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  1. Pas de doute, vous devriez toujours acheter sur Amazon, parce que les réductions sont vraiment impressionnants. Je l'ai acheté plusieurs fois déjà et ai jamais eu de problèmes. Dans ce cas, vous avez toujours amazon service client pour les demandes
  2. 28/06/2016 Mise à jour : 28 juin 2016 | 17:39 http://journalmetro.com/local/hochelaga-maisonneuve/actualites/986540/des-artistes-pour-transformer-sainte-catherine-est/ Des artistes pour transformer Sainte-Catherine Est Par Catherine Paquette TC Media Collaboration spéciale Le projet Quartier en art embellit déjà quelques vitrines de la rue Sainte-Catherine Est. La rue Sainte-Catherine Est connaîtra bientôt un vent de renouveau avec l’arrivée d’artistes et artisans dans ses locaux vacants, promet la société de développement commercial (SDC) Hochelaga-Maisonneuve. L’organisme vient de se voir accorder un financement de 90 000$ pour le projet «Sainte-Catherine, rue des artistes et des artisans», sélectionné dans le cadre du programme PRAM-Est de la Ville de Montréal. Un total de 157 631 $ partagé entre la ville-centre, la SDC et d’autres partenaires sera investi dans la réalisation de projets qui inciteront des artistes à y installer leur atelier ou leur boutique, dans le secteur de la SDC allant de l’avenue Bourbonnière à la rue Viau. L’embauche d’une personne ressource permettra de faire le lien entre les propriétaires et les artistes, et des concours d’entreprenariat encourageront certains à s’y lancer en affaires. «Il y a déjà des ateliers boutiques sur la rue Sainte-Catherine, mais on veut renforcir cette identité. Il commence déjà à avoir une clientèle pour ces produits-là», explique le directeur de la SDC Jimmy Vigneux. Le projet surfera en effet sur la vague de nouveaux arrivants dans le secteur : les Ateliers Créatifs, dont les locaux ouvriront cet été, amèneront une centaine de créateurs dans les locaux du 3890-3910, rue Sainte-Catherine. La présence d’ateliers-boutiques comme Electrik kidz, Bigarade et Gabardine et de la galerie Gham et Dafe marquent également la volonté des artistes de s’installer dans le secteur. Le projet répond au besoin d’améliorer «l’image» de la rue Sainte-Catherine. Le montant octroyé par la Ville s’ajoute aux nombreux efforts de relance de l’artère, dont le tronçon entre Pie-IX et la rue Moreau fait l’objet d’une démarche de revitalisation urbaine intégrée (RUI) de la Table de quartier Hochelaga-Maisonneuve depuis 2012. Le projet s’arrimera par ailleurs avec les efforts de la table, qui vise le recrutement d’artisans depuis plusieurs mois, après des consultations menées auprès de la population du secteur. Secteur défavorisé Parsemée de graffitis et de locaux vacants, au nombre de 46, la rue Sainte-Catherine a l’avantage d’être beaucoup moins coûteuse pour les locataires. La moyenne des loyers s’élève à 10$ le pied carré, soir la moitié moins des montants exigés sur la rue Ontario, fait savoir le directeur. «C’est un type de commerce viable sur Sainte-Catherine, puisque 100% de leur chiffre d’affaires ne se fait pas nécessairement sur la rue. Comme l’achalandage n’y est pas si élevé que sur Ontario, on considère que c’est un bon filon», affirme-t-il. Le directeur souhaite offrir à des artistes d’occuper des locaux vacants gratuitement de manière temporaire, afin d’attirer de possibles locataires. Le projet vise aussi à améliorer l’aspect des vitrines en travaillant en collaboration avec Un quartier en art, projet qui vise à afficher des œuvres d’artistes locaux dans les locaux vacants. «Il faut établir que c’est rue artistique, on veut que les artistes puissent s’exprimer sur la rue», ajoute savoir le directeur.
  3. Une entreprise de plus pour le Mile-End: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/922937/hybride-sinstalle-sur-le-plateau/
  4. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201511/06/01-4918269-que-reste-t-il-de-je-vois-mtl.php Publié le 07 novembre 2015 à 09h00 | Mis à jour à 09h00 Que reste-t-il de Je vois Mtl? Maxime Bergeron La Presse «Coup d'épée dans l'eau», «feu de paille»: les sceptiques étaient nombreux au lancement de Je vois Mtl, il y a un an. Sans faire trop de bruit, ce mouvement citoyen a produit des effets concrets dans la dernière année. Quelque 70 projets ont déjà été réalisés ou sont sur le point de l'être, et une cinquantaine d'autres sont en cours. Tour d'horizon. Une oeuvre d'art de 4,5 km entre l'aéroport et le centre-ville. Un incubateur d'entreprises de plusieurs millions dans la Petite-Bourgogne. Une bibliothèque d'outils dans Villeray. Malgré le scepticisme, le mouvement citoyen Je vois Mtl a déjà généré 54 projets concrets un an après son lancement, tandis que 16 autres sont sur le point d'être achevés. «C'est un énorme succès de mobilisation et de création d'un momentum», affirme Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitaine (CCMM). Je vois Mtl a soulevé une vague d'enthousiasme - et plusieurs froncements de sourcils - à son lancement en novembre 2014. Alors que la métropole se remettait à peine de nombreux scandales de corruption et baignait dans une certaine morosité, BMO et la CCMM ont invité les Montréalais à soumettre des projets dans toutes les sphères d'activité. Plus de 180 ont été retenus. Un an plus tard, plus de la moitié des projets sont terminés (54), en phase de tests finaux (16) ou en développement (49). Le mouvement Je vois Mtl est entre-temps devenu Je fais Mtl et s'est doté d'un bureau de suivi, dirigé par l'ancienne ministre péquiste Diane De Courcy. Un accélérateur Si plusieurs projets étaient déjà en gestation avant le lancement de Je vois Mtl, il leur manquait dans bien des cas une bougie d'allumage. La gestionnaire immobilière Natalie Voland, par exemple, a acheté une église désaffectée il y a quatre ans dans la Petite-Bourgogne dans le but de la transformer en incubateur de PME, un projet qui peinait à décoller. «Le projet était déjà en train de se faire, mais c'était très difficile pour le changement de zonage et de vocation, parce qu'un tel projet ne s'était jamais fait avant à Montréal, explique-t-elle. Après qu'on soit rentrés dans le mouvement Je fais Mtl, ça