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  1. Le lineup de cette année est digne de Glastonsburry (U2 en moins) ou de n'importe quel gros festival de musique international. Osheaga et MTL ont maintenant leur place dans la lignée des grands. En bon français... Checker se lineup là. juste malade. http://groupes.osheaga.com/ Cliquez pour agrandir l'affiche Ce sont les gens de St-Lambert qui vont capoter avec une semaine après Osheaga, HeavyMTL qui ont offert leur lineup la semaine passée avec les Slipknow, Marilyn Mason, System of a down, Lamb of God..... En passant, je suis un hyper gros fan de musique, je suis shazam pour la plupart du monde qui me connait, un peu hipster sur les bords, beaucoup d'indie, Jazz, classique, rétro, College radio, UK, avec même un peu de Top40 si c'est de qualité et avec bon goût, donc ce genre de chose m'excite beaucoup.
  2. Quels sont selon vous les projets qui ont eu l'impact le plus grand sur la revitalisation d'un quartier ? Pour ma part il y a un projet qui a vraiment transformé une ville toute proche de Montréal, Joliette. La ville est rendue vraiment attrayante, avec sa place publique au coeur du centre-ville, et plus récemment, son nouveau musée d'art. Je crois que le projet de place publique a vraiment entraîné la ville sur une lancée. Avant : (juste un gros parking) Le musée d'art : Envoyé de mon iPad avec Tapatalk
  3. Bonne nouvelle. Ça va continuer à stimuler le boom immobilier. --- http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201605/18/01-4982752-partenariat-de-100-millions-entre-la-caisse-de-depot-et-claridge.php Partenariat de 100 millions entre la Caisse de dépôt et Claridge Maxime Bergeron La Presse Le groupe Claridge et la filiale immobilière de la Caisse de dépôt annonceront aujourd'hui un nouveau partenariat doté d'un budget de 100 millions de dollars, qui investira dans des projets de moyenne envergure dans la grande région de Montréal. « C'est un véhicule qui aura une stratégie d'investissement très particulière pour aider les promoteurs de la grande région de Montréal qui ont besoin d'un certain appui financier pour compléter leurs projets de développement », a expliqué hier Wayne Heuff, vice-président exécutif et directeur général de la nouvelle entité Claridge Immobilier inc. Le partenariat vise à réaliser des investissements de 5 à 15 millions. Puisque les mises de fonds oscillent entre 20 et 25 % dans les projets de développement, une participation de 10 millions de Claridge Immobilier inc. pourrait permettre la réalisation de projets d'une valeur totale de 40 à 50 millions, a souligné M. Heuff. Des projets un peu plus petits ou un peu plus gros pourraient aussi être considérés s'ils sont jugés « stratégiques », a-t-il précisé. EXPERTISE Les deux membres de ce partenariat ont chacun un long parcours. Ivanhoé Cambridge, la filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec, détient des actifs de 55 milliards à l'échelle mondiale. Claridge, le fonds d'investissement privé de la famille de Stephen Bronfman, est de son côté actif en immobilier depuis les années 50 et participe ces jours-ci à plusieurs gros projets dans la région montréalaise. Wayne Heuff souligne que la participation du nouveau partenariat dans de futurs projets résidentiels ou commerciaux dépassera de loin le simple investissement en argent. « L'autre avantage qu'on amène dans des projets potentiels comme ça, c'est l'historique et l'expertise que chacune de nos organisations respectives pourrait amener à la table en termes d'investissement immobilier et de développement », a-t-il dit à La Presse Affaires. Aucun investissement précis ne sera dévoilé aujourd'hui, mais quelques projets sont déjà à l'étude.
