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  1. Bizarre qu'il n'y a pas de fil avec tout ce qui se passe présentement au Québec! Les infras coûtent 30-40% plus cher, et on se demande pourquoi on n'as pas assez de routes ou bien qu'ils soient en mauvais état! Pour lancer le débat: Mes solutions, coupons le robinet, baissons les taxes et impôts, il y en aura moins à gaspiller transformons le ministère des transports en agence de transport indépendante... le bidding de contrats d'infras doivent être ouverts à nos voisins d'Ontario/New York/Vermont/etc... ça va faire baisser les prix en titi!
  2. Salut Jack ! Il sera décédé au sommet de son histoire. Il peut être fier de ce qu'il aura accompli.
  3. Relance du Mont Orford: un hôtel et des lofts verts Publié le 09 mai 2011 à 05h00 | Mis à jour le 09 mai 2011 à 08h59 * Hélène Baril La Presse (Montréal) Des lofts aux murs de verre, complètement autonomes en énergie, équipés de lits et de baignoires sur rails qui peuvent sortir dehors par beau temps. De drôles d'habitations apparaîtront au pied du mont Orford. «Et il y aura des vélos qui produiront de l'électricité pour avoir accès à l'internet», ajoute Alain Chagnon, président du Vertendre, entreprise immobilière qui participe à une autre tentative de relance du mont Orford. Le Vertendre et Gestion Soroma, la société qui gère le centre de ski et le club de golf au nom du gouvernement québécois, sont devenus récemment propriétaires de 20% de ces deux actifs. L'autre actionnaire est la MRC de Memphrémagog, qui a acquis pour 1$ une part de 80% de la nouvelle société d'économie mixte créée pour tenter de donner un nouveau souffle à cette station touristique qui a connu plus que sa part de déboires depuis sa création, il y a 70 ans. C'est une occasion qu'attend depuis très longtemps Alain Chagnon, dont la famille a déjà réalisé plusieurs projets immobiliers dans la région immédiate du mont Orford. Depuis 2004, les Chagnon ont réuni 1000 acres de terrains au pied de la montagne, un secteur qu'ils ont commencé à aménager sous le nom de Vertendre. En s'associant avec la MRC de Memphrémagog, ils ont obtenu ce qui leur manquait pour continuer ce lotissement: un lien qui reliera leur secteur au domaine skiable, sur le versant ouest de la montagne. Ce lien fera débloquer des investissements d'une dizaine de millions de dollars dans de nouvelles activités de plein air, mais surtout dans l'immobilier, a fait savoir M. Chagnon lors d'un entretien avec La Presse Affaires. «On pense à 900 unités d'habitation au total», dit Alain Chagnon. En plus des 200 lofts accrochés à la montagne, il y aura des maisons individuelles et un hôtel de 200 chambres, le tout construit dans le respect de la nature et de l'environnement. Cet hôtel pourrait être géré par le Club Med. «Le Club Med a toujours un intérêt dans le projet», affirme le promoteur. L'autre intéressé par le projet d'hôtel est l'artiste Heinz Julen, qui a conçu l'hôtel Backstage de Zermatt, en Suisse. L'hôtelier qui s'associera au Vertendre ne misera ni sur les bars ni sur les discothèques pour attirer des clients, assure Alain Chagnon. «Plutôt sur les cerfs et les porcs-épics», dit-il. Qui paiera? La MRC de Memphrémagog a retenu une seule des trois propositions qui lui ont été faites pour relancer le mont Orford, celles du Vertendre et de Gestion Soroma. Les deux autres groupes intéressés ont été disqualifiés parce qu'ils n'ont pas réussi à réunir 1,5 million en garantie. Les deux offres rejetées sont celles de la Coopérative de solidarité du Mont-Orford, regroupement local, et de Camp Fortune, entreprise qui exploite une station de plein air dans l'Outaouais. Contre leur 1,5 million, Vertendre et Gestion Soroma ont obtenu 20% d'une entreprise dont les actifs sont estimés à 7,5 millions et dont la MRC est l'actionnaire majoritaire. C'est donc à la