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  1. La Bank of America, la banque japonaise Nomura Securities, la française BNP-Paribas, l'allemande Deutsche Bank ou encore la britannique Barclay's serait sur les rangs. Pour en lire plus...
  2. Selon le rapport du groupe de travail sur le financement du système de santé, une utilisation appropriée et plus généralisée des technologies de l'information serait susceptible d'améliorer l'efficacité. Pour en lire plus...
  3. Selon un journal européen, cette proposition aurait été faite à la compagnie par les dirigeants de la banque Intesa Sanpaolo, qui a mis au point le plan de sauvetage d'Alitalia. Pour en lire plus...
  4. La société biopharmaceutique a également annoncé que la «phase de validation et de documentation» pour sa nouvelle usine produisant du scellant tissulaire serait plus longue qu'elle ne l'avait prévu. Pour en lire plus...
  5. Le nouveau propriétaire du fabricant de bâtons de hockey menacerait de déménager la production dans une autre de ses installations. Pour en lire plus...
  6. Le Québec serait assis sur des milliards liquides 27 août 2008 - 11h56 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Si on en croit l’Institut économique de Montréal, le Québec serait assis sur une véritable mine d’or alors que l’exportation d’eau douce à grande échelle rapporterait plusieurs milliards par année au trésor québécois. Dans un cahier de recherche publié par l’Institut, l’auteur et vice-président Marcel Boyer souligne «qu’il est urgent de s’intéresser sérieusement à la valorisation de notre or bleu» tout en indiquant qu’un plan de développement et de mise en marché est nécessaire. Car pour ce think tank qui prône le libéralisme économique, le Québec serait gagnant sur toute la ligne. L’exportation de 10 % de ses réserves lui permettrait de générer des revenus de 65 G$ par année avec un coût de 65 cents par mètre cube – prix actuel du dessalement de l’eau de mer. Même si la province ne touchait que 10% des revenus générés, cela amènerait 6,5 G$ dans le trésor québécois soit environ cinq fois plus que le dividende payé par Hydro-Québec à l’État québécois, souligne l’Institut. Le cahier d’étude indique que le Canada possède la plus grande réserve d’eau douce au monde, soit 8% du stock mondial. Pour le Québec, c’est 3% de toutes les réserves qui se retrouvent sur son territoire, soit treize fois plus d’eau douce par habitant qu’aux États-Unis. Pour Eau Secours, l'étude est simpliste Du côté de la coalition Eau Secours, les termes utilisés pour qualifier l’étude sont corrosifs. «C’est carrément simpliste et ça ne tient pas la route au niveau éthique, environnemental mais également économique», assure Martine Ouellet, présidente de l’organisme. Selon elle, l’eau sera essentiellement acheminée vers les États-Unis. Le hic, c’est que personne ne voudrait en acheter car elle serait trop dispendieuse. «Les coûts de production seraient trop élevés pour aller la chercher dans le Nord québécois. Donc, ce ne serait pas rentable», assure-t-elle. La tentation serait alors très grande de la puiser plus au Sud, ce qui aurait un impact sur notre bassin hydrographique, avance Eau Secours. L’organisme ne voit pas non plus dans cette proposition un véritable moteur de développement économique pour le Québec. «Il n’y aurait pas de création d’emplois. Selon moi, ça ressemble beaucoup plus à un développement tiers-mondiste». Pour la présidente d’Eau Secours, un autre problème est éthique. À l’heure actuelle, l’eau est considérée comme «une chose commune». À partir du moment où elle serait commercialisée à grande échelle, elle deviendrait un bien de consommation comme les autres. «L’eau, ce n’est pas un produit, c’est essentiel à la vie. Tout le monde doit y avoir accès», assure-t-elle. À l’heure actuelle, selon l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), il est impossible de commercialiser des contenants d’eau de plus de 20 litres. Donc dans le cas d’une exportation massive, de nouveaux accords devraient être signés. Du point de vue environnemental, Eau Secours s’inquiète également des répercussions. «On ne sait toujours pas comment on assurerait la distribution de l’eau… Est-ce qu’on va détourner des rivières pour y parvenir ?», se demande la présidente. Un autre organisme, Nature Québec, émet également de nombreux bémols. «À plusieurs égards, nous connaissons bien mal notre ressource. Je pense que nous devons faire le ménage avant de vouloir l’exporter», croit Christian Simard, directeur général de Nature Québec. M. Simard croit que le Québec devrait tout d’abord