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  1. 28/06/2016 Mise à jour : 28 juin 2016 | 17:39 http://journalmetro.com/local/hochelaga-maisonneuve/actualites/986540/des-artistes-pour-transformer-sainte-catherine-est/ Des artistes pour transformer Sainte-Catherine Est Par Catherine Paquette TC Media Collaboration spéciale Le projet Quartier en art embellit déjà quelques vitrines de la rue Sainte-Catherine Est. La rue Sainte-Catherine Est connaîtra bientôt un vent de renouveau avec l’arrivée d’artistes et artisans dans ses locaux vacants, promet la société de développement commercial (SDC) Hochelaga-Maisonneuve. L’organisme vient de se voir accorder un financement de 90 000$ pour le projet «Sainte-Catherine, rue des artistes et des artisans», sélectionné dans le cadre du programme PRAM-Est de la Ville de Montréal. Un total de 157 631 $ partagé entre la ville-centre, la SDC et d’autres partenaires sera investi dans la réalisation de projets qui inciteront des artistes à y installer leur atelier ou leur boutique, dans le secteur de la SDC allant de l’avenue Bourbonnière à la rue Viau. L’embauche d’une personne ressource permettra de faire le lien entre les propriétaires et les artistes, et des concours d’entreprenariat encourageront certains à s’y lancer en affaires. «Il y a déjà des ateliers boutiques sur la rue Sainte-Catherine, mais on veut renforcir cette identité. Il commence déjà à avoir une clientèle pour ces produits-là», explique le directeur de la SDC Jimmy Vigneux. Le projet surfera en effet sur la vague de nouveaux arrivants dans le secteur : les Ateliers Créatifs, dont les locaux ouvriront cet été, amèneront une centaine de créateurs dans les locaux du 3890-3910, rue Sainte-Catherine. La présence d’ateliers-boutiques comme Electrik kidz, Bigarade et Gabardine et de la galerie Gham et Dafe marquent également la volonté des artistes de s’installer dans le secteur. Le projet répond au besoin d’améliorer «l’image» de la rue Sainte-Catherine. Le montant octroyé par la Ville s’ajoute aux nombreux efforts de relance de l’artère, dont le tronçon entre Pie-IX et la rue Moreau fait l’objet d’une démarche de revitalisation urbaine intégrée (RUI) de la Table de quartier Hochelaga-Maisonneuve depuis 2012. Le projet s’arrimera par ailleurs avec les efforts de la table, qui vise le recrutement d’artisans depuis plusieurs mois, après des consultations menées auprès de la population du secteur. Secteur défavorisé Parsemée de graffitis et de locaux vacants, au nombre de 46, la rue Sainte-Catherine a l’avantage d’être beaucoup moins coûteuse pour les locataires. La moyenne des loyers s’élève à 10$ le pied carré, soir la moitié moins des montants exigés sur la rue Ontario, fait savoir le directeur. «C’est un type de commerce viable sur Sainte-Catherine, puisque 100% de leur chiffre d’affaires ne se fait pas nécessairement sur la rue. Comme l’achalandage n’y est pas si élevé que sur Ontario, on considère que c’est un bon filon», affirme-t-il. Le directeur souhaite offrir à des artistes d’occuper des locaux vacants gratuitement de manière temporaire, afin d’attirer de possibles locataires. Le projet vise aussi à améliorer l’aspect des vitrines en travaillant en collaboration avec Un quartier en art, projet qui vise à afficher des œuvres d’artistes locaux dans les locaux vacants. «Il faut établir que c’est rue artistique, on veut que les artistes puissent s’exprimer sur la rue», ajoute savoir le directeur.
