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  1. Après la performance mauvaise de février du marché de l'emploi au Québec, de bonne nouvelles pour mars: - 15 100 personnes de plus qui ont un emploi (gain de 24 000 emplois à temps plein et perte de 8 900 emplois à temps partiel) - Baisse du taux de chômage à 7,6% http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/140404/dq140404a-fra.htm Voir Tableau 3 pour plus d'infos.
  2. via LaPresse : Publié le 19 juin 2014 à 10h42 | Mis à jour à 12h05 Coderre présente ses 11 «chantiers» pour rendre la Ville plus performante KARIM BENESSAIEH La Presse Une Ville plus efficace, où les lourdeurs administratives et les dédoublements seraient éliminés, tout cela en 11 «chantiers» qui permettraient de générer des millions de dollars en économie. C'est en substance le plan qu'a proposé ce matin le maire Denis Coderre devant une audience conquise de quelque 600 personnes d'affaires, réunies dans une salle du Vieux-Montréal. De la diminution des accidents de travail à la revue du déneigement et passant par la simplification des soumissions et un meilleur taux de réalisation des travaux, ses 11 chantiers ratissent large. «Vous devriez vous réjouir : on vient de vous dire qu'on va s'assurer que les choses sont efficaces, et qu'on est capables de sauver des coûts sans avoir à augmenter les revenus, c'est-à-dire les taxes, a résumé en point de presse le maire Coderre. Il y a un exercice qui va se faire, toutes les grandes métropoles l'ont fait, et elles sauvent de l'argent. Nous, on va sauver le maximum.» 750 indices de performance Même si les termes semblent quelque peu abstraits, le maire assure qu'il s'agit d'une initiative bien concrète. «C'est tellement concret qu'ils l'ont fait à Toronto, où on sauve jusqu'à 400 millions par année. Si on organise toute la question de l'absentéisme, d'accidents de travail, à Québec, ils ont sauvé jusqu'à 12 millions.» L'administration Coderre mise beaucoup sur son chantier numéro un, l'adhésion à l'Ontario Municipal Benchmarking Initiative (OMBI) qui permettra à Montréal de se comparer avec 16 autres villes canadiennes. «Ce sont des mesures de gestion, des mesures d'efficience. Comment on peut mesurer l'efficacité, comment on est capables de s'assurer qu'il y a une meilleure coordination. Il y a à peu près 750 indices de performance qu'on peut appliquer, des indicateurs précis qui nous permettent en fin de compte de voir s'il y a des dédoublements, si c'est performant, si c'est nécessaire.» Il a rappelé que son administration s'était déjà engagée à réduire 10% des effectifs au cours des cinq prochaines années, soit 2200 emplois, ce qui permettra d'économiser deux milliards en dix ans. Ces économies seraient réinjectées dans les infrastructures de la métropole. Les 11 chantiers Harmonisation et simplification des devis de soumissions Augmentation du nombre et de la qualité des projets d'immobilisations réalisés Optimisation de la gestion des revenus et des paiements Simplification du processus décisionnel Implantation de la gestion par activités Réduction des maladies professionnelles et des accidents du travail Augmentation de la productivité du Service du matériel roulant et des ateliers Amélioration des processus d'acquisition et d'entretien des immeubles Accroissement de l'efficience des activités liées aux matières résiduelles Rationalisation des inventaires Optimisation des activités de déneigement.