MRC que revient la responsabilité de préserver l'intégrité du territoire du parc national du Mont-Orford. Il n'y aura ni constructions, ni nouvelles pistes de ski, ni rien d'autre sur le territoire du parc, qui est protégé, affirme Guy Joron, directeur général de MRC. Rien, à part les «quelques pylônes» nécessaires au lien vers le Vertendre, précise-t-il. Le coût des projets d'aménagement de la station touristique sera assumé par la société d'économie mixte qui, en tant que propriétaire d'actifs estimés à 7,5 millions et sans aucune dette, pourra emprunter les fonds nécessaires. Alain Chagnon ajoute que la société pourra profiter des programmes gouvernementaux d'aide à l'investissement. Il ne prévoit pas de conflit entre les intérêts collectifs de la MRC et les intérêts privés du Vertendre et de Gestion Soroma. «Si on y trouve notre compte, tout le monde y trouvera son compte», espère-t-il. Parce qu'il vit et travaille dans la région et que ses enfants vont à l'école du coin, Alain Chagnon se dit prêt à prendre plus de risques qu'un promoteur de l'extérieur. «Si on perd de l'argent pendant deux ans, je ne vais pas m'en aller ailleurs», assure-t-il. Après la faillite et les disputes, les projets de vente et de privatisation qui n'ont pas abouti, le gouvernement du Québec a finalement réussi à se débarrasser du problème du mont Orford. Une ère nouvelle commencera le 1er juin, date à laquelle la société d'économie mixte commencera officiellement ses activités.
  4. Toronto rafle le paquet… pour Montréal des miettes Serge Joyal, sénateur Où en sommes-nous un an plus tard dans la course au leadership culturel dans laquelle sont engagées Montréal et Toronto? On a beau lever le nez sur Toronto et penser qu’ «on est toujours seul au monde» comme dit la chanson de Starmania, n’empêche que, comme Montréal puise largement aux mêmes sources de financement privées que Toronto, ce que la Ville-Reine siphonne de tous bords pour financer ses sept nouveaux équipements culturels majeurs, c’est autant de moins de disponible pour Montréal. Le marché des fonds privés n’est pas indéfiniment élastique. Qu’on en juge : au total Toronto aura raflé, à ce jour, plus de 565 millions de dollars du secteur privé pour financer le milliard et plus que couteront ses 7 projets d’agrandissement ou de construction de musées, de salles de concert, de spectacles et de Festival. À Montréal, l’an dernier, les 7 institutions culturelles correspondantes auront ramassé en tout et pour tout 25 millions de dollars. Cela ne représente pas plus que 4.5% de ce que Toronto aura recueilli! En fait, parce que Montréal a mis ses priorités ailleurs, dans le cadre du programme d’infrastructures publiques financé par le fédéral, exclusivement dans la réfection de ses égouts et aqueducs (126 millions de plus cette année sur les 270 millions de ce budget, selon l’annonce du 1er juin 2006, dont 35 millions proviennent du transfert fédéral de la taxe d’essence) , elle a laissé, à toutes fins pratiques, le champ libre à Toronto pour rafler à peu près tout du secteur privé et obtenir des commandites et partenariats de compagnies, sociétés et fondations nationales qui ont littéralement pressé le citron au maximum, ne laissant à Montréal que des miettes. J’en veux pour exemple deux contributions majeures, celle de Telus, et celle de Bell Canada, deux entreprises qui ont un large marché au Québec, et dont l’une, Bell Canada, a toujours son siège social à Montréal depuis sa création en 1880. Ainsi, Telus a contribué cette année 10 millions à la construction du nouveau Conservatoire de Musique de Toronto (Projet total de 119 millions) et s’est aussi engagé à recueillir un autre 5 millions auprès de son réseau d’affaires . Dans le même temps, Telus aura donné cette année 20 000 dollars (2 000 dollars l’an dernier) au Musée des beaux arts de Montréal et 25 