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  1. Espace 8042: petit projet intime cherche acheteurs d’expérience GENEVIÈVE VÉZINA-MONTPLAISIR MÉTRO Publié: 25 janvier 2012 18:14 Mis à jour: 25 janvier 2012 18:24 Petit projet intime de 16 unités, Espace 8042 donnera un nouveau visage à l’ancien cinéma des années 1950 situé sur la rue Saint-Denis près de la rue Jarry, dans le quartier Villeray. Du bâtiment d’origine seront conservés les bandes rouges et les jeux de briques de la façade d’origine, ce qui donnera un aspect un brin rétro au projet de style contemporain. «On fait un petit clin d’œil au passé, tout en présentant un projet résolument moderne», affirme Luc Fournier, directeur des ventes et du marketing d’Espace 8042. Les unités, pour la plupart dotées de deux chambres, seront réparties sur trois étages. Les six unités du troisième étage posséderont pour leur part une mezzanine adjacente à une terrasse privée, avec vue panoramique sur le mont Royal, sur les lumières de la ville ou sur le Stade olympique. «La vue va dépendre de l’orientation de la terrasse, note Luc Fournier. Les terrasses seront par ailleurs faites de bois composite et auront une grande durabilité à vie.» Une cour intérieure sera également aménagée en plein milieu du bâtiment, permettant à plusieurs unités de profiter de plus de luminosité, en plus de donner un caractère unique à ce projet qui se veut différent de ce qui se retrouve présentement sur le marché. «L’approche du promoteur Espaceréalisation est de mettre sur pied de petits projets. Cela va complètement à contre-courant du marché, qui préconise présentement les gros projets, affirme le directeur des ventes et du marketing d’Espace 8042. Nous offrons une qualité d’insonorisation et de finition supérieure. Chez Espaceréalisation, on privilégie également une approche personnalisée. Chez nous, le client peut choisir les divisions de son condo et les dimensions de son walk-in ou de ses espaces de rangement. Il peut tout choisir, ce qui a pour effet de donner des unités beaucoup moins génériques que ce que l’on retrouve actuellement sur le marché.» Et pour faire tous ses choix, le client n’est pas seul. Il est accompagné tout au long de sa démarche par l’un des deux propriétaires d’Espaceréalisation, qui ira même jusqu’à aller magasiner avec lui ses armoires de cuisine! «Alain (Brunet) voyage partout dans le monde pour savoir ce qui est dernier cri, souligne Luc Fournier. Il aide chaque nouveau propriétaire à réaliser le décor de ses rêves. Il y a donc de véritables échanges entre le promoteur et le client.» Tout comme ces projets, les clients d’Espaceréalisation ne sont pas non plus «génériques», aux dires du directeur des ventes. Ceux-ci en sont souvent à leur troisième ou quatrième achat et ils connaissent bien le marché. Ils savent ce qu’ils veulent et posent beaucoup de questions. Ils ont souvent entendu parler d’Espaceréalisation par le bouche à oreille. C’est comme ça qu’on fait notre marketing!» C’est situé où? Sur la rue Saint-Denis dans le quartier Villeray À proximité de la station de métro Jarry Tout près du parc Jarry Près du boulevard Métropolitain Pour plus de renseignements, visitez le site d'Espaceréalisation. Les prix De 179 000 $ à 600 000 $ pour des unités de 488 pi2 à 1 400 pi2. Les quelques espaces de stationnement se détaillent 32 500 $.
  2. Six HLM crouleront sous les pics Diane Lapointe 22 octobre 2009 Mise à jour à 13:46:53 VIEUX-LONGUEUIL. Ce n’est qu’une question de jours avant que six habitations à loyer modique (hlm) situés dans l’arr. du Vieux-Longueuil croulent sous le pic des démolisseurs. Les édifices seront complètement rasés et reconstruits à neuf, un projet de 24 M$. L’Office municipal d’habitation de Longueuil (OMHL) planche sur ce projet depuis 2006. «Ces édifices construits au début des années 1970 sont vétustes et nécessitent d’importants travaux de rénovation, explique le directeur général de l’OMHL, Sylvain Boily. Dans ces circonstances, il est souhaitable de les démolir et de les remplacer par trois nouveaux bâtiments multifamiliaux correspondant davantage aux besoins et aux normes actuels.» Essentiellement, le projet consiste à démolir les six hlm situés aux 12, 24 et 48, rue Labonté, au 35, boul. Quinn, et aux 570 et 580, rue Bord-de-l’Eau. Ces édifices comportent de gros problèmes de structure et ce, depuis leur construction. «Ils seront remplacés par trois nouveaux immeubles de six étages d’architecture moderne et certifiés LEED. Ils s’intégreront bien à l’environnement du Vieux-Longueuil et briseront l’image de ghettoïsation. Les nouveaux hlm offriront le même nombre d’unités d’habitation, soit 180, mais la superficie de chacune de celle-ci sera en moyenne de 30% plus grande, de sorte que l’ensemble du projet locatif procurera un meilleur cadre de vie aux locataires», explique Sylvain Boily. Pas sur le trottoirPlus aucun locataire n’habite ces six édifices depuis juillet dernier. Ils ont tous été relocalisés, soit dans des logements locatifs privés ou dans d’autres hlm du territoire. Les travaux de démolition devraient débuter d’ici quelques semaines et l’ensemble du complexe devrait être complété au plus tard, d’ici à mai 2011. Le projet est financé à 90% par les gouvernements du Canada et du Québec et à 10% par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM). VIEUX-LONGUEUIL. Ce n’est qu’une question de jours avant que six habitations à loyer modique (hlm) situés dans l’arr. du Vieux-Longueuil croulent sous le pic des démolisseurs. Les édifices seront complètement rasés et reconstruits à neuf, un projet de 24 M$. L’Office municipal d’habitation de Longueuil (OMHL) planche sur ce projet depuis 2006. «Ces édifices construits au début des années 1970 sont vétustes et nécessitent d’importants travaux de rénovation, explique le directeur général de l’OMHL, Sylvain Boily. Dans ces circonstances, il est souhaitable de les démolir et de les remplacer par trois nouveaux bâtiments multifamiliaux correspondant davantage aux besoins et aux normes actuels.» Essentiellement, le projet consiste à démolir les six hlm situés aux 12, 24 et 48, rue Labonté, au 35, boul. Quinn, et aux 570 et 580, rue Bord-de-l’Eau. Ces édifices comportent de gros problèmes de structure et ce, depuis leur construction. «Ils seront remplacés par trois nouveaux immeubles de six étages d’architecture moderne et certifiés LEED. Ils s’intégreront bien à l’environnement du Vieux-Longueuil et briseront l’image de ghettoïsation. Les nouveaux hlm offriront le même nombre d’unités d’habitation, soit 180, mais la superficie de chacune de celle-ci sera en moyenne de 30% plus grande, de sorte que l’ensemble du projet locatif procurera un meilleur cadre de vie aux locataires», explique Sylvain Boily. Pas sur le trottoir Plus aucun locataire n’habite ces six édifices depuis juillet dernier. Ils ont tous été relocalisés, soit dans des logements locatifs privés ou dans d’autres hlm du territoire. Les travaux de démolition devraient débuter d’ici quelques semaines et l’ensemble du complexe devrait être complété au plus tard, d’ici à mai 2011. Le projet est financé à 90% par les gouvernements du Canada et du Québec et à 10% par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
  3. Le Chemin de Chambly en chantier! Cette rue importante se prépare a recevoir sa toute première piste cyclable entre Vauquelin et le boul. Jacques-Cartier. Les voies véhiculaires seront rétrécies (de 4.1m à 3.4m en moyenne) pour permettre l'implantation de la piste de 3m. Les trottoirs seront élargis à 1.5m également. L'ouverture est prévue cet automne!
