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  1. Entre la rue de la Rivière et de Rouen dans le quartier Sainte-Marie Démolir les batiments existants pour permettre la construction de 2 bâtiments de 3 étages comportant 6 unités résidentiels chacun pour une total de 12. Source: Demande de démolition datée le 31 janvier 2015 de l'arrondissement Ville-Marie sent via Tapatalk
  2. Demande de démolition Dans le quartier Sainte-Marie, prés de la rue Cartier http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav17078.pdf Construction d'un bâtiment mixte de 3 étages (commercial au rdc, résidences aux étages)
  3. On entend et on lit que le taux d'inoccupation des logements locatifs est extrêmement bas, que de nombreux ménages sont contraints de consacrer une part excessive de leurs revenus au logement, que d'autres ne parviennent pas à se trouver un toit, etc. Tout cela est bien réel, et je n'ai nulle intention de le mettre en doute. Mon propos est autre, et porte sur un point qu'on prend pour acquis, soit le prix moyen observé (ou médian, c'est différent, mais ça ne va pas davantage au coeur de la question). Deux catégories d'information supplémentaire seraient très utiles: 1) Isoler (considérer séparément) les prix des logements qui sont disponibles sur le marché. Actuellement, on fait une agrégation (on rassemble des éléments) des loyers payés par des locataires qui occupent des logements depuis longtemps, avec les loyers demandés aux nouveaux-venus (sans égard à leur origine/provenance, ce n'est pas la question). Par exemple, des jeunes qui habitaient chez leurs parents et qui recherchent leur premier logement sont des "nouveaux-venus" sur le marché. Or, on sait que les loyers des logements occupés de longue date sont "contrôlés", et qu'ils sont (presque) toujours moins chers que les nouveaux logements (ou les anciens logements remis sur le marché suite au départ des précédents locataires). Nos nouveaux-venus n'ont pas accès, par définition, à ces logements dont le loyer est contrôlé. Les données qui sont pertinentes pour eux concernent exclusivement les logements présentement disponibles. Il est à peu près certain que leur prix moyen/médian est sensiblement supérieur: quel est-il? --C'est ce que j'aimerais savoir. 2) Ni la moyenne ni la médiane ne peuvent pleinement rendre compte de la gamme des prix demandés. Au minimum, j'aimerais voir voir la distribution en déciles. Dans une ville ou une région stagnante, il y a de fortes chances que le loyer moyen/médian observé soit assez proche du loyer demandé pour les logements disponibles. Le contraire est intuitivement vrai pour une ville ou une région dynamique. Dans ce cas, le problème des logements trop chers pour les nouveaux-venus serait plus grave qu'il n'y paraît. L'attention des autorités gouvernementales (et des médias) porte presque exclusivement sur les difficultés vécues par les personnes à faible revenu: d'accord que c'est la priorité. Mais il faut aussi s'intéresser au cas des personnes (surtout les nouveaux-venus) disposant d'un revenu moyen mais qui ne trouvent pas à se loger en fonction de leurs attentes "moyennes" -- un phénomène très visible dans Silicon Valley, et qu'on voit aussi à Vancouver et Toronto; à Montréal, la situation est comparativement bénigne --ce qui en fait un facteur attractif -- et il faut s'assurer que cet avantage demeure. Pour moi, ça ne veut pas dire contrôler les loyers; de préférence, il s'agirait plutôt d'éviter les erreurs qui ont conduit à une explosion des prix ailleurs --spécifiquement des freins (zonage, frais excessifs) à l'expansion de l'offre.
