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  1. Le mercredi 21 mars 2007 (Presse Canadienne )Les Canadiens riches et instruits s'inquiètent du réchauffement du climat, mais pas suffisamment pour renoncer à leurs VUS énergivores, révèle un sondage rendu public jeudi. On y apprend aussi que les Québécois sont les plus préoccupés par l'environnement et davantage enclins à faire quelque chose de concret à ce sujet, tandis que les Albertains sont ceux qui s'en soucient le moins. Le tiers des Canadiens estiment que les changements climatiques constituent le plus important des problèmes auxquels fait face l'humanité aujourd'hui, selon le sondage mené sur Internet et dont les résultats ont été communiqués à la Presse Canadienne. La seule fois que l'environnement a autant préoccupé les Canadiens remonte aux années 1980, quand les craintes au sujet des précipitations acides et de la pollution avaient donné lieu à la mise en place, un peu partout, de programmes de collecte de matières recyclables. En revanche, les Canadiens bien nantis et instruits sont les plus réticents à changer leur comportement pour aider à préserver l'environnement. Selon Angus Reid, les personnes interrogées ne sont pas prêtes à opter pour des véhicules moins énergivores, ou à abaisser le thermostat chez elles. Ce sondage auprès de 3500 personnes a été effectué au début du mois et comporte une marge d'erreur n'excédant pas 1,9 points de pourcentage, 19 fois sur 20.
  2. Quelques bonnes idées dans ce texte. Mais chose certaine est qu'il est temps de s'occuper de cet édifice comme d'autres beaux bâtiments qui font partis de notre patrimoine.
  3. La Bourse de Montréal déménagera en 2018 dans la Tour Deloitte, un nouvel immeuble situé tout près du Centre Bell, au centre-ville. Un bail à long terme a été signé et les travaux pour adapter l'espace aux besoins des futurs locataires débuteront cet automne. Dans un communiqué conjoint publié jeudi, la firme immobilière Cadillac Fairview et le Groupe TMX ajoutent que les bureaux montréalais de la Caisse canadienne de dépôt de valeurs, de la Corporation canadienne de compensation de produits dérivés, de la Bourse de Toronto et de la Bourse de croissance TSX occuperont approximativement 44 000 pieds carrés répartis sur deux des 26 étages de cette tour de bureaux. Lou Eccleston, Chef de la direction, Groupe TMX, soutient que la nouvelle Tour Deloitte proposera un environnement de travail inspirant, durable, adapté aux besoins des employés et situé à proximité des clients locaux. La Bourse de Montréal est installée depuis 1965 dans la Tour de la Bourse, au Square Victoria.
  4. http://journalmetro.com/local/ahuntsic-cartierville/actualites/932402/une-place-publique-en-lhonneur-dune-journaliste-montrealaise/ 15/03/2016 Mise à jour : 15 mars 2016 | 18:01 Une place publique en l’honneur d’une journaliste montréalaise Par Amine Esseghir TC Media La nouvelle place du quartier de la mode, située à l’angle de la rue Chabanel et de l’avenue de l’Esplanade, sera inaugurée ce printemps et sera baptisée Iona Monahan, en l’honneur de la journaliste canadienne connue dans le milieu de la mode dans la seconde moitié du XXe siècle. Cette initiative fait partie des actions destinées à donner un nouvel essor urbain au secteur du textile. Les travaux de construction ont été lancés en 2015 pour un montant de près de 1 M$. Mme Monahan a vécu de 1923 à 2006. Elle a fait son entrée dans l’industrie de la mode à la fin des années 1940 et a rejoint le célèbre photographe Sam Getz en tant que rédactrice. Elle s’est fait connaître avec un remarquable reportage sur la mode canadienne paru dans le mensuel Mayfair, en février 1959. Jusqu’en 1970, elle collabore avec divers magazines tels que The Montrealer et Fashion en tant que rédactrice en chef et journaliste. Elle produit également des reportages pour la télévision, notamment pour CBC. À partir de 1978, elle entre à la rédaction de The Gazette où elle va signer des articles jusqu’en 2002. Elle est nommée membre de l’Ordre du Canada, en 1985, en reconnaissance du rayonnement qu’elle a donné à la mode canadienne. Elle est également désignée «Femme de l’année» par Fashion Canada vers la fin des années 1970.