  4. brubru

    Pont Viau (2012)

    http://www.courrierahuntsic.com/Actualites/2010-07-08/article-1520626/Travaux-majeurs-sur-le-pont-Viau/1 http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/laval_mille_iles/refection_du_pont_viau_route_335_entre_laval_et_montreal
  5. J'aime vraiment les balcons de ce projet ! Pour le nom par contre, on repassera. ********************************************** Exit Harvey's: une ressource intermédiaire bientôt construite sur Lacordaire par Guillaume Picard Article mis en ligne le 18 novembre 2009 à 9:34 Une ressource intermédiaire sera bientôt construite sur le site du restaurant Harvey's, boulevard Lacordaire. (Photo: Philippe Serafino) Le Progrès Saint-Léonard a appris que le projet de ressource intermédiaire pour les personnes en perte d'autonomie dont le journal révélait l'existence, dans sa livraison du 13 octobre dernier, sera construit sur le site du restaurant Harvey's, au coin du boulevard Lacordaire et de la rue Le Mans. Le Groupe immobilier Global, présidé par Anthony Falvo, pilote ce projet dont la réalisation demeure conditionnelle à l'approbation de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal. La bâtisse et le terrain du Harvey's appartiennent d'ores et déjà au promoteur. Neuf soumissionnaires ont présenté un dossier à la suite d'un appel d'offres dans le cadre du Plan d'action 2010 de l'Agence, mais c'est le Groupe immobilier Global qui a obtenu la meilleure cote en fonction des critères de la grille d'évaluation. « Nous croyons avoir une réponse sous peu, indique M. Falvo en entrevue. L'édifice de sept étages que nous espérons inaugurer au printemps 2011 comprendra 162 unités, dont 103 seront réservées à la ressource intermédiaire (90 lits pour les personnes en perte d'autonomie liée au vieillissement et 13 places pour les personnes âgées de moins 65 ans ayant une déficience physique). Les 59 unités restantes seront privées. Nous voulons créer un milieu de vie épanouissant, c'est très important pour nous. » Les 103 places de la ressource intermédiaire seront en partie financées par le ministère de la Santé et des Services sociaux selon le niveau de soins dont a besoin chaque bénéficiaire, qui, lui, devra contribuer en fonction de ses revenus. M. Falvo, dont l'entreprise a récemment construit une résidence face au parc Jarry, sur le boulevard Saint-Laurent, dit avoir présenté d'autres demandes pour créer des ressources intermédiaires ailleurs à Montréal.
  6. Les prix des immeubles locatifs seront à la baisse pour longtemps Les Affaires Bernard Mooney Selon vous, quel sera l'effet de la crise financière sur les prix des immeubles locatifs et sur l'offre et la demande de loyers au Québec ? - Étienne L'évolution du marché immobilier à long terme dépend de l'économie, des taux d'intérêt et de la croissance démographique. Et il est évident que la crise financière aura un effet sur ce marché. Il faut s'attendre à une baisse des prix des immeubles, ou à tout le moins à une stagnation des prix sur une longue période, selon les marchés. En principe, plus les prix ont grimpé, plus ils devraient baisser. Par ailleurs, la baisse sera plus importante dans les régions les plus frappées par la récession. Alors, si vous prévoyez une grave récession au Québec, vous devriez également prévoir une forte baisse des prix, même s'il y a eu moins de spéculation ici que dans l'Ouest du pays. Les faibles taux d'intérêt sont un facteur qui limitent les dégâts, mais ils ne suffiront pas à enrayer la baisse des prix. Cela dit, l'investisseur ne devrait pas se laisser trop influencer par les prévisions macroéconomiques. Il devrait surtout faire ses devoirs, c'est-à-dire étudier les marchés qui l'intéressent, et se tenir au courant des transactions immobilières pour avoir une bonne idée de l'évolution des prix et se préparer à saisir les occasions. Par-dessus tout, il doit être très patient. Le cycle du marché immobilier prend de nombreuses années à se déployer.
  7. Via ajoute des départs supplémentaires vers Toronto et Ottawa, au départ de Montréal. http://www.montrealitesurbaines.com/ Plus de départs égalent plus de flexibilité pour les voyageurs, qui pourront désormais revenir d'Ottawa en fin de soirée. Les dix départs quotidiens vers Toronto permettront aussi à Via de mieux compétitionner avec les compagnie aériennes, dont Air Canada qui offre des départs aux 30 minutes aux heures de pointes et aux heures le reste de la journée. Via prévoit ajouter davantage de départs quand les améliorations des voies seront complétées.
  8. Grande ouverture le 8 août! Tout nouveau, tout beau! Donnant sur les rues Gordon et Rielle, entre les rues De Verdun et Bannantyne, Place Gordon sera constitué de 2 élégants bâtiments de 4 étages, soit une première phase de 28 condos sur la rue Gordon, puis une deuxième phase de 44 condos sur la rue Rielle, pour un total de 72 condos. Des condominiums de types 4½ et 5½ avec des superficies variant de 770 pi2 à 1075 pi2, seront construits dans ce projet. Chaque unité bénéficiera d’un balcon privé ainsi que d’un espace de rangement au sous-sol. De plus, des stationnements intérieurs et extérieurs seront offerts en option. Une grande proportion d’espaces verts, la proximité des stations de métro « Verdun » et « De l’Église » ainsi que l’accès facile au pont Champlain et aux autoroutes 15, 20 et 720, sont autant d’avantages qui sauront plaire aux résidents de ce magnifique projet. Avec sa localisation exceptionnelle, les futurs résidents de Place Gordon pourront profiter d’une vie de quartier paisible en jouissant des petits plaisirs de la vie à leur disposition, tels que les parcs Verdun et Willibrod, le Parc linéaire et la piste cyclable longeant le Fleuve ainsi que tous les services et commerces des rues Wellington et De l’Église. De plus, grâce aux conseils gratuits de nos spécialistes en décoration intérieure, vous pourrez faire tous vos choix de finis lors de votre visite à notre Centre de Design Samcon, unique à Montréal. Notez que ce projet se qualifie pour le programme de subventions de la Ville de Montréal. Caractéristiques Prix : à partir de 194 900$ (taxes incl.) Nombre d’unités : 28 (phase 1) Types d’unités : 4½ et 5½ Superficies : 770 pi² à 1075 pi² Stationnements : intérieurs et extérieurs optionnels Livraison : 2010 Transports : stations de métro « Verdun » et « De l’Église » et un accès facile au pont Champlain et aux autoroutes 15, 20 et 720 http://www.samcon.ca
  9. MEZZ ST-DOM - Condominium [sTREETVIEW]http://maps.google.ca/maps?hl=fr&ie=UTF8&ll=45.541748,-73.638493&spn=0,0.003484&t=h&z=19&layer=c&cbll=45.541748,-73.638493&panoid=LwFrm8xz2eAs0t-P0uocyw&cbp=12,347.53,,0,-3.48[/sTREETVIEW] http://www.mezzstdom.com/ Mezz St-Dom est un projet de condominiums neufs à Montréal. Situé sur la paisible rue St-Dominique, en retrait de Crémazie, les condominiums neufs de Mezz St-Dom offrent des espaces de vie uniques dont certains condos seront dans l'édifice d'origine tandis que d'autres seront de construction neuve. Offrant des finitions de qualité avec une grande possibilté de personnlisation des unités lors de la prévente, Mezz St-Dom est un projet unique et urbain. La terrasse commune sur le toit ainsi que l'espace de rangement pour les vélos seront également très prisé de la jeune clientèle du quartier Mezz St-Dom est une réalisation de Maisons Top Inc. qui oeuvre dans le domaine de la construction résidentielle, tant au Québec qu'en Ontario et en Floride depuis plus de 50 ans.
