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  1. Nouveau projet immobilier sur l'Ilot Mont-Royal Ford - Le Plateau sans concession ! MONTREAL, le 4 sept. /CNW Telbec/ - C'est lors d'une rencontre avec les citoyens de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal que le Groupe Gabriel a dévoilé hier son projet de développement sur l'ancien site du concessionnaire Mont-Royal Ford, entre les rues Fullum et Messier. Le Groupe Gabriel a ainsi annoncé son intention de démolir, dès que possible, tous les bâtiments de l'ancien concessionnaire automobile pour les remplacer par un projet résidentiel avec une partie commerciale sur le côté nord de l'avenue du Mont-Royal. Des bonnes nouvelles pour les résidents du secteur Le projet propose la relocalisation du Metro Supermarché Mont-Royal (actuellement au coin de la rue Parthenais), lequel comprendra, aux deux étages supérieurs, 46 unités d'habitation dont 23 logements sociaux. Ce nouvel emplacement, d'une superficie plus grande, notamment pour la préparation d'aliments en sous-sol, permettra non seulement une meilleure offre alimentaire dans le secteur, mais aussi une gestion nettement améliorée des livraisons et de la circulation. Sur la portion nord du site, 180 unités d'habitation en copropriété seront construites, dont plus d'une quarantaine spécifiquement destinée aux familles. Une attention toute particulière a été portée afin d'élaborer un projet qui saurait maximiser les espaces verts, minimiser le stationnement sur rue et offrir des avantages aux cyclistes. C'est ainsi que l'architecte Louis-Paul Lemieux, de l'Atelier Ville Architecture Paysage, a présenté un projet aux lignes architecturales originales, proposant la construction de quatre bâtiments disposés perpendiculairement aux rues Fullum et Messier. Cette disposition des bâtiments, contrairement aux alignements traditionnels en façade des rues, permet des percées visuelles majeures tout en améliorant la qualité du milieu de vie et de l'environnement. Tout au long de la soirée, les citoyens ont émis des commentaires constructifs visant la bonification du projet. Il a notamment été question de la proportion de logements sociaux et abordables, de l'aménagement des façades de côté du marché Metro et de l'intégration d'une dimension artistique ou culturelle au projet. L'ensemble de ces commentaires ont été reçu favorablement par les représentants du Groupe Gabriel et de Metro qui se sont engagés à les considérer en vue de pouvoir les intégrer au projet. "Nous souhaitons ardemment participer à la revitalisation du quartier. Nous sommes très heureux d'avoir pu rencontrer nos voisins afin de les informer de ce projet dont nous sommes très fiers. Cela nous a non seulement permis de répondre à leurs questions, mais aussi de connaître leurs préoccupations. Nous visons la meilleure intégration possible de notre projet dans ce secteur de l'arrondissement qui en a bien besoin", a déclaré M. Fadi Azouz, responsable du projet au sein du Groupe Gabriel. Le Groupe Gabriel est une entreprise familiale québécoise en affaires depuis plus de 20 ans et particulièrement active dans les domaines de l'automobile et de l'immobilier. Renseignements: Pierre Guillot-Hurtubise, (514) 581-6068; Source: Groupe Gabriel
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  3. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  4. http://www.journaldemontreal.com/2016/01/20/les-plus-pauvres Nous sommes tellement habitués à ce genre de manchettes, c’est à peine si cela se fraye encore une place dans les bulletins de nouvelles. Le Québec est la province la plus pauvre du Canada. L’Île-du-Prince-Édouard a connu une meilleure croissance depuis deux ans. Cette minuscule province nous a dépassés. Dixième sur dix. Ces données de l’Institut de la statistique du Québec auraient dû semer la panique dans la population, nous servir un électrochoc pour revoir tout notre modèle économique. On devrait voir des gens s’arracher les cheveux, des vieillards frapper les lampadaires avec leur canne et des politiciens pleurer de rage. Rien de tel ne se produit au Québec. Endormis On reçoit cette nouvelle comme un fait divers. Certains nient la réalité en se moquant des statistiques, d’autres se réfugient derrière l’idée que nous sommes choyés d’avoir un modèle plus «égalitariste». Le pauvre François Legault fait cavalier seul en s’époumonant depuis des mois à l’Assemblée nationale à essayer d’intéresser quelqu’un à la tragédie de notre appauvrissement collectif. La statistique dont on parle est pourtant simple: le revenu disponible par habitant. Combien en moyenne nous reste-t-il dans nos poches pour vivre une fois que les gouvernements nous ont plumés? Difficile à truquer, pas difficile à interpréter. Il nous en reste beaucoup moins dans nos poches. Cela correspond pas mal à l’idée de pauvreté. Niveler par le bas Pourquoi ne pas être consolés par cette notion d’un Québec plus égalitaire? Il y a au Québec un écart moins grand entre riches et pauvres, cela est vrai. Mais attention. Les pauvres du Québec sont plus pauvres qu’ailleurs, la classe moyenne est plus pauvre aussi. Ladite égalité vient du fait que nous avons moins de riches. Moins de riches, donc moins de raison d’être jaloux peut-être, ce qui donne une impression de justice. Par contre, moins de riches signifie aussi moins de contributeurs pour payer les impôts qui financent tous nos beaux services publics. Une analyse complète permet difficilement de conclure que l’égalitarisme viendrait compenser pour le triste constat que nous sommes globalement plus pauvres. L’importance de l’écart mérite aussi qu’on s’y attarde. Plus de 4200 $. C’est le montant en moyenne de revenu disponible que nous avons de moins dans nos poches, par habitant! Faites le calcul: cela signifie que le couple québécois moyen dispose de près de 10 000 $ de moins pour faire face à ses obligations et se payer de petites gâteries. Les garderies auront beau coûter moins cher ici, on parle d’un écart énorme dans le même pays. Je reste estomaqué par une question existentielle: comment le discours dominant au Québec peut-il continuer d’être en faveur de la sauvegarde du supposé «modèle québécois»? Comment en sommes-nous venus à penser que notre modèle étatique, social et syndical nous rend service avec des résultats semblables? Mystère.