000 dollars aux Grand Ballets Canadiens. Mais, rien au MAC, au CCA, à l’Opéra de Montréal, ou à l’OSM. Quant à Bell Canada dont le nombre d’abonnés au Québec est toujours élevé depuis des lustres, elle donne 25 000 dollars par année au MBAM (depuis 1998 jusqu’en 2009); jusqu’à l’an dernier, 50 000 dollars par année (2000 à 2005) au MAC; et 21 000 dollars en 2005 aux Grands Ballets. Mais, rien au CCA, rien à l’Opéra de Montréal, ni à l’OSM . Pendant ce temps là, à Toronto, Bell est devenue, jusqu’en 2023, le fournisseur exclusif du nouveau «Festival Centre», ce même centre où se déroulera le Festival du Film de Toronto (devenu le 2ième en importance au monde après Cannes) pour un montant de plusieurs dizaines de millions de dollars, probablement au-delà de 30 millions, si l’on en juge par les annonces diffusées les 1er et 11 septembre 2006 . Ce n’est pas que Bell ou Telus boudent Montréal; c’est Montréal qui n’offre pas à Bell et Telus l’occasion de se manifester en grand, à ce niveau de contribution. En d’autres mots, parce que Toronto s’est donnée un plan stratégique de développement culturel axé sur de grands projets d’infrastructures et d’équipements qui la situeront à la fine pointe des institutions semblables en Amérique, elle a réussi à littéralement écrémer le marché des commandites privées auprès des grandes entreprises canadiennes, même de celles qui sont bien implantées, et ce depuis fort longtemps, dans le marché montréalais. De plus, le gouvernement ontarien fait des pieds et des mains pour obtenir du fédéral 49 millions de plus aux 140 qui ont déjà été versés pour ces 7 projets et leurs fonds de dotation. La faiblesse de notre leadership conjugué, Montréal-Québec-Ottawa, aura fait en sorte que la très grande majorité des fonds disponibles chez les grandes entreprises aura été canalisée vers le financement des équipements culturels de Toronto. Ce manque à gagner pourrait éventuellement être compensé si les entreprises situées au Québec contribuaient au financement de la culture au moins autant que celles actives ailleurs au Canada, en particulier en Ontario. Mais la Chambre de Commerce de Montréal, dans une étude exhaustive publiée en novembre 2005, a fait éclater le mythe voulant que la culture soit une priorité collective au Québec, supportée à sa juste part par les milieux d’affaires. L’étude conclut : «Le Québec se classe bonne dernière parmi les provinces pour l’importance des dons qui sont de petite envergure» (page 8) et plus loin « La tradition de philanthropie est peu développée parmi les entreprises francophones au Québec» (page 9) . On est donc doublement frappé : d’un côté on n’a pas de projets mobilisateurs capables d’aller chercher notre part du gâteau, et de l’autre, les nôtres sont en fait moins intéressés par la culture que leurs vis à vis ailleurs au Canada ! Même les québécois demeurent les moins généreux au pays, selon Statistique Canada . Il y a donc pour nous, d’une certaine façon, «un prix à payer» pour notre manque de vision dans la gestion de la modernisation de nos grands équipements culturels. Qui plus est, le marché de l’art canadien est maintenant concentré pour de bon à Toronto. Depuis, un an, les ventes aux enchères d’art canadien ont totalisé 47.8 millions à Toronto, contre à peine 4 millions à Montréal, soit moins de 10 % ! On a en fait l’impression que depuis un an on fait du sur place, quand on ne s’embourbe pas. Qu’on en juge : 1) L’Opéra de Montréal souffre! la démission du conseil de son principal mécène, M. Hans Black, a coupé les jambes à l’institution. Un différent sur la programmation était à l’origine de la dispute. 2) Le Festival International du Film de Montréal (FIFM) n’a pas eu lieu en 2006. On a passé l’hiver dernier à enquêter sur l’utilisation du million en subvention dépensé l’an dernier qui a produit la faillite que l’on sait. M. Losique, avec son FFM, continue de ramer contre vents et marées, sans un sou des gouvernements de Québec et d’Ottawa. 