  10. Brossard 40 M$ pour revamper le Mail Champlain Mise à jour : 16/09/2009 15h35 Les amateurs de shopping seront heureux d’apprendre que le Mail Champlain, sur la Rive-Sud de Montréal, se refera une beauté. Le propriétaire du centre commercial, Ivanhoé Cambridge, investira 40 millions $ pour réaménager le centre et ainsi espérer attirer une clientèle plus jeune. Les travaux commenceront dès cet automne et se poursuivront jusqu’en 2010. Ils se feront de nuit pour perturber le moins possible les activités du mail. Selon les plans des architectes, le centre devrait laisser passer plus de lumière naturelle. Les aires de restauration seront restaurées et un espace pour manger devrait être aménagé à l’extérieur. À Brossard, le Mail Champlain est en concurrence avec un autre grand joueur, le quartier DIX30. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/09/20090916-153237.html
  11. Le samedi 03 mai 2008 Un immense quartier va surgir Éric Clément La Presse Dix fois plus grand que Griffintown et encore plus coûteux à créer, un immense quartier va naître dans des zones inexploitées de Pierrefonds-Roxboro, a appris La Presse. Ce projet de 1,7 milliard est greffé à la création d'un parc de 169 hectares. Situé près du parc-nature du Cap-Saint-Jacques, le projet permettra la création de 5300 habitations sur 184 hectares. Il s'étalera sur une quinzaine d'années. Montréal investira 40 millions pour créer des rues et des infrastructures souterraines. La Ville pense récupérer son investissement en neuf ans. Les promoteurs, Grilli et Développements Pierrefonds, possèdent la plupart des terrains. Depuis quelques mois, l'arrondissement, la ville centre et les promoteurs planchent sur le projet. Carole Tétreault, directrice de la mise en valeur de terrains au Groupe Grilli, dit que les promoteurs travaillent ensemble, de façon concertée, mais aussi avec la Ville, afin d'en arriver à une architecture générale harmonieuse. Le concept d'aménagement est en cours de définition. On regarde où seront situées les artères principales et les commerces, quels types d'habitation seront choisis, où se trouvera le noyau principal du quartier. On sait déjà que le boulevard Pierrefonds sera prolongé vers l'ouest en direction du Cap-Saint-Jacques. «Il y aura des petits commerces, comme des pharmacies, des dépanneurs, des cabinets de dentistes, au coeur de la zone résidentielle, dit la mairesse de Pierrefonds-Roxboro, Monique Worth. Et il y aura des zones de densité variable.» Un plan de drainage et un autre pour la circulation sont à l'étude, tout comme les besoins en logements sociaux. La Ville est très ambitieuse quant à la qualité du projet. «On se dit qu'on a un des derniers grands territoires montréalais à aménager, un territoire immense possédant des caractéristiques fantastiques en ce qui a trait aux milieux naturels et on veut vraiment en faire un projet exemplaire et novateur, dit Myriame Beaudoin, directrice aux Projets majeurs à la Ville et chef de ce projet. On veut prendre le temps de connaître tous les intrants et concevoir un projet qui réponde à tous les principes qu'on souhaite mettre de l'avant, des principes que les promoteurs acceptent aussi de mettre en oeuvre.» Le projet comprend de petits espaces verts sur 18 hectares au coeur du quartier résidentiel et un plan de protection de 10,6 hectares de milieux humides. «On a déjà fait un très bon travail avec le ministère de l'Environnement pour caractériser les milieux humides, déterminer ceux qu'il faudra protéger, mais il faut un plan pour être certain, concrètement, qu'on va les protéger malgré les ouvrages qu'on va construire», dit Mme Beaudoin. De plus, une bande de terrain partant de l'Anse-à-l'Orme et du parc-nature du Cap-Saint- Jacques jusqu'à Sainte-Annede-Bellevue deviendra une zone de conservation naturelle de 169 hectares. Mais ce parc ne fait pas partie directement du projet de 1,7 milliard. «La direction des parcs de Montréal réfléchit à la question de savoir comment on va l'aménager, dit Mme Beaudoin. Il y aura des parties sauvages et une partie d'occupation moyennement intensive où il y a notamment des ravages de chevreuils. Les aménagements nécessaires pour la protection des milieux naturels humides et le drainage de surface seront à la charge des promoteurs.» Une entente avec Environnement Québec et la Ville devra être signée pour assurer la protection des milieux humides. La Ville veut aussi trouver des arrangements avec les propriétaires des terrains concernés par le projet de conservation et qui seront cédés. «On essaie de faire en sorte que les promoteurs qui vont bénéficier du projet immobilier participent financièrement à l'acquisition de ces terrains afin que ce soit équitable, dit Mme Beaudoin. Mais ce n'est pas facile.» L'arrondissement dit que la Coalition verte, des écologistes de l'Ouest-de-l'île, est «associée au projet». Mais David Fletcher, porte-parole de la Coalition verte, a dit à La Presse que son organisme a décidé de ne pas faire partie du comité technique du projet, car il n'y est pas favorable, souhaitant que 100% des zones inexploitées soient protégées. Consciente que le projet aura quand même lieu et que la création du parc est une bonne chose, la coalition compte faire des suggestions afin que les impacts sur l'environnement soient limités. Convaincre le MTQ Par ailleurs, un boulevard comportant une voie réservée aux transports en commun, est prévu sur l'emprise de la 440 qui appartient au ministère des Transports et qui va du boulevard Gouin à l'autoroute 40. Il faudra créer un échangeur pour relier ce boulevard à l'A40. Montréal veut que Québec participe à sa construction, évaluée à 25 millions. Mais le MTQ se fait tirer l'oreille. Récemment, lors du lancement de la carte OPUS de la Société de transport de Montréal, la mairesse Worth a, sous les yeux de La Presse, remis une lettre à la ministre Julie Boulet lui demandant de régler cette question. Si le gouvernement Charest ne veut pas bouger, la mairesse demande qu'on leur donne l'emprise. «Cédez-la-nous et on fera nous-mêmes un boulevard, dit-elle. Ça fait 35 ans qu'on attend. Pour l'instant, ça ne retarde pas les travaux, mais il faudrait avancer quand même!» Jacques Gagnon, le sous-ministre adjoint au Transport, a dit à La Presse qu'il n'est pas question de céder l'emprise. «On va regarder le dossier, dit-il. On peut regarder l'utilisation, leur permettre de l'utiliser à leurs frais.» «Cet axe est essentiel au projet à cause des problématiques locales de transport, dit Myriame Beaudoin. Même si le projet n'est pas axé sur le transport en commun, on veut essayer de diminuer la dépendance à l'automobile. Il faut donc créer des emplois locaux ou accessibles par transports en commun.» Des séances publiques seront organisées pour «ajuster le projet s'il y a lieu». Le programme particulier d'urbanisme (PPU) devrait être présenté aux citoyens l'été prochain. En bref > Investissement total: 1,7 milliard > Part de Montréal: 40 millions > Part de Québec: 25 millions espérés > Près de 400 hectares au total > 184 hectares pour le résidentiel > 18,4 hectares d'espaces verts près des maisons > 5300 unités d'habitations > 169 hectares de milieux naturels protégés >10,6 hectares de milieux humides protégés
