir que mes taux hypothécaires ne risquent pas trop d'augmenter à mon renouvellement dans trois ans. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201301/23/01-4614150-la-banque-du-canada-annonce-un-statu-quo-indefini.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 Quel effet sur le prix de l'immobilier au Canada? J'espère toujours une stabilisation des prix pour laisser le rapport revenus/prix augmenter doucement, mais je redoute toujours une forte chute. J'espère que la petitesse des taux d'intérêt pourra empêcher un crash.
  9. Le mardi 13 novembre 2012 Affaires Les pilotes de ligne s'installent à Montréal 13 novembre 2012 | 12h00 ARGENT Montréal renforce sa position comme centre de décisions dans le secteur de l'aviation en accueillant le siège social mondial de la Fédération internationale des Associations de pilotes de ligne. Montréal renforce sa position comme centre de décisions dans le secteur de l'aviation civile internationale en accueillant le siège social mondial de la Fédération internationale des Associations de pilotes de ligne (IFALPA). L’IFALPA vient joindre trois autres organisations internationales du même secteur déjà établies dans la métropole. (Photo: Reuters)L'IFALPA vient joindre trois autres organisations internationales du même secteur déjà établies dans la métropole, soit l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), l'International Air Transport Association (IATA) et l'Airports Council International (ACI). Établie à Londres depuis 1948, l'IFALPA regroupe 100 000 pilotes du monde entier. Sa mission est notamment de promouvoir un niveau de sécurité maximal en aviation. «L'industrie de l'aviation civile évolue à un rythme sans précédent», a expliqué le président d'IFALPA, le commandant Don Wykoff. «IFALPA se devait d'être au centre des processus de décisions. Et ce centre est ici, à Montréal », a-t-il ajouté. L'organisation de pilotes a obtenu l'assistance de Montréal International pour faciliter sa relocalisation au Québec.
  10. Six HLM crouleront sous les pics Diane Lapointe 22 octobre 2009 Mise à jour à 13:46:53 VIEUX-LONGUEUIL. Ce n’est qu’une question de jours avant que six habitations à loyer modique (hlm) situés dans l’arr. du Vieux-Longueuil croulent sous le pic des démolisseurs. Les édifices seront complètement rasés et reconstruits à neuf, un projet de 24 M$. L’Office municipal d’habitation de Longueuil (OMHL) planche sur ce projet depuis 2006. «Ces édifices construits au début des années 1970 sont vétustes et nécessitent d’importants travaux de rénovation, explique le directeur général de l’OMHL, Sylvain Boily. Dans ces circonstances, il est souhaitable de les démolir et de les remplacer par trois nouveaux bâtiments multifamiliaux correspondant davantage aux besoins et aux normes actuels.» Essentiellement, le projet consiste à démolir les six hlm situés aux 12, 24 et 48, rue Labonté, au 35, boul. Quinn, et aux 570 et 580, rue Bord-de-l’Eau. Ces édifices comportent de gros problèmes de structure et ce, depuis leur construction. «Ils seront remplacés par trois nouveaux immeubles de six étages d’architecture moderne et certifiés LEED. Ils s’intégreront bien à l’environnement du Vieux-Longueuil et briseront l’image de ghettoïsation. Les nouveaux hlm offriront le même nombre d’unités d’habitation, soit 180, mais la superficie de chacune de celle-ci sera en moyenne de 30% plus grande, de sorte que l’ensemble du projet locatif procurera un meilleur cadre de vie aux locataires», explique Sylvain Boily. Pas sur le trottoirPlus aucun locataire n’habite ces six édifices depuis juillet dernier. Ils ont tous été relocalisés, soit dans des logements locatifs privés ou dans d’autres hlm du territoire. Les travaux de démolition devraient débuter d’ici quelques semaines et l’ensemble du complexe devrait être complété au plus tard, d’ici à mai 2011. Le projet est financé à 90% par les gouvernements du Canada et du Québec et à 10% par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). VIEUX-LONGUEUIL. Ce n’est qu’une question de jours avant que six habitations à loyer modique (hlm) situés dans l’arr. du Vieux-Longueuil croulent sous le pic des démolisseurs. Les édifices seront complètement rasés et reconstruits à neuf, un projet de 24 M$. L’Office municipal d’habitation de Longueuil (OMHL) planche sur ce projet depuis 2006. «Ces édifices construits au début des années 1970 sont vétustes et nécessitent d’importants travaux de rénovation, explique le directeur général de l’OMHL, Sylvain Boily. Dans ces circonstances, il est souhaitable de les démolir et de les remplacer par trois nouveaux bâtiments multifamiliaux correspondant davantage aux besoins et aux normes actuels.» Essentiellement, le projet consiste à démolir les six hlm situés aux 12, 24 et 48, rue Labonté, au 35, boul. Quinn, et aux 570 et 580, rue Bord-de-l’Eau. Ces édifices comportent de gros problèmes de structure et ce, depuis leur construction. «Ils seront remplacés par trois nouveaux immeubles de six étages d’architecture moderne et certifiés LEED. Ils s’intégreront bien à l’environnement du Vieux-Longueuil et briseront l’image de ghettoïsation. Les nouveaux hlm offriront le même nombre d’unités d’habitation, soit 180, mais la superficie de chacune de celle-ci sera en moyenne de 30% plus grande, de sorte que l’ensemble du projet locatif procurera un meilleur cadre de vie aux locataires», explique Sylvain Boily. Pas sur le trottoir Plus aucun locataire n’habite ces six édifices depuis juillet dernier. Ils ont tous été relocalisés, soit dans des logements locatifs privés ou dans d’autres hlm du territoire. Les travaux de démolition devraient débuter d’ici quelques semaines et l’ensemble du complexe devrait être complété au plus tard, d’ici à mai 2011. Le projet est financé à 90% par les gouvernements du Canada et du Québec et à 10% par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