  5. Bon, une autre ville canadienne qui va nous dépasser quant à l'édifice le plus haut. La construction du Stantec Building a été confirmé pour débuter en septembre.. http://www.edmontonjournal.com/news/Stantec+headquarters+will+Edmonton+tallest+tower/10150480/story.html
  6. Ottawa: capitale indigne Un billet de Jean-Benoît Nadeau On parle beaucoup de bilinguisme depuis un petit moment dans la presse et cela m’inspire quelques réflexions sur Ottawa. Depuis des années, je recherche la bonne formule pour résumer l’impression qu’elle produit. Ça m’est venu l’autre jour sur la 417, en revenant d’un weekend de patin en famille au canal Rideau : Ottawa est une capitale indigne. Pas plate, pas niaiseuse : juste indigne. Oh! Elle a ses mounties, ses soldats, son gouverneur général, son parlement, sa cour suprême et juste ce qu’il faut de musées, de restaurants. Mais en soi, elle pourrait bien être la capitale de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande, de l’Irlande, ou de n’importe quel pays du Commonwealth. Mais elle ne représente pas le Canada parce qu’elle tourne le dos au fait français, qu’elle ignore de son mieux. Ce qui ressort d’Ottawa, c’est son vieux fond orangiste anticatholique et antifrançais, un vieux fond assimilationniste sur fond de guerres de religion européennes dont ils ne sont absolument pas revenus. Un vrai Canadien devrait être bilingue et Ottawa n’est pas une ville canadienne. C’est une ville enfantée par un empire, mais foncièrement étroite. Même si elle comptait dix millions d’habitants, cela resterait une moitié de capitale. Ou, plus exactement, la capitale d’un pays qu’elle ne veut pas. Il y a bien eu quelques changements depuis l’arrivée de Dalton McGuinty comme premier ministre de l’Ontario en 2003. Mais McGuinty n’a pas réussi à casser Ottawa. Je ne comprends d’ailleurs pas les fédéralistes québécois de ne pas attaquer ce symbole avec acharnement. Par exemple, en exigeant le transfert immédiat de la capitale à Montréal. Car Montréal demeure la seule grande ville du Canada qui soit réellement canadienne.
  7. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2014/03/17/002-2013-annee-record-pour-le-beaux-arts-demontreal.shtml
  8. La SCHL limite les garanties sur les titres hypothécaires Publié le 06 août 2013 à 13h31 | Mis à jour le 06 août 2013 à 14h04 La Presse Canadienne OTTAWA Les Canadiens pourraient bientôt devoir payer davantage pour de nouveaux prêts immobiliers, alors que la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) a commencé à limiter les garanties offertes aux banques et autres organisations de prêts sur les titres hypothécaires. La SCHL a averti les banques, sociétés de crédit et autres prêteurs hypothécaires qu'ils seront tous restreints à un maximum de 350 millions de dollars en nouvelles garanties ce mois-ci en vertu de son Programme des titres hypothécaires LNH conforme aux dispositions de la Loi nationale sur l'habitation. Des analystes estiment que le plafond rendra l'obtention par les banques de fonds pour prêter à leurs clients plus ardue et plus dispendieuse, ce qui se traduira probablement par un bond des taux hypothécaires. La société de la Couronne a obtenu la latitude pour garantir jusqu'à 85 milliards de dollars cette année en vertu du programme - et environ 66 milliards avaient été engagés à la fin juillet, s'approchant du total de 76 milliards de dollars pour l'ensemble de 2012. La SCHL a fait état de cette augmentation «inattendue» des volumes, et des mesures prises, dans une note aux prêteurs, le 1er août. La conversion de prêts en titres soutenus par la SCHL est un moyen pour les prêteurs d'obtenir des fonds d'un large éventail d'investisseurs et pour les banques d'émettre plus de prêts à de moindres coûts. Mais le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a déjà exprimé des craintes d'une surchauffe du secteur immobilier qui pourrait contaminer l'économie, et il a pris plusieurs mesures ces dernières années pour contenir le flux de crédits hypothécaires. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201308/06/01-4677490-la-schl-limite-les-garanties-sur-les-titres-hypothecaires.php ----------------- Une immense nouvelle que personne ici n'as rapporté... un excellent "move" pour gérer le risque relié à un éventuel crash immobilier.