  2. La Banque Nationale injecte 100 millions de plus au Cambodge Publié le 09 mai 2016 à 07h27 | Mis à jour à 07h27 RICHARD DUFOUR La Banque Nationale vient d'injecter 103 millions de dollars américains de plus dans une institution financière du Cambodge. La direction a annoncé lundi matin que cet investissement permet a la Banque Nationale d'avoir une participation majoritaire de 90% dans Advanced Bank of Asia et que ce placement contribuera dès maintenant aux bénéfices de la banque. La Banque Nationale avait initialement pris une petite participation de 10% dans ABA Bank il y a deux ans. Des investissements supplémentaires ont ensuite été réalisés pour porter cette participation à 42% l'année dernière et à 90 % aujourd'hui. Le montant de l'investissement total dans ABA Bank totalise maintenant 148 M$ US et s'inscrit dans le cadre de la stratégie de croissance internationale de la Banque Nationale qui vise à établir une présence dans des marchés émergents qui affichent une forte croissance économique. Fondée en 1996, ABA Bank est une institution financière du Cambodge qui a des actifs de plus de 925 M$ US, 1300 employés et 35 succursales. ABA Bank offre des produits et services financiers à des particuliers et à des entreprises. «C'est une fierté pour la Banque Nationale de devenir actionnaire majoritaire de ABA Bank, une institution financière bien ancrée dans son marché», a commenté le PDG de la Banque Nationale, Louis Vachon. Pour l'exercice , la Banque Nationale estime que la contribution de ABA Bank au résultat dilué par action s'élèvera à 17 cents en incluant le gain à la réévaluation du placement antérieur de 12 cents. Au troisième trimestre de l'exercice 2016, la transaction réduira d'environ 18 points de base le ratio des fonds propres réglementaires attribuables aux actions ordinaires de catégorie 1 selon Bâle III. La Banque Nationale vise à atteindre un ratio de fonds propres réglementaires attribuables aux actions ordinaires de catégorie 1 d'environ 9,7 % à la fin du troisième trimestre. La Banque Nationale ne prévoit par ailleurs pas effectuer d'autres investissements stratégiques significatifs à l'international au cours des 12 prochains mois, et se concentrera sur la consolidation des activités actuelles. Une Journée Investisseurs portant sur les investissements internationaux de la Banque Nationale dans les marchés émergents se tiendra le 16 septembre, à Toronto. Les dirigeants de ABA Bank seront au nombre des conférenciers présents. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201605/09/01-4979546-la-banque-nationale-injecte-100-millions-de-plus-au-cambodge.php
  3. http://journalmetro.com/actualites/montreal/906723/un-nouveau-gesu-a-letude/ Un nouveau Gesu a l’étude Par Laurence Houde-Roy Métro Archives Métro Le Gesù Le comité exécutif de la Ville de Montréal devrait accorder mercredi matin un soutient financier de 78 000$ au Gesù. Cette somme aura pour but de réaliser des études de faisabilité concernant un projet de réaménagement que les responsables de l’église du Gesù aimeraient concrétiser. Le sous-sol de l’immeuble est depuis longtemps l’hôte d’activités artistiques dans un amphithéâtre qui y est aménagé, mais l’église est peu utilisée, souvent que quelques heures par semaine, peut-on lire dans des documents de la Ville. Les dirigeants souhaiteraient ainsi transformer l’église pour y accueillir des événements culturels. Aussi, la résidence jésuite, adjacente à l’église, serait transformée en espace à bureaux pour des organismes partenaires. Avec l’amphithéâtre au sous-sol, cela a pour but de «former un tout cohérent». «Le projet global, qui prend le nom de Nouveau Gesù, vise à créer un pôle de partenaires et d’organismes clés autour des axes culturels, artistiques, sociaux et spirituels au coeur du Quartier des spectacles. Certains partenaires seront des utilisateurs résidents et d’autres seront des utilisateurs non résidents», expliquent les documents de la Ville. Les études de faisabilité se pencheront sur ce projet. Des études acoustiques, d’électricité, un inventaire des composantes patrimoniales et une stratégie de conservation et de mise en valeur seront notamment fait. La contribution financière de Montréal de 78 000$ représente 49% de l’ensemble du budget de la phase d’étude et de développement qui est de 160 060$. Le Gesù déboursera également 82 060$. L’église du Gesù est actuellement un immeuble patrimonial classé. Le projet vise «la mise en valeur et la pérennité» de l’immeuble. La Compagnie de Jésus du Canada français, propriétaire du site de l’église, souhaiterait, dans le cas où le projet irait de l’avant, se retirer de l’oeuvre et organiser la passation du patrimoine. sent via Tapatalk
  4. Sur l'autoroute 20, on peut apercevoir des annonces de travaux bientôt prévus pour l'échangeur A-20 / A-30, à la hauteur de Sainte-Julie. Savez-vous s'il s'agit de réparations, de remplacement de structures, où bien, est il question d'un plus grand projet, qui vise améliorer la configuration de l'échangeur, pour le rendre plus efficace?
