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  1. Exclusif - Vide depuis sa construction, le mât du stade aura finalement des locataires. Le Mouvement Desjardins a signé une entente avec la Régie des installations olympiques (RIO) pour y aménager un centre de gestion des opérations de cartes bancaires. Un texte de Davide Gentile Selon nos informations, entre 1300 et 1800 employés pourraient éventuellement occuper les énormes espaces situés dans la tour. L'entente, d'une durée de 15 ans, serait d'une valeur de 37 millions de dollars, renouvelable pour 15 ans de plus. Des sources indiquent à Radio-Canada « qu'entre quatre et six étages » seraient occupés par le Mouvement Desjardins. L'investissement total de Desjardins serait cependant bien supérieur à 37 millions, puisque la coopérative devra assumer tous les coûts d'aménagement. Il semble notamment que les fenêtres de la tour doivent être changées. En ce moment, les étages sont vides. Tout le travail de construction des bureaux reste à faire, et l'installation du matériel pour faire fonctionner le centre se ferait à partir de zéro. Avantages indéniables Le stade présenterait des avantages indéniables pour Desjardins. D'abord, la majorité des employés déplacés travaillent déjà dans l'est de la métropole. Le déménagement ne dévitaliserait donc pas cette partie de Montréal. Et le stade comporte aussi des avantages au niveau de la sécurité, comme un approvisionnement autonome d'énergie, ce qui est une donnée importante pour la stabilité des installations informatiques. Le gouvernement et la RIO négocient depuis des mois avec Desjardins. Des sources indiquent que l'entente devait être annoncée mercredi par Monique Leroux, PDG de Desjardins, lors d'une allocution devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. L'entente n'a toutefois pas encore été présentée au conseil des ministres. Des sources gouvernementales indiquent qu'elle sera entérinée par le conseil des ministres fin octobre. Pour la RIO il s'agit d'une première bonne nouvelle depuis longtemps. Les revenus qu'elle rapportera sont non négligeables, mais c'est surtout l'arrivée de centaines de salariés au stade qui va s'avérer positive. L'occupation des énormes stationnements va augmenter, ce qui pourrait aussi engendrer des revenus. Et les commerces du quartier pourront profiter d'une nouvelle clientèle, plus stable que les touristes, plutôt rares entre novembre et avril. Le stade : tout un défi La RIO cherche depuis toujours à louer les grands espaces du mât. En 2001, l'entreprise BUSAC avait lancé un projet de 44 millions en ce sens, dont 20 millions en subventions de Québec. On prévoyait alors convertir le mat en complexe de bureaux. Le projet n'a jamais vu le jour et a finalement été abandonné en 2008. La RIO est toutefois toujours devant un grand défi, celui de convaincre le gouvernement d'investir pour remplacer le toit actuel. Dans le contexte budgétaire actuel, ce dernier ne semble pas pressé de débourser les quelque 200 millions de dollars nécessaires. La ministre du Tourisme, Dominique Viens, mentionnait d'ailleurs en mars qu'elle cherchait à préciser la vocation du stade avant de prendre une décision dans le cas du toit. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2015/10/05/005-desjardins-demenagement-employes-tour-stade-olympique.shtml
  2. http://www.boma-quebec.org/details-autres/2016-04-19/montrEal-6e-edition-le-montrEal-du-futur MONTRÉAL - 6e édition - LE MONTRÉAL DU FUTUR® <section class="news events details module block" style="box-sizing: border-box;"><article class="event-article" style="box-sizing: border-box;"> <header class="news-header event-header content" style="box-sizing: border-box; line-height: 1.8em;">19 avr. 2016 au 25 avr. 2016</header>La Grande-Place du complexe Desjardins Quartier des Spectacles, Montréal Téléchargez le plan de visibilité ici </article></section>
  3. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/474116/immobilier-le-canada-pourrait-resserrer-son-controle Le Devoir Immobilier Le Canada pourrait resserrer son contrôle D’autres pays encadrent déjà l’achat de maisons par les étrangers, rapporte Desjardins 23 juin 2016 |Éric Desrosiers | Actualités économiques Le Canada aurait les moyens de ralentir l’ascension effrénée du marché immobilier de régions bien précises en encadrant mieux l’activité des investisseurs étrangers, rapporte Desjardins. L’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a encore une fois mis en garde le Canada, la semaine dernière, contre le danger de la flambée du prix des maisons et son impact sur l’endettement des ménages de la classe moyenne. Le pays a pourtant déjà resserré plusieurs fois ses règles hypothécaires ces dernières années dans l’espoir de freiner le phénomène, commence par rappeler l’économiste du Mouvement Desjardins Benoit P. Durocher, dans une analyse dévoilée mercredi. On a entre autres réduit plusieurs fois la période maximale d’amortissement d’une hypothèque (de 40 à 25 ans), augmenté la mise de fonds minimale (de 0 % à 5 %), réduit le refinancement maximum (de 95 % à 80 %) et durci les règles pour les maisons secondaires. Le problème est que le Canada est aux prises aujourd’hui avec des tendances bien différentes, entre la poursuite du boom immobilier à Vancouver et à Toronto, un ralentissement marqué dans les provinces de l’Ouest depuis la chute du prix du pétrole, et une progression modérée des prix au Québec et dans les provinces atlantiques. « Sans être complètement à court de munitions, il semble difficile [dans ce contexte] d’introduire de nouvelles modifications aux conditions du crédit hypothécaire qui ralentiront de façon efficace le marché de l’habitation en Colombie-Britannique et en Ontario sans nuire aux autres régions », observe Benoit P. Durocher. Le gouvernement fédéral a bien augmenté cet hiver la mise de fonds minimal pour l’achat des maisons valant plus de 500 000 $. Cette mesure qui visait particulièrement les marchés de Vancouver et de Toronto semble toutefois avoir un impact marginal. Freiner les acheteurs étrangers Le ministre des Finances, Bill Morneau, a indiqué au début du mois qu’Ottawa effectuait un examen « en profondeur » des divergences entre les marchés immobiliers du pays et qu’on essayerait notamment de tester l’hypothèse voulant que le principal facteur derrière la montée des prix à Vancouver et à Toronto soit les acheteurs étrangers. Or, « un consensus apparaît de plus en plus au sein des analystes du secteur prix concernant le rôle déterminant que jouent les investisseurs étrangers dans la vitalité du marché immobilier de Vancouver et Toronto », rapporte Desjardins. Une étude d’un chercheur de l’Université Simon Fraser, Josh Gordon, a notamment établi que les deux villes canadiennes comptent parmi les six villes étrangères où les riches Chinois investissent le plus dans l’immobilier, avec Los Angeles, San Francisco, New York et Seattle. Un moyen de freiner cette tendance, dit Benoit P. Durocher, serait que les provinces ou les villes introduisent une taxe annuelle qui augmenterait en fonction de la valeur des propriétés afin de limiter la vente de maisons de haut de gamme particulièrement prisées par les investisseurs étrangers. Le Canada pourrait aussi s’inspirer du Royaume-Uni qui impose une taxe sur les gains de capitaux réalisés au moment de la vente par un étranger d’une propriété britannique. D’autres