  9. Le blogue de Gary Lawrence Montréal, ridiculement agréable Publié dans : Amériques, Livres et guides, Tourisme, Vidéos, Voyage 8 février 2012 Pendant un an, le rédacteur en chef des guides Lonely Planet aux États-Unis, Robert Reid, a exploré les villes canadiennes, de Vancouver jusqu’à St. John’s. L'autre Montréal - Wikimedia/CC 3.0/Mourial Selon lui, la ville hôte des Jeux olympiques de 2010 est la plus belle, Winnipeg est la plus “énergisante” (il a assisté au premier match des Jets), Edmonton est celle qui l’a le plus surpris, Toronto has the best neighborhood et Québec est la plus agréable en hiver. Et Montréal? “Montreal is ridiculous. A top 5 city in the world to me.“, écrit-il sur son blogue. Appelé à préciser sa pensée par votre humble blogueur (qui maîtrise mieux l’anglais que François Legault mais moins bien que Justin Trudeau), Robert Reid m’a expliqué cette subtilité langagière. “That’s slang for ridiculously good! Montreal is one of my favorite cities in the world, and my clear favorite in Canada.” En fait, celui qui collabore aussi au New York Times considère que Montréal est “la ville canadienne où l’on désire le plus vivre”. Entre autres choses, il a été impressionné par l’importance que la métropole québécoise accorde au vélo ainsi que la prolifération de festivals. Ah oui: il a aussi bien aimé l’Orange Julep, Habitat 67, le surf de rivière aux rapides de Lachine et les bagels, bien meilleurs que ceux de New York (ce qu’on savait déjà). Pour visionner les vidéos de sa tournée canadienne, c’est par ici. http://www2.lactualite.com/blogue-voyage/montreal-ridiculement-agreable/8504/?utm_source=All&utm_campaign=Revue+de+presse+du+Quartier+des+spectacles-+jeudi+9+f%C3%A9vrier+2012&utm_medium=email
  10. Les investissements municipaux au titre de la culture de cinq grandes villes du Canada. http://www.hillstrategies.com/resources_details.php?resUID=1000424&lang=fr
  11. Pour promouvoir son offre de vols à destination du Québec pour cet hiver, la compagnie aérienne Air Transat s’invite dans 239 salles de cinéma à Paris du 2 novembre au 13 décembre 2011, en diffusant un spot publicitaire de 20 secondes vantant cette région, réalisé en collaboration avec la Commission canadienne du tourisme et le Ministère du tourisme du Québec. http://www.air-journal.fr/2011-11-04-air-transat-fait-sa-promo-dans-les-cinemas-538790.html
