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  1. J'ai trouvé cet article sur Cyberpresse.ca Ça vaut la peine! http://www.cyberpresse.ca/opinions/201101/05/01-4357438-le-quebec-doit-accentuer-ses-echanges-avec-la-nouvelle-angleterre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_place-publique_1242600_accueil_POS4 Pierre Harvey L'auteur est président de Harvey International inc., à Sherbrooke. Le Québec doit accentuer ses échanges avec la Nouvelle-Angleterre Le développement économique du Québec est en train de reprendre vie tranquillement. Malheureusement, certains secteurs souffrent toujours de l'après-crise, notamment l'industrie du bois, le secteur manufacturier de l'usinage des métaux (fabrication mécanique et mécano soudée) et le tourisme. Le 16 septembre 2009, le ministère des Relations internationales du Québec écrivait dans un communiqué de presse: «En 2007, la valeur totale des échanges de biens entre le Québec et (la Nouvelle-Angleterre) s'est élevée à 11,45 milliards de dollars. Le Québec y a exporté pour 7,7 milliards de biens, représentant 11,1% des exportations totales de marchandises du Québec et 14,8% de ses exportations vers les États-Unis.» Dans cet esprit, il serait souhaitable que le Québec se dote d'une vraie politique de développement économique intégrée englobant la Nouvelle-Angleterre comme principale priorité en matière de déploiement des efforts marketing et des relations politiques et économiques du Québec. En ce sens, l'État québécois devrait accentuer sa présence dans cette région et prioriser une politique de développement accélérée des relations commerciales et politiques avec cette région de plus de 15 millions de personnes. Le Québec vend plus en Nouvelle-Angleterre (14,1%) que dans tous les pays européens réunis (9,7%). Le tourisme provenant de la Nouvelle-Angleterre représente aussi une importante part de notre industrie touristique. Doit-on rappeler que plus de 30% des touristes qui viennent au Québec proviennent de la Nouvelle-Angleterre et que 90% d'entre eux utilisent les infrastructures routières? Ce marché est donc trop important pour le Québec pour qu'il ne soit considéré simplement que comme une région de développement parmi tant d'autres. L'effort collectif nécessaire pour peaufiner l'image de l'hydroélectricité du Québec dans cette région est prioritaire tout comme la multiplication des efforts des villes québécoises pour créer des réseaux forts avec les acteurs économiques de la Nouvelle-Angleterre. Il serait aussi souhaitable qu'une priorité d'actions soir entreprise aussi avec les acteurs franco-américains de la Nouvelle-Angleterre qui comptent encore aujourd'hui plus de 1,6 million de personnes. Cet effort, orchestré par le Québec, soutenu par Ottawa et déployé par les acteurs économiques locaux, pourrait grandement servir les intérêts des entrepreneurs québécois tout en favorisant aussi les entrepreneurs de la Nouvelle-Angleterre. Même si la crise économique des derniers mois a fait baisser quelque peu les chiffres mentionnés ci-haut, il n'en demeure pas moins que l'importance économique et touristique primordiale de cette région mériterait que l'État québécois révise complètement le mandat de la délégation du Québec à Boston. En effet, la délégation du Québec à Boston devrait être autant, sinon plus imposante que celle de New York, car elle est seule capable de consacrer la relation de proximité qui existe entre le Québec et la Nouvelle-Angleterre. La délégation du Québec à Boston devrait aussi pouvoir supporter politiquement le travail d'une nouvelle corporation privée de type OSBL strictement orientée sur des intérêts économiques privés, qui serait composée d'entreprises et de représentants d'Hydro-Québec, entre autres, qui aurait pour mandat de prendre en charge l'ensemble des efforts économiques du Québec plutôt que de dépendre des simples gestes de quelques fonctionnaires du ministère des Relations internationales. Dans les faits, c'est bien simple: le délégué général du Québec à Boston doit être l'ouvreur politique de porte et les privés font le reste pour sceller la relation commerciale. Dans cet esprit, une corporation privée de type OSBL pourrait être chargée des mandats suivants en y incluant des pouvoirs décisionnels dévolus à ce bureau: promotion économique et touristique du Québec en Nouvelle-Angleterre; centralisation des efforts de développement des relations commerciales, focus group, missions d'affaires et activités de «match-making»; relations et partenariats institutionnels avec collèges, universités, instituts de recherches, associations professionnelles; relations culturelles et sociales (Association canado-américaine, clubs Rotary, Richelieu, etc.); coordination des efforts de toutes les régions du Québec vers ce marché. New York, Pennsylvanie et New Jersey Dans le même esprit de rapprochement accéléré avec la Nouvelle-Angleterre, il va de soi que la stratégie globale englobe aussi ces trois États limitrophes et qui composent le grand nord-est des États-Unis. D'ailleurs et en fonction des moyens limités dont nous disposons au Québec, le type d'approche proposée avec la Nouvelle-Angleterre devient une priorité qui va forcément déteindre vers ces trois États tous aussi importants pour le Québec. Avec plus de 42 millions d'habitants, cette région, appelée le Tri-State, est l'extension naturelle pour le Québec dans son axe de développement nord-sud. Au final donc, le Québec se positionnerait comme leader incontesté du nord-est de l'Amérique du Nord, car c'est par le Québec, de par notre historique de relations avec la Nouvelle-Angleterre que tout cela devrait s'orchestrer. Imaginons seulement le retour sur investissement si nous pouvions contrôler efficacement le transport des marchandises, des personnes et surtout contrôler les besoins énergétiques de plus de 60 millions de personnes. Comme stratégie de commerce de proximité, il n'y aura jamais rien de plus pertinent ni de plus rentable que de profiter d'une manne à moins de quelques heures de route.
