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  1. Projet Les Terrasses Normanville Nouveau Projet de condominium du Groupe Calex situé dans l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Prairie, Montréal à partir de seulement 127 600 $ ! Ce projet vous offre 15 unités de 1 à 2 chambres à coucher incluant 6 studio-lofts avec mezzanine comprenant chacun 2 terrasses dont une privée au toit. Le projet comprend également 6 unités de 1010 Pi2 incluant 2 grandes chambres dont une avec ``walk-in`` ainsi qu’un grand balcon terrasse du côté soleil. Situé à 2 minutes du métro Rosemont et du parc Père Marquette, ce secteur vous offre une multitude de services tels que : piste cyclable, boutiques, restaurants, marché Jean-Talon, transport en commun, école, hôpital et autres. http://micasa.ca/constructions-maisons-neuves/quebec/montreal/est/rosemont-la-petite-patrie-montreal/la-petite-patrie/projets/les-terrasses-normanville
  2. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=6197,47484237&_dad=portal&_schema=PORTAL Catalogue de mobilier urbain Bancs Plusieurs choix de bancs en bois ou en plastique recyclé Banc secteur 5 avec dossier en plastique recyclé Banc secteur 5 sans dossier en plastique recyclé Banc secteur 8 avec dossier en plastique recyclé Banc sans dossier en plastique recyclé Banc "Parc Lafontaine" avec dossier Banc "Parc Lafontaine" sans dossier Banc "Parc Lafontaine" simple avec dossier Banc long "Roy-Lafontaine" Banc double "Square des Frères-Charon" Bac à fleurs Un mobilier urbain en harmonie avec l'environnement Bac à fleurs secteur 5 en plastique recyclé Corbeille Corbeille alliant esthétisme, robustesse et durabilité Corbeille secteur 5 en plastique recyclé Tables de pique-nique Une solution pratique et écologique Table de pique-nique régulière en plastique recyclé Table de pique-nique adaptée en plastique recyclé (pour personnes à mobilité réduite) Table de pique-nique hexagonale en plastique recyclé Table de jeu Autres services offerts La Direction du matériel roulant et des ateliers est un maître d’œuvre du mobilier urbain, mais aussi des meubles de bureau et de style qui peuvent être fabriqués, par exemple pour un hôtel de ville ou un édifice luxueux. Nous offrons également des services de rembourrage et de peinture électrostatique (filières, corbeilles).
  3. Nom: Unity - Phase 3 Hauteur en étages: 14 Hauteur en mètres: Coût du projet: Promoteur: Développements d'Arcy McGee Ltée Architecte: Atelier Big City-Cormier, Cohen, Davies Architectes Entrepreneur général: Magil Construction Emplacement: sur la rue De la Gauchetière O entre la Côte Beaver Hall et la rue Saint-Alexandre Début de construction: 2013 Fin de construction: été 2014 Site internet: Lien webcam: Autres informations: * Ce projet devait initialement avoir 20 étages, mais a été réduit à 14 étages étant donné le secteur protégé de l'immeuble Unity, le Ministère de la culture n'a pas autorisé de dérogation qui permette une hauteur supérieure à la hauteur de l'immeuble Unity. * 100 unités résidentielles locatives * Unités commerciales au RdeC Rumeurs: Aperçu du projet:
  4. Le Sainte-Émilie est un projet de 18 condominiums de 1 à 3 chambres, allant de 657 à 1466 pi2, situé à proximité du canal de Lachine et du marché Atwater, dans le très recherché secteur du Sud-Ouest de Montréal. Livraison: décembre 2014 Plus d'information à la page: districtatwater.com Sainte-Émilie coin Bourget
  5. Il semble que depuis la fin 2014, Montréal est en train d'explorer la possibilité de recouvrir l'autoroute Décarie dans le secteur Namur/De la Savane. Il y aurait au moins 2 hypothèses à l'étude. L'étendue de ce potentiel recouvrement n'est pas mentionnée. http://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=1a3f81aa-ccb1-4046-9821-9ffa7f0254e2
  6. Une cure de jouvence autour du métro Frontenac Publié le 10 juin 2010 Emilie Russo L’arrondissement Ville-Marie mijote un plan de développement autour de la rue Ontario, qu’il soumettra en consultation publique cet automne. La Ville projette entre autres de développer les alentours de la station de métro Frontenac. « La force d'un secteur comme Frontenac, c'est le métro. On n'est pas du tout isolé, malgré ce qu'on pourrait croire. C'est éparse et dévitalisé, mais proche du centre-ville. Mais visuellement, on ne se sent pas attaché au centre-ville. L’objectif est de revaloriser le secteur », explique Pierre Gaufre, commissaire adjoint au développement pour l’arrondissement Ville-Marie. Sans dévoiler les détails du plan de la ville, M. Gaufre avance l’idée de créer une nouvelle place publique devant le centre commercial près de la rue Fullum. Les services de sports et loisirs seront aussi améliorés et la circulation automobile sera réduite. La Ville compte également exploiter le potentiel immobilier des terrains vacants autour de la rue Parthenais. Les orientations précises du développement envisagé par Ville-Marie ne seront dévoilées qu’à l’automne. http://www.faubourgvillemarie.ca/Actualites/Grands-dossiers/2010-06-10/article-1512602/Une-cure-de-jouvence-autour-du-metro-Frontenac/1