  11. Berlin: pauvre, mais sexy. Montréal s'est donné jusqu'en 2017 pour devenir une authentique métropole culturelle. En attendant, nous sommes allés enquêter à Berlin, Milan et Portland, trois villes comparables à Montréal sur les plans de la taille et de la population, voir comment la culture s'y portait. D'une ville à l'autre, nous avons découvert des scènes culturelles très différentes, mais qui avaient en commun, avec Montréal, un appétit pour la création et la créativité. Dernier constat: Montréal a peut-être encore deux ou trois choses à envier aux autres métropoles culturelles, mais plus pour très longtemps. Berlin chante, compose, peint, performe, écrit, installe et crée. Berlin danse, au Ballet national, avec Sasha Waltz au Radialsystem V, au milieu de bunkers de fortune, dans des clubs qui ouvrent et ferment au gré des saisons, sur les terrains vagues le long de la rivière Spree, au Tanz im August Festival. Berlin danse, mais joue aussi avec le feu. «Berlin est une ville euphorisée par la drogue, accro aux subventions, qui se dirige tout droit vers la catastrophe parce qu'ici, tout le monde accepte le chaos.» Ces paroles sont de Klaus Lemke, le mauvais garçon du cinéma indépendant. Bien qu'elles aient été rapportées par la presse en février, c'est à peine si Berlin les a entendues. Cause toujours, Klaus... Pourtant, tous les acteurs et intervenants culturels rencontrés dans le cadre de ce reportage m'ont répété la même chose avec dans le regard à la fois un brin d'inquiétude et une lueur d'anticipation ravie. «Nous sommes comme des alcooliques qui refusent d'admettre leur alcoolisme. Nous n'avons plus d'argent, mais nous continuons à en dépenser comme des malades», m'a lancé Matthias Lilienthal, qui dirige le HAU, une des salles branchées les plus en vue de Berlin. Pauvre, mais sexy Berlin est à un tournant, c'est clair. Avec une dette publique de plus 60 milliards qui flambe 5 ou 6 millions d'euros en intérêts par jour, un taux de chômage autour de 12,7% et 20% de la population sur l'aide sociale, la ville frôle la faillite. Et pourtant, sa situation précaire la rend plus dynamique et créative que jamais avec en prime une troisième place au classement des métropoles culturelles de l'Europe, après Londres et Paris. Depuis la chute du mur en 1989 et grâce à la pluie féconde et abondante des subventions, Berlin est devenu la capitale mondiale de la danse contemporaine, de la performance, des arts visuels et de la musique classique et électro-acoustique. Tous les ans, neuf millions de touristes s'y précipitent, attirés par l'offre culturelle. Mieux encore: les artistes du monde entier se battent pour y vivre, séduits par l'ambiance bohème, l'énergie créative et la vie bon marché. Les autorités leur accordent même un visa spécial d'artiste, leur permettant d'y résider aussi longtemps qu'ils le veulent et d'avoir accès à un fonds annuel de 27 millions. «Le fonds est ouvert à tous les artistes, sans égard à leur passeport. Un seul critère: leur projet doit être audacieux, innovateur et non commercial», me lance sans sourciller, un fonctionnaire de la chancellerie de la Culture de Berlin, qui consacre 500 millions d'euros par année à la culture. Somme à laquelle s'ajoutent annuellement 400 millions d'euros versés par le gouvernement fédéral. En 2003, Klaus Wowereit, le maire ouvertement gai de Berlin, a eu cette phrase célèbre: Berlin est pauvre, mais sexy. L'expression a non seulement trouvé preneur sur les t-shirts, elle est aussi devenue la marque de commerce de la ville. Va pour la ville pauvre et sexy, mais comment expliquer que, malgré le chômage et la fuite des capitaux et des industries, les opéras, les théâtres, les orchestres symphoniques et les salles de spectacles marchent à plein régime tous les soirs? «Parce que Berlin compte 3,5 millions d'habitants et au moins 4,5 millions de dépisteurs de nouveauté, qui ne veulent pour rien au monde manquer la nouvelle affaire qui n'est pas encore née», blague Matthias Lilienthal. Plus sérieusement, le directeur du HAU ajoute: «Les Berlinois se définissent par la culture. La culture, pour eux, c'est aussi naturel que l'air qu'ils respirent. C'est dans leur ADN.» Chaque soir est un spectacle Le metteur en scène Marius von Mayerburgh offre une autre explication. Auteur en résidence du Schaubühne, un théâtre semi-privé qui ressemble au TNM, il m'initie à l'étonnant système qui a cours au Schaubühne comme partout ailleurs. Le système est basé sur une rotation quotidienne. Si vous êtes à Berlin pour trois jours, vous pourrez ainsi assister à un opéra différent chaque soir au Komische ou avoir le choix entre un Brecht, un Shakespeare et une pièce de Sarah Kane, au Schaubühne, le tout interprété par la même troupe d'acteurs permanents. «Nos acteurs jouent sept ou huit rôles différents par mois, dit l'homme de théâtre. Ça les garde en forme. Pour les touristes, c'est un système flexible qui offre plus de choix et pour les Berlinois, quand ça fait trois ou quatre mois qu'ils entendent parler d'une pièce, le bouche à oreille finit par les rattraper.» Diversité, flexibilité, abondance, la culture à Berlin est accessible partout et tout le temps. Mais il y a une autre raison qui explique la forte fréquentation culturelle: «Berlin a les loyers les