  5. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201407/08/01-4782077-operation-centralisation-inedite-a-la-ville-de-montreal.php
  6. Grande journée de destruction de l'industrie culturelle à Montréal,offerte par S Harper qui à mon avis s'il continue pareil va recevoir une carte de membre d'honneur au PQ. Après les jeux vidéos(subsides),RC/CBC voici l'ONF. L'Office national du film (ONF) doit réduire son budget annuel de 6,68 millions, et abolir 73 postes. Dure journée pour les organismes fédéraux, donc, qui mesurent aujourd'hui l'effet des compressions budgétaires imposées la semaine dernière dans le budget Flaherty. L'ONF a pris acte aujourd'hui de la réduction de 10% de son allocation parlementaire. Son président Tom Perlmutter a déclaré dans un communiqué émis en début d'après-midi que «l'exercice n'a pas été facile», et que tout en maintenant la viabilité à long terme de l'ONF et sa capacité d'innovation dans la production et la diffusion, «il y aura des impacts tels que la perte des stations individuelles de visionnement et les petites salles de cinéma dans nos deux médiathèques, une réduction de l'envergure de l'aide accordée aux cinéastes indépendants et la fin du programme de subventions et de contributions aux festival et événements». Plus concrètement, au premier septembre prochain l'ONF fermera les postes individuels de visionnement de même que les salles de cinéma à la Médiathèque de Toronto et la CinéRobothèque à Montréal. Le local de la rue Saint-Denis à Montréal sera fermé. Le local de Toronto poursuivra ses opérations et continuera d’être une vitrine en offrant un espace public d’exposition au rez-de-chaussée. L'ONF fait valoir que les postes individuels de visionnement ont été cruciaux dans la diffusion des œuvres mais l’avènement et le développement du visionnage en ligne «a fait en sorte de diminuer la pertinence de ces stations surtout lorsqu’il s’agit de joindre un grand auditoire». La fermeture des petites salles de cinéma aura un impact sur un certain nombre de partenaires qui les louaient pour des événements ou festivals, ajoute l'ONF. Par ailleurs, au 1er avril 2012 l’ONF mettra fin au volet « festivals et événements » du Programme de subventions et contributions. L’ONF continuera d’appuyer les productions indépendantes via les programmes Filmmaker Assistance (FAP) et l’Aide au cinéma indépendant-Canada (ACIC), mais réduira l’envergure de l’enveloppe budgétaire à compter du 1er avril 2012. Les productions déjà acceptées ne seront aucunement touchées par cette mesure. Il y aura une légère diminution des sommes allouées à la production, soit environ 1 % du budget global de l’ONF. L'ONF prévoit aussi consolider des services administratifs au sein de quelques régions, et économiser des sommes additionnelles en poursuivant la rationalisation de ses espaces physiques. Les postes qui seront abolis toucheront 73 personnes qui occupaient des postes à temps plein et à temps partiel. La réorganisation du travail amènera toutefois la création de 12 nouveaux postes. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/346694/a-l-onf-fin-de-certains-services-et-abolition-de-73-postes
  7. Confusion dans le nom de ce projet. Tri ou Néoterra-Tri ou Projet Clifford.....enfin, peut-etre est-ce moi qui ne comprends tout simplement pas le concept. De plus, ils mentionnent que la quartier est le Sud-Ouest. Le Sud-Ouest n'est pas un quartier mais plutot un arrondissement. Le quartier est plutot Émard (ou Ville Émard). Bref, un petit projet qui a de l'allure compte tenu que nous sommes à Ville Émard. http://neoterra-tri.com/TRi/Bienvenue.html
  8. Arrondissement de Saint-Laurent Montréal créera un nouveau parc-nature Agence QMI 28/02/2012 18h10 MONTRÉAL – La Ville de Montréal a annoncé mardi la création d'un 11e parc-nature: le parc des Sources. Le nouveau parc-nature, d'une superficie de 40 hectares, est situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent. Il sera divisé en deux parties. Le secteur Est se trouve en majeure partie sur le campus de Technoparc Montréal. Le secteur Ouest fait partie d'un terrain appartenant à Transports Canada situé au nord des pistes de l'aéroport Montréal-Trudeau. Il est principalement constitué d'un marais et d'une forêt mature. Ce parc-nature sera particulièrement intéressant pour l'observation du castor et de son habitat naturel. Bien qu'il ait élu domicile dans d'autres parcs de la métropole, cet animal sera particulièrement accessible aux visiteurs au parc des Sources et fera l'objet de projets pédagogiques. «Les efforts constants déployés par notre administration ont permis la protection d'une superficie équivalente à plus de cinq fois celle du mont Royal. D'une situation hémorragique en 2002, nous sommes passés de 3 % du territoire protégé à 5,4 %, et sommes maintenant en voie d'atteindre notre objectif final de 6 %, a déclaré Alan DeSousa, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable du développement durable. «La création du parc des Sources constitue un exemple concret et éloquent de notre volonté à poursuivre nos actions et ainsi préserver notre riche patrimoine naturel montréalais.» La création du parc-nature commencera en 2012, et l'ouverture au public devrait avoir lieu en 2014.