  7. LAVAL, QC, le 7 août 2014 /CNW Telbec/ - Habitations Trigone s'apprête à démarrer son premier projet de développement résidentiel sur le territoire lavallois. Le projet nommé « District Concorde » sera situé au coin de l'avenue Léo-Lacombe et François-Souillard. Celui-ci sera à moins de 700 mètres de la station de métro et de la gare de train De La Concorde. Habitations Trigone est fière d'inaugurer un autre projet de type T.O.D (développement orienté vers le transport en commun) qui s'accorde parfaitement avec la philosophie de la compagnie. District Concorde offre une grande variété de produits qui saura combler les besoins des futurs propriétaires. Le projet compte 480 unités de condos réparties dans 9 bâtiments incluant un stationnement hors sol avec toit vert ainsi qu'un stationnement souterrain. Ce projet innovateur favorisera un mode de vie actif puisque les résidents pourront marcher afin de se rendre au métro ou au train. Le premier bâtiment devrait être complété d'ici le printemps 2015. Le projet District Concorde s'insère dans le cadre d'une volonté de la ville de Laval à vouloir revitaliser le secteur de la station de métro concorde. La ville prévoit revoir complètement le concept d'aménagement afin de créer un milieu de vie de qualité pour les futurs résidents. De plus, un crédit de taxe sera accordé par la ville aux nouveaux propriétaires de ce secteur. Nous sommes heureux d'annoncer que l'ouverture du bureau des ventes du projet aura lieu ce samedi 9 août dès midi sur la rue François-Souillard à Laval. Habitations Trigone est une entreprise active dans le secteur de la construction domiciliaire depuis près de 25 ans, ayant à son actif plus de 10 000 unités construites sur la Rive-Sud et Rive-Nord de Montréal. C'est la réputation de qualité et d'intégrité d'Habitations Trigone qui a permis à cette entreprise de se hisser aux premiers rangs de la construction domiciliaire au Québec. Notre passion de construire est toujours aussi vivante et nous continuerons à développer des projets innovateurs, localisés sur des sites de choix, pour des espaces de vie accessibles à tous. Condo neuf a vendre a Laval-des-Rapides, District Concorde | Habitations Trigone
  8. http://www.lesaffaires.com/strategie-d-entreprise/pme/derniere-heure-vers-un-nouveau-mile-end-a-montreal/588201 La Cité de la mode, qui a déjà été l’épicentre de l’industrie jadis florissante du vêtement à Montréal, est devenue triste à voir. Gris, bétonné, morose, le secteur Chabanel a besoin d’une sérieuse injection d’amour. Et c’est justement ce que s’apprêtent à faire une dizaine de propriétaires d’immeubles du quartier. Unis sous le nom DCMTL Développement, le consortium va d’abord investir 20 millions de dollars sur une période de quatre à cinq ans afin de revitaliser le secteur. DCMTL Développement, pour «District Central Montréal», vise la réhabilitation de plus de 1 500 000 pieds carrés à terme. C’est l’équivalent de presque 2,5 Stades olympiques. Pour la première phase, quatre immeubles sont dans la mire du consortium. Les 9500 Meilleur, 1401 Legendre et les 55 et 350 Louvain Ouest. «Nous voulons donner un nouvel élan au quartier, traditionnellement manufacturier, explique Frédérick Lizotte, vice-président développement commercial du projet. En redéveloppement les édifices du secteur, nous voulons insuffler de l’oxygène au quartier. Qu’il y ait une vie professionnelle, communautaire et commerciale». Et outre, les restaurants, commerces et entreprises qu’il souhaite attirer, «nous voudrions que du résidentiel s’y installe après coup», espère M. Lizotte. Une offre alléchante L’idée derrière ce vaste coup de balai, c’est de recréer les conditions gagnantes qui ont mené certains secteurs à se réinventer, le Mile End ou le Mile Ex, par exemple. Du coup, le prix des loyers affichés par les propriétaires qui sont derrière DCMTL Développement est très, très bas. Non seulement le pi2 sera offert à 10$ (brut) électricité et chauffage inclus, mais chaque locataire aura droit à des améliorations locatives équivalentes à 30$ du pied carré. Les baux seront disponibles pour une période minimale de cinq ans. Et puisque l’espace ne manque pas, les PME ou start-ups pourront y croître physiquement. Dans le grand Montréal, le pied carré se loue en moyenne 18,97$ (net) le pi2 au premier trimestre de 2016, selon CBRE, une firme de service-conseil en immobilier. «Ça me semble assez alléchant cette offre-là, observe Jean Laurin, président et chef de la direction de NKF Devencore Montréal, une autre firme de service-conseil en immobilier. Je peux très bien les comprendre [les propriétaires] de prendre une position aussi agressive. Ils doivent louer leurs locaux. Il n’y a rien de plus cher qu’un local vide». Pour un nouveau Mile End Quand Marc-André Lanciault cherche des bureaux pour sa PME, Karelab, en 2012, il commence par regarder du côté du Vieux-Montréal. «Mais c’était environ 30$ du pi2 carré. Puis, j’ai un ami qui s’était installé dans la Cité de la mode qui m’a parlé du coin. Maintenant que j’y suis installé, au 55 Louvain Ouest, je loue environ 6 400 pi2 pour 10$ le pied carré. Je préfère investir dans mes employés et mon entreprise (spécialisée en programmes de récompenses pour employés) que dans un loyer. En plus, je n’ai pas besoin d’épater des clients. Je ne suis pas un bureau d’avocats du centre-ville. D’ici quelques années, croit l’entrepreneur, ce ne sera plus aussi abordable, on verra la naissance d’un nouveau Mile End». M. Lizotte ne s’en cache pas, si les prix sont si bas, c’est pour attirer les start-ups et PME créatives dans le quartier. «Ça permet à de jeunes entreprises d’obtenir des locaux à un prix très abordable. Nous recherchons des entreprises à haute valeur ajoutée, que ce soit en TI, en services financiers, etc. C’est à travers ces entreprises-là qu’un secteur se redynamise». Si l’on en croit le vice-président développement commercial du projet, l’initiative DCMTL Développement est déjà sur la bonne voie. Plusieurs ententes de location seraient à annoncer prochainement.