moins chers d'Europe, avance Matthias Lilienthal. Quand ton loyer ne te coûte pas la peau des fesses, tu as de l'argent pour sortir et te cultiver, pas juste pour manger et dormir.» Des loyers pas chers: c'est le nerf de la guerre, l'argument répété 100 fois par le milieu culturel et par Guillaume Coutu-Dumont, un musicien et DJ de l'électro pop et un des jumeaux de l'actrice Angèle Coutu. Âgé de 33 ans et père d'un jeune enfant, Guillaume est arrivé à Berlin en 2007, en même temps qu'une douzaine d'amis musiciens montréalais. Sur le lot, seulement deux sont repartis depuis, dont son jumeau, Gabriel. Il me reçoit dans un appartement vaste et lumineux du quartier Kreuzeberg. Serge Gainsbourg joue en sourdine pendant qu'il prépare du thé. «Le rythme de vie relax d'ici me rappelle Montréal, plaide-t-il. Les gens sont cool. Les rues sont grandes. Il y a de la place. On peut respirer. L'été, c'est tout vert. Bref, c'est un cadre de vie agréable et puis on est à une heure d'avion de n'importe quelle autre ville européenne. Pour la musique que je fais, c'est l'idéal. Sans compter que pour composer, je loue un grand studio éclairé qui me coûterait 10 fois plus cher ailleurs.» Il y a cinq ans, en débarquant dans un Berlin en pleine réunification, ce qui a frappé le musicien montréalais, ce ne sont pas tant les grues qui griffaient le ciel et les cathédrales d'architecture contemporaine qui poussaient partout que le climat de grande liberté. Il me cite l'exemple d'amis italiens qui ont décidé de retaper un local abandonné pour y ouvrir un restaurant. «Ils n'avaient pas de permis et pendant deux ans, personne n'est venu leur en demander, dit Guillaume. Berlin est la ville la plus libérale que je connaisse. Tu peux présenter un show, partir un bar, ouvrir une galerie où tu veux. À Paris, si tu veux organiser le moindre évènement, il te faut 127 permis et trois toilettes chimiques. Les autorités d'ici n'infantilisent pas les gens et font confiance à leur sens des responsabilités.» N'empêche. Parce qu'il veut que son fils aille à l'école en français et se frotte à ses racines québécoises, Guillaume prévoit revenir à Montréal dans trois ans. Mais il sait que quitter Berlin sera difficile. «Berlin, aujourd'hui, c'est comme Paris dans les années 20, Londres dans les années 60 ou New York dans les années 70. Il n'y a aucune autre ville en ce moment qui bat l'effervescence, la vitalité et la créativité de Berlin, lance la journaliste et critique Renate Klett, auteure d'un livre d'entretiens avec Robert Lepage. «Quand c'est rendu que des amis new-yorkais t'appellent pour te dire qu'ils viennent d'acheter un appartement à Berlin, c'est le signe qu'il se passe quelque chose», dit-elle avant de laisser tomber: «Le revers, c'est que depuis que tout le monde veut venir à Berlin, les loyers ont augmenté de 20%, ce qui n'augure rien de bon pour l'avenir.» De la controverse et des positions radicales Thomas Oberender est le nouveau directeur du Bureau des festivals de Berlin - le Berliner Festspiele -, une instance fédérale créée il y a 60 ans qui réunit une douzaine de festivals de jazz, de théâtre, de musique classique et contemporaine, sans oublier la Berlinale du cinéma. Ce qu'il a souhaité en entrant en fonction en janvier? Plus de rentabilité pour les festivals? Non. Plus de controverse et de positions esthétiques radicales. Je lui demande pourquoi, un mois plus tard dans son bureau. «Il ne peut y avoir de création sans controverse ni clash d'idées. La controverse est un puissant moteur qui empêche la culture de s'embourgeoiser. Ce que j'aime de Berlin, c'est le mélange de glamour et de trash, de haut et de bas de gamme. Ici, il n'y a pas de nouveaux riches comme à Munich. Ici, il y a encore beaucoup d'espaces libres, ouverts et fluides où tout est possible.» La recherche du plan C L'espace le plus ouvert et le plus fluide de Berlin est sans contredit le Radialsystem V, une ancienne usine de pompage, rénovée au coût de 10 millions d'euros par un investisseur privé. Cet espace pour les arts et les idées, de 3000 mètres carrés, équipé de deux théâtres, trois studios et d'une superbe terrasse sur le Spree, a ouvert ses portes en 2006. Le succès a été fulgurant et instantané, et cela, malgré le fait qu'il s'agisse du seul lieu culturel non subventionné de Berlin. «On a deux coeurs dans notre corps, raconte Folkert Uhde, un des cofondateurs. Un pour la business, l'autre pour la création pure. La rumeur, c'est que les gens viennent ici sans savoir ce qui est l'affiche, mais convaincus que ça sera intéressant.» Et ça marche! Chaque année, le Radialsystem V vend 40 000 billets pour 180 spectacles explorant des avenues non conventionnelles en musique, chant, danse et performance. «C'est vraiment une belle époque pour les arts à Berlin, mais le poids de la dette fait peur», dit Folkert Uhde. En avril 2011, le Radial-system V était l'hôte d'une grande séance de remue-méninges qui avait pour credo: «Capitalisez vos cellules grises, carburez avec la crise.» La centaine d'intervenants du réseau international des arts de la scène en sont venus à une conclusion étonnante: c'est parce que Berlin est en crise que la ville est aussi dynamique et créative. Depuis, les artistes de Berlin sont à la recherche d'un planC pour maintenir ce fragile équilibre entre la création et la crise. Non seulement vont-ils finir par le trouver, mais ce planC devrait inspirer bien des métropoles culturelles, y compris Montréal. 5 IDÉES DE BERLIN > Exiger de l'audace et de l'innovation des créateurs. > Ne pas avoir peur de la controverse et des positions esthétiques radicales. > Accorder un visa spécial aux artistes étrangers qui veulent vivre et créer à Montréal. > Garder bas les loyers des studios et des ateliers d'artiste. > Encourager le mélange des disciplines artistiques. nb:Portland métropole internationale ??????Heuhhhhhhhhh http://www.cyberpresse.ca/arts/201203/23/01-4508765-berlin-pauvre-mais-sexy.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_hotTopics_sujets-a-la-une_1664122_accueil_POS4