  3. 10 jan. 2014 - par Pierre Fortin Non, pas vraiment. Le taux de croissance pour le Québec est historiquement plutôt faible, mais le mal est canadien, pas seulement québécois. On rapporte généralement la performance économique d’une région dans une année en se basant sur le taux de croissance de son produit intérieur brut (PIB) par rapport à l’année précédente. Le PIB mesure la valeur des biens et des services que la région a produits dans l’année. (C’est identique à la valeur des revenus qu’elle a ainsi engendrés.) Pour estimer de combien le volume réel des biens et des services produits a augmenté depuis un an, il faut évidemment retrancher de la hausse du PIB la partie qui résulte purement de prix plus élevés (l’inflation). À l’heure actuelle (janvier 2014), on estime que, inflation ainsi déduite, la croissance du PIB a été de 1,2 % au Québec, de 1,4 % en Ontario et de 1,7 % dans l’ensemble du Canada en 2013 par rapport à 2012. Ces chiffres paraissent, en surface, donner une réponse affirmative à la question posée en titre. La croissance économique semble avoir été plus faible au Québec qu’ailleurs en 2013. Mais attendez. Le PIB résulte tout autant du nombre d’habitants dans la région que de ce que chacun d’eux produit et achète. Si la population double et qu’elle produit deux fois plus de biens, le PIB va doubler, mais il n’y en aura évidemment pas plus pour chacun. Le pouvoir d’achat (ou niveau de vie) moyen par habitant sera inchangé. Autrement dit, la mesure adéquate du bien-être véritable des gens n’est pas le PIB total, mais le PIB par habitant. Par exemple, selon le Fonds monétaire international, la Norvège a enregistré en 2012 un PIB total de 275 milliards de dollars; les États-Unis, eux, un PIB total de 16 250 milliards. Est-ce que cela veut dire que les Américains étaient plus riches que les Norvégiens? Pas du tout. Il y avait seulement 5 millions d’habitants en Norvège en 2012, contre 315 millions aux USA. Le PIB par habitant était donc de 55 000 dollars en Norvège et de 51 600 dollars aux États-Unis. Le revenu moyen des Norvégiens était supérieur de 6 % à celui des Américains. La conclusion qui s’impose, c’est que la performance économique d’une région doit s’évaluer en suivant l’évolution de son PIB par habitant, et non pas l’évolution de son PIB total. La croissance du PIB par habitant (inflation déduite, bien sûr) est celle qui compte vraiment lorsqu’on veut apprécier la progression du bien-être matériel des habitants de la région. On calcule le PIB par habitant en divisant le PIB par la population. Mais par quel concept de population ? Ici, il y a deux options. Selon la première option, on divise le PIB par la population totale du territoire — tous les habitants, enfants, adultes et aînés. Le PIB par habitant qui en résulte mesure le revenu (ou pouvoir d’achat) auquel un habitant de la région a accès en moyenne, quel que soit son âge. Selon la seconde option, on divise le PIB par la population d’âge actif seulement, habituellement celle de 15 à 64 ans. Cette grande catégorie d’âge est le principal bassin de recrutement des travailleurs potentiels. Dans ce cas, le PIB par habitant de 15 à 64 ans qui est obtenu mesure la capacité de la population d’âge actif de la région à créer la richesse pour l’ensemble de tous les citoyens. Si on veut juger de la performance économique véritable d’une société, c’est cette seconde option qu’il faut choisir. Pour le voir, on n’a qu’à considérer l’exemple de deux régions qui affichent la même population totale de 10 millions d’habitants et le même PIB total de 600 milliards de dollars. Le PIB par habitant est de 60 000 dollars, le même dans les deux cas. Mais supposons que la population de 15 à 64 ans est de 8 millions de personnes dans la première région et de seulement 7,5 millions de personnes dans la seconde. Il est évident que la performance économique de la région qui produit la même richesse avec moins d’habitants d’âge actif, soit celle qui compte 7,5 millions de 15-64, est la meilleure des deux. Car ses habitants d’âge actif produisent une richesse de 80 000 dollars chacun en moyenne, alors que, dans la région qui compte 8 millions de 15-64, les habitants d’âge actif ne créent 75 000 dollars de richesse chacun. Si on veut simplement comparer le bien-être matériel auquel l’ensemble des habitants d’une région a accès en moyenne, sans plus, il est parfaitement légitime de le faire en divisant son PIB par sa population totale. Mais si c’est sa vraie performance économique, c’est-à-dire l’habileté de sa population d’âge actif à produire la richesse, qu’on veut mesurer, il faut plutôt diviser le PIB par la population qui est la grande responsable de sa création, soit celle de 15 à 64 ans. C’est sur cette base que le tableau ci-dessous compare la performance économique du Québec à celle de l’Ontario et de l’ensemble du Canada en 2013. Pour obtenir le taux de croissance du PIB par habitant d’âge actif de chaque région, il faut soustraire le taux de croissance de sa population de 15 à 64 ans du taux de croissance de son PIB total. Dans le cas du Québec, par exemple, comme on estime que le PIB total a augmenté de 1,2 % et la population de 15 à 64 ans de 0,2 %, on trouve que le PIB par habitant