  9. En dépit d'un prix du baril à la baisse, l'essence est reparti à la hausse avec une hausse exagérée d'une douzaine de cents depuis ce matin dans la région de Montréal. Et pourquoi croyez-vous qu'on abuse tant? Parce que nous sommes à l'approche d'un long weekend férié et que les pétrolières veulent fêter avec nous, en s'offrant un cadeau dispendieux à nos propres dépends bien sûr. Cette attitude est des plus scandaleuses et bassement mercantile car elles savent que le consommateur est sans recours et qu'elles peuvent le plumer sans risque d'être embêtées par les gouvernements, qui profitent eux aussi d'une hausse de taxe à la consommation, au passage. L'appétit vorace de ces entreprises est encouragé par nos "amis" réformistes-conservateurs qui couchent avec les pétrolières et qui souhaitent en plus les récompenser avec d'autres allègements fiscaux dans leur prochain budget. Pas de doute, nous sommes revenus aux pratiques sauvages d'avant la récession, avec des spéculateurs qui exagèrent nettement les risques de pénurie (puisque le pétrole libyen est compensé par du pétrole saoudien) et rien d'autre dans le monde qui justifie une telle prédation des prix. C'est une nouvelle crise artificielle de l'énergie qui pointe à l'horizon et qui dépassera certainement les hausses de prix qu'on a vu à l'été 2008, avant l'autre crise, créée elle aussi de toute pièce et que tout le monde connait. Nous sommes entrés dans une ère de grande instabilité causée par l'avidité sans limite des grosses corporations et des hauts dirigeants qui siphonnent littéralement les forces vives de la société. C'est un appauvrissement rapide des classes moyennes qui nous guette par un transfert forcé de la richesse vers le privé, et de la dette nationale vers le public. Et qui s'élève contre ces pratiques anti-sociales? Personne, bien au contraire. Pire encore, Harper veut diminuer la fiscalité des grandes entreprises dont profitera directement l'industrie pétrolière, sous prétexte de créer des emplois. Mais ces emplois seront créés de toute façon car le pétrole est devenu l'eldorado qui garantit des profits faramineux à quiconque s'y intéresse de près ou de loin. Ainsi le petit peuple passera deux fois à la caisse: premièrement à celle de la station service qui l'attend pour l'assommer avec son propre porte-feuille, et ensuite indirectement en subventionnant les compagnies qui exploitent des gisements par des baisses de taxes scandaleuses. Cet allègement fiscal enrichira davantage ces ogres financiers qui profitent une deuxième fois de notre argent, mais là sans rien en retour. Est-ce cela que nous souhaitons pour l'avenir de ce pays? Nous pouvons difficilement nous défendre contre les pétrolières, il faudrait une volonté politique énorme pour contrôler la situation et c'est possible avec le temps. Mais nous pouvons immédiatement réagir en mettant le gouvernement Harper à la porte en l'empêchant de donner nos taxes à des bandits en cravate qui, comme eux, n'ont aucune conscience morale ni sociale. Je suis révolté par ces pratiques moyenâgeuses et cette complicité intolérable des réformistes-conservateurs qui ne représentent pas l'intérêt des payeurs de taxes, donc des électeurs, mais de la grande entreprise. Pour reprendre le slogan de Terreneuve lors de la dernière élection en 2008, je propose moi aussi leur formule toute simple, mais à tout le pays: ABC "anyone but conservatives".
  10. Michel Munger Argent Les Québécois sont gâtés et ils doivent cesser de résister aux projets de développement économique qui leur sont proposés. C'est ainsi qu'Alain Lemaire, PDG de Cascades (CAS), répond aux inquiétudes qui découlent d'une panoplie de dossiers, tels que le renouvellement de routes ou l'exploitation des gaz de schiste. Il a pris la parole mardi dans le cadre de la Série Enjeux, des Manufacturiers et exportateurs du Québec. «Nous nous faisons mener par le bout du nez par des minorités qui nous empêchent, comme entrepreneurs, de créer de la richesse, dénonce M. Lemaire. Je ne sais pas ce que nous allons faire pour changer cette mentalité-là. Il faut en créer, de la richesse, et l'exploiter. Nous ne pouvons pas passer à côté. Si nous devenons une province de services, nous sommes cloués au pilori. Nous ne pouvons faire concurrence aux Indes et à l'Angleterre dans les services.» Les Québécois vivent dans une zone de confort, renchérit le cadet de la famille Lemaire. «Nous sommes habitués d'être gâtés, dit-il. Nous sommes habitués d'avoir la gratuité [des services]. Nous devons nous détacher de cela, sinon nous ne pourrons pas survivre. Nous pouvons aussi constater que les gens qui vivent au Sud n'ont pas les mêmes avantages que nous. Notre coût de main d'oeuvre est 50% plus cher qu'aux États-Unis.» Le patron de Cascades affirme qu'afin de créer de la richesse, il faut lancer des projets comme les gaz de schiste, mais «de façon respectueuse». «Ça s'applique à beaucoup de choses, précise-t-il, que ce soit la pollution de l'air, d'utilisation de territoires, de mines, de lignes électriques et de barrages. Regardez tous les projets créateurs. J'aimerais que l'on me dise qu'ils ne seront pas contestés. On veut refaire l'échangeur Turcot : tout le monde se plaint et on a peur de passer dessus. Mais les gens disent: pas dans ma cour.» «Au Québec, on ne veut pas qu'il se fasse de barrages parce que l'on va tuer trois ou quatre saumons», avance M. Lemaire. Il pose une série de questions qui peuvent susciter le débat : «Pourquoi une analyse environnementale prend quelques mois aux États-Unis, alors qu'elle prend deux ou trois ans à faire ici ? Pourquoi un projet, comme l'exploitation d'une mine, est-il bienvenu ailleurs alors qu'il est mal perçu au Québec ? Met-on trop en évidence le côté potentiellement dangereux ? Peut-être. Fait-on de la démagogie ? Sûrement.» La réputation de la province doit demeurer positive pour ne pas ruiner son économie, soutient le PDG de Cascades. «Soyons pro-actifs et non alarmistes», conclut-il. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/04/20110419-163859.html
  11. Cette nouvelle ne me surprend pas du tout. Disons qu'un endroit où ils se sont toujours refuser à offrir le paiement direct et le crédit comme mode de paiement, et s'entête à ne pas moderniser les caisses, il y avait de fortes chances qu'une partie des revenus ne soit pas déclarée. Je me demande pourquoi le fisc n'a pas enquêté avant?