  4. :thumbsdown::thumbsdown: Ce graphique représente cette saison!! De héros à zéro! Qu'est ce que le Canadiens doivent faire??? A) Renvoyer Thérien? B) Faire un gros échange? C) Déménager l'équipe à Québec? D) Toutes ces réponses
  5. Le terrain du Square Philips est immense, près de 70,000 pieds carrés, est zoné +200m en plus d'avoir une densité de 12 ce qui lui permet un potentiel maximal. En plus, il est situé à un endroit idéal au centre-ville. Son gros problème est que le terrain est enclavé dans les arrières cours et possède un accès à la rue très limité. Je me suis amusé avec Google Sketch et Earth à développer un projet pour ce site. Sans plus tarder, je vous présente: LE PRISME Ce projet rempli l'espace enclavé par une portion stationnement qui devient la base de tout l'ensemble qui se retrouve dégagé en hauteur. Le plus gros prisme jamais conçu sur la planète sera érigé au sommet d'une tour et culminera à 205 mètres de hauteur. À cette hauteur très précise, une fois la nuit tombée, le faisceau de la place Ville-Marie frappera de plein fouet le prisme ce qui aura pour effet de créer un arc-en-ciel de lumière au dessus du Village! Puisqu'on aime ça à Montréal de bien s'intégrer avec les voisins, le nom de ce projet est une référence à un autre bijou montréalais connu sous le nom de LE CRYSTAL. En plus, son architecture audacieuse fait un petit clin d'oeil à ses grandes voisines, les tours McGill et KPMG comme on peut le voir ci-dessous. L'espace qui reste au pied de la tour et au dessus du stationnement est très grand: plus de 35,000 pieds carrés (dans la configuration avec un hôtel tel qu'illustré) pour pouvoir y installer un magnifique espace de loisir comme un tennis ou une piscine, à faire mourir d’envie les résidents des Lofts St-Alexandre avec leur pataugeuse. On pourrait aussi développer un hôtel dans la partie sud qui pourrait apporter restaurants, bar, cafés, tous avec terrasses sur cette grande place. Voici quelques vues avec l'impact sur le skyline montréalais: Du pont Champlain Du pont Jacques-Cartier Du Mont-Royal
  6. L'entrepôt qui je crois était loué par la ville situé au 701 Notre-Dame Ouest a été démoli voilà pas si longtemps. Ils débarrassaient encore des débris la semaine dernière. Le terrain appartient tout vraissembablement à Magil Laurentienne, juste en face de la tour de la Bourse Je ne suis pas en mesure de savoir quel développement qu'il y aura à cet endroit. On parle de grands terrains de stationnement en ce moment. Du coup j'aimerais ajouter que le terrain du Bureau en gros non loin de la est d'un gaspillage de "prime real estate" avec le nouveau boulevard qui sera la bientôt. Quelqu'un peu m'éclairer et me pointer vers le fil du suejt sur le forum? (s'il y en a un) ou comment trouver plus d'info sur le sujet?
  7. Je n'ai pas trouvé de fil existant, et ça semble quand même remplir un gros trou sur Ste-Catherine. La pancarte ne me semble pas récente par contre.
  8. Bonne nouvelle, en passant sur la 720 ce matin, j'ai remarqué que Bell est en train de retirer les panneaux de tôle sur le building qui longe la 720 (moitié pierre/moitié tôle). Le revêtement est maintenant en pierre et brique, ce qui est déja mieux.. Pas un gros projet, mais j'ai toujours trouvé que ce building faisait dure et qu'il était justement très mal situé pour faire dure....
  9. Une initiative qui va prévenir quelques coinçages gênants pour les camionneurs......... [video=youtube_share;XMt8GcjozXo]
  10. GDS

    Heenan Blaikie

    Heenan Blaikie pourrait fermer Le grand cabinet d'avocats montréalais Heenan Blaikie ne survivrait pas à la nuit. Les associés du bureau ont été convoqués à 18h au centre-ville de Montréal. Ils devraient alors signer l'arrêt de mort du bureau en votant pour sa dissolution, selon le site spécialisé Droit-Inc. Les nombreuses défections des derniers jours auraient annulé tout espoir de voir Heenan Blaikie se restructurer en réduisant son réseau de bureaux régionaux, rapporte le même site. Le plus gros des équipes de droit du travail et de droit immobilier d'Heenan Blaikie à Montréal aurait quitté leur emploi. Le cabinet était l'un des plus prestigieux au pays, avec plus de 500 avocats dans huit bureaux partout au Canada. ---- Pas mal sur que Heenan Blaikie occupe 150,000 pi2 au 1250 RL.