  12. http://www.ecocity2011.com/accueil/default_f.asp Les personnes. L’écologie. L’urbanité. Cap vers les écocités. Le programme du Sommet s'appuiera sur les travaux des Sommets mondiaux Écocité antérieurs, en plus de présenter de nouveaux thèmes de conférences, des méthodes participatives ainsi que des projets qui survivront au-delà de la durée du Sommet. La conception et le contenu détaillé du Sommet mondial Écocité seront élaborés en collaboration avec des partenaires locaux et internationaux. Un effort particulier sera fait pour que l'expertise écologique urbaine particulière de Montréal soit mise de l'avant. THÈMES TRANSVERSAUX PARCOURS DE LA CONFÉRENCE Thèmes transversaux Le programme du Sommet mondial Écocité est organisé autour de six thèmes transversaux qui permettront d’examiner la recherche de pointe et de présenter des solutions concrètes qui contribuent à l'élaboration et à la gestion des écocités. Tous les intervenants présenteront des conférences portant sur leur propre domaine d'expertise et expliqueront la relation entre leur travail et la vaste gamme de problèmes sociaux, économiques et biophysiques qui font partie intégrante de la notion d’écocité. Des panels multidisciplinaires spéciaux, qui se concentreront sur les liens entre les différents thèmes, ont été mis sur pied afin de donner un aperçu holistique des principes à la base des écocités. Ils traiteront notamment de la conception de bâtiments verts pour les collectivités durables; de nouvelles technologies pour élaborer des infrastructures écologiques, comme l’amenée de résidus vers les centrales d'énergie; de l’élaboration de solutions d'écomobilité; de stratégies économiques pour soutenir les écocités; et de l’engagement citoyen ainsi que de la prise en charge par la population. Notre objectif: un programme commun afin de construire des écocités. Les participants à la conférence auront la possibilité d'étendre leurs réseaux, d’apprendre à partir de recherches novatrices et d’expériences faites ailleurs dans le monde, de contribuer à la réflexion sur les écocités et à l’évolution du mouvement des écocités et, finalement, de repartir avec de nouvelles connaissances, des outils et des approches qu’ils pourront adapter à leurs propres villes et pays. CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET ÉCOCITÉ Les villes doivent faire partie de la solution aux changements climatiques : jusqu’à 70 % des gaz à effet de serre (GES) sont produits dans les villes qui accueillent plus de 50 % de la population mondiale. Une écocité pourra faire face aux changements climatiques en relevant les défis relatifs à l’étalement urbain, au transport collectif, à la réduction et la valorisation des matières résiduelles ainsi qu’aux normes, aux matériaux et au design des bâtiments. Les écocités deviendront plus flexibles pour s’adapter aux menaces et aux risques accrus encourus par les infrastructures à la suite des changements climatiques. Les sessions prévues dans cette thématique aborderont comment les écocités peuvent faire face aux défis des changements climatiques. Parmi les sous-thèmes : combiner les stratégies d’atténuation et d’adaptation pour faire face aux changements climatiques; logements, aménagement urbain et changements climatiques; l’économie des changements climatiques dans les villes : impacts et opportunités. Les fournisseurs de technologies permettant de réduire les émissions de GES dans les villes seront particulièrement intéressés par ce sujet. ÉCOMOBILITÉ, AMÉNAGEMENT URBAIN ET ESPACE PUBLIC Comment devrions-nous organiser les villes et les banlieues pour permettre l’écomobilité ? Comment pouvons-nous activer l’espace public ? Les villes et les banlieues sont des entités dynamiques, en constante transformation. Sans cesse, comme tout écosystème, elles sont étalonnées et adaptées à leurs populations changeantes. Les qualités de transformation des régions urbaines présentent des défis et des opportunités. De nombreuses régions métropolitaines sont dépendantes de la voiture, car elles ont été construites et reconstruites pour favoriser l’automobile. D’autres modes de transport, comme la marche et la bicyclette, sont non seulement peu favorisés, mais sont souvent dangereux. Nous n’avons toujours pas réussi à éliminer les approchantes prédominantes en aménagement qui ont mené à ce que tant d’espace urbain soit cédé à l’automobile. Un objectif de convivialité devrait être ciblé dans la façon dont on répond aux besoins de base, tels que les logements, la nourriture, le développement personnel, les loisirs et le transport. Le défi est fondamentalement une question d’aménagement. Les sessions couvrant ce thème font explorer les questions-clés suivantes : Pourquoi et comment repenser l’aménagement de nos villes dans une perspective à long terme tout en posant des actions significatives à court terme ? Quelles sont les expériences inspirantes et les conditions de leur émergence ? Quels résultats pouvons-nous anticiper en faisant quels compromis ? Quels rôles peuvent jouer l’aménagement et le design dans le développement de stratégies réalistes pouvoir encourager la marche, la bicyclette et l’utilisation des transports collectifs et dans leur mise en œuvre ? GOUVERNANCE ET DÉMOCRATIE DANS UNE ÉCOCITÉ Transformer nos villes en écocités implique une nouvelle façon de concevoir la ville, mais aussi de la gouverner. D’une part, il faut revoir le fonctionnement des politiques publiques des municipalités et des gouvernements supérieurs pour que celles-ci s’ajustent à une vision intégrée du développement urbain durable. D’autre part, de nouvelles formes de participation citoyenne doivent être implantées afin de faire une plus large place à ceux-ci dans les processus de planification et de gestion des affaires urbaines. Les sessions couvrant ce thème seront orientées par trois sous-thèmes : la participation citoyenne, le changement social et l’innovation, le gouvernement et la gouvernance. De nombreuses questions-clés seront abordées. Quelles sont les conditions politiques et administratives du changement? Quelles sont les expériences inspirantes? L’ÉCONOMIE D’UNE ÉCOCITÉ Quel est la raison d’être du développement économique dans une écocité et comment définir les termes tels que « développement durable », « prospérité », « bien-être » et « qualité de vie » en lien avec cette notion ? Trois sous-thèmes tentent de répondre à cette question de fond. En premier lieu, comment favoriser les économies locales ? Les façons de maintenir la richesse et la prospérité au sein d’une écocité seront examinées à la lumière des modes de consommations de la population en matière de nourriture et de loisirs. Des défis importants doivent être relevés notamment en matière de financement de l’économie, confrontant la tendance vers la mondialisation, cherchant l’équilibre entre investissements publics et privés et gérant les relations entre l’écocité et les régions avoisinantes. La ville de transition et les mouvements sociaux prônant la ville post-carbone peuvent apporter de nouvelles approches instructives. En deuxième lieu, comment encourager le travail responsable dans une écocité ? Seront abordés les métiers verts et les nouveaux modes de travail possibles, tel que le partage du travail et des semaines plus courtes de travail ainsi que les secteurs les mieux adaptés à une écocité. En troisième lieu, comment gérer l’énergie et les besoins matériels d’une écocité ? Seront abordés les enjeux relatifs aux systèmes de production, de consommation et de gestion des matières