a grandement facilité le projet. On s'est retrouvés entourés d'un paquet d'experts, eux-mêmes remplis de contacts.» Après un sprint de travaux, qui s'achevait au moment de notre passage, Natalie Voland inaugurera à la mi-novembre le Salon 1861. Ce centre nouveau genre comprendra 80 espaces de travail partagé (coworking), des espaces réservés aux résidants du quartier défavorisé ainsi qu'un restaurant, des bureaux et une vaste salle de réception. L'immeuble est déjà loué à 67%. Le président de la CCMM reconnaît que plusieurs dossiers étaient déjà en chantier avant Je vois Mtl. Mais il insiste pour dire que les engagements pris pendant la conférence ont constitué de véritables catalyseurs, incluant pour son propre organisme. La CCMM s'était engagée à travailler avec ses partenaires pour ajouter cinq nouvelles liaisons aériennes directes vers Montréal d'ici trois ans. L'objectif a été atteint en moins d'une année, avec de nouveaux vols vers Pékin, Reykjavík, Lyon, Budapest et Marrakech, une réussite que Michel Leblanc attribue en bonne partie à Je fais Mtl. «Ce qu'il fallait monter, c'est le «business case», dit-il. Ce qu'il fallait, c'était de mettre de la pression sur les décideurs et de faire en sorte qu'ils s'y engagent. Le cynisme, c'est de dire que les choses se seraient produites de toute façon. La réalité, c'est qu'à un moment donné, ça prend des gens qui décident: on va livrer un résultat, on va aller cogner à des portes, et juste ce fait-là en soi va provoquer un résultat.» Combien d'investissements? Il est impossible pour le moment de quantifier la valeur de tous les projets réalisés dans le cadre de Je fais Mtl. Certains ont été menés à bout de bras par des bénévoles avec un budget infime, tandis que d'autres, comme le Salon 1861, ont entraîné des investissements de plusieurs millions. Le bureau de suivi, de son côté, est doté d'un budget de fonctionnement assez modeste de 270 000$ cette année. Son influence semble toutefois bien réelle. Selon nos informations, Diane De Courcy a envoyé la consigne aux fonctionnaires montréalais de se montrer «bienveillants» à l'égard des projets, un message qui semble avoir été entendu. Le projet La Remise, par exemple, se butait à des refus systématiques puisque son type d'activité - une bibliothèque d'outils - n'existait pas dans les registres officiels de la Ville. La jeune coopérative a finalement pu obtenir un permis d'occupation «hybride» pour s'installer dans Villeray après une intervention de Je fais Mtl auprès des fonctionnaires. Pas une panacée Malgré la cinquantaine de projets réalisés depuis un an, l'économie montréalaise aura besoin de beaucoup plus qu'une initiative comme Je fais Mtl pour se remettre sur les rails, croit Luc Ferrandez, chef de l'opposition officielle à l'hôtel de ville. Il estime que la métropole est aujourd'hui «en bien moins bonne posture» qu'à l'élection du maire Denis Coderre il y a deux ans, comme en témoignent le recul de la création d'entreprises et la hausse du chômage. «Je fais Mtl, c'est sympathique, c'est une belle initiative, mais il n'en demeure pas moins que ce n'est pas un plan de soutien précis aux entrepreneurs, lance M. Ferrandez. C'est une sorte d'animation culturelle nécessaire pour valoriser la création d'entreprises, mais ce n'est pas un soutien précis. Et si c'en est un, c'est dans de très rares cas que ça fonctionne.» Denis Coderre croit au contraire que Je fais Mtl a produit des résultats probants sur le terrain. «C'est comme un genre de catalyseur qui a provoqué plein de changements et mis plein de monde en commun», a avancé le politicien, joint pendant sa mission économique en Chine. Malgré certains indicateurs économiques négatifs, la présidente du Mouvement Desjardins, Monique Leroux, estime que la situation globale s'est un peu améliorée à Montréal grâce au «momentum» actuel. Son organisation lancera bientôt le concours VIVA Mtl, dans le but de mettre en valeur des Montréalais qui s'illustrent. «C'est comme n'importe quoi dans la vie, plus on est moroses, plus on est négatifs, plus ça nous amène dans un cercle vicieux de morosité, avance Mme Leroux. Au fond, VIVA Mtl, ça reprend l'affaire dans l'autre sens, pour montrer comment on peut au contraire s'encourager. Il y en a des belles choses, au-delà de tout ce qui fait souvent la une des médias.» Louis Vachon, président de la Banque Nationale, juge lui aussi que l'état d'esprit général des Montréalais est «clairement meilleur» aujourd'hui. Son projet de parcours-galerie entre l'aéroport et le centre-ville contribuera à redorer l'image de la métropole auprès des visiteurs et des Montréalais, espère-t-il. «On peut donner le crédit au maire Coderre, je pense qu'il a beaucoup d'initiative, dit M. Vachon. Je pense que Montréal a tous les morceaux pour réussir. Ce qu'il manque, c'est un peu de coordination.» Un petit pas sera fait en ce sens avec l'annonce dans deux semaines de la création d'un nouveau comité, qui veillera au suivi de tous les projets présentés à Je fais Mtl. Cet organisme - appelé «Conseil ADN», pour «avis», «développeurs» et «novateurs» - sera présidé par Denis Coderre et réunira 15 leaders montréalais. En parallèle, une dizaine de scientifiques québécois et internationaux sont en train d'élaborer un indice en vue de mesurer l'impact réel de tous ces projets et les liens entre les participants. Cet outil devrait notamment permettre de connaître le rendement sur investissement. _________________________ Deux nouvelles conférences Deux événements se tiendront d'ici deux semaines pour faire le point sur les progrès accomplis à ce jour et donner un coup de pouce aux participants de Je fais Mtl. Une première conférence se tiendra lundi à la Grande Bibliothèque et réunira 300 leaders de projets et leurs collaborateurs. Des «supporteurs-experts», comme des avocats ou des spécialistes en financement, seront attitrés à chaque projet pour en accélérer le développement. Un autre événement se tiendra le 17 novembre au Salon 1861, pour marquer formellement le premier anniversaire du mouvement. De nouveaux «engagements formels» seront pris pour mener à bien les projets qui n'ont pas encore vu le jour. Entre 400 et 500 participants sont attendus.
