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loulou123

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  1. un nouveau art (le mur de la paix ) dans le métro a vu le jour , dans la station Berri -uquam .http://www.stcum.qc.ca/info/infostm/2007/070926.pdf
  2. Le Journal de Montréal 26/09/2007 La marque française Zilli, qui se targue de fabriquer les vêtements pour hommes les plus luxueux du monde, a choisi Montréal comme terre d’accueil pour sa première boutique en Amérique du Nord. Les vêtements vendus par Zilli sont tous fabriqués à la main à Lyon ou en Italie. Et les matières utilisées sont loin d’être banales: python, crocodile, autruche d’Afrique du Sud, zibeline de Russie, galuchat, guanaco, soie de Chine. Même le castor du Canada fait partie des matières prisées par l’entreprise familiale privée fondée en 1970. Tout ça a évidemment un prix. Choisis au hasard dans la boutique de la rue Sherbrooke Ouest, un veston de cuir affichait un prix de 8 575 $ ; des souliers, 1 595 $ ; un chandail avec appliques de cuir, 1 092 $ ; un jeans, 960 $ ; une chemise, 745 $. «Pour porter Zilli, il faut avoir du pouvoir!», a répété le président de l’entreprise, Alain Schimel, rencontré par Journal quelques heures avant l’ouverture officielle organisée hier en fin d’après-midi. Conscient que Montréal n’est pas Londres ou Rome, le dirigeant n’affiche néanmoins aucune crainte quant à la rentabilité de sa nouvelle boutique. «Il y a beaucoup d’étrangers à Montréal, 40% des clients seront des touristes. C’est-à-dire des hommes d’affaires de passage, des gens qui ont réussi.» Un pas vers les États-Unis En mettant le pied au Québec, Zilli entame son développement nord-américain. Les prochaines cibles seront New York, Beverly Hills et Las Vegas. La croissance se poursuit aussi dans les marchés chinois et indien. «Le focus est partout», résume M. Schimel. À l’heure actuelle, Zilli possède 25 boutiques dans les plus grandes villes de la planète et 15 autres, hors-taxes, dans autant d’aéroports. Les collections sont également offertes dans 160 points de vente dans une quarantaine de pays. 40% de croissance par année La planète s’enrichit, la demande pour le luxe s’accroît, et Zilli en profite abondamment. En 2006, son chiffre d’affaires a atteint 39 millions d’euros (55 M$ CA). «Nous affichons une croissance de 40% par année depuis environ 5 ans», a précisé le président. La vente de vêtements féminins (que des manteaux, pour l’instant) représente environ 5% du chiffre d’affaires. «Le développement de la marque à l’international accroît la demande d’une véritable collection pour femmes», lit-on dans le dossier de presse. √ Le symbole de Zilli, affiché sur les vêtements, est le lingot d’or.
  3. 22/09/2007 Un nouveau marché fait son apparition à Montréal. Il s'agit du marché Frontenac, situé près de la station de métro du même nom. Le marché a ouvert ses portes ce matin. Il sera ouvert également de 10 à 16 heures, le 29 septembre et le 6 octobre. Dès le printemps prochain, les maraîchers seront sur place tous les samedis
  4. 21/09/2007 Les travaux du nouveau Stade Saputo sont maintenant complétés à 75% et se déroulent toujours dans les délais prévus. La construction devrait d’ailleurs être finalisée au mois de décembre. Parmi les plus récents travaux effectués, la surface gazonnée de 120 x 80 mètres a été apposée (terrain 110 x 70 mètres). De plus, la structure des bureaux administratifs est maintenant érigée. «Je suis très satisfait car nous respectons les délais que nous nous étions fixés, a déclaré le vice-président exécutif de l’Impact de Montréal et du Stade Saputo Richard Legendre. Puisqu’il s’agit de gazon naturel, il était important que la pose se fasse en septembre afin qu’il puisse prendre racine avant l’hiver. Avec le gazon, le coup d’œil est spectaculaire et on voit vraiment le stade prendre forme.» Situé dans le secteur bordé par les rues Sherbrooke et Viau, le Stade Saputo sera doté de 13 000 sièges, soit une augmentation de 2500 sièges par rapport au Complexe sportif Claude-Robillard. Rappelons que le projet de construction, évalué à 15 millions $, est entièrement financé par des fonds privés. Notons que 7,5 millions $ seront avancés par la famille Saputo au moyen d’un don personnel. Ce nouveau stade sera le domicile de l’Impact à partir de la saison 2008. Pour en savoir plus ... http://www.stadesaputo.com/