  4. Le projet comprend la démolition du vieux bâtiment de 3 étages au sud de l'hotel Dauphin, et son remplacement par une annexe de 10 étages qui ajoutera 24 chambres à l'Hotel Dauphin Avant la démolition: Il s'agit d'un projet complètement distinct de celui du site de la Maison Hantée, du côté nord de l'hôtel: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/15135-1037-rue-Bleury-(Maison-Hant%C3%A9e)-20-%C3%A9tages/?goto=newpost
  5. 20 juin 2007 La Presse Montréal se lance dans le marché du carbone. La Ville a vendu mardi à Gaz Métro le droit d'émettre 2000 tonnes de gaz à effet de serre (GES). Elle espère encourager la mise sur pied d'une Bourse du carbone et inciter les entreprises à échanger des droits de polluer. Des rénovations effectuées l'an dernier à la Station d'épuration des eaux usées ont fait chuter les émissions de CO2 de la métropole d'un million de mètres cubes, soit 2000 tonnes par année. La Ville a donc vendu ces « droits de pollution » à Gaz Métro. C'est précisément ce type de transaction qui aura cours dans une éventuelle Bourse du carbone. Des compagnies pourront acheter ou vendre des crédits de GES. Mais pour cela, il faut d'abord obtenir le feu vert d'Ottawa. Le ministre fédéral de l'Environnement, John Baird, a toujours été hostile à la Bourse du carbone. Son plan vert, dévoilé en avril, prévoit une réduction de 20% des émissions de GES d'ici à 2020, par rapport à 2006. Pour le moment, il n'impose aucune cible précise aux entreprises. Sans plafonds, l'industrie ne prend part au marché du carbone que sur une base volontaire. «On ne va pas attendre que les gouvernements soient prêts à y aller. Si on veut profiter de ce nouveau marché, on doit assumer le leadership maintenant», indique le conseiller responsable du développement durable, Alan DeSousa. Nombre d'entreprises ne savent plus sur quel pied danser, indique le vice-président développement durable chez Gaz Métro, Jean Simard. Elles savent qu'elles devront répondre à de nouvelles exigences gouvernementales, mais ignorent leur teneur. «Ce qu'on ne veut pas, c'est de l'incertitude réglementaire et législative. Au moment où l'on se parle, on nage dans l'incertitude depuis quatre ou cinq ans.» La vente rapportera 14 000$ à la Ville, soit environ 7$ la tonne de CO2. C'est à peu près le même cours qu'au Chicago Climate Exchange, le seul marché du genre en Amérique du Nord. Si le gouvernement adopte des cibles plus contraignantes, la valeur des titres devrait augmenter, indique le vice-président de la Bourse de Montréal, Léon Bitton. «Aujourd'hui dans un marché volontaire, la demande est volontaire, dit-il. Dans un marché réglementé, la demande sera obligatoire. Si les cibles sont contraignantes, on devrait créer plus de demande. Et en créant plus de demande, ça devrait avoir un impact sur le prix.»
  6. J'ai copié le texte de l'article, mais il y a beaucoup de photos dans le lien, allez-voir le lien si ça vous intéresse! C'est moins pertinent sans les photos. C'est le genre d'intervention citoyenne qui donne une vraie personnalité à des quartiers, j'adore ça. Les rues Mentana et Waverly valent le détour si vous êtes dans le coin (Mile-End/Nord du Plateau). Pas nécessairement besoin de grands événements ou de subventions de nos gouvernements pour créer de vrais corridors d'art (même si c'est bienvenu), il faut juste des artistes impliqués dans leur quartier. Il y a aussi un terrain vague aménagé en champ d'œuvres à la sortie ouest du viaduc Van Horne, par l'artiste Glen LeMesurier, qui mérite qu'on s'y attarde. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985512/un-quartier-soude-par-lart/ Plateau-Mont-Royal: Un quartier soudé par l’art Par Josie Desmarais Texte et photos En vous baladant dans les rues du Plateau, avez-vous déjà remarqué des œuvres d’art disposées devant des résidences privées? Métro vous propose une excursion dans ce quartier foisonnant d’artistes. Waverly Dans cette rue du Mile-End, on trouve plus d’une dizaine d’œuvres sises dans les cours avant des maisons. C’est le soudeur-sculpteur Glen LeMesurier qui est derrière ces installations, qui intriguent et égaient les passants. L’artiste s’inspire des lieux et de l’architecture pour créer ses pièces, faites de morceaux de métal recyclés. Son projet artistique, Bloom (fleurir), s’étale depuis trois ans dans le quadrilatère formé par les rues Van Horne, Saint-Urbain, Fairmount et Parc. C’est l’artiste lui-même qui propose ses œuvres aux propriétaires, qui peuvent les garder aussi longtemps qu’ils le désirent ou même les acheter. C’est ce qu’a fait Richard Ryan, conseiller de Projet Montréal. «Glen marque le territoire. C’est un quartier ouvert à l’art, et les gens embarquent facilement». Une des plus récentes œuvres de Glen LeMesurier a été installée devant les bureaux d’un acuponcteur. La pièce, discrète, évoque une colonne vertébrale surmontée d’une fleur. Mentana Des résidants de la rue Mentana affichent pour leur part des sculptures de bois devant chez eux. Elles sont l’œuvre de Jacques Huet, un artiste-menuisier qui habitait la rue. À l’instar de Glen LeMesurier, il a demandé à ses voisins s’il pouvait installer ses œuvres de bois devant leurs demeures. En 2008, Jacques Huet commence un corridor d’art en disposant 13 œuvres rue Mentana. Il meurt le printemps suivant, mais les installations restent en place tout l’été. On peut présentement en observer cinq, les autres étant entreposées ou en processus de restauration. Satellite diffuseur de l’art dans l’espace a été restaurée l’été dernier par la fille de M. Huet, Christiane Dinelle. «Depuis, des voisins m’ont demandé : “En as-tu une de trop?” Alors j’en ai placé trois autres.» On peut les admirer entre les rues Mont-Royal et Gilford. Une sculpture de Glen LeMesurier a été ajouté samedi dernier sur la rue de l’Esplanade. Voyez son installation ici: (voir le vidéo dans le lien)
  7. Je me demande si ce projet va aller de l'avant. La Maison est sur les plans...de l’architecte Claude Cormier. http://www.claudecormier.com/projet/parc-et-espace-hydro-quebec/
  8. Les Affaires (Source) -- I thought it was time for the Caisse de dépôt to have their own thread.
  9. À l'ouest de la rue McGill entre la rue Notre-Dame et Saint-Maurice Demande de démolition pour permettre la construction d'un immeuble commercial et résidentiel
  10. Je me demande pourquoi cette portion d'autoroute n'a jamais été completé. Il semble deja y avoir un échangeur et une bretelle
  11. Un hôtel Jaro dans le Vieux-Montréal 14 septembre 2007 - 08h27 LaPresseAffaires.com Grossir caractèreImprimerEnvoyer La chaîne hôtelière Jaro prend pied dans le Vieux-Montréal, arrêtant son choix sur un ancien stationnement situé à l'angle des rues Notre-Dame et St-François Xavier. C'est du moins ce que rapporte The Gazette dans son édition de vendredi. La compagnie de Sainte-Foy, fondée par Jacques Robitaille, a confirmé au quotidien son intention de bâtir un hôtel de 300 chambres sur 10 étages. Toutefois, une demande de permis de développement n'aurait pas encore été faite auprès de la ville de Montréal alors que le terrain devait devenir le site d'un édifice à condos. À l'heure actuelle, Jaro compte six hôtels pour plus de 1000 chambres dans la région de Québec et elle planifierait d'ouvrir un autre établissement dans le Vieux-Québec. Récemment, un autre acteur a annoncé son intention de s'installer dans le Vieux-Montréal en transformant une ancienne succursale de la Banque Royale, sur la rue St-Jacques, en un hôtel de 130 chambres.