  5. La Ronde: plusieurs nouveautés en 2016 Le Huffington Post Québec | Par Marie-Josée Roy Publication: 03/09/2015 05:59 EDT Mis à jour: il y a 2 heures La saison 2015 de La Ronde s’achève sous peu, mais qu’à cela ne tienne, on annonce déjà des nouveautés pour l’été 2016! Et on peut déjà prédire que les amateurs de sensations fortes en auront pour leur argent l’an prochain… Tout d’abord, le Vampire, cette montagne russe aux allures de chauve-souris, sera allongé et fera faire une vrille arrière aux courageux qui y monteront! La montée d’une hauteur de 32 mètres au début de la «balade» demeure inchangée mais, quelques secondes plus tard, le train effectuera un tonneau et entraînera ses passagers dans cinq inversions hallucinantes, à une vitesse de 80 km/h, à l’envers! De quoi avoir l’estomac en bouillie… Puis, on inaugurera la zone Avenue Aventure, qui sera un lieu d’excitation pour toute la famille. Deux manèges y seront ajoutés : le Phoénix, un scooter volant dont le «conducteur» aura le contrôle et qui devra être maîtrisé à contrevent, et le Gravitor, une structure qui projettera les personnes haut dans les airs et qui tourbillonnera encore et encore, dans une mer de sons et de lumières. Le mouvement créera une danse spectaculaire pour l’œil. En chiffres, le Phoénix sera constitué de 8 scooters volants, qui accueilleront chacun deux passagers en rotation à haute vitesse, tandis que le Gravitor comptera huit nacelles suspendues, qui contiendront deux passagers chacune et une manette permettant une rotation de la nacelle à 360 degrés, et sera décoré de 1500 lumières sur les sièges, les bras et la colonne principale de la nacelle. L’Halloween à La Ronde En attendant ces changements, à compter du samedi 3 octobre prochain, La Ronde revêtira ses habits les plus effrayants pour célébrer l’Halloween. Le District 5-10 – Dans le noir, un sentier de zombies, et l’Empailleur, une nouvelle attraction à faire frissonner, sont les attraits à découvrir d’ici la fermeture officielle de La Ronde en vue de l’hiver. Ceux-ci se greffent à la quarantaine de manèges déjà existants du parc montréalais, dont la Maison rouge, nouvelle maison hantée en hommage aux clowns, qui a ouvert ses portes au printemps 2015. Le passeport-saison 2016 de La Ronde sera mis en vente ce week-end, pendant le congé de la Fête du Travail, du 3 au 7 septembre. Ceux qui se le procureront à ce moment bénéficieront d’un rabais de 70% et d’une multitude d’autres avantages. Consultez le http://www.laronde.com pour plus d’informations. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/09/03/nouveautes-la-ronde-2016_n_8081546.html
  6. C'est le AC Marriott. Il y a déjà un fil sur ce projet. http://mtlurb.com/forums/showthread.php/22596-AC-Hotel-34-%C3%A9tages
  7. http://journalmetro.com/actualites/montreal/756997/mille-voitures-electriques-en-libre-service-dici-5-ans/ 1000 voitures électriques en libre service d'ici 5 ans à Montréal 14/04/2015 Mise à jour : 14 avril 2015 | 19:42 Ajuster la taille du texte Mille voitures électriques en libre-service d’ici 5 ans Par Mathias Marchal Métro Montréal disposera d’ici 5 ans d’un réseau de 1000 autos électriques en libre-service. C’est ce qu’a annoncé le maire Denis Coderre en conférence de presse mardi. «Avec ce projet, Montréal fait d’une pierre quatre coups: déployer un système de véhicules électriques en libre-service, encourager tous les véhicules électriques car les bornes de recharge seront accessibles à tous, diminuer les gaz à effet de serre et positionner la ville en tant que leader dans l’électrification des transports», a déclaré M. Coderre. Un appel international d’intérêts sera lancé en juin aux entreprises intéressées afin de mieux cerner les besoins et «bâtir un système typiquement montréalais». Il aboutira au lancement d’un appel de propositions en octobre pour trouver une entreprise qui installera et gérera le réseau, les bornes de