résiduelles et les détails sur le fonctionnement d’une économie à faible émission de carbone. Par exemple, quelle est l’empreinte écologique d’une écocité ? Quels systèmes de gestion de l’eau et de traitement des eaux usées sont les mieux adaptés aux écocités, en prenant en compte leur situation géographique ? Comment poursuivre des objectifs permanents de croissance économique et de développement durable dans une ville écologique ? SANTÉ ET ENVIRONNEMENT BÂTI L’impact de l’environnement bâti sur la santé des individus et des populations est de plus en plus documenté tout comme l’est l’impact de la distribution inégale des ressources et services sur les inégalités sociales de santé. Il s’agit d’un nouveau champ d’étude en santé publique qui touche entre autres la qualité de l’air, les îlots de chaleur urbains, la sécurité des piétons et des cyclistes, le transport actif, la qualité de l’eau, l’obésité, les maladie cardio-respiratoires et la santé mentale. Ce thème portera plus particulièrement sur les façons de créer des aménagements urbains favorables à la santé (par exemple, agir sur la configuration des bâtiments, des rues et des trottoirs, la qualité des espaces publics, le verdissement, la promotion de l’engagement social, la cohésion sociale etc.). Parmi les sous-thèmes spécifiques : (i) les déterminants et processus sous-jacents à l’impact de l’environnement urbain sur la santé et les inégalités sociales de santé; (ii) les interventions, programmes et politiques publiques pour améliorer les conditions de vie urbaines afin de favoriser la santé et réduire les inégalités sociales de santé; et (iii) la mesure et l’évaluation de l’impact des interventions, programmes et politiques publiques qui visent la création d’environnements favorables sur la santé et les inégalités sociales de santé. BIODIVERSITÉ ET AGRICULTURE URBAINE La biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine sont tous les trois liés et contribuent, en effet, au bien-être de la population, de manière directe et indirecte, tant au niveau de la santé, de l’environnement que de la qualité du milieu de vie et du paysage. Au cours des dernières années, les connaissances scientifiques se sont accumulées quant aux multiples services sociétaux, économiques et écologiques. Mentionnons à cet égard l’ombrage et l’effet rafraîchissant, la captation des eaux de pluie et des polluants atmosphériques, la sécurité alimentaire. Par ailleurs, il est reconnu que le maintien du plus grand nombre d’espèces vivantes possible est nécessaire à la conservation d’écosystèmes en santé. Ces milieux participent aussi au rayonnement de la communauté, à son dynamisme économique, à sa fiscalité et à son développement social. Malgré la reconnaissance des services rendus par la biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine, une partie de ce patrimoine exige encore des efforts de développement, de préservation et de mise en valeur. Parcours de la conférence 1. LES VILLES À CLIMAT NORDIQUE : POLITIQUE, AMÉNAGEMENT ET DESIGN DE L’ÉCOCITÉ 2. UNE MEILLEURE RECONSTRUCTION EN HAÏTI ET DANS D’AUTRES ZONES SINISTRÉES 3. L'ÉCOCITÉ DE MONTRÉAL 4. ENGAGEMENT COMMUNAUTAIRE ET DES CITOYENS ET PARTICIPATION DES JEUNES 5. MESURER LES PROGRÈS DANS L’ÉCOCITÉ : INDICATEURS, NORMES ET MEILLEURES PRATIQUES 6. LES TECHNOLOGIES PROPRES AU SERVICE DES ÉCOCITÉS Les technologies propres contribuent activement au développement de villes et régions plus vertes et plus prospères. En accélérant la conception, le développement, l’adoption, la commercialisation et l’exportation des technologies propres, les grappes œuvrant dans ce secteur ont un rôle déterminant à jouer dans l’émergence de véritables écocités. Organisé par Écotech Québec, en partenariat avec la Global Cleantech Cluster Association (GCCA), ce parcours est la première rencontre internationale de cette association. Ouverte à l’ensemble des participants d’Écocité, la rencontre ciblera le partage des meilleurs pratiques et le développement de partenariats stratégiques profitables à l’ensemble des parties prenantes. Programme »»»
  13. L'avion du futur en mettra plein la vue http://fr.canoe.ca/voyages/nouvelles/archives/2011/06/20110614-124123.html Un modèle unique d’avion vient d’être dévoilé à Londres par l’entreprise Airbus, apprenons-nous sur MailOnline. L’appareil en question, dont le haut est transparent, ne conviendra pas aux voyageurs de 2050 qui ont la peur de l’avion. Ceux qui y monteront vivront un vol hors du commun, car sa conception leur permettra d’admirer l’extérieur, de nuit comme de jour. Cet avion futuriste a aussi été pensé en fonction de la détente. Par exemple, les sections aujourd’hui réservées aux classes affaires et économiques seront remplacées par des zones de relaxation. Des jeux holographiques et d’autres divertissements, tous engendrés par la chaleur du corps, seront aussi proposés aux passagers. © Airbus S.A.S. Ceux qui y monteront vivront un vol hors du commun, car sa conception leur permettra d’admirer l’extérieur, de nuit comme de jour. Si la plupart des technologies qui seront employées pour les fonctions de cet avion sont déjà connues, on ne sait toujours pas les secrets technologiques concernant sa fameuse coque supérieure transparente. On sait malgré tout que la structure de la cabine a été inspirée par l’efficacité osseuse de l’oiseau. Cela permettra la force nécessaire pour soutenir ladite cabine, mais aussi pour intégrer une membrane intelligente qui gèrera les différences de température et permettra la transparence. Le but d’une telle conception est d’offrir aux touristes un voyage en avion qui est aussi enrichissant que la destination en elle-même. Le haut de l'«avion du futur» sera transparent.
  14. Espaces verts Un nouveau parc-nature pour les Montréalais Agence QMI 13/05/2011 18h25 MONTRÉAL – Les Montréalais en quête d’espaces verts pourront bientôt profiter d’un nouveau parc-nature dans la métropole, puisque la Ville de Montréal aménagera celui du Bois-de-Saraguay afin de l’ouvrir au public. Située dans l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville et d’une superficie de 96 hectares, cette forêt est la plus ancienne à être restée intacte dans la métropole. Les nouvelles installations seront inaugurées en 2013. «Pour l’instant, les gens peuvent y aller, mais il (le parc) n’est pas aménagé. Nous allons donc effectuer des travaux pour développer des sentiers, des haltes et des observatoires pour que les gens puissent en profiter», a indiqué Valérie DeGagné, porte-parole de la Ville. Puisque cette forêt abrite une imposante diversité d’espèces d’arbres, «l’approche tiendra compte de la fragilité de ces écosystèmes», a précisé la Ville. Les plans seront d’ailleurs élaborés en collaboration avec plusieurs organismes locaux. «La préservation et l’augmentation de la biodiversité sur le territoire sont une priorité incontournable», a d’ailleurs assuré Alan DeSousa, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal responsable du développement durable, par voie de communiqué. Les coûts du projet font partie du budget de la Ville prévu à cet effet.
  15. Une autre rénovation dont on parle sur Cyberpresse. L'ancienne station d'électrification de la Shawinigan Water and Power Company, dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, est en train d'être convertie en une coop d'habitation certifiée LEED or et Novoclimat.