  12. Les Résidences Soleil s’implantent à Brossard Un projet évalué à 120 M$ Alexandre Lampron Le Courrier du Sud - Publié le 21 septembre 2011 à 09:00 EXCLUSIF. D’ici la fin du mois d’octobre, les Résidences Soleil, l’entreprise privée qui gère et construit des résidences pour personnes âgées, propriété du Groupe Savoie, entamera la construction de son 14e complexe résidentiel de la chaîne sur un terrain du boul. Saint-Laurent, a appris le Brossard Éclair. Un projet d’envergure évalué à 120 M$. Le nouveau complexe comptera deux édifices de 15 étages, contenant près de 400 unités chacun, et une passerelle les reliant. En amorçant les travaux dès cet automne, le Groupe Savoie souhaite avoir terminé le premier bâtiment au printemps 2013. Le deuxième édifice suivra ensuite l’évolution de la demande, mais, pour son fondateur, Eddy Savoie, l’entreprise envisage aussi de construire les deux bâtiments simultanément si la demande le justifie. Pourquoi Brossard? Rencontré à son bureau de Boucherville, M. Savoie a dévoilé la perspective du bâtiment et expliqué les raisons qui ont poussé l’entreprise à prendre de l’expansion du côté de Brossard. Selon lui, l’opportunité s’est présentée pour construire une résidence pour personnes âgées «sur un site hors commun». «Brossard représente pour nous une ville qui possède une excellente réputation, a enchaîné Eddy Savoie. De plus, nos analyses de marché nous ont démontré qu’il y avait un besoin pour le genre de construction que font le Groupe Savoie et les Résidences Soleil. Nous sommes d’ailleurs déjà en soumission et on devrait commencer la construction au milieu du mois d’octobre.» De plus, sa population se fait vieillissante. En effet, les chiffres avancés soutiennent que «c’est au niveau des personnes de 65 ans et plus que la croissance est la plus significative (82,7%) pour la période entre 1996 à 2006. Ce même groupe d’âge représentait, en 2006, 13,1% de la population totale de Brossard». «Une petite ville» Eddy Savoie a aussi confirmé que le concept demeure le même pour répondre à la demande des gens qui ne possèdent pas de gros bas de laine pour leur fonds de pension. Selon lui, près d’un résident des Résidences Soleil sur trois (30%) a un revenu annuel inférieur à 16 480$. «Les coûts seront certainement abordables et les gens y retrouveront des services qui sont hors du commun, comme un mini-golf (18 trous), deux allées de quilles, un simulateur de golf, une piscine, un sauna thérapeutique, une grande salle de cinéma et une salle à manger qui sera située au 15e étage avec vue sur le fleuve. Ce sera une petite ville dans une grande ville», ajoute M. Savoie. Il ajoute aussi que les différentes salles à manger offertes dans les Résidences Soleil sont souvent de dimension supérieure. «Nous voulons que, n'importe quand, sans avoir besoin de réserver, les enfants puissent venir voir leurs parents et manger ensemble. Il faut faire comme si la personne demeurait chez elle», précise-t-il. Pour le fondateur du Groupe Savoie, l'esprit familial qui règne dans les résidences explique entre autres le succès de son entreprise.
  13. Très intéressant, personellement j'augmenterais le nombre de PVT si la demande est si forte! http://quebec.huffingtonpost.ca/2012/11/15/jeunes-francais-pvt-quebec_n_2140502.html?utm_hp_ref=mostpopular Le reportage de France 2 est à environ 20:15. http://www.pluzz.fr/jt-20h-2012-11-14-20h00.html
  14. Le V1 condominiums est un projet de 40 unités dans un édifice de 4 étages sur la rue Bannantyne à Verdun. Belle densité, construction correct pour Verdun. Par contre je me demande ce que ce projet remplaçe en espérant que ce soit un terrain vacant !!! http://www.lev1.ca/
  15. Quartier Sainte-Marie http://applicatif.ville.montreal.qc....pdfav13150.pdf Le comité réunira le 19 avril 2012 pour étudier la demande de démolition et le projet de réutilisation du sol prévoyant la construction d'un bâtiment de 5 étages pour 18 unités résidentielles.
