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  1. L'entreprise peut recommencer à distribuer ses produits fabriqués à son usine de Toronto, qui avait été fermée en août dernier en raison d'une contamination par la bactérie Listeria. Pour en lire plus...
  2. Le crédit se tarit pour les centres commerciaux 17 octobre 2008 - 06h37 La Presse Laurier Cloutier Le financement de projets commerciaux se tarit à vue d'oeil aux États-Unis et au Canada, obligeant les promoteurs à présenter davantage de garanties pour obtenir du crédit. Selon plusieurs spécialistes nord-américains, les prêteurs exigent des promoteurs de centres commerciaux 65% de baux signés, plutôt que 50% auparavant, et 40% de capital, au lieu de 30%, avant de financer en partie un projet. Et les écarts ne semblent pas si grands entre les nouvelles normes de crédit aux États-Unis et au Canada. Des projets commerciaux sont reportés, mis sur la glace, sinon abandonnés. Après vérification dans son réseau, Jean Lambert, directeur de la recherche mondiale de l'International Council of Shopping Centers (ICSC), de New York, affirme qu'il serait surpris de voir un projet commercial démarrer à court terme aux États-Unis. «Avec le magasin d'une grande chaîne comme locomotive, un centre commercial peut lever, mais seulement avec 60% de financement», dit-il. «Les banques américaines ont fermé le robinet, presque complètement, dans le crédit au développement. Un projet fantastique peut attirer quelques banques, mais à des taux d'intérêt très élevés et avec tous les recours (garanties mur à mur). Au Canada, les banques ont toujours été plus prudentes et, en outre, le commerce de détail se porte mieux qu'aux États-Unis», ajoute Jean Lambert. Projets reportés Au Québec, Gilles Fortin, président de la chaîne Tristan&America, a signé un bail pour aménager un autre magasin de vêtements dans un projet de centre commercial, mais il ne sait pas quand il va ouvrir. Le promoteur n'a pas encore 65% de ses baux signés et, avec la crise, tout est reporté. «Aux États-Unis, il y a beaucoup de projets commerciaux reportés, mis sur la glace et même annulés. C'est assez généralisé. Toutes les banques serrent la vis, sauf pour un promoteur avec un excellent crédit», ajoute Jean Lambert, du ICSC. à New York. «Avant, au Québec, une banque pouvait financer 70% de la valeur d'un projet commercial. Là, c'est seulement 60% ou 65%, avec 35% à 40% de comptant et à un taux d'intérêt de 1% plus élevé», déclare de son côté Frédéric Labrie, directeur du commerce de détail au Groupe Altus (consultants). «Avant, les banques se battaient entre elles sur 0,05% de taux d'intérêt. Là, c'est l'inverse. Sur 15 projets, les banques en regardent cinq et font un seul prêt.» «Depuis trois mois, les conditions sont plus difficiles, autant sur le financement de projets commerciaux que sur celui de propriétés existantes, mais ce n'est pas alarmant, ajoute Frédéric Labrie. Le Quartier DIX30 a déjà des assises solides et ce n'est pas difficile de financer la construction des autres phases. Quand viendra le temps de mettre en chantier, Griffintown devra par contre avoir du cash et des baux signés.» «Des projets sont remis en question, reconnaît Jean-Guy Parent, président des consultants Intercom Services immobiliers. Rien n'a été annulé encore, mais des chaînes attendent.» Jean-Guy Parent ne peut avancer de chiffres, mais des prêteurs comme la Banque Royale, Desjardins et la Banque Nationale, depuis deux semaines, lui disent qu'ils serrent la vis dans l'immobilier commercial. «Je ne dis pas qu'il n'y a plus de financement, mais on verra encore beaucoup de nervosité d'ici deux ou trois mois», affirme-t-il. Jean-Guy Parent voit aussi quatre ou cinq banques exiger des mises de fonds qui passent de 30% à 40%. «Ça peut retarder des projets commerciaux. Il n'y a pas de panique, mais des feux rouges s'allument. Ça prend des promoteurs avec des nerfs et des reins solides, avec du cash pour passer au travers.»
