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  1. 40 M$ pour l’Airbnb quebecoise des espaces de travail | TVA Nouvelles La Montréalaise Breather, devenue le plus important réseau d’espaces de travail et salles de réunion sur demande en quatre ans, a obtenu un financement de 40 millions $ US. Il s’agit du plus gros investissement en capital de risque à Montréal. Et avec 73 millions$ US reçus depuis les premières phases de financement, cela en fait la startup la mieux financée du secteur grandissant des espaces de travail sur demande. Cette phase de financement a été menée par Menlo Ventures, la société de capital de risque derrière Uber, Tumblr, Warby Parker et Siri. «Pour nous, c’est juste le début », dit le président et cofondateur de Breather, Julien Smith, âgé de 37 ans. «C’est un marché super, super gros. On peut être présent dans chaque ville au monde.» Ce que les investisseurs voient en Breather, c’est le Uber ou le Airbnb de son industrie, soit celui qui a le plus de chance de s’imposer comme numéro un, après quoi la compétition rame pour le rejoindre. «Il y a une compagnie qui gagne dans chaque industrie, et les investisseurs croient que ce sera Breather pour l’immobilier commercial, dit Julien Smith. Comme on dit, «winner take all», le gagnant ramasse tout...» Plein de gens essaient de bâtir un réseau comme celui de Breather. «La majorité n’a pas réussi. On n’est pas les premiers, mais on les premiers pour lesquels ça fonctionne.» Ce qu’elle fait que les autres ne font pas Breather a débuté en 2012 par quelques espaces à Montréal. Elle en opère aujourd’hui plus de 300 dans 10 marchés, incluant New York, San Francisco, Londres, Chicago, Washington, Los Angeles et Toronto. Elle n’est évidemment pas la seule dans le marché florissant des espaces de travail locatifs ou collaboratifs. Mais son modèle s’apparente davantage à Airbnb qu’au géant WeWork, par exemple. Il n’y a aucuns frais d’abonnement ou de contrat à court ou long terme, ni d’espaces communs ou collaboratifs. Breather offre une multitude de lieux, éparpillés dans les quartiers les plus denses des grandes villes. «Plutôt que d’avoir un espace super grand, dans un endroit central, dit Julien Smith, notre stratégie est d’offrir une multitude de petits espaces. Et ils ne sont pas collectifs, mais exclusifs.» L’application est similaire à celle d’Airbnb: l’abonné indique la ville, le type de lieux recherchés (pour une réunion, du travail solo, ou faire des téléphones), la date, le temps recherché (une heure, une journée, une semaine) et les options s’affichent. Les prix varient en fonction du nombre de pieds carrés, de 25$ à 150$ de l’heure. Breather verse un pourcentage des revenus générés par chaque espace au gestionnaire immobilier à qui il loue. Les immeubles sont évidemment tous différents, mais les espaces sont tous aménagés par l’équipe de cinq designers de Breather, dirigée par Caterina Rizzi, cofondatrice de l’entreprise, qui est derrière la signature visuelle des boutiques Garage. «Notre objectif est que le client soit assuré d’avoir un espace dans lequel il a confiance», dit Julien Smith. Pour Venky Ganesan, le directeur général de Menlo Ventures, «Breather a su capter un réel besoin du monde du travail. Il n’existe aucune autre compagnie de ce type à offrir des espaces locatifs privés sur demande. Breather a eu l’idée formidable de rassembler des espaces à travers le monde et de les rendre accessibles à tous.» En folle croissance La clientèle de Breather se compose d’une grande variété d’utilisateurs, allant des travailleurs autonomes aux startups, jusqu’aux grandes corporations multinationales. Parmi les clients : Apple, Google, Uber, GE, American Express, L’Oréal et IBM, qui utilisent les espaces pour des rencontres ou des réunions d’équipe. «Durant la dernière année, nous avons accueilli des centaines de nouvelles entreprises par mois», dit Julien Smith. La plus récente phase de financement viendra nourrir la croissance. Toutes les grandes villes du monde entier sont dans la ligne de mire de Breather. Un immense marché. Breather emploi 80 personnes dans ses bureaux de la rue Gaspé, dans le quartier Mile-End, à Montréal, et 70 dans les villes où l’entreprise est implantée.
  2. 2,7M$ pour le patrimoine religieux à Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé mardi un investissement de 2,7M$ pour la restauration du patrimoine religieux montréalais. Cette aide financière servira entre autres à effectuer des réparations et des réfections sur huit bâtiments à caractère religieux de la métropole. Le choix des projets retenus a émané de la table de concertation de Montréal du conseil du patrimoine religieux du Québec. Les sommes les plus importantes de l’enveloppe sont allouées à la cathédrale Christ Church, au centre-ville et à la Maison mère d’Youville, dans le Vieux-Montréal. Québec consacrera respectivement 1M$ et 552 500$ à ces projets de restauration. «On a un devoir de mémoire à l’égard de notre patrimoine, ça fait partie de notre histoire, de notre identité, et on veut prendre soin de ce patrimoine-là pour le léguer aux générations futures», a déclaré le ministre de la Culture et des Communications, Luc Fortin, au moment de l’annonce. Le ministre a cherché à faire valoir l’importance du patrimoine religieux dans le paysage montréalais. «Dans les pays européens, il y a beaucoup de châteaux, et les gens sont intéressés à aller les visiter. Ici, au Québec, on a moins de châteaux, mais on a beaucoup d’églises, et on souhaite les préserver et les mettre en valeur», a-t-il illustré. Le directeur des politiques d’Héritage Montréal, Dinu Bumbaru, salue ces sommes «très bienvenues», mais fait remarquer qu’elles ne représentent qu’une partie des investissements nécessaires à la réfection de ce patrimoine bâti. Il ajoute que ces projets de restauration sont souvent le fruit de mobilisations et de campagnes de financement communautaires. M. Bumbaru confirme que les quelque 600 lieux de culte de la métropole occupent une place importante au sein de son patrimoine bâti. Il fait aussi remarquer que les bâtiments proviennent de diverses communautés montréalaises de l’époque, et non pas seulement de la communauté catholique. «Le patrimoine religieux, c’est souvent la somme de tous les arts qu’on a réunis dans ces constructions», explique-t-il, en ajoutant qu’on peut voir dans les églises plusieurs formes d’expression, dont la sculpture, la peinture, le plâtre et le vitrail, entre autres. «Même si aujourd’hui on a un regard beaucoup plus critique sur les grandes confessions, il faut reconnaître ceux qui nous ont précédé ont mis beaucoup d’efforts dans la réalisation de ce patrimoine-là», juge-t-il. C'est une bonne chose mais c'est trop peu -et j'espère qu'il n'est pas trop tard pour beaucoup d'édifices religieux !! Je sais pertinemment que les Anglicans à eux seuls ont besoin d'un minimum de $2M pour remplacer la flèche dans les plus brefs délais -soit dans un peu moins de deux ans !! Comme le fait remarque Mr Bumbaru : "Il ajoute que ces projets de restauration sont souvent le fruit de mobilisations et de campagnes de financement communautaires." Je sais que les anglicans prévoient en effet d'organiser une campagne de financement afin de trouver le reste de l'argent nécessaire pour ces travaux !! 2,7M$ pour le patrimoine religieux a Montreal | Metro