pays, comme l’Australie et Hong-Kong, imposent aux étrangers une taxe spéciale lors de l’achat d’une propriété. Comme plusieurs investisseurs n’habitent jamais ces maisons ni même ne se donnent la peine de les louer, on pourrait aussi taxer les logements inoccupés. Plusieurs pays exercent un contrôle plus direct des achats immobiliers des étrangers. En Australie, ces derniers ne peuvent habituellement acheter que des maisons neuves. En Suisse, ils sont soumis à des quotas par région. Au Mexique, les investisseurs étrangers ne sont généralement pas admis trop près du centre de la capitale ni à moins de 50 km à l’intérieur des côtes. Vite, mais prudemment Le bon dosage, avec de telles mesures, est important, note l’économiste du Mouvement Desjardins. Il ne faudrait pas que le Canada entache sa réputation d’économie ouverte sur le monde ni ne provoque un ralentissement du marché immobilier trop prononcé. « Cela dit, le temps presse, car plus les prix des propriétés progressent à Vancouver et à Toronto, plus les risques de déséquilibre augmentent et plus la possibilité d’une éventuelle correction s’intensifie. »
  4. Le conseil municipal de Saint-Eustache a donné, le lundi 10 juin dernier, son aval à l’offre d’achat de Gestion Benoît Dumoulin (GBD) pour l’acquisition de la partie nord du terrain du Club de golf Deux-Montagnes, en vue d’y développer la portion résidentielle du projet Albatros. Les terrains acquis par GBD au coût de 11,7 millions de dollars couvrent une superficie de 2,2 millions de pieds carrés sur les 6,7 millions que compte actuellement le terrain de golf. À terme, la Ville estime à quelque 200 millions de dollars les investissements privés. Deux jours plus tard, la Ville dévoilait le concept du projet résidentiel, dans un point de presse tenu à la mairie de Saint-Eustache. Positionné au nord du chemin de la Rivière‑Sud, dans la portion où sont notamment situés les bâtiments principaux du club de golf et le stationnement, ce nouveau concept de résidences comportera 700 unités de logement. «Près de 380 000 pieds carrés de terrain seront réservés aux espaces verts, dont 200 000 réservés pour l’aménagement d’une piste cyclable et d’une aire de repos», a indiqué le maire Pierre Charron. «On trouvera dans le projet une mixité d’habitations, soit de l’unifamilial, des maisons en rangée et des condos», a expliqué Éric Desjardins, architecte associé chez DKA Architectes, qui a travaillé de concert avec la Ville pour élaborer les plans. «50 % des stationnements seront intérieurs, soit par des garages privés ou des stationnements intérieurs, a‑t‑il précisé. Les lacs artificiels [du golf] seront conservés.» Les architectes qui ont travaillé sur les plans estiment vouloir recréer un mini Central Park, avec plusieurs éléments communautaires. «La zone tampon sera bonifiée et nous nous sommes limités à un maximum de quatre étages sur tout le site», a ajouté M. Desjardins. Si le design architectural n’a pas encore été fixé, M. Desjardins vise «une architecture contemporaine». Le quartier sera aménagé pour éviter la circulation de transit. Des carrefours giratoires seront aménagés aux intersections les plus achalandées. «Les nombreuses consultations que nous avons menées en lien avec le projet Albatros, nous ont fourni un cadre très rigoureux pour l’implantation d’un plan d’aménagement axé sur le développement durable. Deux projets se sont démarqués lors des négociations, mais c’est la proposition qui répond le mieux à la vision que nous avions, a souligné le maire Charron. Au terme de cette transaction, il nous restera encore 4,5 millions de pieds carrés de terrains industriels à vendre. L’amortissement complet surviendra dès que nous aurons vendu autour de 500 000 pieds carrés de terrains industriels, ce qui ne saurait tarder, la demande étant déjà très forte. Par la suite, la vente des quatre millions de pieds carrés restants générera des profits nets, au bénéfice de la collectivité.» Rappelons que l’ensemble du terrain de golf doit être acheté par la Ville de Saint-Eustache au montant de 13,25 M$. En marge de ce point de presse, M. Charron a tenu à faire le point sur «de fausses informations qui circulent à ce propos», dit‑il, rappelant qu’aucun dézonage agricole n’est nécessaire, le terrain de golf étant déjà zoné «blanc» et «déjà desservi par des services». http://www.leveil.com/Actualites/2013-06-14/article-3277154/Projet-Albatros%3A-Le-volet-residentiel-comportera-700-unites-de-logement/1 http://www.projetalbatros.com/Portals/0/SKIN/PlanAlbatros.jpg
  5. Pas de Camion à Déchets dans le QDS Source: Spacing Montreal There aren’t going to be any dump trucks blocking up the streets in Montreal’s new Quartier des Spectacles. Last Wednesday, the City approved a proposition to replace public trash cans with receptacles for garbage, recyclables and compostables, all hooked up to an vacuum-powered collection system. Waste placed in each receptacle would be sucked into a network of underground tubes and transported to a central processing location (possibly located in Place Desjardins). At first glance, this system may seem unduly costly and invasive, not to mention energy intensive. But since the streets in the QDS are already slotted to be ripped up in order to replace ageing sewers, aqueducts and power-lines, throwing in the waste-collection system will only cost an additional $8.2 million (according to a planner who worked on the proposal). Under the new system, garbage collection in the neighborhood would rely on electricity rather than fossil fuels, which may not be a bad idea given the cost and environmental impacts of burning fuel. Most importantly, the new garbage collection system would also apply to residents and businesses located in the Quartier des Spectacles. For instance, the restaurants in Place Desjardins would be able to be compost food scraps, saving several hundred tons of waste from landfills each year. Although Montreal is behind cities like Toronto who offer composting for household waste, this initiative would be the first in North America to offer composting on the public domain and for businesses. ENVAC, the European company that engineers these systems worldwide, built their first trash-vacuuming system in Stockholm in 1961 and it is still in operation (it has an expected lifespan of about 50 years, although that is probably standard for sewers and other infrastructure). Teaching the hoards of drunken festival-goers and clueless tourists to sort trash from recyclables and organic waste is a challenge for the future…