  5. Le Journal de Montréal 21/09/2007 Au lieu d'un super-pont à dix voies, serait-il plus rentable de remplacer le pont Champlain par un tunnel, comme celui de Louis- Hippolyte-Lafontaine ? Le maire de Laval et vice-président de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM), Gilles Vaillancourt, croit que la question se pose en comparant l'état des deux structures après plus de 40 années d'existence. «Je ne dis pas que c'est le choix à faire. Je dis qu'il est pertinent d'en faire l'étude. Comme région, on doit se demander lequel des choix serait le plus économique à long terme», a observé le maire lavallois en entrevue au Journal, hier. Le maire Vaillancourt avait d'ailleurs fait remarquer, il y a un mois, que l'espérance de vie utile du pont Champlain était réduite à cause du volume important d'autos et de camions qui y circulent, et qu'il était question de le remplacer. Il est d'autant mieux placé pour le savoir qu'il est aussi président de la Coalition pour le renouvellement des infrastructures. Le vice-président de la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain, André Girard, a d'ailleurs confirmé hier que le projet de nouveau pont était celui privilégié par la société d'État fédérale. Le nouveau pont permettrait de créer des voies réservées pour le transport en commun tout en réglant les problèmes d'usure prématurée du pont Champlain, pour environ le même coût. Le maire lavallois rappelle que personne ne se demande si le tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine va tomber. En plus, un pont, c'est très laid. Et en raison de la voie maritime, il doit être très haut. «Il serait alors peut-être plus simple de passer sous la voie maritime. Les projets de partenariats public-privé (PPP) nous auront au moins appris cela: il faut considérer ces grands projets non pas seulement pour leurs coûts de construction, mais aussi pour leur entretien. Tant qu'à étudier l'opportunité d'un nouveau pont, aussi bien évaluer celle d'un tunnel, si à long terme ça peut être plus économique. C'est un ouvrage qui va servir des générations», rappelle M. Vaillancourt. Pas tout de suite Au gouvernement du Canada, le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, s'est réjoui que les gestionnaires du pont Champlain évaluent les meilleures options possibles sur l'avenir des infrastructures qu'ils ont à gérer. Cela dit, comme le pont Champlain est encore bon pour 15 ans, il n'est pas question de le remplacer à court terme. À Québec, la ministre des Transports, Julie Boulet, a fait savoir que le gouvernement souhaite surtout voir réaliser le projet de trains de banlieue, que ce soit sur l'estacade ou sur un nouveau pont.
  6. Le Journal de Montréal 21/09/2007 À l'heure du questionnement sur la laïcité dans tous les espaces publics, la Ville de Montréal entreprendra la semaine prochaine des travaux majeurs de 1,5 M$ pour garder debout la croix du mont Royal. La conseillère municipale et mairesse du Plateau-Mont-Royal, Helen Fotopulos, responsable du développement du mont Royal, a confirmé la nouvelle au Journal de Montréal. La structure a 80 ans et elle devient menaçante pour les visiteurs. Selon un document interne de l'administration de Montréal, «la corrosion est telle qu'elle pourrait engendrer des risques pour les visiteurs et les responsables de l'entretien». La croix nécessite donc des travaux de restauration urgents. «Si on repousse encore les travaux, de dire Mme Fotopulos, les interventions deviendront encore plus onéreuses et le danger augmentera dans son périmètre. » Les coûts de la restauration seront supportés par la Ville de Montréal et le ministère de la Culture, «qui veulent préserver et mettre en valeur ce patrimoine naturel et historique du mont Royal», indique la conseillère. Son état général requiert une restauration majeure pour limiter sa détérioration, due surtout à la corrosion. Les travaux, qui seront lancés dans quelques jours par la firme Ventec, permettront de restaurer les éléments stabilisateurs par le remplacement des ancrages et des colonnes principales, qui comptent 200 membrures et des centaines de rivets. L'éclairage Le système d'éclairage sera démantelé de la croix géante, qui fait 100 pieds de hauteur avec des bras d'une envergure de 32 pieds. Cet éclairage sera remplacé par un système qui permettra d'exécuter facilement les manoeuvres d'entretien et les changements de couleurs. La structure métallique réparée sera repeinte au printemps 2008, et c'est alors qu'on fera un nouvel aménagement périphérique plus agréable pour les visiteurs, qui doivent actuellement rester à distance à cause d'une clôture dissuasive. La construction de la croix du mont Royal a été financée en grande partie par une collecte de fonds publique organisée par la Société Saint-Jean-Baptiste au début des années 1930. Elle remplaçait une première croix de bois qui avait été plantée par Paul de Chomedey de Maisonneuve, fondateur de Montréal en 1642. Lors d'une importante inondation, au début de Ville-Marie, il avait promis de planter une croix sur la montagne si l'eau du fleuve se retirait. Ce qui s'était réalisé.