  3. Au Québec, ça peut être difficile d'investir presque 2 milliards en région. Parlez-en à Alcoa, qui veut agrandir son usine de Deschambault depuis des années. Pour en lire plus...
  4. «Le Canada ne peut pas échapper à l'impact non seulement de la récession américaine mais aussi de l'appauvrissement provoqué par la chute de notre Bourse, a indiqué Sherry Cooper. Pour en lire plus...
  5. Une crise financière peut rapidement se transformer en casse-tête géopolitique. Le gouvernement islandais en sait quelque chose. Pour en lire plus...
  6. Le président et chef de la direction des Aliments Maple Leaf, Michael McCain, a tenu ces propos après que l'entreprise eut obtenu de nouveaux résultats positifs aux tests de dépistage de la bactérie. Pour en lire plus...
  7. Des audiences s'ouvrent pour déterminer si la compagnie EnCana peut forer des centaines de puits supplémentaires de gaz naturel dans la réserve faunique située sur la base militaire de Suffield. Pour en lire plus...
  8. L'originalité de la journée d'hier réside dans le fait qu'il s'agit du plus fort recul de l'indice Dow Jones quant au nombre de points. On peut le considérer comme une correction violente. Pour en lire plus...
  9. Il se peut que l'embellie sur les marchés boursiers américains soit déjà terminée cette année et il ne faut pas se fier aux prévisions trop optimistes des analystes. Pour en lire plus...
  10. Vents favorables au port de Montréal 28 août 2008 - 06h45 La Presse Hugo Fontaine La vision de développement durable du nouveau PDG du port de Montréal, Patrice Pelletier, intéresserait le port de Rotterdam. Alors que le port de Montréal a connu un premier semestre qui surpasse les résultats de l'année record 2007, le port de Rotterdam s'intéresse à la vision de développement durable du président-directeur général, Patrice Pelletier. Une collaboration pourrait naître entre le plus grand port d'Europe et l'un des ports à la plus forte croissance de la côte est américaine. Dans une période où l'économie vacille, le trafic cumulatif de conteneurs a augmenté de 7,9% au port de Montréal durant le premier semestre. Le port ne prévoyait qu'une croissance de 4 à 5%, selon ce qu'a indiqué Patrice Pelletier à l'occasion d'une entrevue avec La Presse Affaires. Le trafic total, quant à lui, a augmenté de 7%. «Cela nous place en excellente position en Amérique du Nord», précise le dirigeant. Pour expliquer cette forte croissance, M. Pelletier évoque l'augmentation de la cadence de la nouvelle liaison Valence-Montréal exploitée par MSC. Le trafic depuis les Caraïbes, notamment en provenance du port de transbordement de Freeport (Bahamas) est aussi en augmentation. La croissance est telle que l'administration portuaire, Patrice Pelletier en tête, ne peut que maintenir le rythme dans le plan de développement du port, qui s'échelonne sur 12 ans et devrait permettre de tripler la capacité du port. Déjà, le réaménagement des terminaux va bon train en 2008. L'Administration portuaire explique aussi son plan d'action à ses partenaires commerciaux et aux gouvernements, en espérant que cela se transforme en 2009 en expression d'intérêt pour investir. Une vision qui séduit Si l'expansion de la capacité du port est un défi, il en existe un autre qui compte beaucoup aux yeux de Patrice Pelletier. «Il faut gérer le port avec une stratégie de développement durable, explique-t-il. C'est d'une complexité certaine, mais pour moi ça veut dire de pouvoir développer le plan de croissance du port en atteignant un équilibre entre les impacts économiques, sociaux et environnementaux.» «J'essaie d'influencer le mode de gestion même de l'organisation, poursuit M. Pelletier. Ça va au-delà de l'écologie.» Ainsi, M. Pelletier