3) Le Musée d’Art Contemporain a produit un ambitieux projet de 100 millions pour le réaménagement de ses collections d’art moderne au sommet des silos à grain (no 5) désaffectés dans le Vieux-Port. Mais du côté des gouvernements, c’est un silence…de mort. Le MAC est un musée d’état et on connaît la rapidité légendaire des bureaucrates pour fournir des réponses qui permettraient d’enclencher à court terme le projet. On s’en reparlera dans… 4) Le MBAM se débat comme un beau diable pour concevoir un projet d’agrandissement qui lui permettra de prendre tout le potentiel que ses dirigeants dynamiques sont en mesure de lui inculquer. 5) Les gouvernements provincial et municipal et les représentants de l’OSM ont bien annoncé à la fin de juin un PPP de 105 millions pour la construction d’une nouvelle salle sur le site de la Place des Arts mais personne ne connaît encore l’identité de l’entreprise du secteur privé qui soit preneur, et la date d’ouverture en est reportée en 2011 ! Vous avez bien lu, d’ici ce temps-là on aura eu quelques élections municipales, provinciales et fédérales. On a d’ailleurs déjà eu cette annonce du gouvernement précédent… 6) Le quartier des spectacles avance…à pas de tortue. L’annonce d’une contribution par la Ville en novembre est opportune, mais ne fait pas oublier que le manque de financement de d’autres sources que les fonds publics empêchera le plan global de se réaliser. En fait, de puis un an, on s’est plus appliqué à faire un faux débat public en prétextant opposer le «béton à la création», comme si on pouvait isoler les institutions et le support qu’elles apportent à la définition de l’excellence et au relèvement de la qualité, et du statut des créateurs. C’est un faux argument qui ne résiste pas à l’analyse. Les chiffres révélés par Statistique Canada le printemps dernier démontrent, on ne peut plus clairement, qu’à Montréal les artistes sont moins bien rémunérés qu’à Toronto, soit en moyenne 26 245$ par année comparativement à 34 139$ (le revenu le plus élevé au pays). Malgré tous les beaux discours sur la création et la priorité qu’on est censé faire de l’aide aux artistes, les chiffres ne mentent pas : ils ont encore à se débattre avec un salaire de pitance. Même plus, le gouvernement de M. Harper a coupé de moitié l’annonce des 300 millions de plus au budget du Conseil des arts du Canada qu’avait réussi à obtenir Lisa Frulla l’an dernier. L’argument souvent répété que le Québec dépense plus en moyenne que les autres provinces, pour la culture, lui aussi en prend un coup. En fait, en dépenses culturelles, Québec est devancé par la Saskatchewan, et dépense à peine 1% de plus que le Manitoba. Ce qui permet en fait au Québec de figurer en tête du peloton pour les dépenses publiques en culture, c’est le fait que le fédéral dépense plus au Québec que le Québec lui-même (156 millions contre 153) et que nulle part ailleurs au Canada (c’est 119 millions en Ontario) . On peut bien continuer de se bercer d’illusions, d’entretenir le mythe que la culture est une priorité au Québec, que tout est mis en œuvre pour garantir son développement, et notre capacité commune à en faire un élément distinctif de notre rapport au monde et à la civilisation, mais c’est un mythe qui malheureusement ne survit pas au test de l’analyse toute crue. Où en serons-nous dans sept mois, à l’aube du Sommet sur la Culture attendu à l’automne 2007? Nous contenterons-nous d’ergoter sur les priorités de l’an 2015? A qui chercherons-nous alors à faire porter la faute quand on regardera avec envie ce que nos voisins auront accompli et la profondeur du « déficit culturel » qu’il nous faudra combler? Où se situe vraiment la culture entre un Québec lucide, et un Québec solidaire?