recharge restant de la responsabilité de la Ville et ses partenaires (Stationnement de Montréal, Hydro-Québec et la Commission des services électriques). Impossible par contre de savoir si, au terme du processus de sélection, il restera un ou plusieurs fournisseurs de service, comme c’est le cas actuellement avec car2go et Auto-mobile. Pressé de questions, le maire est resté flou sur le sujet, indiquant que cela serait tranché plus tard dans le processus. Pour l’opposition officielle, l’idée de lancer un appel d’offres indique d’ores et déjà qu’un seul fournisseur sera retenu. «Ça a toute les apparences d’un appel d’offres dirigé pour favoriser l’entreprise AutoLib’ [NDLR : service de libre-service en vigueur de Paris], le maire ayant déjà rencontré le patron de cette entreprise», a déclaré Alex Norris, un élu de Projet Montréal. «La batterie des Bluecar de Bolloré [le groupe français qui fournit les véhicules d’Autolib’] est plus performante (250km en ville). Il suffirait donc de mettre des critères élevés d’autonomie de la batterie pour favoriser l’entreprise», indique Vincent Dussault, blogueur pour RoulezÉlectrique.com. «Si la Ville veut des véhicules électriques, pourquoi ne joue-t-elle pas avec le système de vignettes universelles déjà en place pour favoriser les véhicules électriques et financer un réseau de recharge public», se questionne t-il. En attendant le début du déploiement du nouveau système, dès 2016, le centre-ville et les arrondissements, jusqu’ici récalcitrants, pourront adopter le système de vignette universelle 403 permettant à Auto-mobile et car2go d’étendre leur offre. Les maires des arrondissements de Ville-Marie, Hochelaga-Maisonneuve et Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension ont déjà indiqué leur intention de déployer cette vignette. Les représentants de car2go et Auto-mobile ont tous deux salué la nouvelle de l’électrification future du système d’autos en libre-service auquel ils affirment vouloir participer. Auto-mobile disposera dès cet été de 60 autos 100% électriques sur le territoire, en plus de véhicules hybrides . Et si les 340 autos Smart de car2go fonctionnent à l’essence, l’entreprise américaine propose des Smart électriques sur trois marché: Austin, Amsterdam et Stuttgart. 30 La Ville veut réduire de 30% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici 2020 par rapport aux données de 1990. Elle compte aussi sur l’électrification des autobus et des véhicules municipaux.
  8. Incroyable. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/commerce-de-detail/parasuco-ferme-7-boutiques-au-pays/576040 Le détaillant de vêtements Parasuco a décidé de fermer les sept boutiques qu'il détient et exploite en raison de ses difficultés à s'adapter à un secteur de la mode en pleine transformation. La société établie à Montréal, qui n'a pas voulu accorder d'entrevue, a ainsi annoncé vendredi s'être placée sous la Loi sur la faillite et l'insolvabilité au Canada. C'est la firme KPMG qui a été nommée syndic dans ce dossier. Quelque 80 personnes qui travaillent dans ces sept boutiques devraient ainsi perdre leur emploi. L'entreprise exploite six établissements au Québec ainsi qu'une boutique à Mississauga, en Ontario. Toutefois, la plateforme de vente en ligne des Jeans Parasuco, qui emploie plus de 70 personnes et qui compte 40 ans d'existence, sera maintenue. Après Boutique Jacob, les magasins Smart Set et Mexx Canada, entre autres, il s'agit d'une autre bannière qui disparaît dans le secteur de la mode. Sans évoquer la fermeture de ses boutiques, Parasuco faisait déjà état d'importants rabais sur de la marchandise déjà réduite.
  9. Je ne sais pas si il y a déjà une discussion pour un projet (inconnu?) entre les rues Wellington, du Centre et Saint-Columban, à côté du Square Saint-Patrick, mais en voilà un. Si quelqu'un a des infos, ou que le sujet est déjà couvert dans un autre fil, manifestez-vous!