associe à son concept de développement durable les solutions à la pénurie main-d'oeuvre à venir, ou encore l'engagement des communautés et des différents partenaires. Sans oublier la croissance du port et la protection de l'environnement. Patrice Pelletier a présenté sa vision sur différentes tribunes, dont au World Ports Climate Conference de Rotterdam, le 10 mai dernier. L'idée a été bien reçue, soutient-il. «La direction de la stratégie de Rotterdam nous a dit qu'elle a entendu notre message et qu'elle aimerait collaborer avec nous.» Il est encore trop tôt pour savoir quelle exacte forme prendra cette collaboration, mais elle aurait un objectif relié à l'implantation d'un mode de gestion de développement durable. «J'ai pensé à un jumelage de personnel comme façon effective de le faire, dit M. Pelletier. J'ai demandé à ma division environnement de réfléchir à une mission pour établir les jalons de la collaboration.» Selon M. Pelletier, Rotterdam peut donner à Montréal les exemples de choses à faire et à ne pas faire. «À Rotterdam, on peut presque voir une projection de ce qui pourrait arriver chez nous, même si c'est un plus gros port. La collaboration nous permettrait de voir concrètement où ils sont rendus, les problématiques qu'ils ont, comment les éviter.» «Dans le sens positif, on peut aussi voir ce qui peut être fait sur le plan du développement durable, ajoute-t-il. Et c'est vrai aussi dans l'autre sens. Je crois que c'est ce qui les a intéressés.» «Vulgariser» le port À la fin de l'automne 2007, après une réflexion de la haute direction sur la mission et la stratégie, le Port de Montréal prenait la résolution de se rapprocher de la communauté citoyenne. «Les gens n'ont jamais vu le port, dit Patrice Pelletier. Les gens ne savent pas ce qu'il y a derrière cette fameuse clôture qui sépare la ville du port.» C'est là qu'est née l'idée de Port en ville, une journée portes ouvertes qui aura lieu dimanche le 31 août (http://www.portenville.ca). Pour M. Pelletier, la journée est une première étape d'une stratégie pour «vulgariser» le port. «Les gens ne savent pas que quand ils vont chez Ikea, chez Wal-Mart, quand ils prennent une bouteille de vin italien, ce qu'ils achètent passe par le port. Il faut aussi expliquer les bénéfices économiques et environnementaux. Mais la première étape, c'est que les gens voient ce qu'est le port.
  11. Les profits de la Banque TD ont peut-être reculé de 9,6% au troisième trimestre, mais l'institution financière peut se permettre de hausser son dividende de 3,4%. Pour en lire plus...
  12. La SAQ peut trinquer à son premier trimestre 20 août 2008 - 14h31 LaPresseAffaires.com La Société des Alcools (SAQ) peut sabler le champagne pour son premier trimestre de l’exercice en cours alors que ses revenus et ses profits ont pointé à la hausse. Au sommet de ces bons résultats se retrouvent les ventes de la SAQ. Elles ont atteint les 516,2 M$ lors de ce trimestre, une croissance de 22,4 M$ ou 4,5% par rapport à l’exercice précédent. Les ventes nettes du réseau des succursales et des centres spécialisés ont totalisé 455 M$, contre 434,9 M$ pour l'exercice précédent, une croissance de 4,6 %. Les vins spécialisés font également très bien alors que les ventes ont augmenté de 13%. Ces résultats confirment la tendance des Québécois à découvrir davantage de nouveaux produits, souligne la SAQ. Dans la colonne des profits, l’augmentation a été de 2,4% par rapport à la période correspondante l’an dernier alors qu’ils se sont chiffrés à 165,8 M$. Ce premier trimestre a également été marqué par l’arrivée de Philippe Duval à la tête de la Société. Il remplaçait Sylvain Toutant qui avait démissionné de son poste en novembre dernier.
