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  1. Gracieuseté de Hildephonse Ce projet aurait été situé à gauche du Théâtre du Nouveau Monde, en regardant vers le sud. Il aurait occupé l'espace maintenant occupé par le projet Maison du développement durable ainsi qu'une partie de l'Esplanade Clark du Quartier des Spectacles.
  2. Salut à tous, J'aimerais avoir votre opinion sur une idée que j'ai eu aujourd'hui. Outre vos commentaires sur l'idée elle-même, j'aimerais surtout avoir des suggestions quant à la stratégie à adopter afin de faire réaliser un tel projet (qui contacter, comment s'y prendre, etc.). Merci! --- Avec le développement du Quartier des Spectacles, et avec le Village gay et le secteur commercial le plus dense au Canada, la rue Ste-Catherine est certainement l'une des artères les plus intéressantes en Amérique du Nord. Elle pourrait peut-être même être considérée comme l'une des meilleures au monde... si ce n'était de ce no man's land, ce secteur dénué d'âme qui se siue entre Berri et St-Laurent, soit entre le Village et le Quartier des Spectacles. J'ai pensé à un concept de développement pour ce secteur, afin de le rendre attrayant. Il s'agirait d'un secteur de transition entre le Village et le QdS, qui aurait néanmoins une identité propre. Le concept que j'ai en tête est le suivant: le secteur serait divisé en trois zones/tronçons (voir le 2e fichier joint) ayant chacun un thème particulier. La première zone, qui ferait la transition avec le QdS, aurait pour thème l'ART; la deuxième, faisant échos aux édifices de l'UQÀM, aurait pour thème le SAVOIR; et la troisième, faisant la transition avec le Quartier Gai, aurait pour thème la DIVERSITÉ. Deux éléments permettraient de reconnaître l'identité de chaque zone. D'abord, la pièce maîtresse de mon concept: d'un bout à l'autre de ce secteur, il y aurait un mince ilôt au centre de la rue Ste-Catherine (entre les deux voies), où une structure permettrait d'afficher des oeuvres de grande taille (photos, tableaux, etc.). Les passants pourraient admirer les oeuvres des deux côtés de la rue. Dans la zone ART, on retrouverait sur l'îlot des oeuvres artistiques ; dans la zone DIVERSITÉ, on retrouverait des oeuvres illustrant la diversité humaine.... vous saisissez le concept. Les oeuvres présentées seraient des expositions temporaires, pouvant être renouvellées sur une base plus ou moins régulière. Bref, les touristes visiteraient ce secteur afin d'y découvrir les différentes expositions. En plus d'être un lieu de transition entre deux quartiers, ce secteur deviendrait une destination en elle-même. Le deuxième élément consisterait en la construction de grandes arches à l'entrée de chacune des trois zones. Ces arches seraient des portes d'entrée permettant d'identifer la saveur thématique de la zone dans laquelle le passant est sur le point de pénétrer. Outre ces deux éléments principaux, on pourrait réaménager le parterre à la manière du Quartier des Spectacles, planter des arbres, proposer un mobilier urbain audacieux, etc. Je crois que toutes ces modifications permettraient de transformer un secteur sans saveur en une destination touristique d'envergure, et de faire de la rue Ste-Catherine une artère capable de rivaliser avec la Rambla de Barcelone et les autres artères majestueuses à travers la planète. Qu'en pensez-vous? Le Philosophe
  3. Gracieuseté de Hildephonse Le projet aurait occupé le site qui est l'actuel Parc Domtar et l'emprise de l'édicule nord de la station de métro Place-des-Arts.
  4. brubru

    Ruelle Cyclable

    Salut ! J'aime bien les ruelles vertes, et j'aime le vélo, donc j'ai eu l'idée des ruelles cyclables ! Avant Après Avec ça on aurait les plus belles pistes cyclables du monde !