  12. Moins de projets au Québec Mise à jour le lundi 2 novembre 2009 à 16 h 53 L'argent du plan de relance du gouvernement fédéral destiné au Québec tarde à arriver, alors que d'autres provinces reçoivent leur part, indique une analyse menée par la Presse canadienne. L'agence de presse s'est basée sur les informations disponibles sur la « carte des projets » du site Internet officiel du plan d'action économique du Canada en date du 25 octobre. Elle a ainsi recensé 4833 projets au pays. Deuxième province en terme de population, le Québec reçoit moins de 10 % de ces projets, soit moins de 300. L'Ontario en a plus de 2500, tandis que l'Alberta et la Colombie-Britannique en ont plus de 300 chacune. Le Bureau du Conseil privé, qui gère les données apparaissant sur le site Internet du plan de relance d'Ottawa, n'a pas été en mesure de confirmer que tous les projets fédéraux annoncés au Québec avaient été inscrits dans la carte des projets, note toutefois La Presse canadienne. Des sommes qui mettent du temps à arriver Interrogés par l'agence, tant la Fédération québécoise des municipalités (FQM) que l'Union des municipalités du Québec (UMQ) reconnaissent que l'argent tarde à arriver. Il y a eu beaucoup d'annonces, mais le travail semble de plus en plus problématique. Il a fallu tellement de temps pour conclure les ententes. — Bernard Généreux, président de la Fédération québécoise des municipalités M. Généreux estime que le gouvernement provincial ne veut pas que le gouvernement fédéral s'immisce trop dans les affaires municipales, qui sont de compétence provinciale. La plupart des fonds du plan de relance du gouvernement fédéral requièrent une entente et une participation pécuniaire égale de la part des gouvernements provincial et municipal. Un délai supplémentaire demandé Le Québec a obtenu près de 1 milliard de dollars d'Ottawa pour le Fonds de stimulation de l'infrastructure, qui s'élève à 4 milliards. Mais, à titre d'exemple, 30 % des sommes destinées au Programme de renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées (PRECO) ont été allouées à des projets spécifiques, rapporte La Presse canadienne. Le programme a été mis sur pied en mars dernier. Tant la FQM que l'UMQ veulent qu'Ottawa accorde davantage que les deux ans qu'il a fixés pour engager toutes les sommes allouées en vertu du plan de relance de l'économie. « Nous ne voulons pas être pénalisés au bout de deux ans » parce que l'argent prévu dans le programme tardait à arriver sur le terrain, a fait valoir Jasmin Savard, analyste à l'UMQ.
  13. Source: Cyberpresse (Chicago) Gilbert Rozon va frapper un autre grand coup dans le monde du spectacle. Le Groupe Juste pour rire discute avec le géant de l'humour américain, Second City, de son installation permanente à Montréal. Déjà implanté à Los Angeles et à Toronto, en plus d'offrir de la formation dans plusieurs autres villes, le groupe de spectacles d'humour de Chicago, qui a lancé les carrières des John Belushi, Dan Aykroyd, Bill Murray, Mike Myers et Steve Carell, entre autres, trouvera sa niche montréalaise dans l'édifice du Musée Juste pour rire. «Nous représentons les deux plus grandes marques en humour dans le monde. On se connaît depuis longtemps et on discute depuis des mois. Nous en sommes présentement à monter le plan d'affaires», a confirmé le fondateur de Juste pour rire, Gilbert Rozon, en visite à Chicago pour la présentation du premier festival Just for Laughs dans la Ville des vents. 50 ans d'humour Le groupe Second City fête ses 50 ans cette année en présentant au Festival Juste pour rire, à partir du 14 juillet, une primeur mondiale intitulée Rêverie. Ce spectacle de près de 80 minutes d'humour non verbal mêle comédie, danse, acrobatie et pantomime. Le grand manitou du rire montréalais explique que son groupe continuera d'archiver et de conserver tout ce qui a trait à l'humour, mais qu'il fera la demande d'un changement de vocation pour l'édifice du Musée. «On n'est pas vraiment des muséologues, notre truc c'est le spectacle, alors cette nouvelle association nous ramène à notre vocation première», résume Gilbert Rozon. Second City vient à Montréal pour faire ce qu'il fait à Chicago depuis 1959: des spectacles, des sketchs, de l'improvisation et, éventuellement, de la formation, autant en anglais qu'en français. Il s'agit toutefois d'un plan à long terme qui ne se fera pas en criant improvisation mixte. «Nous allons prendre le temps de bien faire les choses. Ça fait longtemps que nous voulons travailler ensemble, nous avons accumulé peut-être 800 projets depuis le temps!» lance en rigolant Kelly Leonard, vice-président du groupe The Second City, qui a offert une visite de ce haut lieu de l'humour américain à <i>La Presse</i>. Le siège social de Second City à Chicago est un vaste complexe sur plusieurs étages qui comprend deux salles de spectacles de 290 et 180 places. On y trouve également un centre de formation qui reçoit 2400 étudiants par année et qui possède aussi sa propre scène. «Quand nous sommes entrés dans le Musée Juste pour rire de Montréal, nous nous sommes dit: Wow! ça pourrait être comme ici (à Chicago). À nouveau!» s'emballe Kelly Leonard, également président de Second City Theatricals. «Nous avons, dans le fond, un espace similaire à celui que possède Second City à Chicago, donc c'était un mariage naturel», ajoute Gilbert Rozon. Anglos et francos De son côté, Bruce Hills, président de Just for Laughs, précise que le festival montréalais présente depuis des années déjà beaucoup de spectacles à sketchs à forte saveur Second City. «Le potentiel est là à Montréal, dit-il. Pour Second City, c'est la plateforme parfaite. Naturellement, nous allons réunir nos artistes locaux, anglophones et francophones autour de ce partenariat.» Il souligne que la troupe de Chicago possède également un immense répertoire de comédies, courtes et longues, qui pourraient très bien être adaptées dans la langue de Molière. Gilbert Rozon indique, pour sa part, avoir vu à Édimbourg tous les ans lors du festival Fringe de l'endroit «des artistes britanniques extraordinaires qui pourraient venir en tournée à Montréal». Le théâtre The Second City a ouvert ses portes en décembre 1959 à Chicago avec d'anciens étudiants universitaires en scène. Le secteur télévision a ensuite vu le jour, en 1963. Second City offre des cours pour adultes et des camps d'étés aux enfants, tout en donnant des spectacles à Chicago, Toronto et Los Angeles, et en effectuant des tournées partout en Amérique, mais aussi sur des bateaux de croisière norvégiens!