  6. Le Mouvement Desjardins réussit son pari hors Québec 6 septembre 2014 Au-delà de cette crise financière et de cette Grande Récession qui l’a interpellée dès les premiers instants de son nouveau mandat, Monique Leroux reconnaît que le thème de l’expansion hors Québec du Mouvement Desjardins résume bien sa présidence. Un graphique d’aujourd’hui juxtaposant une carte géographique du Canada de 2010 démontre l’ampleur d’un rayonnement pancanadien vécu en accéléré entre ces deux dates. « C’est connu. Une entreprise qui n’est plus en croissance et en développement recule, périclite »,lance-t-elle. Les acquisitions se sont enchaînées au cours des dernières années. La financière MGI puis la plateforme de courtage et de gestion de patrimoine QTrade sont venues bonifier l’offre de Desjardins Sécurité financière. Dans l’assurance, de gros morceaux se sont greffés aux activités hors Québec de l’institution québécoise, Western Financial puis State Farm venant consolider la présence du Mouvement Desjardins sur les marchés de l’Ouest canadien et du sud de l’Ontario. « Ce sont autant d’emplois et d’expertise qui se développent ici. » Des partenariats avec des caisses et des crédits unions, et celui des plus stratégiques réalisé avec le français Crédit Mutuel venant décupler l’expertise de chacun dans la monétique, complètent l’expansion de l’institution coopérative. Une expansion qui englobe l’élargissement du réseau de relations de Développement International Desjardins, notamment dans la finance de proximité. « La finance inclusive, solidaire, c’est un métier que l’on maîtrise bien »,met en exergue Monique Leroux, au cours d’un entretien au Devoir. Sans dénaturer sa mission Dit autrement, le mouvement coopératif québécois fait la preuve qu’il peut rayonner et se développer hors Québec sans dénaturer sa mission. La présidente et chef de la direction aime bien revenir aux origines du Mouvement et à la philosophie du fondateur. Elle se demande sans cesse, telle une obsession, si les gestes posés traduisent ou respectent cette pensée originelle. « Alphonse Desjardins était un entrepreneur. Le développement et la croissance étaient omniprésents dans son discours. Il rêvait d’un mouvement économique fort au Québec, basé sur la confiance, dans une perspective canadienne et internationale, selon le principe “aide-toi toi-même”. C’est ce que nous faisons. » Les résultats financiers sont au rendez-vous. Depuis 2000, l’actif a été multiplié par trois pour dépasser les 221 milliards au 30 juin dernier, et les fonds propres, par 3,5 fois. Au terme de l’exercice financier 2013, l’institution québécoise a continué à dégager des excédents avant ristournes de plus de 1,5 milliard, situant le rendement sur fonds propres autour de 10 %. Cette croissance se veut organique dans une proportion de 70 %. Et Monique Leroux de rappeler que « nous sommes dans une logique de créer de la richesse pour en faire bénéficier la société, pas pour faire monter le prix d’une action ». Plus concrètement, cette santé financière sous-tend un investissement massif du Mouvement dans la technologie, au rythme annuel de 750 millions. « Le client veut un accès direct, multiplateforme. Nous devons suivre l’évolution technologique tout en favorisant la relation personnelle. Le grand enjeu consiste à faire tout cela, avec fluidité. » Paiement mobile Desjardins, annoncé cette semaine, y fait largement écho. Monétique, vecteur de développement La présidente revient à ce partenariat avec le Crédit Mutuel. Un pont est ainsi établi pour les entreprises des deux côtés de l’Atlantique, dans un environnement de libre-échange entre l’Europe et le Canada. Avec ce joueur de premier plan dans la monétique, il a également été possible de donner naissance en 2013 à Monetico International, une société conjointe dont le siège social est basé à Montréal et qui se positionne parmi les dix plus grandes organisations spécialisées dans les paiements électroniques. « Nous avons, là, un joueur doté d’une masse critique dans le système de paiement, résilient à l’évolution de la réglementation mondiale. » Cette monétique, véritable vecteur de développement, devient ainsi l’un des grands piliers du développement futur de Desjardins en parallèle à son essor dans l’assurance et la gestion de patrimoine. S’ajoute la volonté, pour l’institution, de poursuivre les rapprochements avec les crédits unions et leur caisse centrale, dans un environnement de contraintes réglementaires particulièrement exigeantes sous Bâle III. « Ce qui ne nous empêche pas de nous doter d’un plan de match pour le Québec se voulant à la fois solide et dense »,insiste Mme Leroux. Il faut notamment s’attendre à une multiplication des vitrines ou des points de services, aussi à des initiatives ciblées auprès de communautés visées. « Je crois en la capacité de Desjardins d’évoluer,résume Monique Leroux. Une entreprise, quelle qu’elle soit, a, à titre de citoyen corporatif, une responsabilité. Celles qui réussissent le mieux vont se démarquer par leur performance et par l’usage qu’elles font de cette performance. » La présidente veut laisser au Mouvement un héritage de croissance, d’innovation, d’adaptation dans un monde global, un Mouvement de 6 millions de membres qui se veut à la fois solide et performant. « La crise de 2008 est venue challenger la pérennité des entreprises et des institutions, et imposer le thème de la croissance responsable, d’une croissance pérenne », insiste-t-elle. Alphonse Desjardins rêvait d’un Grand rassemblement coopératif à Québec. Ce sera fait. Du 6 au 9 octobre, la Vieille Capitale sera l’hôte du Sommet international des coopératives. Ce deuxième rendez-vous capitalise sur le succès remporté en 2012 et, souhaite-t-on, positionne Québec comme étant le pôle d’expertise mondial du modèle coopératif. Le thème principal de cette deuxième édition réunissant des invités venant d’une centaine de pays ? Le pouvoir d’innover des coopératives. « Ce sommet nous amène à partager les perspectives et les expériences. À nous demander si nous pouvons contribuer davantage en matière de création d’emplois, d’innovations ou de soutien au développement des entreprises »,résume Monique Leroux. Sous le titre principal s’ajoutent cinq grands chapitres : le développement de l’entreprise coopérative et mutualiste, le financement et la capitalisation, la sécurité alimentaire, les soins de santé et les services à la personne, et l’emploi. « Ce sont des grands thèmes, des grands enjeux mondiaux qui collent bien à notre modèle d’affaires. Il peut être difficile de confier des problématiques liées à la santé ou à la sécurité alimentaire à des entreprises cotées en Bourse, ancrées sur le retour immédiat aux actionnaires »,lance la présidente du Mouvement Desjardins. http://www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/417765/le-mouvement-desjardins-reussit-son-pari-hors-quebec
  7. Desjardins et le Crédit Mutuel achètent State Farm au Canada Publié le 15 janvier 2014 à 12h37 | Mis à jour à 12h50 Le Mouvement Desjardins effectuera un important bond de croissance dans le marché de l'assurance au Canada en acquérant avec l'appui de son vis-à-vis français Crédit Mutuel les activités canadiennes de State Farm, la plus grosse mutuelle d'assurances aux États-Unis. Avec cette transaction annoncée ce midi, Desjardins deviendra le deuxième plus important assureur de dommages au Canada avec un volume de primes annuelles qui doublera presque, passant de 2 milliards à près de 3,9 milliards de dollars. Selon Desjardins, cette transaction devrait également renforcer sa quatrième position dans le marché de l'assurance de personnes au Canada. Une fois la transaction conclue, d'ici un an prévoit-on, Desjardins accueillera les 1700 employés canadiens de State Farm et le réseau canadien de plus de 500 agents qui desservent quelque 1,2 million de clients de l'entreprise en Ontario, en Alberta et au Nouveau-Brunswick. Par ailleurs, pour financer cette transaction qui mobilisera quelque 1,6 milliard en capitaux, Desjardins conserve State Farm comme partenaire au capital de sa filiale d'assurance-dommages. Il y ajoutera le Credit Mutuel de France, déjà un important vis-à-vis dans le secteur des plus grandes coopératives financières du