  10. http://www.lapresse.ca/cinema/201411...a-montreal.php Le petit prince: une production de 80 millions à Montréal Publié le 11 novembre 2014 à 05h00 | Mis à jour à 06h14 MARIO CLOUTIER La Presse La production du film d'animation Le petit prince, actuellement en tournage dans les studios de Mikros Image dans le Vieux-Montréal, bénéficie d'un budget à la hauteur de ses ambitions: 80 millions. Ce projet indépendant réunit des créateurs français, américains et québécois. Le petit prince d'Antoine de Saint-Exupéry n'a rien d'un petit succès. Il s'agit du livre le plus traduit - 200 langues - dans le monde après la Bible. Écrit il y a sept décennies, il est encore lu aujourd'hui, autant à l'école qu'à la maison, en Amérique comme en Allemagne et au Japon. L'adapter au cinéma représente un défi. Orson Welles s'y est cassé les dents il y a une éternité avec Disney. Il y a 10 ans, la maison Onyx Films de Paris a entrepris des pourparlers avec la succession Saint-Exupéry. Résultat, une série télé et un superprojet de 80 millions de dollars canadiens. «On est parmi les plus gros films indépendants du moment. L'idée, c'est de rejoindre un très grand public, ceux qui connaissent le livre ou non», lance le producteur Alexis Vonarb. Ni Paramount ni Sony ne sont derrière ce projet, mais tous les grands distributeurs de la planète prennent part à l'aventure, dont Warner aux États-Unis. Le réalisateur, Mark Osborne, a déjà été nommé deux fois aux Oscars. Son film de 2008, Kung Fu Panda, est l'un des 10 plus grands succès de l'histoire du cinéma d'animation avec des recettes dépassant les 650 millions. «Mais l'important, dès le début, a été de protéger le livre», de souligner le réalisateur de 44 ans, qui a quitté les studios DreamWorks de Steven Spielberg pour venir s'installer à Montréal il y a un an par amour du livre. «C'est ma petite amie, devenue mon épouse, qui m'a fait lire Le petit prince à l'université, dit-il. Je connais son pouvoir.» Si bien qu'il a déjà prévendu le film, en tournée avec le producteur Alexis Vonarb, aux distributeurs internationaux. Montréal «C'est un projet très international, mais le tournage à Montréal est déjà couronné de succès», a ajouté le réalisateur devant les journalistes qui ont pu voir hier, dans les studios de la société Mikros Image, quelques images préliminaires du film qui sortira l'an prochain. «Il y a une qualité de recrutement à Montréal qui est géniale. C'est francophone, mais c'est l'Amérique du Nord tout de même», de renchérir Alexis Vonarb. Autre rareté, le long métrage d'animation fait appel à deux techniques différentes maîtrisées par les équipes montréalaises, soit l'animation 3D par ordinateur et le stop-motion (ou animation image par image) à l'ancienne. Les voix des personnages dans la version anglaise comprennent celles de Jeff Bridges, James Franco, Rachel McAdams, Ricky Gervais et Benicio del Toro. Marion Cotillard, quant à elle, jouera la rose, en anglais et en français. Et le petit prince? C'est le fils du cinéaste, Riley Osborne, qui interprète le personnage aimé des petits et des grands depuis 70 ans. Prochaine étape, la bande-annonce sortira le 17 décembre.
  11. Du développement commercial et industriel, le parfait complément à la densification démographique de l'île de Montréal. Je proposerais incidemment un nouveau slogan: des emplois là où habitent les gens, en sonnant le glas à l'expansion des villes-dortoirs. Dans le but de faire échec à l'étalement urbain, un programme incitatif devrait encourager prioritairement la création d'emplois et de logements sur l'île, avec effet décroissant selon l'éloignement vers les couronnes. J'irais même jusqu'à charger une taxe spéciale sur toute nouvelle construction en dehors des zones déjà urbanisées ou dans de nouveaux lotissements, sur tout le territoire de la banlieue. Je ferais cependant exception de Laval qui est déjà en phase de densification. Une ville plus dense diminue les besoins en déplacements automobiles et rentabilise davantage le développement des transport en commun, avec effet durable sur le plan environnemental. Il faut changer les mentalités et briser la dichotomie de la banlieue qui veut que ce soit l'endroit idéal pour élever une famille. Il reste d'ailleurs suffisamment d'espace disponible sur les deux îles (Laval et Montréal) pour facilement doubler la population, tout en renforçant les pôles économiques centraux. On économiserait au passage les meilleures terres cultivables qui restent encore dans le voisinage de la ville, tout en préservant une précieuse ceinture verte, indispensable à l'équilibre écologique et sociologique du grand Montréal. Si on veut véritablement améliorer notre bilan carbone et réduire la pression des villes sur l'environnement, nous n'avons pas le choix que de penser globalement. Ce n'est qu'avec des efforts concertés et simultanés dans tous les domaines d'activités humaines que nous y arriverons. Pour cela il est nécessaire que la volonté vienne du gouvernement provincial lui-même, car c'est le seul qui a les moyens législatifs pour véritablement changer les choses. On n'a plus le choix si on veut léguer aux générations futures, un monde meilleur et en plus grande harmonie avec la nature. L'occupation du territoire est déjà une agression en soi, mais on peut diminuer notre empreinte par toutes sortes de mesures de naturalisation qui réconcilieraient la ville avec le milieu naturel. Une prise de conscience est déjà en voie de se faire, mais il y a encore beaucoup de résistance et d'opposition. Et tant que le message ne viendra pas de la plus haute instance, avec des moyens concrets pour y arriver, on sera limité à des interventions ponctuelles et trop localisées pour faire une différence appréciable. Comme le discours économique est à la mode aujourd'hui, on peut ajouter à cette vision écologique, l'effet positif sur le développement de Montréal en premier lieu, et aussi bien sûr les villes déjà établies, mais dans une moindre mesure. Un Montréal plus populeux et plus dense est un gage d'enrichissement collectif, avec des revenus plus importants et de plus grands moyens pour assurer son développement futur. J'en conclue que la prospérité soutenue de la ville passe nécessairement par l'arrêt de l'étalement urbain, et la fin de la dispersion de nos forces et de nos énergies, dans un territoire devenu démesuré par rapport à sa densité.