de 15 à 64 ans a augmenté de 1,0 % (1,2 moins 0,2). On voit bien, dans la colonne de droite du tableau, que le taux de croissance estimé du PIB par habitant de 15 à 64 en 2013 a été à peu près le même au Québec, en Ontario et dans l’ensemble du Canada. La performance économique du Québec (1,0 %) n’est pas moins bonne que celle des autres régions du pays, contrairement à ce que laisse croire la comparaison basée sur le taux de croissance du PIB total dans la colonne de gauche. C’est malheureusement cette dernière statistique, la croissance du PIB total, qui reçoit la publicité presque exclusive dans la presse financière. La réponse à la question posée en titre est donc négative. Bien évidemment, le taux de croissance par habitant autour de 1,0 % qui est estimé ici pour le Québec est historiquement plutôt faible. Mais on voit bien que le mal est canadien, pas seulement québécois. Une dernière question se pose tout de même au sujet de ce résultat. Dans la colonne du centre du tableau, on peut voir que la croissance de la population de 15 à 64 ans est plus faible au Québec que dans les autres parties du Canada. (En fait, la population de cette catégorie d’âge va bientôt commencer à diminuer en niveau absolu au Québec.) Est-ce que cela ne veut pas dire qu’il est, par conséquent, plus facile pour une région comme le Québec d’enregistrer une croissance par habitant d’âge actif plus rapide que les autres parce que sa population de 15 à 64 ans, qui apparaît au dénominateur du PIB par habitant, augmente moins vite qu’ailleurs ? Si cela s’avérait, le fait même que le PIB par habitant du Québec n’a pas augmenté plus vite que la moyenne canadienne en 2013 constituerait en lui-même une preuve de sous-performance de l’économie québécoise. Il n’en va pas ainsi. Au strict plan de la logique, moins de gens dans la population veut dire, bien sûr, moins d’habitants au dénominateur du PIB par habitant. Mais moins de gens veut aussi dire moins de biens produits et achetés au numérateur. Le nombre d’habitants au dénominateur est plus faible, mais le PIB lui-même au numérateur est plus faible lui aussi. Ces deux effets s’annulent. Au plan des faits, l’exemple des 24 pays membres les plus avancés de l’OCDE dans le dernier quart de siècle en fournit une preuve sans équivoque : de 1987 à 2012, il n’y a aucune corrélation significative entre la croissance de leur PIB par habitant d’âge actif et la croissance de leur population. Lien: http://www.lactualite.com/blogues/le-blogue-economie/en-2013-la-croissance-economique-a-t-elle-ete-plus-faible-au-quebec-quailleurs-au-canada/
  4. Jean Coutu déménage à Varennes Publié le 29 mai 2013 à 07h47 Le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) consolidera toutes ses activités corporatives sur un terrain de 3 millions de pieds carrés localisé en bordure de l'autoroute 30 à Varennes, en Montérégie. La construction du nouveau siège social débutera l'an prochain. L'investissement de 190 millions de dollars offrira une superficie totale de 800 000 pieds carrés. François J. Coutu, président et chef de la direction, soutient que les actuelles installations de Longueuil sont désormais trop petites. Il s'attend à ce que celles de Varennes soient à la fine pointe de la technologie et garantissent des standards élevés de productivité et une performance accrue. Le transfert des opérations est prévu pour le début de 2016 pour les plus de 1000 employés du Groupe Jean Coutu et de sa filiale Centre d'information Rx. François J. Coutu en dira davantage ce mercredi matin lors d'une conférence de presse qui aura lieu à l'hôtel de ville de Varennes. http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201305/29/01-4655415-jean-coutu-demenage-a-varennes.php
  5. Le bateau qui a reçu la fameuse canne au pommeau d'or est un pétrolier. Ces bateaux sont d'ailleurs plus nombreux dans la voie maritime à hauteur de Montréal, ce qui explique la bonne performance du port en 2011. http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal_18h/2011-2012/Reportage.asp?idDoc=193791
  6. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/10/20111004-173935.html
  7. The Toronto Board of Trade's Scorecard on Prosperity ranks 24 cities based on economy and labour attractiveness #20 Montreal (Courtesy of The Globe and Mail)
  8. The 200 compressed natural gas (CNG) buses acquired in 2003 by the Los Angeles Metropolitan Transportation Authority (LA Metro) have worked out so well that LA Metro is hiring 96 more. The Cummins Westport vehicles, which run 20 feet longer than traditional city buses and bring 30-percent more power to the table (while claiming bragging rights to low emissions) use a 6-cylinder, 8.9L CWI L Gas Plus CNG mill with 320 hp. Perfect for the city, the buses help LA Metro cash in with lower operating costs, better performance and reduced emissions. http://www.autoblog.com/2006/03/30/la-metro-picks-up-more-natural-gas-buses/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed:+weblogsinc/autoblog+(Autoblog)
  9. Le groupe Quebecor, appuyé par la bonne performance de ses activités de câblodistribution, a enregistré une perte nette de 343 millions de dollars au 4e trimestre, contre 963 millions $ un an plus tôt. Pour en lire plus...