  11. Un grosse structure est en train d'être assemblée au coin nord-ouest du rond-point Acadie. Quelqu'un sait de quoi il s'agit ? C'est assez gros, ma photo ne le rend pas.
  12. On le veux-t-y ou on le veux-t-y pas?? Moi je le veux! Même à assez gros prix...
  13. Lac Mirabel: les appels d'offres sont lancés Jean-Paul Charbonneau 11 août 2006 - 07h31L'audacieux projet Lac Mirabel franchit un important pas vers sa réalisation avec le lancement des appels d'offres pour la réalisation des plans et devis de la future sortie 28 de l'autoroute des Laurentides (15) qui lui procurera un accès direct. Les voies du viaduc qui surplombe la voie rapide à cet endroit seront doublées afin de permettre une meilleure circulation. C'est après presque deux ans de pourparlers que les municipalités de Mirabel et de Blainville et le ministère des Transports du Québec ont signé une entente tripartite sur le financement des travaux de construction de près de 12 millions de dollars qui commenceront au plus tard en avril prochain. La direction de Lac Mirabel a été consultée par la Ville de Mirabel, désignée comme maître d'oeuvre, et le MTQ. Cette décision était attendue avec impatience par les promoteurs de ce mégaprojet unique qui nécessitera des investissements de l'ordre de 425 millions de dollars. Lac Mirabel, qui devrait être terminé en 2008, a déjà loué la très grande majorité de ses locaux commerciaux. Cette nouvelle sortie et ses bretelles d'accès aideront également au développement des deux municipalités. Du côté de Mirabel, l'administration municipale compte agrandir le parc industriel. «Notre parc industriel actuel est rempli, il est urgent de procéder à un agrandissement afin de poursuivre notre développement. La demande est très forte», a mentionné le maire de cette municipalité, Hubert Meilleur. À Blainville, l'aménagement décongestionnera la sortie 25 en plus de favoriser le développement dans la partie nord de la ville de 47 000 habitants. «Notre parc industriel va profiter également de ce futur aménagement. Il était temps qu'une entente intervienne pour les deux municipalités», a indiqué le directeur général de Blainville, Paul Allard. Lors de l'entretien, M. Meilleur a déclaré que le projet Lac Mirabel n'entre aucunement en compétition avec le Faubourg Boisbriand (ancien site de General Motors) présentement en construction au carrefour des autoroutes 15 et 640, le centre commercial Place Rosemère et la série de magasins que l'on retrouve le long de la 15 à Saint-Jérôme; bien que le tout se trouve dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres. De plus, il existe un vaste projet pour le site de l'ex-aéroport de Mirabel qui comportera notamment des glissades d'eau d'un nouveau type. ----------------------------------------- The Lac Mirabel development, which will encompass more than 14 million square-feet and include 2.2 million square-feet of retail space. Le projet lac mirabel sera le plus gros en terme de superficie, mais pas le plus gros en terme d'espaces à louer. Source: deuxième communiqué posté sur ce fil. Le super centre d'achats de Dubaï aura 9.6 millions de pieds carrés de locatif pour magasins sur un terrain de 12.1 millions de pieds carrés. De loin le plus gros en terme d'espaces à louer. Source: http://en.wikipedia.org/wiki/Dubai_Mall Les chiffres indiqués ici représentes les espaces à louer et non la superficie totale.
  14. Voici un petit projet avec un gros volume. Je croyais qu'il y avait un fil mais je ne trouve rien donc je vais en partir un car le projet est relativement important pour le secteur. Le projet se situe entre la rue St-Ambroise et le Canal Lachine coin Chemin de la Cote-St-Paul et à coté du Centre Gadbois. Il y a plusieurs nouveaux immeubles dans ce ''gros'' quadrilatère mais je ne sais pas si c'est le meme promoteur (Mondev) pour tous ou si c'est plusieurs petits projets indépendants. Bref, celui de Zone C comporte plusieurs phases. Lors de mon passage la construction allait bon train et ça creusait beaucoup. Sur la photo on peut voir les autres phases terminé à l'arrière plan et...avec un peu de recul, les grues du CUSM, un peu plus loin.