  3. Financer la venue d'événements sportifs internationaux à Montréal, renoncer au péage sur le pont Champlain, des centaines de millions pour le transport en commun, les routes et le logement social: le maire Denis Coderre a présenté sa liste d'épicerie aux partis fédéraux dans le cadre de la campagne électorale. La liste de la Ville de Montréal compte pas moins de 26 demandes, dont plusieurs requièrent des millions d'Ottawa. Le maire a présenté cette liste alors que les chefs des principaux partis commenceront à défiler à l'hôtel de ville. «On a besoin d'entendre les partis, on ne veut pas juste des consultations plates. On veut vraiment que les chefs se prononcent s'ils croient vraiment en Montréal», a déclaré le maire Coderre ce matin lors d'une réunion du comité exécutif. Le chef du Parti libéral du Canada Justin Trudeau rendra ainsi visite à Denis Coderre, avec qui il s'entretiendra des demandes de Montréal en matière fédérale. Une rencontre avec le chef du Bloc québécois Gilles Duceppe est prévue le 14 septembre et ce n'est qu'une question de temps avant que des dates soient fixées avec le chef du NPD Thomas Mulcair et la chef du Parti vert Elizabeth May. Le cabinet du maire dit n'avoir toujours pas reçu de réponse de l'entourage du premier ministre sortant et chef du Parti conservateur, Stephen Harper. «Le message a toujours été passé avec Stephen Harper, s'il ne vient pas, il manque quelque chose», a déclaré le maire Coderre lors de sa rubrique hebdomadaire du mercredi. «Peu importe, on est en contact continuellement avec Denis Lebel (le lieutenant politique de Harper au Québec) et si le chef du Parti conservateur croit en Montréal, ça va nous faire plaisir de l'accueillir.» Demandes de Montréal Transport en commun 200 millions récurrents pour Montréal -Financement pour les projets de SLR sur le pont Champlain et le Train de l'Ouest Infrastructures 342,5 millions pour Montréal sur 10 ans Postes Canada Rétablissement de la livraison du courrier à domicile Logement social Tripler les montants alloués à Montréal, pour les faire passer de 8 à 24 millions 185 millions annuellement pour la construction, l'entretien et la rénovation de logements sociaux Sécurité Rétablir un Fonds de financement des services policiers de 10 millions par an Financement annuel de 1 million pour le Centre montréalais de prévention de la radicalisation Femmes autochtones Mettre en place une commission d'enquête sur la disparition de femmes au Canada Développement économique Maintien de l'aide au secteur aérospatial de Montréal Davantage de soutien aux grappes industrielles de Montréal 375e anniversaire de Montréal Contribution directe aux festivités du 375e, Ottawa ayant mit 110 millions dans les festivités du 400e de Québec Pont Champlain Abandon du péage sur le futur pont Champlain Port de Montréal Transférer la responsabilité du Vieux-Port à la Ville Soutien du projet de restauration de la Gare maritime Iberville et de la jetée Alexandra Métropole internationale Financement d'événements sportifs internationaux Radio-Canada Réinvestir dans Radio-Canada Sites d'injection supervisée Respect de la décision de la Cour suprême http://www.lapresse.ca/actualites/elections-federales/201509/02/01-4897254-denis-coderre-presente-sa-liste-de-demandes-aux-partis.php
  4. La Caisse va financer le Train de l'Ouest et le SLR sur Champlain. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/economie/2015/01/13/001-entente-financement-infrastructure-caisse-depot-placement-quebec.shtml?isAutoPlay=1
  5. http://www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201501/12/01-4834558-slr-et-train-de-louest-la-caisse-de-depot-a-la-rescousse.php=author%3ADenis+Lessard&sort=recent"]Denis Lessard La Presse <iframe title="Twitter Follow Button" class="twitter-follow-button twitter-follow-button" id="twitter-widget-3" src="http://platform.twitter.com/widgets/follow_button.37e112509e16b7fe5e4cf93632594a08.fr.html#_=1421146325070&align=right&id=twitter-widget-3&lang=fr&screen_name=denis_lessard&show_count=false&show_screen_name=false&size=m" frameborder="0" scrolling="no" style="width: 70px; height: 20px;" allowtransparency="true" data-twttr-rendered="true"></iframe> (Québec) Fauché, le gouvernement du Québec s'est trouvé un allié richissime pour financer de coûteux projets de transports collectifs dont a désespérément besoin Montréal. La Caisse de dépôt et placement (CDP) deviendra bientôt le bailleur de fonds et le gestionnaire de projets d'infrastructures au Québec, comme le système léger sur rail (SLR) sur le futur pont Champlain et le train de banlieue pour desservir l'ouest de l'île de Montréal. <!-- .excerpt --> C'est ce qu'annonceront conjointement le premier ministre Philippe Couillard et le président de la CDP, Michael Sabia, ce matin dans l'atrium de la Caisse à Montréal. L'annonce de «l'entente commerciale», qu'on a voulu garder sous le boisseau le plus longtemps possible, réunira aussi le maire de Montréal Denis Coderre, le ministre des Finances Carlos Leitao et son collègue au Trésor, Martin Coiteux, a appris La Presse de plusieurs sources. Les annonces conjointes de la Caisse et du gouvernement ne sont pas courantes - la CDP est jalouse de son autonomie vis-à-vis des décideurs politiques. Aussi MM. Couillard et Sabia marcheront-ils sur des oeufs quand ils définiront les rapports à venir entre Québec et le bas de laine des Québécois. Jamais dans le passé le gouvernement n'avait pu ordonner à la Caisse de procéder à un investissement particulier; celle-ci était libre de toutes ses décisions sans considérations politiques. L'entente suppose l'adoption d'un projet de loi à l'Assemblée nationale pour permettre à la CDP de faire au Québec ce qu'elle peut déjà faire à l'étranger - elle a déjà près de 10 milliards de dollars d'investissements en infrastructures en dehors du Québec. Une fois la loi adoptée, le gouvernement pourra «confier des projets à la CDP, lui permettra d'en devenir le maître d'oeuvre, l'opérateur». Le gouvernement va continuer à choisir les projets, à décider de leurs orientations et de leurs échéanciers. La Caisse fera ses études et pourra les réaliser dans le même environnement réglementaire que les autres entrepreneurs au Québec. On comprend que la Caisse ne s'engagera pas dans un financement précis et n'annoncera pas formellement des projets aujourd'hui. Les deux projets du SLR et du train de l'Ouest monopoliseront l'attention, mais d'autres pourraient être définis. Mais avec cet allié richissime, Québec pourra faire transférer à la CDP une bonne partie du financement. Une étude de la Banque Nationale, cet automne, évaluait que les bénéfices que pourrait tirer la Caisse comme investisseur foncier avec de tels projets permettraient à l'institution de financer jusqu'à 35% du coût des projets. En panne de financement Les deux projets montréalais, le SLR (système léger sur rail) du pont Champlain et le train de l'Ouest, sont en panne faute de financement. Enferré dans des discussions avec Ottawa, Québec s'était résolu à se contenter d'une liaison par bus pour l'avenir prévisible sur le futur pont Champlain, compte