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  1. Ça doit être le prix trop élevé des vignettes, ou le parco trop cher, ou la trop faible place laissée aux automobiles dans l'aménagement des lieux. Blague à part, dommage qu'on ne parle plus aussi clairement d'unité résidentielle comme il y a quelques années. Ceux qui ont LP+ : d'autres petits textes sont publiés.
  2. http://www.lesaffaires.com/blogues/joanie-fontaine/metro-copropriete-moins-chere/581959?utm_source=facebook&utm_medium=social&utm_content=28-09-2015&utm_campaign=metro-coproopriete Êtes-vous de ceux qui cherchent à acheter une copropriété abordable à moins de 15 minutes de marche d’une station? Les prix peuvent varier énormément d’un endroit à l’autre, d’où l’importance de bien se renseigner. De plus, certains quartiers ont changé d’aspect à la suite d’un boom de construction et l’offre de propriétés y est maintenant fort différente. La carte suivante vous permet de voir le prix médian des copropriétés, vendues en 2014, situées à moins de 1,5 km de route d'une station de métro. Le prix médian n’a pu être calculé pour l’ensemble des stations, puisque certaines comptaient trop peu de ventes de copropriétés. Les transactions colligées par JLR comprennent toutes les ventes enregistrées au Registre foncier (par l’entremise d’un courtier et entre particuliers). Les constructions neuves sont également incluses dans les prix présentés. (voir carte en plein écran) sent via Tapatalk
  3. 9 septembre 2011. Rénos qui ont commencées il y a quelques semaines. Je ne sais pas trop ce que c'est. Peut-être y avait-il un fil là-dessus. Je n'ai pas vu. [/img] [/img] [/img] [/img]
  4. Une usine d’eau potable de trop selon Projet Montréal Alors que la Ville de Montréal a demandé un audit de son plan d’investis*sement en infrastruc*tures de l’eau, Projet Montréal répète qu’au moins une des six usines d’eau potable est de trop. Selon les calculs réalisés par l’élu de Projet Montréal Sylvain Ouellet, la production d’eau a été en moyenne de 1,8 million de m3 par jour entre 2009 et 2013, soit 62% de la capacité maximale de production de la Ville. «Même en prenant la pire journée de canicule sur une période de cinq ans, les usines ont un excédent de capacité de 367 310m3, soit deux fois la capacité totale de production des usines de Lachine et Dorval», évalue M. Ouellet. Ce dernier note en outre que l’usine de Pierrefonds est actuellement en rénovation pour augmenter de 70% sa capacité de production, que des travaux du réservoir Rosemont sont en cours pour augmenter la capacité de stockage de Mont*réal et que le colmatage des fuites dans le réseau d’égouts et d’aqueducs a contribué à réduire les besoins de l’ordre de 19% entre 2001 et 2012. Malgré ce constat, la Ville s’apprête à investir 32,2M$ dans les usines de Dorval et de Lachine, note M. Ouellet, qui a demandé lors du conseil municipal du mois d’avril que la Ville lance une étude sur la question. En 2013, un Montréalais habitant sur l’île consommait 903l d’eau par jour. Cela inclut la consommation d’eau des industries, des commerces et des institutions, ainsi que les fuites. L’élu de Projet Montréal semble avoir été en partie entendu. Durant la réunion du comité exécutif de mardi, l’administration Coderre a indiqué qu’elle octroyait un contrat de 83 700$ à l’Institut national de recherche scientifique (INRS) pour analyser la stratégie de l’eau et le plan d’investissement 2015-2024 qui y est lié. Mais l’audit en question ne se penchera pas sur l’opportunité de fermer une des usines de production d’eau potable. «Ce n’est pas dans nos cartons. La population va continuer d’augmenter. Il n’est pas question à court terme de fermer une usine», répond Chantal Rouleau, l’élue responsable de l’eau à la Ville. L’administration Coderre souhaite plutôt obtenir une analyse neutre des réalisations effectuées. «On a prévu d’investir 4,6G$ sur 10 ans. Faut-il maintenir le rythme ou l’augmenter?» dit Mme Rouleau pour illustrer ses propos. Elle souligne par exemple que l’arrivée de nouvelles techniques telles que le chemisage [un système de gainage qui permet de réparer les conduites sans creuser de tranchées] a permis d’accélérer les travaux et de diminuer les coûts, ce qui change la donne en matière de prévisions. Le rapport final de l’INRS sera déposé à l’automne. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802290/une-usine-deau-potable-de-trop-selon-projet-montreal/
  5. Je ne sais pas trop où placer ce genre de propos. L'idée est de retracer l'influence d'architectes connus ou moins connus sur la patrimoine bâti de Montréal.