  15. C'est 1534 qui recommence, en version numérique. Assaillie par les bateaux français au début du 16e siècle, celle qu'on appelle désormais Montréal est aujourd'hui le tremplin des sociétés technologiques françaises de toute taille, avec à la clé, un accès à l'eldorado infonuagique américain... Caractérisée par une interface web d'où on peut tout gérer et commander, l'informatique en nuage est une technologie qui dépasse les frontières, mais elle n'échappe pas aux contraintes géographiques les plus élémentaires : plus on est loin de ses clients, plus le délai de transmission des données est long. C'est pourquoi les hébergeurs et les fournisseurs de services infonuagiques ayant des visées internationales doivent déployer des centres de données dans chacune des grandes régions desservies. Amazon a des serveurs à Amsterdam, Francfort, Hong Kong et Tokyo. Google en Belgique, en Finlande et à Taïwan. Microsoft en Irlande et à Singapour. iWeb au Québec, au Brésil et bientôt en Inde et en Europe. Deux sociétés françaises À ce jeu, Montréal pourrait gagner gros. En un an et demi, deux sociétés françaises ont ouvert une première succursale dans la métropole québécoise, dans l'espoir de percer le marché internet nord-américain. L'hiver dernier, OVH, le plus important hébergeur européen a annoncé l'installation à Beauharnois de ce qui pourrait devenir, à terme, son plus gros centre d'hébergement de données, à 360 000 serveurs. OVH suivait ainsi la même démarche que son rival Linkbynet, un hébergeur de plus modeste taille qui se spécialise exclusivement dans des services liés à l'informatique en nuage. Au-delà de l'hébergement sur mesure, Linkbynet tente de séduire les PME canadiennes en leur fournissant un service simplifié de gestion des applications web qu'elles comptent utiliser. La formule fait mouche : l'entreprise a doublé de taille depuis son arrivée à Montréal, en 2010, et compte le faire à nouveau d'ici l'an prochain, faisant passer son nombre d'employés de trente à soixante. «En France, nous avons fait notre marque avec des clients de la trempe de Michelin et Sodexo. À Montréal, nous ciblons les PME québécoises, mais c'est aussi notre base pour l'ensemble de l'Amérique du Nord», explique Julien Trassard, PDG de Linkbynet Canada. L'Oncle Sam M. Trassard n'est pas seul à voir Montréal comme un tremplin vers le marché nord-américain. Outre Linkbynet et OVH, des entreprises québécoises lorgnent aussi du côté de l'Oncle Sam. Sa douzaine d'entreprises spécialisées, ses coûts d'affaires peu élevés et sa géographie avantagent la métropole québécoise. Pas pour rien si, en juillet dernier, la firme d'analyse 451 Group classait Montréal au sixième rang des villes nord-américaines les plus attrayantes pour les hébergeurs de données. Tout le monde en profite, pas seulement les hébergeurs français, conclut Julien Trassard. «Ça démocratise le cloud, ça génère de l'emploi et ça fait du Québec une plaque tournante des TI en Amérique du Nord.» http://affaires.lapresse.ca/portfolio/infonuagique/201204/24/01-4518514-montreal-capitale-de-la-france-en-amerique-du-nord.php Aujourd'hui, Beauharnois, demain l'Amérique. Après avoir lorgné du côté de Boston, Philadelphie et Washington, le premier hébergeur internet européen a choisi de s'installer à Beauharnois, au Québec. C'est le site qui a séduit Octave Kalba, fondateur de OVH.com, une entreprise familiale basée à Roubaix, en France. L'ancienne aluminerie