  12. This is good news. The guy is a Wall Street pro and brings very good expertise to Mtl financial sector. This fund will manage International, US & Canadian money (vs just Canadian). La Presse Publié le 24 mars 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Au cours des huit dernières années, François Trahan a été désigné cinq fois le meilleur stratège boursier de Wall Street et trois fois le second par le magazine Institutional Investor, la bible du capital. Même s'il continue de gérer sa firme newyorkaise Wolfe Trahan & Co, le stratège va lancer le 2 avril prochain son premier «hedge fund» international, le Fonds Opportunités Trahan qui sera administré par sa nouvelle firme montréalaise Gestion de Capital Trahan. Le Fonds Opportunités Trahan destiné exclusivement aux investisseurs canadiens sera dupliqué en deux fonds miroirs, le Trahan hedge Opportunitys (THO) inscrit à New York pour le marché américain et un autre THO enregistré aux Îles Caïman et destiné aux investisseurs internationaux. «On n'a pas enregistré notre fonds aux Îles Caïman dans le but de permettre aux investisseurs de profiter d'un paradis fiscal. Ça n'a rien à voir. Les caisses de retraite aux Etats-Unis peuvent profiter d'un crédit d'impôt si elles investissent aux Îles. «C'est aussi le seul moyen qu'on avait pour offrir notre fonds à nos clients du Japon, de l'Australie ou de Hong Kong», insiste François Trahan, dans ses nouveaux bureaux du centre-ville de Montréal où il a installé sa nouvelle boîte Gestion de Capital Trahan. Cela fait plusieurs années que François Trahan est sollicité par les démarcheurs du Centre financier international de Montréal pour qu'il vienne s'installer dans la ville où il a obtenu son diplôme en Finances aux HEC. Même le premier ministre Charest lui a fait du genou lors d'un coktail à New York... Mais ce n'est pas pour ces raisons que la star de Wall Street a décidé de revenir chez lui. Après 12 ans à New York, il a décidé au printemps d'installer sa famille à Montréal pour se rapprocher de son père qui était gravement malade. Une semaine sur deux, il retourne à Manhattan pour superviser avec son associé les activités de sa boîte Wolfe Trahan qui compte maintenant 50 employés. «Je voulais lancer mon propre «hedge fund» et j'ai décidé de le faire à Montréal, sans en parler à personne», m'explique le spécialiste boursier. Avec le recul, il estime qu'il aurait mieux valu utiliser ses contacts parce qu'il a trouvé très laborieuses les démarches pour s'enregistrer auprès de l'Autorité des marchés financiers (voir autre texte). Collé à l'économie Comme tous les fonds alternatifs, le Fonds Opportunités Trahan sera offert exclusivement aux investisseurs aguerris, c'est-à-dire aux particuliers qui ont au moins 1 million en actifs financiers et aux investisseurs institutionnels qui utilisent ce type de placement pour réduire le risque de leur exposition aux marchés. «Notre but est de produire à chaque année un rendement positif, peu importe le comportement des marchés. Quand la bourse recule de 40% et que mon courtier me dit que je m'en tire bien avec des pertes de 30%, ce n'est pas vrai que je m'en tire bien. J'ai quand même perdu 30%», explique François Trahan. Il existe quelques fonds alternatifs gérés de Montréal mais leurs actifs sous gestion sont inférieurs à 100 millions. François Trahan anticipe que son fonds génèrera des actifs sous gestion de 1,1 milliard. «C'est le maximum que l'on peut aller chercher. À 1,1 milliard, on peut liquider nos positions en deux jours sans affecter la valeur des titres de notre portefeuille. C'est la norme qu'on a fixée. S'il y a encore de la demande on pourra lancer un fonds Opportunités 2», résume-t-il. La composition du portefeuille de ce fonds sera faite par François Trahan qui s'inspire depuis toujours de la macro-économie pour réaliser ses choix d'actifs. «Je privilégie la spécialité du portefeuille en me basant sur l'analyse quantitative. Je cherche les meilleurs actifs en tenant compte des mouvements de l'économie», explique-t-il. Deux exilés de retour Pour le lancement de sa firme montréalaise, François Trahan s'est associé à Marlyn Bilodeau, une spécialiste de l'investissement qui a longtemps oeuvré elle aussi à New York. Elle a été notamment gestionnaire de risque chez l'assureur AXA et responsable du développement de produits chez Credit Suisse Assets Management. «On a un parcours similaire. Je suis marié à une Américaine et nous avons trois enfants. Marlyn est mariée à un Américain et a trois enfants. On est revenu tous les deux à Montréal en juin dernier à une semaine d'intervalle, sans que l'on se consulte. C'est en lui envoyant un courriel durant l'été que j'ai appris qu'elle était elle aussi de retour au pays», relate avec amusement François Trahan. Marlyn Bilodeau sera président de Gestion de Capital Trahan et François Trahan, Chef des placements. «J'ai trois associés américains dans le financement de la firme mais tout le capital de départ (seed money) du Fonds Opportunités Trahan sera mon argent à moi. J'investi beaucoup d'argent dans ce nouveau fonds», souligne le stratège boursier.