  12. Voilà un nouveau sondage sur l'élection parece que je crois que des gens ont changé d'opinions, dont moi même!
  13. Depuis plusieurs années, on entend les gens dire que Montréal est la capitale de la Mode au Canada! Je crois qu'il est rendu évident que ce n'est plus le Cas. Un autre chose que Toronto nous a volé...ou est ce à cause que nous nous sommes assis sur nos derrière et rien fait??? http://www.cyberpresse.ca/vivre/mode/201004/09/01-4268945-la-semaine-de-mode-de-toronto-un-incontournable.php La Semaine de mode de Toronto, un incontournable Lucie Lavigne La Presse Parmi les quelques designers québécois qui ont présenté leur collection automne-hiver 2010-2011 lors de la Semaine de mode de Toronto, la semaine dernière, il y avait Andy Thê-Anh et Dimitri-Chris Alexiou. Ce dernier, spécialiste de la mode masculine, avait déjà dévoilé sa collection le mois passé lors de la Semaine de mode de Montréal (SMM). Pourquoi donc investir dans une seconde présentation à Toronto? «Nous visons le Canada, il nous faut donc sortir de Montréal, affirme le designer montréalais qui en était à son premier défilé dans la Ville reine. La plupart des médias et acheteurs de Toronto ne sont pas présents pendant la SMM. Certains peuvent dire le contraire, mais je le sais, car je le vois.» Dimitri-Chris Alexiou avait aussi, avec l'aide du Bureau du Québec à Toronto, montré sa collection dans la métropole canadienne en février. Ce qui lui a permis de la «vendre» à la boutique torontoise consacrée à la mode masculine Gotstyle. «La saison prochaine, je vais sûrement présenter ma collection à Montréal et à Toronto. Je ne renie pas Montréal, car c'est ma ville, insiste le créateur. Toutefois, Toronto demeure la porte d'entrée pour le marché canadien, voire nord-américain», précise celui qui planifie un futur défilé à Paris ou peut-être à Milan. Rencontré dans sa boutique de la rue Bellair, l'une de ses deux nouvelles enseignes de Toronto, le Québécois Andy Thê-Anh semble ravi de la nouvelle identité de sa marque. «Le groupe propriétaire Catsima favorise une structure et une image de marque beaucoup plus proches de ma personnalité. Un jour, mes deux boutiques de Montréal adopteront l'allure de celles de Toronto», précise-t-il. L'an dernier, Andy Thê-Anh avait offert une présentation informelle à Toronto. Cette fois, grâce au soutien financier de Rimowa, il a pu organiser un défilé. «Je sais que l'on me critique de ne pas être assez souvent à Montréal, mais pour dépasser les frontières, il faut être à Toronto. Un peu comme le font les acteurs, au moment du lancement d'un film. Les grands bureaux d'acheteurs sont ici», précise le designer reconnu pour les coupes irréprochables et la structure très étudiée de ses tailleurs et robes de soirée. Enfin, quant au positionnement de sa griffe, le créateur cite la Canadienne Lida Baday, modèle (d'affaires), qui se situe entre les marques internationales et les chaînes de grande diffusion. «Mon objectif est d'offrir une grande qualité de production à des coûts raisonnables. Dans ma boutique, on peut aisément trouver un tailleur à moins de 1000$.»
  14. Le Québec au coeur du succès de la reprise canadienne Publié le 16 juin 2010 à 06h38 | Mis à jour à 06h43
  15. Ottawa voit grand Mise à jour le lundi 26 avril 2010 à 23 h 49 Photo: La Presse Canadienne /Adrian Wyld Le ministre conservateur, Peter Van Loan. (archives) Le ministre fédéral du Commerce international, Peter Van Loan, a indiqué à la Presse canadienne que les négociations entre le Canada et l'Union européenne (UE) pourraient mener à un pacte plus élaboré encore que l'Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA). Ce que nous recherchons, c'est l'entente commerciale la plus ambitieuse que nous ayons jamais conclue. — Le ministre Peter Van Loan Selon le négociateur en chef du Canada, Steve Verheul, les négociations en vue de conclure l'Accord économique et commercial global (AECG) progressent bien. Les deux parties en sont à la troisième ronde de pourparlers, et deux autres ont été planifiées. Le ministre Van Loan souhaite que l'accord soit entériné d'ici la fin de 2011. La délégation canadienne compte quelque 60 personnes. À la demande de l'UE, des représentants des provinces canadiennes en font partie en tant que partenaires à part entière. Selon Scott Sinclair, un chercheur pour le Centre canadien de politiques alternatives, les délégués européens souhaitent notamment éliminer le système de régulation de l'offre dans les secteurs des produits laitiers et de la volaille, et la Commission canadienne du blé. En retour, croit-il, le Canada pourrait exporter une plus grande quantité de matières premières en Europe. Un marché important L'ancien ministre libéral John Manley, maintenant à la tête du Conseil canadien des chefs d'entreprise, fait observer que le Canada a besoin de diversifier son commerce international et que dans ce contexte, une entente avec l'Union européenne, dont l'économie ressemble à celle du Canada, pourrait générer d'intéressantes retombées. Le gouvernement canadien estime que l'entente ferait bondir le produit intérieur brut (PIB) du Canada de 12 milliards de dollars d'ici 2014. En 2008, les exportations canadiennes en Europe se sont chiffrées à 52 milliards de dollars, un montant plutôt modeste compte tenu de la taille du marché. L'Union européenne, un marché d'un demi-milliard d'habitants répartis dans 27 pays, a un PIB de 19 milliards de dollars. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, est un ardent défenseur d'un accord de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2010/04/26/014-canada-ue-pacte.shtml Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est le système de régulation de l'offre dans le secteur des produits laitiers, en bref c'est ce qui fait en sorte que vous payez vos produits laitiers beaucoup trop chers, beaucoup plus cher qu'aux USA, puisque les prix sont artificiellement gonflés pour subventionner les producteurs laitiers (qui sont millionnaires soit dit en passant).
