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  1. L'immense immeuble vacant depuis des années encerclé en rouge viens d'être démoli... Je passe par là souvent, et je trouvais ça désolant qu'un immense lot reste sous-utilisé quand il y a une gare de chemin de fer à côté (TOD?????). Finalement l'immeuble est maintenant rasé, quelqu'un a entendu parlé d'un projet là??
  2. Le chantier de la 13 reconfiguréMise à jour le mercredi 7 mai 2008, 16 h 11 . Transport Québec annonce une modification de la configuration du chantier de construction sur l'autoroute 13 sud entre le pont Louis-Brisson et l'autoroute 40. La nouvelle configuration du chantier a pour but de soulager les importants bouchons de circulation que provoquent ces travaux aux heures de pointe à Laval et sur la ceinture nord de Montréal. À partir de lundi matin, les automobilistes qui circulent sur l'autoroute 13 vers le sud disposeront d'une voie supplémentaire dans la sortie qui conduit à l'autoroute 40. L'ajout de cette voie devrait permettre aux automobilistes de quitter plus facilement et plus rapidement l'autoroute 13 selon le porte-parole de Transport Québec, Mario St-Pierre. Cette première phase des travaux entrepris sur l'autoroute 13 doit se poursuivre au moins jusqu'au mois d'août. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/05/07/007-chantier-13-configuration.shtml ---------------------------------------------------------------------- À cause d'une voie de retranchée sur la 13, c'est le bordel complet dans les rues résidentielles à Laval! C'est complètement fou ces derniers temps le traffic. La file d'auto pour rentrer sur la 13 se rend presque devant chez moi Les policiers en profitent pour coller des contraventions à la pelle parceque des gens sont tellement désespérés qu'ils empruntent le stationnement du mega centre ste-dorothée à la place de la voie de service saturée, vraiment un attrape nigaud. d'autres gens décident d'aller pour le pont lachapelle et la encore la file est énorme, plus au nord que st-martin, et la file déborde sur samson encore. Les gens essaient pleins de petites rues résidentielles pour gagner quelques secondes ici et là... des manoeuvres illégales, des virages là ou il ne faut pas, etc etc etc. Pour donner un ordre de grandeur, le temps de parcours pour aller au métro momontrency en auto double de 15 à 35 minutes pour moi. c'est fou ce que ça peut faire juste enlever une voie... et ça dans une ville faite pour l'automobile. Ça fait me rire les gens qui lancent des idées de fou sur ce forum à propos des autoroutes quand ils n'ont jamais vu de leur propres yeux l'impact d'une autoroute sur les quartiers résidentiels, ou pire quand ils n'ont jamais pris le volant:banghead:
  3. LA RETRAITE VOUS VA SI BIEN ! Piscine, plage intérieure, salle d’exercice, allées de quilles, cinéma, salle à manger, loisirs intérieurs et extérieurs… Quand tout est sur place, vous avez le temps de vous adonner à toutes vos envies. Alors, devenez propriétaire ou locataire au Boréa, en toute liberté ! http://www.legroupemaurice.com/fr/projets-en-developpement.html
  4. Les nouvelles du jour - La Presse+ NOUVEL OUTIL POUR SUIVRE LES AUTOBUS PLUS VITE QUE LA STM ELLE-MÊME JEAN-FRANÇOIS CODÈRE LA PRESSE La jeune entreprise montréalaise TransitApp lance aujourd’hui une mise à jour qui permettra aux usagers de la Société de transport de Montréal de voir en temps réel la position de certains autobus, un concept sur lequel travaille elle-même la STM depuis quatre ans. TransitApp est une application mobile offerte sur iOS et Android qui permet à ses utilisateurs de prévoir des trajets en transports en commun. Elle se décrit notamment comme « la plus importante application dédiée aux transports en commun aux États-Unis » et elle est fonctionnelle dans plus de 125 régions, de Chicoutimi à Nairobi. Avec sa nouvelle version lancée aujourd’hui, elle veut miser sur les « plusieurs dizaines de milliers d’utilisateurs quotidiens » qui lui font confiance à Montréal pour fournir des données que la STM peine toujours à récolter et rendre publiques. Environ 85 % des sociétés de transport dont Transit affiche les renseignements lui offrent des données en temps réel sur la position de leurs équipements. Ce n’est toutefois pas le cas de la STM, qui a pourtant signé il y a quatre ans une entente avec une firme allemande pour y parvenir. Le système en question, baptisé iBus, est présentement installé dans certains autobus, mais ses données ne sont pas encore partagées. Pour parvenir à ses fins, TransitApp mise donc plutôt sur ses propres utilisateurs. Concrètement, TransitApp a lancé en septembre dernier une nouvelle fonctionnalité baptisée « Go ». Quand elle est activée pour un trajet, celle-ci suit la position de l’utilisateur en tout temps et peut, par exemple, lui signifier que son arrêt approche. Mais dès sa conception, Go avait aussi pour objectif de donner une raison aux utilisateurs de TransitApp d’accorder à l’application le droit d’accéder à leurs coordonnées GPS. Trois mois plus tard, l’entreprise revient donc à la charge avec une autre nouveauté basée sur les données récoltées par Go. À compter d’aujourd’hui, la position de tous les autobus à bord duquel se trouve un utilisateur de Transit ayant activé le mode « Go » sera affichée en temps réel dans l’application. Selon Samuel Vermette, cofondateur et président de TransitApp, dans son état actuel, le mode Go est activé par au moins un utilisateur dans 5 % à 20 % des trajets d’autobus montréalais. La nouvelle mise à jour implante quelques nouveautés pour convaincre davantage d’utilisateurs d’activer Go et ainsi rendre la position de leur autobus accessible en temps réel. « Quand tu vas activer Go, on va te dire combien de personnes tu aides, explique M. Vermette. Même chose quand ton trajet est terminé, tu vas pouvoir savoir combien de personnes tu as aidées à avoir accès à des coordonnées en temps réel. Ça ajoute un effet d’altruisme et, on espère, un effet d’entraînement. » Ce service est aussi lancé aujourd’hui à Victoria, en Colombie-Britannique, où il n’y a pas non plus de service en temps réel « officiel ». Il sera éventuellement étendu à toutes les régions desservies par Transit. « La plupart des services en temps réel sont mis à jour chaque minute ou aux trois minutes, donc notre fonctionnalité basée sur les utilisateurs va améliorer la précision même dans ces marchés », indique M. Vermette. Transit a annoncé en septembre dernier qu’elle avait reçu un financement totalisant 2,4 millions US provenant de deux nouveaux investisseurs, les fonds américains Accel et Accomplice, et de ses premiers investisseurs Real Ventures et BDC Capital.