d'Alcan, fermée en 2008, lui a semblé faite sur mesure pour accueillir leur type d'entreprise, qui fabrique et exploite des serveurs informatiques dédiés ou mutualisés (cloud). Et les tarifs d'électricité? Ç'a fait partie de la décision. C'est surtout la stabilité de l'approvisionnement en électricité qui est appréciée. Côté prix, il y a des économies comparativement à la France, «mais c'est pas délirant comme différence», dit M. Klaba. Les Klaba passent actuellement plus de temps de ce côté-ci de l'Atlantique, où ils s'affairent à mettre en route un gros datacenter, comme on dit en France, un des plus gros en Amérique du Nord. En échange de l'ancienne usine d'Alcan, OVH s'est engagée à investir 127 millions et à créer 120 emplois au cours des trois prochaines années. Concrètement, l'entreprise veut se doter d'un quartier général pour percer le marché américain. «D'abord la côte Est, New York et Washington et plus tard, l'Ouest, Vancouver et la Californie», précise Octave Klaba. Gros programme pour l'entreprise fondée en 1999, qui exploite 100 000 serveurs en Europe. Son objectif est de doubler ce nombre et de multiplier aussi par deux son chiffre d'affaires de 120 millions. À plus long terme, l'entreprise veut se doter de 360 000 serveurs et générer 85% de son chiffre d'affaires en terre d'Amérique. Les premières étapes prévues sur ce long parcours sont New York, Washington, Atlanta et Dallas d'un côté. De l'autre, Ottawa, Toronto, Detroit, Chicago et Dallas. OVH arrive à Beauharnois avec sa technologie et son savoir-faire. L'entreprise construit ses propres serveurs, plutôt que de les acheter à Dell ou autres. Sa technique de refroidissement à l'eau plutôt qu'à l'air, par exemple, lui permet de réduire considérablement sa facture énergétique. «Notre avantage, c'est qu'on peut faire profiter nos clients de ces économies», dit Octave Klaba. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528726-aujourdhui-beauharnois-demain-lamerique.php http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/25/01-4528706-un-interet-commence-a-poindre-au-quebec.php
  16. Ma vision de l'intersection. Objectifs: 1. Rendre le quartier plus vivable. 2. Faciliter l'accès pour les piétons 3. Préserver le bon fonctionnement des artères routières 4. Raccorder les rues 5. Créer des opportunités pour du dévelopement / densification Les formes de couleur = nouvelles constructions : -Triangle au sud de l'intersection : Projet de condos, édifices de 8 à 10 étages. -Édifice directement au nord de l'intersection sur l'image : Tour de 15 étages -Le reste, des condos, des commerces, de 3 à 6 étages. En plus gros maintenant: AVANT: APRÈS:
  17. Voici un beau gros projet massif comme on les aimait à l'époque. Ça c'est tous les terrains du 1250 René-Levesque Ouest, de l'édifice La Laurentienne et même de l'église Saint-Georges.
  18. Publié le 22 septembre 2010 à 17h36 | Mis à jour à 17h40 Le Port de Montréal accueille le plus gros navire de son histoire Pierre Saint-Arnaud La Presse Canadienne Montréal Le Port de Montréal accueillera ce jeudi le plus gros navire de son histoire, une opération qui aura nécessité deux années de préparatifs. Le Aida Luna, un navire de croisière allemand appartenant au voyagiste Aida Cruise, mesure 252 mètres de long et peut accueillir jusqu'à 2500 passagers. Il s'agit, en l'occurrence, principalement d'Européens, explique Ross Baldwin, directeur général de McLean Kennedy, l'agent maritime qui est