  16. réalisation : en cours localisation : Montréal, Québec client : Croix-Rouge canadienne Ce nouvel édifice multifonctionnel de 4 étages accueillera le siège administratif de la division québécoise de la Croix-Rouge canadienne ainsi que son Centre de gestion des urgences et des crises majeures, des espaces commerciaux et une gare intermodale d'autobus. L'édifice sera lié à un centre artistique communautaire ainsi qu'à la station de métro Frontenac. Cet immeuble, outre le caractère avant-gardiste de sa conception et de son intégration dans son environnement, sera construit conformément aux normes de développement durable les plus avancées et visera une certification LEED. Ce projet d'envergure se voudra un modèle vert aux fins de futures constructions de bâtiments de même type et lancera le redéveloppement du quartier avoisinant la station de métro Frontenac.
  17. La Presse canadienne apprend que le sommet du G20 de juin prochain sera tenu tout près du quartier des affaires de Toronto. Pour en lire plus...
  18. Rien à voir avec l'urbanisme, l'architecture, les gratte-ciels, mais je suis tout de même curieux de connaitre votre opinion. On a souvent des discussions très intelligentes et constructives ici et les dérapages sont de plus en plus rares, voilà pourquoi j'ouvre le fil. De mon côté, je suis partagé. Si on interdit le burqa et le niqab en public, on sait très bien que les femmes vont être cloîtrées à vie chez elle (par leur mari). En revanche, de leur laisser plusieurs passes-droits qu'on appelle accommodements raisonnables (trop souvent DÉraisonnables, selon moi) fait d'eux une classe de citoyen avec plus de droits (droit de choisir une femme médecin, droit de choisir une femme douanière, droit de voter à visage couvert, etc.) qu'une femme québécoise qui forme la moyenne des gens. *********************************** Port de la burqa Faut-il imiter la France? Mise à jour : 27/01/2010 12h45 Le Congrès musulman canadien demande au gouvernement conservateur de s'inspirer de la proposition de la France de bannir la burqa dans certains espaces publics. Selon la vice-présidente de l'organisme, Salma Siddiqui, le voile intégral est un objet de contrôle qui est identifié aux frères musulmans: «C'est un outil servile». Mme Siddiqui estime que la rectitude politique empêche les politiciens de s'attaquer à cette question sensible: son groupe a néanmoins l'intention de faire pression sur les politiciens de tous les partis politiques dès le mois de mai. En vertu de la Charte canadienne des droits et libertés, la Cour suprême a toujours refusé d'imposer des restrictions du genre. La controverse survient après la publication en France d’un rapport proposant une interdiction partielle de la burqa et du niqab. Le rapport indique que le port du voile intégral représente tout «ce que la France rejette» comme un symbole de l'asservissement des femmes et du fondamentalisme extrémiste. L’avocate générale de l’Association canadienne des libertés civiles, Nathalie Des Rosiers, pense que le Canada doit envoyer des messages forts sur l'égalité des femmes, mais qu’il ne doit pas suivre l’exemple de la France. «Il va sans dire qu'elles ne doivent pas être sujettes à des pressions exercées par leur communauté, non plus que par leur gouvernement. Ce n’est pas le rôle du gouvernement de dire comment les femmes devraient s’habiller.»