tenu de la facture d'un SLR de plus de 2 milliards de dollars. Pour le train de l'Ouest, en campagne électorale, Philippe Couillard s'était engagé à terminer le projet pour relier le centre-ville et la municipalité de Vaudreuil-Dorion, traversant donc toute la partie ouest de l'île de Montréal. Encore là, le projet coûtait au bas mot 1 milliard de dollars, voire davantage selon le parcours et le nombre de gares, une facture trop élevée pour un gouvernement qui paie déjà 11 milliards par année en service de dette. L'investissement intéresse la CDP, qui pourra en tirer des revenus de deux sources: d'une part, elle pourrait obtenir une partie de la tarification, sa quote-part sur le prix des billets, un revenu lié à l'achalandage, une source plus traditionnelle. D'autre part, surtout, elle bénéficiera de la plus-value foncière des investissements immobiliers semés sur le parcours des nouveaux circuits. Cette filière de la valeur foncière était au centre d'une étude commanditée par la Banque Nationale publiée cet automne. Le Dr George Hazel, expert international dans le domaine du transport collectif, y propose que les investisseurs institutionnels, comme la Caisse de dépôt, puissent contribuer au financement de ces projets onéreux. La BN relevait d'ailleurs déjà que le SLR sur le pont Champlain et la desserte ferroviaire vers l'aéroport de Dorval et l'ouest de l'île étaient constamment remis aux calendes grecques, le gouvernement ne voulant pas ajouter à la dette. L'étude de la Banque Nationale tablait uniquement sur la plus-value foncière, et visait à «établir la hausse des profits estimée d'un investissement immobilier avec l'arrivée, par exemple, d'une nouvelle gare dans un quartier. Les promoteurs s'entendent ensuite avec les instances gouvernementales pour financier une partie des infrastructures publiques requises». La Ville de Brossard avait participé à l'étude, favorable à un lien rapide entre le Dix30 et le centre-ville.On estimait alors que la Caisse pourrait financer jusqu'à 35% du projet. À Londres, le projet Crossrail, un réseau ferroviaire pour désengorger la capitale britannique, est en construction au coût de 26 milliards de dollars. Les investisseurs institutionnels prendront 30% de la facture, tirant profit de la construction de 10 nouvelles stations. À New York, pour le prolongement de la ligne 7 du métro, le secteur privé contribue aussi au financement du transport collectif, le Hudson Yards, actuellement le plus gros chantier immobilier en Amérique. Un changement de culture L'étude de la Banque Nationale tablait sur «un changement de culture» pour faire en sorte que les responsables de transports collectifs comme la STM ou l'AMT génèrent des revenus qui ne dépendraient pas des contribuables ou des automobilistes. Actuellement, seulement 1% des revenus de l'AMT et 3% des revenus de la STM proviennent du privé. En comparaison, la société de transport de la ville de Hong Kong touche 40% de ses revenus grâce au privé qui, en retour, profite de «la captation de la plus-value foncière». Au Québec, une étude réalisée aux environs des gares de trains de la ligne vers Mont-Saint-Hilaire a démontré qu'en trois ans, les résidences situées à moins de 1500 mètres auraient vu leur valeur augmenter de 5% à 13%. - Avec la collaboration d'Hélène Baril et François Cardinal
  6. Je mets cet article fort intéressant dans ''Actualité'', étant donné que ce genre de nouvelle risque de plus en plus de voir le jour. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201403/16/01-4748307-transports-en-commun-88-des-quebecois-veulent-plus-dinvestissements.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Les Québécois sont quasi unanimes à penser qu'il faut investir davantage dans les transports en commun, y compris ceux qui ne les utilisent pas. Selon un sondage CROP réalisé pour le compte de l'Association du transport urbain du Québec (ATUQ) en janvier dernier, 88% des répondants, usagers ou non, ont estimé qu'il était «assez» ou «très» important de mettre plus d'argent dans ces services. L'appui au financement accru des transports collectifs croît directement avec l'usage. Ainsi, 98% des répondants qui disent les utiliser souvent, et 94% des usagers occasionnels pensent qu'on devrait les financer davantage. Dans la région métropolitaine de Montréal, où les transports collectifs sont les plus visibles, les plus utilisés et les plus accessibles, ce pourcentage atteint 90% des répondants, et ce, qu'ils soient usagers ou non du métro, des trains de banlieue ou des services de bus. L'appui aux transports collectifs est moins élevé chez ceux qui ne les utilisent jamais, mais tout de même surprenant; 80% des répondants qui ont affirmé n'être pas des usagers de ces services estiment quand même qu'il serait important d'y investir davantage, selon le sondage de l'ATUQ, qui regroupe les neuf plus grandes sociétés de transports en commun du Québec. La population de la région de Québec semble plus tiède qu'ailleurs en province, selon CROP. Son appui à des investissements supplémentaires dans les transports en commun ne dépasse pas 80% des répondants, qu'ils soient usagers ou non. Hors des régions de Montréal et de Québec, l'appui à un financement additionnel des transports collectifs atteint 87% de la population, usagers ou non confondus. Des autobus avant des routes Les opinions largement favorables à une augmentation du financement des transports en commun sont plus nuancées lorsqu'on propose aux répondants un choix de moyens pour «assurer une meilleure circulation sur les routes du Québec». Les investissements dans les transports collectifs sont alors favorisés par 48% des répondants de l'ensemble du Québec, alors que 42% privilégient plutôt la construction de nouvelles routes. Ces résultats sont intéressants dans la mesure où ils ont été exprimés en janvier, soit bien avant la publication de la Stratégie de mobilité durable du gouvernement Marois, en vertu de laquelle des budgets de plus de 900 millions prévus pour la construction routière, de 2015 à 2020, ont été transférés vers des projets de maintien des actifs dans les réseaux de transports en commun de la province. Par ailleurs, 53% des répondants affirment qu'un investissement dans les transports en commun serait de nature à améliorer leur perception à l'égard du gouvernement du Québec, «parce qu'il veut améliorer la qualité de vie de ses citoyens». À la même question, 43% des gens ont affirmé que cela ne changerait pas leur opinion du gouvernement. Un maigre 4% ont exprimé qu'ils auraient une moins bonne opinion du gouvernement du Québec s'il augmentait les sommes consacrées aux transports collectifs. Selon le sondage de l'ATUQ, réalisé par questionnaire sur l'internet à partir d'un groupe web, entre les 16 et 19 janvier derniers, un peu plus de la moitié des 1000 répondants, soit 52%, affirment qu'ils n'utilisent «jamais» les transports collectifs. Ce pourcentage augmente à 71% hors des régions de Montréal et de Québec. Dans la région de la capitale nationale, 62% des personnes sondées affirment ne pas utiliser ces services, alors que dans la région de Montréal, c'est seulement une personne sur trois (34%) qui affirme ne «jamais» utiliser les transports en commun.