  2. Miska

    L'Arsenal

    La galerie René Blouin songe à s'y établir Jérôme Delgado 16 décembre 2010 Arts visuels Un complexe d'art contemporain verra le jour au printemps sur le bord du canal de Lachine, dans Griffintown. Le projet du 2000, rue William, à l'est du marché Atwater, n'est pour l'instant qu'à l'étape de chantier de sa première phase. Mais déjà les rêves les plus fous parlent de cette ancienne usine comme de la première pierre du Chelsea montréalais. Si l'ensemble se concrétise, le lieu serait le plus vaste en ville, cinq fois plus grand que la Parisian Laundry ou la Fonderie Darling. Piloté par un collectionneur averti, l'homme d'affaires et avocat de formation Pierre Trahan, le projet aurait conquis René Blouin, qui gère depuis presque un quart de siècle une des galeries les plus réputées au Canada. Le milieu de l'art contemporain aurait été emballé et a séduit des diffuseurs comme le centre Optica. «À un moment, on disait que tout le 5e étage du Belgo s'en allait là», dit Pierre-François Ouellette, qui, lui, assure que sa galerie restera rue Sainte-Catherine. Bien sûr, on n'en est pas là, voir disparaître le Belgo. Dans cette première phase de 36 000 pieds carrés qui comprend un hangar multifonctionnel, seules les galeries Division (propriété de Trahan) et René Blouin ont une place assurée. Optica n'est plus dans les plans. La deuxième phase, qui dépend de l'achat du reste du bâtiment couvrant 45 000 pieds carrés, pourrait néanmoins les inclure, lui et d'autres. D'abord réticent à parler à un journaliste, Pierre Trahan reconnaît vouloir réunir galeries et centre d'artistes. Il investit «des millions» de dollars à rénover cette «carcasse» avec la contribution «d'architectes et d'ingénieurs de réputation», dont il n'a pas voulu révéler les noms. «C'est un projet personnel, dit-il. Je l'ai d'abord pensé pour montrer des collections privées. Puis pour propulser l'art contemporain à Montréal. L'endroit pourrait devenir le Petit Chelsea de Montréal. Ce serait le point central en ville.» Le lieu servira autant à la diffusion qu'à la tenue d'événements ponctuels. Pierre Trahan exposera sa propre collection, qui se nourrit autant dans les galeries québécoises qu'étrangères. Mais il veut aussi inviter ses similaires à le faire. «On pourrait organiser une rotation de collections privées. Les montrer au public, c'est mieux que de les cacher dans des "lockers". Pour moi, c'est un coup de pouce pour le milieu.» Il dit agir selon des intérêts nobles, pour «jouer un rôle éducatif et non pas pour faire de l'argent». Le financement viendra de la location des espaces. Il espère inaugurer le 1er mai 2011. René Blouin s'enthousiasme à l'idée de quitter le centre-ville et le Quartier des spectacles, où «on occulte le Musée d'art contemporain à chaque festival». Il demeure néanmoins sur ses gardes, tant qu'il n'a pas vu les plans finaux, attendus pour janvier. «Prudence, avertit-il. C'est un bijou qu'on a entre les mains. Il ne faut pas faire quelque chose de moche.» La hauteur des plafonds, le double de celle du Belgo, imposera d'autres manières de faire. On lui parle aussi d'espaces ouverts, qui lui font croire que la vieille formule du cube blanc ne s'appliquera plus. «Il faudra créer un nouveau genre de galerie. Mais il faut y aller avec finesse, pour que les artistes soient stimulés.» *** Collaborateur du Devoir
  3. Projet Wanklyn Illustration fournie par le Fonds immobilier de solidarité FTQ Quadrilatère formé des rues Wanklyn, Jean-Milot et des Aublats, à l'ouest de la route 138. Potentiel d'environ 700 unités en copropriété, de différentes typologies Propriétaire du terrain: Le Fonds immobilier de solidarité FTQ. Ce dernier est à la recherche d'un partenaire, en tant que promoteur du projet. Design urbain: Daniel Arbour&Associés, membre du Groupe IBI Deux entreprises industrielles occupaient autrefois l'immense terrain de 507,400 pieds carrés. Une des deux usines désaffectées a déjà été démolie. Le projet, qui en est encore à une étape préliminaire, devrait être soumis à une consultation publique. Le futur quartier serait entouré d'arbres. Au centre, un petit parc serait aménagé. Il serait particulièrement bien situé, à proximité de la gare LaSalle et de l'ancienne emprise de la voie ferrée du CP, qui devrait devenir un lien vert et traverser l'arrondissement pour relier la gare à la station de métro Angrignon. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  4. :hyper:Voici une vidéo du jeu de lumières fort impressionnant que j'ai eu le plaisir de voir personnellement à Bruxelles dernièrement, bien que cette vidéo date de 2008, j'ai moi-même filmé dans mon dernier voyage, la semaine dernière, un exemplaire de cette manifestation spectaculaire sans toutefois arriver à l'inclure dans mon message. Ceci m'amène à rêver d'un spectacle de lumières que Montréal pourrait s'offrir à son tour sur ses grands immeubles en hauteur du centre-ville, en créant une sorte de symphonie lumineuse où chaque immeuble pourrait donner la réplique aux autres. Un investissement qu'un commanditaire comme Hydro-Québec pourrait rendre réalisable tout en profitant d'une publicité extraordinaire qui lui donnerait une visibilité incroyable. Il n'y a absolument aucune limite dans ce genre de prestation. On pourrait même organiser un concours d'interprétation ouvert aux artistes du monde, un festival non de feux d'artifices mais de jeux de lumières dont le fond de scène serait la ville elle-même. Donc à défaut de s'offrir une nouvelle tour flambant neuve, on pourrait tout de même rajeunir l'image du cv, en lui ajoutant cette particularité qui serait visible à des kilomètres à la ronde et qui attirerait son lot de touristes à l'année longue. Un projet-lumières audacieux qui serait certainement rentable puisqu'on peut y inclure autant un message publicitaire, que d'intérêt public et bien sûr des créations lumineuses super accrocheuses. Comme on dit: "the sky is the limit" et ici l'expression prend véritablement tout son sens. Et si je pousse l'idée encore plus loin, je vois les meilleurs DJ du monde venir s'amuser à Montréal non seulement en faisant danser le peuple, mais aussi les tours à bureaux elles-mêmes, dans une ambiance festive à la grandeur d'une ville. Et que la fête commence :hyper::hyper:
  5. Le iPhone remplace le ticket de métro à New York (BUM) Visa et la ville de New York expérimentent un nouveau système de paiement avec le iPhone. Un peu comme les 10 000 taxis de New York qui sont équipés du système de paiement PayWave de Visa, qui permet à un passager de simplement passer son iPhone devant un lecteur pour effectuer son paiement, la ville essaie maintenant de transposer le même système dans ses stations de métro. Pour mener à bien son étude de faisabilité, le système n'a été installé que sur les 28 arrêts de la ligne longeant Lexington Avenue. Les passagers qui testent le système n'ont qu'à passer leur iPhone devant un lecteur et le tour est joué. Le système PayWave de Visa à l'essai dans le métro new-yorkais pourrait également être testé dans d'autres grandes villes du monde, comme Paris qui serait considérée par Visa comme un bon endroit. La ville de New York et ses transports sont donc maintenant en collaboration avec Visa pour permettre de remplacer les billets de métro par l'iPhone. En plus des taxis et des transports en commun, Visa implantera peut-être son système PayWave dans les commerces de la Grosse Pomme. http://voyage.sympatico.ca/nouvellesactualites/nouvellesvoyagequotidien/le_iphone_remplace_le_ticket_de_metro_a_new_york/54c49953 je me demande si nos nouvelles bornes OPUS pourraient etre patentees pour fonctionner avec ce systeme ? .. ... edit: j'suis pas capable de trouver l'info: est-ce un case appose sur le telephone qui permet cette transaction, ou qqchose d'autre ? la plupart des autre articles que je trouve suggerent que ce serait un case, mais les plus recents, comme celui ci, et celui que j'ai quoter, laissent entendre autrement ..
  6. Le projet serait situé dans Côtes-des-Neiges. Quelqu'un a une idée de l'endroit / du site ? Selon moi, ça doit être dans le nouveau développement Quartier Namur / Savane là où il y a déjà VUE et les autres.