  6. Malek

    Canadiens 2013

    Bon pas de fil? PK viens d'être signé, les deux jeunes resent à Montréal... l'attaque semble pas trop mal! Départ canon en début de saison! Qu,est ce que vous en pensez??
  7. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/458218/charte-des-valeurs-economie-et-architecture/ Désirant profiter de la campagne électorale, l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) amorce une tournée provinciale pour réclamer de nos élus l’adoption d’une politique nationale de l’architecture. Mine de rien, le dossier traîne depuis plus de 30 ans à l’Assemblée nationale. L’OAQ avait en effet déposé en 1982, alors que René Lévesque était au pouvoir, un livre blanc pour guider le développement urbain du Québec. Le dossier a refait surface à quelques reprises depuis, mais n’a malheureusement jamais mené à l’adoption d’une réelle stratégie provinciale. C’est pourquoi l’OAQ partira, dès la semaine prochaine, à la rencontre de députés, de maires, d’architectes et d’organismes sensibles à notre patrimoine bâti afin de faire valoir les bénéfices d’une telle politique. Seize pays, dont les Pays-Bas et la Norvège, possèdent déjà la leur, alors que 14 autres y travaillent d’arrache-pied. Pourquoi pas le Québec? Une politique provinciale forcerait notre gouvernement à devenir un client exemplaire pour la construction de bâtiments publics, en établissant une série de critères précis à examiner avant de sortir le chéquier pour un musée, un hôpital et même un échangeur autoroutier. En ce moment, l’État québécois persiste trop souvent à sélectionner un projet en ne regardant que la facture. Pas le fournisseur le plus fiable. Pas le plus talentueux. Le moins cher, et ce, peu importe la proposition. Est-ce ce que vous feriez avec votre propre maison si vous souhaitiez, par exemple, l’agrandir? Prendriez-vous le plus bas soumissionnaire (peu importe son CV et ses références) ou opteriez-vous pour le meilleur rapport qualité/prix afin d’assurer une plus-value à votre propriété? Poser la question, c’est y répondre. Pourquoi procéder différemment avec notre patrimoine collectif? Depuis déjà trop longtemps, on dépense des millions et des millions de dollars en édifices publics sans prendre le temps de regarder plus loin que le bout de notre nez. Mais ces bâtiments maximisent-ils vraiment notre productivité au travail? Reflètent-ils notre créativité? Possèdent-ils une valeur touristique? Une stratégie nationale démontrerait [enfin] que nos politiciens se soucient réellement de l’aménagement de notre territoire en affirmant vouloir prioriser un patrimoine bâti de qualité. En donnant l’exemple, on s’efforcerait de transformer nos paysages urbains en une fierté nationale comme dans bien des pays. Mais attention ici. Je ne parle pas de favoriser la construction d’icônes tape-à-l’œil, dispendieuses, qui vieillissent mal et qui n’ont strictement aucun impact sur notre qualité de vie. Je parle plutôt d’une fierté collective qui se rapproche davantage des pays scandinaves avec une architecture à échelle humaine, respectueuse de l’environnement et qui reflète notre identité culturelle. Assurons-nous d’obtenir le meilleur pour notre société. Pas le minimum requis.