  7. Un musée plus grand? Photo: Jean-Claude Dufresne/©Le Québec en images, CCDMD Église Erskine & American (image modifiée) Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) met en marche son projet, caressé depuis longtemps, de transformer l'église Erskine & American en pavillon d'art canadien, rapporte La Presse. Inoccupé depuis 2004, l'édifice patrimonial du 19e siècle jouxte le pavillon Michal et Renata Hornstein du MBAM. L'arrondissement de Ville-Marie se prononce vendredi sur le projet, lit-on dans le quotidien. La nef serait convertie en salle de concert, de réception et de conférence. Selon l'arrondissement, le Musée souhaite aussi démolir la partie arrière de l'église. Un bâtiment « de facture contemporaine » serait érigé à la place et abriterait des salles d'exposition. L'étude du projet en est à sa première étape. L'arrondissement doit d'abord modifier son plan d'urbanisme. Le projet ne pourra aller de l'avant que lorsque le conseil municipal de Montréal l'aura adopté. Des détails la semaine prochaine Le MBAM doit tenir une conférence de presse la semaine prochaine afin de donner plus de détails sur le projet. L'institution de la rue Sherbrooke tente depuis des années d'intégrer l'ancienne église Erskine & American dans son giron muséal. Divers scénarios ont avorté, faute de financement. En 2004, un projet estimé à 12 millions n'avait notamment pas vu le jour faute de financement, rappelle La Presse. Rien n'a été précisé sur le montage financier du projet actuel.
  8. Il n'y a pas trois ans, trouver de nouvelles pousses technologiques montréalaises prometteuses relevait du défi. Cette année, c'est faire le tri dans le lot de ces jeunes «start-up» qui est le plus difficile. Sur les talons de Beyond the Rack et de Woozworld, en voici cinq qui pourraient faire leur marque en 2012. Gamerizon Gamerizon se spécialise dans les jeux mobiles grand public. Le succès de sa série de jeux mobiles Chop Chop lui a permis de décrocher un financement de 5 millions, l'automne dernier. Les ambitions du studio montréalais sont cependant bien plus élevées que cela: l'entreprise se voit comme le prochain Zynga, géant du jeu vidéo de prochaine génération. «L'entreprise a certainement les moyens de générer des revenus annuels supérieurs à 100 millions», estime Chris Arsenault, directeur du fonds iNovia, qui participe au financement de l'entreprise. Hopper Les sites de voyage se suivent et se ressemblent. Hopper risque de tomber comme un pavé dans la mare. Trois ans de développement et 8 millions en financement obtenus à la fin de l'été 2011 font monter les attentes pour ce moteur de recherche fondé par trois anciens d'Expedia. L'objectif: répondre à des requêtes comme «meilleures plages d'Europe» ou «villes d'Espagne» avec des résultats concrets: noms de lieux, vols abordables, hébergement sur mesure. «Il n'existe pas d'Amazon, d'iTunes ou de Google pour le voyage. C'est ce que Hopper compte devenir», a récemment déclaré Frédéric Lalonde, cofondateur de Hopper. iGet.it Des sites tels Amazon, eBay et Groupon semblent avoir saturé le magasinage à rabais sur l'internet, alors les fondateurs de iGet.it ont opté pour la formule inverse: offrir peu de produits exclusifs, triés sur le volet, à des acheteurs fortunés. Des ventes éclair qui devraient plaire aux fabricants désireux de liquider leur inventaire sans dégrader la valeur de leur marque, explique Jean-Yves Martineau, cofondateur du site. «C'est simple et ingénieux. En plus, l'équipe a déjà un oeil sur l'évolution future du site», dit Jean-Sébastien Cournoyer, de Real Ventures, un des principaux investisseurs dans iGet.it. Planora Planora s'est dotée d'un nouveau PDG en novembre dernier: Pierre Donaldson, ancien membre du conseil de Mediagrif et partenaire depuis 2005 dans le fonds BlackBerry chez JLA Ventures. C'est généralement bon signe de voir un investisseur effectuer un tel saut. Spécialisée dans la conception automatisée d'horaires de travail sur mesure, Planora a notamment permis à la SAQ de réduire sensiblement le coût de gestion de ses 3000 employés. Prochain objectif: prendre d'assaut le marché anglophone des moyennes et grandes entreprises. Wajam Google et Microsoft ne jurent plus que par la recherche sociale. Wajam se targue de les avoir coiffés au poteau. La jeune entreprise montréalaise propose aux internautes un plugiciel gratuit qui compile les recommandations de leurs contacts sur Facebook, Twitter ou ailleurs, et qui intègre les plus pertinentes dans les résultats de recherche de Bing, Google, Amazon, TripAdvisor et Yelp, notamment. Wajam vient d'ajouter une fonction de recommandation de séquences vidéo. Ne reste plus qu'à trouver une façon de rendre cette opération profitable. http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/201201/09/01-4484049-cinq-start-up-montrealaises-a-surveiller-en-2012.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_aujourdhui-sur-lapresseca_267_accueil_ECRAN1POS2
  9. (4 avril 2007)La région de Montréal va connaître au cours des deux prochaines années une forte vague d’ouvertures d’hôtels. Ce boom est plutôt surprenant, en raison d’une croissance de clientèle plutôt modeste. Il s’expliquerait par l’arrivée de gros capitaux de financement pour l’hôtellerie, une situation qu’on n’avait pas connue depuis longtemps. Alors que plusieurs ont cru à une pause de l’hôtellerie après les chantiers d’hôtels-boutiques, voilà que ce secteur affiche un regain de vigueur qui en étonne plusieurs.