  5. Sur le site de Minicucci architecte. Aucun détail. Un fil peut quand même permettre de faire un suivi. EDIT : Pourquoi étage s'écrit "étages"?
  6. LE NEZ COLLÉ SUR LES CHANTIERS… Édition du 5 juin 2016, FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE On a le nez collé sur les grilles de chantier depuis, quoi ? Le tournant du millénaire ? Ça fait une quinzaine d’années qu’on se plaint du barda et du bordel, qu’on se désole des cônes et du trafic, qu’on peste contre les détours et la poussière. Il y a tellement de chantiers à Montréal qu’à la seconde où l’un disparaît, on en trouve 10 autres contre lesquels se plaindre, se désoler, pester… Du coup, on ne voit que ça. Et on perd de vue une chose toute bête : chaque chantier est un projet en devenir. Fou de même ! Chaque chantier qui nous a dérangés depuis 2000 est devenu une construction, un édifice, un gratte-ciel, un équipement sportif, une bibliothèque, une infrastructure nouvelle, un aménagement urbain, une piste cyclable… On se croit encore à l’ère de l’immobilisme, alors que la cadence des chantiers nous prouve très exactement le contraire. Comme si on voyait le verre au tiers vide plutôt qu’aux deux tiers plein. On voit les pancartes « À louer », mais pas les artères qui ont réussi à s’adapter à la nouvelle réalité. Comme si Masson, Beaubien et Fleury étaient dans notre angle mort. On se désole du taux de chômage, sans voir l’attrait qu’a retrouvé la métropole auprès des jeunes, des familles et des travailleurs de la nouvelle économie. Comme si le Mile End, Griffintown et le Quartier des spectacles n’existaient pas. On remarque tous les détours, mais pas l’incroyable dynamisme qui se cache derrière : le CHUM, Bonaventure, Turcot, Champlain. Comme si on tenait pour acquis ce qui se fait… dès que ça se fait. Prenez l’exemple des gratte-ciel. Pendant 22 longues années, aucune tour ne s’est construite au centre-ville. Aucune. Zéro. Nada. On a érigé la magnifique Tour IBM Marathon en 1992, puis… plus rien jusqu’en 2014 ! Or, avez-vous entendu beaucoup de monde se féliciter de cette renaissance du centre-ville, devenu l’un des plus habités du continent ? Pas moi. Mais des critiques contre les chantiers, par contre… *** Vous me trouvez jovialiste ? Je m’en doutais. Je suis donc retourné lire les textes que j’ai signés il y a un peu plus de 15 ans, quand j’étais journaliste municipal, pour voir si, comme de fait, le Montréal d’aujourd’hui est bien mieux que le Montréal d’alors. Pas sorcier, j’ai eu l’impression de lire un journal vieux de 100 ans ! Rappelez-vous cette époque où le 11 septembre était une date comme une autre. Les Expos perdaient au Stade. L’énigmatique Pierre Bourque était maire. La démocratie municipale était une abstraction. Et les fusions municipales étaient l’unique projet d’avenir… Montréal, on l’oublie, était alors un champ de ruines. J’exagère à peine. Le centre-ville avait l’air bombardé, et pas à cause des nids-de-poule, parce qu’il y avait un nombre incroyable de terrains vagues et de stationnements sauvages. Il y avait tellement d’espaces vides, en fait, qu’on pensait construire sans problème un stade de baseball en plein quartier des affaires ! À côté, on espérait le Quartier international sans même s’imaginer qu’une aussi belle réussite était possible. L’idée d’un Quartier des spectacles n’existait pas, une poignée de fous se contentait de rêver à un « Quartier des théâtres ». Juste au nord, telle une forteresse de béton, l’horrible échangeur routier au coin des avenues du Parc et des Pins bloquait la vue et l’accès au mont Royal, qui n’était d’ailleurs toujours pas protégé. Au contraire, même… Pas de Grande Bibliothèque pour rapiécer le Quartier latin, à l’est. Pas d’agrandissement du Palais des congrès, ni de recouvrement d’autoroute. Et pas de CHUM non plus, qu’on prévoyait plutôt construire en plein quartier résidentiel, dans la Petite-Patrie. Oui, oui. Au sud du centre-ville, guère mieux… Le Vieux-Montréal était à ce point abandonné que le gouvernement avait mis sur pied un programme généreux en subventions pour attirer des hôtels. À un jet de pierre, le Vieux-Port se cherchait. Il n’y avait pas encore de Centre des sciences. Pas de condos dans les entrepôts frigorifiques. Pas de véritable vision, en fait, sinon celle de permettre aux promoteurs de faire n’importe quoi, n’importe où. Un aquarium Ripley’s ? Une maison de l’OSM sur le quai Bickerdike ? Un « technodôme » à la Disney World ? Ou, tant qu’à y être, le siège social de l’ONU ? Autant d’idées qui ont été détaillées et même présentées. Oui, oui… Vers l’ouest, la Cité du multimédia venait tout juste d’être annoncée. Pas aménagée, juste annoncée, comme un autre de ces projets auxquels on ne croit pas tant qu’on ne le voit pas. On réfléchissait à une cité du commerce