  9. Nouveau projet immobilier sur l'Ilot Mont-Royal Ford - Le Plateau sans concession ! MONTREAL, le 4 sept. /CNW Telbec/ - C'est lors d'une rencontre avec les citoyens de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal que le Groupe Gabriel a dévoilé hier son projet de développement sur l'ancien site du concessionnaire Mont-Royal Ford, entre les rues Fullum et Messier. Le Groupe Gabriel a ainsi annoncé son intention de démolir, dès que possible, tous les bâtiments de l'ancien concessionnaire automobile pour les remplacer par un projet résidentiel avec une partie commerciale sur le côté nord de l'avenue du Mont-Royal. Des bonnes nouvelles pour les résidents du secteur Le projet propose la relocalisation du Metro Supermarché Mont-Royal (actuellement au coin de la rue Parthenais), lequel comprendra, aux deux étages supérieurs, 46 unités d'habitation dont 23 logements sociaux. Ce nouvel emplacement, d'une superficie plus grande, notamment pour la préparation d'aliments en sous-sol, permettra non seulement une meilleure offre alimentaire dans le secteur, mais aussi une gestion nettement améliorée des livraisons et de la circulation. Sur la portion nord du site, 180 unités d'habitation en copropriété seront construites, dont plus d'une quarantaine spécifiquement destinée aux familles. Une attention toute particulière a été portée afin d'élaborer un projet qui saurait maximiser les espaces verts, minimiser le stationnement sur rue et offrir des avantages aux cyclistes. C'est ainsi que l'architecte Louis-Paul Lemieux, de l'Atelier Ville Architecture Paysage, a présenté un projet aux lignes architecturales originales, proposant la construction de quatre bâtiments disposés perpendiculairement aux rues Fullum et Messier. Cette disposition des bâtiments, contrairement aux alignements traditionnels en façade des rues, permet des percées visuelles majeures tout en améliorant la qualité du milieu de vie et de l'environnement. Tout au long de la soirée, les citoyens ont émis des commentaires constructifs visant la bonification du projet. Il a notamment été question de la proportion de logements sociaux et abordables, de l'aménagement des façades de côté du marché Metro et de l'intégration d'une dimension artistique ou culturelle au projet. L'ensemble de ces commentaires ont été reçu favorablement par les représentants du Groupe Gabriel et de Metro qui se sont engagés à les considérer en vue de pouvoir les intégrer au projet. "Nous souhaitons ardemment participer à la revitalisation du quartier. Nous sommes très heureux d'avoir pu rencontrer nos voisins afin de les informer de ce projet dont nous sommes très fiers. Cela nous a non seulement permis de répondre à leurs questions, mais aussi de connaître leurs préoccupations. Nous visons la meilleure intégration possible de notre projet dans ce secteur de l'arrondissement qui en a bien besoin", a déclaré M. Fadi Azouz, responsable du projet au sein du Groupe Gabriel. Le Groupe Gabriel est une entreprise familiale québécoise en affaires depuis plus de 20 ans et particulièrement active dans les domaines de l'automobile et de l'immobilier. Renseignements: Pierre Guillot-Hurtubise, (514) 581-6068; Source: Groupe Gabriel
  10. Des télécabines dans le ciel du Vieux-Port? Lcn.Canoe.ca La famille Jorgensen veut investir 100 millions de dollars pour la construction d'une télécabine qui relierait, dans un premier temps, le quai Jacques-Cartier au parc Jean-Drapeau, près du casino. Or, la Société du Vieux-Port de Montréal refuse de céder une parcelle de terrain pour la construction d'un terminal, puisqu’elle estime que le projet ne s’inscrit pas dans le cadre du développement patrimonial du secteur. Les promoteurs menacent de réaliser leur projet ailleurs aux États-Unis ou à Dubaï si aucune entente n’est conclue. Barcelone, Lisbonne et Singapour possèdent notamment un système de télécabines. http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20081202_al.wmv
  11. Je fais souvent mes courses au Adonis dans ce secteur et chaque fois je me dis que le coin mériterait une transformation pour le rendre plus agréable et plus pratique. Alors voici une vision de l'aménagement du site qui pourrait être fait Vous excuserez le travail fait avec ''paint'' car c'est la première fois que je fais cela et je sais que c'est loin d'être un bon rendu mais ca donne quand même une bonne idée de ce qu'est ma vision. Les aménagements suivant ont été apporté: 1-On déplace la rue Lambert-Closse à l'ouest, tout près de l'hôpital, afin de donner une ligne plus droite à la rue, ce qui permet de libérer beaucoup d'espace que je converti en espace vert et coup cela agrandi les deux petites places, soit Henri-Dunant et Hector-Toe-Blake. Les gens du secteur se plaignent souvent du manque d'espace vert dans le coin alors cette vision pourrait en partie remédier à ce problème. Dans ces deux places on peut y rajouter non seulement de la verdure mais aussi des jeux pour les enfants. Et aussi on élimine le stationnement qui est surement une source d'Ilot de chaleur. 2- On démoli une partie de ce qui se trouve entre les deux principaux immeubles . Cette partie n'a aucune valeur patrimoniale et semble avoir été rajouter plus récemment pour plus d'espace à l'Hôpital. Donc, on élimine cela et on fait de l'espace pour de la verdure et pour de nouveaux projets résidentiels. 3- Afin de densifier le secteur et profiter de l'espace vacant, j'ai pensé à 4 nouveaux immeubles. Un plus petit de 4 étages, sur Atwater, un autre de 8 étages, sur Tupper coin Lambert-Closse, et je lui donne deux angles pour respecter l'angle de l'hôpital et que je trouve magnifique. Deux autres immeubles de 6 étages en forme de L sur René-Lévesque et qui se ferait face de chaque coté de Lambert-Closse. 4- Finalement, l'intérieur des 4 cours deviendrait aussi des espaces verts, mais privés (pour les résidents de ce projet). Alors voici l'image actuel et celle de la vision.