  10. La population du centre-ville de Montréal a retenu l’attention d’un groupe de chercheurs qui ont évalué, pour la première fois, l’importance qu’y a la population transitoire. L’étude, réalisée par le Groupe de recherche sur les espaces festifs (GREF) et dont les résultats ont été dévoilés lundi, a permis de constater que 23 000 individus résident au centre-ville alors que 350 000 personnes, dont 120 000 étudiants, y transitent chaque jour sans y habiter. Le Carrefour jeunesse-emploi (CJE) Montréal centre-ville, qui a donné l’impulsion au projet d’étude, espère que ces premières données lui permettront d’améliorer le financement auquel il estime avoir droit. «Nous sommes financés au prorata de la population résidente du centre-ville, a indiqué Suzanne Matte, directrice générale du CJE Montréal centre-ville. Le problème, c’est que 70 % de notre clientèle est transitoire. Seulement 30 % d’entre elle réside sur notre territoire.» Cette réalité a aussi nui au financement d’autres partenaires de l’étude, dont le Centre de santé et de services sociaux de la Montagne et le YMCA Centre-ville. Puis*qu’aucune statistique n’avait été compilée sur la population transitoire, les données des recensements avaient préséance dans l’attribution de l’aide financière. Qui transite? La principale raison de la présence de la population transitoire au centre-ville : 1 Études : 42,5 % 2 Travail : 30,2 % 3 Consommation : 27,1 % http://www.journalmetro.com/montreal/article/539225--qui-est-la-population-du-centre-ville
  11. Dévoilement de l'étude "La culture à Montréal: impacts économiques et financement privé" MONTRÉAL, le 20 nov. /CNW Telbec/ - La Chambre de commerce du Montréal métropolitain dévoile aujourd'hui les résultats de son étude intitulée : La culture à Montréal : impacts économiques et financement privé. Réalisée dans la foulée du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle, cette analyse illustre, avec des données concrètes, la puissance du secteur culturel comme levier de développement économique pour Montréal et dresse un portrait synthétique de la contribution du secteur privé. "En réalisant cette étude sur les impacts économiques du secteur culturel à Montréal, nous avions la volonté de contribuer à une meilleure compréhension collective de cet atout incomparable pour la métropole. Nous souhaitions également nous doter d'un outil rigoureux et reproductible dans le temps. En effet, l'étude a été conçue de façon à servir de jalon pour suivre l'évolution de ce secteur hautement stratégique pour Montréal, de même que l'implication du secteur privé à son financement au fil des ans", a déclaré Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. "Je me réjouis que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain dévoile aujourd'hui une analyse qui démontre "chiffres en main" la place importante qu'occupe la culture dans l'économie de la grande région de Montréal. Ce document constituera assurément un ajout positif dans notre réflexion sur les façons de préparer l'avenir pour les multiples acteurs culturels de la métropole", a pour sa part dit Christine St-Pierre, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine. À la lumière des résultats qui émanent de l'étude, la Chambre tire les trois grands constats suivants : 1. Un secteur économique vigoureux et en croissance "Le secteur culturel est un créateur d'emplois important avec près de 100 000 personnes qui y œuvrent dans le Grand Montréal. Il s'agit là d'un nombre d'emplois supérieur à celui généré par les grappes des sciences de la vie et de l'aérospatiale combinées. Qui plus est, l'emploi y croît trois fois plus rapidement que pour l'ensemble des autres secteurs économiques et ces emplois en culture ont un effet de levier plus grand que la moyenne sur la création d'emplois indirects", a indiqué Michel Leblanc. "Parmi les données économiques qui méritent d'être soulignées, mentionnons que le secteur culturel montréalais génère des retombées économiques totales de 12 milliards de dollars, dont près de huit milliards en retombées directes, ce qui représente 6 % du PIB de la métropole. C'est énorme!", a ajouté Michel Leblanc. 2. Un "cœur créatif" fragile "Malgré la vigueur dont témoignent les données économiques du secteur culturel montréalais, il faut se garder d'être complaisants. Le "cœur créatif culturel" de Montréal - le secteur artistique - est fragile. En effet, quand on observe le sous-secteur qui est au centre du foisonnement culturel montréalais, soit les artistes, auteurs et interprètes, on se rend compte qu'il demeure généralement précaire. Cette catégorie de travailleurs a des revenus représentant la moitié du salaire moyen à Montréal, et près de 20 000 $ en deçà du revenu moyen en culture", a précisé Michel Leblanc. 3. Une implication notable, mais inégale, du secteur privé "En culture, le secteur privé est un joueur important. Quand on analyse le budget des organismes culturels en lien avec le Conseil des arts de Montréal, on constate que le financement privé est de l'ordre de 21 %. Cependant, les engagements dans le domaine des arts ont souvent une portée qui varie grandement selon la taille des organismes et leur secteur d'activité. Cela met en lumière un enjeu majeur : comment favoriser une meilleure collaboration entre les entreprises et les organismes culturels ? Et comment faire en sorte que le "cœur créatif" soit encore mieux appuyé ? Cette étude représente autant un témoignage du dynamisme économique de notre secteur culturel qu'un appel à la mobilisation des gens d'affaires en sa faveur. À nous maintenant de poursuivre nos efforts pour développer des stratégies de renforcement afin que notre secteur culturel se développe davantage et contribue pleinement à la création de richesse", a conclu Michel Leblanc. Faits saillants de l'étude - En 2008, on recensait 96 910 emplois directs, une croissance annuelle de 4,6 % en 10 ans, soit presque trois fois plus que la moyenne globale du marché du travail, qui était de 1,7 % sur la même période. - Les retombées économiques annuelles totales (directes et indirectes) du secteur de la culture à Montréal sont évaluées à 12 milliards $. La contribution directe à l'économie est de 7,8 milliards $, soit environ 6 % du PIB de la grande région de Montréal. - Le salaire moyen des artistes, auteurs et interprètes est de 24 400 $. Cette catégorie d'emploi est la moins bien rémunérée du secteur culturel, soit à peine plus que la moitié (55 %) du salaire moyen dans le secteur culturel (44 000 $). - Les 294 organismes artistiques constituant l'échantillon analysé par le Conseil des arts de Montréal sont financés à 21 % par le privé, soit 14 % en dons et 7 % en commandites. Cette proportion varie beaucoup en fonction du budget ainsi que du domaine d'activité des organismes. Cette étude de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain a été réalisée grâce au soutien financier du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine du Québec ainsi qu'à la collaboration de Culture Montréal et du Conseil des arts de Montréal. Hyperlien à l'étude : http://www.ccmm.qc.ca/financement_culture
  12. En 2022, 2026 ou 2030... La Presse Canadienne 09/11/2009 16h30 Plus d'une décennie après le revers pour l'obtention des Jeux de 2002, la ville de Québec continue d'entretenir le rêve olympique. Mais la marche est longue et pourrait durer encore 20 ans. Le premier ministre Jean Charest a annoncé lundi la nomination de l'homme d'affaires Claude Rousseau à la tête d'un comité chargé de paver la voie à la tenue de championnats du monde, en prélude à une éventuelle candidature olympique. Président des Remparts de Québec de la Ligue de hockey junior majeur du Québec (LHJMQ), M. Rousseau et son groupe de travail identifieront les infrastructures requises à la tenue de grands événements sportifs et proposeront des modes de financement. À terme, le comité espère démontrer le savoir-faire de la ville de Québec en prévision d'une nouvelle candidature olympique pour les Jeux de 2022, de 2026 ou encore de 2030. Le comité est doté d'un budget de 1 million $ provenant des surplus générés par les activités des fêtes du 400e de la ville de Québec en 2008. En 1995, la candidature de la ville de Québec pour les Jeux d'hiver de 2002 avait été rejetée par le Comité international olympique (CIO) au profit de celle de Salt Lake City, en Utah, aux Etats-Unis.