  13. Les ventes et les profits de la Société d'État ont été à la hausse pour ce premier trimestre de l'exercice en cours. Pour en lire plus...
  14. Mobilité: Québec peut négocier avec Paris Presse Canadienne, 07:16 Le premier ministre Jean Charest a souvent évoqué l'idée d'une telle entente avec la France. Le lieutenant québécois de Stephen Harper, Lawrence Cannon, a affirmé hier que le gouvernement fédéral était prêt à laisser la Belle Province négocier indépendamment une entente de mobilité de la main d'oeuvre avec la France. Dans la région de Québec en vue d'une réunion des députés et sénateurs conservateurs, M. Cannon a ajouté que toutes les provinces canadiennes pourraient bénéficier de la même autonomie sur des questions économiques qui leur sont particulières. Le ministre des Transports a souligné que son gouvernement est ainsi disposé à changer sa manière de transiger avec les provinces en adoptant des approches répondant à leurs besoins spécifiques. Selon Lawrence Cannon, le fait qu'une crise manufacturière a frappé le Québec et l'Ontario pendant que l'Alberta souffrait
  15. Le constructeur automobile allemand haut-de-gamme ne peut compter sur la hausse des ventes pour compenser la dégradation de l'économie et la hausse des prix des matières premières. Pour en lire plus...
  16. La plupart des gens consultent la météo par curiosité, ou tout au plus pour planifier leur week-end. Mais dans les hautes tours de la Bourse, savoir le temps qu'il fera peut rapporter des millions de dollars. Pour en lire plus...
  17. Les retards du Canada Alain Dubuc La Presse Il y a mille et une façons de prendre prétexte de la fête de la Confédération pour réfléchir à la réalité canadienne. J'ai choisi un angle d'attaque qui est à mille lieues de l'esprit festif et de légèreté estivale qui préside habituellement à ce genre d'exercice. À la veille du 1er juillet, je voudrais parler des retards du Canada. Un pays qui, contrairement à ce que l'on croit d'habitude, n'est pas assez compétitif et risque d'être déclassé. Et si j'aborde cette question maintenant, ce n'est pas pour casser le party, mais parce que la remise d'un rapport au gouvernement fédéral m'en donne l'occasion. C'est ce jeudi qu'a été rendu public le rapport du Groupe d'étude sur les politiques en matière de concurrence, composé de cinq personnes issues du monde des affaires, présidé par Lynton Wilson, où l'on retrouvait la présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Isabelle Hudon. Le Canada, nous dit en substance le groupe d'étude en termes mesurés, n'est pas un modèle de compétitivité, et les Canadiens ne réalisent pas pleinement l'importance de la concurrence. Pourtant, de nombreux signaux d'alerte indiquent que tout ne tourne pas rond au Canada, en cette période d'accélération de la concurrence mondiale: déclin des investissements étrangers, bouleversements du marché du travail, faible présence internationale du Canada, sauf aux États-Unis, érosion de notre avantage de coûts, faible innovation, très faible croissance de la productivité. Je suis très à l'aise avec le cadre général dans lequel s'inscrit cette démarche, puisqu'elle pose les problèmes de la même façon que je le fais depuis des années, en commençant par un principe très simple: «Le fait d'améliorer la performance économique globale du Canada permettra aux Canadiens de rehausser leur niveau de vie.» Le rapport propose ainsi 65 recommandations pour améliorer le degré de