  5. Bonsoir, J'ai fais un petit plan de ce que la carrière Francon aurait l'air transformé en milieu naturel. Premièrement, l'accessibilité du site est excellente , avec la station Pie-Ix de la future ligne Mtl-Mascouche et la future voie réservé de la rue Pie-Ix. Légende: Ligne bleu : Ligne Mtl-Mascouche de l'AMT Ligne blanche : Voie réservé sur Pie-IX Tracé vert : Nouvelle piste cyclable Lignes rouges : Accès de la rue Pie-IX vers la carrière avec esscaliers pour y descendre Du côté gauche, il y aura des escaliers à chaque bout de rue. comme ceux là Bon, voici le résultat Avant Après Quand pensez vous ?
  6. La Presse Canadienne 20 novembre 2009 La Ligue nationale d'improvisation (LNI) déménage sa patinoire au Club Soda, à Montréal, où aura lieu sa 32e saison d'activités. La direction du Medley, ancien domicile de la LNI, avait annoncé plus tôt ce mois-ci qu'elle devait vendre le bâtiment en raison d'une faible rentabilité et des coûts «énormes» prévus pour rénover l'édifice qui fermera le 31 décembre. Selon le directeur général du Théâtre de la LNI, Étienne St-Laurent, la configuration du Club Soda permettra de présenter les matchs d'improvisation en ayant du public réparti sur les quatre côtés de la patinoire. Par communiqué, il assure que même si un peu moins de spectateurs pourront assister aux représentations, «l'ambiance sera plus que jamais survoltée grâce à la proximité du jeu et aux possibilités techniques» offertes par le Club Soda. La cérémonie des étoiles de la LNI aura lieu au nouveau domicile le 30 novembre. Un spectacle musical de chansons improvisées mettant en scène les Wonder-trois-quatre sera alors présenté. La 32e saison de la LNI débutera le 15 février, à 19h.
  7. trouvé sur Cyberpresse.ca http://www.cyberpresse.ca/vivre/societe-et-sexualite/200907/15/01-884359-une-croissance-demographique-prevue-au-quebec.php Excellentes nouvelles. Maintenant que nous avons commencé à renverser la tendance, il faut continuer dans la même direction. Il faut aussi continuer avec l'immigration car c'est le seul moyen de faire "rajeunir" la poluation du Québec. Avec 28% de la population qui aura plus de 65ans, ça va nous couter cher en osti pour les soins de santé!
  8. Relance : le plan Harper ne fonctionne pas * Presse Canadienne, * 07:16 Selon le directeur du budget, l'économie canadienne ne retrouvera pas son plein potentiel avant l'année 2014. Le directeur parlementaire du budget, Kevin Page, estime que 100 000 emplois seront encore perdus, cet été, et qu'il n'y a eu aucune preuve jusqu'à maintenant que le plan de relance du gouvernement fédéral aura un impact sur l'économie du pays. M. Page a affirmé aux journalistes, mercredi, que les 46 milliards $ qu'Ottawa s'est engagé à verser sur deux ans pour stimuler l'économie n'adouciront pas énormément les effets de la récession sur l'emploi, les revenus et la production au pays. Et même si le gouvernement de Stephen Harper a publié sa mise à jour économique, en juin, en alléguant que "80 pour cent (des engagements) ont déjà commencé à être mis en oeuvre", M. Page a précisé qu'il n'était pas évident de déterminer à quel point la situation avait commencé à s'améliorer. "C'est probablement trop tôt pour s'attendre à ce que le plan de relance ait un impact important, a-t-il affirmé. Il faudra attendre l'automne avant de commencer à en voir les effets. (...) Je pense que le gouvernement fournit des informations sur ses engagements. Quand on recevra les données (...), on verra le niveau de l'impact." Même si le plan de relance a les effets escomptés par le gouvernement, les 190 000 emplois qui devraient être épargnés ou créés, selon les prévisions du fédéral, auront néanmoins été éclipsés par les 453 000 emplois qui auront été perdus. Les prévisions de M. Page sur l'emploi et l'économie