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  1. VILLE DE MONTRÉAL RÈGLEMENT 12-053 RÈGLEMENT AUTORISANT UN EMPRUNT DE 17 800 000 $ AFIN DE FINANCER LA RÉALISATION DE TRAVAUX D'INFRASTRUCTURES, D'AMÉNAGEMENT ET DE RÉAMÉNAGEMENT DU DOMAINE PUBLIC ET POUR L’ACQUISITION DE MOBILIER URBAIN DANS LE SECTEUR DU PÔLE FRONTENAC Vu l’article 544 de la Loi sur les cités et villes (L.R.Q., chapitre C-19); Attendu que l’emprunt prévu au présent règlement est décrété dans le but d’effectuer des dépenses en immobilisations prévues au programme triennal d’immobilisations de la Ville de Montréal; À l’assemblée du 17 décembre 2012, le conseil de la Ville de Montréal décrète : 1. Un emprunt de 17 800 000 $ est autorisé afin de financer la réalisation de travaux d'infrastructures, d'aménagement et de réaménagement du domaine public et pour l'acquisition de mobilier urbain dans la partie du secteur nommé Pôle Frontenac constituée de la rue Ontario entre l'avenue De Lorimier et la rue Lespérance. 2. Cet emprunt comprend les frais et honoraires d’études, de conception et de surveillance des travaux, les acquisitions d’immeubles et les autres dépenses incidentes et imprévues s’y rapportant. 3. Le terme total de cet emprunt et de ses refinancements ne doit pas excéder 20 ans. 4. Pour pourvoir aux dépenses engagées relativement aux intérêts et au remboursement de capital des échéances annuelles de l'emprunt, il est affecté annuellement à cette fin une portion suffisante des revenus généraux de la Ville de Montréal, conformément aux règles prévues par la Loi sur l’exercice de certaines compétences municipales dans certaines agglomérations (L.R.Q., chapitre E-20.001). 5. Le conseil affecte à la réduction de l’emprunt décrété au présent règlement toute contribution ou subvention qui pourrait être versée pour le paiement d’une partie ou de la totalité de la dépense décrétée par le présent règlement. __________________________ Ce règlement a été promulgué par l'avis public affiché à l'hôtel de ville et publié dans Le Devoir le 5 février 2013.
  2. Il y a des travaux sur la maison Henry Vincent Meredith du campus McGill
  3. Publié le 20 janvier 2013 à 11h54 Une grue de 600 tonnes a fracassé les fenêtres d'une tour de bureaux et est passée à un cheveu de s'effondrer en plein centre-ville de Montréal dimanche matin lorsque le vent s'est déchaîné subitement. Personne n'a été blessé lors de l'incident, mais plusieurs travailleurs et passants ont été quittes pour une bonne frousse. La grue effectuait des travaux à l'angle de la rue Stanley et du boulevard René-Lévesque lorsque de fortes rafales se sont levées, peu après 8h. «On a été pris au dépourvu. On a déjà vécu une microrafale, mais ça, c'était pire», a raconté un travailleur rencontré sur place. Le crochet de la grue a effectué un mouvement de pendule et est allé fracasser au moins quatre fenêtres aux étages supérieurs de l'édifice La Laurentienne, une tour de 27 étages qui abrite les bureaux de la banque du même nom et de plusieurs autres entreprises comme Médias Transcontinental. L'appareil de 600 tonnes s'est presque renversé sur le côté, selon les employés qui participaient aux travaux, mais le grutier, décrit comme un opérateur très expérimenté par ses collègues, a réussi à la maintenir debout de justesse. «C'est passé proche, mais il a fait ce qu'il fallait faire», raconte un collègue. Du verre brisé est tombé au sol jusque sur la rue Peel, selon les pompiers. «Mais il n'y a pas de dommage structurel à l'édifice, et personne ne travaillait dans les bureaux à ce moment-là», a déclaré Francis Leduc, chef aux opérations pour le Service de sécurité incendie de Montréal. Un large périmètre de sécurité a été érigé par la police et les pompiers, le temps que la grue et les fenêtres soient sécurisées. Le boulevard René-Lévesque a été fermé temporairement et une église située près du site des travaux a été évacuée. [url=]http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201301/20/01-4613099-une-grue-frappe-une-tour-et-menace-de-seffondrer-a-montreal.php[/url]