monde. Desjardins se portera acquéreur des activités canadiennes d'assurance de dommages et d'assurance vie de State Farm, ainsi que de ses entreprises de fonds communs, de prêts et d'assurance de prestations du vivant (assurance santé). Desjardins pourra exploiter les affaires canadiennes de State Farm sous la bannière de cette dernière, et ce, pendant une période convenue entre les parties. Selon la présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Monique Leroux, «cette transaction entre State Farm et Desjardins avec l'appui de son partenaire français de longue date, le Crédit Mutuel, réunit trois groupes financiers coopératifs et mutuel pour créer un chef de file dans le secteur de l'assurance au Canada.» Selon Edward B. Rust Jr., président du conseil et chef de la direction de State Farm, «l'investissement de State Farm dans la compagnie d'assurance de dommages qui résultera de cette transaction avec Desjardins et la poursuite de l'exploitation de la marque de State Farm reflètent notre confiance en l'avenir de l'entreprise. » Pour sa part, le président du Crédit Mutuel, Michel Lucas, a indiqué que «cet engagement du Crédit Mutuel s'inscrit dans le cadre de notre politique de diversification, en France comme à l'étranger. Il témoigne aussi de notre volonté de contribuer activement à la mise sur pied et à la croissance du deuxième assureur de dommages au Canada. » http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201401/15/01-4728972-desjardins-et-le-credit-mutuel-achetent-state-farm-au-canada.php
  8. Complexe Funéraire Goyer. Photos prises pour le début des travaux 24 juillet,suivante 12 août, et 15 septembre.. Le Complex Funéraire est situé sur le boul Desjardins ou était le dépositaire GM Desjardins Automobile. Yvon L'Aîné
  9. Montréal est loin d'être en panne Publié le 30 octobre 2012 à 07h00 | Mis à jour à 07h00 Hélène Baril LA PRESSE Montréal n'est pas seulement la ville paralysée, congestionnée et corrompue qu'on voit jour après jour dans les actualités. C'est aussi une ville à l'économie diversifiée, où le niveau des investissements atteint un record et où les touristes affluent. Dans la morosité ambiante, le portrait de Montréal que tracent les économistes du Mouvement Desjardins a de quoi surprendre. «On a l'impression que tout va à vau-l'eau, mais ce n'est pas le cas», résume Joëlle Noreau, économiste principale et coauteure de l'étude publiée hier. La croissance économique, notamment, a été au rendez-vous à Montréal au cours des deux dernières années. À 4,2% en 2010 et 4,5% en 2011, le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) témoigne d'une économie solide, selon Desjardins. La croissance provient notamment des investissements, dont le niveau a augmenté de 27,6% en 2011. Cette performance, la meilleure des cinq dernières années, devrait être égalée ou dépassée cette année, avec la poursuite des grands projets de construction (comme le CHUM) et de réfection des infrastructures (échangeur Turcot). Les projets de construction de condos et d'hôtels témoignent aussi de la confiance des investisseurs privés à l'égard de Montréal, croit Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Selon Michel Leblanc, il ne fait aucun doute que «Montréal est en bien meilleure santé qu'il y a 10 ans», bien qu'il admette que c'est difficile à croire dans le contexte politique actuel. Ce n'est pas pour rien, par exemple, que Lonely Planet inclut Montréal dans sa liste des 10 villes du monde les plus intéressantes actuellement, selon lui. Comme les autres régions du Québec, Montréal est frappé par le déclin de son secteur manufacturier. Mais ce déclin ralentit et pourrait même se renverser à moyen terme. Selon la firme KPMG, citée dans l'étude, le Grand Montréal s'est classé au 1er rang des 20 plus grandes régions métropolitaines d'Amérique du Nord pour la compétitivité des coûts totaux de main-d'oeuvre. «On redécouvre le savoir-faire nord-américain», constate l'économiste de Desjardins. Sur le plan de l'emploi, la situation de Montréal n'est pas rose. La ville a perdu 10 200 emplois en 2011, après en avoir gagné 29 800 en 2010. Certains de ses secteurs-clés, comme l'industrie pharmaceutique, ont entamé un repli qui se poursuit en 2012, notamment chez Pfizer et Merck. Mais Montréal a d'autres cordes à son arc. La ville fait des gains dans les secteurs de la finance, du tourisme et de l'économie du savoir. Les gains d'emplois dans le secteur de la technologie font plus que compenser les pertes enregistrées dans le secteur manufacturier, souligne l'étude de Desjardins. Autre point positif, la métropole du Québec attire beaucoup d'étudiants, et la proportion de jeunes de 15 à 24 ans augmente, ce qui est de bon augure pour l'avenir, «à condition de pouvoir retenir ces jeunes», souligne Joëlle Noreau. Des projets Comme pour le reste du Québec, la croissance économique ralentira à Montréal en 2012, prévoient les économistes de Desjardins, en raison du contexte difficile aux États-Unis et ailleurs dans le monde. Ce qui devrait aider la métropole, toutefois, ce sont les nombreux projets en marche d'un bout à l'autre de l'île. L'est de Montréal, par exemple, a un plan de croissance qui prévoit des investissements de 550 millions de dollars en cinq ans dans la construction du train de l'Est, le prolongement du métro et la décontamination des terrains. À l'ouest, l'aéroport de Montréal projette des investissements de 165 millions dans l'agrandissement de ses installations. «Il y a énormément de mobilisation et de gens qui travaillent à faire la promotion économique de Montréal», constate l'économiste de Desjardins. Et ça marche, dit-elle, en donnant l'exemple du secteur touristique, qui est devenu un poids lourd de l'économie montréalaise. Les «plus» Investissements à un niveau record en 2012 Augmentation de la population des 15-24 ans Croissance de l'économie du savoir et de la technologie Les «moins» Le déclin de du secteur manufacturier se poursuit L'industrie pharmaceutique en perte de vitesse Le taux de chômage reste supérieur à la moyenne québécoise Source: Desjardins, études économiques [url=]http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201210/30/01-4588370-montreal-est-loin-detre-en-panne.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS3[/url]
  10. Le Soleil Le mercredi 25 avril 2007 Ceux qui espéraient une baisse des taux hypothécaires pour acheter une propriété en 2007 pourraient attendre longtemps. Les taux risquent plutôt d'augmenter en milieu d'année. Mais la hausse devrait être contenue. Les économistes du Mouvement Desjardins ont noté, dans leur plus récente prévision des taux d'intérêt, que l'économie américaine se comporte mieux que prévu depuis le début de l'année. Si les bonnes nouvelles se multiplient, la Banque du Canada pourrait ne pas toucher à son taux directeur. Desjardins prévoit tout de même une légère remontée des taux en deuxième moitié d'année, ce qui va se répercuter chez les institutions financières. Desjardins, qui détient 40 % du prêt hypothécaire au Québec, entrevoit un taux préférentiel fluctuant entre 5,50 et 6 % en 2007. Ce taux sert de référence pour les hypothèques à taux variable. Compte tenu de la relative stabilité des taux à court terme, la remontée pourrait être plus notée dans les échéances à long terme. Le taux de cinq ans, actuellement de 6,65 %, pourrait ainsi grimper jusqu'à 7,10 % à la fin de l'année.