  14. Publié le 17 mai 2009 à 07h33 | Mis à jour le 17 mai 2009 à 07h35 Gros gloutons, gros barrages Patrick Lagacé La Presse Hydro-Québec va donc construire ces quatre barrages sur la rivière Romaine. Je devrais déchirer ma chemise et dire que c'est écoeurant, qu'on détruit la nature, qu'on saccage le patrimoine pour éclairer les maisons des Américains. Pourtant, non. Je ne vais pas déchirer ma chemise. Parce que c'est ma faute, ce barrage. Ma faute et la vôtre aussi. Parce que nous sommes des gloutons énergétiques. Comme tous les Occidentaux, ou presque, en cela. La croissance de la demande énergétique des Québécois est constante et imparable: 1% par année. Ça n'a l'air de rien, mais c'est énorme. C'est 10% en une décennie. Je sais, je parle du Québec alors qu'il s'agit de vendre de l'électricité aux Américains. Sauf qu'après la construction des quatre barrages, l'électricité de la Romaine va éclairer nos maisons. À terme, nous sommes toujours rattrapés par ce foutu 1%. À terme, nous sommes toujours rattrapés par nos téléviseurs 64 pouces au plasma (et celui de 32 pouces au sous-sol), par la thermopompe, par le chauffe-piscine, le ventilateur, le climatiseur, le frigo, le congélateur, le chauffe-eau, l'ordinateur, les plinthes qui nous chauffent, les lumières de Noël, les ampoules électriques qui nous éclairent (ou qui éclairent nos pièces vides). Traduction: nous sommes toujours rattrapés par tous les cossins de la vie moderne qui fonctionnent magiquement quand on les branche dans le mur. * * * Je ne veux pas planter les environnementalistes. Leur job, leur vocation, c'est de défendre l'environnement. Ils sont parfois moralisateurs mais, sur le fond, ils ont raison: l'environnement n'est pas exactement en bonne santé. S'ils ne déchirent pas leur chemise, qui le fera? Sauf que quand je les entends parler de la Romaine, j'ai de la misère à les suivre. D'abord, il y a eu ces déclarations de Daniel Green, selon lesquelles l'hydroélectricité n'est pas une énergie verte. C'est vrai... selon le fisc de 27 États américains qui appliquent le RPS, ou Renewable Portfolio Standard, m'explique Jean-Thomas Bernard, professeur titulaire de la chaire en économique de l'énergie électrique de l'Université Laval. Le RPS force les fournisseurs d'énergie à inclure, dans leur offre d'électricité, une fraction produite par certaines technologies vertes comme la biomasse, l'éolien et le solaire. C'est une façon de stimuler ces industries naissantes. «Et la grande hydroélectricité, qu'on trouve surtout au Québec, n'est pas considérée comme une énergie verte par le RPS», dit le professeur Bernard. Sauf que l'hydroélectricité reste une énergie propre, très propre, au palmarès des façons de produire de l'électricité. «Avec les forêts détruites, le pourrissement des arbres, il y a quand même des émissions de CO2, selon Jean-Thomas Bernard. Sauf que c'est minime, par kilowattheure produit, si on compare au charbon.» * * * L'autre mantra des environnementalistes, dans l'opposition à la Romaine, c'est dire que le Québec devrait mieux gérer l'électricité qu'il produit avant d'en produire encore plus. Miser sur les programmes d'économie d'électricité. J'en suis. Sauf que ça n'arrivera jamais. D'abord, l'électricité, au Québec, ne coûte pas cher. On se fiche de ce qui ne coûte pas cher. On le dilapide. C'est un peu comme les radars photo. Pourquoi les gens roulent-ils vite? Parce que le risque de se faire pincer est mince. Pourquoi lèvent-ils le pied, dans les pays où un système de radars photo est en place? Parce que le risque de se faire pincer est grand. Traduction: parce que, s'ils roulent vite, ils vont payer. Idem pour l'électricité. Pour que l'économie d'énergie fonctionne, il faudrait qu'elle coûte plus cher, cette énergie. Malheureusement, pour l'écologiste moyen, c'est plus facile de taper sur Hydro que de dire aux Québécois qu'on devrait augmenter le coût de l'électricité afin d'en utiliser moins. Parce que quand on parle de hausser les tarifs de l'Hydro, que ce soit pour réduire la consommation d'électricité ou s'enrichir collectivement en la vendant aux Américains, vaut mieux revêtir son casque Joffa à grille: les roches viennent vite... Ensuite, l'Homo quebecus, dans le confort de son salon, quand il regarde Occupation double, ne veut pas se faire embêter par la conservation de l'électricité. Il ne veut pas se faire dire qu'il devrait aller éteindre la lumière de la salle de bains, où il est allé pendant la pause publicitaire. Et quand il part travailler, il ne veut pas faire le tour de la maison pour baisser le chauffage. Parce que c'est compliqué, être moins énergivore. Dans son quotidien, quand on est roi de son petit univers, empereur de son grand bungalow, c'est emmerdant de modifier son comportement de glouton énergétique. C'est moins emmerdant de laisser l'État construire des barrages monstrueux sur des rivières que 98% des Québécois ne verront jamais de leurs yeux. Je termine sur un extrait de la chronique d'hier de François Cardinal, qui couvre l'environnement pour La Presse: «Le Canada est 16e au palmarès Greendex du National Geographic. Le pays se classe ainsi avant-dernier d'une liste de 17 pays en raison de la taille des maisons, de la consommation d'énergie et, surtout, de la propension des Canadiens à se déplacer dans des voitures toujours plus grosses.» Gros gloutons, gros barrages. On n'en sort pas.