  10. Le climat est tendu. Certains administrateurs n'hésitent d'ailleurs plus à remettre en question la politique de rendement trop axée sur la performance. Pour en lire plus...
  11. Le groupe britannique de confiserie a annoncé mardi une performance «alignée sur les attentes» au quatrième trimestre, malgré la crise économique. Pour en lire plus...
  12. Ce bénéfice est en forte augmentation par rapport aux 4,3 M$ rapportés l'an dernier. L'entreprise de Montréal attribue cette performance à une forte croissance interne et à ses acquisitions. Pour en lire plus...
  13. Les ventes au détail ont baissé de 0,3% en août dernier au Canada en dépit d'une bonne performance générale assombrie toutefois par les déboires du secteur automobile. Pour en lire plus...
  14. Le nombre de mises en chantier d'habitations est en hausse au Canada, une performance attribuable à l'Ontario. Pour en lire plus...
  15. Mediocre job performance is better than the alternative JAY BRYAN, The Gazette Published: 7 hours ago Canada's job market is in mediocre shape, we discovered yesterday, and when you look at the alternative, this is wonderful news. For the past few weeks, many economic forecasters have been nervously asking themselves if Canada could resist the powerful recessionary undertow from a slumping U.S. economy or whether we'd fall into a downturn similar to the one that's under way south of the border. The final answer might not be available for a little longer, but yesterday's August job reports out of Ottawa and Washington make it clear that, for now, Canada is doing much better than the U.S. and is certainly nowhere near recession. In Canada, employment grew by a solid, if uninspiring, 15,200 jobs, returning to growth after two months of declines. That left the unemployment rate at 6.1 per cent, just above its record low of 5.8 per cent in February. So far this year, the Canadian economy has created 86,900 jobs. In the U.S, by contrast, August proved to be the eighth month in a row of shrinking employment, with 605,000 jobs lost (divide by 10 for a rough equivalence to Canadian numbers) since the beginning of this year. Unemployment south of the border jumped to a five-year high of 6.1 per cent - which sounds low to Canadians, but because of differences in measurement methods, is approximately equivalent to a Canadian unemployment rate of 7.1 per cent. Canada's modestly good job report reinforces the rationale for the Bank of Canada's decision to hold interest rates steady this week. The bank's targeted rate is already quite low at three per cent, and there's no clear need to pump emergency stimulus into the economy. Indeed, one of the the country's weakest sectors in recent years, manufacturing, has shown surprising resilience this year. As of August, factory employment was down by just 14,000, or 0.7 per cent, for this year. That's quite an accomplishment, given the plunge in car purchases by U.S. shoppers, who are the key market for Ontario's giant auto industry. In fact, Ontario has done quite well for a manufacturing province heavily dependent on U.S. customers. So far this year, it has created 51,900 jobs and its unemployment rate has actually edged down to 6.3 per cent from last December's 6.5 per cent, thanks to strong employment in construction and service industries. Ironically, Quebec, another big manufacturing province, hasn't done nearly as well, even though its big aerospace industry is much healthier than the auto industry, helping Quebec's factory sector create some jobs this year. Still, Quebec is one of the few provinces not to have enjoyed overall job growth so far in 2008. In fact, employment has shrunk by 25,200, while the unemployment rate has risen to 7.7 per cent from 7.0 per cent at the end of last year. Montreal's unemployment rate is up just 0.1 per cent so far this year, to 7.3 per cent in