  7. Encore un nouveau projet. C'est la phase 2 de ce projet terminé en 2008 http://mtlurb.com/forums/showthread.php/1538-Tour-Deguire-phase-1-9-%C3%A9tages Je ne suis pas certain du nombre d'étages, mais d'après les évocations que j'ai vu, ça serait autour de 12 ou 15 étages. Site actuel : http://maps.google.ca/maps?f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=acadie,+montr%C3%A9al&sll=46.800059,-65.302734&sspn=4.203876,11.634521&ie=UTF8&hq=&hnear=Boulevard+de+l%27Acadie,+Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&ll=45.529375,-73.680024&spn=0.001056,0.00284&t=h&z=19&layer=c&cbll=45.52916,-73.679274&panoid=Oa2UXLhKoW02f3AI0XQJnQ&cbp=12,325.67,,0,-0.01
  8. Autre projet situé sur le rue De Rouen mais au coin de Lespérance dans le quartier Sainte-Marie tout près des ''tracks''. Il y a longtemos que je n'ai pas été dans ce coin de la ville mais il me semble y avoir plusieurs petits projets. Tant mieux !!! On dit que l'immeuble serait terminé pour septembre 2010, est-ce quelqu'un peut confirmer la construction ? Photos disponibles sur le site web. http://www.conceptimperia.com/site_lesperance/index_lesperance_fran.html
  9. il y a eu plusieurs thead sur les habitations jeanne-mance, qui sont destine un jour je pense a faire l'objet d'un developement controverse, parce que personne a l'air d'etre d'accord sur la maniere de proceder pour raviver le quartier et permettre de nouveaux developement sur ces terrains a la localisation si critique, tout en menageant les occupants existants des hlm. alors, voici a ce sujet, mes deux cennes: sans avoir d'idee sur l'allure ou l'arrangement particulier qu'auraient les nouveaux developement sur les lots vacants du quartier latin autour de l'universite du quebec a montreal, ainsi que les lots presentements occupes par les habitations jeanne-mances, voici comment j'organiserais l'espace de facon generale: dans le but de favoriser le maintien d'un certain niveau de mixite sociale dans le secteur, les terrains sur lesquelles se trouvent presentement la coop des habitations jeanne-mance auraient a maintenir un certain pourcentage de logement sociaux dans des tours residentielles locatives. en augmentant la densite en remplacant les petits immeubles par des tours, la quantite actuelle de loyers modiques pourrait etre maintenue tout en offrants des logements un peu plus dispendieux a travers les memes immeubles. des residences etudiants pour l'uqam et le cegep du vieux montreal pourraient aussi y etre amenage. ces lots sont identifies en jaune sur mon plan. ensuite, les rues de bullion et hotel de ville seraient raccordees a leur troncon nord, aidant a desenclaver le secteur et peut-etre apporter des clients supplementaires aux commerces existants via de la circulation de transit. de plus, les extentions permettraient de fluidifier la circulation accrue par la densification du quartier, et en moindre partie a y ajouter quelques espaces de stationnement. l'espace au centre de ce quadrilatere serait occupe par le parc ainsi que le jardin communautaire existants, qui verraient leur superficie quelque peu augmentee , mais surtout leur acces au residents du quartiers grandement ameliore. le parc est actuellement amenage de facon telle qu'il est difficile de cerner ses limites de celles des cooperatives d'habitation, ce qui decourage sa frequentation par des gens qui ne demeurent pas necessairement dans les hlm. et s'il le faut, le parc pourrait meme s'etendre sur le lot juste au sud de maisonneuve, ou prendre de l'espace a l'est et a l'ouest de hotel-de-ville ou de bullion. c'est le terrain que j'ai marque en vert, sur l'image. le reste des lots du quartier, que j'ai identifie en bleu, ne seraient pas tenus d'accueuillir un quelconque pourcentage en logement sociaux, et seraient donc a plus forte raison des tours a condominium. encore une fois, une augmentation de la densite serait a encourager, et les etages inferieur seraient de preference occupes par des commerces. aussi, tel que suggere il y a un certain temps par un usage d'un autre forum, une partie du terrain de l'edicule de la station saint-laurent pourrait etre reservee a l'accueuil de commerces ambulants, comme ceux que l'on retrouve a la station mont-royal entre autre, en particulier un genre de "farmer's market" ou les residents pourraient se procurer des fruits et legumes frais 24h par jour. [edit: un "plan B" a mon plan serait de repartir a travers le secteur les terrains "jaunes", pour favoriser encore plus la mixite. ainsi, certains lots marque en jaune pourraient en fait etre des tours a condo "bleues" et quelques un des terrains "bleus" au sud de ste-catherine pourraient accueillir du logement social pour relocalise les residents actuels des hlm.] je pense que, peu importe que vous soyez pour ou contre les logements sociaux au centre-ville, on doit reconnaitre que l'etat actuel des choses est au mieux une utilisation sub optimale des lieux, et que la finalisation du quartier des spectacles apportera sans aucun doute des pressions de redevelopement au secteur. personnellement, si on peut conserver les residents actuels et en ajouter [des mieux nantis], tout le monde sera gagnant. et avec tout ces nouveau residents dans le quartier, le troncon de ste-catherine et de st-laurent qui paraissent si morts pour l'instant se verraient sans aucun doute revitalise, de facon toute naturelle. ------------------------------------- disclaimer: excusez la lecture de mes mots, j'ai plusieurs langues secondes.
  10. http://ruefrontenac.com/nouvelles-generales/societe/21855-parc-la-fontaine-restaurant http://www.leplateau.com/Actualites/2010-07-06/article-1502659/-Le-chalet-restaurant-du-parc-Lafontaine-reprendra-vie/1 http://www.danielturp.org/amisduparclafontaine/pdf/APL-Le-cafe-de-Lafontaine.pdf?PHPSESSID=f9af6277c016930a7d2fca4983af48ad Page 8 Liste des prix du Bistro des Moulin (Cité Historia) http://www.citehistoria.qc.ca/reservationsdegroupebistro2010.pdf On veut vraiment donner le restaurant à eux ? et il servira la population ?