  11. Je peux vous dire que pour Ste-Thérèse et même toute la couronne nord de Laval, c'est un projet majeur d'une beauté, d'une hauteur et d'un design jamais vu !
  12. Ended up being much smaller though still the largest office development since then.
  13. (Courtesy of the Financial Post) RBC (#10 in the world, #1 America's) Interesting thing is, RBC was 17th or 19th back in 2007. Banking industry stats (different countries) (Courtesy of CNBC)
  14. (on dirait que Laval suit l'exemple de Montréal) 40 km/h dans les zones résidentielles: un projet à l’étude Publié le 6 Août 2010 Anne-Laure Jeanson Les demandes de citoyens pour des réductions de vitesse dans leur quartier sont telles que la Ville de Laval a commandé à son service de l’ingénierie une étude pour l’implantation de la limitation de vitesse à 40 km/h dans les rues résidentielles. «Le mercredi 11 août, les mesures pour communiquer notre projet pilote, qui concerne les rues du Souchet et du Corbeau à Duvernay-Est, seront présentées au Comité exécutif. Il s’agit de voir si l’implantation d’une limitation à 40 km/h au lieu de 50 pourrait s’appliquer dans certaines rues», dit Benoît Collette, chef de division – relations avec les citoyens de la Ville de Laval. Des rues ont déjà fait l’objet de modifications comme le Chemin de la Bretagne dans le secteur Duvernay-Pont-Viau. «La portion près du parc est passée à 30 km/h à la suite de plaintes concernant le bruit et la vitesse», dit le lieutenant Daniel Guérin des Affaires publiques de la police de Laval. Pétition Lors de la séance du conseil municipal du 12 juillet, David De Cotis a remis au maire de Laval Gilles Vaillancourt, une première pétition de 81 signatures de résidents de la rue d’Amay, à Auteuil, pour réduire la vitesse de 50 à 30 km/h. La demande est faite «considérant que la rue est une voie à sens unique, donc étroite, et que des enfants se rendent à pied à l’école Charles-Bruneau», peut-on lire sur la pétition dont Le Courrier Laval a obtenu copie. «Lors du conseil municipal du 2 août, j’ai demandé au maire si notre dossier avançait. Il m’a répondu qu’il était content de notre initiative et que l’étude est en cours, mais on ne sait jamais combien de temps cela prendra», dit le président du Mouvement lavallois. Lors de la même séance, Stéphane Beaulieu requérait l’ajout de panneaux «Attention à nos enfants» et «30 km/h» face au parc Mayfield sur la rue Mayfield, dans Saint-François. Direction territoriale «La Ville nous a présenté son projet pour les rues du Souchet et du Corbeau. Une fois qu’elle aura initié son projet, le ministère des Transports du Québec (MTQ) aura 90 jours pour invalider la demande s’il la juge irrecevable. Toutefois, jusqu’ici cela semble prometteur», indique Sarah Couillard, porte-parole du MTQ. La direction territoriale de Laval du MTQ n’est cependant pas au courant de l’étude qui s’effectue sur l’ensemble du territoire. Selon Pierre Desjardins, attaché politique du cabinet du maire, «les conclusions des experts devraient être livrées avant le dépôt du budget municipal, en décembre prochain. La mise en application de la nouvelle règlementation et de la signalisation se ferait ensuite progressivement, par secteur.» Limiter la vitesse à 40 km/h dans les rues locales, «ça devient un standard partout», dit M. Desjardins, en évoquant le cas de Montréal, qui a déjà contraint les automobilistes à cette nouvelle règle dans huit arrondissements. Montréal «Au 31 décembre 2010, les 19 arrondissements de Montréal auront adopté notre proposition de règlement», dit Lucie-Anne Fabien, chargée de communication à la Ville de Montréal. Et, depuis le 3 août, les Lavallois qui empruntent les ponts Lachapelle, Médéric-Martin et Viau devront réduire leur vitesse à 40 km/h, une fois arrivés à Montréal. Le principe de base de cette réglementation est d’arriver à un nombre d’accident nul. Une étude du MTQ sur l’ensemble du Québec indique que «la probabilité de décès d’un piéton heurté par une voiture qui roule à 50 km/h est de 70 % et seulement de 25% lorsqu’elle roule à 40 km/h». À Laval, la planification urbaine est différente de celle de Montréal, explique M. Desjardins. «Il s’agit d’anciennes villes jumelées dans lesquelles les standards n’étaient pas les mêmes. À Saint-Vincent-de-Paul, les rues sont plus étroites qu’ailleurs, par exemple. Les résultats vont dépendre des rapports d’experts», conclut M. Desjardins. Avec la collaboration de Nathalie Villeneuve. A lire aussi: Des citoyens signent pour que l'on ralentisse [http://www.courrierlaval.com/Actualites/2010-08-06/article-1653923/Des-citoyens-signent-pour-que-l%26rsquo;on-ralentisse/1] http://www.courrierlaval.com/Actualites/2010-08-06/article-1653920/40-km-h-dans-les-zones-residentielles:-un-projet-a-l%26rsquo;etude/1
  15. Savez vous qu'est qui c passée avec cette oeuvre d'art devant le complexe desjardins? Merci d'avance
  16. Des freins bloquent la reprise au Québec Olivier Schmouker . les affaires.com . 17-12-2009 L’an prochain, le Québec s’extirpera progressivement de la récession, mais sera freiné par une nécessaire discipline budgétaire de la part du gouvernement Charest, selon Les prévisions économiques et financières de Desjardins. Ainsi, le produit intérieur brut (PIB) du Québec devrait renouer avec la croissance en 2010, à hauteur de 1,8%. En 2009, le recul attendu avoisine les 1,7%. Et la croissance devrait se poursuivre des années durant : 2,5% en 2011, 2% en 2012, 2% en 2013, etc. De nombreuses embûches Simultanément, l’inflation devrait être sous contrôle. L’étude s’attend à une hausse des prix à la consommation de 0,5% en 2009, de 1,6% en 2010, 2,1% en 2011, 2,2% en 2012, etc. Quant au taux de chômage, il devrait peu ou prou continuer de rester au même niveau que celui de cette année, toujours selon la même étude. Il devrait tourner autour de 8,5% en fin d’année, puis être de 8,5% en 2010, de 8% en 2011, de 7,5% en 2012, etc. «Au Québec, la reprise s’est enclenchée timidement au cours de l’été. Les dépenses de consommation sont enfin sorties de leur léthargie, tandis que le marché immobilier a surpris par sa vigueur. Les perspectives sont toutefois assombries par l’état précaire des finances publiques et par les difficultés persistantes du commerce extérieur», notent les économistes de Desjardins. Charest dans une impasse