  8. Pour l'instant le rendu n'est pas trop prometteur probablement à cause de la couleur de la brique mais j'ai bien confiance que sera mieux une fois terminé. http://www.groupecalex.com/projets_brebeuf.html
  9. Pastas interdites dans un resto italien ! SOPHIE DUROCHER Le Buona Notte est un resto jet set du boulevard St–Laurent fréquenté par de nombreuses vedettes. Mais la prochaine fois que Patrick Bruel ou un joueur des Canadiens ira manger là, il ne pourra pas commander des pastas. L’Office québécois de la langue française reproche au restaurant italien d’avoir un menu contenant trop de mots…italiens. BASTA LA PASTA Hier, le proprio du resto Massimo Lecas n’en revenait pas *encore! Il venait de recevoir la lettre de l’OQLF le *réprimandant pour avoir utilisé le mot pasta au lieu de pâtes. Il se fait taper sur les doigts pour avoir utilisé le mot polpette au lieu de boulettes. Pourtant, explique-t-il, la description des mets est en français. Seul le nom des plats est in italiano. Mais il semble que ces quelques mots dans la langue de Sophia Loren soient trop durs à avaler. L’Office lui reproche aussi d’utiliser le mot bottiglia au lieu de bouteille pour sa liste de vins. «Le lendemain de l’élection du Parti québécois, j’ai reçu une visite d’un inspecteur qui me disait qu’il y avait eu une plainte concernant mon menu», raconte Massimo Lecas. «J’étais surpris, franchement. Qui s’offusque de voir le mot pasta dans un resto italien? On m’a dit qu’on allait étudier mon dossier. Et cinq mois plus tard, je reçois une lettre avec une photocopie de mon menu et les mots “fautifs” entourés.» (Heureusement pour lui, le mot pizza n’est pas entouré. Faut dire qu’une traduction française du mot pizza, bonne chance pour trouver ça dans le dictionnaire…) Depuis qu’il a pris une photo Instagram de la lettre de l’OQLF et mis cette information sur Twitter et Facebook, Massimo Lecas est inondé de commentaires. «Les gens trouvent ça ridicule. Est-ce qu’on ne devrait pas s’occuper des vrais problèmes avec la langue plutôt que de «capoter» sur le mot pasta?» Quelle est la prochaine étape pour Massimo Lecas? «C’est entre les mains de mes avocats, m’a-t-il répondu. Jusqu’ici, ça m’a déjà coûté 4500 $ de frais. Le Buona Notte existe depuis 22 ans et c’est la première fois qu’on se fait dire que *notre menu est trop «italien». Il y a quelques années, l’OQLF avait essayé de remplacer le mot hamburger par hambourgeois. Ça n’a jamais fonctionné. Aujourd’hui, demande Massimo Lecas, est-ce que le mot pasta est devenu le nouveau hamburger? PASTA OU HAMBURGER ? J’ai parlé à Martin Bergeron, le porte-parole de l’OQLF. Chaque dossier est confidentiel, il ne commentera donc pas le dossier du Buona Notte. Mais il a tenu à préciser : «Le menu peut être en italien, en anglais, en portugais, mais la Charte de la langue française stipule qu’aucune autre langue ne doit l’emporter sur le français.» Est-ce qu’on compte les mots, ai-je demandé à Mr Bergeron? «Ce n’est pas une question du nombre de mots, mais de TAILLE DE CARACTÈRE.» Un conseil aux autres restos italiens : Écrivez donc le mot pasta en tout petit. Comme ça, vous ne vous ferez pas taper sur les doigts. http://www.journaldemontreal.com/2013/02/19/pastas-interdites-dans-un-resto-italien
  10. Voici un album flckr sur ma visite du Buzludzha Monument, situé sur la plus haute montagne de bulgarie près de l'ancienne capitale de Veliko Tarnovo. Une veille relique de l'époque communiste... (how to waste money, communist style) Il y avait beaucoup de brume cette journée là et il y reignait une ambiance trop spéciale. Je ne me sentais pas sur terre!! Enjoy! Lien: http://www.flickr.com/photos/61637441@N06/sets/72157632270571827/show/
  11. Voici un petit projet qui sort de l'ordinaire. Il ne s'intègre pas trop avec son voisin de gauche mais un peu plus avec celui de droite (pour la hauteur). Disons qu'il y a certainement un peu plus d'audace ici. http://www.closst-dominique.com/
  12. Le débat se fait maintenant, c'est donc le temps de vous exprimer. À ma connaissance, rien n'a été définitivement adopté encore, c'est donc le temps de débattre et de vous regrouper pour produire des documents et des témoignages à l'OCPM. Après, il sera trop tard, le dossier sera clos. Site de l'OCPM où vous trouverez comment présenter votre témoignage, vos idées, etc. : http://www.ocpm.qc.ca/hauteurs-densites Ouest du centre-ville : Est du centre-ville :
  13. Un communiqué vient tout juste d'être envoyé par Spectra: le Metropolis vient d'apparaître sur la liste Pollstar des 100 meilleurs "concert clubs" au monde. Il est 1er au Canada et 9e au monde! Pas de lien internet encore, c'est trop chaud. Ça viendra bientôt.