à l'origine de la venue du mastodonte: «Les passagers sont surtout des Allemands mais aussi des Italiens, des Autrichiens et des Espagnols qui viennent voir les couleurs de l'automne sur le fleuve Saint-Laurent et sur le Saguenay. Pour plusieurs, c'est la première fois qu'ils voient une chose semblable.» La problématique de la venue du navire à Montréal réside moins dans sa longueur ou son tirant d'eau, qui n'est que de sept mètres, que dans sa hauteur. Le mastodonte se présente en effet à une hauteur de 47,9 mètres (157 pieds) au-dessus de la ligne de flottaison. «Nous avons commencé il y a deux ans par un dialogue avec les pilotes du Saint-Laurent pour voir si l'on pouvait amener ce navire à Montréal, a indiqué M. Baldwin, parce qu'il y a beaucoup d'obstacles: la hauteur du Pont de Québec, des lignes d'Hydro-Québec. Il y a aussi les manoeuvres d'accostage au Port de Montréal. C'est difficile mais les pilotes ont déterminé que c'était possible.» Le cas du vieux pont de Québec est en effet assez problématique, précise-t-il: «Le passage sous le Pont de Québec nécessite un ajustement du trajet à l'heure de la marée. On ne peut passer que si la marée est basse. À 48 mètres de hauteur, il passe pas à marée haute.» Bien que le dégagement soit suffisant sous les lignes d'Hydro-Québec à Trois-Rivières, on a prévu là aussi de les franchir à marée basse pour ne prendre aucun risque. Pour le dernier droit, les deux pilotes qui seront à la barre du navire entre Trois-Rivières et Montréal seront en terrain familier, indique M. Baldwin. «Ces deux pilotes sont allés en Allemagne l'an dernier pour faire une simulation sur un simulateur et confirmer que c'était vraiment possible. La décision était déjà prise mais il était utile d'offrir cette expérience aux pilotes et d'ajouter au simulateur leur expérience et les données sur les courants, les profondeurs du chenal et ainsi de suite.» Il a également fallu déterminer, entre autres, quelles manoeuvres seraient requises et quel type de remorqueurs pourraient les accomplir afin de permettre d'accoster le navire au quai Alexandra. Après avoir traversé l'Atlantique, l'Aida Luna a d'abord fait escale à New York et dans les ports des provinces maritimes avant de se rendre à Québec. Il est attendu dans le Port de Montréal à 7h00 du matin, ce jeudi. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201009/22/01-4320642-le-port-de-montreal-accueille-le-plus-gros-navire-de-son-histoire.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS3
  19. 6605 Hochelaga, coin Langelier. 3 1/2 et 4 1/2 près du métro Langelier. Je trouve que le projet a vraiment un beau design. Malheureusement, les photos sont très petites. Une de ces photos est en + gros dans la revue ''condo direct'' et elle permet de mieux apprécier l'évocation du future design.
  20. Intéressant, plus gros mois de juin depuis les jeux olympiques! Sur LaPresse Affaires : Saison touristique 2010: départ canon pour Montréal Dans le journal Métro : Les hôtels de Montréal ont fait le plein en juin
  21. Les Habitations Paul-Pratt Nouveau projet de 4 étages à Longueuil 65 logements communautaires Complété en Octobre 2008 Bel exemple du genre de densification qui se passe à Longueuil. On est officiellement en banlieu, mais on retrouve ici un projet de style proprement urbain. Anciennement sur le site : une petite église (avec un gros stationnement) pas particulièrement belle et abandonnée depuis un certain temps.