  4. https://www.facebook.com/photo.php?pid=11349948&l=24edd1ed64&id=286149459542 Article du devoir en 2002 au moment de la démolition Démolition controversée de l'ancien poste de police du Port de Montréal La Société du Vieux-Port a annoncé hier qu'elle démolira l'ancien poste de police du Port de Montréal et que les travaux commenceront... dès aujourd'hui. Abandonné depuis 1981, le bâtiment est dans un si piètre état que la direction du Vieux-Port estime qu'on ne peut retarder les travaux. Ce n'est pas l'avis du conseiller municipal de Ville-Marie, Robert Laramée, qui considère cette décision aussi discutable que précipitée. Construit en 1923, l'édifice de trois étages situé tout près du quai de l'Horloge était inutilisé depuis deux décennies. Dès 1982, la Société du Vieux-Port avait décelé des faiblesses dans sa structure et avait procédé, au cours des années suivantes, à diverses interventions, dont l'installation de poutrelles d'acier, pour tenter de le consolider, mais en vain. Sa stabilité précaire et la progression des fissures ont convaincu la direction du Vieux-Port qu'une démolition s'imposait. En mai dernier, le Service de sécurité incendie de Montréal avait même jugé l'édifice non sécuritaire et, depuis octobre dernier, celui-ci est recouvert d'une toile pour protéger les passants des chutes de mortier. Alerté, le conseiller municipal de Ville-Marie, Robert Laramée, a songé à obtenir une injonction pour empêcher la Société du Vieux-Port d'aller de l'avant avec ses travaux, mais le contentieux l'en a vite dissuadé, jugeant la démarche inutile. C'est donc par lettre hier qu'il a demandé à Claude Benoît, présidente du Vieux-Port, de surseoir à sa décision car il attribue au bâtiment une valeur patrimoniale certaine. «Il vaut la peine, selon moi, qu'on prenne deux minutes de respiration. Peut-être pourra-t-on trouver le financement nécessaire pour le mettre en valeur», fait-il valoir. Mais selon Jean-Claude Marsan, professeur à l'École d'architecture de l'Université de Montréal, l'ancien poste de police a une valeur patrimoniale plutôt mineure, tant sur le plan historique que sur le plan architectural, et, connaissant le délabrement de l'édifice, il reconnaît que dans «des circonstances comme celle-là, où un édifice est en train de tomber, il faut prendre de telles décisions». http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/14858/demolition-controversee-de-l-ancien-poste-de-police-du-port-de-montreal
  5. Selon une nouvelle émise par le Journal La Presse, la Raffinerie Shell de Montréal-Est serait sur le point d'être sous les piques des démolisseurs. Cette raffinerie, fondée en 1932, constitue un patrimoine culturel important pour le Québec puisqu'il s'agit de la seule unité de raffinage du pétrole ayant une aussi grande profondeur historique. Dans le paysage de Montréal depuis 80 ans, la raffinerie pourrait disparaitre dans les prochains mois. Cette mauvaise nouvelle reste encore floue sur la quantité de démolition. Est-ce qu'il y aura des efforts de conservation des bâtiments de briques rouges sis sur la rue Sherbrooke-Est ?! Est-ce que nous pourrons conserver au moins une unité de la raffinerie afin de rendre hommage à cette époque industrielle pétrolière dans l'Est de Montréal ? Bref, que des questions à se poser sur le sujet ! (1932-2012) Shell: la démolition de la raffinerie va commencer Les travaux de démantèlement et de démolition de l'ancienne raffinerie de Shell à Montréal-Est débuteront sous peu, a annoncé mardi la multinationale. Dans un communiqué, Shell a indiqué avoir choisi l'entreprise de services environnementaux Delsan-AIM, de Montréal, pour effectuer les travaux, dont les coûts n'ont pas été divulgués. Dans le cadre de l'entente, Delsan-AIM achètera puis revendra les réservoirs, la tuyauterie et les autres équipements de raffinage ayant une valeur marchande en vue de leur réutilisation ailleurs dans le monde. Les éléments qui ne trouveront pas preneur seront recyclés. Shell et Delan-AIM prévoient que les travaux s'échelonneront jusqu'à la fin de 2014. Quant à la restauration du terrain de la raffinerie, elle doit avoir lieu au printemps 2013. Québec a autorisé le démantèlement de la raffinerie en juin 2011. Le gouvernement avait conclu que la fermeture des installations n'allait pas entraîner de pénurie puisque les deux autres raffineries de la province ont une capacité totale de 400 000 barils par jour, soit 40 000 barils de plus que la consommation québécoise quotidienne. La raffinerie de Shell, qui a cessé ses activités en novembre 2010, donnait du travail à environ 800 personnes. Le syndicat des employés a multiplié les efforts pour bloquer sa fermeture, mais en vain.