  13. Universités - Le Québec est en queue de peloton au chapitre du revenu par étudiant Brigitte Saint-Pierre Édition du samedi 15 et du dimanche 16 août 2009 Le Québec est l'une des provinces canadiennes où les universités disposent du revenu par étudiant le moins élevé. Selon Heather Munroe-Blum, présidente de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), cette situation ne peut qu'affecter la qualité et l'accessibilité de l'enseignement universitaire. Bien que des progrès aient été réalisés au cours des dernières années, les universités québécoises continuent de souffrir d'un sous-financement important par rapport aux universités des autres provinces canadiennes, affirme Heather Munroe-Blum, présidente de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), qui est également principale et vice-chancelière de l'Université McGill. Selon des données compilées par l'Association canadienne du personnel administratif universitaire (ACPAU), en 2006-2007, le Québec était, après le Manitoba, la province canadienne où les universités disposaient du revenu de fonctionnement par étudiant (équivalent temps plein) le plus bas. L'ACPAU inclut dans le revenu de fonctionnement à la fois les subventions de fonctionnement provenant des gouvernements provinciaux, les droits de scolarité et les autres droits. Selon la CREPUQ, différents partenaires doivent prendre part au financement des universités québécoises: le gouvernement, les étudiants ainsi que la communauté philanthropique, les diplômés et les entreprises. Chacun de ces partenaires devrait fournir un apport financier concurrentiel par rapport à celui de leurs homologues des autres provinces canadiennes, estime Mme Munroe-Blum. La présidente de la CREPUQ souligne que, jusqu'à récemment, le financement par étudiant qu'offrait le gouvernement québécois était élevé par rapport à celui en vigueur dans les autres provinces canadiennes. «Maintenant, des gouvernements provinciaux ont rattrapé le Québec, et certains l'ont même dépassé», dit-elle. Terre-Neuve-et-Labrador et l'Île-du-Prince-Édouard ont ainsi dépassé le Québec et l'Alberta s'en approche. «Les étudiants, qui sont les principaux bénéficiaires, paient les droits de scolarité les moins élevés [au Canada], ajoute Mme Munroe-Blum. Et, au Québec, les entreprises et les diplômés, qui bénéficient également du fait d'avoir une population hautement scolarisée, ne soutiennent pas autant les universités que les entreprises et les diplômés ailleurs au pays.» La FQPPU déplore La Fédération québécoise des professeures et professeurs d'université (FQPPU) évoque elle aussi «le sous-financement chronique des universités», en particulier depuis le milieu des années 1990. Le gouvernement fédéral avait alors réduit de façon importante les transferts destinés à l'enseignement postsecondaire. «Bien qu'il y ait eu un réinvestissement des gouvernements au début des années 2000, la situation perdure, affirme Max Roy, président de la FQPPU. Le financement reste insuffisant. Et, en fait, il est inadéquat pour que soit pleinement accomplie la mission des universités.» M. Roy déplore que des fonds soient accordés en fonction de priorités adoptées par les gouvernements, qui ne correspondent pas toujours à celles des universités. «La mission sociale de l'université est très souvent négligée par rapport à la dimension de développement économique», affirme-t-il. Selon la FQPPU, il manque 1000 professeurs dans les universités québécoises. Cette situation est attribuable au sous-financement des établissements, estime M. Roy. La FQPPU souligne que le nombre de professeurs n'a pas crû au même rythme que celui des étudiants. Le sous-financement des universités a aussi pour effet d'inciter les directions d'établissement et les professeurs à consacrer du temps et des efforts importants à chercher des fonds externes, ajoute M. Roy. Selon lui, il place également les universités en concurrence les unes avec les autres et les pousse à tenter d'attirer un plus grand nombre d'étudiants. «C'est une attitude qu'on pourrait qualifier de recherche de clientèle.» La FQPPU plaide pour la tenue d'états généraux sur l'université québécoise et pour un réinvestissement dans l'embauche de professeurs. La FEUQ défend l'accessibilité De son côté, la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) propose différentes avenues pour contrer le sous-financement des universités. L'une d'entre elles consisterait en un investissement plus important de la part de l'État québécois. La FEUQ fait remarquer que Québec a choisi en 2007 de consacrer à des baisses d'impôt les 700 millions de dollars transférés par Ottawa. Elle souligne que le gouvernement québécois n'a pas non plus d'entrée de jeu profité de la baisse de la TPS pour hausser la TVQ. «Cela a privé le Québec d'énormément d'argent. Cet argent aurait pu être utilisé notamment en éducation», estime Jean Grégoire, président de la FEUQ. Selon lui, il faudrait également développer une plus grande culture de la philanthropie au Québec. La FEUQ propose ainsi d'augmenter la subvention de contrepartie. «Actuellement, le gouvernement verse 25 cents pour chaque dollar de don. On demanderait que ce soit 1 $ du gouvernement pour 1 $ en philanthropie.» La FEUQ souhaite également que le gouvernement fédéral augmente le montant du Transfert canadien en matière de programmes sociaux (TCPS), en vue notamment de financer l'enseignement postsecondaire. La FEUQ rejette l'idée d'une éventuelle hausse des droits de scolarité. «L'investissement des étudiants, ç'a toujours été annoncé avec un investissement substantiel du gouvernement de son côté. Sauf qu'actuellement on ne voit pas ça», dit M. Grégoire. «Augmenter les droits de scolarité, c'est porter atteinte à l'accessibilité des études, affirme-t-il également. C'est aussi énormément d'endettement pour les jeunes. On parle déjà actuellement en moyenne de 12 000 $ d'endettement à la fin des études. Sans compter qu'à cela il faut ajouter le fardeau de la dette du Québec que les jeunes vont porter. Avec la courbe démographique et les récents déficits qui s'accumulent, les jeunes vont avoir énormément à porter sur leurs épaules.» Infrastructures La FEUQ évoque l'incidence du manque de financement des universités sur les bibliothèques des établissements, sur le nombre de professeurs et sur l'entretien des bâtiments. Selon le rapport d'un comité de travail mis sur pied par la CREPUQ, l'entretien différé accumulé pour l'ensemble des universités québécoises s'élevait en 2007 à plus de 1,5 milliard de dollars. Par entretien différé accumulé, on entend «l'accumulation de travaux d'entretien, de réparation ou de rénovation majeurs, de renouvellement, d'entretien courant et de réparation mineurs qui, faute de budget, ont été reportés». La CREPUQ a salué en juin l'annonce d'une somme de 700 millions de dollars pour l'amélioration des infrastructures universitaires québécoises. Cet investissement découle du Programme d'infrastructure du savoir et proviendra du gouvernement fédéral, du gouvernement du Québec et d'autres partenaires. La CREPUQ souhaite que les projets retenus soient connus rapidement, pour qu'ils puissent être complétés dans les délais fixés. La FQPPU note que des immeubles et des équipements de certains établissements universitaires sont dans un état déplorable et qu'il faudra bien sûr corriger cette situation. «Notre crainte, c'est que, pour corriger des problèmes d'ordre matériel, on puise à même les sommes qui normalement devraient servir au fonctionnement des activités universitaires, au fonctionnement des programmes, à l'embauche de professeurs, au soutien aux étudiants dans les universités», dit Max Roy. La FQPPU travaille à l'analyse du financement des immobilisations dans les universités québécoises. Elle a observé que les fonds d'immobilisations ont beaucoup augmenté au cours des dernières années et «qu'une part importante du fonds de fonctionnement a dû être consentie à la résolution de problèmes d'ordre immobilier ou d'ordre matériel». Elle fera paraître à l'automne un document qui traitera de cette question.
  14. GE Capital : nouveau siège social à Montréal Publié le 26 mai 2009 à 10h18 | Mis à jour à 10h23 La Presse Canadienne GE Capital (GE) a annoncé mardi l'ouverture de son nouveau siège social canadien à Montréal. L'inauguration de ces bureaux, au centre-ville, «souligne notre confiance dans les perspectives de croissance à long terme des entreprises canadiennes», a indiqué le président et chef de la direction de GE Capital Canada, Patrick Palerme, dans un communiqué. Quelque 170 employés travaillent au siège montréalais de GE Capital, tandis qu'un peu plus de 400 autres travaillent dans une vingtaine de bureaux canadiens. GE Capital a lancé ses activités au Canada en 1986. La société offre aux entreprises canadiennes des services personnalisés, regroupés sous six groupes commerciaux : financement aux entreprises, financement «corporatif», financement aux fournisseurs, gestion de parcs de véhicules, financement d'avions d'affaires et financement de franchises.