retirer des redevances de la vente de bouteilles d’eau et devrait appliquer le principe d’utilisateur-payeur et pollueur-payeur comme cela était inscrit dans la Politique québécoise de l’eau entrée en vigueur en 2003. Il croit toutefois que la province devrait mieux protéger l’eau et assurer sa souveraineté sur son abondante ressource. «Je crois qu’il faut faire attention car la pression américaine va devenir de plus en plus en forte dans le futur», admet M. Simard. Ce n’est pas la première fois que cette question controversée revient sur le tapis. Mais à chaque occasion, les projets d’exportation de l’eau douce ont été balayés du revers de la main. L’Institut économique de Montréal se décrit comme un «organisme de recherche et d’éducation économique indépendant, non partisan et sans but lucratif». Sur son conseil d’administration de 14 membres, plusieurs viennent principalement du milieu corporatif québécois comme Marcel Dutil, président du conseil de Canam, Jean-Pierre Ouellet, vice-président du conseil de RBC Marchés capitaux et l’ex-président de la Banque Nationale, Léon Courville.
  7. Si on en croit l’Institut économique de Montréal, le Québec serait assis sur une mine d’or alors que l’exportation d’eau douce à grande échelle rapporterait plusieurs milliards par année. Pour en lire plus...
  8. Voici ma proposition pour le projet d'un nouveau pont champlain. Je suis en faveur de conserver le pont Champlain actuel. Nous sauvons sur les couts de démolition, et avec une nouvelle vocation plus faible en terme d'usure, la structure pourrait durer beaucoup plus longtemps. Le gros de mon plan serait de construire un nouveau pont à 8 voies en (presque) parallel au pont actuel. Le vieux pont Champlain serait utilisé pour supporter du transport en commun (autobus, métro, et possiblement covoiturage) Situation actuelle qui cause des embouteillages: Autoroute 10 (Brossard) - 4 voies de chaque bord Nouveau pont Champlain - 3 voies de chaque bord A-15/20 jusqu'à Turcot - 2 voies de chaque bord Futur: Autoroute 10 (Brossard) - 4 voies de chaque bord Nouveau pont Champlain - 4 voies de chaque bord A-15/20 jusqu'à Turcot - 3 voies de chaque bord De plus, en lien avec ma vision pour le metro 2100, le pont Champlain pourrait porter des voies de metro pour la ligne rouge. Voici alors mon plan: Commentaires? Suggestions? Don't go too rough on my foolish ideas... this one took hours to make!
  9. Le maire de Londres veut un nouvel aéroport Reuters Édition du mercredi 13 août 2008 Londres -- Boris Johnson, maire de Londres depuis mai dernier, s'est prononcé hier pour la construction d'un nouvel aéroport à l'est de la ville afin de décongestionner les cinq autres qui desservent la capitale britannique. «Il est [...] plus urgent que jamais d'étudier une solution à long terme, sous la forme d'un nouvel aéroport international respectant mieux l'environnement», écrit-il dans le Daily Telegraph. Johnson dit douter qu'un projet de troisième piste envisagé pour Heathrow -- l'aéroport le plus actif du monde avec plus de 68 millions de voyageurs par an -- soit jamais réalisé. Il souligne en outre que Gatwick, le deuxième aéroport londonien par ordre d'importance, est «plein à craquer». «Le maire tient à connaître les solutions de rechange à l'agrandissement d'Heathrow et aimerait savoir si l'idée d'un nouvel aéroport sur l'estuaire de la Tamise serait viable ou non», a indiqué à Reuters un porte-parole de Johnson. «Il a demandé à des fonctionnaires d'examiner la faisabilité d'un nouvel aéroport pour voir si cela mérite une étude approfondie», a-t-il ajouté. Johnson a aussi fait savoir qu'il serait favorable à un développement du City Airport de l'est de Londres, prisé des hommes d'affaires parce que proche des quartiers financiers. Cet aéroport, propriété du consortium American International Group et de Credit Suisse, cherche à porter sa capacité annuelle de 80 000 à 120 000 vols. Selon un porte-parole de City Airport, ce développement ne réclamerait pas de nouveaux travaux de construction. Une demande d'autorisation initiale a toutefois été différée par Johnson le mois dernier pour que l'on détermine si ce développement n'affecterait un projet de pont sur l'estuaire de la Tamise. Heathrow, Gatwick et Stansted appartiennent tous à au groupe BAA, dont la commission britannique de la Concurrence cherche à déterminer s'il doit céder l'un de ses aéroports pour ne plus être en position de monopole. BAA a pour propriétaire l'espagnol Ferrovial. La commission pourrait remettre un rapport la semaine prochaine, bien qu'aucune date ferme ne soit fixée.