électronique un peu plus loin. On envisageait d’aménager des cinémas dans l’ancien Forum vide. Et le quartier Griffintown ? Aussi inconnu que son nom. Oui, oui. *** Pour apprécier le chemin parcouru, c’est bien connu, il faut se rappeler d’où on part. D’une ville morose, donc, où le problème était justement l’absence de chantiers. Bien sûr, tout ne s’est pas métamorphosé comme par magie. On n’a pas réussi à tout faire ce qu’on aurait dû faire. Et bien des projets ont été abandonnés (la « modernisation » de la rue Notre-Dame Est), balayés (le prolongement de la ligne jaune, des deux côtés) ou se sont enrayés (le rond-point Dorval, dont on parlait déjà en 2000). N’empêche que Montréal est aujourd’hui une ville autrement plus dynamique que la métropole qu’elle était, malgré son incapacité à améliorer la mobilité. C’est une ville que je préfère nettement à sa version d’il y a 15 ans, malgré ses cônes orange. C’est un milieu de vie infiniment plus grouillant qu’au tournant du millénaire, malgré ses défauts, ses laideurs et ses errements. On peut bien rouspéter en empruntant tous ces détours continuellement, mais prenons quelques minutes lorsque nous sommes coincés dans le trafic pour rêver à ce qui s’en vient. Cet échangeur Turcot qui s’annonce plus fluide et ancré dans les quartiers qu’il traverse. Ce CHUM noir autrement plus réussi que son pendant anglophone. Cette autoroute Bonaventure qui disparaîtra au profit d’une majestueuse entrée de ville. Et ce futur pont Champlain, avec ses haubans élancés, à la fois sobre et élégant. Donc oui, quand on se regarde, quand on s’attarde à tout ce qui va tout croche aujourd’hui, on se désole. Mais quand on se compare, quand on regarde le chemin parcouru et celui qui s’en vient, on se console. À condition, bien sûr, de se décoller le nez des grilles de chantier. http://plus.lapresse.ca/screens/df6be48e-9f7e-48a7-b08b-6487909e4368%7C_0.html
  7. « IMAGINÉ AU QUÉBEC » LP MAURICE Je me rappelle encore quand j’ai déballé mon premier iPhone. C’était en 2007 et j’habitais à l’époque aux États-Unis. J’ai eu accès au iPhone 1, un produit qui allait changer ma vie (et le monde entier), avant même qu’il ne soit accessible au Canada ou ailleurs. Je me rappelle encore ce qui m’avait frappé le plus en ouvrant la boîte, soit une courte phrase très visible sur le côté de la boîte : « Designed by Apple in California ». Même si l’iPhone est assemblé et fabriqué majoritairement en Asie, Apple avait jugé bon de rappeler à ses utilisateurs que ce produit avait été imaginé par son équipe de talentueux ingénieurs en Californie. Récemment, j’ai vu une publicité imprimée pour le service Téo Taxi, une nouvelle entreprise pilotée par l’entrepreneur en série Alexandre Taillefer. L’annonce affiche en gros caractères le slogan suivant : « Imaginé et créé par des gens d’ici ». En plus d’une photo d’un taxi blanc et vert, on y lit seulement une autre phrase en plus petits caractères : « Imaginer, explorer, douter… jusqu’à l’épuisement. Recommencer, passionnément, intensément, jusqu’à devenir réel. » Wow ! Comme Apple, Téo a jugé bon de mettre de l’avant fièrement son processus créatif et son caractère local. Pourquoi nous, les entrepreneurs d’ici, ne ferions-nous pas de même plus souvent ? Dans le passé, on a souvent parlé du « fabriqué au Québec ». Il y a même eu quelques efforts déployés afin de créer des programmes pour favoriser l’achat de produits locaux faits au Québec. Mais l’économie a changé. Avec la mondialisation, nous sommes entrés davantage dans une économie de savoir que de production. Et si nous parlions plutôt de « imaginé au Québec » ? FIERTÉ En me baladant à San Francisco récemment, j’ai aperçu dans une vitrine le symbole d’arbre vert de la start-up montréalaise Breather, qui offre des espaces de travail sur demande. Fierté immédiate. En conduisant sur l’autoroute dans Silicon Valley, j’ai vu une affiche pour le spectacle québécois Cavalia. Fierté. Quand j’étais à Toronto, j’ai vu les vélos de ville style BIXI exploités par PBSC Urban Solutions établie à Longueuil. Fierté. Un préposé d’une boutique indépendante à New York m’a servi avec une tablette propulsée par Lightspeed, une entreprise montréalaise de commerce électronique. À Los Angeles, il y a le nouveau terminal d’aéroport LAX animé par la magie de Moment Factory. Toutes ces expériences ont été imaginées au Québec. Ces marques laissent savoir au monde que nous sommes là, nous innovons, et que nos produits sont de classe mondiale. Quand j’ai démarré le site Busbud avec mes cofondateurs en 2011, nous avons fièrement apposé l’inscription « Built in Montreal » au bas de notre page d’accueil. Presque cinq ans plus tard, c’est pratiquement la seule partie de notre site web qui n’a pas changé. Aujourd’hui, des millions de voyageurs de plus de 50 pays qui