  5. Tourisme Montréal annonce que plus de 10 millions de dollars seront consacrés à la promotion, aux relations de presse et à des offensives de vente afin d'augmenter le nombre de touristes. L'organisme précise que les efforts seront consentis principalement dans les marchés du nord-est des États-Unis, de l'Ontario et du Québec. Selon les prévisions de Tourisme Montréal, 8,5 millions de touristes séjourneront à Montréal en 2013, soit 2,0% de plus qu'en 2012, alors que des agitations sociales avaient marqué le printemps et le début de l'été. Les dépenses des voyageurs devraient atteindre 2,5 milliards $ en 2013, soit une augmentation de 4,7% comparativement à 2012. Quant au tourisme d'affaires et aux croisières, leur progression prévue est de 9,0%. Tourisme Montréal entend miser sur la diffusion des expériences uniques vécues dans la métropole. Cette campagne vise à accroître la notoriété de la destination mais aussi «à entamer une conversation avec le visiteur potentiel avant même qu'il soit sur place», en faisant usage de médias sociaux. L'activation sur le terrain et des concours sont notamment prévus pendant les événements phares tels qu'Osheaga, le Festival international de jazz de Montréal, Zoofest, les Francofolies et Igloofest. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201305/28/01-4655158-tourisme-montreal-investit-10-millions-dans-la-croissance-touristique.php http://journalmetro.com/plus/vacances/317868/plus-de-10m-pour-stimuler-le-tourisme/
  6. Selon Vaillant sur SSP : Étrange pour le moment puisque le PPU de Griffintown ne permet rien de plus de 20 étages. À moins que ça ne vise un autre secteur de Griffintown qui n'est pas sujet au PPU ? @Vaillant : pourquoi ne pas avoir rapporté la nouvelle ici ?
  7. http://www.sdemontreal.com/fr/est/projets CITÉ PORTUAIRE : ACCESSIBILITÉ ET RAYONNEMENT Le projet de la Cité portuaire vise à appuyer le développement du port de Montréal et des activités économiques qui y sont afférentes. Le projet de la Cité portuaire vise à : accroître l’accessibilité terrestre du port de Montréal élaborer, avec les partenaires, un projet de développement fondé sur les avantages comparatifs et les atouts de Montréal en tant que ville portuaire, en misant notamment sur le secteur de la logistique préserver l’intégrité physique et fonctionnelle des accès ferroviaires et maritimes aménager, dans le port et à proximité, des sites d’observation et d’interprétation des activités portuaires doter Montréal d’une gare maritime internationale
  8. Publié le 07 septembre 2009 à 09h33 | Mis à jour à 09h39 Le Japon vise 25% de réduction de CO2 entre 1990 et 2020 Agence France-Presse Tokyo Le futur premier ministre japonais Yukio Hatoyama a annoncé lundi que le Japon allait tenter de réduire de 25% ses émissions de gaz à effet de serre (GES) d'ici 2020 par rapport à 1990, revoyant à la hausse l'objectif fixé par le gouvernent sortant. «Comme objectif à moyen terme, nous visons une réduction de 25% d'ici 2020 par rapport aux niveaux de 1990, en nous basant sur les demandes scientifiques dans l'espoir d'arrêter le réchauffement climatique», a déclaré M. Hatoyama lors d'une réunion internationale sur le changement climatique à Tokyo. Président du Parti Démocrate du Japon (centre-gauche) victorieux des récentes élections législatives, M. Hatoyama sera désigné premier ministre par la Chambre des députés le 16 septembre. Ce chiffre annoncé par le prochain chef du gouvernement est plus ambitieux que la réduction de 8% fixée en juin par le premier ministre conservateur sortant, Taro Aso, pour la même période de référence. «Ceci est une promesse politique sur laquelle nous nous étions engagés dans notre manifeste électoral», a expliqué M. Hatoyama. «Nous devons l'accomplir en