  16. Un plan de stationnement avant-gardiste Nouvelles générales - Politique municipale Écrit par Charles Poulin Jeudi, 28 octobre 2010 15:38 Mise à jour le Jeudi, 28 octobre 2010 17:40 Projet Montréal a présenté son nouveau plan de stationnement sur le Plateau-Mont-Royal pour l’année 2011 et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est avant-gardiste. Ayant comme buts avoués d’augmenter ses revenus tout en incitant les gens à ne plus utiliser leur voiture, le maire de l’arrondissement, Luc Ferrandez, et le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, ont dévoilé jeudi qu’ils allaient uniformiser le tarif des parcomètres à 3$ l’heure, ajouter 600 parcomètres et mettre sur pied un projet pilote qui, s’il fonctionne, éliminerait les vignettes de stationnement et obligerait les visiteurs à migrer vers le transport en commun. «Nous avions dit que nous irions jusqu’au bout, bien on y va, tranche M. Bergeron. Oui, ça va vite, mais nous avons des obligations de résultat. Nous voulons que les bénéfices qui découlent de ces mesures profitent aux résidants.» Le nouveau plan de stationnement veut réduire l'utilisation de la voiture dans l’arrondissement Plateau-Mont-Royal. Photo d'archives Chantal Poirier Ces 600 nouveaux parcomètres seront placés près des artères commerciales, dès janvier. L’uniformisation des tarifs se fera également au début de l’année. L’avenue du Parc sera épargnée pendant la durée des travaux sur l’artère. L’arrondissement estime que les revenus nets supplémentaires seront de 6M$ par an, en admettant qu’il n’y ait pas de baisse d’achalandage. De ce montant, 30% sera réinvesti directement à l’amélioration des rues commerciales. «Nos artères commerciales font face à la concurrence des power centres et des centres commerciaux sans moyens, avance M. Ferrandez. Nous voulons développer nos forces, et le commerce sur rue en fait partie.» Plusieurs commerçants se sont dit opposés à cette hausse de parcomètres et de tarifs par crainte que les visiteurs ne fuient leur commerce et n’y reviennent plus. «L’autre choix, c’était une taxe spéciale, fait remarquer le maire de l’arrondissement. Le Plateau-Mont-Royal est endetté, nous devions faire quelque chose.» Parcojour Le Plateau implantera également un projet pilote en mars ou avril, qui, s’il fonctionne, devrait éliminer les vignettes de stationnement telles qu’on les connaît. Les parcojours seront installés dans les secteurs de l’École des métiers de la construction et dans Milton Parc. Le principe est le suivant: tous les espaces de stationnement réservé aux résidants disparaissent. En contre-partie, tous les espaces du secteur visé deviennent payants, sans exception, 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Les résidants peuvent toujours se procurer une vignette anuelle au coût de 75$. Les visiteurs, eux, ont le choix entre acheter une vignette mensuelle, un coupon journalier ou encore payer à l’unité pour les trois premières heures, après quoi le tarif devient le même que pour un jour. Projet Montréal a même prévu le coup pour les amis et les familles des résidants. Ceux-ci pourront se procurer un livret de 15 coupons quotidiens au coût de 15$ (1$ l’unité), qu’ils pourront donner à leur visiteurs. Pour éviter les abus, le second livret coûtera plus cher et ainsi de suite. Les OBNL auront eux droit à des vignettes gratuites pour leurs bénévoles. «Nous avons 52 types d’interdiction de stationnement sur le Plateau, rappelle Luc Ferrandez. L’implantation des parcojours signifie une tarification plus conplexe, mais le stationnement devient beaucoup plus simple.» «Le but visé est de décourager l’utilisation de la voiture dans l’arrondissement, poursuit-il. Nous savons que 8% des automobilistes viennent ici faire des achats, et 37% sont des travailleurs. Ce sont les travailleurs que nous voulons aller chercher, parce qu’ils ont d’autres options comme le transport en commun.» Luc Ferrandez et Richard Bergeron disent ne pas savoir quels seront les résultats du projet pilote, mais si tout va bien, il pourrait être étendu. «C’est quelque chose d’intéressant, mais ça doit être testé», conclut M. Ferrandez. Les trois SDC d'accord Les trois sociétés de développement commercial (SDC) du Plateau se sont dites en accord avec les annonces faites par Luc Ferrandez et Richard Bergeron. «La difficulté qu’a la Ville de Montréal à investir dans son développement comme métropole, conjuguée à la faible dotation des arrondissements de Montréal comme le Plateau-Mont-Royal, entraîne des conséquences fâcheuses sur la qualité de vie des Montréalais et la vitalité de leurs artères commerciales, indiquent-elles dans un communiqué émis jeudi. Il nous faut inévitablement faire preuve d’imagination pour faire face aux défis et nous démarquer des grandes bannières et des joueurs tels que Devimco (Quartier DiIX30), lesquels sont toujours en mesure d’investir des sommes considérables en promotion et en aménagements pour rendre leur expérience d’achat encore plus unique. «La hausse du coût du stationnement préconisée par l’arrondissement Plateau-Mont-Royal représente un pari risqué, ajoutent les organismes. Elle peut devenir un outil de développement très efficace si elle est bien gérée. C’est pourquoi les SDC de l’avenue du Mont-Royal, de la rue Saint-Denis et du boulevard Saint-Laurent accueillent l’engagement de l’arrondissement de verser aux SDC de son territoire 30% des nouveaux revenus tirés de l’augmentation du coût du stationnement comme une nouvelle positive.» http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-generales/politiquemunicipale/29511-un-plan-de-stationnement-avant-gardiste
  17. Six mois de travaux sur la rue Sherbrooke MONTRÉAL - La Ville de Montréal a annoncé mercredi le début d’un important chantier qui paralysera la rue Sherbrooke jusqu’à la fin mai 2011, au centre-ville, entre les rues Saint-Marc et de la Montagne. La Ville doit effectuer des travaux majeurs pour réparer un égout collecteur construit en 1910, dont l’état de dégradation est tellement avancé qu’il pourrait causer un affaissement de la chaussée et des refoulements chez les résidents du secteur, si rien n’est fait. «Ces travaux sont absolument nécessaires. Les inspections récentes, faites par caméra, démontrent bien l’état dégradé de ce tronçon», a expliqué en conférence de presse le responsable des infrastructures au Comité exécutif, Richard Deschamps. Au lieu de reconstruire l’égout, ce qui aurait coûté neuf fois plus cher, la Ville a opté pour l’installation d’une gaine à l’intérieur des conduites, de façon à créer une nouvelle paroi qui devrait tenir pendant 50 ans. Facture totale : 4,2 millions $. Cette technique permettra également de réduire de moitié la durée du chantier. Circulation Qui dit réfection d’aqueduc dit fermeture de rues, et les travaux sur Sherbrooke n’y échapperont pas. À partir du 14 novembre, l’artère sur laquelle circulent 30 000 véhicules par jour ne comportera qu’une voie dans les deux sens sur une distance d’un demi-kilomètre, entre Saint-Marc et Guy. Sherbrooke sera aussi complètement fermée entre Guy et Saint-Mathieu pendant le