utilisent notre site chaque mois pour réserver leurs billets d’autocars voient cette mention sur chaque page. Ils voient un produit imaginé au Québec qui a une portée mondiale. Nous gardons cette inscription avec fierté à ce jour. ARGUMENTS ÉCONOMIQUES C’est une question de fierté, mais c’est aussi une question économique. Le Québec est capable de bâtir des entreprises qui sont des modèles d’innovation, qui peuvent à la fois servir le marché québécois et se démarquer à l’international. Celles-ci créent des emplois ici et, à long terme, une plus grande fraction de leurs revenus, taxes et impôts restent au Québec, vis-à-vis des entreprises étrangères. C’est bon pour notre économie. Ces entreprises peuvent s’appuyer sur un avantage local pour se différencier. Par exemple, une infrastructure d’hydroélectricité bien développée au Québec peut aider Téo pour l’électrification de ses transports. Ces entreprises peuvent aussi mieux servir les besoins spécifiques de la clientèle locale, possiblement via des partenaires locaux. Le modèle d’affaires de Téo innove en apportant notamment une valeur sociale et écologique. Avec le temps, certaines entreprises deviendront même capables de sainement concurrencer les géants mondiaux. Continuons de miser sur notre créativité pour développer des concepts originaux. En tant que consommateurs, supportons ensemble ces innovations « imaginées au Québec » en votant avec notre portefeuille quand il est logique de le faire. Entrepreneurs, affichons fièrement nos couleurs. Ici, et partout au monde. http://plus.lapresse.ca/screens/d1ab8908-e9a9-4ccc-8eb9-75b1a3c6a2b4%7C_0.html
  8. Ce projet de 96 condos a été complété en 2013 et a remplacé un IGA et son stationnement. Peu importe ce qu'on pense du look de ce projet, c'est quand même une belle densification! Le rendu initial Le projet complété (photo: Royal Lepage) Photo : Via Capitale Voici le terrain auparavant: Le terrain maintenant:
  9. http://plus.lapresse.ca/screens/a34a7529-de16-463b-9e37-a7992b141ff7%7CAtgiPrQOnG7o.html MONTRÉAL VOTE « DU BON BORD »… FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal pouvait difficilement sortir perdant de la soirée d’hier. Il suffisait que Stephen Harper soit renversé, et voilà ! La métropole était aussitôt en meilleure posture qu’elle ne l’avait été ces neuf dernières années. Mais de là à penser qu’elle serait aussi bien placée, ce matin ? Pas grand-monde ne l’espérait, il y a quelques semaines encore. Quelques jours, peut-être même. Carrément absent du Conseil des ministres pendant les deux derniers mandats conservateurs, Montréal a vu l’un des siens, Justin Trudeau, accéder au poste le plus puissant du pays hier soir. Et avec lui, un grand nombre de députés rouges qui ont le potentiel d’être nommés au Saint des Saints, autant dans l’île que tout autour dans le Grand Montréal. Après avoir voté du « mauvais bord » au cours des trois dernières élections, la métropole se retrouve à nouveau du « bon bord » ce matin. Du bord du parti au pouvoir. N’ayons pas peur de reprendre les mots du maire Coderre : « Montréal is back ! » Et ce n’est pas de l’enflure. Ayant vu la bête de l’intérieur, l’ancien ministre libéral Jean Lapierre m’a dit il y a quelques semaines à quel point l’origine des députés qui siègent au cabinet était cruciale, mais aussi celle de leur chef. « Quand le premier ministre vient de chez vous, m’a-t-il confié, là, t’es vraiment en affaires ! » Tous les députés et ministres redoublent d’attention et de prudence quand ils abordent un dossier qui touche la ville du PM. Tous évitent de tirer le tapis sous les pieds de cette ville. Et tous opinent du bonnet quand le gouvernement dépense pour cette même ville. « T’as juste à aller faire un tour à Shawinigan pour t’en rendre compte, m’a dit Jean Lapierre. Penses-tu qu’il y aurait tout ce qu’il y a là bas sans Jean Chrétien ? Ben voilà… » Le retour fort probable de Montréal au Conseil des ministres est, lui aussi, une très bonne nouvelle. Il faut se rappeler que les conservateurs n’ont élu aucun député montréalais lors de leurs trois victoires électorales. Aucun. En 2006, l’île était rouge, avec un peu de bleu pâle à l’est. Mais le gouvernement était bleu. En 2008, sensiblement la même chose. Et en 2011, la vague orange a lessivé l’île, pendant que les bleus s’accrochaient au pouvoir à Ottawa. Résultat : aucun Montréalais n’a pu défendre les dossiers montréalais au Conseil des ministres pendant toutes ces années conservatrices. Sinon pendant un court intermède de deux ans, de 2006 à 2008, alors que le sénateur Michael Fortier avait été nommé ministre. Or « c’est toujours une plus-value d’avoir quelqu’un de la place pour s’occuper des enjeux de la place », m’a confié le maire Coderre il y a quelques semaines. Toujours mieux d’avoir un interlocuteur