prenant toutes les mesures nécessaires». Le Japon défendra cet objectif de 25% dès la prochaine réunion organisée par l'ONU à New York le 22 septembre, préparatoire au sommet de Copenhague de décembre. Sous l'égide de l'ONU, ce sommet vise à trouver un accord international pour succéder au protocole de Kyoto sur la réduction des émissions de GES considérées comme largement responsables du changement climatique. M. Hatoyama a toutefois averti que le Japon ne voulait pas avancer seul sur ce sujet. «Un accord enthousiaste avec la participation de tous les grands pays est une condition nécessaire à notre promesse devant la communauté internationale», a-t-il souligné. Deuxième économie mondiale, l'archipel n'est que le cinquième émetteur de gaz à effet de serre, derrière la Chine, les États-Unis, l'Inde et la Russie. Le futur premier ministre a annoncé en outre qu'il lancerait «une initiative immédiatement après la formation du gouvernement» pour aider les pays en développement à réduire leurs émissions de GES. «Nous pensons que les pays en développement doivent aussi faire un effort pour réduire leur GES, car le changement climatique est un problème planétaire. Les pays développés doivent fournir un soutien financier et technique aux pays en développement qui essaient de réduire leurs émissions», a-t-il expliqué. La question de l'aide financière apportée par les pays riches aux pays pauvres pour réduire leurs émissions constitue un désaccord de taille dans les négociations en vue du sommet de Copenhague.
  9. Meubles Léon, de Toronto, vise des résultats records en 2009 grâce à la multiplication des promotions, malgré la récession qui frappe les achats de biens durables. Pour en lire plus...
  10. Le numéro un mondial des engrais agricoles a multiplié par cinq son profit au troisième trimestre, dépassant les attentes, mais vise le bas de ses prévisions pour 2008. Pour en lire plus...
  11. Une des commandes vise la fourniture, à un producteur situé aux États-Unis, des services d'ingénierie et des équipements destinés à l'implantation d'une nouvelle usine de blanchiment de la pâte. Pour en lire plus...
  12. Le contrat vise l'élaboration et la gestion d'une plateforme électronique destinée aux écoles, aux collèges et aux universités financés par les fonds publics de l'Ontario. Pour en lire plus...
  13. L'offre est de 8,30 $ par action pour Penfold. Mais l'objectif réel de Severstal est la minière américaine, qui produit du charbon thermique et métallurgique. Pour en lire plus...
  14. Le mouvement qui vise à bannir l'eau en bouteille des édifices publics fait bouillir les embouteilleurs d'eau du Québec. Pour en lire plus...
  15. Le constructeur automobile japonais va reporter son ambition de vendre plus de 10 millions de véhicules en 2009 en raison d'un ralentissement de la demande. Pour en lire plus...
  16. Le bas de laine des Québécois détient 23,2% du capital-actions du gestionnaire aéroportuaire britannique. Ce prêt vise à financer les dépenses en immobilisation de BAA. Pour en lire plus...
  17. Les années se suivent et se ressemblent pour les clients d'Hydro-Québec. La société d'État souhaite augmenter ses tarifs de 2,2% en avril prochain. Pour en lire plus...
  18. Au 30 juin, Airbus totalisait 487 commandes nettes d'avions en six mois. La demande devrait être plus faible au cours de la deuxième moitié de l'année. Pour en lire plus...
  19. La chaîne américaine de cafés vise particulièrement les points de vente qui ne sont «pas rentables et dont les projections pour l'avenir sont mauvaises». Pour en lire plus...
  20. L'entente vise l'ingénierie, l'approvisionnement et la construction d'une usine de dessalement d'eau de mer d'une capacité de 120 000 mètres cubes par jour. Pour en lire plus...