font partie de l'évaluation de la conjoncture économique et fiscale sur cinq ans qui a été rendue publique, mercredi. Dans cette évaluation, le directeur parlementaire du budget s'est fié sur les plus récentes prévisions sur l'économie et sur la reprise qui suivra. Certaines données rassemblées dans le document de M. Page avaient auparavant été divulguées aux journalistes par des députés, qui en avaient reçu un exemplaire en début de semaine. Le directeur du budget a toutefois présenté de nouvelles analyses des données, lors de sa conférence de presse mercredi. M. Page a notamment indiqué que le ralentissement économique était au moins aussi grave que celui qui a frappé le Canada au début des années 1980 et 1990, et même pire à certains égards. Mais quant aux effets à long terme, la présente récession ressemble davantage à celle de 1991-1992, dont le Canada avait mis des années à se remettre. Selon le directeur du budget, l'économie canadienne ne retrouvera pas son plein potentiel avant l'année 2014, tandis que le taux de chômage national n'aura toujours pas retrouvé dans cinq ans la moyenne de 2008, qui était de 6,2 pour cent. Par ailleurs, les répercussions du ralentissement pour le gouvernement fédéral sont sérieuses, a soutenu M. Page. Ottawa accusera des déficits budgétaires atteignant 155,9 milliards $ au cours des prochaines années ainsi qu'un déficit structurel avoisinant les 12 milliards $, qui persistera même quand l'économie aura renoué avec la croissance. Il y aura déficit structurel, ont expliqué les fonctionnaires du budget, parce que la capacité économique du pays se sera contractée pendant la récession, et en raison de l'introduction par le gouvernement d'une réduction d'impôt sur le revenu des entreprises à 15 pour cent d'ici à 2012. Les déficits structurels se traduisent par un bilan financier qui demeure déficitaire à suite d'une récession, même lorsque l'économie fonctionne de nouveau à plein. Pour sortir de cette spirale, les gouvernements doivent habituellement se résoudre à réduire leurs dépenses, à augmenter leurs revenus grâce à une hausse des impôts ou à d'autres mesures, ou encore à adopter l'une et l'autre de ces mesures. Par ailleurs, M. Page a expliqué la divergence entre ses chiffres et ceux du budget de janvier du gouvernement fédéral _ dans lequel les conservateurs avaient inscrits des déficits atteignant 85 milliards $ _ par le fait que la récession a été beaucoup plus sévère que ce qui avait été anticipé en début d'année.
  9. Vers une période soutenue de croissance au Canada Publié le 25 mai 2009 à 16h19 | Mis à jour à 16h22 La Presse Canadienne, Ottawa Les Canadiens peuvent s'attendre à une période soutenue de solide croissance au cours de la décennie à venir, mais cette période sera différente de la plus récente qui s'est soldée par un effondrement de l'économie, selon un rapport de la Banque CIBC.(T.TCM) La prochaine décennie verra l'économie mondiale changer de façon fondamentale, mais aura aussi des airs de déjà-vu pour le Canada puisque l'ouest du pays retrouvera sa place au premier plan, le dollar canadien sera fort et la valeur des actions montera en flèche, affirment les économistes de la CIBC. L'économie canadienne dépendra moins des consommateurs ou des Etats-Unis, ce qui constituera pour elle le plus important changement, ont écrit dans leur rapport les économistes Avery Shenfeld et Benjamin Tal. Dans l'ensemble, les deux spécialistes dressent un portrait rose d'une décennie qui se mettra en branle lentement l'an prochain, mais qui démarrera vraiment grâce à la croissance mondiale et la poussée de la demande des consommateurs dans les économies émergentes comme la Chine et l'Inde, de même que dans les pays riches en pétrole comme les nations membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie. «Je