  5. Des chiffres obtenus grâce à la Loi d'accès à l'information indiquent que, malgré une population trois fois supérieure, Montréal reçoit moins que Québec dans un des quatre principaux programmes d'infrastructures. Programme d'infrastructures de loisirs C'est vrai pour l'important programme d'Infrastructures de Loisirs, qui permet aux villes canadiennes de réparer ou construire des installations sportives. Des chiffres obtenus indiquent qu'à Montréal, quatre projets d'une valeur de 3,321 millions de dollars ont été approuvés. Québec a obtenu le financement pour quatre projets d'une valeur de 3,565 millions de dollars. À Montréal, trois arénas de la métropole ont reçu des subventions de 1 million de dollars pour mettre à niveau les systèmes de réfrigération. Cependant, environ le tiers des projets acceptés par Ottawa ont été censurés par l'Agence de développement économique du Canada, qui gère ce programme. Cela signifie que d'autres projets à vocation sportive pourraient êtres annoncés d'ici quelques mois. Reste qu'à Montréal certains projets, comme la réfection de l'aréna Ahuntsic, semblent être morts au feuilleton. En septembre dernier, l'ex-président du comité exécutif Claude Dauphin aurait confirmé à la députée fédérale d'Ahuntsic, Maria Mourani, que l'aréna serait l'objet d'un projet de rénovation de 5 millions de dollars. Ottawa aurait aussi confirmé à madame Mourani que les fonds ont été envoyés à Montréal. Mais le projet ne serait plus dans les cartons, aux dires de la députée. Elle se demande si les millions dorment quelque part à Montréal ou si les contribuables d'Ahuntsic sont victimes du fait qu'ils ont voté pour un des deux partis d'opposition. « Pourquoi avant l'élection municipale, on était une priorité - et j'ai même des confirmations écrites ici - et puis, qu'après les élections, soudainement, on ne fait plus partie du décor? Est-ce que c'est parce que Ahuntsic n'a pas voté pour le maire de Montréal? C'est ça, moi, ma question », affirme Me Mourani. Fonds de stimulation de l'infrastructure En ce qui a trait au fonds de stimulation de l'infrastructure, Montréal a obtenu jusqu'ici 42 millions de dollars. Québec, avec le tiers de la population, en a obtenu presque autant, c'est-à-dire 40 millions de dollars. Les chiffres ont été colligés par Infrastructure Canada, qui gère ce programme destiné à financer des programmes de réfection routière. Renouvellement des conduites d'eau potable et d'eaux usées Quant au fonds pour la réfection des conduites d'eau, Montréal n'a obtenu que 36 millions de dollars. Selon Louise Harel, la chef de Vision Montréal, cela représente moins de 10 % des fonds disponibles pour le Québec. « C'est vraiment décevant, parce que les gouvernements supérieurs ont créé ces programmes-là, mais cela ne reviendra pas. Et ça ne reviendra pour un bon bout de temps, parce qu'on connaît les niveaux de déficits de Québec et d'Ottawa », souligne Mme Harel. Dans un sommaire décisionnel publié lundi, l'administration explique que les investissements importants réalisés par Montréal depuis trois ans ont rendu la tâche de la Ville plutôt difficile. L'ajout de projets supplémentaires aurait été compliqué pour deux raisons. Puisque la Ville défraie le tiers du coût des projets, l'ajout de projets aurait été prohibitif pour Montréal. De plus, ça aurait présenté un défi logistique pour la Ville, compte tenu du grand nombre de projets d'infrastructures déjà prévus avant le plan de relance fédéral. Fonds d'initiatives vertes Montréal figure mieux dans le cadre de ce programme, parce que la métropole a obtenu 67 millions de dollars pour des projets de traitement des déchets. La ville de Québec a obtenu seulement 16 millions dans le cadre de ce programme. L'administration Tremblay n'a pas répondu à nos appels. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/04/19/008-Gentile-infrastructure-Quebec.shtml
  6. Gracieuseté de Hildephonse Ce projet aurait occupé le site de l'actuel Roc Fleuri.
  7. L'article du journal dit que le restaurant serait à plus de 1000 pieds du sol. 1000 pieds donne environ 60 étages, alors j'ai indiqué 60 étages comme titre du projet, mais ça aurait été probablement plus étant donné que le tour se poursuit un peu plus au dessus du restaurant. 2 images.