  12. LE QUÉBEC TIENT LA CADENCE AVEC L’ONTARIO JULES DUFORT ET JEAN-PIERRE FURLONG ÉCONOMISTES Édition du 22 août 2016, Des compilations spéciales de Statistique Canada nous permettent : • de comparer adéquatement ici les niveaux de productivité et la rémunération du travail au Québec et en Ontario, pour 19 industries productrices de biens et services. La fabrication, l’une des 19, est à son tour subdivisée en 19 catégories ; et, • de vérifier l’hypothèse que l’économie du Québec est globalement aussi productive que celle de l’Ontario. Parmi les diverses données sur le produit intérieur brut (PIB), seules celles sur le PIB nominal aux prix de base par industrie permettent de comparer les niveaux de productivité entre les provinces. Les données les plus récentes sur cet indicateur sont celles de 2012. Le tableau présenté ci-contre indique bien que lorsque l’on tient compte des différences de structure industrielle (c’est-à-dire des différences dans l’importance relative des industries), le rapport Québec/Ontario de la richesse ou la production par heure travaillée augmente. Pour les biens et services pris globalement, le rapport passe de 94,5 % à 97,4 % en 2012. Le tableau révèle aussi que la productivité est nettement plus élevée au Québec dans la production de biens. C’est le cas d’ailleurs pour quatre des cinq industries de ce secteur, soit : • l’agriculture, la foresterie, la pêche et la chasse ; • l’extraction minière, l’exploitation en carrière et l’exploitation de pétrole et de gaz ; • les services publics et ; • la construction. En revanche, la productivité du Québec est plus faible qu’en Ontario dans l’industrie de la fabrication. Il n’y a que dans 6 des 19 catégories de cette industrie que la productivité québécoise dépasse celle de l’Ontario. L’insuffisance des investissements en machines et équipements et en recherche et développement, une moins grande propension à innover et des établissements de production de taille relativement plus petite, ne permettant pas ainsi de profiter pleinement d’économies d’échelle, sont des pistes à explorer pour tenter d’expliquer cette situation. INDUSTRIES DE SERVICES Dans les industries de services, les prix peuvent avoir tendance à être plus élevés en Ontario qu’au Québec, ce qui expliquerait, du moins en partie, le fait que la productivité du travail soit plus faible au Québec dans ce secteur. (La rémunération constitue d’ailleurs une composante importante du prix des services. Or, la rémunération est plus élevée en Ontario qu’au Québec dans 12 des 14 industries de services.) Si la moitié de l’écart de productivité entre le Québec et l’Ontario dans le secteur des services (3,4 des 6,8 points de pourcentage d’écart) provenait de la présence de prix de vente plus faibles pour les producteurs de services du Québec, le niveau de productivité de l’ensemble du secteur des entreprises commerciales serait identique au Québec et en Ontario (à 99,97 % pour être plus précis). Ainsi, l’hypothèse que la productivité soit aussi élevée au Québec qu’en Ontario tient la route. Tout comme pour la productivité, tenir compte des différences dans l’importance relative des industries a pour conséquence de rapprocher la rémunération du travail au Québec de celle de l’Ontario. Pour les biens et services pris globalement, la rémunération horaire au Québec passe de 92,9 % à 94,9 % de celle de l’Ontario en 2012. On peut aussi déduire des pourcentages précédents que pour l’ensemble des entreprises, notamment les producteurs de biens, la rémunération horaire est inférieure au Québec par rapport à l’Ontario, ce à quoi l’on pourrait s’attendre en tenant compte de la production ou de la richesse créée par heure travaillée. Toutes choses étant égales par ailleurs, si la productivité québécoise correspond à 97,4 % de celle de l’Ontario, la rémunération horaire devrait aussi se situer à 97,4 %. Or, elle n’est qu’à 94,9 % de celle de l’Ontario. L’ampleur de la différence est encore plus difficile à expliquer lorsqu’on se limite aux biens. La productivité du travail y est plus élevée au Québec (106,3 % de celle de l’Ontario), mais la rémunération horaire y est inférieure (98,8 % de celle de l’Ontario). Pour les producteurs de services, la différence de productivité s’accompagne, à première vue, d’un écart pratiquement identique de rémunération horaire. À un niveau plus détaillé d’analyse, toujours au Québec par rapport à l’Ontario, la rémunération horaire est inférieure à la richesse créée par heure travaillée pour 13 des 19 industries de biens et services analysées. Les entreprises commerciales du Québec sont, dans leur ensemble, vraisemblablement tout aussi productives que celles de l’Ontario lorsque l’on tient compte des différences de structure industrielle et des prix relatifs des services. Par ailleurs, compte tenu de la richesse créée par heure travaillée, les travailleurs québécois sont moins bien rémunérés que leurs homologues ontariens, et ce, dans un grand nombre d’industries. http://plus.lapresse.ca/screens/89d0cf5d-590c-4026-bf3a-9683b47e1429%7C_0.html