  11. Le MTQ projète de compléter l'élargissement du pont MGR-Langlois (en réalité quatre structures), de telle sorte que la r-201 entre l'A-20 (Coteau) et l'A-30 (future A-530) serait entièrement à quatre voies. Le tout évidemment sujet aux consultations et évaluations environnementales "habituelles". Je n'ai rien contre! Toutefois, je me sens intrigué, considérant le futur pont de l'A-30 qui rejoindra l'A-20 approximativement au km 29, soit 15 km en aval de l'échangeur A-20/r-201. Comme le premier sera à péage, et non le second, je me demande bien si une telle amélioration de la r-201 ne nuirait pas à la rentabilité du péage sur l'A-30, et partant, si des oppositions "obscures" au projet du MTQ (pour la r-201) ne surgiront pas un de ces jours. Chose certaine, pour la ville de S. de Valleyfield, une r-201 améliorée serait un gros avantage (surtout pour la liason vers Toronto); dans le cas contraire (ie. pas d'élargissement de la r-201), la future A-30, même avec son "appendice" A-530, pourrait avoir des effets mitigés (des pour et des contre) pour Valleyfield.
  12. Les cégeps pleins à craquer Mise à jour : 13/06/2010 10h23 http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2010/06/20100613-102345.html Moi je vien d'etre refuser au CEGEP Vanier... Trop de demande. C'a fait chier!
  13. brubru

    Pointe-du-Moulin

    Bonjour, Aujourd'hui j'ai fait un peu de photoshop sur le cas du silo no 5, voici le résultat Avant Après Crédit photo: http://lesbeautesdemontreal.wordpress.com Étapes de réalisation du projet: Démolition de tout les silos, sauf celui le plus récent Enlever tout les anciennes composantes qui servaient au silo Nouvelle utilisation : Observatoire Vue du toit: Crédit photo: http://www.havremontreal.qc.ca Je ne sais pas si ça serait mieux qu'il soit au béton ou peinturé d'un couleur... Je vais faire des plans du toit et du terrain. Le bas pourrait devenir la gare des trams !
  14. Les Jeux de Vancouver critiqués à New York et Londres Wayne Gretzky défile sous la pluie dans les rues de Vancouver, à l'ouverture des Jeux d'hiver. La Presse Canadienne - 13/02/2010 20h50 VANCOUVER - La météo inclémente, les allégations voulant que le Canada ait violé les idéaux olympiques et les coûts sociaux et économiques des Jeux d'hiver au détriment des citoyens les plus nécessiteux de la Colombie-Britannique ont volé la vedette au sport sur certains sites internet réputés à travers le monde, samedi. Celui du New York Times par exemple se demandait ouvertement si le Comité international olympique ne s'était pas carrément trompé de choix. «Vancouver est la ville la plus chaude de l'histoire à accueillir les Jeux d'hiver, basé sur la température moyenne en février, de sorte qu'on aurait peut-être pu anticiper les problèmes», est-il écrit. «Ou est-ce l'organisation locale qui doit être blâmée pour avoir prévu des événements sur Cypress Mountain, qui n'est qu'à 30 minutes de Vancouver et ses températures douces?» «Vancouver est une ville attrayante, y dit pour sa part le professeur d'économie américain Victor Matheson. Mais la chaude température et les complications de dernière minute avec la neige pourraient nuire à sa réputation comme ville de sports d'hiver. Ce serait une honte, mais ce ne serait pas la première fois qu'un événement majeur a un effet négatif sur l'image d'une ville.» «Je ne crois pas que ce fut une erreur de présenter les Olympiques à Vancouver», a plutôt déclaré Hannah Hardaway, qui a participé aux épreuves de bosses aux Jeux de 2002. «La Colombie-Britannique est une destination d'hiver remarquable et on aurait pu tout aussi bien tomber sur un hiver plein de neige et des conditions idéales. En autant que les parcours soient sécuritaires et remplissent les normes, pourquoi se plaindre? Il ne semble pas que ce soit le cas des compétiteurs.» Sur le site du Guardian de Londres, on se concentrait sur l'action des activistes anti-olympiques. «Les Olympiques sont un autre malheureux exemple d'un partenariat public-privé qui a mal tourné, peut-on y lire. Les contribuables ont été taxés sournoisement par des promoteurs privés qui ont entraîné la ville dans un budget de faillite( ...) Les besoins fondamentaux d'une population sont sacrifiés sur l'autel de la gloire olympique alors que près de la moitié des Canadiens, selon un récent sondage, jugent que la situation économique actuelle est «pauvre» ou «très pauvre». Sur le site du London Times, le principal reporter sportif Owen Slot s'en prend à la stratégie du programme «À nous le podium», affirmant qu'une partie de celui-ci consistait à interdire les sites de Vancouver et Whistler aux athlètes étrangers afin de procurer le maximum d'avantages aux canadiens. «Il y a des règles et même si les Canadiens les ont suivies, admet-il, leur interprétation a été de limiter au minimum les entraînements des non-Canadiens.» L'auteur faisait évidemment référence à l'accident mortel survenu au lugeur géorgien Nodar Kumaritashvili.