  12. Voici un projet passé inaperçu, ils ont déja 8 étages de complété. http://www.quadrax.com/61-projets/secteur-residentiel-logements/habitations-les-trinitaires.html
  13. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/458218/charte-des-valeurs-economie-et-architecture/ Désirant profiter de la campagne électorale, l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) amorce une tournée provinciale pour réclamer de nos élus l’adoption d’une politique nationale de l’architecture. Mine de rien, le dossier traîne depuis plus de 30 ans à l’Assemblée nationale. L’OAQ avait en effet déposé en 1982, alors que René Lévesque était au pouvoir, un livre blanc pour guider le développement urbain du Québec. Le dossier a refait surface à quelques reprises depuis, mais n’a malheureusement jamais mené à l’adoption d’une réelle stratégie provinciale. C’est pourquoi l’OAQ partira, dès la semaine prochaine, à la rencontre de députés, de maires, d’architectes et d’organismes sensibles à notre patrimoine bâti afin de faire valoir les bénéfices d’une telle politique. Seize pays, dont les Pays-Bas et la Norvège, possèdent déjà la leur, alors que 14 autres y travaillent d’arrache-pied. Pourquoi pas le Québec? Une politique provinciale forcerait notre gouvernement à devenir un client exemplaire pour la construction de bâtiments publics, en établissant une série de critères précis à examiner avant de sortir le chéquier pour un musée, un hôpital et même un échangeur autoroutier. En ce moment, l’État québécois persiste trop souvent à sélectionner un projet en ne regardant que la facture. Pas le fournisseur le plus fiable. Pas le plus talentueux. Le moins cher, et ce, peu importe la proposition. Est-ce ce que vous feriez avec votre propre maison si vous souhaitiez, par exemple, l’agrandir? Prendriez-vous le plus bas soumissionnaire (peu importe son CV et ses références) ou opteriez-vous pour le meilleur rapport qualité/prix afin d’assurer une plus-value à votre propriété? Poser la question, c’est y répondre. Pourquoi procéder différemment avec notre patrimoine collectif? Depuis déjà trop longtemps, on dépense des millions et des millions de dollars en édifices publics sans prendre le temps de regarder plus loin que le bout de notre nez. Mais ces bâtiments maximisent-ils vraiment notre productivité au travail? Reflètent-ils notre créativité? Possèdent-ils une valeur touristique? Une stratégie nationale démontrerait [enfin] que nos politiciens se soucient réellement de l’aménagement de notre territoire en affirmant vouloir prioriser un patrimoine bâti de qualité. En donnant l’exemple, on s’efforcerait de transformer nos paysages urbains en une fierté nationale comme dans bien des pays. Mais attention ici. Je ne parle pas de favoriser la construction d’icônes tape-à-l’œil, dispendieuses, qui vieillissent mal et qui n’ont strictement aucun impact sur notre qualité de vie. Je parle plutôt d’une fierté collective qui se rapproche davantage des pays scandinaves avec une architecture à échelle humaine, respectueuse de l’environnement et qui reflète notre identité culturelle. Assurons-nous d’obtenir le meilleur pour notre société. Pas le minimum requis.
  14. Je ne sas pas si il y a déjà un fil sur ce projet, mais gracieuseté de MTLskyline sur SSP, il y aurait un projet pour une tour à condo en arrière du Buffet Maharadja. Le projet a déjà été approuvé par la ville. Il n'y a pas de photo pour le moment. http://forum.skyscraperpage.com/showthread.php?t=146803&page=123
  15. Québec veut faire du parc des Îles-de-Boucherville un tremplin pour le plein air Mise à jour le vendredi 24 janvier 2014 à 20 h 18 HNE Un texte de Marie-Laure Josselin Le gouvernement du Québec a annoncé vendredi un investissement de 8,2 millions de dollars sur trois ans dans le parc national des Îles-de-Boucherville, géré par la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq). Québec souhaite rendre plus accessible le parc aux citadins afin qu'ils sortent plus de Montréal et fassent l'initiation du plein air, a expliqué Marie Malavoy la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, et ministre responsable de la région de la Montérégie. Québec entend instaurer un transport maritime partant du coeur de Montréal, où un stationnement incitatif serait mis en place. Les navettes actuelles qui mènent au parc seront quant à elles maintenues. En 2011, le gouvernement avait déjà annoncé la construction d'un centre de découverte et l'arrivée du camping dans le parc. Cette fois-ci, ce sont une dizaine de nouvelles haltes découvertes qui vont être aménagées et qui s'ajouteront aux cinq déjà présentes. De plus, le bac à câble reliant l'île Sainte-Marguerite à l'île Pinard sera remplacé par un pont pour piétons et cyclistes. Autre nouveauté : le développement d'une offre originale d'hébergement. Il est en effet prévu d'installer des tentes de type prêt-à-camper, comme les Huttopia, et des EXP, des hébergements d'une pièce, avec beaucoup de fenêtres et entièrement équipés. Le concept de ces logements de la Sépaq est de les personnaliser selon les parcs dans lesquels ils sont implantés. Pour Martin Soucy, vice-président Exploitation à la Sépaq et responsable de Parcs Québec, cette expérience à proximité de Montréal servira de vitrine et permettra d'attirer les clients vers les autres parcs au Québec. La fréquentation du parc national des Îles-de-Boucherville a bondi de 133 % en une douzaine d'années. Chaque année, il attire quelque 320 000 visiteurs. Les retombées économiques sont de 28 millions de dollars. Au total, Québec entend investir 54 millions de dollars dans les parcs de la Sépaq d'ici 2016, ce qui devrait se traduire par l'embauche de 384 personnes et 10 millions de dollars en revenus fiscaux et parafiscaux. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/01/24/002-quebec-investissement-8-millions-parc-iles-de-boucherville.shtml
  16. CAD Industries Ferroviaires créera plus de 270 emplois Publié le 12 décembre 2013 à 13h06 CAD Industries Ferroviaires, de Montréal, annonce un investissement de 13 millions de dollars dans la modernisation et l'agrandissement de ses installations dans l'arrondissement de Lachine, ce qui lui permettra de pratiquement doubler sa main-d'oeuvre. L'investissement repose toutefois grandement sur le soutien financier des pouvoirs publics. La première ministre Pauline Marois était d'ailleurs de passage lors de l'annonce, jeudi matin, pour préciser que son gouvernement fournira un prêt de 5 millions de dollars et une subvention de 1,5 million. De plus, Emploi Québec ajoutera une contribution de près de 1 million pour la formation de la nouvelle main-d'oeuvre, pour un total de 7,5 millions de soutien public. Par ailleurs, la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui avait déjà investi 7 millions en 2011 relativement au rachat de l'entreprise par sa direction, allonge un autre 4 millions sous forme de capital-actions dans l'entreprise. CAD Industries Ferroviaires, qui est déjà le plus grand atelier manufacturier de réparation et de réfection de véhicules ferroviaires au Canada, verra à terme le nombre de ses employés passer de 300 à près de 600. http://affaires.lapresse.ca/economie/transports/201312/12/01-4720340-cad-industries-ferroviaires-creera-plus-de-270-emplois.php
  17. Prével a partagé sur son blogue ce sur le transport dans la ville de New York. Je ne sais pas si ça a déjà été partagé... mais WOW... ce qu'on peut faire avec un peu de volonté et ... un peu de peinture... Peut-on envisager la même chose à Montréal?