  14. Vous voyez une publicité qui est hors de l'ordinaire et qui mérite d'être vue par tous ? On pourra en discuter ici et annoncer à tous l'endroit à visiter. Je commence, station Place des arts, édicule Bleury, à l'extérieur, il y a un abribus qui donne sur Bleury. Sur celui-ci, une très bonne pub de la Banque Laurentienne. Je ne veux pas trop vous en dire, pour vous garder la surprise. Si vous passez par là, elle vaut la peine d'être prise en photo !
  15. Voici donc ma vision extensive du métro de Montréal! Un peu plus du double des stations actuelles. Couverture de Dorval à Georges-V, de Rivière-des-Prairies à Ville Saint-Laurent! Pas d'ajouts sur la rive-sud, simplement parce que je n'avais pas la carte, mais ça viendra un jour! Même chose pour Laval, où je n'ai que bouclé la boucle sans m'attarder à voir si la ligne y fait du sens! J'ai, en général, placé les stations là où il semblait avoir une certaine densité ou un point d'intérêt à proximité. Il est possible que certaines d'entre elles ne soient pas possible à construire pour une raison X ou Y, et j'en suis bien conscient, donc ne jugez pas trop sur l'emplacement exact! Aussi, je suis conscient que c'est un projet irréaliste, du moins d'ici 2200, mais ça reste avant tout une vision. VERSION ORIGINALE 4327 x 3580 PIXELS ICI. Et en détail:
  16. Bon, j'étais trop lâche pour traverser la rue... on ne voit pas grand chose, désolé !
  17. Un article plein de préjugés sur Montréal et le comparant au New York des années 70. http://www.theglobeandmail.com/news/national/quebec/is-montreal-headed-toward-a-new-york-style-crisis/article1643336/ J'ai rarement vu un article aussi sévère envers une ville.... Montréal n'a peut-être pas la santé financière de New York mais ce n'est pas Beirut non plus... Mais dans le fond, pourquoi accorder autant d'importance a un tel torchon?? Pire journal anti-francophone du pays... Le National Post suit de pas trop loin....
  18. Trop d'employés incompétents, paresseux et superflus s'accrochent à leur sécurité d'emploi dans le secteur public, estime l'Action démocratique du Québec. Après avoir donné le ton la veille, le chef de l'ADQ Gérard Deltell est revenu à la charge, mardi, dénonçant la trop grande protection syndicale dont profitent, à son avis, les employés de l'État. Selon lui, les gestionnaires doivent bénéficier de plus de souplesse afin de pouvoir congédier les employés improductifs et éliminer les fonctions obsolètes. À l'entrée d'un caucus à l'Assemblée nationale, le député de Beauce-Nord, Janvier Grondin, a estimé de son côté que le Québec comptait beaucoup trop de fonctionnaires. Il est anormal, a-t-il dit, que la fonction publique québécoise soit 30% plus importante que celle de l'Ontario, une province pourtant beaucoup plus populeuse que le Québec. Vu l'état des finances publiques, il est impératif que le Québec remette en question les «vaches sacrées» du modèle québécois, comme celle de la sécurité d'emploi dans le secteur public, a pour sa part affirmé le député François Bonnardel. Les syndicats et leurs membres ne sont pas à l'abri des efforts que le Québec devra faire pour rétablir l'équilibre budgétaire, a-t-il fait valoir. En ce sens, les conventions collectives dans le secteur public ne doivent plus servir à maintenir en fonction des employés «paresseux» ou «assis sur leurs lauriers», a soutenu M. Bonnardel. ----------- Bravo de tenir ce discours, si seulement ils pouvaient le mettre en pratique, ca serait encore mieux :applause:
  19. Les Québécois veulent à tout prix que leur gouvernement fasse du ménage dans sa propre maison avant de fouiller dans leurs poches. C'est ce qui ressort clairement d'un sondage Léger Marketing réalisé au début janvier pour le compte du réseau TVA et du Journal de Montréal. Pas moins de 57 % des Québécois se disent prêts à couper dans les services publics pour ne pas voir leur fardeau fiscal augmenter de nouveau, un taux sans précédent en 20 ans de sondages menés par Léger Marketing. Le message ne peut pas être plus clair alors que s'amorce aujourd'hui le forum économique présidé par le premier ministre Jean Charest, à Lévis «Les gens nous disent : c'est fini, on en a assez. C'est l'heure des choix», résume Jean-Marc Léger. Ce taux serait encore plus élevé, analyse Christian Bourque, vice-président de la recherche chez Léger Marketing, si le sondage n'incluait pas obligatoirement une juste proportion de personnes âgées et d'autres personnes qui ne travaillent pas ou ne paient pas d'impôts. Ces personnes-là, bien évidemment, ne veulent pas couper dans des services qui ne leur coûtent rien de toute façon. Trop de gaspillage Les Québécois estiment que le gouvernement est mal administré, qu'il y a trop de gaspillage (84 %) pour qu'il se permette de venir fouiller impunément dans leurs poches pour régler ses problèmes. Autrement dit, les Québécois pensent que le gouvernement a suffisamment d'argent, mais qu'il est caché un peu partout dans son fouillis et que, pour le retrouver, les politiciens doivent faire du ménage. Les gens sont inquiets Les Québécois ne connaissent peut-être pas les chiffres par coeur, comme notre quiz publié hier a pu le démontrer (à peine 12 % des gens sondés ont obtenu la note de passage à ce test de 10 questions sur les finances publiques), mais cela ne veut pas dire qu'ils n'ont pas le portrait d'en-semble. Selon 54 % des personnes sondées, les finances publiques sont dans un état précaire et de plus, 20 % pensent que nous courons à la catastrophe. C'est donc 74 % des Québécois qui sont inquiets. Des coupures intelligentes Les Québécois ne veulent pas pour autant couper partout et n'importe comment. Ils veulent que le gouver nement se concentre sur ses vraies fonctions de base : l'éducation et la santé, par exemple. Ils souhaitent plutôt qu'il se retire des secteurs où il s'est lentement immiscé, qu'il laisse tomber des structures qu'ils jugent inutiles. Dans la même veine, ils veulent qu'on valorise les employés de l'État qui jouent un rôle concret. En fait, 76 % des Québécois estiment que le gouvernement est trouvé trop gros et qu'il faut réduire significativement la taille de l'État. DEMAIN : 10 SOLUTIONS - Si le gouvernement cherche des milliards pour équilibrer son budget, ce n'est pas parce que les Québécois ne sont pas d'accord pour remettre en question les pseudo vaches sacrées. Demain, les Québécois proposent au moins dix solutions à leurs élus. * * * Personnellement, êtes-vous prêt(e) à faire des sacrifices financiers afin d'aider à améliorer l'état des finances publiques du Québec? En vous basant sur vos propres perceptions, comment qualifieriezvous l'état des finances publiques du Québec ? 11 % : Ne sait pas / Refus 47 % : Non, ce n'est pas à moi de payer pour ça 43 % : Oui, nous devons tous faire des efforts et se serrer la ceinture 54 %: Elles sont dans un état précaire 20 %: Nous courons à la catastrophe 1%: Elles sont excellentes 21%: Elles sont bonnes malgré quelques difficultés passagères liées à la crise Les experts prévoient qu'il sera impossible de maintenir les services publics avec les revenus actuels de l'État. En conséquence, préférez-vous : 28 %: PAYER DAVANTAGE pour les services publics et CONSERVER le niveau de service actuel 42 % : PAYER LE MÊME MONTANT, mais subir une DIMINUTION des services publics 15 % : PAYER MOINS que maintenant et subir une DIMINUTION MAJEURE des services publics 15 % : Ne sait pas / Refus