qui connaît la ville, qui maîtrise ses codes, qui possède un vaste réseau… que d’avoir un ministre qui ne fait que passer en chemin vers le Saguenay. Rappelons-nous la force de Montréal au sein du cabinet Mulroney dans les années 80 alors que se sont décidés les importants investissements fédéraux du 350e anni-versaire, comme le Vieux-Port. Rappelons-nous l’impact qu’a eu pour la ville de Québec un ministre influent comme Jean Marchand, cette « colombe » de Pierre Elliott Trudeau sans qui la capitale n’aurait probablement pas profité de tous ces investissements en infrastructures. Quand on sait l’influence politique qu’ont les régions, au Québec comme au Canada, on comprend l’importance pour les grandes villes d’être représentées par des députés des grandes villes. Des députés qui ont la sensibilité et les connaissances nécessaires pour expliquer la complexité et l’importance des dossiers urbains à la grande table. Habituée d’être bien représentée au cabinet avant l’élection des conservateurs, la métropole reprend enfin la place laissée vacante depuis trop longtemps. Elle en a bien besoin. sent via Tapatalk
  10. http://journalmetro.com/actualites/montreal/803754/du-pain-a-domicile-livre-a-cheval/ 05/07/2015 Mise à jour : 5 juillet 2015 | 22:28 Du pain livré à domicile… à cheval Par Mathias Marchal Métro Mathias Marchal/Métro L’initiative de la Run de pain dans le Sud-Ouest vise entre autres à promouvoir la réhabilitation du cheval en milieu urbain. L’arrondissement du Sud-Ouest offre (avec succès) la livraison du pain à cheval, histoire de souligner les 350 ans du cheval canadien. L’initiative du musée La Maison Saint-Gabriel sera répétée tous les samedi matin de l’été dans le quartier Pointe-Saint-Charles. Aux trois quarts de la première Run de pain, les deux tiers des 150 miches s’étaient envolées comme des petits pains. «Il y a encore 150 ans, on trouvait une petite écurie dans chaque ruelle de Montréal. Le cheval servait à tout: à livrer la glace, car il n’y avait pas encore de frigidaire, au livreur de lait, à l’aiguiseur de couteaux, pour l’agriculture et même le déneigement», explique Josée Lapointe, cochère et propriétaire des Écuries de Montréal. «Dans les grandes villes comme New York, Londres et Paris, où le ramassage du crottin n’était pas immédiat, les enfants pouvaient se faire quelques sous en balayant le chemin devant les dames souhaitant traverser la rue sans salir leur robe», renchérit Éric Michaud, animateur historique et boulanger estival. Le cheval besogneux a graduellement disparu avec l’arrivée de l’automobile, et la «run de pain» est devenue une relique à partir des années 1950. En France toutefois, 400 municipalités ont déjà entamé le retour du cheval en ville, que ce soit pour ramasser les poubelles ou pour remplacer les véhicules des employés municipaux dans les parcs. Au Mont-Saint-Michel, une des navettes qui relient les stationnements du site principal carbure au foin et aux carottes. Dans l’ouvrage Le cheval au service de la ville (Éditions Écosociété), un fonctionnaire de la ville de Trouville, Olivier Linot, raconte l’expérience menée depuis 14 ans par cette petite ville française, qui compte désormais cinq chevaux, afin de démystifier son côté folklorique. Depuis l’introduction du cheval en ville, la collecte du recyclage s’est multipliée, les cols bleus sentent leur travail valorisé, sans parler des bénéfices financiers et écologiques, explique-t-il. «Une maman m’a dit que la seule possibilité pour que son fils aille se coucher le soir, c’était de le menacer de le conduire à l’école en auto le lendemain [plutôt qu’en carriole]», illustre M. Linot. Mais Montréal hésite encore. Si le conseiller municipal rêve d’une grande écurie municipale à saveur éducative, qui viendrait aussi fournir les cols bleus en chevaux pour les épauler dans leurs travaux dans les grands parcs, il fait presque cavalier seul. «C’est vrai que ce serait intéressant, mais quand on y regarde de près, c’est plutôt complexe à concrétiser», indique Benoit Dorais, maire de l’arrondissement du Sud-Ouest. 62 000 Pour sauver le paddock du Horse Palace, une fondation a été mise en place. La campagne de sociofinancement qui a été lancée s’était fixé 45 000$ comme objectif. Ce sont finalement 62 000$ qui ont été récoltés. Ce dernier souligne néanmoins que la ville a contribué en 2013 au projet de sauvegarde du Horse Palace, l’une des trois écuries montréalaises, cerné par les nouveaux condos en construction. «On a racheté le terrain adjacent pour le zoner parc. Maintenant, quand on se promène sur la rue Ottawa, on voit d’ailleurs toujours au moins deux ou trois propriétaires de condos qui regardent de leur balcon les chevaux s’ébrouer», ajoute le maire de l’arrondissement. «Le cheval est à Montréal pour y rester», conclut-il.