  8. La région de Montréal aurait mieux résisté à la récession La Presse Canadienne Montréal Publié le 23 septembre 2009 à 19h01 | Mis à jour à 19h04 La région métropolitaine de Montréal a mieux résisté que les autres grandes agglomérations urbaines nord-américaines au ralentissement économique, au cours de la dernière année, selon des données compilées par l'organisme Montréal International. La baisse de 0,4 pour cent de l'emploi enregistrée par Montréal et sa région a été la moins élevée parmi les 20 principales métropoles du Canada et des Etats-Unis, pour la période de juin 2008 à juin dernier, a indiqué mercredi Montréal International, organisme issu d'un partenariat privé-public ayant pour mandat de contribuer au développement économique du Montréal métropolitain et d'accroître son rayonnement international. A titre de comparaison, la région de Toronto, seule autre agglomération canadienne à s'inscrire sur la liste, s'est classée au cinquième rang avec une baisse de 2,1 pour cent de l'emploi, durant la même période. Selon Montréal International, les grands projets d'investissements privés et publics, la diversité industrielle et le dynamisme des secteurs de haute technologie ont eu pour effet de soutenir l'activité économique et de limiter les pertes d'emplois dans la région montréalaise. «En période de ralentissement économique, comme celle que nous vivons depuis 2008, le choix d'un site d'investissement offrant à la fois une économie robuste et un excellent rapport qualité-coût, comme c'est le cas dans la région montréalaise, représente une option gagnante pour les sociétés étrangères», a affirmé le président-directeur général de Montréal International, André Gamache. «De ce point de vue, malgré le contexte mondial difficile, le Grand Montréal constitue toujours une destination de premier choix sur le continent nord-américain», a-t-il ajouté. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200909/23/01-904870-la-region-de-montreal-aurait-mieux-resiste-a-la-recession.php
  9. Atze

    Gillett Loft

    J'étais convaincu qu'il y avait déjà un fil pour se projet qui est terminé depuis un moment, mais je n'arrive pas à le trouver. Je n'avais jamais remarqué qu'il y avait un réservoir sur le toit de cet édifice et il semble avoir été restauré lors de la construction. Je lève mon chapeau au promoteur qui aurait pu l'enlever tout simplement. Il y en a très peu à Montréal de ces réservoirs.
  10. Mercredi 15 Juillet 2009 à 23h01 Un banquier de la LNH en déroute Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le groupe financier CIT est au bord de la faillite. Après avoir tergiversé pendant plusieurs jours, l’administration Obama a finalement choisi de ne pas se porter à la rescousse de cette institution financière vieille de 101 ans. Ce groupe financier établi à New York l’a révélé en tout début de soirée, après que la négociation de son titre à la Bourse de New York eut été arrêtée quelques heures plus tôt. Aux yeux du gouvernement, CIT ne tombe pas dans la catégorie des institutions financières qui sont dites trop importantes pour tomber. Son actif sous gestion, de 75 milliards de dollars américains, est le dixième de celui de la défunte banque d’affaires Lehman Brothers. Toutefois, la clientèle de ce banquier se compose essentiellement de PME américaines, notamment dans l’industrie de la guenille. Ainsi, la faillite de CIT, qui est presque jugée inéluctable par l’agence de notation de crédit Standard & Poor’s maintenant que le gouvernement américain l’abandonne à son sort, pourrait faire des ravages dans l’économie des États-Unis. D’ailleurs, et c’est ce qui intéressera les amateurs de hockey, CIT a financé nombre d’équipes de la Ligue nationale, à la suite de son acquisition en 1999 de la firme torontoise Newcourt Credit Group. En 2006, un consortium bancaire dirigé par CIT aurait consenti 240 millions US à George Gillett, le propriétaire du Canadien de Montréal, afin qu’il puisse refinancer le club, la division sports et spectacles et le Centre Bell, selon l’hebdomadaire américain SportsBusiness Journal. L’an dernier, CIT a offert une facilité de crédit de 100 millions de dollars à la Rexall Sports Corporation afin de permettre à cette entreprise propriété de Daryl Katz de mettre la main sur les Oilers d’Edmonton. (Lire le communiqué ici.) CIT Group aurait aussi financé les Sénateurs d’Ottawa, les Devils du New Jersey et les Nashville Predators, selon le Globe & Mail. «Cela va être horrible (pour la LNH), a confié à ce quotidien torontois un conseiller financier non identifié qui travaille auprès d’équipes de hockey. Je ne sais pas ce qui va arriver quand ces financements arriveront à échéance.»