  21. 12/06/2007 Le Projet Entrepreneuriat Montréal (PME)lance une stratégie pour stimuler la création d’entreprises. Le projet vise à éliminer le retard de Montréal en entrepreunariat par rapport à d’autres villes canadiennes. Les dirigeants de plus de 85 organismes dédiées à la promotion des entreprises locales estiment que pour prendre sa place dans une économie mondiale de plus en plus compétitive, la communauté des gens d’affaires de Montréal doit se serrer les coudes. Des gens d’affaires doivent servir de mentor auprès de la relève. La stratégie vise à mettre en réseau les ressources d’entrepreneurs établis et celles d’organismes d’aide à la création d’emplois afin qu’ils puissent faire bénéficier de leur expérience de nouveaux venus dans le monde des affaires. Il s’agit d’un plan d’action mobilisant tous les intervenants afin d’accroître le nombre d’entrepreneurs et favoriser le taux de survie de leurs entreprises. Jean-Marc Léger, président fondateur de Léger Marketing, est associé au projet. À la tête d’une entreprise comptant plus de 650 employés et ayant des bureaux aux quatre coins du Canada, M. Léger affirme que c’est grâce à l’aide d’un mentor qu’il a su développer son entreprise. Selon lui:"le plus difficile en affaires c’est pas de réussir, c’est de réussir à tous les jours et le mentorat à mon avis est un des éléments clefs de la réussite du Québec". C’est précisément ce que vise le projet du PEM. Le groupe de travail a pour mandat de promouvoir la culture entrepreneuriale et de multiplier les ressources. Le ministère des affaires municipales et des Régions et la conférence régionale des élus de Montréal participent au financement du projet. Dynamiser la création d’entreprises Une étude réalisée par la fondation de l’entrepreneurship sur l’état de santé de l’entrepreneuriat à Montréal révèle que depuis 2003, tous les indicateurs de vitalité dans le secteur de la création d’entreprises s’améliorent. Cependant ils demeurent en deçà de ce qui se produit dans d’autres villes canadiennes. Nathaly Riverin de la fondation de l’entrepreneurship indique que Montréal a été comparée avec Toronto et Vancouver. Dans l’étude, des Montréalais, des Torontois et des gens à Vancouver ont été sondés sur leur perception quant aux opportunités d’affaires dans leur ville, leur peur de l’échec s’ils se lançaient en affaires et leurs propres capacités entrepreneuriales. Dans tous les cas, les données révèlent que les Montréalais ont une perception plus négative que ceux dans les deux autres villes, l’écart le plus important se situant au niveau de la crainte d’échouer dans un projet d’entreprise. Selon l’auteur de l’étude, un facteur dominant explique peut-être cette réalité. "On dénote une culture entrepeunariale moins bien incarnée chez les québécois et on dénote aussi que le milieu des affaires est moins connecté, les jeunes ont moins de modèles d’entrepreneurs à Montréal qu’à Toronto ou Vancouver", dit Nathaly Riverin. Selon elle, les résultats indiquent que la campagne de développement doit faire une priorité de la mise en réseau des gens d’affaires novices avec ceux ayant de l’expérience. Une stratégie à moyen terme Liette Lamonde, porte-parole du PME, indique qu’il est urgent d’agir pour changer la situation, mais qu’il n’y a pas de raison de baisser les bras. A son avis, il existe déjà une structure en place pour encadrer la relève et il faut simplement accélérer le pas pour faire en sorte que d’ici 5 ans l’écart entre Montréal et les autres villes canadiennes s’évapore. " On ne crie pas au feu car on sait qu’on a des moyens pour rattraper cet écart. Nous proposons une stratégie qui vise à combler cet écart . On fait un appel aux entrepreneurs...nous voulons les convaincre qu’ils peuvent aider", explique-t-elle. Mme Lamonde précise qu’il est question de changer les attitudes et que cela ne peut se faire qu’avec le temps.
  22. (13/04/2007)Après celles de l'aérospatiale, du cinéma, de l'agro-alimentaire, entre autres, la grappe industrielle des technologies de l'information et des communications vient de naître. TechnoMontréal est le nom de baptême de cette grappe industrielle des technologies de l'information et des communications du Grand Montréal. Cette nouvelle grappe industrielle, lancée vendredi en présence du ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Raymond Bachand, et du maire de Montréal, Gérald Tremblay, vise à créer entre 15 000 et 25 000 emplois liés aux technologies de l'information et aux communications d'ici 2010. On compte actuellement 108 000 emplois dans ces secteurs: logiciels, fabrication, services informatiques, services en télécommunications et autres, indique la Presse Canadienne. La grappe vise également à faire croître les exportations de 30% dans le domaine des communications et des technologies de l'information. Ses partenaires souhaitent aussi voir les effectifs en recherche et développement augmenter de 25% dans les secteurs privé et universitaire.
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