  7. 18 septembre 2007 Le mur du Plateau sera végétalisé au printemps 2008. Le verdissement, originalement prévu au montant de 175 225$, coûtera trois fois plus cher, soit 400 000$. Le mur de béton, qui sépare les arrondissements Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, a été érigé afin de réduire le bruit des trains pour les résidants du Plateau-Mont-Royal. Tout en réduisant le bruit au sud, ce mur crée aussi un effet de réverbération pour les résidants de la Petite-Patrie, au nord des voies ferrées. Ces derniers se plaignaient de la nuisance acoustique. En pleine campagne électorale, en 2005, le maire de Montréal, Gérald Tremblay, promettait de «stopper» la construction du mur. L'année suivante, le promoteur en achevait la construction sur près d'un kilomètre et d'une hauteur de 4,5 mètres. Au mois de juin 2006, les deux maires des arrondissements, André Lavallée et Helen Fotopulos, annonçaient la végétalisation du mur acoustique. Le couvert végétal embellirait le mur de béton. De plus, des tiges de saule, doublées de vigne, plantées au pied du mur, rendraient impossible l'accès au mur pour les graffiteurs. «La population de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie a maintes fois décrié la laideur de la vue du côté de la voie ferrée», précise le sommaire décisionnel. Coût Le coût de 400 000$ sera réparti en trois. Le budget proviendra du Programme triennal d'immobilisation selon la répartition suivante: 50% pour la ville centrale, 25% pour l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie et 25% pour l'arrondissement Plateau-Mont-Royal. Les travaux seront réalisés par l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, au printemps 2008. «Les travaux de plantation doivent absolument être effectués d'ici au 15 mai 2008, sinon le succès du projet est compromis», peut-on lire dans le sommaire décisionnel.
  8. Le Journal de Montréal 20/09/2007 Il n'y aura pas de train léger sur l'estacade du pont Champlain. Le projet est trop cher (plus d'un milliard de dollars) et se heurte à deux problèmes techniques majeurs, a appris Le Journal de Montréal. Cela même si, après 12 millions de dollars d'études, le projet est considéré comme rentable et faisable. Mais compte tenu du coût, la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain n'y est «pas particulièrement favorable». «Ce serait trop cher, car il faudrait modifier l'estacade à un tel point que ça reviendrait au même prix que de construire un nouveau pont. Or, avec l'estacade, on ne fait qu'enlever la voie réservée pour autobus aux heures de pointe sur le pont Champlain», rappelle le vice-président aux communications de la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain, André Girard. Pente et piles Au plan technique, le premier problème est le dégagement nécessaire au-dessus de la voie maritime du Saint- Laurent pour laisser passer les navires marchands. Les trains ne peuvent gravir des pentes de plus de 5%, sauf exception. Il faudrait soit accélérer le train et y ajouter un système de freinage particulier, soit allonger la descente vers la Rive-Sud bien trop loin. Le second problème concerne la consolidation de l'estacade. Les piles sont trop faibles: il faudrait les grossir et les ancrer davantage.