  10. Si cette proposition est retenue, l'ajustement mensuel serait de 1,13 $ pour un logement moyen, de 2,70 $ pour une petite maison et de 4,87 $ pour une grande maison. Pour en lire plus...
  11. Des analystes au Canada et aux États-Unis croient que le pire serait à venir parce que l'économie nord-américaine est au point mort. Pour en lire plus...
  12. Un ancien haut fonctionnaire américain du département du Trésor serait au centre des poursuites lancées contre la banque suisse UBS par l'État de New York. Pour en lire plus...
  13. Les ventes mondiales d’automobiles sont au ralenti mais à la vue des résultats du premier semestre, la situation serait bien pire s’il n’y avait pas une demande soutenue dans ces pays. Pour en lire plus...
  14. Les employés de six hôtels de la région de Québec pourraient se doter jeudi d'un mandat de grève qui serait exercé à partir du 1er août. Pour en lire plus...
  15. Conformément à cette législation, le gouvernement aiderait des propriétaires à obtenir de nouveaux prêts plus avantageux et serait autorisé à proposer un soutien à Fannie Mae et Freddie Mac. Pour en lire plus...
  16. McKesson Corporation, géant nord-américain des grossistes dans le domaine pharmaceutique, serait intéressé à attirer Uniprix dans son giron. Pour en lire plus...
  17. Selon le quotidien New York Post, le fondateur d'Apple serait apparu amaigri en plusieurs occasions, ce qui inquiète son entourage et les investisseurs. Pour en lire plus...
  18. Le groupe américain de refinancement hypothécaire dit avoir assez de liquidités pour tenir jusqu'en 2010, mais il serait en position d'émettre de nouvelles actions. Pour en lire plus...
  19. L'entreprise a néanmoins indiqué que le supplément de 100$ par tonne métrique était temporaire et qu'il serait ajusté en fonction de l'évolution des prix de l'énergie. Pour en lire plus...
  20. Teachers' annonce qu'elle a obtenu tout le financement nécessaire afin de payer 42,75 $ par action, tel que prévu à l'origine. La transaction serait conclue le 11 décembre. Pour en lire plus...
  21. Une radio honteuse Vous pensez que je fabule, que j’exagère, que j’ai tout inventé ? Attendez quelques jours et vous connaîtrez la vérité. Canoë lundi 16 juin 2008 Richard Martineau parlait, dans sa chronique d’hier intitulée « Maudits racistes », de l’émission This hour has 22 Minutes diffusée à la CBC, la télé publique canadienne, et qui fait du « Québec bashing » en humour. Eh bien, vous savez quoi ? J’ai découvert un complot, un vrai. Tenez-vous bien ! Il existe quelque part, du côté ontarien, le long de la frontière québécoise, une station de radio qui programme des émissions à caractère belliqueux et raciste sur le Québec. Oui, vous ne rêvez pas, la chose est possible, malheureusement. Cette station est sans doute mobile, car on n’est jamais parvenu à la localiser pour la faire taire ou brouiller les ondes complètement. Elle diffuse 24 heures sur 24, sept jours par semaine. Les médias ontariens, qui semblent au courant de cet attentat à la souveraineté du Québec, ont reçu la consigne de ne pas ébruiter ces faits, comme s’il s’agissait ni plus ni moins d’appuyer tacitement cette pratique déloyale, voire illégale, ou de la