concurrence. Celles qui susciteront les plus vives réactions favorisent un assouplissement des contrôles sur les investissements étrangers et sur les fusions bancaires. Mais le rapport se penche aussi sur la révision de la fiscalité, l'investissement dans l'éducation postsecondaire, le développement des villes, l'union économique canadienne, les relations commerciales Canada-États-Unis. Ce ne sont pas tant ces recommandations, souvent techniques, qui ont retenu mon attention, mais plutôt les questions qu'elles soulèvent. La première - et elle est de taille - consiste à se demander si ce message sera entendu. Au Québec, l'idée qu'il y a un problème qu'il faut régler en augmentant la productivité et en créant de la richesse commence à passer, parce que nos retards sont mesurables et les menaces évidentes. Mais ailleurs au Canada, parce que l'activité est gonflée aux stéroïdes pétroliers, le fait que l'économie canadienne souffre de carences ne saute pas autant aux yeux. Il sera difficile de percer le mur de l'indifférence et de pousser à l'action politique. Est-ce que les Canadiens savent que le pays est au 17e rang sur 20 dans l'OCDE pour la croissance de la productivité? L'Ontario, mal en point, commence à peine à le découvrir. Il faut ensuite se demander s'il existe une volonté politique au Canada pour s'attaquer à ces problèmes. La question est centrale parce qu'il faudrait une solide dose de leadership des gouvernements, et particulièrement du gouvernement central. Le fait que le gouvernement Harper ait commandé ce rapport peut être vu comme un signe positif. Mais il y a déjà eu des rapports récents, qui ont abordé ces questions, l'un produit lors du règne de Paul Martin, et l'autre par le ministre Jim Flaherty, sans que cela devienne un élément central des plans d'action et des préoccupations de ces gouvernements. Voilà pourquoi une série de recommandations du rapport qui ne plairont pas à tout le monde au premier abord prennent toute leur importance. Il s'agit de la création d'un Conseil canadien de la concurrence. «Un autre organisme!» diront certains. Au contraire, cette idée d'un organisme léger, indépendant du gouvernement, qui relève du Parlement, m'apparaît utile, et même essentielle. Un exemple? Dans ses recommandations au ministre, le comité propose une transformation de la fiscalité, qui consisterait entre autres à baisser l'impôt sur le revenu, surtout pour les revenus faibles et moyens, et à augmenter la TPS. Exactement le contraire de ce qu'a fait le gouvernement Harper. Peut-être que cette décision malheureuse aurait pu être évitée si une voix indépendante et non partisane s'était fait entendre. Un organisme qui peut choisir ses champs de réflexion et d'étude, qui peut préconiser des mesures pour améliorer la productivité et la compétitivité, qui peut contribuer à créer une culture de la concurrence, comblerait certainement un besoin. http://www.cyberpresse.ca/article/20080628/CPOPINIONS05/806281117/6730/CPACTUALITES
  18. Si Montréal peut se targuer de détenir le plus grand nombre de brevets au Canada, c'est en raison de la présence de 11 établissements universitaires et de nombreuses entreprises de haute technologie sur son territoire, estime Christian Bernard, économiste à Montréal International. Pour en lire plus...
  19. Un groupe d'actionnaires formé de Michel Cadrin, Jacques Tanguay et Patrick Roy peut faire l'acquisition de la station de radio de Québec. Pour en lire plus...