  20. Gilbert Rozon : « Il y a trop de roitelets à Montréal » www.cyberpresse.ca vendredi 8 mai 2009 Pour Gilbert Rozon, la structure de gouvernance à Montréal est trop lourde. Pour la changer, « il faudrait que des gens influents fassent front commun pour revendiquer des changements à Québec ». Photo : David Boily, La Presse Sara Champagne - Gilbert Rozon, grand manitou du Festival Juste pour rire, qui ne s’est pas gêné dans le passé pour critiquer le manque de leadership à Montréal, estime qu’il faudrait « couper dans le nombre d’arrondissements et recentraliser les pouvoirs à Montréal, comme le déneigement ou la collecte des ordures ». « Il y a trop de petits royaumes et trop de roitelets à Montréal, a déploré M. Rozon, lors d’un entretien avec La Presse. La structure de gouvernance est trop lourde. Mais pour y parvenir, il faudrait que des gens influents fassent front commun pour revendiquer des changements à Québec. Sincèrement, je ne voudrais pas être dans les souliers du maire Gérald Tremblay. Je le crois sincère dans ses démarches. » L’homme d’affaires, tout comme Normand Legault, promoteur du Grand Prix du Canada, ont parlé en ce sens, hier, dans le cadre du congrès de l’Association des économistes du Québec (ASDEQ), qui se termine aujourd’hui, au Hilton du centre-ville. Ni l’un ni l’autre n’ont l’intention de briguer la mairie de la métropole aux prochaines élections. Mais à travers leur loupe d’hommes d’affaires, ils s’entendent pour dire qu’il faut agir pour rendre la ville plus fonctionnelle. « Je ne suis pas un expert en la matière, mais il me semble que je couperais dans le nombre d’élus. Il y en a trop », a dit Normand Legault, faisant référence aux 105 élus de la Ville de Montréal. Quant à un éventuel retour du Grand Prix à Montréal, il ne dit pas non à l’idée d’en être de nouveau le promoteur, mais il ne dit pas oui non plus. Cela dépendra des conditions, a-t-il précisé. « J’ai parlé à quelques reprises à Bernie Ecclestone, au cours des dernières semaines, il connaît mon point de vue. Je pense que Montréal a sa place dans le calendrier du championnat. » Mettre à profit le bilinguisme Sur le thème « le bon » et le « moins bon » de Montréal, les deux hommes ont animé un débat au cours du congrès, en après-midi, qui devait accueillir en soirée le maire Gérald Tremblay, pour prononcer un discours. Les autres spécialistes invités, dont Richard Florida, économiste américain de renom, qui estime que le moteur d’une ville passe par sa « force créative », ont beaucoup parlé de l’importance de mettre à profit le bilinguisme à Montréal. « Montréal se positionne très bien en termes de main-d’oeuvre créative selon diverses études, a dit M. Florida, après son discours sur la créativité. Elle doit maintenant capitaliser sur son bilinguisme. Et il faut voir Montréal non pas comme une ville, mais comme un ensemble, un tout avec les villes de Québec, d’Ottawa et de Toronto. Pour y parvenir, il est donc temps de mettre de l’avant un service de train à grande vitesse. » Bilinguisme, créativité, importance de la présence de l’élite universitaire à Montréal, le chercheur Richard Shearmur, de l’INRS Urbanisation, Culture et Société, a pour sa part ramené les participants au congrès « sur le plancher des vaches », pour reprendre son expression, en soulignant qu’il n’y a pas qu’à Montréal que « les ponts tombent ». « Vous remarquerez que ceux qui disent que les universités sont importantes sont des universitaires, a-t-il ironisé. Je pense que la croissance économique d’une ville ne passe pas que par un bon produit intérieur brut (PIB). Si on veut une bonne croissance, il faut investir dans un bon système de garderie et d’études primaires et secondaires. Il faut aussi un bon système de transports en commun pour ceux qui gagnent leur vie en préparant nos sandwichs. » M. Shearmur, de même que Daniel Gill, professeur d’urbanisme émérite de l’Université de Montréal, sont d’accord pour dire qu’une bonne façon de désengorger les autoroutes passerait aussi par une réorganisation des horaires de travail à Montréal. « Pourquoi nos cours universitaires commencent à 9h le matin ? a demandé M. Gill. Je ne sais pas pour vous, mais je peux très bien commencer ma journée à 10h et j’aurai accompli le même travail à la fin de la journée. » COURRIEL Pour joindre notre journaliste : sara.champagne@lapresse.ca
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