banaliser. La rumeur veut que quelques grosses fondations privées, dont il m’a été impossible, pour le moment, de connaître les noms, financeraient cette campagne de salissage. « Radio Papineau », c’est ainsi qu’elle serait baptisée, aborde en français, mais aussi en anglais, des thèmes politiques, sociaux et culturels d’actualité. Elle comporte aussi un volet historique, où l’histoire du Canada est expliquée sous un tout autre angle que celui qui est enseigné dans les écoles québécoises. Apparemment, la Sûreté du Québec serait au courant de ce viol des ondes, mais comme il s’agit de signaux sophistiqués, qui utilisent les ondes satellitaires, il devient difficile de bloquer la diffusion d’une telle radio-poubelle et d’en connaître les promoteurs. On ne peut pas pour l’instant capter ces émissions dans la grande région de Montréal. Ainsi, Le Devoir devient « Le Bavoir », Télé-Québec devient « Télé Nousautres » et la programmation générale de cette radio pirate offre des émissions comme « Québec sans frontières », « Presse libre », « Le Québec de l’intérieur », « Le fait français, une vaste supercherie », « Lectures sans censure », « Les vraies nouvelles », « L’ombre du cheuf », « Démocratie et partis politiques », etc. On y aborde aussi les sports d’un point de vue très canadien et on se moque royalement des Canadiens de Montréal et des Alouettes, car tous ces joueurs seraient prêts à abandonner leur équipe si on leur faisait miroiter de gros salaires pour aller jouer ailleurs. On ridiculise la « french cuisine » de même que l’agriculture telle que pratiquée ici, en vantant les mérites d’une agriculture non subventionnée et sans quotas laitiers et en dénigrant, bien entendu, la nouvelle industrie fromagère en pleine expansion. On va même jusqu’à inciter à des actes de sabotage et de violence contre certaines institutions politiques du Québec ou certaines entreprises d’État. On suggère, entre autres, de laisser les robinets d’eau couler sans arrêt. On lance des rumeurs concernant un possible durcissement des politiques linguistiques ou l’expulsion imminente de la fonction publique québécoise de tous ceux qui ne seraient pas « pure laine », on essaie de fomenter des incidents haineux entre les autochtones, les immigrants et les francophones, on invente des cas d’épidémies dues au fromage au lait cru du Québec, etc. On propose aussi de ne plus vendre le blé et le bœuf de l’Ouest canadien au Québec afin de nous affamer, de créer de faux labels, comme pour le sirop d’érable, afin de nuire à l’industrie acéricole, de boycotter Loto-Québec, etc. Cette « radio libre » se donne pour mission de diffuser la « face cachée » du Québec, sous prétexte qu’ici, toute nouvelle serait tendancieuse et complaisante. Les journalistes québécois ne seraient pas objectifs, ils n’oseraient jamais critiquer les grands projets rassembleurs comme les festivals culturels, ni le gouvernement du Québec, qui est présenté comme autoritaire, démagogique, répressif et à la solde de la France, qui, elle-même, comploterait depuis toujours contre le gouvernement canadien et ses institutions. Vous pensez que je fabule, que j’exagère, que j’ai tout inventé ? Attendez quelques jours et vous connaîtrez la vérité.