week-end du 13 novembre, et entre Guy et Redpath pendant le week-end du 27 novembre. Les entraves seront encore plus importantes de janvier à la fin mai 2011, alors qu’une seule voie sur quatre sera ouverte, en direction ouest. Le chantier fera relâche pendant la période des Fêtes, du 18 décembre au début janvier. Les responsables municipaux assurent qu’ils ne pouvaient attendre le début 2011 pour commencer les travaux, parce que tout doit être terminé pour la saison des festivals qui débute en juin. La Ville, qui a encore en tête le cauchemar des travaux sur Saint-Laurent en 2008, et les nombreuses plaintes sur l’avenue du Parc depuis quelques semaines, promet un plan d’action efficace. «Tous les efforts seront déployés pour diffuser l’information et accompagner les commerçants et les résidents durant les travaux», a assuré Richard Deschamps. En 2007, sur la même rue Sherbrooke, au coin de la rue Beaudry, une portion de la chaussée s’était affaissée en raison de l’égout trop vétuste. La réparation d’urgence avait nécessité la fermeture complète de l’intersection pendant deux mois. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/regional/montreal/archives/2010/11/20101110-202428.html
  18. Le 25 septembre 2010 Opération patrimoine: de découverte en découverte * Carole Thibaudeau La Presse L'Opération patrimoine architectural de Montréal (OPAM) célèbre ses 20 ans d'existence, avec, depuis hier et jusqu'au 10 octobre, son traditionnel concours de la maison coup de coeur du public, ses conférences, ses circuits de découverte à pied, ses activités pour la famille, ses musées et ses journées portes ouvertes, bref, près d'une quarantaine d'activités gratuites. Du nouveau cette année: le circuit pédestre Trésors du Vieux-Montréal. Les personnes intéressées aux immeubles patrimoniaux du Vieux-Montréal organisent leur propre itinéraire, à partir des fiches descriptives (histoire et architecture) qu'on trouve sur http://www.operationpatrimoine.com.'>http://www.operationpatrimoine.com. Deux autres randonnées urbaines, guidées cette fois, promettent de belles découvertes: une visite des lieux mentionnés dans les romans de Mordecai Richler, sur la Main et dans le Mile-End, aujourd'hui, de 10h à 12h (http://www.amisboulevardstlaurent.com ou http://www.mile-end.qc.ca); et une excursion toponymique du Vieux-Montréal au centre-ville, avec des experts expliquant l'origine des noms des rues, une activité réputée riche en anecdotes: le samedi 2 octobre, de 14h à 16h. Réservation obligatoire: 514-872-3953. À noter, deux itinéraires de découverte se feront simultanément en autobus, demain, dimanche, à 10h: l'un pour les cinémas de quartier, et l'autre sur le Montréal disparu (squares anéantis, rivières enfouies, etc.). Renseignements au 514-872-3207 ou sur http://www.autremontreal.com. Comme activité familiale, la Chasse aux trésors à Stewart Hall, le remarquable édifice abritant le centre culturel de Pointe-Claire, vaudra un prix à chaque enfant qui terminera le parcours. Aujourd'hui, de 13h à 16h. Renseignements: 514-630-1220. Maison coup de coeur Les Montréalais sont invités à choisir la maison coup de coeur La Presse-Historia, pour la 14e fois. Chacun vote, avant le 31 octobre à 17h, pour sa maison favorite parmi une sélection de cinq propriétés primées en 2010. Les participants sont admissibles à un tirage avec 12 700$ en prix à gagner: un week-end pour deux à l'hôtel Place d'Armes du Vieux-Montréal (800$), un ventilateur-échangeur d'air LifeBreath (1200$), trois aspirateurs centraux (900$ chacun), un bon d'achat de 3000$ pour Portes&Fenêtres Métropolitain et un bon d'achat de 5000$ applicable chez un fournisseur recommandé par CAA-Québec, services en habitation). Les photographies de ces maisons seront télédiffusées sur Historia et publiées dans La Presse, où elles seront accompagnées de bulletins de vote à découper. On pourra aussi faire son choix directement sur le site http://www.lamaisoncoupdecoeur.com. Portes ouvertes Encore une fois revient la Journée portes ouvertes du patrimoine, demain dimanche, de 13h à 16h. Une cinquantaine de propriétés à vendre, dotées d'un grand cachet patrimonial, seront ouvertes aux amateurs de belles résidences. La Journée est organisée par des membres de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM). La Journée portes ouvertes du patrimoine a été imaginée pour offrir aux amateurs de patrimoine la possibilité d'apprécier en un après-midi un bel échantillon de résidences anciennes. La liste de ces résidences se trouve sur le site de l'OPAM ainsi que sur celui de la CIGM (http://www.centris.ca). L'OPAM est organisée par la Ville de Montréal et Héritage Montréal, en partenariat avec la Banque Laurentienne et avec l'appui de plusieurs autres organismes. http://www.operationpatrimoine.com
  19. lundi 10 décembre 2007 Le Cinéma Beaubien, dans le quartier Rosemont-Petite-Patrie, héritera de deux salles supplémentaires, qui devraient être inaugurées à l'automne 2008, a appris Le Devoir de source sûre. L'une comptera 50 sièges, la seconde 90. Ces deux salles, au second étage de l'immeuble, accessibles par ascenseur et escalier, seront localisées dans les anciens bureaux occupés jusqu'à l'an dernier par le Groupe Popcorn. Le Cinéma Beaubien gérait déjà trois salles au rez-de-chaussée. Le projet comporte également une rénovation générale de ces aires d'origine: de nouveaux fauteuils et la climatisation du hall modifiée pour mieux répondre aux normes. Aujourd'hui, la Fiducie du Chantier de l'économie sociale, qui investit en capitalisation dans le projet (sans remboursement de capital), annoncera la nouvelle du chantier en conférence de presse, en précisant quelles sommes seront versées dans l'aventure. La Corporation du cinéma Beaubien, propriétaire de l'édifice, absorbera la différence. Rappelons que le Cinéma Beaubien, ancienne propriété de Cineplex Odéon, alors appelé Dauphin, avait failli fermer ses portes, quand la chaîne avait périclité au début du millénaire. Repris en septembre 2001 par la Corporation du Cinéma Beaubien, une entreprise d'économie sociale, sous la direction générale de Mario Fortin, celle-ci a su prouver qu'un cinéma de quartier, présentant des oeuvres de qualité, pouvait être populaire et rentable. À l'origine, une somme de 1,2 million de dollars avait été investie pour rénover les salles. Mais le jeu en valait la chandelle. Le Beaubien possède un des meilleurs taux d'occupation (il dépasse 30 %) dans la province. Parfois, jusqu'à sept films roulent au cours d'une semaine sur trois écrans. Les salles supplémentaires permettront de multiplier les séances, de présenter davantage de productions, mais aussi de garder des oeuvres à l'affiche plus longtemps, lorsque la demande est encore forte. Jusqu'à maintenant, des films porteurs devaient être sacrifiés après trois semaines, à cause de l'infernal roulement des nouveautés. Le Beaubien conservera son apparence et sa vocation actuelle, sans se déguiser un petit mégaplex, mais en répondant encore davantage aux besoins de sa clientèle de quartier. Dans un an, tout le projet d'agrandissement et de rénovation sera terminé.