  11. Je n'ai pas trouvé de fil existant, et ça semble quand même remplir un gros trou sur Ste-Catherine. La pancarte ne me semble pas récente par contre.
  12. Un article du week-end dans La Presse titre: Le Québec à la traîne, Montréal près de la tête Très intéressant. Je l'ai lu en version papier. Malheureusement pas dispo en ligne, sauf pour La Presse +. Si qq y a accès... On y dit que si le Québec en tant que Province fait pâle figure en terme d'investissements étrangers, Montréal par contre est parmi les meilleures en Amérique. Donc quand on investit au Qc, c'est à Mtl, et en quantité importante, selon le document. Question de nuancer les propos de certains...... http://lapresse.newspaperdirect.com/epaper/viewer.aspx
  13. Moose Knuckles : quand la francophobie a belle allure le 25 février 2014 par Pascal Léveillé Lien: http://www.lerepublique.com/1129573/moose-knuckles-quand-la-francophobie-belle-allure/ Difficile d’aller plus loin dans le cliché et dans la provoc’. La compagnie de vêtement Moose Knuckles se paye en ce moment toute une campagne de pub. On se croirait dans une version sexy-bucheron du sketch de RBO, le 4e Reich, où les francophones prenaient la place des nazis. Et la pub tourne autour d’un FLQ transformé pour les besoins en FUQ, difficile de ne pas y voir un pied de nez… Le scénario se déroule ainsi. Le FUQ, la Fédération unilatérale du Québec, une milice paramilitaire qui achète des armes illégalement, entraine ses troupes pour attaquer l’Alberta et s’emparer de son pétrole. Voilà pour la provoc’, maintenant le cliché. Le patron de la boîte (et concepteur de la campagne publicitaire), Will Poho, va défendre à TVA son concept en anglais seulement. Le site qui est consacré à cette campagne est en anglais seulement. Et le site de la compagnie aussi d’ailleurs. Pour ceux que ça intéresse, c’est une compagnie montréalaise. Ce n’est peut-être pas francophobe en soi, mais ça le laisse très bien sous-entendre. Et le sous-entendu se transforme en feu d’artifice quand on y ajoute la teneur de la pub où la violence est une marque distinctive du francophone militant. [...] What the FUQ Quebec wants? J’en arrive à la conclusion qu’il vise le marché Canadien-anglais où sa marque pourra carburer aussi à la sympathie, ce qui devrait être un plus à sa reconnaissance. Le « Quebec-bashing », c’est vendeur! Et même le Québec, dans le fond. Qui ça dérange, à part quelques nationaleux poussiéreux? Mais bon, j’allais oublier la gaugauche… Sans hésiter, il ajoute que, selon lui, le mouvement des carrés rouges n’était pas loin de se transformer en une sorte de F.U.Q, l’armée créée pour cette publicité. Décidément, Will Poho voulait se mettre beaucoup de monde à dos. Et quand je vous parlais de vraisemblance, voilà l’évidence. Qu’est-ce que le Québec veut? Pas les vêtements de Moose Knuckles, j’espère… Ajout : Un ami a constaté comme moi que toute la communication de la compagnie se fait exclusivement en anglais et il a décidé d’appeler aux bureaux de Moose Knuckles. La personne qui lui a répondu a dit : « Sorry, I don’t speak french. » Et 15 minutes après son appel, un statut en français est apparu sur leur page Facebook. Cedit statut est visiblement un autre statut anglophone simplement traduit par un utilitaire comme « Google translate » pour qu’on ne puisse pas dire qu’il n’y a rien de français… Quelques perles : « vous ne serez jamais en sortir vivant » « nous jouissons de se moquer de nous-mêmes » « le ridicule qu’il peut être de permettre à nos différences pour nous incitent plus espacés » « Comment nous pouvons être grave vraiment? » On trouve ça bien drôle quand ça vient de Chine, mais provenant de Montréal, c’est pathétique. Voir aussi: http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/regional/montreal/archives/2014/02/20140224-214132.html
  14. http://www.ocpm.qc.ca/pdm Suivez la webdiffusion ! Comme le prévoit l’article 91 de la Charte de la Ville de Montréal, la Ville est tenue d’élaborer un plan relatif au développement de son territoire qui prévoit notamment les objectifs poursuivis en matière d’environnement, de transport et de développement communautaire, culturel, économique et social. Le projet de Plan de développement de Montréal (PDM) produit par la Ville propose un énoncé de vision stratégique de développement. Il s’appuie sur les éléments clés des Plans et Politiques de la Ville de Montréal adoptés ces dernières années. Où et quand... Mardi 04 juin 2013, Toute la journée Séance d'information - Plan de développement de MontréalMercredi 05 juin 2013, Toute la journée Séance d'information - Plan de développement de MontréalJeudi 06 juin 2013, Toute la journée Séance d'information - Plan de développement de MontréalMercredi 12 juin 2013, 13:30 Séance d'information - Plan de développement de MontréalLundi 17 juin 2013, 19:00 - 22:00 Séance d'information - Projet de construction d'une école à l'Île des SoeursMardi 09 juillet 2013, 19:00 - 22:00 Audition des opinions - Projet de construction d'une école à l'Île des Soeurs Chaîne Youtube
  15. Vu que c'est francais, c'est bourré de cliché mais intéressant quand même.. http://www.lefigaro.fr/gastronomie/2013/11/15/30005-20131115ARTFIG00579-gastronomie-le-bon-gout-de-montreal.php
  16. J'ai vu le chantier en passant par là à plusieurs reprises. Rien ne m'aurait fait croire que ça puisse avoir 8 étages de bureaux. L'environnement immédiat m'apparaissait assez poche au premier coup d'oeil. J'aurais cru à l'érection d'une boîte de tôle pour classer des courroies de cuir. Prestige Prestige, quand tu nous dis que tu es Prestige, oui oui... Miam.