  22. A lire dans cyberpresse, un nouveau projet serait en "pre-gestation" pres du golf dans le quartier Riviere des prairies-Pointe - aux-trembles. a lire a: www.cyberpresse.ca/article/20080601/CPACTUALITES/80601027/5077/CPACTUALITES
  23. Contrat fédéral de 600 M$ à CAE Le mandat serait confié à CAE dès le mois prochain. Photo: Bloomberg La montréalaise CAE est sur le point de décrocher un contrat de 600 millions de dollars du gouvernement fédéral pour la formation de pilotes d'avions et d'hélicoptères de la Défense nationale. En 2006, le gouvernement s'apprêtait à confier la formation à deux entreprises américaines, Lockheed-Martin et Boeing. Cependant, tôt en 2007, Ottawa annonçait que le contrat de formation dans le cadre de l'achat pour 10 milliards $ de nouveaux appareils pour la Défense ne serait octroyé qu'à une seule entreprise, rapporte le Globe and Mail. Le mandat serait confié à CAE dès le mois prochain, d'écrire le journal, afin d'enseigner aux pilotes des nouveaux avions Hercules et des nouveaux hélicoptères Chinook. CAE, qui célèbre son 60e anniversaire cette année, est connue pour son travail dans le domaine des technologies de simulation et de modélisation et dans celui des solutions intégrées de formation destinées à l'aviation civile et aux forces de défense. Environ 6000 personnes travaillent dins ses 75 installations réparties dans 20 pays. L'an dernier, une porte-parole de CAE, Nathalie Bourque, avait nié que l'entreprise avait appliqué un intense lobby afin que le contrat de formation ne soit accordé qu'à une seule entreprise plutôt qu'à deux. Toutefois, le Globe and Mail dit avoir obtenu des documents en vertu de la Loi d'accès à l'information qui démontreraient que CAE a soumis par écrit au gouvernement, en deuxième moitié d'année 2006, une propositio~ en ce sens. La multinationale montréalaise aurait promis qu'un regroupement de la formation serait plus efficace et moins dispendieux. CAE prétendait aussi que les militaires canadiens seraient ainsi formés au Canada par des Canadiens et que l'expertise de formation acquise par l'entreprise pourrait ultérieurement être exportée. http://www.lesaffaires.com/article/0/aeronautique-et-aerospatial/2008-04-09/475602/contrat-federal-de-600-mdollars-a-cae.fr.html
  24. Un paddock rénové à Montréal Charles Rooke Journal de Montréal 13/02/2008 10h29 Le paddock du circuit Gilles- Villeneuve ne devrait plus être la risée du circuit de la formule 1 car, selon ce qu'a appris le Journal de Montréal, une subvention de 1,25 million de dollars du gouver nement fédéral serait accordée afin qu'on procède à sa réfection. L'an der nier, Ber nie Ecclestone, le grand manitou du cirque de la formule 1, avait critiqué les installations du Grand Prix de Montréal. Durant la semaine du Grand Prix, des employés de l'écurie Honda avaient été jusqu'à affirmer que les installations montréalaises étaient «une honte». Les écuries avaient même dû faire la vaisselle avec l'eau provenant du bassin olympique. Les organisateurs du Grand Prix ont donc fait une demande de subvention de deux millions de dollars au gouver nement fédéral en novembre afin de remédier à la situation. La somme de 1,25 million serait débloquée prochainement, et l'annonce de l'octroi de la subvention pourrait être faite au cours des prochaines semaines. Quelques détails à régler L'entente ne serait pas encore finalisée, mais il resterait quelques détails à fignoler afin d'officialiser le tout. Le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, aurait fait une priorité de ce dossier. On n'a toutefois pas voulu confirmer la nouvelle du côté de son bureau. Il a été impossible de joindre un membre de l'organisation du Grand Prix hier. Cette nouvelle tombe sans doute à point pour le Grand Prix de Montréal car, la semaine dernière, Bernie Ecclestone, un Britannique, a menacé de retirer le Grand Prix d'Angleterre en raison de la désuétude des installations. Le Grand Prix des États-Unis a, quant à lui, déjà été rayé du calendrier de la formule 1 en 2008. Le gouvernement provincial pourrait également annoncer sa participation à ce projet. Cette année, le Grand Prix du Canada aura lieu du 6 au 8 juin. http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/02/20080213-102902.html
  25. Montréal se fait belle pour la semaine de la mode Le 9 octobre 2007 - 09:53 | Colette Cyr [AgenceNews] Cette semaine, les designers sont sous les projecteurs, car ce mardi s'amorce la 13e édition de la Semaine de la mode. Ainsi, des dizaines de designers québécois en profiteront pour dévoiler leur collection respective. Rappelons que cette industrie ne fait pas de cadeaux à ses artisans de la mode qui doivent affronter un nouveau rival, la Chine. Depuis deux ans, les quotas d'exportations chinoises de textiles et de vêtements ont été complètement abolis. Une solution privilégiée par les créateurs serait de créer chez nous et de produire en Chine, à tout le moins pour les grands volumes. Dans le secteur de la fabrication, des dizaines de milliers d'emplois ont été perdus chez nous, à preuve que dans ce domaine tout ne tourne pas rond !
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