  19. Une très bonne nouvelle en perspective. Les transactions immobilières pourraient bientôt coûter moins cher au Canada. Selon le quotidien Toronto Star, le Bureau de la concurrence du Canada a passé les deux dernières années à réviser les pratiques des professionnels de l'industrie. À la suite de cette étude, le Bureau conclut que le comportement de l'Association canadienne de l'immeuble nuit aux saines pratiques concurrentielles, et que les façons de faire doivent changer. Le Bureau de la concurrence ouvre ainsi la voie à une chute des frais de courtage immobilier au pays. La possibilité d'inscrire soi-même sa propriété sur le site des Services interagences, mieux connu sous le nom de MLS, serait aussi souhaitée. Aucun règlement ne serait encore intervenu entre le Bureau de la concurrence et l'Association canadienne de l'immeuble. L'Association canadienne de l'immeuble regroupe plus de 96 000 agents immobiliers au pays, soit la majorité des gens de la profession. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2009/11/02/002-frais-courtage-immobilier.shtml
  20. Moins de projets au Québec Mise à jour le lundi 2 novembre 2009 à 16 h 53 L'argent du plan de relance du gouvernement fédéral destiné au Québec tarde à arriver, alors que d'autres provinces reçoivent leur part, indique une analyse menée par la Presse canadienne. L'agence de presse s'est basée sur les informations disponibles sur la « carte des projets » du site Internet officiel du plan d'action économique du Canada en date du 25 octobre. Elle a ainsi recensé 4833 projets au pays. Deuxième province en terme de population, le Québec reçoit moins de 10 % de ces projets, soit moins de 300. L'Ontario en a plus de 2500, tandis que l'Alberta et la Colombie-Britannique en ont plus de 300 chacune. Le Bureau du Conseil privé, qui gère les données apparaissant sur le site Internet du plan de relance d'Ottawa, n'a pas été en mesure de confirmer que tous les projets fédéraux annoncés au Québec avaient été inscrits dans la carte des projets, note toutefois La Presse canadienne. Des sommes qui mettent du temps à arriver Interrogés par l'agence, tant la Fédération québécoise des municipalités (FQM) que l'Union des municipalités du Québec (UMQ) reconnaissent que l'argent tarde à arriver. Il y a eu beaucoup d'annonces, mais le travail semble de plus en plus problématique. Il a fallu tellement de temps pour conclure les ententes. — Bernard Généreux, président de la Fédération québécoise des municipalités M. Généreux estime que le gouvernement provincial ne veut pas que le gouvernement fédéral s'immisce trop dans les affaires municipales, qui sont de compétence provinciale. La plupart des fonds du plan de relance du gouvernement fédéral requièrent une entente et une participation pécuniaire égale de la part des gouvernements provincial et municipal. Un délai supplémentaire demandé Le Québec a obtenu près de 1 milliard de dollars d'Ottawa pour le Fonds de stimulation de l'infrastructure, qui s'élève à 4 milliards. Mais, à titre d'exemple, 30 % des sommes destinées au Programme de renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées (PRECO) ont été allouées à des projets spécifiques, rapporte La Presse canadienne. Le programme a été mis sur pied en mars dernier. Tant la FQM que l'UMQ veulent qu'Ottawa accorde davantage que les deux ans qu'il a fixés pour engager toutes les sommes allouées en vertu du plan de relance de l'économie. « Nous ne voulons pas être pénalisés au bout de deux ans » parce que l'argent prévu dans le programme tardait à arriver sur le terrain, a fait valoir Jasmin Savard, analyste à l'UMQ.