August, but this doesn't reflect any better performance than Quebec's on the employment front. The city actually lost 15,700 jobs in the first eight months of the year, but this was mostly offset by the 13,000 workers who abandoned the Montreal job market, making them disappear from the unemployment calculation. They might have found better opportunities elsewhere, gone back to school or simply stopped looking after a tough job search.On the provincial level, Quebec construction employment has been lukewarm and consumer-oriented service industries like retailiing have been shedding jobs, notes economist Sébastien Lavoie at Laurentian Bank Securities. As well, education employment has shrunk in Quebec as it grew in Ontario. Lavoie suggests that Quebec consumers may feeling worried enough to be cutting back on spending, while in Ontario's bigger, more diverse economy, there are still enough areas of growth to offset the auto industry's distress. Nevertheless, Ontario's ability to shrug off the U.S. economy's distress could be living on borrowed time, warns economist Douglas Porter at BMO Capital Markets. There are layoff announcements and factory closings that have yet to go into effect, he notes. And as for Ontario's boom in condo and office construction, "I have to wonder how long it can hang on."
  16. Le Québec, un des pires marchés du travail sur le continent 28 août 2008 - 09h50 Presse Canadienne Une étude conclut que le Québec se classe à l'avant-dernière place en matière de performance de son marché du travail au Canada, l'une des pires en Amérique du Nord. L'étude publiée jeudi par l'Institut Fraser compare la performance du marché du travail dans les 10 provinces canadiennes et les 50 États américains. Jean-François Minardi, analyste de politiques publiques à l'Institut, indique que le Québec souffre d'un taux de chômage élevé, d'un important chômage de longue durée et la province affiche également l'un des plus mauvais résultats en matière de productivité du travail dans toute l'Amérique du Nord. L'étude comprend une mesure de la performance du marché du travail fondée sur cinq indicateurs soit la croissance totale du niveau d'emploi, celle de l'emploi dans le secteur privé, les taux de chômage, la durée des périodes de chômage et la productivité du travail sur une période s'étalant de 2003 à 2007. Le taux de chômage et la durée de recherche d'un emploi associés à la productivité des travailleurs ainsi que la mauvaise performance en matière de création d'emplois dans le secteur privé ont eu une influence négative sur le résultat global de la province. L'Alberta a le marché du travail le plus performant de toute l'Amérique du Nord, tandis que la Colombie-Britannique se classe deuxième au Canada et 11e en Amérique du Nord. En matière d'emploi dans la fonction publique, un écart est visible entre les provinces canadiennes et les États américains. Le Québec se classe 51e sur 60 en raison de son taux élevé d'emploi dans la fonction publique qui représente 19,8% de l'emploi total de la province. L'étude révèle aussi que le Québec a un taux de syndicalisation de 40,2%. Une raison expliquant ce taux de syndicalisation élevé est la législation du travail québécoise qui est, selon l'Institut, favorable aux syndicats. Or, la recherche démontre que les lois qui régissent les rapports entre employeurs et employés freinent la performance des marchés du travail lorsqu'elles favorisent un groupe au détriment d'un autre.
  17. Une étude de l'Institut Fraser conclut que le Québec se classe à l'avant-dernière place en matière de performance de son marché du travail au Canada, l'une des pires en Amérique du Nord. Pour en lire plus...
  18. Les fonds spéculatifs pourraient bien afficher leur pire performance mensuelle en cinq ans à la suite de paris sur les titres de sociétés financières et pétrolières. Pour en lire plus...