  15. Sacs de plastique payants Québec souhaite que tous les épiciers embôitent le pas La Presse Canadienne Rémi Nadeau 22/04/2009 11h37 - Mise à jour 22/04/2009 12h27 Tous les marchés d'alimentation devraient exiger que leurs clients payent pour chaque sac de plastique qu'ils utilisent, suggère la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp. Mme Beauchamp a formulé le souhait, aujourd'hui, que tous les épiciers emboîtent le pas, après que la chaîne d'alimentation Loblaws ait annoncé que les sacs de plastique seront désormais vendus cinq cents chacun dans ses magasins. ::encart: «C'est indéniablement une bonne façon de diminuer la consommation de sacs en plastique», a signalé la ministre à son entrée au caucus des députés libéraux à Québec, affirmant que deux milliards de ces sacs sont mis en circulation au Québec chaque année. La ministre s'est d'ailleurs fixé comme objectif de réduire de 50 pour cent la mise en circulation de sacs de plastique d'ici 2012, pour éviter que ceux-ci ne s'accumulent au rythme actuel dans les sites d'enfouissement. Questionnée sur la possible réticence des consommateurs à débourser cinq cents pour chaque sac de plastique distribué jusqu'ici gratuitement, Mme Beauchamp a indiqué que la meilleure façon de les convaincre de la pertinence de ce changement est d'injecter les sommes perçues dans des initiatives environnementales, comme le fera la chaîne Loblaws. «Ils vont retourner les sommes d'argent vers des groupes environnementaux, ça c'est sûr que moi, c'est quelque chose que je privilégie.» Mme Beauchamp a admis que le coût environnemental des sacs en papier est plus élevé. Toutefois, elle a répété qu'il était impératif de diminuer significativement l'enfouissement des sacs de plastique. Le groupe IGA n'a pas l'intention pour l'instant d'exiger que ses clients paient pour leurs sacs alors que, du côté de Métro-Super C, la direction étudie actuellement la possibilité de le faire. Déjà, les quincailleries Rona et la chaîne de magasins de meubles IKEA imposent aux consommateurs le paiement de cinq cents par sac utilisé. Pour sa part, la Société des alcools du Québec a complètement éliminé l'utilisation de sacs de plastique.
  16. De hauts responsables d'AIG, qui avaient reçu d'importants bonis accordés par l'assureur américain, acceptent de rendre la totalité des sommes perçues. Pour en lire plus...
  17. Publié le 17 décembre 2008 à 07h09 | Mis à jour à 07h12 1929, vraiment? Alain Dubuc, collaboration spéciale La Presse Les ventes de Noël n'ont pas flanché en cette fin d'année. C'est ce que constatent les commerçants dans toutes les régions du Québec. Cette nouvelle a suscité une certaine consternation. Comment se fait-il que les consommateurs se comportent comme si de rien n'était quand nous sommes frappés par la pire crise depuis la Grande dépression de 1929? La réponse est assez évidente. Nous ne sommes pas en 1929. Les États-Unis, le monde entier, et donc le Canada et le Québec, ont été ébranlés par une crise financière dont la profondeur rappelle effectivement celle de 1929. Cette crise financière a affecté gravement l'économie réelle. Mais la récession qui en résulte n'a rien à voir, ni par sa forme ni par son ampleur, avec la Grande dépression. Et les comparaisons avec ce que nos parents ou nos grands-parents ont pu vivre dans les années 30 ne tiennent pas la route. Ce qui se passe est extrêmement inquiétant. Mais il faut aussi constater que le Canada, malgré sa proximité et son intégration avec les États-Unis, s'en tire manifestement mieux que son voisin du Sud, et que les impacts sont très inégaux au sein du pays. L'Ontario, par exemple, est très ébranlé. Le Québec résiste. Il suffit de regarder autour de nous pour voir que nous ne sommes pas en période de grand marasme. L'emploi a augmenté en novembre au Québec, quand c'est une des premières choses qui plonge quand ça va mal. Les ventes de Noël tiennent le coup. Le prix des maisons baisse au Canada, mais pas au Québec, selon les prévisions de Remax. Les expéditions manufacturières québécoises étaient en hausse en octobre. C'est parce que le tsunami ne nous a pas encore frappés, diront les pessimistes. Mais il arrive, c'est inévitable. Cette crainte, légitime, est très répandue. Elle appelle cependant deux remarques. Il faut d'abord se demander pourquoi le Québec a réussi jusqu'ici à résister à la débâcle. Les États-Unis sont entrés officiellement en récession il y a un an, et leurs problèmes, comme l'éclatement de la bulle immobilière, ont commencé bien avant. Ce n'est pas un miracle ou un hasard providentiel. Je crois plutôt que des facteurs concrets et tangibles sont à l'oeuvre. J'y reviendrai dans ma chronique de vendredi. Il faut ensuite rappeler que la grande majorité des spécialistes ne s'attendent pas à un tsunami. Les quatre experts interrogés pour les boules de cristal de La Presse, publiées il y a deux semaines, prévoient une récession technique pour le Québec. Un recul léger au dernier trimestre de 2008 et au premier trimestre de 2009, suivi par une modeste remontée pour la fin de l'année. Une stagnation plutôt qu'un effondrement. Le Québec fera mieux que la moyenne canadienne, plombée par l'Ontario. Le plus étonnant, c'est que selon ces boules de cristal, l'emploi va continuer à augmenter en 2009, quoique lentement. Le taux de chômage grimpera un peu, de 7,1% à 8,1-8,2%, pour retrouver les niveaux d'il y a deux ou trois ans. C'est déplorable, mais ce n'est certainement pas 1929. À titre de comparaison, la récession de 1990 avait fait perdre au Québec 110 000 emplois, et le taux de chômage était passé de 9,6% à 13,2%. Il avait ensuite fallu sept ans pour retrouver les emplois perdus. La récession, c'est ce que nous vivons en ce moment. Nous en avons probablement déjà traversé trois mois sur six. L'impact est très variable d'une industrie à l'autre. Il y a des mises à pied. Mais il y a surtout de l'incertitude et de la peur. Peur de perdre son job, peur que ça aille mal. Ce qui explique la perte de confiance et la prudence. Nous sommes effectivement en terre inconnue. La crainte est d'autant plus justifiable que les spécialistes ont révisé plusieurs fois leurs prévisions à la baisse. Nous ne savons pas si la crise financière nous réservera d'autres mauvaises surprises. Ou si les États-Unis vont être capables de rapidement rebondir. On ne peut donc pas exclure catégoriquement l'hypothèse d'une aggravation de la crise. Mieux vaut être prudents et se préparer au pire. Cette même obligation de prudence doit jouer aussi dans l'autre sens, notamment pour éviter d'agiter des scénarios de catastrophe. Il ne s'agit pas d'être jovialistes, mais d'essayer dans la mesure du possible de donner l'heure juste, en faisant confiance à la science, malgré ses limites, en tenant compte des faits, en faisant un effort d'équilibre.