  6. On avait pas de fil je crois, mais le projet était dans les plans en même temps que le Parc Laurier (maintenant réouvert et vraiment très beau!). Aujourd'hui, le Carré était complètement clôturé. Les travaux sont commencés!
  7. Bon bien j'ai pas trouve d'autre place ou mettre cela mais il y a des travaux de réfection dans ce parc et c'est tant mieux il en avait de besoin ! Le mur était tout détruit. De plus des arbustes ont été ajoute a la place du gazon qui arrivait pas a pousser.
  8. Ça fait un p'tit bout de temps que j'ai vu l'affiche sur le vieil immeuble laid qu'ils veulent transformer. Hier soir, il était clôturé. J'imagine que les travaux doivent commencer puisque sur leur site, l'occupation est pour l'automne. Site actuel : https://maps.google.com/maps?q=rue+laurier+ouest,+montreal&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.520846,-73.594698&spn=0.002041,0.005284&sll=45.535934,-73.483644&sspn=0.008522,0.021136&t=h&hnear=Avenue+Laurier+Ouest,+Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec,+Canada&z=18&layer=c&cbll=45.520987,-73.594581&panoid=rPklogQ4JYd8_0G3VWSHsg&cbp=12,345.24,,0,0.46 Site web : http://www.175laurier.com/
  9. Des travaux majeurs sont effectués sur cet immeuble depuis quelques mois, ... le revêtement extérieur à été démonté dans la partie sud de l'immeuble
  10. 192 mètres de hauteur La plus haute grue mobile au monde à Montréal Agence QMI 26/01/2012 09h55 MONTRÉAL - La plus haute grue mobile au monde a fait son arrivée à Montréal. La grue, qui fait 192 mètres (627 pieds) de hauteur, est déployée sur les terrains de l'entreprise qui l'a achetée, Grue Guay, dans l'arrondissement d'Anjou. Elle est presque aussi haute que la Place Ville-Marie. Cette nouvelle grue permet d'effectuer des travaux d'envergure. Elle pourrait, par exemple, servir aux travaux de reconstruction de l'échangeur Turcot. C'est la compagnie Liebherr qui l'a conçue et fabriquée. Les gens qui empruntent l'autoroute 25, à Anjou, peuvent facilement l'apercevoir dans le ciel. Pour voir un vidéo de la grue : http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2012/01/20120126-095540.html
  11. Le 500 place D'Armes sera rénové et non détruit comme certains le souhaite... Cure de jouvence pour le 500, place d'Armes Publié le 07 décembre 2011 à 07h32 | Mis à jour à 07h32 André Dubuc La Presse (Montréal) À l'image de la place d'Armes dont on vient de refaire le parvis, le gratte-ciel de facture moderne qui la borde du côté ouest subira une cure de jeunesse dans les prochains mois. L'ensemble des systèmes électromécaniques de l'immeuble de 30 étages construit entre 1965 et 1968 sera remis aux normes du jour. Les travaux commenceront en 2012 et s'échelonneront sur 2 ou 3 ans. Le 500 place d'Armes a comme locataire principal la Banque Nationale. On y trouve aussi des bureaux d'avocats et l'Ordre des comptables généraux agréés. L'Agence métropolitaine de transport l'a quitté pour le 700, De La Gauchetière, connu autrefois sous le nom de Tour Bell. «Le 500, place d'Armes va redevenir un immeuble de catégorie A», dit André Plourde, président du Groupe Immobilier de Montréal, dans un entretien. Dans le jargon des professionnels de l'immobilier commercial, les immeubles de catégorie A représentent les plus beaux immeubles de bureaux, dotés de toutes les caractéristiques recherchées par l'utilisateur de bureaux. Le Groupe Immobilier de Montréal vient de décrocher le mandat exclusif de location des propriétés de Cromwell Management à Montréal et Québec. Outre le 500, place d'Armes, le portefeuille comprend l'ancien siège social de Cinar, au 1055, boul. René-Lévesque Est et le 500, boulevard René-Lévesque Ouest, l'ancien immeuble Air Canada. Cromwell appartient à son président Georges Gantcheff. À Québec, Cromwell possède le 500, Grande Allée Est, jadis un immeuble de prestige comptant 109 000 pieds carrés répartis sur 9 étages. Des travaux de près de 26 millions de dollars sont en cours pour redonner une nouvelle vie à cette adresse stratégiquement située sur la colline parlementaire, dans la Vieille Capitale. Au total, le Groupe Immobilier s'occupera de la location d'un portefeuille de sept immeubles totalisant 1,6 million de pieds carrés. «Il s'agit pour nous d'un important gain qui nous confère un statut de leader du secteur de la location commerciale avec un portefeuille qui atteint maintenant plus de 5 millions de pieds carrés», fait savoir M. Plourde dans un communiqué. Lien: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201112/07/01-4475357-cure-de-jouvence-pour-le-500-place-darmes.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS21