  17. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2013/06/27/004-moisissures-condominium-sante.shtml Un condominium rendu inhabitable par des moisissures Le rêve de Nathalie Parent d'être propriétaire s'est transformé en cauchemar. Son condominium hypothèque sa santé et celle de l'amie qui vit avec elle. Les moisissures rendent également sa copropriété inhabitable. Un reportage d'Anne-Louise Despatie Depuis trois mois, elle ne peut plus habiter dans l'appartement. « J'ai toujours eu une bonne santé, mais depuis deux ans, c'était des bronchites à répétition, des infections aux yeux, aux oreilles, à la gorge, de l'enflure et une immense fatigue ». Vivant tantôt chez sa sœur, tantôt chez des amis, elle doit continuer de payer l'hypothèque et les frais, mais n'a pas plus de chez-soi. L'ampleur du problème de moisissures dans son appartement s'est révélée l'an dernier lorsqu'elle a fait faire une analyse de qualité de l'air, demandée par un acheteur intéressé. « On a enfin compris pourquoi on avait été si malade tout l'hiver », dit-elle. Nathalie Parent a également fait faire une expertise par l'architecte Gilles Huot. Il est catégorique : « La brique est poreuse, les fondations sont en pierre et en briques. Ça n'a pas été réparé et ça n'a pas été imperméabilisé. Le plancher de l'appartement est plus bas que le terrain à l'extérieur. Alors quand il y a de l'eau qui coule sur le terrain, elle arrive à traverser puis s'infiltrer sous le plancher de bois. C'est ça le problème. » Cette copropriétaire paye une hypothèque et des frais pour un condo qu'elle ne peut habiter et qu'elle ne peut plus vendre. Crédit photo : Anne-Louise Despatie Impasse financière et juridique Nathalie Parent n'a pas beaucoup de recours. Elle a mis en demeure son syndicat de copropriété de faire les travaux d'urgence pour stopper les infiltrations d'eau dans son appartement, côté jardin. Le syndicat de copropriété, de son côté, poursuit ceux qui ont conçu et réalisé le projet de 182 unités dans l'ancienne biscuiterie Viau : le promoteur, l'architecte et l'entrepreneur. Ce dernier se défend en estimant avoir fait les travaux pour lesquels il a été mandaté au départ. Ni le syndicat de copropriété, ni la firme de gestion Ges-Mar n'ont voulu commenter. Comme les correctifs doivent être faits d'abord dans la cour avant qu'elle puisse faire décontaminer et réparer son condo, Mme Parent est dans un cul-de-sac financier et juridique. Elle ne peut mettre son appartement en vente dans cet état et ne peut l'occuper. Elle a peu de recours, puisque sa compagnie d'assurances ne couvre pas les moisissures. Des problèmes fréquents dans les condos L'histoire de Nathalie Parent n'est pas unique. Les professionnels du bâtiment voient de plus en plus de ces problèmes d'infiltration d'eau et de moisissures qui en découlent. L'architecte Gilles Huot et l'hygiéniste de l'environnement Yves Frenette constatent un laisser-aller dans la construction de certains projets de condominiums. Pour M. Frenette, chargé de cours en hygiène de l'environnement à l'Université de Montréal, les pratiques sur les chantiers sont inadéquates. Les matériaux poreux, comme le bois, sont parfois mal protégés de la pluie. « Il m'est arrivé de voir des condos neufs où l'on ferme le toit à la fin des travaux, ainsi tous les matériaux ont été exposés à la pluie. Le risque d'y voir ensuite des moisissures est grand », dit M. Frenette M. Huot constate que les poursuites sont nombreuses. Il montre aussi du doigt les projets des trois paliers de gouvernements. « C'est toujours le même problème avec les gouvernements : c'est toujours l'architecte le moins cher, l'ingénieur le moins cher, le concept le moins cher et le prix le moins cher. Alors quand on fait du nivellement par le bas, tout le temps, un moment donné, il y a des erreurs qui sont commises ou alors il y a des travaux qui auraient dû être faits qui ne le sont pas. » Quand les moisissures et vices cachés ne sont pas couverts par les assurances Pour les compagnies d'assurances, les moisissures qui découlent d'une humidité excessive et d'infiltration d'eau ne peuvent être considérées comme des dommages subis ou accidentels. Ces problèmes ne sont donc pas couverts. Les vices de construction et les mauvaises conceptions mènent souvent aux tribunaux. Nathalie Parent en est à regretter d'avoir fait appel au programme Accès-Condo par lequel elle a pu obtenir du financement. La Société d'habitation de Montréal (SHDM), qui n'est pas le maître d'œuvre du projet de la biscuiterie Viau, a facilité le financement pour les nouveaux propriétaires. « Quand j'ai acheté, c'était un projet de la SHDM, j'étais en confiance. Je me disais, les normes doivent être respectées », affirme Mme Parent. Dans ce projet, la SHDM était seulement là pour donner accès au financement, contrairement au projet de rénovation de Benny Farms, où elle a dû assumer les frais de plusieurs réparations urgentes. L'architecte Gilles Huot a produit une expertise dans certains condominiums du projet Benny Farms. « Il y a des moisissures. La SHDM a fait des travaux de drainage extérieur, mais puisqu'elle n'a pas assez d'argent pour défaire toutes les dalles de béton d'origine, c'est resté comme ça. Je suis retourné : ça coule encore », dit-il. La porte-parole de SHDM affirme avoir fait les travaux qui s'imposaient pour corriger la situation. Cette cause se retrouve également devant les tribunaux.