  13. Un appel d'offres a été lancé dernièrement par la Société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain Inc. pour le remplacement du Viaduc N. Celui-ci enjambe les deux voies de circulation en provenance de l'autoroute Bonaventure, soit celles qui permettent d'emprunter l'autoroute 15 en direction nord ou sud. Le remplacement de cette structure est prévue pour 2014, et entrainera certainement plusieurs entraves dans ce secteur. Fait intéressant, son voisin, le Viaduc V, de conception identique a été remplacé en 2013. [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?hl=fr&ll=45.47318,-73.556007&spn=0.000004,0.002411&t=m&z=19&layer=c&cbll=45.473241,-73.555881&panoid=kzZbHnp5UADoFLzGTt_OJw&cbp=12,228.94,,2,-4.91[/sTREETVIEW] De plus, l'appel d'offres prévoit la relocalisation de la superstructure de signalisation qui se cache derrière ce viaduc, et qui n'a jamais été très commode vu son emplacement... Lien pour consulter l'appel d'offres
  14. 28/06/2016 Mise à jour : 28 juin 2016 | 17:39 http://journalmetro.com/local/hochelaga-maisonneuve/actualites/986540/des-artistes-pour-transformer-sainte-catherine-est/ Des artistes pour transformer Sainte-Catherine Est Par Catherine Paquette TC Media Collaboration spéciale Le projet Quartier en art embellit déjà quelques vitrines de la rue Sainte-Catherine Est. La rue Sainte-Catherine Est connaîtra bientôt un vent de renouveau avec l’arrivée d’artistes et artisans dans ses locaux vacants, promet la société de développement commercial (SDC) Hochelaga-Maisonneuve. L’organisme vient de se voir accorder un financement de 90 000$ pour le projet «Sainte-Catherine, rue des artistes et des artisans», sélectionné dans le cadre du programme PRAM-Est de la Ville de Montréal. Un total de 157 631 $ partagé entre la ville-centre, la SDC et d’autres partenaires sera investi dans la réalisation de projets qui inciteront des artistes à y installer leur atelier ou leur boutique, dans le secteur de la SDC allant de l’avenue Bourbonnière à la rue Viau. L’embauche d’une personne ressource permettra de faire le lien entre les propriétaires et les artistes, et des concours d’entreprenariat encourageront certains à s’y lancer en affaires. «Il y a déjà des ateliers boutiques sur la rue Sainte-Catherine, mais on veut renforcir cette identité. Il commence déjà à avoir une clientèle pour ces produits-là», explique le directeur de la SDC Jimmy Vigneux. Le projet surfera en effet sur la vague de nouveaux arrivants dans le secteur : les Ateliers Créatifs, dont les locaux ouvriront cet été, amèneront une centaine de créateurs dans les locaux du 3890-3910, rue Sainte-Catherine. La présence d’ateliers-boutiques comme Electrik kidz, Bigarade et Gabardine et de la galerie Gham et Dafe marquent également la volonté des artistes de s’installer dans le secteur. Le projet répond au besoin d’améliorer «l’image» de la rue Sainte-Catherine. Le montant octroyé par la Ville s’ajoute aux nombreux efforts de relance de l’artère, dont le tronçon entre Pie-IX et la rue Moreau fait l’objet d’une démarche de revitalisation urbaine intégrée (RUI) de la Table de quartier Hochelaga-Maisonneuve depuis 2012. Le projet s’arrimera par ailleurs avec les efforts de la table, qui vise le recrutement d’artisans depuis plusieurs mois, après des consultations menées auprès de la population du secteur. Secteur défavorisé Parsemée de graffitis et de locaux vacants, au nombre de 46, la rue Sainte-Catherine a l’avantage d’être beaucoup moins coûteuse pour les locataires. La moyenne des loyers s’élève à 10$ le pied carré, soir la moitié moins des montants exigés sur la rue Ontario, fait savoir le directeur. «C’est un type de commerce viable sur Sainte-Catherine, puisque 100% de leur chiffre d’affaires ne se fait pas nécessairement sur la rue. Comme l’achalandage n’y est pas si élevé que sur Ontario, on considère que c’est un bon filon», affirme-t-il. Le directeur souhaite offrir à des artistes d’occuper des locaux vacants gratuitement de manière temporaire, afin d’attirer de possibles locataires. Le projet vise aussi à améliorer l’aspect des vitrines en travaillant en collaboration avec Un quartier en art, projet qui vise à afficher des œuvres d’artistes locaux dans les locaux vacants. «Il faut établir que c’est rue artistique, on veut que les artistes puissent s’exprimer sur la rue», ajoute savoir le directeur.