  20. Les Jardins Champagne - Condos neufs à Laval Nous vous dévoilons avec fierté le premier domaine de condominiums à être construit à Ste-Dorothée. Situé à l’intersection de la Montée Champagne et du boulevard St-Martin, Les Jardins Champagne vous offre un projet moderne, prestigieux et calme. Seulement à quelques mètres de l’autoroute 13, tout est à votre portée : boutiques, restaurants, cliniques, épiceries et bien plus. De plus, Montréal ne se trouve qu’à 5 kilomètres. Ce développement comporte 6 immeubles qui seront construits en 3 phases. http://micasa.ca/constructions-maisons-neuves/quebec/laval/laval/sainte-dorothee-laval/projets/les-jardins-champagne
  21. Le promoteur immobilier, Groupe BCH Développement, poursuit l’effervescence résidentielle qui persiste en Montérégie par la vente d’un immense terrain sur lequel on prévoit la construction d'un complexe de copropriétés et de résidences. Sur une superficie de 450 000 pi2, BCH a planifié la réalisation d’un développement représentant 75 millions $ d’investissements en unités d'habitation. C’est à l’intersection de la route 132 et du Chemin St-François-Xavier, rue desservie par Candiac, que seront érigés ces immeubles. « Après avoir travaillé trois ans sur le potentiel de cette portion de terrain, nous venons tout juste de recevoir toutes les autorisation nous permettant d’inviter les entrepreneurs à profiter de belles opportunités que représentent ce site, souligne Gaétan Houle, promoteur immobilier responsable du projet. Le changement de zonage maintenant complété, il sera enfin possible d'habiter dans un concept de vie urbaine, à Delson. » La vie urbaine en pleine nature Selon ce dernier, le zonage permet la construction d’un projet de résidence de 430 unités pour personnes retraitées, immeuble érigée sur 12 étages. « Les municipalités de Delson et Candiac ont vu leur population diminuer lorsque les gens arrivaient à leur retraite justement parce qu’il n’y a pas de projet de la sorte pour répondre aux besoins de ce type de clientèle, insiste le promoteur. Nous voulons offrir aux résidents des copropriétés de qualité au design sophistiqué dans un ensemble urbain bien pensé. Ce sera donc un quartier à la fois animé, sécuritaire, où tous les services seront à proximité, explique le promoteur. » Le terrain possède une dénivellation, soit un plateau qui peut supporter une douzaine d’étages, selon les tests effectués par les promoteurs. L’accès à la rivière La Tortue en fait vraiment un site exceptionnel pour les nouveaux résidents qui choisiront de s’établir dans ce nouveau quartier et qui y trouveront une multitude d’avantages. Projet mixte En plus d’une résidence, il sera possible de construire 3 ou 4 immeubles de 6 à 12 étages, pouvant totaliser 250 unités de condominiums dont la brochette de prix varie de 250 000 $ à 800 000 $ pour des penthouses. «En plus d’habiter un endroit très sécuritaire, précise-t-il, les futurs résidents pourront profiter d’un environnement extérieur digne d’un havre de paix grâce à un site privé, des espaces intimes ainsi que de fenestration abondante leur permettant de profiter d’une vue imprenable sur Montréal, puisqu’à partir du 4e étage, on a une vue splendide sur la métropole.» Le concept propose un milieu de vie complet, où différentes sphères d'activités quotidiennes cohabiteront dans un même quartier. Plusieurs entrepreneurs ont déjà démontré leurs intérêts et il y a tout lieu de croire que le projet devrait démarrer cette année. « Nous travaillons actuellement sur les plans qui seront probablement d’ici 3 ou 4 mois, conclut Gaétan Houle. L’échéancier des travaux devrait se poursuivre jusqu’ au printemps 2011. Retour Imprimer Envoyer à un ami Commentaires(0)
  22. Jean-François Ducharme Actualités - Publié le 8 janvier 2010 à 09:00 BROSSARD. 54 nouvelles résidences unifamiliales de type manoir seront construites au projet «Domaines de la Rive-Sud», dans le secteur L, à Brossard. Le conseil municipal a approuvé la plus récente phase de développement de ce projet réalisé par le Groupe Frank Catania, lors de l’assemblée du 21 décembre. Les 54 résidences seront construites sur des terrains d’une superficie minimale de 1200 mètres carrés, soit 12 916 pieds carrés. Elles seront construites sur cinq rues, soit les rues Louvier, Lugano et trois rues à être nommées plus tard. Le montant total de ces travaux coûtera à la Ville environ 1,8 M$. Les travaux débuteront en février 2010 et devraient se terminer en 2012. Cette phase constitue l’avant-dernière étape du projet Domaines de la Rive-Sud. La dernière phase complétera la dernière rue du projet.
  23. Le Journal de Montréal 26/10/2007 Le vieux pont Arthur-Sauvé, entre Saint- Eustache et Laval, sera refait en entier après avoir été réparé d'urgence, il y a deux ans. Selon Le Journal de Montréal, même si le ministère des Transports (MTQ) réserve ses informations pour «une annonce gouvernementale», le pont de 58 ans sera complètement refait sur deux ans, pour environ 25 millions, à compter de l'été prochain. Les plans et devis sont en cours de réalisation. Le concept final devrait être accepté d'ici la fin de l'année. Les appels d'offres seront lancés en janvier. L'été prochain, les travaux seront réalisés aux piles du pont - les piliers de béton dans l'eau - pour les refaire et les élargir. L'élargissement permettra de réaliser une voie supplémentaire sur le pont pour les vélos. C'est en 2009 que se déroulera la phase la plus importante des travaux, lorsque le tablier sera démoli et reconstruit. La future piste cyclable du pont servira alors non pas pour les vélos mais comme seule voie d'accès routière entre Saint-Eustache et Laval-Ouest. Les véhicules d'urgence pourront emprunter le barrage du Grand Moulin, entre Laval-sur-le- Lac et Deux-Montagnes, selon le plan de contingence en préparation. Les 24 000 usagers quotidiens du pont ont déjà connu les inconvénients de restriction sur le pont en 2005. Des fissures dans les soudures des poutres principales avaient été décelées. Les autobus et camions avaient été interdits de circulation sur le pont. Les travaux d'urgence avaient coûté 337 000 $ et duré tout l'été. Depuis, le pont est sous haute surveillance par le MTQ. Les inspecteurs y font des inspections fréquentes, plutôt qu'annuelles. Pressions municipales Les autorités municipales de Laval et Saint- Eustache ont d'ailleurs été tellement exaspérées des problèmes causés il y a deux ans qu'ils ont adopté des résolutions au sujet du pont. Le maire de Saint-Eustache, Claude Carignan, a même demandé avec son conseil au MTQ que le pont soit refait dès 2008. Il a été entendu. «On n'aime pas ça être obligé de faire ce genre de pression, mais c'est notre devoir d'élus municipaux, qui sommes plus près des citoyens et de leurs besoins.» Au MTQ, on est incapable de savoir depuis quand le nouveau pont est en planification. À tout le moins depuis la résolution du maire Carignan, le 13 novembre 2006.
  24. Immobilier : pluie de millions au Québec 26 août 2009 | 14h59 ARGENT La récession ne freine pas l’ambition des promoteurs immobiliers du Québec. Des projets majeurs sont sur le point d’être mis en chantier dans diverses régions de la province. Projet Cité de la Gare à Mascouche La société Habitations Trigone va amorcer en septembre la construction d’un projet de 250 M$ à Mascouche dans la couronne nord de Montréal. Les 1500 unités du projet seront vendues en copropriétés et érigées en périphérie de la future gare de trains de banlieue de Mascouche. «C’est un incitatif important dans le choix des consommateurs», a expliqué, Serge Rouillard, vice-président des Habitations Trigone. L’entreprise a réalisé d’autres projets liés à des infrastructures de transport en commun au cours des dernières années. Le promoteur a érigé des propriétés en bordure de la gare Chevrier à Brossard et près de la gare du train de banlieue à St-Basile où 347 unités ont été écoulées en 27 mois. Les unités de Mascouche seront vendues entre 100 000 et 200 000$. «On ne vise pas la clientèle haut de gamme. On s’adresse aux premiers acheteurs», a précisé M. Rouillard. Lévis récolte aussi des millions Un important chantier est également en cours à Lévis, en banlieue de Québec où la construction de la première phase des condos Miscéo va débuter cet automne. Le quartier Miscéo est un projet évalué à 200 M$ qui propose un concept de vie urbain regroupant plusieurs secteurs d’activités, soit affaires, divertissement, commercial et résidentiel. La réalisation de la portion résidentielle représente, à elle seule, un investissement de 160 M$. Les 65 unités de la première phase seront disponibles dans les prochains mois. Le Centre de congrès et de d’exposition de Lévis, qui a ouvert ses portes en 2008, se trouve au cœur du quartier Miscéo qui accueillera éventuellement plusieurs boutiques et bureaux professionnels.
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