  22. Publié le 02 novembre 2009 à 15h36 | Mis à jour à 16h45 Montréal reporte l'octroi de gros contrats Éric Clément La Presse Tout juste réélu pour un troisième mandat, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, annonce le report de l'octroi de certains gros contrats municipaux, le gel de la hausse prévue de deux taxes, la taxe sur l'eau et la taxe sur la voirie, et la réduction des investissements, le temps que les processus d'appels d'offres soient révisés. «Il faut que ces processus soient impeccables», a dit le maire Tremblay, ce lundi après-midi, lors du premier point de presse de son nouveau mandat. Le maire a rencontré la direction générale de la Ville et la direction des Finances et leur a demandé de réduire les investissements et de les limiter «à l'essentiel et aux engagements pris, jusqu'à ce que nous ayons fait la lumière sur les rumeurs de collusion et de corruption qui existent dans le milieu de la construction». «Entre temps, avec les arrondissements, la direction générale travaille très fort pour resserrer le processus d'approvisionnement qui nécessite l'expertise du privé, de revoir le rôle du privé dans la préparation des devis et des appels d'offres, de renforcer la reddition de comptes et surtout de mettre en place un contrôleur qui s'assurera que les contrats sont donnés au juste prix et surtout que l'on ait un nombre de soumissionnaires qui permettent d'avoir le meilleur prix», a dit le maire. La Ville de Montréal avait un trou financier de 205 millions au 30 septembre dernier. Pour y remédier, elle doit ou bien adopter une hausse des taxes foncières générales ou réduire ses dépenses ou faire une sage combinaison des deux. Selon un scénario dévoilé par La Presse vendredi dernier, l'administration Tremblay a la possibilité d'augmenter la taxe foncière du secteur résidentiel de 6% en 2010. Mais en réduisant ses investissements et ses dépenses, elle peut indirectement compenser la baisse de ses revenus. D'autant que le maire a dit à la directrice générale de la Ville, Rachel Laperrière, et à la direction principale des Finances qu'il «suspendait la taxe pour le fonds de l'eau et également le fonds de la voirie». En fait, il s'agit du gel de la hausse prévue de ces deux taxes. «Après l'éthique et l'intégrité, ma priorité, c'est la préparation du budget et la négociation des conventions collectives», a ajouté le maire. Par ailleurs, même si deux électeurs montréalais sur trois n'ont pas voté pour Gérald Tremblay, le chef d'Union Montréal tout juste réélu a rejeté du revers de la main les propositions d'ouverture de Richard Bergeron. Il n'a par exemple pas l'intention d'accueillir des élus des deux partis d'opposition dans son prochain comité exécutif. Le maire a également précisé que le commissaire à l'éthique sera nommé au conseil municipal en décembre si le gouvernement Charest ne donne pas suite à la suggestion de la Ville de Montréal. La ligne éthique mise sur pied pour prévenir les fraudes sera également créée le mois prochain. Le maire a dit qu'il va rencontrer le ministre Claude Béchard sur la question du financement des partis politiques.
  23. Les producteurs multimédia du Québec craignent que l'Ontario s'accapare les gros contrats grâce à ses politiques fiscales incitatives, qui ont déjà attiré Ubisoft à Toronto. Pour en lire plus...
  24. Publié le 17 mai 2009 à 07h33 | Mis à jour le 17 mai 2009 à 07h35 Gros gloutons, gros barrages Patrick Lagacé La Presse Hydro-Québec va donc construire ces quatre barrages sur la rivière Romaine. Je devrais déchirer ma chemise et dire que c'est écoeurant, qu'on détruit la nature, qu'on saccage le patrimoine pour éclairer les maisons des Américains. Pourtant, non. Je ne vais pas déchirer ma chemise. Parce que c'est ma faute, ce barrage. Ma faute et la vôtre aussi. Parce que nous sommes des gloutons énergétiques. Comme tous les Occidentaux, ou presque, en cela. La croissance de la demande énergétique des Québécois est constante et imparable: 1% par année. Ça n'a l'air de rien, mais c'est énorme. C'est 10% en une décennie. Je sais, je parle du Québec alors qu'il s'agit de vendre de l'électricité aux Américains. Sauf qu'après la construction des quatre barrages, l'électricité de la Romaine va éclairer nos maisons. À terme, nous sommes toujours rattrapés par ce foutu 1%. À terme, nous sommes toujours rattrapés par nos téléviseurs 64 pouces au plasma (et celui de 32 pouces au sous-sol), par la thermopompe, par le chauffe-piscine, le ventilateur, le climatiseur, le