  13. Publié le 20 septembre 2011 à 07h32 | Mis à jour à 13h05 Trois îles à protéger contre les promoteurs à Laval Charles Côté La Presse Les cinq députés libéraux de Laval, la ministre Michelle Courchesne en tête, ont réitéré ce matin leur appui à la protection de trois grandes îles de la rivière des Mille-Îles, entre Laval et Terrebonne. «Nous sommes sensibles à la valeur et au potentiel écologique des iles Saint-Joseph, aux Vaches et Saint-Pierre», ont souligné les députés lavallois dans un communiqué commun, dans lequel ils «réitèrent l'importance de protéger les trois grandes îles de la Rivière des Mille Îles». Hier, une étude réalisée à la demande de Mme Courchesne a été publiée par l'organisme Sauvons nos trois grandes îles. L'étude réalisée par Éco-Nature affirme qu'il faut agir rapidement pour les préserver. «En raison de la situation précaire de nombreuses espèces et des pressions grandissantes sur l'habitat, il apparaît capital d'assurer la protection de ces habitats le plus rapidement possible», affirme le rapport. Les auteurs du rapport ont passé en revue différents inventaires de la faune et de la flore réalisés au cours des dernières années, en plus de faire de nouvelles études sur le terrain. Les îles sont situées juste à l'ouest de l'autoroute 25, entre le quartier Saint-François de Laval et la ville de Terrebonne. Elles totalisent près de 200 hectares, le quart de la superficie du parc des Îles-de-Boucherville. «À elles seules, les trois grandes îles abritent 245 espèces végétales, dont 14 sont actuellement en péril et deux représentent des plantes d'intérêt. Ces habitats diversifiés supportent une richesse animale tout aussi impressionnante avec 226 espèces observées», précise le rapport. On trouve une forêt ancienne dans l'île aux Vaches, la plus grande. Cette érablière à érables noirs serait la plus vaste du Québec. On trouve aussi dans l'archipel de nombreux noyers cendrés, une présence «remarquable» pour cet arbre actuellement menacé dans toute l'Amérique du Nord par une maladie. Parmi les espèces animales observées, certaines sont en péril, comme l'aigle royal, l'alose savoureuse, l'esturgeon jaune ou la tortue géographique. «Ces îles contribuent à la biodiversité de la Rivière des Mille Îles, assurent le maintien de nombreuses espèces en péril et constituent une composante naturelle majeure dans le paysage urbain de la grande région de Montréal», conclut le rapport. «Tout ce qu'on demande, c'est que le gouvernement soit l'instigateur d'un projet d'acquisition aux fins de conservation», dit Huguette Larochelle, de l'organisme Sauvons nos trois grandes îles, qui a recueilli une pétition de plus de 40 000 signataires à l'appui de son projet de parc de conservation. Une filiale de la firme immobilière Monit, de l'homme d'affaires Alex Kotler, est propriétaire de la majeure partie de l'île aux Vaches. La Ville de Laval évalue son terrain à 5,6 millions. Monit détient aussi l'île Saint-Pierre, évaluée à 627 000$. L'île Saint-Joseph, la seule à être reliée par un pont, appartient en majeure partie à une société dirigée par Luigi Liberatore. Les terrains détenus par la société de M. Liberatore valent 2,4 millions.
  14. Il n'y a pas trois ans, trouver de nouvelles pousses technologiques montréalaises prometteuses relevait du défi. Cette année, c'est faire le tri dans le lot de ces jeunes «start-up» qui est le plus difficile. Sur les talons de Beyond the Rack et de Woozworld, en voici cinq qui pourraient faire leur marque en 2012. Gamerizon Gamerizon se spécialise dans les jeux mobiles grand public. Le succès de sa série de jeux mobiles Chop Chop lui a permis de décrocher un financement de 5 millions, l'automne dernier. Les ambitions du studio montréalais sont cependant bien plus élevées que cela: l'entreprise se voit comme le prochain Zynga, géant du jeu vidéo de prochaine génération. «L'entreprise a certainement les moyens de générer des revenus annuels supérieurs à 100 millions», estime Chris Arsenault, directeur du fonds iNovia, qui participe au financement de l'entreprise. Hopper Les sites de voyage se suivent et se ressemblent. Hopper risque de tomber comme un pavé dans la mare. Trois ans de développement et 8 millions en financement obtenus à la fin de l'été 2011 font monter les attentes pour ce moteur de recherche fondé par trois anciens d'Expedia. L'objectif: répondre à des requêtes comme «meilleures plages d'Europe» ou «villes d'Espagne» avec des résultats concrets: noms de lieux, vols abordables, hébergement sur mesure. «Il n'existe pas d'Amazon, d'iTunes ou de Google pour le voyage. C'est ce que Hopper compte devenir», a récemment déclaré Frédéric Lalonde, cofondateur de Hopper. iGet.it Des sites tels Amazon, eBay et Groupon semblent avoir saturé le magasinage à rabais sur l'internet, alors les fondateurs de iGet.it ont opté pour la formule inverse: offrir peu de produits exclusifs, triés sur le volet, à des acheteurs fortunés. Des ventes éclair qui devraient plaire aux fabricants désireux de liquider leur inventaire sans dégrader la valeur de leur marque, explique Jean-Yves