  16. Travaux additionnels au chalet du parc La Fontaine JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 07 avril 2011 21:45 Les travaux d’aménagement du chalet-resto du parc La Fontaine nécessiteront une dépense additionnelle de près de 91 000 $. L’état de dégradation avancé de la plomberie explique en grande partie cette hausse de coûts. Un montant de 49 000 $ avait été prévu pour des travaux contingents. Une directive émise par l’arrondissement pour le remplacement systématique de la tuyauterie du chalet, alliée à la nécessité de mettre en place de nouveaux raccordements électriques et mécaniques pour les équipements de la cuisine et le nouveau matériel audio-visuel, auront eu tôt fait de faire grimper la facture à quelque 139 800 $. L’ajout de près de 91 000 $ au contrat de l’entrepreneur devrait «permettre de finaliser partiellement une bonne partie des travaux d’aménagement du restaurant au chalet du parc La Fontaine dans l’attente de la présentation d’une seconde demande prévue au conseil d’arrondissement de mai prochain», peut-on lire dans les documents remis aux élus. Il n’a pas été possible de connaître la teneur de cette nouvelle demande, jeudi. Il semble toutefois qu’elle n’aura pas d’impact sur la date d’ouverture du chalet et de son restaurant. «Les travaux ont commencé en janvier et sont présentement complétés à 75 %, a indiqué Michel Tanguay, porte-parole de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Il reste notamment à compléter des travaux de plomberie et la conception du mobilier. L’ouverture devrait avoir lieu au début du mois de juin.» L’organisme Cité Historia, qui exploite depuis une vingtaine d’années le Bistro des Moulins et anime le site historique de Sault-au-Récollet, au parc de l’Île-de-la-Visitation, se chargera d’exploiter et d’animer le chalet. Un nouvel organisme, baptisé L’Espace La Fontaine, a été créé à cet effet. http://www.journalmetro.com/linfo/article/826795--travaux-additionnels-au-chalet-du-parc-la-fontaine
  17. Des plans déposés pour un stade de baseball à Montréal Source Après des années de tergiversations dans le choix d’un site, les dirigeants de Baseball Québec ont déposé, vendredi dernier, auprès du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, les plans d’un projet de construction d’un stade de baseball jumelé à un centre national d’entraînement. Les terrains ciblés pour l’érection de cette infrastructure sont situés aux angles des rues Bridge et Mill, aux abords du canal Lachine. Les lots sont propriétés de la Société immobilière du Canada et du port de Montréal, un secteur visé par de vastes travaux de rénovations immobilières. Les coûts préliminaires de ce projet admissible au Fonds de développement du sport et de l’activité physique frôlent les 50 millions $. La date limite pour soumettre une demande de subvention dans la phase II du programme était le 30 septembre. Environ le tiers du montant serait dépensé pour l’aménagement d’infrastructures, telles des routes d’accès, égoûts et autres. La Ville de Montréal pourrait être appelée à se présenter dans le rectangle des frappeurs! «Nous en discutons depuis cinq ou six ans, mais c’est la première fois qu’une demande concrète est déposée au gouvernement du Québec», a mentionné Maxime Lamarche, le directeur du marketing et des événements à Baseball-Québec. «Nous ne songeons pas à construire uniquement un stade de baseball mais un complexe multifonctionnel utilisable pendant douze mois par année. «En ventilant les prévisions de coûts, seulement la moitié des subventions nécessaires seraient consacrées à l’érection du stade.» Lamarche souligne que le baseball mineur connaît une croissance dans son membership depuis quelques années. «Nous avons noté une hausse des inscriptions de 7%, la saison dernière, et de 20% depuis quatre ans. «Nos programmes sport-études sont à l’étroit! On manque d’espace, que ce soit l’Académie de baseball du Canada (active au centre Claude-Robillard) ou tous les programmes d’écoles secondaires qui regroupent quelque 500 joueurs dans la province. » Baseball professionnel Selon les plans préparés par la firme d’architectes Tremblay, l’Écuyer et Associés et le groupe SM Ingénierie, le stade compterait entre 5000 et 6000 sièges. Le sport y cohabiterait avec le volet de spectacles en plein air et des aires communautaires seraient aménagées pour les activités de loisirs de ce secteur. Un club de baseball professionnel mineur serait donc le locataire principal du stade. Des intervenants et hommes d'affaires oeuvrent depuis plusieurs années pour implanter un club de la ligue CanAm dans la Métropole. Des sites à Longueuil, dans l’arrondissement de Verdun et deux sur la couronne nord avaient été scrutés. «Aucun stade pour le baseball professionnel n’a été érigé à Montréal depuis DeLorimier en 1928! Le baseball n’était pas la vocation première du parc Jarry ni du Stade olympique. «Selon moi, la CanAm s’avère une meilleure option que le baseball mineur affilié. Du niveau AA à Montréal, je n’y crois pas», tranche Lamarche, un ancien employé et joueur des Capitales de Québec. Les coûts d’acquisition d’une franchise mineure du baseball affilié ne sont plus à la portée de toutes les bourses. La semaine dernière, le club-école des Yankees de New York dans la ligue New York/Penn (ligue de recrues, courte saison), cantonné à Staten Island (banlieue de New York) a été vendu pour la somme de 11 M$ US.