  21. La région de Montréal aurait mieux résisté à la récession La Presse Canadienne Montréal Publié le 23 septembre 2009 à 19h01 | Mis à jour à 19h04 La région métropolitaine de Montréal a mieux résisté que les autres grandes agglomérations urbaines nord-américaines au ralentissement économique, au cours de la dernière année, selon des données compilées par l'organisme Montréal International. La baisse de 0,4 pour cent de l'emploi enregistrée par Montréal et sa région a été la moins élevée parmi les 20 principales métropoles du Canada et des Etats-Unis, pour la période de juin 2008 à juin dernier, a indiqué mercredi Montréal International, organisme issu d'un partenariat privé-public ayant pour mandat de contribuer au développement économique du Montréal métropolitain et d'accroître son rayonnement international. A titre de comparaison, la région de Toronto, seule autre agglomération canadienne à s'inscrire sur la liste, s'est classée au cinquième rang avec une baisse de 2,1 pour cent de l'emploi, durant la même période. Selon Montréal International, les grands projets d'investissements privés et publics, la diversité industrielle et le dynamisme des secteurs de haute technologie ont eu pour effet de soutenir l'activité économique et de limiter les pertes d'emplois dans la région montréalaise. «En période de ralentissement économique, comme celle que nous vivons depuis 2008, le choix d'un site d'investissement offrant à la fois une économie robuste et un excellent rapport qualité-coût, comme c'est le cas dans la région montréalaise, représente une option gagnante pour les sociétés étrangères», a affirmé le président-directeur général de Montréal International, André Gamache. «De ce point de vue, malgré le contexte mondial difficile, le Grand Montréal constitue toujours une destination de premier choix sur le continent nord-américain», a-t-il ajouté. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200909/23/01-904870-la-region-de-montreal-aurait-mieux-resiste-a-la-recession.php
  22. Les vendeurs et les constructeurs automobiles canadiens suggèrent à Ottawa de mettre en place un incitatif de 3500$ pour les consommateurs qui changent leur veille voiture pour une neuve, comme cela se fait en Europe. Pour en lire plus...
  23. À 8,4 %, le taux de chômage atteint un niveau inégalé en 11 ans. Les plus importantes pertes d'emplois ont été enregistrées dans le secteur manufacturier ontarien. Pour en lire plus...
  24. L'économie canadienne serait sur la bonne voie * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement L’économie canadienne serait décidément sur le chemin de la guérison selon les rapports de différents économistes publiés à la suite de l’annonce d’une contraction moins importante que prévue du produit intérieur brut (PIB) local. Regain d'optimisme chez les économistes En effet, le PIB réel a reculé de 5,4% au pays durant le premier trimestre alors que les économistes prévoyaient plutôt que la contraction allait avoisiner les -6,5%. Pour les économistes de Desjardins, ce résultat est qualifié de « soulagement ». « Non seulement la diminution des dépenses de consommation est moins importante que prévu, en particulier au sein des biens durables, mais l'amélioration du solde commercial a été un peu plus grande, explique Benoit P. Durocher, économiste senior chez Desjardins. De plus, la correction des stocks s'est avérée un peu moins prononcée qu'anticipé. » Pour Stéfane Marion, économiste et stratège chez la Banque Nationale, cette embellie ne date pas d'hier. Dans la dernière édition du Mensuel économique, il soutient que « depuis fin mars, des indicateurs donnent à penser que l'économie canadienne va mieux » tout en insistant sur le faire que le « recul du premier trimestre a marqué le creux de la vague » et que « la croissance pourrait reprendre plus tôt que beaucoup ne le prévoient ». Les analystes des différentes banques sont notamment encouragés par le fait que les prix des matières premières, garants de la croissance du sacro-saint secteur des ressources canadien, ont repris le chemin de la croissance depuis les dernières semaines. Toutefois, le marché de l'emploi devra reprendre de la vigueur pour que la reprise perdure de façon sérieuse. Le rapport du mois d'avril sur l'emploi au Canada était encourageant en cette matière puisque qu'il a révélé une création de 36 000 postes, principalement chez les travailleurs indépendants, au lieu de la perte de 50 000 postes qui était anticipée par les analystes. Stéfane Marion appelle toutefois à la prudence face à cette embellie inattendue. « Il reste que les effectifs salariés n'ont pas baissé pour la première fois depuis le début de la crise, ce qui est en soi une bonne nouvelle, avoue-t-il. Comme les statistiques sur l'emploi au Canada sont par nature très fluctuantes, il est trop tôt pour en conclure que la croissance est là pour durer. » « Mais on peut assurément affirmer que le marché de l'emploi est dans un bien meilleur état qu'avant », ajoute l'économiste. Si le marché de l'emploi venait à se stabiliser, la confiance des investisseurs, déjà plus forte qu'il y a quelques mois, ne manquerait pas de venir soulever à nouveau les ventes au détail et les dépenses de consommation. « Cela dit, la hausse de la confiance des ménages observée au cours des derniers mois laisse croire que les dépenses de consommation pourraient continuer à s'améliorer, en particulier au sein des biens durables, d'autant plus que les taux d'intérêt se situent à un niveau exceptionnellement bas », souligne Benoit P. Durocher. Ce retour de la confiance semble également atteindre l'immobilier canadien. En effet, le marché de la revente donne aussi des signes de redémarrage puisque l'Association canadienne de l'immeuble a signalé dernièrement que les ventes de logements existants avaient augmenté pour un troisième mois de suite en avril.