  18. La Cité du cinéma prend de l'expansion. (Montréal) Les studios Mel's pourraient bientôt accueillir davantage de blockbusters hollywoodiens. Leur propriétaire, Vision Globale, a conclu une entente avec la Ville de Montréal pour acheter un terrain de 260 000 pi2 voisin de ses studios actuels dans le Technoparc et y construire de nouveaux studios de tournage. Vision Globale, qui a payé 362 536$ pour ce terrain vacant de 258 954 pi2 près de l'autoroute Bonaventure en bordure du centre-ville de Montréal, investira au moins 10 millions pour y construire des studios de tournage. Les studios Mel's/La Cité du cinéma comptent déjà 18 studios de tournage sur quatre sites dans la région de Montréal. Il n'y a toutefois qu'un seul studio (celui de 36 500 pi2) qui peut accueillir un film américain à grand déploiement. À titre d'exemple, ce studio héberge actuellement l'équipe de X-Men: Days of Future Past, un film mettant en vedette Hugh Jackman, Jennifer Lawrence et Ellen Page. À l'été 2011, Montréal avait perdu trois blockbusters américains en raison de son manque de studios de très grande taille. La construction de nouveaux studios réglera-t-elle le problème? Difficile à dire pour l'instant puisque la Cité du cinéma n'a pas décidé si elle allait bâtir un autre studio d'environ 35 000 pi2 sur son nouveau terrain. «Ce n'est pas encore décidé. Nous travaillons sur plusieurs maquettes, à savoir si nous allons construire un grand studio ou plusieurs petits studios», dit Michel Trudel, président de la division studios et équipement de Vision Globale. L'entreprise Vision Globale, propriété de l'actionnaire majoritaire Mathieu Lefebvre, a acheté les studios Mel's et sa filiale Locations Michel Trudel en décembre dernier. Un monopole renforcé Le gouvernement du Québec s'est déjà inquiété du fait que seule la Cité du cinéma possède des studios assez grands pour intéresser les producteurs d'Hollywood. Dans un rapport remis au gouvernement en juin 2012, le président de la SODEC, François Macerola, a conclu que l'offre aux producteurs est suffisante mais qu'elle peut avoir des désavantages. «Cette offre est en situation de quasi-monopole qui a parfois des effets négatifs sur l'industrie du cinéma et de la télévision du Québec et ses artisans, et auprès des majors américains qui exigent normalement de baser leurs décisions sur un processus d'appel d'offres», a-t-il écrit. Les films Source Code, The Aviator, The Day After Tomorrow, The Curious Case of Benjamin Button et White House Down, notamment, ont été tournés à la Cité du cinéma. La vente du terrain vacant dans le Technoparc a été approuvée mercredi dernier par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Avant d'être officialisée, la transaction doit être approuvée par le conseil municipal de la Ville de Montréal le 17 juin. Selon le sommaire décisionnel de la Ville, Vision Globale peut construire sur 80% de l'espace du terrain, le reste étant utilisable uniquement à des fins de stationnement. Vision Globale s'est engagée à décontaminer le terrain et à commencer la construction de ses nouveaux studios d'ici deux ans, sous peine d'une pénalité de 1500$ par jour de retard. «Il faut attendre qu'il y ait moins de tournages pour commencer les travaux, car nous ne pouvons pas construire en même temps qu'un tournage à cause du bruit, dit Michel Trudel. Avec tous les tournages que nous amenons de Los Angeles, il faudra attendre un peu. Sinon, nous pourrions construire la nuit.» La Ville de Montréal estime cette transaction «profitable» car les nouveaux studios permettront «d'accroître la vitrine cinématographique de Montréal» et de décontaminer le terrain ayant servi de site d'enfouissement pendant 140 ans. Le prix de vente minimal du terrain de 24 057 m2 sera de 15,07$ par mètre carré. La Cité du cinéma discutait avec la Ville depuis environ deux ans pour acheter ce terrain, qu'elle a déjà loué pour y installer de l'équipement. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/07/01-4658719-la-cite-du-cinema-prend-de-lexpansion.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4
  19. Ça n'a pas été posté nulle part, me semble? http://fr.canoe.ca/infos/regional/archives/2013/06/20130604-135115.html
  20. Ce n'est pas une blague,y a pas de petits profits... Et si le prochain pape était Québécois? La possibilité que le prochain pape soit Québécois n’est pas exclue. Un des meilleurs spécialistes du marketing touristique, le Québécois Frédéric Gonzalo, analyse ce que serait l'impact d’une telle élection pour le tourisme au Québec. En voici quelques extraits. Il faut savoir qu’entre 100,000 et 200,000 pèlerins par année visitent le village natal des papes Jean-Paul II et Benoît XVI. Il y aurait donc un énorme défi mais également un beau potentiel à développer l’accès à La Motte, qui se trouve à plus de 600 km de Montréal. Le village compte 300 âmes, aucun gîte touristique ou restauration pour suffire à une telle demande éventuelle, et il faut savoir que la maison d’enfance de Marc Ouellet, l’école et le presbytère ont été détruits