  18. Sur le site de l'ancien concessionnaire Clermont Chevrolet sur St-Denis entre les métros Laurier et Rosemont. Les rendus présentent une construction sur le vaste stationnement... je me demande ce qu'ils vont faire avec la batisse comme telle (qu'on voit à la droite de l'image) LE CLERMONT
  19. MALKI MEHDI/MONSCOOP@JOURNALMETRO.COM MÉTRO Publié: 08 juin 2011 16:03 Un panneau à affichage variable situé à l’angle des rues Sherbrooke et Saint-Denis a été piraté dans la nuit de mardi à mercredi. Un pirate informatique se serait introduit dans le système sans fil du panneau pour en modifier le message. La Ville de Montréal a été avisé tôt hier matin de la situation et a demandé à l’entrepreneur à qui appartient le panneau de corriger le message, ce qui fut fait. Selon un porte-parole de la Ville, il ne s’agirait pas du premier panneau à être piraté à Montréal, mais la situation, mais la situation demeurerait inhabituelle. http://www.journalmetro.com/linfo/article/883673--un-panneau-d-affichage-pirate
  20. Pierrevillage : un immeuble à bureaux de 26 millions $, à Brossard Diane Gagnon Information d'Affaires Rive-Sud - 11 octobre 2010 Économie > Affaires La compagnie de développement immobilier Pierrevillage a le vent dans les voiles. Depuis quelques semaines, les annonces de différents projets se succèdent à un rythme accéléré. Après les projets de construction d’immeubles multilocatifs des rues Matte et Java à Brossard, dont il était question dans notre édition de septembre, voilà que la compagnie prévoit la construction d’un édifice à bureaux, rue Lapinière, toujours à Brossard. « Cet immeuble sera l’un de nos projets le plus audacieux, voire le plus haut de gamme, » révèle Ian Quint, chargé de projets de Pierrevillage. Il s’agit d’un projet réalisé en trois phases, soit de deux tours à bureau de 7 étages, réunies par une section plus basse, offrant une vue spectaculaire sur les environs, dans un secteur plutôt effervescent. « C’est une des raisons qui fait que nous avons choisi de construire ce genre de projet dans cette zone, qui offre d’importants avantages à considérer, poursuit M. Quint. D’abord le bâtiment sera à quelques minutes à peine du stationnement incitatif Chevrier. Puis, situé à quelques pas des carrefours routiers de la 10 et de la 30, et près du boul. Taschereau, cela est plus qu’intéressant pour quiconque viendrait de Montréal pour y travailler, à l’inverse du trafic aux heures de pointe. Enfin, le Quartier DIX30 ajoute à l’attractivité du secteur. » L’immeuble offrira une superficie de 165 000 pi2. De style très moderne, il fera sensation dans le ciel montérégien, de par sa hauteur et à son abondante fenestration, qui s’étend sur presque les deux tiers de la bâtisse. « Les locaux seront construits selon les spécifications des locataires, donc tous les éléments qu’on voit sur les plans peuvent être modifiés à la demande d’un locataire qui aurait des besoins spécifiques tels que bâtir selon l’image de marque de sa firme, confie le promoteur. Il faut préciser que la construction devrait démarrer dès que nous aurons loué au moins 65% de l’édifice. Ce genre d’édifice à bureaux suscite l’intérêt de grandes entreprises et en ce moment, nous sommes en négociation avec l’une d’entre elles. » Éco-énergétique La tour à bureau se hissera parmi les immeubles éco-énergétiques, c’est-à-dire de construction verte. « Nous serons en mesure d’offrir un bâtiment à grande économie d’énergie, avec un système de chauffage efficace mais économique, explique Ian Quint. En fait, toute la construction sera de qualité exceptionnelle et la plus verte possible, pouvant être certifiée LEED. » Si les négociations vont bon train, une première phase pourrait être livrée au début de 2011 et les autres phases suivront selon la demande.