  15. Salut ! J'ai fais une carte de redéveloppement des terrains vagues de Mile-End: Avant Après Les terrains du haut de la voie ferrée sont déjà tous à la Ville de Montréal, sauf un bout qui est à la stm, ceux du bas je ne suis pas certain, ils ont déjà été au CP, maintenant j'en ai aucune idée. Ces terrains sont déjà des parc, mais non officiels, il faudrait de l'aménagement paysager, et des meubles urbains. La partie rouge serait un tunnel pour que les passants puisent aller du parc à l'autre. Le garage Bellechasse qui ne sert plus, pourrait devenir le musé de la STM. Qu'en pensez vous ?
  16. L'article du journal dit que le restaurant serait à plus de 1000 pieds du sol. 1000 pieds donne environ 60 étages, alors j'ai indiqué 60 étages comme titre du projet, mais ça aurait été probablement plus étant donné que le tour se poursuit un peu plus au dessus du restaurant. 2 images.
  17. en tombant sur cette image: je n'ai pu m'empecher de penser a l'intersection st-hubert / mont-royal. je la croise presque tout les jours a pied et malgre plusieurs modifications au fil du temps, je trouve qu'elle reste particulierement dangereuse. si jamais on decide de 'duluthiser' l'avenue, en la rendant semi pietoniere, pensez vous que ca serait une solution viable pour controller le flot de voitures a cette intersection, qui pourrait aussi servir de delimitation a un sens-unique sur mont-royal (plutot que st-denis), ou est-ce que ca creeait un casse-tete incroyable aux automobilites qui voudraient continuer vers l'est (marie-anne etant vers l'ouest). une addition serait p-e d'inverser le sens des rues resther & st-hubert (au nord de mont-royal jusqu'a laurier), ca rendrait p-e la circulation plus fluide ?.... ????????
  18. Une très bonne nouvelle en perspective. Les transactions immobilières pourraient bientôt coûter moins cher au Canada. Selon le quotidien Toronto Star, le Bureau de la concurrence du Canada a passé les deux dernières années à réviser les pratiques des professionnels de l'industrie. À la suite de cette étude, le Bureau conclut que le comportement de l'Association canadienne de l'immeuble nuit aux saines pratiques concurrentielles, et que les façons de faire doivent changer. Le Bureau de la concurrence ouvre ainsi la voie à une chute des frais de courtage immobilier au pays. La possibilité d'inscrire soi-même sa propriété sur le site des Services interagences, mieux connu sous le nom de MLS, serait aussi souhaitée. Aucun règlement ne serait encore intervenu entre le Bureau de la concurrence et l'Association canadienne de l'immeuble. L'Association canadienne de l'immeuble regroupe plus de 96 000 agents immobiliers au pays, soit la majorité des gens de la profession. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2009/11/02/002-frais-courtage-immobilier.shtml
  19. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/fabrication/200909/30/01-907012-pratt-whitney-va-fermer-une-usine-a-longueuil.php je crois que ce serait une belle occasion de revitaliser ce secteur. Je verrais bien un beau quartier dense avec services de proximités, qui s'étendrait jusqu'à Roland-Therrien. Ces services pourraient servir aussi aux gens des bureaux sur Roland-Therrien. Ce quartier serait à proximité d'une éventuelle station de métro au CEGEP. Cataclaw pourrait nous faire une vision de ça!