suis optimiste, en particulier par rapport à ceux qui disent que l'économie s'est enfoncée dans un trou si profond (...) que nous allons en payer le prix», a indiqué M. Shenfeld, économiste principal à la CIBC. «Ce n'est pas parce que la croissance de la dernière décennie reposait de façon exagérée sur un effet de levier que nous sommes condamnés à une lente décennie de croissance mondiale», a-t-il ajouté. L'économie du Canada sera stimulée par les exportations, en particulier celles des produits de base, dont les prix retrouveront une partie de leur lustre grâce à la hausse de la demande dans les marchés en pleine croissance. «Nous n'allons pas rompre nos liens avec l'économie américaine, mais la nature de ce que nous vendons dans le monde sera beaucoup plus déterminée par la demande en provenance de l'Extrême-Orient. Même (dans le cas des matières premières) que nous vendons aux Etats-Unis, les prix seront davantage déterminés par l'Extrême-Orient», a indiqué M. Shenfled. La baisse de l'importance des Etats-Unis aura un impact sur le dollar américain, qui perdra 20 pour cent de sa valeur au cours de la décennie, selon le rapport. En contrepartie, la valeur du huard sera de nouveau supérieure à celle du dollar américain. Cela aura un effet négatif sur le secteur manufacturier du Canada central et les exportations de produits forestiers, mais profitera au secteur des ressources de l'Ouest.
  10. "Le maire de Longueuil, Claude Gladu, a annoncé hier qu’il ne sera pas candidat à la prochaine élection municipale, le 1er novembre prochain. Son collègue, le vice-président du Parti municipal de Longueuil (PML), Jacques Goyette, prendra sa relève en tant que chef du parti et il devrait faire face à l’ex-députée bloquiste Caroline St-Hilaire à l’élection. Conseiller municipal depuis 1982, M. Gladu a été maire de Longueuil de 1994 à 2001, pour ensuite occuper le poste de président de l’arrondissement du Vieux-Longueuil de 2002 à 2005. Élu maire à nouveau le 6 novembre 2005, il aura eu une vie politique active de 27 ans." http://www.journalmetro.com/linfo/article/215616--la-parole-a-claude-gladu-maire-demissionnaire-de-longueuil J'aimais bien M. Gladu. Il a 69 ans, je pense qu'il voulait prendre sa retraite. Je l'ai recontré à plusieurs reprises, il était un supporteur de mon organisme culturel, c'était un bon gars et un bon politicien. Merci Claude!
  11. La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, annonce qu'il n'y aura pas de commission parlementaire sur les pertes de 40 milliards de dollars à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Le Parti québécois juge cette décision irresponsable. Pour en lire plus...
  12. Les 27 pays de l'UE s'entendent sur le traitement des actifs toxiques des banques. Cette gestion se fera dans un cadre européen, mais chaque pays aura une grande flexibilité. Pour en lire plus...
  13. Mardi prochain, sur le coup de midi, le 44e président américain, Barack Obama prononcera son discours inaugural. Un discours historique. Un discours qui aura des répercussions majeures sur l'économie et la Bourse. Pour en lire plus...
  14. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, affirme que son budget du 27 janvier sera axé sur les dépenses, mais admet que cela aura un impact sur les finances publiques. Pour en lire plus...
  15. La firme de courtage immobilier estime que, contrairement à ce qui s'est passé aux États-Unis, il y aura une correction et non un effondrement du marché de la revente au Canada en 2009. Pour en lire plus...
  16. On peut affirmer sans trop douter que 2008 a été une année de crise. Des scandales à la crise financière, en passant par la chute des Bourses, l'année aura été une des plus difficiles depuis la Grande Dépression. Pour en lire plus...