  11. Roy d.g. et entraîneur de l'Avalanche? Dimanche 24 mai 2009 RDS.ca La saga Patrick Roy continue d'alimenter les rumeurs. Cette fois, il semble que Pierre Lacroix aurait fait tout une offre à l'ancien gardien de but. Selon ce que rapporte le journaliste Martin Leclerc sur le site Ruefrontenac.com, Roy aurait reçu une offre pour agir à titre de directeur général et entraîneur-chef de l'Avalanche. Toujours selon Ruefrontenac.com, Roy aimerait compter sur les services de son ancien coéquipier Sylvain Lefebvre et de l'actuel entraîneur-chef des Voltigeurs, Guy Boucher, pour l'appuyer derrière le banc. Rappelons que Boucher a affirmé à notre collègue Stéphane Leroux samedi, qu'il avait six offres sur la table mais qu'aucune décision n'était prise. Ni Roy ni Boucher n’ont pu être rejoints pour commenter.
  12. Terre-Neuve pourrait poursuivre Québec et Ottawa concernant un projet au Labrador Il y a 35 minutes SAINT-JEAN, T.N.-L. — Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador pourrait poursuivre en justice les gouvernements du Canada et du Québec relativement au projet hyrdoélectrique Upper Churchill Falls, au Labrador. La ministre provinciale des Ressources naturelles, Kathy Dunderdale, estime que Terre-Neuve-et-Labrador n'a peut-être pas reçu sa juste part des retombées depuis que le projet a commencé à produire de l'électricité il y a 35 ans. Elle a déclaré en entrevue que le projet, depuis le début, a essentiellement profité au "peuple du Québec". Le gouvernement terre-neuvien affirme avoir empoché environ 1 milliard $ pendant cette période, pendant que les coffres du Québec se seraient plutôt engraissés de 19 milliards $. L'entente vient à échéance en 2041. Mme Dunderdale est d'avis qu'Ottawa aurait pu intervenir dans le dossier pour s'assurer que Terre-Neuve recevrait une part équitable des retombées. Elle explique que l'éventualité d'une poursuite judiciaire est plus pertinente que jamais, maintenant que les Innus du Labrador réclament eux-mêmes une compensation relativement à ce projet. Les Innus affirment ne pas avoir été consultés avant le lancement du projet, qui leur aurait fait perdre 6000 kilomètres carrés de territoire.