  20. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5i6Fva0ns1hS4JeI-yGHAxzwkXwew De Bernard Barbeau (CP) MONTREAL — Le consortium qui a réalisé l'étude d'impact du projet de construction d'un pont suspendu enjambant la rivière Saguenay à la hauteur de la route 138 privilégie le mode de financement en partenariats public-privé (PPP), même si son coût serait de 143 millions $ plus élevé. Le projet pourrait ainsi coûter jusqu'à 903 millions $. Cette différence pourrait être comblée par la combinaison du "facteur d'efficience du secteur privé" et de la "quantification des risques transférés", estime cependant le consortium composé des firmes SNC-Lavalin et Génivar dans son rapport rendu public mercredi. Or, depuis que la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget a quitté ses fonctions, le gouvernement de Jean Charest semble avoir passablement refroidi ses ardeurs à l'égard des PPP. Le pont relierait les municipalités de Baie-Sainte-Catherine, dans la région de la Capitale-Nationale, et Tadoussac, sur la Côte-Nord. Il s'agirait d'une structure de quatre voies d'une longueur totale de deux kilomètres, ce qui en ferait le plus long pont suspendu en Amérique du Nord, et le cinquième au monde. Le projet comprend aussi l'aménagement de routes d'approche à deux voies. Les travaux dureraient sept ans. Actuellement, le lien entre Baie-Sainte-Catherine et Tadoussac se fait par traversier, ce qui occasionne de longs moments d'attente à la fois en période d'affluence et hors des périodes de pointe. Le "syndrome de la traverse", selon lequel des conducteurs normalement prudents adoptent des comportements dangereux d'abord pour se réserver une place sur le traversier et ensuite pour reprendre le temps perdu, serait aussi en partie responsable de nombreux accidents. "L'aménagement d'un pont en remplacement de la traverse de Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine se révèle l'intervention la plus appropriée à long terme pour répondre à la demande de déplacements entre la Côte-Nord et le reste du Québec", souligne au passage le rapport. Il note également qu'une telle structure aurait un impact positif sur la situation économique de la région, qui "est intimement liée à l'industrie touristique". Toutefois, dans les deux municipalités directement concernées, Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine, on s'inquiète de la disparition d'emplois liés au service de traversier. Le maire de Baie-Comeau, Ivo Di Piazza, ne s'en fait aucunement. "Il y a un certain nombre d'emplois, aussi, qui vont se créer ne serait-ce que par le fait qu'il y ait un pont", fait valoir celui qui est aussi préfet de la MRC de Manicouagan, vice-président de la Conférence régionale des élus de la Côte-Nord, et porte-parole du groupe Nord-Côtiers unis pour l'avenir. "L'effet des emplois qui seront perdus sera compensé par une activité économique plus importante." Au point de vue environnemental, le consortium est d'avis que, puisque "le projet ne touche pas significativement le milieu marin, les principaux impacts négatifs du projet affectent le paysage". "Les piliers du pont seraient en rives de part et d'autre du Saguenay, donc on ne parle pas de piliers dans la rivière", précise Marc Larin, de la Direction de la Côte-Nord de Transports Québec. Des mesures d'atténuation et de suivi sont néanmoins proposées. "Actuellement, ce n'est pas très agréable, au plan environnemental, d'avoir assez souvent des kilomètres de voitures dont le moteur tourne, fait d'autre part valoir M. Di Piazza. Et si on pensait ajouter d'autres traversiers sur la rivière Saguenay, ce serait un trafic supplémentaire et les écosystèmes en seraient d'autant fragilisés à la longue. Le pont m'apparaît la solution environnementale la plus efficace." De plus, "en période d'exploitation, l'arrêt du service de traversier occasionnera un impact positif, en réduisant le niveau de bruit ambiant à l'embouchure du fjord", indique-t-on dans le rapport. La réalisation de cette étude d'impact avait été confiée au consortium SNC-Lavalin-Génivar à l'automne 2002 pour un montant de 2 millions $. Le ministère des Transports attend maintenant de voir quelles réactions suivront la publication du rapport. "L'objectif est vraiment de permettre aux gens de prendre connaissance de l'étude, qui est quand même assez volumineuse, et à la suite des discussions qu'il y aura avec les différents groupes concernés, il y aura une position qui sera prise", indique M. Larin.
  21. Un évènement de la PGA à Montréal? (Corus Sports) - Après le Grand Prix, il se pourrait que Montréal devienne la ville-hôte d'un autre évènement sportif d'envergure, soit un tournoi de la PGA. En effet, David Skitt, fondateur et directeur de l'Omnium de Montréal de golf, a à coeur d'offrir le meilleur produit possible aux amateurs de golf. « Depuis quelques années, nous sommes en discussion avec le PGA Tour pour voir comment l'évènement pourrait évoluer, mais sans laisser de côté notre évènement du Canadian tour », a-t-il souligné. Depuis près de dix mois, les négociations entre les deux partis s'accentuent afin de trouver un terrain d'entente. « Nous sommes en négociations avec le PGA Tour pour voir quelles sont les possibilités d'amener un tel évènement ici. Il y a entre 10 000 et 15 000 spectateurs qui vont assister à l'Omnium de Montréal de jeudi à dimanche. Si nous faisions un évènement du Champions Tour, on parle de 75 000 personnes qui viendraient y assister. », explique Monsieur Skitt. Selon lui, il ne fait aucun doute que Montréal gagnerait beaucoup à recevoir un tel évènement, tant en visibilité qu'au niveau des retombées économiques. « On parle d'un évènement avec un impact économique, la première année, de 20 millions $ et dans cinq ans, ça va générer 150 millions $. Ce serait une vitrine incroyable pour Montréal, pour la province et pour le pays. Il n’y a aucun évènement du Champions Tour, du Senior Tour au Canada », avance-t-il. Les ambitions qu'a David Skitt n'étaient auparavant qu'un rêve. Aujourd'hui, ce rêve semble se rapprocher de plus en plus de la réalité. « Tout promoteur veut attirer les meilleurs athlètes mondiaux à son évènement. C'est définitivement réalisable. C'est quelque chose qui serait incroyable pour la ville de Montréal. Après l'annonce du Grand Prix, pourquoi ne pas avoir un évènement de la PGA qui a une audience de 250 millions de téléspectateurs à travers le monde », souligne-t-il. « L'opportunité qu'on a maintenant serait d'amener un évènement du Champions Tour au Québec, mais il n'y a aucune entente pour l'instant. Il y a des négociations avec chacun des paliers de gouvernement pour convaincre le plus de personnes possible d'embarquer dans ce projet-là », a-t-il conclu. L'Omnium de Montréal se tiendra du 17 au 23 août, sur le parcours de golf St-Raphaël. Le public pourra assister à l'évènement à partir du 20 août.