  25. Un nouveau fonds d'investissement en technologie Publié le 27 avril 2009 à 17h46 | Mis à jour à 18h43 Sylvain Larocque La Presse Canadienne Montréal Le gouvernement du Québec, la Caisse de dépôt et placement et le Fonds de solidarité FTQ interviennent pour contrer la pénurie de capital-risque qui se profile à l'horizon. Une bonne partie des 18 fonds privés de capital-risque qui investissent activement au Québec depuis 2004 seront à court d'argent d'ici la fin de l'année, a expliqué lundi en conférence de presse le ministre des Finances, Raymond Bachand. Les trois partenaires ont donc annoncé lundi la création de Teralys Capital, le plus important «fonds de fonds» au Canada, qui sera doté de 700 millions $: 250 millions $ provenant de la Caisse, 250 millions $ du Fonds FTQ et 200 millions $ du gouvernement, conformément aux dispositions du dernier budget québécois. «Teralys Capital sera l'un des plus importants fonds en Amérique du Nord dans le secteur du capital de risque», a déclaré le président et chef de la direction de la Caisse, Michael Sabia. Le président de Teralys, Jacques Bernier, sollicitera des partenaires privés, au premier chef des caisses de retraites d'entreprises et des investisseurs institutionnels, afin de porter à 825 millions $ la taille du fonds. Teralys investira dans des fonds privés dotés qui, à leur tour, injecteront des capitaux dans des entreprises des domaines des technologies de l'information, des sciences de la vie, des nanotechnologies et des technologies dites «propres». Les trois-quarts des capitaux seront versés «directement ou indirectement» dans des fonds québécois, tandis que le reste sera destiné à des gestionnaires de l'extérieur de la province, mais qui sont»actifs au Québec». Dans la mire: les entreprises en démarrage. On veut par ailleurs éviter le «saupoudrage»: Teralys investira dans des fonds dotés d'actifs d'au moins 150 millions $. «Il y a une corrélation importante entre la taille et le rendement dans ce domaine», a estimé M. Sabia. La Caisse et ses partenaires espèrent qu'à long terme, Teralys réalisera un rendement annualisé de 15 à 20 pour cent. L'ancien PDG de BCE a assuré que la mise sur pied de Teralys n'avait rien à voir avec la crise économique, qui a pourtant compliqué la recherche de financement pour la plupart des entreprises de technologies, qu'elles soient en démarrage ou non. Il a toutefois indiqué que l'«impact» d'un tel fonds pouvait être décuplé dans le contexte actuel. L'Association canadienne du capital de risque et d'investissement s'est réjouie de l'annonce de lundi. «Ce fonds (...) est un brillant exemple de l'impact positif que peut avoir une collaboration étroite entre le secteur public et le secteur privé», a déclaré le président du regroupement, Gregory Smith, dans un communiqué. M. Smith a rappelé que l'industrie canadienne du capital-risque souffrait d'un manque de capitaux depuis plusieurs années. En 2008, le secteur a mobilisé 1,03 milliard $, soit 41 pour cent de moins qu'en 2005.
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