  15. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  16. ROSEMONT SUR LE PARC - 48 CONDOS NEUFS - LANAUDIÈRE COIN BOULEVARD ROSEMONT Condo Montréal. Nouveau projet à Rosemont. 48 condos de Studio, 1 et 2 chambres à partir de 134 452$. Subvention disponible selon le nouveau programme de la Ville en 2010. Rosemont sur le Parc est situé sur la rue Lanaudière près du boulevard Rosemont, dans un secteur en pleine évolution. Découvrez nos différents plans en cliquant sur les unités disponibles. Réservez votre unité pour occupation été/automne 2012. Projet de MONDEV http://www.mondev.ca/condo-montreal-rosemont-sur-le-parc-48-condos-neufs-a-montreal-rosemont-.html?ProjetID=114
  17. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  18. Exit la zone industrielle! par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 29 octobre 2009 à 15:08 Près de deux ans après son entrée en vigueur, le généreux programme fiscal favorisant la conversion de la zone industrielle avoisinant la station de la Concorde donne ses premiers fruits. La cour à bois de Carrière Lefebvre, qui borde la rue Robert-Élie au nord du boulevard de la Concorde, est à disparaître. D’une valeur estimée au rôle à 2,3 M$, la demi-douzaine de bâtiments qui abritait des matériaux de construction croule actuellement sous le pic des démolisseurs. Jusqu’à 12 étages Construction Voyer, le nouveau propriétaire des lieux, entend mettre en chantier d’ici les prochaines semaines deux premiers bâtiments locatifs de six et de douze étages, a confirmé au Courrier Laval le porte-parole de la Ville, Marc Laforge. «Le bâtiment de six étages sera construit en façade de la rue Robert-Élie et celui de 12 étages s'élèvera en arrière-plan, près de la voie ferrée», dit-il, rappelant que le plan particulier d'urbanisme [PPU] ne prévoit aucune limite de hauteur, mais plutôt un minimum de deux étages par bâtiment. À terme, ce développement résidentiel compterait neuf bâtiments de 6, 8 et de 12 étages, qui totaliseront quelque 450 unités d’habitation, nous affirmait le président de Construction Voyer, Jean-François Voyer. Adopté en janvier 2008 par le conseil municipal, le PPU visait justement la densification du secteur. «Si on ne favorise pas la densité près de la station de métro, dites-moi où on le fera?» avait fait valoir le maire Vaillancourt aux citoyens qui questionnaient la hauteur des immeubles projetés, lors d’une séance de consultation publique tenue en février 2008. Zéro logement social Selon M. Voyer, 75% des unités du projet seront vouées au secteur locatif contre 25% pour les unités en copropriété. À la Ville, on indique que le présent développement n'offrira aucun logement social, alors que l'adoption du PPU devait pourtant «permettre d'exiger des promoteurs à consentir à du logement social à proximité des stations», avait insisté M. Vaillancourt lors de la consultation publique de 2008. Le PPU se voulait «une garantie pour les gens à faible revenu de pouvoir demeurer dans le quartier», assurait-il. Questionné à ce propos, Marc Laforge soutient que c'est «toujours la volonté de l'administration municipale qu'il y en ait [du logement social] et il y en aura», dit-il, en évoquant de futurs projets qui prendront éventuellement racine de l'autre côté du boulevard de la Concorde. Incitatifs majeurs Rappelons qu'en 2007, l’administration Vaillancourt a voulu profiter de l’arrivée du métro pour faire table rase des zones industrielles enclavées du secteur résidentiel de Laval-des-Rapides. Pour en accélérer le processus, elle a concocté un alléchant programme fiscal susceptible de convaincre les entrepreneurs de la place à relocaliser ailleurs leur exploitation industrielle. Selon certaines conditions, l’aide financière accordée sous la forme d'un crédit de taxes vise le droit de mutation et la taxe foncière générale imposée sur l'immeuble où l'entreprise se relocaliserait. Dans le cas de Carrière Lefebvre, l’entreprise a déjà fait son nid dans le parc autoroutier de la 25. Pour la taxe de Bienvenue, le crédit équivaut à 100% du montant du droit sur les mutations immobilières au moment du transfert de propriété. Quant à la taxe foncière relative à la valeur imposable de l'immeuble, le programme d'allègement fiscal se décline sur cinq ans, à raison d'un crédit de 100% la première année, 90% la seconde, 80% la troisième, 60% la quatrième et d'un crédit de 40% la dernière année. Le même forfait fiscal s'applique à la construction d'unités de logement sur les terrains vacants situés dans le périmètre visé. Mine de rien, Carrière Lefebvre libère 340 000 pieds carrés de terrain au nord du boulevard de la Concorde. Le même industriel possède un terrain équivalent au sud de la Concorde, qui n’est toujours pas vendu. Son propriétaire, André Lefebvre, est confiant toutefois de trouver preneur d’ici le début 2010. Dans cette portion du territoire, une quinzaine d’industriels détiennent près d’un million de pieds carrés, une superficie monstre appelée à être redéveloppée à la faveur de complexes d'habitation, de commerces de voisinage et d'espaces verts. http://www.courrierlaval.com/article-394905-Exit-la-zone-industrielle.html http://www.voyer.ca/fr/projets/le-logix/
  19. Ça doit être le prix trop élevé des vignettes, ou le parco trop cher, ou la trop faible place laissée aux automobiles dans l'aménagement des lieux. Blague à part, dommage qu'on ne parle plus aussi clairement d'unité résidentielle comme il y a quelques années. Ceux qui ont LP+ : d'autres petits textes sont publiés.