  22. 30 ans plus tard Dodge Chrysler ferme ses portes à Longueuil Mise à jour : 22/07/2009 20h02 Une page d'histoire se tourne cette semaine à Longueuil. Le concessionnaire Dodge Chrysler, qui faisait partie du paysage depuis plus de 30 ans, est forcé de fermer ses portes. Tous les véhicules ont déjà été liquidés. La fermeture serait inévitable en raison des difficultés à obtenir du financement des banques. Les propriétaires affirment également qu'ils sont incapables de répondre aux exigences des constructeurs en raison des nombreux bouleversements dans l'industrie automobile. Nouvelles LCN - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - L'immeuble (terrain?) est à vendre. C'est un grand terrain à la porte du Vieux-Longueuil et à coté du centre d'achat Place Longueuil. Un redeveloppement de ce site serait très intéressant. Du residentiel ou un mixte commercial et résidentiel de densité moyenne serait bien.
  23. L'économie canadienne serait sur la bonne voie * Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement L’économie canadienne serait décidément sur le chemin de la guérison selon les rapports de différents économistes publiés à la suite de l’annonce d’une contraction moins importante que prévue du produit intérieur brut (PIB) local. Regain d'optimisme chez les économistes En effet, le PIB réel a reculé de 5,4% au pays durant le premier trimestre alors que les économistes prévoyaient plutôt que la contraction allait avoisiner les -6,5%. Pour les économistes de Desjardins, ce résultat est qualifié de « soulagement ». « Non seulement la diminution des dépenses de consommation est moins importante que prévu, en particulier au sein des biens durables, mais l'amélioration du solde commercial a été un peu plus grande, explique Benoit P. Durocher, économiste senior chez Desjardins. De plus, la correction des stocks s'est avérée un peu moins prononcée qu'anticipé. » Pour Stéfane Marion, économiste et stratège chez la Banque Nationale, cette embellie ne date pas d'hier. Dans la dernière édition du Mensuel économique, il soutient que « depuis fin mars, des indicateurs donnent à penser que l'économie canadienne va mieux » tout en insistant sur le faire que le « recul du premier trimestre a marqué le creux de la vague » et que « la croissance pourrait reprendre plus tôt que beaucoup ne le prévoient ». Les analystes des différentes banques sont notamment encouragés par le fait que les prix des matières premières, garants de la croissance du sacro-saint secteur des ressources canadien, ont repris le chemin de la croissance depuis les dernières semaines. Toutefois, le marché de l'emploi devra reprendre de la vigueur pour que la reprise perdure de façon sérieuse. Le rapport du mois d'avril sur l'emploi au Canada était encourageant en cette matière puisque qu'il a révélé une création de 36 000 postes, principalement chez les travailleurs indépendants, au lieu de la perte de 50 000 postes qui était anticipée par les analystes. Stéfane Marion appelle toutefois à la prudence face à cette embellie inattendue. « Il reste que les effectifs salariés n'ont pas baissé pour la première fois depuis le début de la crise, ce qui est en soi une bonne nouvelle, avoue-t-il. Comme les statistiques sur l'emploi au Canada sont par nature très fluctuantes, il est trop tôt pour en conclure que la croissance est là pour durer. » « Mais on peut assurément affirmer que le marché de l'emploi est dans un bien meilleur état qu'avant », ajoute l'économiste. Si le marché de l'emploi venait à se stabiliser, la confiance des investisseurs, déjà plus forte qu'il y a quelques mois, ne manquerait pas de venir soulever à nouveau les ventes au détail et les dépenses de consommation. « Cela dit, la hausse de la confiance des ménages observée au cours des derniers mois laisse croire que les dépenses de consommation pourraient continuer à s'améliorer, en particulier au sein des biens durables, d'autant plus que les taux d'intérêt se situent à un niveau exceptionnellement bas », souligne Benoit P. Durocher. Ce retour de la confiance semble également atteindre l'immobilier canadien. En effet, le marché de la revente donne aussi des signes de redémarrage puisque l'Association canadienne de l'immeuble a signalé dernièrement que les ventes de logements existants avaient augmenté pour un troisième mois de suite en avril.
  24. J'ai passé par la rue Cypress hier et je me suis dis que ça serait une belle place pour une tour. Le rendu est vraiment juste un test de volume.. il n'y a pas de textures, pas de détails, c'est même pas "rendered". J'ai mal placé mon image, je viens de me rendre compte.. elle est un peu courte, donc la tour serait plus haute en réalité. De 10-15%. EDIT: version 2
  25. Un mariage de 15milliards de dollars entre les deux plus grandes pétrolières canadiennes, Suncor et Petro-Canada, serait sur le point d'être annoncé, selon le Wall Street Journal. Pour en lire plus...
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