  13. Publié le 14 mars 2009 à 07h38 | Mis à jour à 09h12 Un viaduc démoli sans appel d'offres Bruno Bisson La Presse Le ministère des Transports du Québec (MTQ) a fait démolir un viaduc, le mois dernier, sans passer par le processus normal d'appel d'offres. Il a invoqué l'urgence de faire disparaître cette structure usée qui surplombait l'autoroute 10, à Brossard, sur la Rive-Sud. Dans la nuit du 7 au 8 février, la firme Excavation René Saint-Pierre, de Sherbrooke, a procédé à la démolition du pont d'étagement de la montée Gobeil - boulevard des Prairies, au-dessus de l'autoroute 10. L'ouvrage était déjà fermé à la circulation depuis plus d'un mois. La firme a touché un total de 258 354$, selon le Ministère. Ces honoraires incluaient le travail de démolition comme tel, qui a pris moins de 10 heures, ainsi que la préparation du chantier, la construction d'un chemin temporaire et la gestion de la circulation. En raison de l'emplacement du viaduc, l'A-10 a été fermée toute la nuit, à partir de l'intersection de l'autoroute 30. Le viaduc surplombait l'A-10 à quelques centaines de mètres seulement du carrefour des autoroutes 10 et 30. Il était assez peu fréquenté. À peine 200 véhicules l'utilisaient chaque jour, en moyenne. Le pont se raccordait, à l'est, à la montée Gobeil qui mène vers la Grande-Allée, à la limite de l'arrondissement de Saint-Hubert. À l'ouest, le boulevard des Prairies traversait un rare secteur non loti de Brossard jusqu'à la municipalité voisine de La Prairie. Construit en 1963, ce pont de béton a fait l'objet de plusieurs inspections au cours des dernières années. Dès 2006, le MTQ a constaté la détérioration de son tablier, qui s'est confirmée un an plus tard à l'occasion d'une nouvelle inspection. En 2008, le MTQ a demandé à une firme externe d'évaluer la capacité portante du viaduc. Le 19 décembre 2008, un rapport préliminaire a recommandé sa fermeture. Le temps de préparer un chemin de déviation et d'informer la municipalité de l'état de la structure, la circulation y a été interdite dès le 23 décembre. Le pont n'a jamais été rouvert. Un mois plus tard, le 22 janvier, le rapport d'inspection des consultants du MTQ a recommandé que l'ouvrage soit démoli dans les plus brefs délais. À cette étape, le MTQ aurait normalement dû faire un appel d'offres pour accorder le contrat de démolition à la compagnie qui aurait proposé le meilleur coût, parmi les soumissions conformes reçues. Pour éviter des délais de plusieurs semaines, le MTQ peut aussi, à l'occasion, inviter trois entreprises à soumissionner dans le cadre d'un appel d'offres sur invitation, ce qui raccourcit le délai d'intervention mais exige quand même un certain temps. Selon un porte-parole du MTQ, Paul-Jean Charest, le Ministère a plutôt décidé de confier directement le contrat à Excavation René Saint-Pierre sans solliciter d'autres offres, en invoquant une exception à la Loi sur l'attribution des contrats gouvernementaux qui met en cause «la sécurité des personnes et des biens». M. Charest demeure toutefois assez vague sur la nature de cette urgence. Il souligne seulement que les appareils sur lesquels s'appuyait le tablier du viaduc étaient en très mauvais état. Quant au choix de la firme, Excavation René Saint-Pierre a été choisie tout simplement parce qu'elle était libre et que l'équipement nécessaire à la démolition du viaduc était tout près, a expliqué M. Charest. La compagnie procédait, durant cette période, à la démolition d'un autre pont d'étagement du MTQ dans la municipalité de Mont-Saint-Hilaire, à 30 km du viaduc de la montée Gobeil. «Ils ont terminé le contrat de Mont-Saint-Hilaire le 1er février, a expliqué Paul-Jean Charest. Le lendemain, leur personnel était sur la montée Gobeil pour préparer la démolition du viaduc de Brossard. La machinerie nécessaire était déjà rendue, ou presque. Une intervention aussi rapide était impossible en suivant la procédure normale. Même avec un appel d'offres sur invitation, il aurait fallu une ou deux semaines de plus pour attribuer le contrat, sans parler de la préparation du chantier.» Le porte-parole a tenu à préciser que la pratique courante dans ce type de dossier consiste à fermer la structure affaiblie, à préparer le projet de remplacement et à confier le mandat d'une nouvelle construction. La compagnie qui obtient le mandat de reconstruction doit alors démolir le vieil ouvrage ou confie cette tâche à un sous-traitant. C'est ce qui s'est produit avec plusieurs des ponts d'étagement au-dessus de l'A-10 au cours des trois dernières années. À Saint-Alphonse-de-Granby et à Magog, en Estrie, des ouvrages désaffectés, interdits à toute circulation, sont restés en place durant des mois avant leur démolition.
  14. N'eût été de la hausse des coûts de l'alimentation, le taux annuel de l'inflation aurait été pratiquement à 0% en janvier au Canada. Pour en lire plus...