  15. Commerce durable L'Alliance financière s'installe à Montréal Agence QMI Marc-André Boivin 27/03/2009 17h53 http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/03/20090327-175309.html C'est maintenant officiel, l'Alliance financière pour le commerce durable (AFCD) est établie à Montréal. L'organisation pourra ainsi bénéficier pleinement des réseaux métropolitains impliqués dans le développement durable, a justifié Jason Potts, président de l’Alliance lors de l’inauguration du secrétariat de l’organisme dans la métropole. Comptant parmi ses membres des prêteurs commerciaux, des institutions de crédit alternatives, des organisations de producteurs de petites et moyennes entreprises durables, des institutions de développement et d'autres acteurs de la chaîne d'approvisionnement agricole, l’AFCD a pour objectif d'offrir un meilleur accès au financement pour les petites et moyennes entreprises qui favorisent le développement durable. Pour ce faire, l'Alliance financière pour le commerce durable doit assurer une croissance continue de la production et du commerce durables en aidant les producteurs des pays en voie de développement à obtenir un financement commercial adapté à leurs besoins. «L’inauguration du secrétariat de l’AFCD dans une ville internationale du Canada représente une étape primordiale dans la croissance d’un secteur global de services financiers associés au développement durable. Notre établissement à Montréal annonce un avenir prometteur pour notre organisation qui pourra bénéficier pleinement des réseaux métropolitains impliqués dans le développement durable», a déclaré Jason Potts, président de l’AFCD par voie de communiqué. M. Potts estime qu'en assurant la liaison entre l'accès accru au financement ainsi qu'une production durable, son organisation va jouer un rôle primordial en faisant la promotion d'une nouvelle économie verte au Canada et ailleurs dans le monde. Le président n'a pas manqué de souligner l'appui reçu de la part de Montréal International. Les bureaux de l'Alliance financière pour le commerce durable sont situés au Centre de commerce mondial de Montréal, rue Saint-Jacques.
  16. La papetière a jusqu'à minuit, mercredi soir, pour négocier le financement d'une partie de sa dette par des banques américaines. Pour en lire plus...
  17. La papetière a jusqu'à minuit, mercredi soir, pour négocier le financement d'une partie de sa dette par des banques américaines. Pour en lire plus...
  18. Publié le 19 février 2009 à 05h10 | Mis à jour à 05h10 La crise frappe, les PPP vacillent André Noël La Presse Résultat de la crise financière: les projets de partenariat public-privé (PPP) vacillent un peu partout dans le monde, les banques hésitant à consentir des prêts aux entreprises impliquées, sauf à des taux d'intérêt élevés, indique un rapport récent de la firme PriceWaterhouseCoopers. De grandes sociétés étrangères qui participent aux deux consortiums présélectionnés pour construire le Centre hospitalier de l'Université de Montréal en PPP connaissent d'ailleurs des difficultés d'accès au crédit, ce qui pourrait retarder le lancement des appels de propositions, a constaté La Presse. «Les marchés du crédit sont presque à sec», explique Richard Abadie, responsable des infrastructures chez PriceWaterhouseCoopers, une firme bien connue pour son expertise en PPP, dans un rapport intitulé Financement des infrastructures - survivre au resserrement du crédit. «Les prévisions à court terme demeurent sombres. Peu de projets (en PPP) seront conclus. Plusieurs d'entre eux ont déjà été mis sur la glace, ajoute le rapport, publié en décembre. Le crédit bancaire est simplement insuffisant, et inefficace, comme source de financement à long terme (...) Il est naïf de s'attendre à ce que les marchés reviennent aux bas taux de financement obtenus pendant le premier semestre de 2007.» Dans le mode conventionnel, les gouvernements empruntent l'argent pour construire des immeubles ou des infrastructures. Ce modèle domine toujours dans la plupart des pays. Le modèle des PPP a émergé il y a quelques années: une compagnie ou un consortium contracte les emprunts, finance la construction du bâtiment, puis le loue au gouvernement. Les partisans des PPP, comme la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget, soutiennent que le gouvernement transfère les risques financiers à l'entreprise privé en agissant de la sorte. S'il y a un dépassement de coûts dans la construction, c'est l'entreprise qui écope et pas le gouvernement, affirment-ils. Mais avec la crise, les banques hésitent à prêter aux entreprises privées. En revanche, elles n'hésitent pas à prêter aux gouvernements. Les gouvernements obtiennent des taux d'intérêt beaucoup plus bas que les entreprises. Dans ce contexte, la construction revient beaucoup plus chère en PPP qu'en mode conventionnel. Des consortiums se sont engagés dans les PPP en faisant des emprunts à court terme, et en croyant pouvoir se refinancer à des taux d'intérêt relativement bas lorsqu'ils commenceraient à toucher les loyers. Mais aujourd'hui, ils éprouvent beaucoup de difficultés à renouveler leurs emprunts sans augmenter les paiements d'intérêt. «Ils pourraient faire face à des paiements de dette plus élevés que prévus, ou même être incapables de se refinancer», prévient le rapport de PriceWaterhouseCoopers. Le mois dernier, La Presse a révélé que la société australienne Babcock and Brown, membre du consortium Accès Santé CHUM, a vu sa situation se détériorer à un tel point que ses actions ont été suspendues en Bourse. Cette entreprise est aussi membre d'un consortium pour la construction en PPP de la salle de concert de l'Orchestre symphonique de Montréal. Ce n'est pas tout. La société espagnole Acciona, qui s'occupe elle aussi de l'ingénierie financière dans le même consortium pour le CHUM, a un taux d'endettement plutôt inquiétant. Cette firme a également emporté l'appel de propositions pour le prolongement de l'autoroute 30 en mode PPP. «Ce groupe est aujourd'hui aux abois, note le journal financier français Les Échos dans son numéro d'hier. Sous la pression de ses banques, qui s'inquiètent de son endettement, Acciona va sans doute être contraint de céder sa participation (dans un groupe énergétique).» Début février, Acciona s'est elle-même plainte que «le marché (est) complexe, avec un accès très limité au crédit». La société anglaise Innisfree, qui s'occupe de l'ingénierie financière dans le deuxième consortium présélectionné pour le CHUM, vient d'appeler le gouvernement britannique à l'aide pour sauver les PPP au Royaume-Uni, considéré comme le pays-modèle en cette matière par la ministre Jérôme-Forget. Dimanche dernier, Tim Pearson, directeur d'Innisfree et porte-parole du Forum sur les PPP en Grande-Bretagne, a indiqué que les sociétés privées avaient besoin de l'aide de l'État pour assurer le financement qui aurait dû être fourni par des prêts commerciaux. Selon lui, l'État britannique devrait consentir une aide de 4 milliards de livres pour sauver les projets en PPP. Le nombre de contrats en PPP signés en Grande-Bretagne l'année dernière est le plus bas depuis 11 ans. Un contrat pour une route de 11 milles a été signé en janvier 2009, mais la moitié du financement est assurée par une banque du secteur public. John Tizard, directeur du Centre pour les partenariats en services publics de l'Université de Birmingham, affirme que les banques n'ont plus d'argent pour les hôpitaux britanniques en PPP. Il suggère de revenir au mode de construction conventionnel qui, selon lui, se révèle moins coûteux et plus rapide à réaliser. Ici même, au Canada, le vérificateur général de l'Ontario vient de souligner que le premier hôpital construit en PPP dans la province a coûté 50 millions de plus que si le gouvernement l'avait réalisé en mode conventionnel, sans partenaire privé.