Martineau, cofondateur du site. «C'est simple et ingénieux. En plus, l'équipe a déjà un oeil sur l'évolution future du site», dit Jean-Sébastien Cournoyer, de Real Ventures, un des principaux investisseurs dans iGet.it. Planora Planora s'est dotée d'un nouveau PDG en novembre dernier: Pierre Donaldson, ancien membre du conseil de Mediagrif et partenaire depuis 2005 dans le fonds BlackBerry chez JLA Ventures. C'est généralement bon signe de voir un investisseur effectuer un tel saut. Spécialisée dans la conception automatisée d'horaires de travail sur mesure, Planora a notamment permis à la SAQ de réduire sensiblement le coût de gestion de ses 3000 employés. Prochain objectif: prendre d'assaut le marché anglophone des moyennes et grandes entreprises. Wajam Google et Microsoft ne jurent plus que par la recherche sociale. Wajam se targue de les avoir coiffés au poteau. La jeune entreprise montréalaise propose aux internautes un plugiciel gratuit qui compile les recommandations de leurs contacts sur Facebook, Twitter ou ailleurs, et qui intègre les plus pertinentes dans les résultats de recherche de Bing, Google, Amazon, TripAdvisor et Yelp, notamment. Wajam vient d'ajouter une fonction de recommandation de séquences vidéo. Ne reste plus qu'à trouver une façon de rendre cette opération profitable. http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/201201/09/01-4484049-cinq-start-up-montrealaises-a-surveiller-en-2012.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-lapresseca_267_accueil_ECRAN1POS2
  15. Projets neufs / LE PIVOT,LIVRAISON SEPTEMBRE 2010 DE 21 UNITÉS Le site du projet est une tête d'ilot.Il est à la jonction des trois arthères;Papineau,des Carrières et Marquette.Un site``PIVOT``entouré de paysages urbains variés et de la piste cyclable. Vers le sud,la rue Marquette est définie pas des immeubles résidentiels de trois étages d' un coté et ouverte sur le grand espace vert de Parc Marquette de l'autre coté.La forme,ainsi que le traitement de l'enveloppe du projet reflètent la diversité du caractère urbain environnant.Du coté de la rue Papineau,l'enveloppe du projet se superpose à la ligne de la propriété.En traversant la rue De Carrière,elle se déploie en trois segments de cercle,qui s'emboîtent et se succèdent sur leurs parcours vers la rue Marquette.Face à cette dernière,la facade du batîment en retrait,par rapport à la ligne de propriété,s'ouvre sur l'ensemble du Parc à travers de larges baies vitrées qui assurent aux résidents une vue panoramique sur le Parc et sur le Mont-Royal de l'intérieur de leurs logements. http://www.jutrascourtage.com/7-projet-condominium/LE_PIVOTLIVRAISON_SEPTEMBRE_2010__DE_21_UNITES.html
  16. Publié: 06 décembre 2011 16:36 Mis à jour: 06 décembre 2011 18:52 http://www.journalmetro.com/linfo/article/1043288--montreal-en-tete-des-destinations-canadiennes TORONTO - Le site de voyages Hotwire.com a annoncé que les grandes villes et les endroits aux températures clémentes seront les destinations de prédilection des Canadiens pour la période des Fêtes. Le site d'achat de forfaits de voyage à rabais précise que Montréal, New York et Toronto occupent respectivement les trois premières places du palmarès de 10 villes. Ces trois villes sont des destinations de choix pour les Canadiens habitant près de la frontière canado-américaine. Viennent ensuite Orlando et Fort Lauderdale, en Floride; Las Vegas, au Nevada; Vancouver, en Colombie-Britannique; Honolulu, à Hawaï; Seattle, dans l'État de Washington, et San Francisco, en Californie. En raison de la fluctuation des taux de change, Hotwire.com précise que les prix dans plusieurs villes frontalières sont demeurés concurrentiels, et que cela pouvait signifier des économies importantes lors d'un voyage. La plupart des autres villes sur la liste offrent plutôt l'occasion de ranger les manteaux et de se détendre au chaud. Le président du groupe Hotwire, Clem Bason, mentionne que les taux de change favorables et les rabais importants facilitent l'utilisation maximale du budget de vacances pour les Fêtes. Par voie de communiqué, M. Bason a indiqué mardi que les Canadiens étaient désormais plus réceptifs à l'idée de passer les Fêtes dans une destination vacances, qu'elle se trouve près de la maison ou dans un autre pays. 1. Montreal 2. New York City 3. Toronto 4. Orlando 5. Fort Lauderdale 6. Las Vegas 7. Vancouver 8. Honolulu 9. Seattle 10. San Francisco
  17. Le Figaro Pour votre info, Anne Roumanoff est une humouriste française.
  18. Projet en construction ou il y avait le réveil-matin (et la grande murale de cigarette Old Chum) Il s'agirait d'un édifice de 2 ou 3 étages comprenant un Trois Brasseur et un Starbucks.
  19. Sur boulevard des Galeries d'Anjou entre l'actuel restaurant Madison et McDonald, un nouveau restaurant Les trois brasseurs sera construit sous peu. Il y a actuellement des pancartes qui annonce la venue du restaurant prochainement. Pour plus de précision sur sa localisation, le restaurant sera situé à deux pas du centre commercial les Galeries d'Anjou et il sera situé devant le Rona l’Entrepôt.