frigo, le congélateur, le chauffe-eau, l'ordinateur, les plinthes qui nous chauffent, les lumières de Noël, les ampoules électriques qui nous éclairent (ou qui éclairent nos pièces vides). Traduction: nous sommes toujours rattrapés par tous les cossins de la vie moderne qui fonctionnent magiquement quand on les branche dans le mur. * * * Je ne veux pas planter les environnementalistes. Leur job, leur vocation, c'est de défendre l'environnement. Ils sont parfois moralisateurs mais, sur le fond, ils ont raison: l'environnement n'est pas exactement en bonne santé. S'ils ne déchirent pas leur chemise, qui le fera? Sauf que quand je les entends parler de la Romaine, j'ai de la misère à les suivre. D'abord, il y a eu ces déclarations de Daniel Green, selon lesquelles l'hydroélectricité n'est pas une énergie verte. C'est vrai... selon le fisc de 27 États américains qui appliquent le RPS, ou Renewable Portfolio Standard, m'explique Jean-Thomas Bernard, professeur titulaire de la chaire en économique de l'énergie électrique de l'Université Laval. Le RPS force les fournisseurs d'énergie à inclure, dans leur offre d'électricité, une fraction produite par certaines technologies vertes comme la biomasse, l'éolien et le solaire. C'est une façon de stimuler ces industries naissantes. «Et la grande hydroélectricité, qu'on trouve surtout au Québec, n'est pas considérée comme une énergie verte par le RPS», dit le professeur Bernard. Sauf que l'hydroélectricité reste une énergie propre, très propre, au palmarès des façons de produire de l'électricité. «Avec les forêts détruites, le pourrissement des arbres, il y a quand même des émissions de CO2, selon Jean-Thomas Bernard. Sauf que c'est minime, par kilowattheure produit, si on compare au charbon.» * * * L'autre mantra des environnementalistes, dans l'opposition à la Romaine, c'est dire que le Québec devrait mieux gérer l'électricité qu'il produit avant d'en produire encore plus. Miser sur les programmes d'économie d'électricité. J'en suis. Sauf que ça n'arrivera jamais. D'abord, l'électricité, au Québec, ne coûte pas cher. On se fiche de ce qui ne coûte pas cher. On le dilapide. C'est un peu comme les radars photo. Pourquoi les gens roulent-ils vite? Parce que le risque de se faire pincer est mince. Pourquoi lèvent-ils le pied, dans les pays où un système de radars photo est en place? Parce que le risque de se faire pincer est grand. Traduction: parce que, s'ils roulent vite, ils vont payer. Idem pour l'électricité. Pour que l'économie d'énergie fonctionne, il faudrait qu'elle coûte plus cher, cette énergie. Malheureusement, pour l'écologiste moyen, c'est plus facile de taper sur Hydro que de dire aux Québécois qu'on devrait augmenter le coût de l'électricité afin d'en utiliser moins. Parce que quand on parle de hausser les tarifs de l'Hydro, que ce soit pour réduire la consommation d'électricité ou s'enrichir collectivement en la vendant aux Américains, vaut mieux revêtir son casque Joffa à grille: les roches viennent vite... Ensuite, l'Homo quebecus, dans le confort de son salon, quand il regarde Occupation double, ne veut pas se faire embêter par la conservation de l'électricité. Il ne veut pas se faire dire qu'il devrait aller éteindre la lumière de la salle de bains, où il est allé pendant la pause publicitaire. Et quand il part travailler, il ne veut pas faire le tour de la maison pour baisser le chauffage. Parce que c'est compliqué, être moins énergivore. Dans son quotidien, quand on est roi de son petit univers, empereur de son grand bungalow, c'est emmerdant de modifier son comportement de glouton énergétique. C'est moins emmerdant de laisser l'État construire des barrages monstrueux sur des rivières que 98% des Québécois ne verront jamais de leurs yeux. Je termine sur un extrait de la chronique d'hier de François Cardinal, qui couvre l'environnement pour La Presse: «Le Canada est 16e au palmarès Greendex du National Geographic. Le pays se classe ainsi avant-dernier d'une liste de 17 pays en raison de la taille des maisons, de la consommation d'énergie et, surtout, de la propension des Canadiens à se déplacer dans des voitures toujours plus grosses.» Gros gloutons, gros barrages. On n'en sort pas.
  25. Voici ma proposition pour le bord de l'eau de Longueuil (sud du pont Jacques-Cartier) 2015. C'est ambitieux et modeste en même temps... Les chiffres = nombre d'étages P = stationnement Rendus 3D a venir Voici encore en plus gros:
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