  18. Je crois que ce projet se troive dans le secteur Pierrefonds est, ce qui est quand meme différent que le lointain secteur ouest, si je me trompe pas. Donc un peu de densification mais pas d'éloge pour le projet. Assez banal. http://placesuzanne.com/index.html
  19. Je n'avais jamais entendu parlé de ce projet j'ai vu cela en regardant les photos d'histoires de Montreal qui sont présentées près de la Place Jacques-Cartier dans le Vieux-Port. Il y a déja eu un projet d'une autoroute à la fin des années 50 qui aurait traversée d'est en ouest le Vieux-Port , dans l'emprise actuelle de la rue de la Commune. Selon la pancarte, des citoyens et un urbaniste de la Ville se serait objecter et le projet n'a jamais eu lieu. Quand meme fascinant de voir qu'on était prêt à tout détruire le patrimoine et couper l'accès au port pratiquement.... Désolé pour la photo de cellulaire
  20. Une belle occasion de veloppement manquee par la Banque Nationale... La Scotia achète ING Direct pour 3,1 G$ La Presse Canadienne . les affaires.com . 29-08-2012 (modifié le 29-08-2012 à 16:45) La Banque Scotia (TSX:BNS) a conclu une entente pour acheter la Banque ING du Canada de la société-mère néerlandaise Groupe ING pour 3,13 milliards $ en espèces. La transaction devrait se traduire par un investissement net de 1,9 milliard $ pour la Scotia, une fois déduction faite du capital excédentaire qui se trouve actuellement chez ING Direct. La Banque Scotia a également annoncé une offre publique de 29 millions d'actions ordinaires à 52 $ pour des revenus de 1,5 milliard $ afin de financer cette transaction. L'entente devra être approuvée par les autorités réglementaires. ING Groep NV peine à protéger sa santé financière dans la foulée de mauvais prêts et de marges fondantes. Comme plusieurs banques européennes, ING a dû vendre des actifs et se prévaloir de prêts d'urgence quand la crise budgétaire grecque a miné la confiance envers les institutions bancaires du continent, qui avaient déjà été matraquées par la récession. En février, ING a vendu les activités américaines d'ING Direct à Capital One pour 600 millions $ US. En 2010, le Groupe ING a vendu 400 propriétés industrielles canadiennes au Alberta Investment Management Corp et à KingSett Capital, leur consentant un rabais de 1,3 milliard $, quand la valeur de ce portefeuille s'est écroulée quatre ans après son acquisition.
  21. 60 unités, quand même pas mal, sur des Érables au sud d'Ontario. http://www.groupevistacorp.com/projets-condo/Le-Des-Erables.html?ProjetID=97 je mets dans la section Aprouvés parce que ça ne requiert pas de dérogation.
  22. Vous avez bien lu, le nom semble etre ''Les condos St-André Apotre''. Mais il y a quand meme confusion car l'adresse du site dit ''condoclark''. Enfin, peut importe, ce n'est pas un projet pour écrire à sa mère !!! http://www.condoclark.ca/
  23. Encore un nouveau projet dans la Pointe. Ce sera le deuxième projet du meme constructeur sur la rue Centre. Ça ne paie pas de mine mais quand meme ! http://immojad.com/condosCentre_Montreal.html
  24. Via ajoute des départs supplémentaires vers Toronto et Ottawa, au départ de Montréal. http://www.montrealitesurbaines.com/ Plus de départs égalent plus de flexibilité pour les voyageurs, qui pourront désormais revenir d'Ottawa en fin de soirée. Les dix départs quotidiens vers Toronto permettront aussi à Via de mieux compétitionner avec les compagnie aériennes, dont Air Canada qui offre des départs aux 30 minutes aux heures de pointes et aux heures le reste de la journée. Via prévoit ajouter davantage de départs quand les améliorations des voies seront complétées.
  25. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/canada/201111/15/01-4468130-construction-ralentissement-prevu-a-montreal-et-toronto.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 On a quand même plusieurs chantiers en cours ceux la ne devraient pas avoir de problème mais est-ce que ça va avoir un effet négatif sur ceux qui sont proposés ! Ex : La tour des canadiens etc.
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