  20. Et si on devenait le Dubaï de l’Amérique du Nord ? René Vézina Les Affaires samedi 24 mai 2008 Le Québec aurait avantage à hausser les tarifs d’électricité, quitte à rembourser en partie ses citoyens, particulièrement ceux qui risquent d’être coincés par l’alourdissement de leur facture. Il gagnerait au change et pourrait ainsi se constituer une réserve financière pour mieux promouvoir ses intérêts. L’argument n’est pas neuf, c’est vrai, mais il mérite votre attention, ne serait-ce qu’à cause du messager qui le transmet : Rodrigue Tremblay, professeur émérite de sciences économiques de l’Université de Montréal et ancien ministre de l’Industrie et du Commerce sous le gouvernement de René Lévesque. Ce n’est pas la première fois que M. Tremblay plonge dans la mêlée. Dès 1970, il avait lancé l’idée d’un marché commun entre le Québec et les États-Unis... 10 ans avant qu’on commence à discuter de libre-échange. Voilà qu’il remet ça. M. Tremblay prononçait la conférence de clôture du dernier congrès de l’Association des économistes québécois, le 16 mai, à Gatineau. Il en a profité pour revenir sur cette question : Comment le Québec pourrait-il suivre l’exemple d’autres États, c’est-à-dire créer un fonds souverain, un fonds de placement détenu par le gouvernement ? Dubaï en a un. Les milliards de dollars que l’Émirat retire du pétrole sont mis à contribution pour acheter aussi bien des ports que des mines. La Norvège (cinq millions d’habitants) également. Le fonds norvégien dispose actuellement d’un capital de 322 milliards de dollars, qui provient en bonne partie des redevances pétrolières. Globalement, ces fonds souverains représentent une énorme force de frappe. La Deutsche Bank évalue leur valeur totale à 3 000 milliards de dollars, et prévoit que celle-ci pourrait tripler d’ici 10 ans. Le Québec ? Oui, nous avons la Caisse de dépôt et placement, mais ses milliards sont d’abord destinés à la retraite de ses déposants. Dieu merci, on a fini par le comprendre, et la Caisse évite maintenant d’intervenir maladroitement au nom de la cause du moment. Reste Hydro-Québec. Le Fonds des générations créé par l’ancien ministre des Finances Michel Audet, correspond davantage au modèle. Il est alimenté par des contributions d’Hydro-Québec et des droits perçus auprès des producteurs privés, à raison de quelques centaines de millions de dollars par année. Mais il est tout jeune et sert essentiellement à rembourser la dette publique québécoise. Rodrigue Tremblay suggère une approche plus dynamique. L’hydroélectricité, c’est notre pétrole. Elle sera de plus en plus convoitée à notre époque qui valorise les énergies propres et renouvelables. Mais encore faut-il en avoir à vendre à nos voisins, alors que les surplus sont appelés à fondre. Une façon de réduire la consommation au Québec est d’augmenter les prix. On le voit bien, ces jours-ci, avec l’essence. Les gens sont forcés de faire attention. Mais les finances des citoyens, justement, sont serrées. De là l’idée de leur redistribuer des dividendes après coup. Apparemment, c’est revenir au point de départ, sauf qu’entre les deux opérations, le Québec gagne de l’électricité qu’il peut exporter au prix fort. Il peut en récolter de jolis bénéfices. Les dividendes, eux, sont imposables. Les contribuables aux revenus élevés finissent par redonner de l’argent à l’État, tandis que les personnes peu fortunées conservent le remboursement qui leur permet entre autres d’amortir la facture d’électricité. On neutralise ainsi l’argument selon lequel plusieurs seraient pris à la gorge. Après cette présentation, ça jasait fort dans la salle. Le conférencier n’a probablement pas convaincu tout le monde. Les économistes sont rarement unanimes... Au moins, on saura mieux, dorénavant, où loge la majorité d’entre eux : l’Association a décidé de sonder régulièrement ses membres sur les grandes questions de l’heure. Pourquoi ne pas commencer avec la thèse de Rodrigue Tremblay ? http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-05-24/478238/et-si-on-devenait-le-dubai-de-lamerique-du-nord-.fr.html
  21. Pendant au moins 1an et demi ils ont créer des bouhons d'enfer sur Décarie entre les rampes Sherbrooke et de l'autoroute 20. Maintenant il y a une belle rampe d'accès toute neuve qui mène directement sur la Rue Mainsonneuve. Ils ont finis la construction depuis plus de 6 mois maintenant et la rampe est toujours fermée. Quelqu'un peut me dire ce qui se passe à cette endroit ?
  22. Je vais faire des collages de Virtual Earth / Live Local "Bird's Eye view" et poster les images ici en 1024x768 (et bientot jusqu'a 1600x1200) Ca peut faire des wallpaper/fond de bureau jolis Beaucoups d'autres a venir! Ca prend du temps a faire..