  20. Ce projet sera voisin de celui-ci: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/20551 *** Le Rockland Outremont Projet unique de 13 condos luxueux à Outremont au coin de l'Avenue Rockland et Van Horne. Tout pres du Metro Outremont. Condos de 1,2 et 3 chambres allant de 733 pieds carrés à 1729 pieds carrés pour les penthouses. Plusieurs options incluses tel que plafond de 9 pieds et comptoirs de quartz. Garage et terrasses sur le toît en option. Grands unités familiales disponibles. Livraison le 1er décembre 2014. Adresse 801 Avenue Rockland au coin de Van Horne Quartier Le Rockland Outremont offre un style de vie incomparable à ces futurs propriétaires. Vous pourrez ainsi bénéficier des nombreux restaurants, boutiques, spectacles et activités du secteur à pied. La proximité de la station de métro Outremont permet une liberté de transport partout en ville. Saisissez cette opportunité unique! Vivez Outremont à son meilleur! Bureau des ventes 5405 St-Denis, Montreal Monday to Thursday from 13h30 to 19h00 Saturday and Sunday from 12h00 to 17h00
  21. RDP-PAT veut une rue Sherbrooke Est «digne d’une métropole» Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles (RDP-PAT) s’est doté d’un plan d’urbanisme afin de donner une vision d’avenir pour la rue Sherbrooke, artère que l’arrondissement veut plus verte, moderne et urbaine. Le plan de développement urbain, économique et social (PDUES) adopté lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement établit les lignes directrices de l’aménagement du territoire aux abords de la rue Sherbrooke. Selon Yann Lessnick, conseiller en planification à la direction du développement du territoire, l’arrondissement misera sur le développement résidentiel et commercial lors de l’élaboration d’éventuels projets dans cette artère du quartier. «Nous voulons que la rue Sherbrooke devienne un corridor urbain contemporain digne d’une ville comme Montréal, dit-il. Nous voulons que les citoyens sentent déjà, lorsqu’ils arrivent de Repentigny par la rue Sherbrooke, qu’on arrive dans une métropole.» Des efforts seront donc consacrés afin de mettre en valeur la portion de rue entre le carrefour giratoire à l’extrémité est de la rue Sherbrooke et la gare de Pointe-aux-Trembles à la hauteur de la 57e Avenue, tronçon où circulent quotidiennement 24 000 véhicules. Une meilleure image Les promoteurs qui souhaitent développer des projets dans le secteur devront se plier à certaines normes établies par l’arrondissement. «Nous souhaitons avoir un cadre bâti particulier à l’entrée de la ville. Travailler avec des matériaux nobles, avoir une architecture relevée qui sera durable, mais qui offrira une conception visuelle intéressante afin de bonifier l’image de cette partie de la rue», indique M. Lessnick. Les espaces verts qui longent la rue Sherbrooke, dont le Parc de la Coulée Grou et le Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies seront également mis en valeur. «L’arrondissement est vu comme un lieu urbain dans un milieu naturel, c’est une image que nous aimons et que nous voulons conserver», souligne le conseiller en planification. Commerces et résidences Rappelons que ce plan a été adopté à la suite de plusieurs consultations auprès des citoyens et organismes du secteur. «Les gens veulent avoir des commerces de proximité. Des restaurants, des lieux pour se réunir, des petites boutiques spécialisées, et c’est sur ça que nous allons mettre l’accent dans ce plan.» Plusieurs intersections pourraient devenir de nouveaux pôles commerciaux, notamment le coin des rues de la Rousselière et de la Famille Dubreuil. «Cette partie de la rue Sherbrooke est considérée comme un désert alimentaire. Il est difficile de se procurer des aliments frais, alors nous allons essayer de trouver une façon de changer cette situation, signale M. Lessnick. Nous voulons offrir des services complémentaires afin que les gens ne soient pas obligés de se déplacer à Anjou ou Repentigny afin de se procurer certains produits.» Finalement, on indique qu’en ce qui concerne le développement résidentiel, l’arrondissement favorisera une densification du secteur. «On parle de projets de six étages et plus. Les gens sont tout à fait d’accord avec cette approche et nous pensons que c’est également une façon de moderniser cette artère», conclut le conseiller. Selon l’arrondissement, près de 35 hectares de terrains vacants sont disponibles pour le développement résidentiel et commercial dans ce secteur du quartier. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/915674/rdp-pat-veut-une-rue-sherbrooke-est-digne-dune-metropole/
  22. http://journalmetro.com/local/ouest-de-lile/actualites/907385/projet-de-camping-au-cap-saint-jacques/ 24/01/2016 Mise à jour : 25 janvier 2016 | 10:31 Projet de camping au Cap-Saint-Jacques Par Laurence Houde-Roy Métro TC Media Vue du Cap-Saint-Jacques La Ville de Montréal est en réflexion au sujet de l’implantation d’un projet de camping individuel au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, dans l’ouest de l’île. Les tarifs pour ce projet ont d’ailleurs déjà été approuvés dans le dernier budget 2016 de la Ville de Montréal. Rien n’est encore assuré, a toutefois prévenu le service des communications de la Ville de Montréal à Métro. Ces tarifs ont été approuvés seulement «en prévision d’une éventuelle implantation du camping individuel dans les parcs-nature», nuance-t-on. «Mais les études requises pour une telle implantation n’ont pas été faites (capacité de support du milieu, services sanitaires, etc)», a précisé le service des communications. Actuellement, le camping est permis pour les groupes de 10 personnes et plus dans le secteur du centre de plein air du Cap-Saint-Jacques, dans le secteur est du parc. Si les études en à venir sont concluantes, le projet pourrait offrir des terrains individuels au centre