  9. La Presse Canadienne Le jeudi 20 septembre 2007 La possibilité de construire un nouveau pont à huit ou dix voies pour remplacer le pont Champlain n'est nullement envisagée par Ottawa.De passage à Kahnawake, jeudi matin, le ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux et responsable de la région de Montréal, Michael Fortier, a clairement indiqué qu'il n'était pas question pour Ottawa de se lancer dans un tel projet. M. Fortier a expliqué que le tablier du pont avait fait l'objet d'une réfection majeure il y a 15 ans, qu'il était encore viable pour au moins 15 ou 20 autres années et qu'il était prématuré de spéculer sur les scénarios qui seront éventuellement retenus en 2020 ou en 2025. Le ministre a par ailleurs fait valoir que le simple fait de compléter l'autoroute 30, qui permettra de contourner l'ile de Montréal, désengorgera complètement le pont Champlain. Le Journal de Montréal rapportait jeudi qu'Ottawa songeait à construire un nouveau pont de un milliard $ entre Montréal et sa rive-sud plutôt que d'investir dans une réfection trop coûteuse du pont Champlain, et que l'idée de faire rouler un train léger sur l'estacade serait abandonnée. Le quotidien, se basant sur une étude dont la Société des ponts Jacques-Cartier et Champlain a confirmé l'existence, rapportait que la nouvelle structure, qui serait située un peu en amont du pont actuel, compterait de huit à dix voies de circulation, dont deux qui seraient réservées au transport en commun. Le Journal précisait cependant que le ministre des Transports, Lawrence Cannon, avait réclamé une étude plus approfondie. Le ministre Fortier se trouvait dans la réserve mohawk de la rive-sud pour y annoncer l'octroi de 10 millions $ pour la construction d'une nouvelle école secondaire. L'école actuelle se trouve dans un campus de 14 bâtiments éparpillés sur plusieurs hectares de terrain, dont plusieurs sont désaffectés et certains sont même complètement ou partiellement condamnés. L'école Kahnawake Survival School, qui enseigne la langue et les traditions mohawks en plus du curriculum prescrit par le ministère de l'Éducation, accueille présentement 250 étudiants. Les autorités de la réserve, où vivent 8000 autochtones, estiment que le nouvelle école accueillera près de 450 étudiants, faisant valoir que plusieurs jeunes choisissent de fréquenter les écoles du réseau scolaire public avoisinant plutôt que l'école de la réserve en raison de son piètre état.
  10. Lundi 17 Septembre 2007 SELON LE MAGAZINE CANADIAN BUSINESS La Ville de Longueuil arrive au dixième rang des villes canadiennes les plus attrayantes pour les gens d'affaires. C'est ce que révèle le classement que vient de publier le réputé magazine Canadian Business. " Notre ville est située à moins d'une heure des frontières américaines, Longueuil est le carrefour d'une activité économique prospère. Elle rayonne sur la scène canadienne par la diversité et l'avant-gardisme des 11 000 industries et entreprises établies sur son territoire. De plus, elle est dotée d'une zone aéroportuaire en développement, d'un réseau autoroutier avantageux, d'une station de métro qui donne accès à tout le réseau de transport régional ainsi que de riches territoires agricoles. Avec le nouveau campus Longueuil de l'Université de Sherbrooke, dont la construction est en cours, elle confirmera en outre son statut de pôle du savoir ", a indiqué le maire de Longueuil, Claude Gladu. Le classement du magazine Canadian Business a été réalisé à l'aide de cinq facteurs principaux, soit le coût relatif aux opérations, le taux de chômage, le taux de criminalité, la croissance des permis de construction et le coût de la vie. Rappelons que le développement immobilier à Longueuil se porte très bien et qu'il a poursuivi sa lancée en 2006, franchissant un nouveau record de valeur totale de permis de construction qui a atteint 270 millions de dollars. De plus, autre facteur déterminant dans la présente étude, le taux de criminalité en 2006 a connu une seconde baisse consécutive, ce qui porte à 10 % la diminution globale des crimes depuis deux ans sur le territoire de l'agglomération de Longueuil.