  15. Des écologistes saluent l'abandon d'un projet d'oléoduc qui aurait fait transiter entre l'Ontario, le Québec et le Maine le polluant pétrole issu des sables bitumineux albertains. Pour en lire plus...
  16. Acculée au mur, la compagnie aurait encore des chances de survivre mais sous une forme très diminuée, suggèrent des analystes. Pour en lire plus...
  17. La plus grosse banque suisse devrait annoncer une perte globale de 20 milliards de francs suisses (21,5 G$ CAN), le pire résultat de l'histoire de son pays. Pour en lire plus...
  18. La poursuite réclame l'incarcération du financier américain pour avoir violé les conditions de sa mise en liberté sous caution. Il aurait signé pour 173 millions de chèques à des proches après son arrestation. Pour en lire plus...
  19. Il s'agirait d'emplois contractuels. Ces suppressions auraient été effectuées depuis le mois d'octobre. La compagnie refuse toutefois de commenter. Pour en lire plus...
  20. La vice-première ministre Nathalie Normandeau indique que le gouvernement souhaite procéder le plus rapidement possible à la nomination d'un nouveau président. Pour en lire plus...
  21. La SCHL aurait ignoré des mises en garde d'Ottawa Mise à jour le jeudi 18 décembre 2008 à 11 h 30 La décision du gouvernement Harper d'autoriser, en 2006, l'arrivée d'entreprises américaines sur le marché canadien de l'assurance hypothécaire aurait conduit la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL) à prendre des risques. Selon ce qu'explique le Globe and Mail, jeudi, les gestionnaires de la SCHL auraient sciemment ignoré, ces deux dernières années, les mises en garde du gouvernement fédéral quant à leur décision d'assurer des prêts hypothécaires à haut risque. Des sources anonymes proches du dossier ont affirmé que la SCHL serait en désaccord avec Ottawa sur le risque posé par les hypothèques amorties sur 40 ans et celles accordées sans une mise de fonds minimale. En fait, la SCHL, selon un responsable du gouvernement fédéral, serait même l'assureuse de près des deux tiers des prêts hypothécaires amortis sur 40 ans qui ont été accordés au pays lors des six premiers mois de l'année. Et si la SCHL ne semblait guère prendre au sérieux les mises en garde quant à la dangerosité potentielle de tels produits, en juillet dernier, le ministre canadien des Finances Jim Flaherty a décidé de prendre le taureau par les cornes et a mis fin, en octobre dernier, aux garanties de prêts sur 40 ans. Selon ce qu'a appris le quotidien torontois, il semblerait que la SCHL, une société de la Couronne créée en 1954, a commencé à adopter le style des assureurs américains lorsque ces derniers ont été autorisés, en 2006, à entrer sur le marché canadien. Les gestionnaires de la SCHL étaient d'autant plus inquiets, toujours selon des sources citées par le Globe, qu'une étude gouvernementale interne qui circulait à l'époque faisait état de la possible privatisation de plusieurs agences fédérales, dont la SCHL. Et c'est la crainte d'être privatisée qui, selon des observateurs anonymes proches de la SCHL, a convaincu l'agence qu'elle se devait d'être perçue somme tout aussi efficace que la compétition.
  22. Soucieuse de préserver sa position sur un marché de plus en plus concurrentiel, la Société canadienne d'hypothèques et de logement aurait assuré un grand nombre de prêts hypothécaires à haut risque. Pour en lire plus...
  23. Chrysler Canada aurait tout récemment averti qu'à défaut d'aide financière de 1,6 G$ CAN des gouvernements, elle pourrait fermer deux usines d'assemblage en Ontario. Pour en lire plus...
  24. La Caisse se serait départie depuis deux mois pour environ 10 G$ d'actions afin de s'assurer des rentrées d'argent pour faire face au recul des marchés financiers. Pour en lire plus...
  25. Trois grands constructeurs automobiles américains croient que leur faillite aurait des effets dévastateurs sur l'économie. Par ailleurs, le secrétaire américain au Trésor répète son plan de sauvetage n'est pas une panacée. Pour en lire plus...
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