du parc-nature du Cap-Saint-Jacques au centre du parc, soit des terrains sans services (sans eau ni électricité), et les véhicules devraient être garés dans les stationnements. «Par contre, il n’est pas garanti que ce soit cette année. Et si c’était le cas, ce serait sur une base expérimentale, car nous n’avons pas encore les infrastructures nécessaires (processus de réservation, aspects de sécurité, aires de feu, etc.)», ajoute le service des communications. Le nombre de terrains qui seraient offerts n’a pas encore été défini, ni l’endroit exact dans le parc où ils seraient aménagés. Vincent Léger, un citoyen qui a déjà fait quelques propositions pour des projets de camping urbain à la Ville de Montréal notamment autour du bassin Peel, croit qu’il y a effectivement une demande de la part de la population «pour développer de nouvelles façons de visiter Montréal et d’y être hébergé». «Ce serait intéresse même de planifier un réseau pour le cyclotourisme, pour faire du plein air en ville et pouvoir s’installer de façon sécuritaire», ajoute-t-il. Il croit même qu’avec la revitalisation du Vieux-Port, qui a été annoncée, il y aurait des possibilités pour aménager certains terrains de camping dans ce secteur, «de façon à ce qu’on ait une image urbaine, qu’on se sente en ville même en faisant du camping», propose M. Léger. Métro a contacté Camping Québec, mais l’association n’a pas voulu commenter ce projet
  23. Endroit : 8 sites d'entrée dans la ville Ville : Montréal-Est, Québec Date : 2014-2015 Client : Ville de Montréal Est Collaborateurs : Intégral Jean Beaudoin ( Jean Beaudoin, Myriam Leclair, Corinne Deleers, Emmanuelle Beaupère, Enseignes Perfection) SIGNALÉTIQUE TERRITORIALE DE LA VILLE DE MONTRÉAL-EST : LES PORTAILS, LES DIRECTIONNELS ET LA VALORISATION DES ESPACES EXCEPTIONNELS DE LA VILLE Le projet a pour objectif de consolider la présence de la ville de Montréal-Est sur le territoire de l’île de Montréal. Au-delà de marquer les entrées et les sorties de la ville pour les voyageurs en transit sur les 4 axes est-ouest, le concept proposé vise à révéler les lieux et les paysages exceptionnels de la ville et inviter les visiteurs en traversée, et surtout les citoyens, à les visiter, le redécouvrir et les redynamiser. VISION D’ENSEMBLE La ville comporte deux zones distinctives, le secteur résidentiel et le secteur industriel.Il existe une distinction importante entre les paysages sur la rive du fleuve et ceux du secteur industriel dont les univers étonnant des carrières, des « champs de réservoirs », des raffineries et des hangars de la Seconde Guerre.Afin d’irriguer le territoire, nous proposant de superposer aux traversantes ( A40, Sherbrooke, Notre-Dame ) une GRANDE BOUCLE qui sera le trait d’union entre les paysages exceptionnels de la ville. En déploiement progressif vers l’ouest, au rythme de la revitalisation, la boucle s’appuiera sur les axes Est-Ouest de la rue Broadway et du futur boulevard Versailles. Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  24. TransForce va vendre son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL Environmental Inc. pour 800 M$ MONTREAL, QUEBEC--(Marketwired - 29 oct. 2015) - TransForce Inc. (TSX:TFI)(OTCQX:TFIFF), un chef de file nord-américain du secteur du transport et de la logistique, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait conclu une convention définitive d'achat d'actions avec GFL Environmental Inc., société dont le siège social est situé à Toronto, en Ontario. Aux termes de cette convention, TransForce vendra son secteur de la gestion des matières résiduelles à GFL pour 800 M$. Dans le cadre de cette opération, Gestion TFI Inc., une filiale en propriété exclusive de TransForce, vendra 100 % des actions de Services Matrec Inc. et des autres filiales en propriété exclusive indirectes comprises dans le secteur de la gestion des matières résiduelles de TransForce. La clôture de l'opération devrait avoir lieu le 1er février 2016, sous réserve des certaines conditions usuelles, y compris l'obtention des approbations requises des organismes de réglementation et l'absence de changement défavorable important touchant le secteur de la gestion des matières résiduelles. "Nous sommes très heureux d'avoir conclu cette entente avec GFL. Cette vente devrait permettre à TransForce de réaliser la pleine valeur du secteur de la gestion des matières résiduelles, dont la valeur n'a jamais été pleinement reconnue", a déclaré le président du conseil, président et chef de la direction de TransForce, Alain Bédard. "Au nom de nos clients et de nos actionnaires, j'aimerais remercier sincèrement les employés du secteur de la gestion des matières résiduelles pour leur dévouement", a ajouté M. Bédard. La convention d'achat d'actions prévoit qu'une tranche de 100 M$ du prix d'achat pourra être acquittée par l'émission à TransForce d'actions de GFL, sous réserve du respect de certaines conditions à la satisfaction de TransForce. Si TransForce choisit de ne pas être payée au moyen d'actions de GFL, GFL paiera 775 M$ à TransForce à la clôture et règlera le solde du prix d'achat au moyen d'un billet à ordre de 25 M$ payable quatre ans après la date de clôture et portant intérêt au taux de 3 % par année. ---- L'équivalent d'une perte de siege social
  25. Après une recherche infructueuse, je crois que nous n'avions pas ce projet répertorié sur mtlurb. http://ruemasson.com/?p=13332 Ça continue de bouger dans ce secteur, avec un autre projet de 383 unités, jusqu'à 6 étages, du groupe Axxco. Le projet sera à l'emplacement d'un ancien entrepôt Rona, dont la démolition a été adoptée hier. Je n'ai trouvé aucun rendu pour l'instant. Ce sera intéressant de faire une tournée de photos dans le secteur d'ici quelques temps, plusieurs grands projets seront en construction.
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