  18. La crise financière qui a saccagé, ces derniers mois, les grandes places boursières du monde entier ne fait pas que des malheureux. En effet, en Norvège, les gestionnaires d'un fonds souverain alimenté depuis les années 1990 à même les recettes pétrolières et gazières ont entrepris d'acheter à rabais pour des milliards de dollars en actions de tout genre. Au cours des seuls 12 derniers mois, le fonds souverain norvégien a acheté pour près de 72 milliards de dollars en actions et obligations internationales et tout indique que ce mouvement va se poursuivre tant et aussi longtemps que durera la déprime boursière. « Nous sommes un gros acheteur sur un marché où il semble qu'il y ait plus de vendeurs que d'acheteurs », a expliqué le directeur du fonds souverain norvégien, Yngve Slyngstad, qui se réjouit de « conditions du marché qui nous conviennent très bien ». La valeur actuelle de ce fonds souverain dépasse largement les 400 milliards de dollars, ce qui est, en soit, immense pour un pays qui ne compte, sommes toutes, que 4,8 millions d'habitants. Ce fonds, « destiné aux générations futures », détient à lui seul 0,6 % des actions sur les places boursières mondiales et il est présent dans le capital de plus de 7000 entreprises à travers le monde, pour autant que ces entreprises correspondent au très strict code d'éthique que s'imposent les gestionnaires du fonds. Ainsi, il est interdit à ceux-ci, même s'ils pourraient y réaliser de généreux profits, d'investir dans 27 entreprises « éthiquement douteuse », notamment Boeing, Wal-Mart ou encore EADS et BAE Systems. Le fonds ne peut entrer au capital de fabricants d'armes « particulièrement inhumaines », ni investir dans des groupes coupables de violation des droits humains, de corruption ou de dégradation de l'environnement. Cela dit, avec des grands indices boursiers qui ont perdu près de 50 % de leur valeur depuis le début de l'année, les investisseurs norvégiens ont amplement le choix quand vient le temps de décider où placer leurs billes. Du capitalisme d'État Depuis la création du premier d'entre eux, au Koweït, en 1953, les cinq principaux fonds souverains du monde gèrent une fortune évaluée, selon le Financial Times, à plus de 2000 milliards de dollars. Abu Dhabi Investment Authority, créée en 1976 aux Émirats arabes unis, possède 807 milliards $ http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/11/20/003-norvege-fonds-souver.shtml#
  19. Des centaines de petits investisseurs rimouskois pourraient perdre plusieurs centaines de milliers de dollars après avoir acheté des actions d'une entreprise ontarienne qui leur a fait miroiter fortune et gains rapides. Pour en lire plus...
  20. «On a déjà connu ça à Windsor, des mauvais cycles dans l'automobile. Nous sommes les premiers touchés mais aussi les premiers à rebondir quand le marché reprend.» Pour en lire plus...
  21. Nous ne sommes pas pressés et nous ne sommes pas intéressés à conclure un marché qui ne répond pas à nos critères, a indiqué le PDG de la banque. Pour en lire plus...
  22. Qui sera couronné? Mardi 22 juillet 2008 RDS.ca Adam Braz affrontera son ancienne équipe pour la 2e fois cette saison. TORONTO – L’Impact de Montréal (2-1-0 ; 6 points) affronte le Toronto FC (1-1-1 ; 4 points), mardi au BMO Field, dans le cadre du match décisif du Championnat canadien. L’Impact a besoin d’une victoire ou d’un verdict nul pour être couronné champion du tournoi. « Nous allons amorcer le match avec le désir de gagner, a déclaré le défenseur Adam Braz, qui affrontera son ancienne équipe pour la deuxième fois. C’est bien parce que nous nous sommes mis dans une position qui nous permet d’avoir la chance de se qualifier. Nous devons tous comprendre quelle est la situation en ce moment et être certains que nous allons nous présenter et donner le maximum d’efforts. C’est une chance pour nous de prouver que nous sommes la meilleure équipe au Canada, mais aussi un grand honneur de représenter le pays dans la Ligue des Champions de la CONCACAF. » « C’est un match très important et c’est comme une finale pour nous. Pour un joueur, c’est toujours spécial de jouer dans un match comme celui-là, a déclaré le capitaine Mauro Biello, qui a pris la décision de subir son intervention chirurgicale au poignet après ce match, le 25 juillet. Nous voulons montrer que nous sommes une équipe de grande qualité en gagnant ce championnat. Je pense que la pression est davantage sur Toronto parce qu’ils doivent absolument marquer. J’espère qu’on pourra profiter des ouvertures qu’ils vont créer en essayant d’ouvrir le jeu. » Lors des trois premiers matchs du tournoi, l’Impact a subi un revers de 1-0 contre Toronto, le 27 mai au Stade Saputo, puis a ensuite signé deux victoires de 2-0 contre les Whitecaps de Vancouver, le 17 juin à domicile, et le 25 juin, à l’extérieur. Lors du premier affrontement contre Toronto, le seul but du match avait été marqué à la 72e minute. Le défenseur du Toronto FC Marco Velez avait dévié de la tête le coup franc de 20 mètres du milieu de terrain Laurent Robert. L’Impact avait dû se défendre à court d’un homme dès la 53e minute de jeu, alors que le défenseur Stefano Pesoli avait été expulsé de la rencontre après avoir écopé de son deuxième avertissement du match. «Ce serait bien d’éliminer une équipe de la MLS, a déclaré le milieu de terrain Rocco