  21. Montréal L'industrie de l'hôtellerie ressuscite Agence QMI Stéphane Fortier 07/06/2010 18h59 MONTRÉAL - Le retour du Grand prix de Formule 1 engendre un effet bœuf sur l’industrie de l’hôtellerie à Montréal, et les établissements affichent un taux d’occupation de 90% à quelques jours de la course. Tentant de pallier les pertes enregistrées à pareille date l’année dernière, les hôteliers profitent en effet de la manne et gonflent le prix des chambres. «Les coûts varient selon l’hôtel», indique Bill Brown, vice-président exécutif de l’Association des Hôtels du Grand Montréal. Par exemple, le Best Western Europa au centre-ville, demande entre 300 $ et 375 $ durant la fin de semaine du Grand Prix. Normalement, on peut y bénéficier d’une chambre pour un prix allant de 109 $ à 180 $. Au Days Inn, on demande en moyenne 417 $ par jour pour une chambre durant la semaine du 9 au 13 juin. Dans une période plus creuse, la même chambre coûte 120 $. «Il reste encore des chambres, mais surtout en périphérie de Montréal. Il y a des disponibilités encore au centre-ville, mais il faut faire vite», constate M. Brown. Rebond Le levier économique engendré par le grand cirque de Bernie Ecclestone s’est fait sentir dès le mois de mai 2010 puisque les hôtels du Grand Montréal ont enregistré 10% de demandes de réservation de chambres de plus qu’à pareille date l’an dernier. «Pour augmenter le taux d’occupation de nos hôtels, il n’y a rien qui s’approche du Grand prix de Formule 1. Ce sont les journées les plus importantes de l’année. C’est un véritable catalyseur pour nos membres», fait remarquer M. Brown. «Ceux qui réservent des chambres viennent de partout dans le monde. La plupart viennent profiter de toute la frénésie de la fête. D’autres n’assistent qu’aux qualifications et d’autres à la course en tant que telle», poursuit M. Brown. En juin 2009, le taux d’occupation enregistré montrait une nette baisse, période où habituellement Montréal reçoit le Grand prix de Formule 1. L’hôtel Delta, en plein cœur du centre-ville de Montréal, notait un taux d’occupation en baisse de 10 % par rapport à 2008. Et les autres hôtels présentaient des baisses similaires allant de 8 % à 11 %. «L’absence du Grand prix de Formule 1 s’est cruellement fait sentir chez nos membres», confirme M. Brown. En termes de retombées, un événement comme le Grand Prix du Canada rapporte entre 75 et 100 millions $. On estime que 20 % de ce montant, environ 15 millions $, est consacré à l’hébergement.