  12. Agrandissement en cours du magasin Ikea de Cavendish la construction est déjà commencée, pour ce qui sera le plus grand magasin Ikea en Amériques du nord, la démolition du bâtiment situe derrière le magasin actuel est réalisé en partie et la préparation du terrain pour les fondations est en cours. Ils veulent aussi ajouter une entrée sur cote de liesse. le bâtiment actuel qui est encore en partie debout, est immense et allait de derrière le magasin, jusqu’à cote de Liesse. Il n'y a pas eu de nouvelle officielle, mais je connais bien les gens qui travaillent la depuis des années et sont des gérants de plancher, ils m'ont confirmer que non seulement une fois les travaux termines, le magasin sera beaucoup plus grand que le magasin d'Ottawa prévu pour ouvrir prochainement. Vont-ils refaire l'ancienne partie tout en restant ouvert au public? si quelqu'un a plus de détails. La compagnie qui fait les travaux pour le moment est Module II.
  13. Projet de rénovation majeur pour cet édifice, transformation et conversion. Il sera méconnaissable après les travaux. État actuel (lamentable) : http://maps.google.ca/maps?q=17e+Av+%2F+Boulevard+Cr%C3%A9mazie+Est,+Montreal,+Quebec&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.566708,-73.603377&spn=0.025568,0.066047&sll=45.566708,-73.603377&sspn=0.006392,0.016512&t=h&z=15&layer=c&cbll=45.566655,-73.603422&panoid=cBlEOdJ7qg5-pUXk73zlmg&cbp=12,354.76,,0,-22.92
  14. Montréal Piétonnisation de la rue Masson: loin d’être chose faite Agence QMI Laurent Dionne 26/05/2011 17h59 MONTRÉAL - Dans la foulée d’artères commerciales devenues piétonnes à Montréal, comme les rues Sainte-Catherine et Saint-Paul, voilà que la rue Masson pourrait également faire de même dès l’été 2012, si les commerçants et résidants du secteur donnent leur aval. «Les commerçants vont être appelés à voter à la mi-juin. S’ils acceptent le projet, nous demanderons aux résidants s’ils sont du même avis. Ça prend l’accord de tout le monde», a indiqué Louis Tremblay, porte-parole de l’arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie. L’arrondissement avait initialement proposé la piétonnisation tout au long de la semaine, ce qui avait soulevé le mécontentement des occupants du quartier. Cette fois, le projet vise une fermeture à la circulation durant la fin de semaine seulement, soit du vendredi 16 h au dimanche 17 h, entre la 1ère avenue et le boulevard Saint-Michel. L’accès aux voitures serait interdit, mais la ligne d’autobus qui dessert l’artère resterait en service. Les propriétaires des établissements commerciaux seraient invités à installer des terrasses. Une partie des frais de ces travaux serait prise en charge par l’arrondissement. Des commerçants peu convaincus Si les commerçants doivent attendre à la mi-juin pour se prononcer, d’autres laissent déjà paraître leur désaccord. «Ça ne nous arrangerait pas du tout. Ce serait un gros problème pour le stationnement, parce que la plupart de nos clients viennent en voiture. Ça ne serait pas bon pour les commerçants de la rue», a témoigné Dionisios Chronopoulos, propriétaire du buffet Casa Corfu. «Notre position reste la même, c’est-à-dire qu’on est contre. Nous avons trop de marchandises volumineuses qui nécessitent une voiture», a répondu Dominic Bélanger, propriétaire de la Quincaillerie Rona Bélanger, qui affirme qu’une grande partie de son chiffre d’affaires annuel provient des ventes effectuées durant les fins de semaine d’été. Du côté de la Société de développement commercial Promenade Masson, on souligne que le conseil d’administration a décidé de «soutenir le projet d’essai», a signifié son secrétaire, Michel Séguin. Selon ce dernier, «l’important est de garder les véhicules dans le secteur». Pour ce faire, un projet de construction d’un stationnement à étages est envisagé. Travaux d’embellissement Dans la même lignée de revitalisation, des travaux de réaménagement sont également prévus. «Nous croyons que la piétonnisation et les travaux d'embellissement que nous proposons auront un impact majeur sur la qualité de vie des résidants et sur la vitalité de l'ensemble de ce secteur, c'est pourquoi nous mettons tout en œuvre pour que ce projet aille de l'avant», a pour sa part soutenu le maire de l’arrondissement, François Croteau, par voie de communiqué.