Placentino. Nous irons là-bas pour jouer notre style de jeu en espérant obtenir un bon résultat. Dans tous les sports, si tu n’accordes pas de but tu ne perds jamais, alors cela devrait être notre premier objectif mardi. J’adore jouer contre des équipes avec des partisans qui sont sur ton dos parce que cela te donne de l’énergie. J’ai vraiment hâte à ce match. » Lors de son dernier match, samedi, la formation torontoise a fait match nul 0-0 contre les Earthquakes de San Jose. Le Toronto FC n’a pas connu la victoire à ses huit derniers matchs (0-5-3), dont cinq matchs de saison régulière. Toutefois, Toronto n’a toujours pas subi la défaite en neuf matchs de saison régulière disputés à domicile (5-0-4). Rappelons que l'équipe qui terminera en première place du tournoi remportera la Coupe des Voyageurs. L’équipe championne affrontera ensuite en matchs de barrage l’équipe championne du Nicaragua. En bref • Le milieu de terrain Tony Donatelli ne pourra prendre part au match puisqu’il a joué des matchs du Championnat canadien avec les Whitecaps de Vancouver, avant d’être échangé à l’Impact, le 30 juin dernier. • Cinq joueurs de l’Impact ont pris part aux 270 minutes des trois premiers matchs du tournoi : le gardien Matt Jordan, les défenseurs Adam Braz et Simon Gatti, de même que les milieux de terrain Patrick Leduc et David Testo. • Leduc est le seul joueur du onze montréalais à avoir joué et amorcé les 19 matchs de l’Impact, incluant les trois matchs du Championnat canadien Nutrilite. Depuis le début de la saison, il a disputé pas moins de 1686 minutes, sur une possibilité de 1710 minutes. • L’ancien gardien de l’Impact Greg Sutton a une fiche de 4-4-3 en 11 matchs cette saison et présente une moyenne de buts alloués de 1.36. La saison dernière, il n’avait disputé que huit matchs en raison d’une commotion cérébrale. • L’attaquant Danny Dichio est le meilleur marqueur de Toronto avec cinq buts en 13 matchs. Il n’a toutefois pas pris part au dernier match des siens en raison d’une commotion cérébrale.
  23. Montréal perdrait le siège social d'un centre international du film jeunesse Il y a 17 heures MONTREAL - Montréal perdrait le siège social du Centre International du Film pour l'Enfance et la Jeunesse (CIFEJ) en raison de la décision d'Ottawa de mettre fin à son soutien financier. La directrice exécutive du CIFEJ, Jo-Anne Blouin, devrait en faire l'annonce officielle à Amsterdam mardi à l'occasion de l'Assemblée générale de l'organisation. Dans un communiqué diffusé lundi, Mme Blouin a indiqué trouver que l'arrêt du financement du gouvernement fédéral étaient difficile à justifier compte tenu que les sommes demandées étaient petites et que le centre contribuait au rayonnement du pays. Créé en 1955, le CIFEJ est basé à Montréal depuis 1990. Son réseau d'adhérents compte environ 150 membres dans 57 pays.
  24. Ipsos Agrandit Et Consolide Le Bureau De Montréal Tout Le Personnel Au Québec Réuni Au Même Endroit Attention: Rédacteur financier MONTREAL, QUEBEC, MEDIA ADVISORY--(CCNMatthews - 25 avril 2007) - Ipsos a regroupé ses opérations au Québec sous un seul et même toit. Le transfert réunira les équipes, en pleine croissance, de l'entreprise dans un bureau central, récemment restauré, situé dans le centre de Montréal, permettant ainsi une meilleure efficacité, une collaboration accrue des projets et des équipes, ainsi qu'une amélioration globale du service clientèle. Les 55 employés de Montréal, comprenant des chercheurs en publicité, en santé, en marketing et affaires publiques, ainsi que le personnel de l'exploitation, occupent à présent deux étages sur 2300 mètres carrés au 1440 Rue Ste. Catherine O. Ce nouveau bureau abrite également 200 stations d'entretien assisté par ordinateur (CATI) et des installations pour groupes de discussion à la pointe de la technologie. François Descarie, vice Président principal confie : "Nous sommes très enthousiasmés d'avoir tous les spécialistes Ipsos réunis sous un seul et même toit. Ipsos travaille à présent avec un grand nombre de clients basés au Québec et le regroupement de toutes nos équipes service client et de toutes nos équipes opérationnelles permettra à Ipsos d'étendre nos services et d'augmenter notre base de clients. Nous sommes particulièrement impatients de proposer la gamme complète de produits et de services Ipsos aux clients basés aux Québec, permettant ainsi de servir les intérêts des marchés aux quatre coins de la planète. De plus, Ipsos est à présent l'une des entreprises de recherche les plus grandes au Québec." Lys Hugessen, un vice président d'Ipsos ASI à Montréal ajoute : "C'est l'avenir : partager les méthodologies, les solutions de recherche et les expériences afin de servir au mieux notre clientèle. En outre, ce nouvel endroit est superbe et très spacieux. Les bureaux arborent des combinaisons de couleurs vives conçues pour stimuler une atmosphère de créativité, de jeunesse et de vitalité." News Releases are available at: http://www.ipsos-na.com/news/
  25. Checkez ce lien, c'est assez intéressant. On eput voir à quel point Montréal perd de son importance dans le pays! http://www.fraserinstitute.ca/admin/books/chapterfiles/JulAug06ffQandA.pdf Nous sommes passé de 96 Sièges Sociaux (dans le Top 500) en 1990 à 75 sièges sociaux en 2006. C'est pathétique!
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