  11. La Presse Le dimanche 16 septembre 2007 L’administration Tremblay-Zampino a demandé au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) de réduire son budget de 20 millions de dollars l’an prochain. Tous les services centraux ont d’ailleurs reçu l’ordre de couper dans le gras en 2008 pour réduire leurs dépenses de 70 millions, a appris La Presse. Montréal poursuit l’exercice de rationalisation entrepris l’année dernière. Objectif : économiser 300 millions et éliminer 1000 postes d’ici 2009. Le président du comité exécutif, Frank Zampino, précise que les contraintes budgétaires sont cette année de 30 millions pour les arrondissements et de 70 millions pour les services centraux. L’année dernière, le budget des arrondissements était de 870 millions et celui des services centraux, de 1,85 milliard. Le responsable des finances au comité exécutif précise que plus le budget d’un service est imposant, plus les restrictions le sont. « C’est un exercice exigeant. C’est encore plus exigeant en 2008 parce que, une fois qu’on a réalisé 100 millions d’économies en 2007, ça devient plus compliqué la deuxième année et encore plus compliqué en 2009 », explique M. Zampino. Chaque année, les services établissent un budget qui tient compte des augmentations de salaire des employés, de l’inflation et de la croissance du coût des contrats. Pour la deuxième année consécutive, l’administration Tremblay-Zampino leur accorde toutefois moins d’argent que ce qu’ils prévoient. « Ils doivent proposer des mesures de rationalisation », insiste M. Zampino. Il ajoute que l’abolition de postes par attrition donne tout de même de l’oxygène aux services. Avec son budget de 506 millions en 2007, le SPVM est l’un des services les plus touchés par les compressions budgétaires. La Ville lui demande de réduire ses dépenses de 20 millions en 2008. M. Zampino soutient que le budget de la police atteindra tout de même environ 550 millions. Le directeur du SPVM, Yvan Delorme, tente quant à lui d’échapper à ces compressions, a-t-on appris. Il fait valoir que le service de police rapporte davantage de revenus qu’auparavant. L’affectation d’une escouade de policiers à la sécurité routière a fait grimper le nombre de contraventions à Montréal. En 2006, les policiers en ont distribué près de 550 000, une augmentation de 62 % par rapport à l’année précédente. Les revenus ont ainsi bondi de 41 à 71 millions de dollars. Avec les contraventions distribuées par les agents de stationnement, les revenus se sont chiffrés à 124 millions en 2006, soit 3 % du budget de la Ville. Les données pour 2007 ne sont pas encore connues. Le SPVM propose en outre d’augmenter ses revenus en commercialisant ses services. Dans le budget 2007, les revenus liés à la commercialisation se chiffraient à environ 1,6 million. Depuis son arrivée au pouvoir, en 2002, l’administration Tremblay-Zampino a toujours prévu des hausses de 2 à 5 % des dépenses globales dans ses budgets. En 2007, la Ville a toutefois fait face à un déficit appréhendé de 394 millions. Elle avait équilibré son budget notamment en gelant les salaires des employés et les budgets accordés aux arrondissements. La croissance des dépenses avait ainsi été stoppée à un peu moins de 2 %. Plusieurs arrondissement ont toutefois adopté des taxes locales pour compenser. Depuis sa réélection, le maire Gérald Tremblay peine à équilibrer son budget sans augmenter les taxes. Il s’était engagé à geler le fardeau fiscal global des Montréalais durant tout son mandat. Montréal pourrait obtenir de nouveaux pouvoirs de taxation si le projet de loi 22 est adopté cet automne.
  12. Le Journal de Montréal 15/09/2007 Les marchands de 13 artères commerciales de Montréal souhaitent que la Ville élimine les parcomètres les soirs de semaine et les dimanches. Claude Rinville, de la SDC Quartier latin et président de l'Association des SDC, a déclaré au Journal de Montréal que les affaires vont assez mal pour certains commerçants depuis la hausse des tarifs. «Nous avons maintenant la preuve, selon nos études, que les tarifs et les horaires des parcomètres nuisent aux affaires», dit-il. «Donnez-nous un break, lance-t-il à l'intention du maire, et fermez vos parcomètres les lundis, mardis et mercredis soir ainsi que les dimanches.» Claude Rinville affirme qu'une étude démontre clairement que les affaires ont baissé «même chez les gros commerces» durant ces périodes où le stationnement était gratuit jusqu'à l'année passée. «Le dimanche, les clients ont déserté les rues Saint-Denis et Sainte-Catherine et plusieurs autres dans tous les arrondissements à cause des parcomètres. Même chose le soir», soutient-il. À l'hôtel de ville, le conseiller Alan De Sousa, responsable du développement économique, n'a pas voulu se prononcer sur le sujet. «Si M. Rinville a quelque chose à nous proposer, nous étudierons sérieusement sa demande», répond M. De Sousa. Les grandes surfaces Le président de l'Association des SDC souligne par ailleurs que les commerçants craignent aussi beaucoup la multiplication des grandes surfaces commerciales à Montréal. "Deux projets en particulier suscitent des craintes. Celui du redéveloppement d'un vaste secteur dans le sud-ouest et celui de SmartCenters dans le quartier Saint-Michel. «Les stationnements de ces géants sont toujours pleins les soirs et les fins de semaine, tandis que nos clients, dans les rues commerciales, doivent payer pour encourager les commerces locaux», déplore- t-il.