  23. The Gazette met 46 employés à pied à Montréal, pour exporter leurs emplois à Winnipeg! MONTREAL, le 17 avril /CNW Telbec/ - La direction de The Gazette a annoncé qu'elle entend procéder à la mise à pied collective de 46 employés de son service des ventes et du service à la clientèle, et qu'elle prévoit transférer ces emplois à Reach Canada, à Winnipeg. La Montreal Newspaper Guild, qui représente ces employés, présente un grief, car il s'agit d'une violation flagrante de sa convention collective. En effet, ces emplois sont du ressort du syndicat. Il s'agirait là de la première mise à pied collective de l'histoire de The Gazette. Si cette mise à pied est effectivement conclue, la direction éliminera ainsi un groupe d'employés qui peut aisément travailler en français, en anglais ou dans d'autres langues. Cela touchera directement le service aux lecteurs. Le syndicat dénonce la mise à pied d'employés loyaux et dévoués qui ont développé de solides relations avec les abonnés du journal. Ce transfert d'emplois ne peut que nuire à la qualité du service aux lecteurs ainsi qu'à la qualité générale du plus important média de masse anglophone au Québec, au service de plus de un million de personnes.
  24. étude datant déjà de 2004, mais je garde espoir, c'est sur le terrain abandonné d'une ancienne station service à l'angle Laurier/St-Urbain. sinon, ça peut toujours être transféré dans «annulés». http://www.atelierinsitu.com/2006/projets.php?id=3 belle intégration, formes classiques et matériaux originaux.
  25. Aéronautique: Dassault songe-t-il à venir au Québec? 1 décembre 2007 - 12h31 Agence France-Presse Le constructeur aéronautique français Dassault Aviation va délocaliser hors de France une partie de sa production "dans des zones dollar ou à bas prix", annonce son président Charles Edelstenne dans une interview au quotidien parisien Le Monde daté de dimanche-lundi. "Nous sommes en train de préparer les mesures d'adaptation de la société à la nouvelle situation crée par les derniers dérapages du dollar. Elles seront annoncées au personnel dans les premiers jours de janvier", déclare M. Edelstenne dans cette interview. Dassault Aviation va conserver en France "les chaînes d'assemblage ainsi que les activités de haute technologie, qui garantissent la qualité de nos avions. En dehors de tout cela, tout peut être délocalisé", ajoute M. Edelstenne. Pour le président de Dassault Aviation, dont les principaux concurrents sont américains, cette décision s'explique par la "dépréciation du billet vert" face à l'euro avec un "recul supplémentaire de 30% en deux ans". Click here to find out more! "Nous ne pouvons supporter un tel écart en produisant et en achetant en zone euro. La démarche naturelle va être la délocalisation dans des zones dollar ou à bas coût, comme cela à été fait par l'industrie automobile", indique M. Edelstenne, car "nous devons encore réduire nos coûts pour maintenir le prix de nos avions compétitif". Pour M. Edelstenne, Dassault Aviation peut "transférer certaines fabrications d'éléments de structure. Il en va de même pour certaines tâches dans les bureaux d'études, aujourd'hui entièrement réalisés en France". "On peut imaginer installer dans des pays à bas coûts des activités non stratégiques. Mais il n'est évidemment pas question de toucher à la conception des avions. Tout cela se fera de manière progressive. Nous devons nous assurer que les partenaires retenus répondront à nos normes de qualité", précise-t-il. Dassault Aviation a enregistré une forte progression de son bénéfice net de 46% au premier semestre 2007, porté par les succès de ses avions d'affaires Falcon ,même s'il n'a toujours pas vendu son avion de combat Rafale à l'étranger depuis sa mise sur le marché au milieu des années 90. En 2006, Dassault Aviation, qui disposait d'une trésorerie de 4,28 milliards fin août 2007, avait réalisé un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros, contre 3,42 milliards en 2005.
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