  15. Travaux additionnels au chalet du parc La Fontaine JENNIFER GUTHRIE MÉTRO Publié: 07 avril 2011 21:45 Les travaux d’aménagement du chalet-resto du parc La Fontaine nécessiteront une dépense additionnelle de près de 91 000 $. L’état de dégradation avancé de la plomberie explique en grande partie cette hausse de coûts. Un montant de 49 000 $ avait été prévu pour des travaux contingents. Une directive émise par l’arrondissement pour le remplacement systématique de la tuyauterie du chalet, alliée à la nécessité de mettre en place de nouveaux raccordements électriques et mécaniques pour les équipements de la cuisine et le nouveau matériel audio-visuel, auront eu tôt fait de faire grimper la facture à quelque 139 800 $. L’ajout de près de 91 000 $ au contrat de l’entrepreneur devrait «permettre de finaliser partiellement une bonne partie des travaux d’aménagement du restaurant au chalet du parc La Fontaine dans l’attente de la présentation d’une seconde demande prévue au conseil d’arrondissement de mai prochain», peut-on lire dans les documents remis aux élus. Il n’a pas été possible de connaître la teneur de cette nouvelle demande, jeudi. Il semble toutefois qu’elle n’aura pas d’impact sur la date d’ouverture du chalet et de son restaurant. «Les travaux ont commencé en janvier et sont présentement complétés à 75 %, a indiqué Michel Tanguay, porte-parole de l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Il reste notamment à compléter des travaux de plomberie et la conception du mobilier. L’ouverture devrait avoir lieu au début du mois de juin.» L’organisme Cité Historia, qui exploite depuis une vingtaine d’années le Bistro des Moulins et anime le site historique de Sault-au-Récollet, au parc de l’Île-de-la-Visitation, se chargera d’exploiter et d’animer le chalet. Un nouvel organisme, baptisé L’Espace La Fontaine, a été créé à cet effet. http://www.journalmetro.com/linfo/article/826795--travaux-additionnels-au-chalet-du-parc-la-fontaine
  16. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201103/12/01-4378670-lhopital-st-mary-sera-agrandi.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&ut m_contenuinterne=cyberpresse_BO2_montreal_173_accu eil_POS2
  17. Un petit édifice aux airs d'Expo '67. Coin nord-est Saint-Denis_DeMaisonneuve. Construit en 1968 par l'architecte Jean-Paul Pothier. La structure de l'édifice n'a pas été démolie mais des travaux majeurs de réaménagement en 1991-1992 en ont complètement modifié l'aspect.
  18. Pour une fois que c'est le cas, soulignons-le....... http://24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/02/20110203-153638.html
  19. Les entrepreneurs freinent leurs ardeurs Montréal, Laval et le MTQ constatent une baisse importante du coût des travaux. «L'escompte Marteau» pourrait toutefois être de courte durée, selon le milieu policier. La mise en place de nouvelles règles d'octroi de contrats et la présence déstabilisante de l'opération Marteau ont forcé les joueurs-clés de l'industrie de la construction à freiner leur ardeur, ce qui a ouvert la porte à de nouveaux entrepreneurs et fait baisser les prix dans les municipalités, a appris Le Devoir. Cet «escompte Marteau», comme on l'appelle dans les milieux policiers et municipaux, ne serait toutefois qu'un repli stratégique le temps que l'attention sur l'organisation des contrats publics se détourne. «Ils se gardent une petite gêne pour l'instant», a expliqué une source bien au fait de la situation. Une autre personne qui a requis l'anonymat a renchéri: «Pour calmer le jeu, le club des entrepreneurs nous a donné un escompte, un rabais qu'on peut associer à Marteau. Mais le même groupe de soumissionnaires commence à revenir.» De fait, à Montréal, Laval et au ministère des Transports du Québec, on constate une baisse importante du coût des travaux au cours de la dernière année. La raison? Le marché s'est ouvert et de nouveaux entrepreneurs ont soumissionné pour obtenir des contrats d'infrastructure. À Montréal, l'écart entre l'estimation interne des coûts réalisée par la Ville et le prix final des contrats est de 36 % inférieur en ce qui a trait aux travaux d'aqueduc et d'égout. Dans le cas des travaux de chaussée, la baisse est de 36 % également. Dans le domaine des parcs et pistes cyclables, c'est une baisse de 15 % du coût des