  13. Je vien de voir la publicité sur LCN sur le slr a longeueil voila le lien je l est rouver aussi sur youtube
  14. Oui beau travail Hercule , merci pour cette tourné , pour la Ruelle en direction de la Rue Saint-Denis ,elle a été trés bien faite ,c est la premiére fois que je la voit .
  15. 14/09/2007 Le quartier Dix30 a ouvert ses portes, il y a un an, à Brossard, au sud de Montréal, et le développement de l'endroit se poursuit. Plusieurs craignaient que les commerces avoisinants ne survivraient pas à cette nouvelle concurrence. Ce n'est pas le cas, pour l'instant, mais ça ne veut pas dire que la venue du nouveau voisin est appréciée. La Rive-Sud a donc un centre-ville tout neuf, où l'on trouve des boutiques, des restos et du divertissement, ce qui faisait trembler certains commerçants du boulevard Taschereau. «L'arrivée du quartier Dix30 n'a certainement pas l'impact catastrophique que certains avaient prédit», croit Jean-Marc Pelletier, maire de Brossard. Même son de cloche du côté de centres d'achats avoisinants. L'achalandage, semble-t-il, se maintient. Mais pour les plus petits commerçants et certains restaurateurs, il faut faire de grands efforts pour s'assurer la fidélité de leur clientèle. «C'est sûr que le gâteau, au lieu de se le partager entre quelques-uns, il se partage entre beaucoup, beaucoup, affirme Eric Luksenberg, restaurateur. Je suis persuadé que si Dix30, aujourd'hui, n'existait pas, on aurait peut-être un 15 à 20 % de clientèle de plus dans nos murs. C'est sûr et certain.»
  16. Des milliers de commerçants du centre-ville montrent les dents et font front commun face à l'administration municipale. Fatigués du laxisme des élus municipaux qui font la sourde oreille face à leurs revendications, les membres de 13 sociétés de développement commercial de la ville unissent leurs forces pour former l'Association des SDC de Montréal. Cette nouvelle association regroupe près de 12 000 commerces qui consacrent chaque année 10 millions $ de fonds privés au succès des artères commerciales. Cette nouvelle association entend faire des représentations communes sur plusieurs dossiers comme la nouvelle tarification des parcomètres au centre-ville. Plusieurs prétendent que l'augmentation des coûts des parcomètres a eu un effet néfaste sur l'achalandage dans leur secteur et que les pertes de revenus sont considérables.
  17. 13 septembre 2007 Devant l’engouement des acheteurs pour les condominiums à haut rendement énergétique de la première tour du complexe résidentiel Le Vistal, la corporation Proment devance son échéancier pour la construction du deuxième immeuble de ce complexe résidentiel. Les travaux devraient donc débuter en octobre prochain, soit cinq mois avant la date prévue. C’est au cours de l’automne 2008 que devrait s’achever la construction de la première tour, alors que la deuxième phase devrait être complétée durant l’été 2009. La mise en vente des 160 unités de cette deuxième tour a elle aussi été devancée pour débuté le dimanche 9 septembre dernier. Les deux édifices représentent un investissement d’environ 160 millions $. Le promoteur estime être toujours sur la bonne voie pour l’obtention de la première certification LEED pour une tour d’habitations au Québec pour la phase I du Vistal. La construction «verte» Le succès des ventes pour la première phase du Vistal témoigne de l’intérêt des acheteurs pour la construction «verte». «Les acheteurs viennent surtout parce qu’il s’agit d’un projet réalisé selon les critères de qualité qui ont fait la réputation de la Corporation Proment, a expliqué Louis-Joseph Papineau, vice-président développement et construction de l’entreprise. Le site riverain, les vues de la ville et le magnifique centre sportif constituent toujours les motifs essentiels poussant les gens à acheter. Nous remarquons toutefois que le côté écologique de l’édifice est de plus en plus prisé par les clients et nous sommes persuadés que cette tendance sera de plus en plus marquée.» Dès le lancement de la première phase en septembre 2006, les condominiums du Vistal se sont envolés rapidement, et ce malgré le ralentissement du marché de la copropriété neuve dans la région de Montréal. Près de la moitié des 160 unités de la première tour ont trouvé preneurs, en quelques semaines et, présentement, il ne reste plus qu’une quarantaine d’unités. Cette tendance confirme que la clientèle cherche de plus en plus des moyens de réduire sa consommation en énergie et souhaite vivre dans un environnement sain. Le promoteur est d’ailleurs persuadé que les édifices certifiés LEED deviendront la norme dans l’avenir, au même titre que les édifices ayant une hauteur de plafond de 2,45 mètres (8 pieds) qui afficheront une valeur moindre que ceux d’une hauteur de 2,75 mètres (9 pieds).