  19. Le Québec Inc. est en panne Martin Jolicoeur, Les affaires 09:30 Seulement 16% des Québécois ont déjà créé ou repris une entreprise. Le mythe du Québec entrepreneur est résolument en déclin. Un sondage Léger Marketing montre que la province se trouve bonne dernière pour la plupart des indicateurs de l’entrepreneuriat au Canada. Raymond Bachand réagit au sondage Entrepreneuriat : Québec, société distincte Ainsi, seulement 16% des Québécois adultes affirment avoir déjà créé ou repris une entreprise, selon le sondage commandé par la Fondation de l’entrepreneurship. C’est le pire résultat au pays, loin derrière la moyenne canadienne, qui est à 24%. Et quand on se compare, on se désole. Ainsi, en Alberta, 38% des répondants (soit plus du double qu’au Québec) ont vécu l’expérience de l’entrepreneuriat; 30% au Manitoba; 29% en Colombie-Britannique. « La situation est alarmante au Québec, commente Mario Girard, pdg de la Fondation de l’entreneurship. Si rien ne change, si on ne se mobilise pas rapidement pour changer les choses, on se prépare à un lendemain de veille assez terrible. » Basé à Québec, cet organisme a eu l’initiative de ce sondage, le plus important jamais réalisé sur la question au pays. Plus de 17 000 Canadiens ont été sondés, dont plus de 10 000 Québécois. Dans tous les résultats de ce sondage, un entrepreneur est défini comme une personne ayant créé ou repris une entreprise, en incluant les travailleurs autonomes. En queue de peloton Le Québec se trouve également en queue de peloton en ce qui concerne la proportion de ceux qui ont créé une entreprise au cours des cinq dernières années. Ainsi, 2,8% des Québécois affirment avoir tenté l’aventure. Ce résultat est inférieur du quart à la proportion observée dans le reste du Canada (3,7%). Cette proportion atteint 3,6% en Ontario, près de la moyenne nationale, et même 4,3% en Alberta et 4,6% en Colombie-Britannique. Dans cette dernière province, le nombre d’adultes qui affirment avoir fondé une entreprise au cours des cinq dernières années dépasse de 65% celui du Québec ! L’écart est cependant moins grand en ce qui concerne l’intention de création d’entreprises au Québec. Au cours des cinq prochaines années, 7,1% des Québécois affirment vouloir se lancer en affaires, comparativement à une moyenne de 7,5% dans le reste du pays. Mais bien qu’il soit proche de la moyenne nationale, ce résultat inquiète au plus au point les spécialistes de la question. Il indique en effet un recul brutal de l’ambition d’entreprendre des Québécois, qui tournait autour de 15%, en 2007, d’après le consortium de recherche internationale Global Entrepreneurship Monitor (GEM). « En deux ans, le désir d’entreprendre des Québécois a fondu de moitié ! » se désole Nathaly Riverin, vice-présidente, vigie, recherche et développement à la Fondation de l’entrepreneurship et responsable de GEM Canada. Derrière les Maritimes Le seul aspect pour lequel le Québec semble se rapprocher de la moyenne canadienne concerne la proportion de la population qui affirme... avoir fermé une entreprise ! À ce chapitre, le Québec affiche un taux de 5,8%, comparativement à une moyenne nationale de 5,7%. Un résultat d’autant plus surprenant que la proportion d’entrepreneurs dans la province (7,3%) est presque deux fois moindre que celle du reste du pays (13,8%). À titre de comparaison, en Alberta, pas moins de 16,8% de la population se dit propriétaire d’une entreprise; 8,6% dans les provinces maritimes. « Dans le passé, observe Nathaly Riverin, le Québec parvenait toujours à devancer une ou deux régions du pays. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Québec se trouve au tout dernier rang, et même bien souvent derrière les Maritimes. » Problème de financement ? Par ailleurs, on remarque que les entrepreneurs du Québec comptent davantage sur le financement institutionnel que les autres Canadiens pour créer leur entreprise. Interrogés sur leur principale source de financement, le tiers d’entre eux (34%) citent les banques et autres institutions telles que la SGF ou la Caisse de dépôt et placement du Québec, et seulement 16% leurs économies personnelles. En Alberta, les modèles de financement sont complètement inversés : 39% puisent d’abord dans leurs économies, et 10% seulement s’en remettent aux institutions financières. Autre surprise : lorsque les entrepreneurs du Québec demandent l’aide du gouvernement, c’est une fois sur deux (49%) pour de l’aide financière. Dans le reste du pays, cette proportion n’est que de 30%. Faut-il en conclure que les entrepreneurs du Québec dépendent trop de l’État ou de tiers pour réaliser leurs projets? Pas forcément, estime M. Girard, qui pointe plutôt la rareté des grandes fortunes privées au Québec. Le sondage de la Fondation de l’entrepreneurship est le plus important jamais réalisé sur la question au pays. La firme Léger Marketing a sondé 17 192 Canadiens de toutes les régions du pays par Internet entre le 23 janvier et le 3 février. Parmi les répondants, 10 665 habitent le Québec. Les résultats du sondage comportent une marge d’erreur de 0,33 % au Canada et de 4,1 % au Québec. Ce sondage sera répété chaque année au cours des quatre prochaines années, ce qui permettra de suivre l’évolution de l’entrepreneuriat au pays.
  20. La Banque de développement du Canada recevra cette somme afin d'assurer un financement de plus aux petites et moyennes entreprises. Pour en lire plus...
  21. Le Trésor américain accorde un prêt de 1,5 milliard de dollars à la société de crédit automobile Chrysler Financement, qui s'ajoute aux 17,4 milliards de dollars de prêts déjà consentis à Chrysler et à GM le mois dernier. Pour en lire plus...
  22. Le gouvernement du Québec a déposé mercredi un projet de loi pour assouplir les règles de financement des régimes complémentaires de retraite. Pour en lire plus...
  23. La biopharmaceutique de Montréal est engagée dans une course contre la montre pour trouver du financement et tirer profit d'un médicament expérimental inédit contre la douleur. Pour en lire plus...
  24. Ils se sont entendus pour former un groupe ayant pour mandat d'assurer la disponibilité du crédit et du financement. Pour en lire plus...
  25. Les trois grands constructeurs automobiles américains, General Motors, Ford et Chrysler, ont le devoir de restructurer mais c'est peut-être le financement des acheteurs qui les sortira du pétrin. Pour en lire plus...
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