financière Les dommages causés par la récession ont été relativement limités, mais ce n’est pas pour autant que la reprise ne se fera pas sans écueils. Par exemple, le gouvernement Charest s’est fixé comme objectif de retrouver l’équilibre budgétaire en 2013-2014, ce qui «exigera des efforts importants qui freineront l’élan de l’économie québécoise». Du coup, les dépenses gouvernementales devront être comprimées de 3,9 milliards de dollars, les revenus du gouvernement devront croître de 2,4 milliards de dollars, la TVQ devra passer de 7,5 à 8,5%, et encore, il faudra trouver des moyens supplémentaires pour dénicher 5 autres milliards de dollars quelque part… «Dans ce contexte, il faut s’attendre à des ponctions fiscales supplémentaires pour les particuliers, ce qui pourrait mettre du sable dans l’engrenage de la reprise économique en ce qui concerne les dépenses de consommation», souligne l’étude, en évoquant aussi la possibilité de voir la TVQ augmentée de plus d’un point de pourcentage à court terme. Des entreprises encore à la traîne À cela s’ajoute le fait que la reprise tant annoncée ces derniers mois «tarde à se manifester au niveau des entreprises». Le secteur manufacturier connaît des «difficultés persistantes», si bien que «la relance des investissements sera plus modérée pour l’ensemble des entreprises». Au Québec, les ventes des fabricants sont en recul depuis la fin de l’été. Le secteur aéronautique connaît une baisse de régime, les commandes en carnet ne cessant de diminuer. Les perspectives sont «plutôt mitigées» pour l’aluminium et le secteur forestier, deux autres poids lourds des expéditions québécoises à l’étranger. «D’autres fermetures sont possibles dans les pâtes et papiers, qui continuent de souffrir du déclin de la publicité dans les médias écrits». En conséquence, la chute de plus de 10% des exportations survenue en 2009 fera place à une amélioration graduelle l’an prochain, selon les analystes de Desjardins. Et ce, à condition que le huard ne joue pas des tours aux exportateurs québécois… Le Canada va souffrir du «mal hollandais» Après une chute de 1,2% en 2009, le PIB mondial devrait bondir de 3,4% en 2010 et maintiendra un rythme similaire en 2011, à 3,8 %. Dominés par la Chine et l'Inde, les pays en voie de développement conserveront leur rôle de locomotive, avec une croissance supérieure à 5% au cours des deux prochaines années. Du coup, les performances des pays industrialisés, qui enregistreront une augmentation de leur PIB réel de 1,8% en 2010 et de 2% en 2011, paraîtront «ternes», toujours selon la même étude. «Les États-Unis et le Canada feront figure de leaders des pays industrialisés, en affichant des croissances supérieures à 2% pour les deux prochaines années, alors que la zone euro, le Japon et le Royaume-Uni ne réussiront pas à atteindre ce rythme», dit Yves St-Maurice, directeur et économiste en chef adjoint, de Desjardins. L’effet de la remontée graduelle des prix du pétrole en synchronisme avec la reprise économique mondiale fera grimper le huard jusqu’à la parité durant l’été prochain. Les exportations manufacturières en seront affectées négativement, tandis que les importations seront dynamisées par la vigueur de la demande intérieure. Ce phénomène économique, couramment appelé «mal hollandais», qui décrit l’impact de l’appréciation de la devise d’un pays doté d’importantes ressources énergétiques, devrait ainsi affecter le Canada dès l’an prochain.
  17. La Banque Nationale, super banquier des Molson 14 août 2009 | 12h19 ARGENT On savait déjà que la propriété du Canadien était principalement québécoise. Mais les banquiers principaux le seront aussi. Argent a appris que la Banque Nationale (NA) et Desjardins seront les deux principaux financiers derrière la transaction de l’année. Selon des sources dignes de foi, la Financière Banque Nationale pilotera le syndicat bancaire alors que Desjardins sera parmi les principaux prêteurs du groupe. Aucune des deux institutions n’a voulu confirmer ou infirmer cette information. Selon des sources sûres, la Caisse centrale Desjardins prêtera 50 et 75 M$ aux Molson. On ignore quel sera l’ampleur du prêt de la Nationale. Les acheteurs du Canadien sont à la recherche d’un financement de 265 M$, selon toutes vraisemblances. Il s’agit de tout un revirement de situation par rapport à la situation précédente chez le Canadien. Quand l’homme d’affaires américain Georges Gillett avait mis la main sur le Canadien, une institution financière américaine, CIT, menait le syndicat bancaire, et les membres du syndicat étaient principalement des sociétés américaines. Le syndicat bancaire de la Nationale comptera des prêteurs américains. Comme l’a révélé Argent, la semaine dernière, GE Capital sera l’un des prêteurs des nouveaux propriétaires du Canadien qui est bien connue dans son secteur, notamment pour le financement qu'elle offre aux entreprises. Le groupe américain John Hancock, l’un des prêteurs originaux de Georges Gillett, a déjà indiqué aux Molson qu’il souhaitait rester l’un des créanciers des nouveaux acheteurs. La Banque Royale serait également dans le portrait, mais l'institution n'avait pas commenté cette information au moment de publier. Le financement de la très médiatisée acquisition a connu plusieurs rebondissements depuis l’annonce de la vente du club de hockey à la famille Molson, en juin dernier. Argent a appris que BMO souhaitait devenir le leader du syndicat bancaire, mais elle n’a jamais réussi à rallier des prêteurs. L’initiative de BMO a soulevé d’ailleurs la controverse dans les milieux financiers parce que son principal lieutenant québécois, Jacques Ménard, a été celui qui a conseillé Georges Gillett dans la vente du Canadien et de Gillett Entertainment. Le 22 juin, BMO a alors joint l’américaine CIT, qui avait financé la transaction de Georges Gillett au moment de l’acquisition du Canadien en 2001. CIT devait investir 50 M$ dans le syndicat bancaire et BMO et Desjardins devaient en faire de même. Le solde des créances devait provenir du gouvernement par l’entremise d’Investissement Québec. Toutefois, CIT était jusqu’à tout récemment au seuil de la faillite, et cette situation a contraint les Molson à regarder ailleurs. Investissement Québec et les Molson sont toujours en discussion comme cela a été confirmé la semaine passée.