travaux. «On constate qu'il y a de nouveaux joueurs qui répondent aux appels d'offres. Certains viennent de l'extérieur de Montréal et n'ont jamais soumissionné à Montréal avant. Plus il y a d'entrepreneurs, plus les prix baissent», a expliqué au Devoir Alan DeSousa, le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal. Selon les recherches effectuées par Le Devoir dans les derniers jours, pas moins de 78,5 % des contrats octroyés par le comité exécutif de Montréal entre décembre 2009 et octobre 2010 l'ont été à des entreprises qui ne font pas partie des gros joueurs de la construction dans la région. Auparavant, c'était la proportion inverse. À peine 23 des 107 nouveaux contrats sont allés aux 15 entrepreneurs qui ont eu la part du lion des contrats sur l'île entre 2005 et 2009. Parmi ces 15 entreprises généralement dominantes dans le marché, seulement le tiers a postulé ou décroché des contrats depuis décembre: Construction Louisbourg (5), Construction Soter (5), Construction DJL (4), Construction Catcan (4), Infrabec (3) et Construction Garnier (3). Toutes ces entreprises ont obtenu les contrats depuis juin dernier. Même scénario dans le génie-conseil, alors que seulement cinq «réguliers» ont obtenu des contrats depuis un an, soit LVM (filiale de Dessau), Genivar à deux reprises, Cima+ et Groupe Séguin. Nouveaux joueurs Construction Doverco, de Saint-Eustache, est l'une des nouvelles entreprises à avoir tenté sa chance dans le marché montréalais. Cet été, elle a obtenu deux contrats d'une valeur totale de 465 000 $ pour réaliser des travaux facilitant l'accès à un centre communautaire et à un aréna. «On n'a jamais eu Montréal comme client avant», confirme le président, Yves Savard. Pourquoi avoir soumissionné cette année? «Je ne sais pas. On a tenté notre chance sur ces contrats et on les a obtenus, c'est tout.» M. Savard affirme ne jamais avoir subi de pression auparavant pour ne pas travailler à Montréal. «C'est juste une question de choix», dit-il, ajoutant qu'il va probablement continuer de brasser des affaires à Montréal. N'empêche, ils sont plusieurs comme lui depuis un an à venir de Laval, Boisbriand, Varennes, Boucherville, et même d'aussi loin que Sainte-Marthe-sur-le-Lac. Alan DeSousa affirme que les mesures prises par Montréal portent leurs fruits. D'abord, la Ville a accordé moins de contrats cet hiver, ce qui a créé une pression sur les entreprises qui cherchaient du travail. Ensuite, la Ville a fractionné les gros contrats pour permettre à de petits entrepreneurs de se qualifier. Puis, Montréal a mis un bémol à l'utilisation des consortiums, ces regroupements d'entreprises qui répondent ensemble à un contrat, notamment dans le cas des firmes de génie-conseil. «Plus il y a de consortiums, moins il y a de joueurs dans l'appel d'offres», dit M. DeSousa. Pourquoi les habitués du marché obtiennent-ils plus de contrats depuis le mois de juin, avec une pointe à la fin du mois d'août? «On regarde ça attentivement, mais on ne sait pas, dit Alan DeSousa. On pense que c'est parce que les contrats accordés sont plus gros que cet hiver, alors ils ont plus d'intérêts et d'avantages.» Une baisse à Laval Même scénario de baisse des prix à Laval, qui n'a pourtant pas mis en place de mesures spéciales depuis un an, contrairement à Montréal. La facture des travaux de rénovation des égouts et des aqueducs a baissé de 22 % depuis décembre. Dans le domaine de la chaussée, c'est une chute de 26 %. Parcs et pistes cyclables: -20 %. «On a sensiblement le même volume de contrats, mais on a beaucoup plus de soumissions à chaque appel d'offres, explique Dean Dussault, porte-parole de la Ville de Laval. On a des entreprises nouvelles qui viennent de l'extérieur, alors ça fait baisser les prix.» Y a-t-il un effet temporaire en raison de l'opération Marteau? «Je ne peux pas répondre à ça. Je dois m'en tenir aux faits. Et ces faits disent que la raison de la baisse, c'est qu'il y a plus de concurrence», dit M. Dussault. Dans le cas du ministère des Transports du Québec (MTQ), il y a aussi une chute des prix. En fin de semaine, La Presse révélait que les soumissions sont en moyenne de 16,4 % inférieures aux estimations internes des fonctionnaires. L'unité anticollusion a épluché des contrats d'une valeur de 1,7 milliard de dollars. L'économie pour le gouvernement serait de 311 millions de dollars. Au MTQ, on refuse de commenter ce qu'on nomme des «données stratégiques». À Montréal et Laval, on s'est dit incapable de chiffrer les économies pour l'instant. «On va avoir une meilleure idée dans quelques mois», affirme Alan DeSousa. http://www.ledevoir.com/societe/justice/311618/les-entrepreneurs-freinent-leurs-ardeurs