  22. Bon je sais que ce n'est pas une grande tour ou quelque chose de révolutionnaire. Mais ce condo est relativement important dans ma propre histoire personnelle. Voyez-vous, ce condo sera construit simplement parce que mon père prend sa retraite bien mérité à 74 ans. C'est assez simple. Mon père travaillais dans le garage à l'arrière plan dans la photo. Depuis maintenant 51 ans, le garage était très occupé avec des contrats de Puro, FedEx, la plupart des taxis du sud-ouest et des clients fidèles, mais puisque son "foreman" prend sa retraite et le propriétaire actuel ne veut tout simplement plus s'en occuper, il a vendu le terrain qui était en demande depuis plus de 10ans. Mon père sera la dernière personne à mettre la clé dans le garage. Le lendemain, il sera mis à terre grâce à quelques coup de pelles bien placé. J'ai effectivement grandi dans ce garage, été voir mon père depuis 34 ans y travailler et faire vivre ma famille depuis toujours. C'est sentimental en effet et je dois dire que je suis un brin nostalgique. La bonne nouvelle dans tous ça, mon père peut finalement se reposer, travailler un peu moins à temps partiel pour d'autres garages qui lui demande de venir les aider de temps à autres. Un homme qui veut vous dire que votre véhicule n'est pas enligner et vous dire de combien de degrés juste en regardant les roues à oeil nu, c'est en demande, même à 74 ans . On dirait que la brique à changé de couleur selon le rendu du site web et celui de l'affiche. http://www.stemarguerite.ca/
  23. pedepy

    rues mixtes

    depuis quelques temps j'ai une idee en tete de rue 'mixte', mais je me demande si ca se fait ailleurs alors je vous demande votre avis. les derniers rendu du 2-22 donnent une idee de ce que ca pourrait etre: la rue n'est pas delimitee de l'espace pieton par une difference de 'hauteur' entre trottoir et l'asphalte, mais par une difference au niveau du pave et des obstacles (comme les poteau). je me demandais juste si une configuration semblable ne pourrait pas existe ou ces barrieres seraient amovibles: de chaque cote, l'espace pieton reserve, au centre l'espace automobile et entre les deux un espace tampon, l'ete reserve aux pietons et l'hiver reserve au stationement. comme ca on pourrait transformer des rues comme mont-royal, st-laurent ou ste-catherine en rue pietonnes (ou semi pietonnes) en saison estivale et redonner l'espace au stationement en hiver ou la rue pietonne n'est plus si importante mais le stationement l'est doublement. edit: voici un dessin qui aide a illustrer mon idee: l'espace en vert est celui qui pourrait etre utilise selon les besoin. les fleches blanches montre les 'bornes' qui pourraint etre deplacer. on pourrait utiliser d'autre elements comme des bacs a fleurs, etc .. un peu comme ici: en ete, il pourrait aider a aleger la circulation des pietons et/ou (surtout sur des rues comme mont-royal) permettre aux commercant d'installer des terraces qui ont plus d'allure, avoir de l'animation de rue, ou des commerces ambulants. puis l'hiver, on redonne la portion de rue a la circulation automobile, pour du stationement par example.
  24. la thread de paris m'as fait penser a ca que j'avais vu il ya quelques mois. je ne frequentais pas ce forum dans le temps alors je me demande si vous l'aviez deja vu: http://pixelcase.com.au/vr/2009/newyork/ c'est assez bien, meme si leur definition de 'downtown' est din patates !
  25. ErickMontreal

    TVA Sports

    Une chaîne sportive pour TVA? (Corus Sports)- Selon La Presse Affaires, une demande a été déposée au CRTC par Quebecor afin de lancer une chaîne de télévision sportive. Le réseau a déposé sa demande le 1er mai dernier. La chaîne porte le nom provisoire de TVA Sports. TVA a aboli son bulletin de sports en mars 2002 par nécessité de compression budgétaire, mettant à pied quatre journalistes permanents et huit surnuméraires. Depuis, ce sont des journalistes de l'information générale qui assurent la couverture des événements majeurs, en plus de la présentation de bulletins de sports en direct, le matin, et pré-enregistrés, le midi. TVA avait alors affirmé vouloir concentrer sa production dans ses services des nouvelles et des affaires publiques. Cependant, la demande de licence de TVA Sports survient alors que Quebecor tente d'acquérir le Canadien de Montréal. Les droits de télédiffusion des matchs du Canadien appartiennent à RDS jusqu'à la fin de la saison 2012-2013. Le tarif pour présenter ceux-ci : 20 millions $ par saison. Le CRTC a aboli le monopole des chaînes sportives au pays en octobre dernier. Radio-Canada aurait un projet similaire à l'étude. Radio-Canada avait également aboli son bulletin de sports le 20 juin 2003, avant d'en ramener une version écourtée la saison dernière, qui sera prolongée dès l'automne.
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