  17. Après un automne de crise financière et de craintes récessionnistes, voici qu'arrive le Temps des Fêtes. Plusieurs anticipent une baisse de la consommation en raison de l'inquiétude généralisée. Une inquiétude que des entreprises n'hésitent pas à utiliser pour promouvoir leurs produits, ou même en créer de nouveaux. Au bout du compte, malgré le sérieux de la situation, il y aura moyen de sourire un peu pendant ce temps des fêtes teinté de rouge. Pour en lire plus...
  18. L'économie des États-Unis, qui sera en récession l'an prochain, connaîtra le ralentissement le plus marqué de la zone de l'Organisation pour la coopération et le développement économiques. Pour en lire plus...
  19. De leur arrivée en jet privé à leur demande de chèque en banc, la visite des PDG des trois grands de l'automobile à Washington aura été un désastre. Pour en lire plus...
  20. Ottawa a finalement débloqué un projet de constellation de satellites qui aura des retombées considérables à Sainte-Anne-de-Bellevue. Pour en lire plus...
  21. S'il n'en tient qu'à une annonce matinale du géant des télécoms, le rachat et la privatisation par le régime des enseignants ontariens Teachers' aura lieu dans un mois malgré la crise du crédit. Pour en lire plus...
  22. Au lendemain de l'élection de Barack Obama, les investisseurs s'inquiètent de l'ampleur de la tâche qu'il aura à accomplir pour redresser une économie vacillante. Pour en lire plus...
  23. L'entreprise prévoit désormais un ralentissement économique prolongé ce qui aura un influence sur les résultats trimestriels. Pour en lire plus...
  24. Publié le 25 septembre 2008 à 08h15 | Mis à jour le 25 septembre 2008 à 08h18 La Fondation David Suzuki s'implante à Montréal François Cardinal La Presse Curieusement absente du Québec depuis sa naissance il y a déjà 18 ans, la Fondation David Suzuki annoncera aujourd'hui qu'elle comble cette lacune en inaugurant sa toute première antenne locale, a appris La Presse. Bien que l'organisation ait crû à un rythme impressionnant au cours des années grâce à la notoriété de son fondateur, le scientifique David Suzuki, il aura fallu qu'un tout nouveau dirigeant francophile en prenne la barre pour que le Québec se retrouve soudainement dans l'écran radar. Nommé au début de l'année, Peter Robinson a en effet placé tout en haut de ses priorités l'implantation de son organisme dans la province. Il a en quelque sorte appliqué la même recette éprouvée lors de son passage à la direction de Mountain Equipment Coop, qui compte grâce à lui deux magasins dans la région (un troisième s'ajoutera bientôt). «C'était une priorité d'avoir une présence formelle au Québec. D'abord parce que l'environnement est au sommet des préoccupations des Québécois. Ensuite parce que la Fondation ne peut se dire nationale tant qu'elle n'est pas implantée au Québec», a-t-il indiqué lors d'une entrevue qui s'est déroulée uniquement en français. Le directeur du bureau québécois est Karel Mayrand, un environnementaliste bien connu qui était jusqu'à récemment directeur d'Unisféra, un centre d'expertise sur le développement durable, et de Planétair, un programme de crédits de compensation de carbone. M. Mayrand aura un titre différent de celui des autres directeurs provinciaux de la Fondation, qui ont leur bureau à Vancouver, au quartier général de l'organisation. Il aura ainsi une plus grande marge de manoeuvre pour implanter des programmes propres au Québec, par exemple, ou mettre sur pied un site internet complètement distinct. «Nous avons adopté le modèle de Mountain Equipment Coop, qui fait sa force au Québec», précise le nouveau directeur. Pourquoi un nouveau groupe au Québec alors que la province en compte déjà beaucoup? «Car chacun a sa spécificité, précise Karel Mayrand. On veut ajouter plus de poids scientifique, faire le lien entre l'environnement, la science et l'éducation. On veut aussi ajouter des ressources en recherche, en communication et en diffusion des solutions.» «Il ne faut pas oublier que les groupes ne sont pas en concurrence, mais bien en partenariat», a renchéri Peter Robinson.
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