  20. Le belvédère du mont Royal, aménagé du côté sud du chalet, subira, à compter du printemps, une cure de rajeunissement. Des travaux de réfection du dallage et d’éléments de maçonnerie seront réalisés afin de «limiter la dégradation du site et de sécuriser l’accès aux usagers», peut-on lire dans des documents remis au comité exécutif. Le contrat, qui a été approuvé lundi par le conseil municipal, se chiffre à 545 000 $. Le belvédère Kondiaronk, baptisé en l’honneur d’un chef Huron-Wendat, connu comme l’un des principaux artisans de la Grande Paix de Montréal en 1701, avait fait l’objet de travaux de préservation au début des années 1990. Les années qui ont passé ont cependant mené à la dégradation de la maçonnerie et des joints dans le dallage. Les travaux incluront le remplacement de certaines pierres de granit, la correction des assises de pierre, le rejointoiement et la réfection d’une dalle de béton sous le dallage de granit. Ils devraient être complétés à l’été. Il n’a pas été possible de savoir, hlundi, si le belvédère demeurerait accessible au public pendant les travaux. http://www.journalmetro.com/montreal/article/699092--travaux-au-belvedere-du-mont-royal-au-printemps
  21. Six mois de travaux sur la rue Sherbrooke MONTRÉAL - La Ville de Montréal a annoncé mercredi le début d’un important chantier qui paralysera la rue Sherbrooke jusqu’à la fin mai 2011, au centre-ville, entre les rues Saint-Marc et de la Montagne. La Ville doit effectuer des travaux majeurs pour réparer un égout collecteur construit en 1910, dont l’état de dégradation est tellement avancé qu’il pourrait causer un affaissement de la chaussée et des refoulements chez les résidents du secteur, si rien n’est fait. «Ces travaux sont absolument nécessaires. Les inspections récentes, faites par caméra, démontrent bien l’état dégradé de ce tronçon», a expliqué en conférence de presse le responsable des infrastructures au Comité exécutif, Richard Deschamps. Au lieu de reconstruire l’égout, ce qui aurait coûté neuf fois plus cher, la Ville a opté pour l’installation d’une gaine à l’intérieur des conduites, de façon à créer une nouvelle paroi qui devrait tenir pendant 50 ans. Facture totale : 4,2 millions $. Cette technique permettra également de réduire de moitié la durée du chantier. Circulation Qui dit réfection d’aqueduc dit fermeture de rues, et les travaux sur Sherbrooke n’y échapperont pas. À partir du 14 novembre, l’artère sur laquelle circulent 30 000 véhicules par jour ne comportera qu’une voie dans les deux sens sur une distance d’un demi-kilomètre, entre Saint-Marc et Guy. Sherbrooke sera aussi complètement fermée entre Guy et Saint-Mathieu pendant le week-end du 13 novembre, et entre Guy et Redpath pendant le week-end du 27 novembre. Les entraves seront encore plus importantes de janvier à la fin mai 2011, alors qu’une seule voie sur quatre sera ouverte, en direction ouest. Le chantier fera relâche pendant la période des Fêtes, du 18 décembre au début janvier. Les responsables municipaux assurent qu’ils ne pouvaient attendre le début 2011 pour commencer les travaux, parce que tout doit être terminé pour la saison des festivals qui débute en juin. La Ville, qui a encore en tête le cauchemar des travaux sur Saint-Laurent en 2008, et les nombreuses plaintes sur l’avenue du Parc depuis quelques semaines, promet un plan d’action efficace. «Tous les efforts seront déployés pour diffuser l’information et accompagner les commerçants et les résidents durant les travaux», a assuré Richard Deschamps. En 2007, sur la même rue Sherbrooke, au coin de la rue Beaudry, une portion de la chaussée s’était affaissée en raison de l’égout trop vétuste. La réparation d’urgence avait nécessité la fermeture complète de l’intersection pendant deux mois. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/regional/montreal/archives/2010/11/20101110-202428.html