  18. Le Journal de Montréal 13/09/2007 La société immobilière Cadillac Fairview envisage d’agrandir les Galeries d’Anjou. Et le détaillant Simons est l’un des locataires convoités, selon des renseignements obtenus par le Journal. Le projet d’agrandissement du centre commercial est encore à un stade «embryonnaire», et «rien n’est signé». Néanmoins, la recherche de détaillants intéressés à louer les nouveaux locaux est déjà commencée. Des discussions ont notamment été entreprises avec la chaîne Simons, ont confirmé des sources qui ont requis l’anonymat. Le détaillant de Québec est déjà présent dans deux des quatre Centres à la mode détenus par Cadillac Fairview: le Carrefour Laval et les Promenades St-Bruno. À Laval, une toute nouvelle aile avait été construite en 2002 au coût de 88 M$ pour accueillir Simons (de même que Zara et 78 autres boutiques). L’agrandissement possible des Galeries d’Anjou ne serait toutefois pas d’une telle envergure, selon nos informateurs. Peter Simons, président de la chaîne, n’a pas voulu commenter la nouvelle. À l’heure actuelle, son entreprise possède sept magasins au Québec. √ Après avoir exploité des magasins dans la région de Québec pendant 159 ans (soit depuis 1840), Simons a fait ses premiers pas à Montréal en ouvrant un magasin sur la rue Sainte-Catherine, en 1999.
  19. Presse Canadienne 13/09/2007 Le comité de revitalisation du Vieux Moulin de Saint-François, dans l'est de Laval, a toujours bon espoir de mener son projet de reconstruction à terme. Le 24 avril dernier, une rencontre d'information avait sondé l'intérêt des citoyens pour la reconstruction du bâtiment sur l'archipel du Mitan. Quelque 250 personnes avaient répondu à l'appel. Le curé de la paroisse Saint-Noel Chabanel, Gérald Dionne, est convaincu que le projet intéresse la population mais il rappelle que des autorisations sont requises car pour le moment, rien ne peut être construit sur l'île. Jacques Saint-Jean, conseiller municipal de Saint-François, explique que des démarches sont faites auprès des différents députés, autant du côté provincial que fédéral. Le Vieux Moulin de Saint-François, démoli en 1960, avait été le premier moulin à farine de l'île Jésus.
  20. OUI , trés bon travail ,c est trés bien fait ,c est un beau réve et s il se réalisea ,ca sera plus beau:rolleyes: .
  21. Pareil pour moi , Je préfère attendre qu'on relie MTL avec NYC avec un TGV ,c est mieu d avoir un simple train rapide entre MTL et Qué.
  22. Le Journal de Montréal 11/09/2007 La Ville de Montréal dépensera environ 7 M$ pour recréer la seule entrée principale du mont Royal par le centre-ville, celle de la rue Peel, et pour réaménager les aires de jeux et de pique-nique autour du lac aux Castors. L'administration veut toutefois associer la population à ces projets qui feront l'objet d'une consultation. Les idées de base seront présentées mais les intéressés pourront faire connaître leur opinion (http://www.ocpm.qc.ca pour tous les détails de la consultation) sur les projets. L'entrée Peel a été complètement oubliée au fil des ans mais l'administration veut y redonner toute sa splendeur au coeur des gratte-ciel du centre-ville. Le projet couvre huit hectares, soit 4% de la superficie totale du grand parc du Mont-Royal, et la dénivellation à cet endroit a 40 mètres (une douzaine d'étages). Le vieil escalier qui a été condamné sera refait à neuf, mais la grande allée piétonnière en serpentin qui permet l'ascension au coeur de la nature sera aussi remise en valeur. Sous-utilisée Peu visible du centre-ville, l'entrée Peel est sous-utilisée par les visiteurs, qui ne la «devinent» même pas. Ses infrastructures sont très abîmées et disparaissent dans des sentiers improvisés qui détériorent le milieu naturel. En présentant le projet, hier, la conseillère Helen Fotopulus, responsable politique des grands parcs à la Ville, a fait valoir que l'entrée Peel deviendra un joyau au centre-ville avec la présence sur le site d'un marécage, d'une chute et d'un ruisseau. Les familles et les enfants auront aussi leur part du gâteau puisque le site de la Clairière, dédié aux pique-niques et aux jeux d'enfants, sera remis en valeur, tout près du lac aux Castors. Les jeux d'enfants qui s'y trouvent datent d'une cinquantaine d'années et ils créeraient certes plus d'intérêt dans un musée! La Ville veut y faciliter l'accès, multiplier les usages et activités libres et «ouvrir» des vues panoramiques vers le sud et l'ouest, tout en y favorisant une diversité forestière.