et qu’il faudrait repenser en termes de construction ou reconstitution. Au-delà du village de La Motte et de l’Abitibi, c’est l’ensemble de la destination canadienne et québécoise qui y gagnerait car pour le pèlerin international, il s’agirait d’abord et avant tout d’un voyage au Canada. Une offre variée et des forfaits devront être mis de l’avant afin de mettre de l’avant les infrastructures actuelles qui répondent déjà bien aux standards des voyageurs internationaux. On pense notamment à l’Oratoire St-Joseph de Montréal, la Basilique Sainte-Anne-de-Beaupré ou le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap Dans l’axe Montréal-Québec Ces trois lieux de pèlerinage sont situés dans l’axe Montréal-Québec, où l’offre d’hébergement et les modes de transport sont en mesure de supporter une augmentation éventuelle. Il existe néanmoins plusieurs autres lieux de culte en région, notamment l’abbaye bénédictine de Saint-Benoît-du-Lac, dans les Cantons-de-l’Est, l’abbaye Val-Notre-Dame dans Lanaudière ou encore l’Ermitage Saint-Antoine au Saguenay-Lac-St-Jean. Un chemin de Compostelle à la québécoise L’avènement d’un pape québécois saurait-il propulser une nouvelle offre regroupée, par exemple et incorporant des lieux de culte déjà établis? Ce type de circuit existe déjà depuis 1998 sous l’appellation de Chemin des Sanctuaires, une route de 375 km qu’empruntent plusieurs pèlerins à chaque année, liant justement l’Oratoire St-Joseph au Sanctuaire de Sainte-Anne-de-Beaupré. Si Marc Ouellet devient pape, l’industrie touristique québécoise et canadienne devra recevoir la nouvelle comme on accueille l’obtention des Jeux olympiques ou la tenue d’une épreuve de Formule 1. À la différence que le tourisme religieux est ancré dans la foi et dans le temps: les investissements envers ce nouveau créneau seraient porteurs pour plusieurs années à venir, et non seulement pendant une brève période de temps. On parle potentiellement d’un important changement, notamment dans la réaffectation des budgets publicitaires et dans la stratégie commerciale. Ceux que le sujet intrigue liront avec intérêt Le tourisme religieux, un dossier spécial du Réseau de Veille en tourisme. A noter que si le ghanéen Peter Turkson était élu, les retombées économiques pour ce pays peu développé qu’est le Ghana, bien qu’on n’y dénombre aucun site miraculeux ni même remarquable par son architecture, lui seraient sans doute plus utiles. Il y manque toujours, par exemple, plus de 8000 écoles. En attendant, les fidèles scrutent l’arrivée à Rome du prélat québécois : il est où, Ouellet ? — on n’allait pas la rater, celle-là ! C.B. http://www.pagtour.net//index.php?option=com_content&view=article&id=587
  21. --------------> http://www.lactualite.com/societe/gratte-ciels-pour-petits-proprios?page=0,0 Ça vient de sortir sur la page facebook de l'actualité : https://www.facebook.com/lactualite Par contre l'article date du 16 novembre 2012, donc je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà posté..
  22. C'est très bien! http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201211/28/01-4598409-condos-neufs-absorption-surprenante-au-centre-ville.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
  23. Le mardi 13 novembre 2012 Affaires Les pilotes de ligne s'installent à Montréal 13 novembre 2012 | 12h00 ARGENT Montréal renforce sa position comme centre de décisions dans le secteur de l'aviation en accueillant le siège social mondial de la Fédération internationale des Associations de pilotes de ligne. Montréal renforce sa position comme centre de décisions dans le secteur de l'aviation civile internationale en accueillant le siège social mondial de la Fédération internationale des Associations de pilotes de ligne (IFALPA). L’IFALPA vient joindre trois autres organisations internationales du même secteur déjà établies dans la métropole. (Photo: Reuters)L'IFALPA vient joindre trois autres organisations internationales du même secteur déjà établies dans la métropole, soit l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI), l'International Air Transport Association (IATA) et l'Airports Council International (ACI). Établie à Londres depuis 1948, l'IFALPA regroupe 100 000 pilotes du monde entier. Sa mission est notamment de promouvoir un niveau de sécurité maximal en aviation. «L'industrie de l'aviation civile évolue à un rythme sans précédent», a expliqué le président d'IFALPA, le commandant Don Wykoff. «IFALPA se devait d'être au centre des processus de décisions. Et ce centre est ici, à Montréal », a-t-il ajouté. L'organisation de pilotes a obtenu l'assistance de Montréal International pour faciliter sa relocalisation au Québec.
  24. Y paraît qu'une nouvelle tour à bureaux sera érigée à cet endroit très prochainement. Si jamais l'un d'entre vous passe par là, pouvez-vous confirmer ? Avons-nous déjà un fil pour ce projet ?
  25. http://affaires.lapresse.ca/economie/201210/24/01-4586395-economie-numerique-un-fonds-francais-debarque-a-montreal.php
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