  19. Offensive de Future Shop au Québec 21 juillet 2008 - 06h25 La Presse Laurier Cloutier Agrandir Cette offensive s'explique par la bonne performance des dernières années au Québec et par l'absence de la chaîne dans des villes en croissance. Photo: Archives La Presse Grossir caractère Imprimer Envoyer Partager facebook digg del.icio.us Google Future Shop va presque tripler le nombre de ses ouvertures de magasins en 2008 au Québec et veut doubler d'ici 2010 sa part des ventes d'électroménagers dans ce marché. Cliquez pour en savoir plus : Future Shop | Thierry Lopez Après l'ajout de deux succursales en 2007, à Vaudreuil et Granby, Future Shop va investir plus de 20 millions cette année dans l'ouverture de cinq magasins et la relocalisation de celui de Sherbrooke, précise Thierry Lopez, directeur du marketing au Québec. La chaîne canadienne de Burnaby, en Colombie-Britannique, a déjà lancé un magasin au Quartier Dix30 de Brossard, en mai dernier, et va en ouvrir quatre autres, l'automne prochain, au Faubourg Boisbriand, à Saint-Jean-sur-Richelieu, à Drummondville et à Rimouski. «C'est une grosse année. Le réseau québécois passera ainsi de 24 à 29 magasins. Plus de 400 emplois seront créés», souligne-t-il. Bonne performance Cette offensive s'explique par la bonne performance des dernières années au Québec et par l'absence de la chaîne dans des villes en croissance. «Des clients attendent l'ouverture des magasins avec impatience», dit le directeur. Future Shop mise beaucoup par ailleurs sur les électroménagers dont elle veut «doubler sa part de marché en trois ou quatre ans», malgré la grande concurrence des détaillants du secteur. La chaîne attire surtout la clientèle masculine avec ses technologies, mais elle vise davantage la féminine avec les électros, note Thierry Lopez. Après une entente avec Kitchen Aid, Future Shop vient d'ajouter ces produits à sa gamme d'électros de LG. La chaîne en a profité pour renouveler la présentation de ces appareils, non plus alignés en rang d'oignons, mais placés dans un décor de cuisine dans les 133 magasins canadiens. Sans atteindre le prix d'une mini-auto, les nouveaux électros peuvent maintenant coûter cher. «Future Shop garantit toutefois le plus bas prix», assure Thierry Lopez. Un trio d'électros d'une marque donnée coûtera ainsi moins de 1000$, mais un autre, cinq fois plus. Les gains de Future Shop dans les électros pourront se faire aux dépens de Corbeil, Brault&Martineau, Brick et «tous les autres détaillants, mais la stratégie vise plutôt à répondre à la demande de la clientèle, affirme le directeur. La part de marché demeure encore minime, mais on a vu le grand potentiel». Un peu à l'exemple de Best Buy et de sa Geek Squad, la filiale Future Shop a par ailleurs lancé hier son nouveau service d'installation ConnectPro, pour l'audio d'auto, le cinéma maison et l'ordinateur. «L'offre d'installation et de réparation devient plus intégrée, dans le prolongement naturel de ventes» d'appareils sophistiqués, explique Thierry Lopez. Un sondage d'AskingCanadians.com a montré que 46% des Canadiens considèrent les appareils électroniques comme indispensables à la maison. Le défi, c'est toutefois le manque de temps (43%) et de compétences (41%) pour les brancher correctement. L'installation d'un poste de radio d'auto coûtera 50$ et celle d'un cinéma maison variera entre 100$ et quelques milliers de dollars. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080721/LAINFORMER/807210573/5891/LAINFORMER01
  20. Le prix de l'essence et l'état morose de l'économie font mal. L'industrie des motorisés pourrait même faire face à sa pire performance depuis le début des années 1990. Pour en lire plus...
  21. Cette performance surpasse aisément les attentes de Wall Street, sa division des services ayant continué à bien faire en dépit du malaise économique qui prévaut aux États-Unis. Pour en lire plus...
  22. Mais ce bénéfice, qui correspond à 3,92 $ US par action, risque de décevoir les investisseurs, puisque cette performance est inférieure aux attentes des analystes. Pour en lire plus...
  23. Une performance mitigée aux États-Unis a fait baisser les revenus d'un peu plus de 1% au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  24. La chaîne québécoise de pharmacies déclare une perte de 20,2M$ au 1er trimestre, soit trois fois plus que l'an dernier. Les résultats sont plombés par la performance de son partenaire américain Rite Aid. Pour en lire plus...
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