  22. Source: La Presse, 10 novembre 2010 La pharmaceutique Pfizer a annoncé mercredi qu'elle investirait 22 millions de dollars afin de procéder à des travaux de reconstruction et de modernisation de son siège social de Kirkland, dans l'ouest de l'île de Montréal. Selon le président de l'entreprise, Paul Lévesque, cet investissement démontre que Pfizer souhaite demeurer «le chef de file» de l'industrie biopharmaceutique, qui constitue d'après lui un secteur «vital» pour la province. Les 22 millions seront consacrés à la reconstruction du bâtiment original de Kirkland et à la modernisation des installations et des équipements utilisés quotidiennement par les employés. Les travaux sont déjà en cours, précise le communiqué diffusé mercredi, et devraient prendre fin d'ici mars 2011. En tenant compte uniquement du secteur de la construction, le projet aura créé une centaine d'emploi, fait valoir l'entreprise. Pfizer a près de 2100 employés au Québec, ce qui en fait la société pharmaceutique qui compte le plus d'effectifs dans la province
  23. Travaux majeurs La « Main » fermée jusqu'en décembre Mise à jour : 15/09/2010 11h46 Dès jeudi et jusqu’en décembre, les automobilistes devront éviter le secteur du boulevard Saint-Laurent, au centre-ville de Montréal. L’artère principale sera fermée à la circulation pendant trois mois en raison de travaux majeurs, du boulevard René-Lévesque jusqu’au boulevard Maisonneuve. La Ville en profitera pour refaire les infrastructures souterraines du boulevard, dans le cadre des travaux du Quartier des spectacles. Par contre, la rue Jeanne-Mance, qui était barrée depuis la fin de l’été, sera rouverte pour faciliter les déplacements dans le secteur. Les automobilistes venant du sud et de l’est seront redirigés vers le boulevard René-Lévesque, la rue Jeanne-Mance et la rue Sherbrooke. Ceux en provenance de l’ouest devront emprunter un détour vers le boulevard René-Lévesque, la rue Berri et le boulevard de Maisonneuve. (Agence QMI)
  24. brubru

    Pont Viau (2012)

    http://www.courrierahuntsic.com/Actualites/2010-07-08/article-1520626/Travaux-majeurs-sur-le-pont-Viau/1 http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/laval_mille_iles/refection_du_pont_viau_route_335_entre_laval_et_montreal
  25. 9,9 M$ pour agrandir le Collège Montmorency Geneviève Fortin Publié le 25 Mai 2010 Malgré la mauvaise température à l'extérieur, les sourires étaient nombreux au Collège Montmorency, lundi matin, alors que la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, annonçait un investissement de 9,9 M$ pour l'agrandissement de l'établissement postsecondaire. Attendue depuis longtemps, cette annonce est la suite logique de celle faite en octobre concernant l'augmentation du nombre admissible d'étudiants. Le collège qui compte actuellement 5700 étudiants peut en accueillir 100 de plus selon le nouveau devis. Le bâtiment construit au début des années 1970 a quant à lui une capacité d'accueil de 5000 étudiants. Lors de la conférence de presse, la directrice générale du Collège Montmorency, Denyse Blanchet, a souligné qu'il n'était plus possible d'agrandir le cégep de l'intérieur. En entrevue, elle notait que le manque d'espace ne se traduit pas seulement par une pénurie de locaux de classe, mais également par un manque d'espace dans les aires communes, notamment la cafétéria et la bibliothèque. Le député de Laval-des-Rapides, Alain Paquet, estime que l'agrandissement du collège permettra d'avoir un environnement adéquat pour l'enseignement. Celui qui avait promis l'agrandissement de l'établissement collégial lors de la dernière campagne électorale a insisté sur l'importance de pouvoir compter sur une relève qualifiée dans un contexte où le taux de chômage est très bas. Travaux La directrice générale dit espérer que les travaux d'agrandissement débuteront l'automne prochain. Les plans de construction n'étant pas établis, les élus et Mme Blanchet ne peuvent dire de quelle façon on augmentera l'espace, ni de quel côté le bâtiment s'agrandira. «Nous avions déjà travaillé sur des plans, mais ils étaient pour un devis pédagogique moindre», indique Mme Blanchet. Elle assure toutefois, que les plateaux sportifs ne seront pas être sacrifiés. -------------------------------------- 1er juin 2010 Expansion du collège Montmorency (à droite)
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