  18. Baisse de la population active: des économistes sonnent l'alarme Publié le 22 juillet 2009 à 15h52 | Mis à jour à 15h55 La Presse Canadienne À défaut d'une croissance de sa force de travail, le Québec s'expose à de graves conséquences préviennent des économistes de Desjardins. Si les récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) et de Statistique Canada prévoient que l'augmentation des taux de natalité et d'immigration vont freiner le déclin de la population québécoise d'ici 2056, les économistes de Desjardins constatent tout de même une baisse de la population active au même moment que le vieillissement de la population s'accentue. En entrevue à La Presse Canadienne mercredi, l'économiste Hendrix Vachon a rappelé que le déclin de la population des 15 à 64 ans devrait s'amorcer dès 2014 et se poursuivre au cours de la décennie suivante. Si rien n'est fait, Desjardins prévoit une diminution de la population active au Québec de 0,1 pour cent à 0,4 pour cent de 2014 à 2021. Les entreprises québécoises devront donc modifier leur façon de faire si elles désirent maintenir leur niveau de productivité d'ici 2021. Mais relever la productivité avec la même quantité de ressources, voire moins de travailleurs, n'est pas une tâche facile. À défaut de pouvoir augmenter la force de travail, les entreprises québécoises devraient notamment investir davantage dans de meilleures technologies, plus performantes, afin de pouvoir augmenter leur productivité, indique M. Vachon. Au cours des dernières années, le Québec a enregistré une hausse moyenne de sa productivité de travail d'environ 1 pour cent par année. Selon les nouvelles prévisions de Desjardins, les gains de productivité nécessaires au maintien d'une croissance du PIB potentiel sont de 2 pour cent d'ici 2021 M. Vachon propose donc à court terme de solliciter un plus grand nombre de travailleurs à se joindre à la population active ou à demeurer sur le marché du travail plus longtemps. Sinon, prévient-il, les problèmes et les défis à relever d'ici les 15 prochaines années vont demeurés entiers.
  19. Mardi 9 Juin 2009 à 14h55 Valeurs Mobilières Desjardins perd son stratège Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le courtier du Mouvement Desjardins a perdu son stratège en chef. Peter Gibson vient de faire le saut à la banque CIBC, où il occupera une fonction semblable. C’est le président de Valeurs Mobilières Desjardins (VMD), Germain Carrière, qui a annoncé le «départ» du chef du groupe stratégie de portefeuille et analyse technique, dans une note de service transmise aujourd’hui aux employés. «Nous lui souhaitons le meilleur des succès dans ses futurs projets», écrit Germain Carrière, sans lui annoncer de successeur. Spécialiste de l’analyse quantitative, Peter Gibson s’est joint à VMD en mai 2004. Sa nomination avait créé une certaine commotion dans le milieu financier de Montréal. D’une part, VMD avait retiré la fonction de stratège à Vincent Delisle pour l’attribuer à Peter Gibson. D’ailleurs, Vincent Delisle n’avait pas eu à attendre longtemps pour retrouver un poste similaire. Une semaine plus tard, le courtier de la Banque Scotia, Scotia Capital, le recrutait à titre de stratège financier, poste qu’il occupe toujours. D’autre part, la nomination d’un Torontois par le courtier de la plus grande institution financière du Québec avait paru consacrer le glissement de Desjardins vers la Ville-Reine. Ce glissement s’était cristallisé avec l’affaire Canagex, qui avait fait grand bruit. En 1996, rappelons-le, Desjardins avait transféré à Toronto l’équipe des gestionnaires en actions canadiennes de sa filiale Canagex. En 2000, toutefois, Desjardins avait rapatrié à Montréal cette fonction après que les gestionnaires en poste à Toronto eurent connu des résultats décevants. Est-ce que Desjardins en profitera pour ramener à Montréal toute l’équipe qui dresse le plan de match de son courtier pour ses investissements en actions et en obligations ? L’occasion est bonne.
  20. Desjardins supprimera 900 postes d'ici trois ans Publié le 14 mai 2009 à 16h08 | Mis à jour le 14 mai 2009 à 23h07 Francis Vailles La Presse La nouvelle tant attendue est finalement tombée : le Mouvement Desjardins redessine complètement son organigramme, une opération qui mènera à des économies annuelles de 150 millions de dollars. Quelque 900 postes seront supprimés sur trois ans. Essentiellement, le Mouvement regroupera ses nombreuses filiales et divisions en quatre grands secteurs d'affaires : les particuliers, les entreprises, les assurances générales et, enfin, la gestion du patrimoine et l'assurance-vie. La réorganisation a été annoncée jeudi à 15h30 au cours d'une téléconférence avec les milliers d'employés du Mouvement Desjardins. Le porte-parole, André Chapleau, a confirmé à La Presse Affaires que 300 postes seront éliminés chaque année d'ici le 31 mars 2011, soit 900 postes au total. Les licenciements ne faisant pas partie de la culture de l'organisation, Desjardins compte réduire son personnel par des mises à la retraite ou des départs volontaires. Bon an, mal an, a indiqué M. Chapleau, le Mouvement enregistre quelque 500 départs volontaires ou à la retraite et 3000 postes sont affichés. «On a peu de craintes sur l'impact sur le personnel», a-t-il dit. Les compressions étaient attendues chez Desjardins, dont la structure est jugée lourde et coûteuse. Déjà depuis le début de l'année, quelque 200 consultants informatiques n'auraient pas obtenu de renouvellement de contrats, nous dit une source à l'externe. En incluant les 7000 employés de la Fédération, le Mouvement Desjardins donne du travail à environ 20 000 personnes, auxquelles s'ajoutent les quelque 23 000 employés des caisses. Dans le communiqué de presse, la présidente, Monique Leroux, parle d'un rapprochement avec le réseau des caisses, d'une structure plus simple et d'une optimisation de la performance. «Nous ferons en sorte que l'union de nos forces vives et de nos expertises bénéficie à nos caisses (...) Nous aurons un mouvement proche de ses caisses et des caisses proches de leurs membres», a-t-elle expliqué. Bruno Morin prend du galon Le directeur général de la Caisse centrale, Bruno Morin, prend du galon. En plus de garder ses fonctions, il devient premier vice-président du Mouvement Desjardins et directeur général, Gestion du patrimoine et Assurance vie. À ce titre, M. Morin sera responsable de la gestion des comptes des diverses filiales de Desjardins touchant la gestion du patrimoine, qu'ils soient à la Fiducie Desjardins, à Desjardins Sécurité financière ou à Valeurs mobilières Desjardins (VMD). La portion «gestion des fonds de placements» de Desjardins Gestion d'actifs (DGA) s'y retrouvera également. «On ne démantèlera pas nécessairement les filiales, mais il y aura une union des expertises avec une direction commune», dit M. Chapleau. Le secteur Entreprise sera dirigé par Stéphane Achard, qui en devient le premier vice-président et directeur général. Les équipes dédiées aux entreprises de la Caisse centrale, de VMD et de Desjardins Capital risque et de DGA relèveront de M. Achard. Le secteur Particuliers, qui englobe notamment le réseau internet Accès D, sera dirigé par Normand Desautels, tandis que celui des Assurances générales demeurera l'apanage de Sylvie Paquette (première vice-présidente et directrice générale). Outre ces quatre segments d'affaires, l'organigramme de Desjardins comprendra un service de soutien administratif (finance, technologie, capital humain, risque), un service de soutien aux caisses et un service de soutien aux instances démocratiques. Par ailleurs, le comité de direction de la Fédération et le comité de direction stratégique du Mouvement sont regroupés et le nombre de postes passe de 28 à 12. Les 16 postes éliminés pourraient être réaffectés à d'autres taches, selon les besoins des nouvelles équipes. Les présidents de DGA, Gérard Guilbault, et de Desjardins Capital de risque, Louis Roquet, restent à leur poste. «On ne peut dire ce qui va leur arriver. La reconfiguration des équipes sera complétée d'ici la fin de l'année», a précisé M. Chapleau. Un départ a été annoncé, celui du président et chef de l'exploitation de la Fédération, Bertrand Laferrière. Le gestionnaire qui a passé 30 ans au Mouvement Desjardins prend sa retraite.