  20. Michel Munger Argent Les Québécois sont gâtés et ils doivent cesser de résister aux projets de développement économique qui leur sont proposés. C'est ainsi qu'Alain Lemaire, PDG de Cascades (CAS), répond aux inquiétudes qui découlent d'une panoplie de dossiers, tels que le renouvellement de routes ou l'exploitation des gaz de schiste. Il a pris la parole mardi dans le cadre de la Série Enjeux, des Manufacturiers et exportateurs du Québec. «Nous nous faisons mener par le bout du nez par des minorités qui nous empêchent, comme entrepreneurs, de créer de la richesse, dénonce M. Lemaire. Je ne sais pas ce que nous allons faire pour changer cette mentalité-là. Il faut en créer, de la richesse, et l'exploiter. Nous ne pouvons pas passer à côté. Si nous devenons une province de services, nous sommes cloués au pilori. Nous ne pouvons faire concurrence aux Indes et à l'Angleterre dans les services.» Les Québécois vivent dans une zone de confort, renchérit le cadet de la famille Lemaire. «Nous sommes habitués d'être gâtés, dit-il. Nous sommes habitués d'avoir la gratuité [des services]. Nous devons nous détacher de cela, sinon nous ne pourrons pas survivre. Nous pouvons aussi constater que les gens qui vivent au Sud n'ont pas les mêmes avantages que nous. Notre coût de main d'oeuvre est 50% plus cher qu'aux États-Unis.» Le patron de Cascades affirme qu'afin de créer de la richesse, il faut lancer des projets comme les gaz de schiste, mais «de façon respectueuse». «Ça s'applique à beaucoup de choses, précise-t-il, que ce soit la pollution de l'air, d'utilisation de territoires, de mines, de lignes électriques et de barrages. Regardez tous les projets créateurs. J'aimerais que l'on me dise qu'ils ne seront pas contestés. On veut refaire l'échangeur Turcot : tout le monde se plaint et on a peur de passer dessus. Mais les gens disent: pas dans ma cour.» «Au Québec, on ne veut pas qu'il se fasse de barrages parce que l'on va tuer trois ou quatre saumons», avance M. Lemaire. Il pose une série de questions qui peuvent susciter le débat : «Pourquoi une analyse environnementale prend quelques mois aux États-Unis, alors qu'elle prend deux ou trois ans à faire ici ? Pourquoi un projet, comme l'exploitation d'une mine, est-il bienvenu ailleurs alors qu'il est mal perçu au Québec ? Met-on trop en évidence le côté potentiellement dangereux ? Peut-être. Fait-on de la démagogie ? Sûrement.» La réputation de la province doit demeurer positive pour ne pas ruiner son économie, soutient le PDG de Cascades. «Soyons pro-actifs et non alarmistes», conclut-il. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/04/20110419-163859.html
  21. Le SO Rozel, maison de ville sur trois niveaux. Situé au Sud du Canal Lachine près du marché Atwater et du centre-ville de Montréal. Rue Rozel près de Wellington et du parc Marguerite-Bourgeoys. Le SO Rozel se distingue avec ses habitations de style "townhouse", chacune des 7 unités étant aménagée sur trois niveaux. Ces maisons de ville ont leur propre entrée privée sur la rue avec au surplus, la possibilité d’acquérir un stationnement intérieur au sous-sol. 6 des 7 unités ont également une cours arrière privée. http://www.sorozel.com/
  22. demandez moi pas comment j'ai trouvé ca... http://madame.lefigaro.fr/art-de-vivre/montreal-une-ile-trois-ilots-270810-28815
  23. Wow. Je pars une semaine et en revenant, je tombe là-dessus. Quelqu'un peut activer ses contacts pour en apprendre plus? http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/01/20110131-141311.html#texte
  24. Les Cours Géorgiennes - Autant en emporte le vent, version Boucherville Le Devoir Émilie Corriveau Édition du samedi 23 et du dimanche 24 mai 2009 Mots clés : Boucherville, Cours Géorgiennes, Habitation, Québec (province) «On veut que l'endroit reste privé et paisible» Trois types de bâtiments d'inspiration historique constituent Les Cours Géorgiennes. Sur la photo, le modèle Colony. À la croisée des autoroutes 20 et 30, sur la rive sud de Montréal, se trouve la ville de Boucherville. Très prisée pour son caractère familial et son patrimoine historique, cette banlieue connaît depuis quelques années un important développement. C'est au coeur de l'un de ses nouveaux quartiers que sont construites Les Cours Géorgiennes, un projet domiciliaire conjuguant architecture contemporaine et inspiration néoclassique. À deux pas du Carrefour de la Rive-Sud (Ikea), à quelques minutes à peine du pont-tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine, se déploie depuis septembre 2008 le plus récent projet du promoteur Les Habitations Signature Inc. D'une valeur de 125 millions de dollars, le concept comprend 74 bâtiments de trois niveaux, lesquels renferment un total de 592 unités de logement haut de gamme en copropriété. «Nous privilégions toujours un type d'aménagement intégré, plutôt que de construire de grands complexes d'appartements. Pour nous, la qualité de vie est très importante, et nous souhaitons que les acheteurs se sentent réellement chez eux. C'est pour cette raison, par exemple, qu'il n'y a pas de route qui passe à travers le projet. On veut que l'endroit reste privé et paisible. C'est vraiment une question de tranquillité et d'intimité», affirme Gilbert Gagné, directeur principal des ventes chez Habitations Signature. Un peu d'histoire Trois types de bâtiments d'inspiration historique constituent Les Cours Géorgiennes. Nommés Régence, Colony et Les Bourgs, ces bâtiments se caractérisent par une architecture à la fois contemporaine et néoclassique. Les colonnes, les frontons, la fenestration généreuse, la symétrie des constructions et les proportions harmonieuses rappellent le style géorgien, alors que les matériaux choisis et les couleurs donnent un ton actuel à l'ensemble. «Nous travaillons toujours en suivant un thème, explique Michelle Gaston, directrice du marketing chez Les Habitations Signature. Cette fois, nous nous sommes inspirés du film Autant en emporte le vent et de l'architecture qu'on trouve en Géorgie. Les grands balcons, les colonnes, les vastes espaces et l'entrée majestueuse, ç'a été notre point de