  23. Cet édifice, qui a déjà abrité la Banque Royale, rue Saint-Jacques, a plu à des investisseurs français. Il sera transformé en hôtel de luxe. Photo Bernard Brault, La Presse
  24. On répare avant de démolir Le Journal de Montréal 10/09/2007 Le béton du tronçon surélevé de l'autoroute Bonaventure, au pied de la rue University, est dans un tel état de détérioration que la Ville de Montréal dépensera 1,5M$ pour le réparer, bien que ce tronçon doit être démoli dans deux ans! Au total, d'ailleurs, la Ville aura dépensé 3,2 M$ depuis 2005 pour sécuriser cette voie élevée vouée à la démolition à court terme. Cette partie de l'autoroute, qui a été construite il y a 40 ans, doit en effet être démantelée en 2009 pour faire place à un grand boulevard qui permettra de développer le centre-ville jusqu'au bassin Peel. Le conseiller Sammy Forcillo, responsable des infrastructures à la Ville, a déclaré au Journal que «le problème des infrastructures est tellement important qu'il plonge parfois Montréal dans des situations qui peuvent paraître loufoques«. «Raison de plus, dit-il, pour que les gouvernements réalisent une fois pour toutes qu'ils doivent nous soutenir sérieusement dans le redressement des finances et le rajeunissement des infrastructures.» Un autre million de dollars a été prévu dans le budget pour d'autres interventions possibles l'an prochain au cas où le projet de démolition serait retardé. «Ça peut paraître bizarre ce genre de situation, mais on ne joue pas avec la sécurité publique.» 16 M$ pour dix ans Il estime qu'il en aurait coûté au moins 16 M$ pour des travaux majeurs qui n'auraient permis de prolonger la voie élevée que d'une dizaine d'années, «après quoi tout aurait été à recommencer». Des inspections réalisées en 2006 et 2007 ont forcé la Ville à sécuriser «les endroits où il y a présence humaine sous le tablier de l'autoroute qui va du canal de Lachine à la rue University», indique un document de régie interne à la Ville. De grandes plaques de béton se détachent souvent du tablier en dessous duquel se trouvent une cour de voirie municipale et six artères très fréquentées. Au début de 2005, la Ville a dû consacrer 500000 $ à la réparation d'une dalle de béton qui fut complètement perforée sur une superficie d'un demi-mètre carré. L'an dernier, des travaux de pavage de 1,2M$ ont été réalisés pour la sécurité des automobilistes. La Ville de Montréal est propriétaire de ce tronçon de 1,1 km de l'autoroute qui se trouve en territoire montréalais. 400 000 $ pour commencer les études À la fin du mois de juillet dernier, le gouvernement du Québec a annoncé un octroi de 400 000 $ à la Société du Havre pour entreprendre les études de l'avant-projet de réaménagement de l'autoroute Bonaventure au pied de la rue University. C'est à la Société du Havre que l'administration Tremblay-Zampino a confié la direction de ce projet de transformation de l'autoroute. 6 M$ pour l'avant-projet La Ville investira plus de 6 M$ dans l'exécution de l'avant-projet détaillé de tout le développement commercial et résidentiel du vaste secteur de canal de Lachine et du bassin Peel. Le calendrier d'exécution prévoit que l'avant -projet sera entrepris l'an prochain et que les travaux de démolition commenceront en 2009, qui est une année d'élection générale à Montréal.
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