  21. http://www.montrealgazette.com/Fire+forces+evacuation+Hyatt+hotel/1546853/story.html The smoke was visible all the way from Concordia at around 5:30.
  22. Desjardins entrevoit un déficit de plus de 3 à 5 G $ à Québec 4 mars 2009 - 15h08 Par Sylvain Larocque LA PRESSE CANADIENNE MONTREAL -- En 2009-2010 - Desjardins entrevoit un déficit de plus de 3 à 5 G $ à Québec. Les économistes du Mouvement Desjardins entrevoient un déficit de plus de 3 milliards $ à Québec en 2009-10, une somme qui pourrait même friser les 5 milliards $ si le gouvernement de Jean Charest décidait d'adopter un plan de stimulation vigoureux. Faisant preuve d'audace, Desjardins avance une idée originale pour relancer l'économie: que le gouvernement distribue des «bons» ou des «timbres» de consommation aux moins nantis, à utiliser dans des commerces québécois «à l'intérieur d'une période restreinte». Après tout, écrit l'équipe de François Dupuis, économiste en chef de Desjardins, les citoyens les plus pauvres «ont une plus grande propension à consommer» si leurs revenus augmentent subitement. Les limites géographiques et temporelles d'un bon de consommation permettraient «d'éviter les fuites vers l'épargne», qui aide peu l'économie. Autre avantage de taille: «les effets multiplicateurs d'une telle mesure sont élevés, plus encore que ceux des investissements en infrastructures», soutient Desjardins, qui va jusqu'à proposer le recours à des cartes à puce pour concrétiser l'idée. Au plan des finances publiques, les économistes de Desjardins calculent que même en l'absence d'un plan de relance, le gouvernement du Québec se dirige vers un déficit de plus de 3 milliards $ pour l'exercice 2009-10, qui commence le 1er avril. En incluant un plan de relance de 1,5 milliard $, le manque à gagner atteindrait près de 5 milliards $. La somme de 1,5 milliard $ représenterait le complément de Québec au plan fédéral annoncé en janvier, qui doit apporter environ 4,5 milliards $ à l'économie de la province en 2009-10. Le total de 6 milliards $ équivaut à deux pour cent du produit intérieur brut nominal du Québec, soit l'ordre de grandeur que le Fonds monétaire international recommande actuellement pour les plans étatiques de stimulation économique.
  23. Desjardins clarifie ses projets d'embauche Publié le 04 mars 2009 à 15h12 | Mis à jour à 15h16 Le Mouvement Desjardins a senti le besoin de clarifier ses intentions en matière d'embauche à sa filiale Desjardins Sécurité financière à la suite d'un article faisant état de l'ajout de 1000 nouveaux employés d'ici trois ans à son siège social de Lévis. Ce chiffre, selon le Mouvement Desjardins, est inexact. En fait, Desjardins Sécurité financière (DSF), qui emploie 2200 personnes, dont 1700 à son siège social de Lévis, songe à rapatrier les 500 autres à ce siège social afin de regrouper l'effectif en un seul endroit, ce qui ne créera aucun nouvel emploi. Par ailleurs, l'institution compte poursuivre sa croissance normale, qui s'est traduite depuis quelques années par 80 à 100 embauches annuellement, de sorte que près de 500 autres employés pourraient s'ajouter d'ici cinq ans. Malgré les pertes de 1,2 milliards de dollars annoncées par le Mouvement Desjardins lundi, l'entreprise maintient une croissance robuste dans le domaine des assurances générales et dans les activités de la Fédération des caisses. En 2008, les revenus en primes d'assurance chez DSF ont bondi 9,2% malgré un contexte économique difficile. Au cours des deux dernières années, cette filiale a décroché d'importants contrats d'assurances collectives en Ontario, à Terre-Neuve-et-Labrador et dans l'Ouest canadien. Du côté de l'assurance générale, l'augmentation de la valeur des primes n'a été que de 2%. L'an dernier, cette composante a lancé une offensive en Ontario qui lui a permis d'augmenter ses revenus d'assurance de 6% sur le marché individuel des particuliers au Canada. Desjardins étudie depuis quelques mois la possibilité d'avoir plus d'espaces de bureaux pour loger tout ce nouveau personnel à venir. ________________________________ Est-ce que quelqu'un est au courant si ils ont fait une croix sur ce projet pour Montreal ?
  24. Le Québec sur une mauvaise pente * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement * 13:00 Le secteur de l'immobilier devrait également poursuivre son ralentissement durant les mois à venir. Selon Desjardins, l’économie québécoise s’est engagée sur une mauvaise pente, et cela devrait perdure durant les trois à six prochains mois. L'Indice précurseur Desjardins (IPD) a d'ailleurs perdu 0,7% en janvier, ce qui représente une quatrième diminution mensuelle consécutive pour l'IPD. Cette nouvelle chute indiquerait que l'économie québécoise est maintenant engagée dans un sérieux ralentissement qui devrait, selon Desjardins, se poursuivre pour au moins trois mois. Plusieurs autres facteurs économiques pointeraient également dans la même direction comme les livraisons manufacturières, les ventes des détaillants, celles des grossistes et la consommation. Le secteur de l'immobilier devrait également poursuivre son ralentissement durant les mois à venir. « Même si la réduction des taux hypothécaires a donné du tonus à la composante habitation en janvier, ce secteur continuera de s'affaiblir, soutient Hélène Bégin, économiste senior chez Desjardins. La détérioration de l'économie sera donc assez généralisée, de sorte que le PIB réel diminuera de 1,3 % en 2009. » Alors que la composante consommation de l'IPD s'est considérablement détériorée, coulée par les nombreuses mises à pied et par l'affaiblissement de la confiance, la composante habitation a quant à elle rebondi de 1,0 % en janvier sous l'impulsion de la réduction des taux hypothécaires. Mais la reprise n'est toutefois pas pour demain dans ce secteur puisque tous les autres indicateurs ont poursuivi leur tendance à la baisse. La diminution des indicateurs avancés continuerait d'affaiblir la composante exportation de l'IPD : « Voilà qui confirme que le climat économique se détériorera davantage pour les exportateurs québécois, prévient Hélène Bégin. Le repli des expéditions à l'étranger sera plus important en 2009, car la relance nord-américaine tardera à venir. » En dernier lieu, la composante financière de l'IPD est demeurée négative en janvier puisque, selon Desjardins, l'indice boursier Québec-30 a diminué de 6,3 % durant la période. Dans une nouvelle tentative de stimuler le marché du crédit, la Banque du Canada a de nouveau réduit son taux directeur ce matin à 0,5%. « Il s'agit bien entendu d'un nouveau creux historique, explique Hélène Bégin. Ce bas niveau des taux directeurs s'explique par la récession qui prend de l'ampleur au pays et par la faiblesse de l'inflation qui approche maintenant les 1 %. »
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