départ, ce qui a allumé notre flamme, du côté créatif!» Acheteurs variés Conçues pour plaire autant aux familles qu'aux célibataires et aux aînés, Les Cours Géorgiennes proposent 18 modèles de condominiums différents. Pour éviter les mauvaises surprises aux acheteurs et leur faciliter le choix, tous les types de logements peuvent être visités sur place. Chacun a été décoré et aménagé de façon distincte afin que soient mises en valeur les diverses options. De l'unité moderne, dans le genre loft, à l'appartement sur deux étages, beaucoup plus classique, tous peuvent trouver leur compte en matière de style. C'est ce que souligne Mme Gaston: «Nous avons tenté d'aménager les espaces pour qu'ils conviennent à des gens de tous âges et avec des goûts différents.» L'échelle des prix, établie entre 154 000 et 287 000 $, taxes incluses, séduit plusieurs portefeuilles. La majorité des unités étant disponibles entre 180 000 et 220 000 $, de nombreux clients peuvent se permettre ce genre d'achat. «Les Cours Géorgiennes sont un projet qui convient autant au premier acheteur qu'à la jeune famille, au couple plus âgé, aux célibataires ou aux retraités. Les clients ont en moyenne 38 ans, mais on trouve vraiment des acheteurs dans toutes les tranches d'âge. Dans chaque édifice, il y a des unités pour toutes les fourchettes de prix et tous les besoins», précise M. Gagné. Bien aménagé Situé sur un terrain de 1,9 million de pieds carrés, le projet domiciliaire est bordé au nord par le parc de la Futaie (aménagé en milieu naturel) et comprend plusieurs aires naturelles. Au coeur du projet se trouve un espace vert spécialement aménagé; les résidants pourront s'y promener et profiter de la nature comme bon leur semble. Construits à bonne distance les uns des autres, tous les immeubles sont entourés de verdure. La proximité des bâtisses étant raisonnable, voire enviable, les acheteurs n'ont pas l'impression de se trouver chez le voisin lorsqu'ils mettent le nez à la fenêtre. Fait intéressant, le promoteur a pensé à aménager des piscines creusées et chauffées entre les bâtiments. Celles-ci sont accessibles à tous les résidants. Livraison En construction depuis août 2008, les premiers condos des Cours Géorgiennes ont été livrés en décembre de la même année. Plus de 90 unités sont actuellement vendues, sur un total de 592. Le promoteur estime que les derniers condos devraient être prêts d'ici trois ans. «Nous sommes dans les temps et tout va pour le mieux», confirme M. Gagné. *** Collaboratrice du Devoir *** Fiche technique - Les Cours Géorgiennes - Promoteur: Les Habitations Signature Inc. - Situation géographique: Boucherville, près des autoroutes 20 et 30, à proximité du Carrefour de la Rive-Sud (Ikea) - Nombre d'habitations: 74 bâtiments de trois niveaux comprenant un total de 592 unités en copropriété - Trois concepts d'habitation: - Régence - Colony - Les Bourgs - Modèles: 18 modèles de condominium - Superficie des unités: de 894 à 1851 pieds carrés, sur un ou deux niveaux - Prix: de 154 000 $ à 287 800 $, taxes incluses, la majorité se situant entre 180 000 $ et 220 000 $ - Premiers condos livrés en décembre 2008 - Fenestration généreuse - Nombreux espaces verts et parc à proximité - Cour privée pour les condominiums du rez-de-chaussée dans tous les bâtiments - Garages: quelques espaces prévus à l'intérieur, parc de stationnement à l'extérieur - Piscines creusées et chauffées - Vastes balcons - Foyers et sorties (barbecue et cuisinière) au gaz naturel en option - Chauffe-eau au gaz naturel - Frais de notaire inclus si l'acheteur transige avec la banque du constructeur Pour plus de renseignements: http://www.habitations-signature.com http://www.ledevoir.com/2009/05/23/251695.html (25/5/2009 8H48)
  25. lundi 10 décembre 2007 Le Cinéma Beaubien, dans le quartier Rosemont-Petite-Patrie, héritera de deux salles supplémentaires, qui devraient être inaugurées à l'automne 2008, a appris Le Devoir de source sûre. L'une comptera 50 sièges, la seconde 90. Ces deux salles, au second étage de l'immeuble, accessibles par ascenseur et escalier, seront localisées dans les anciens bureaux occupés jusqu'à l'an dernier par le Groupe Popcorn. Le Cinéma Beaubien gérait déjà trois salles au rez-de-chaussée. Le projet comporte également une rénovation générale de ces aires d'origine: de nouveaux fauteuils et la climatisation du hall modifiée pour mieux répondre aux normes. Aujourd'hui, la Fiducie du Chantier de l'économie sociale, qui investit en capitalisation dans le projet (sans remboursement de capital), annoncera la nouvelle du chantier en conférence de presse, en précisant quelles sommes seront versées dans l'aventure. La Corporation du cinéma Beaubien, propriétaire de l'édifice, absorbera la différence. Rappelons que le Cinéma Beaubien, ancienne propriété de Cineplex Odéon, alors appelé Dauphin, avait failli fermer ses portes, quand la chaîne avait périclité au début du millénaire. Repris en septembre 2001 par la Corporation du Cinéma Beaubien, une entreprise d'économie sociale, sous la direction générale de Mario Fortin, celle-ci a su prouver qu'un cinéma de quartier, présentant des oeuvres de qualité, pouvait être populaire et rentable. À l'origine, une somme de 1,2 million de dollars avait été investie pour rénover les salles. Mais le jeu en valait la chandelle. Le Beaubien possède un des meilleurs taux d'occupation (il dépasse 30 %) dans la province. Parfois, jusqu'à sept films roulent au cours d'une semaine sur trois écrans. Les salles supplémentaires permettront de multiplier les séances, de présenter davantage de productions, mais aussi de garder des oeuvres à l'affiche plus longtemps, lorsque la demande est encore forte. Jusqu'à maintenant, des films porteurs devaient être sacrifiés après trois semaines, à cause de l'infernal roulement des nouveautés. Le Beaubien conservera son apparence et sa vocation actuelle, sans se déguiser un petit mégaplex, mais en répondant encore davantage aux besoins de sa clientèle de quartier. Dans un an, tout le projet d'agrandissement et de rénovation sera terminé.
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