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loulou123

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  1. c est pas ca qui va crée la richesse mais ca peut aider pareil.
  2. la vidéos qui montre le projet http://www.amazone-interactif.com/Notre-Dame/videoPlayer.html
  3. Journal de Montréal 19/01/2008 09h59 SOURCE http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/01/20080119-095903.html Anie Samson déborde d'enthousiasme pour le projet de Smart! Centres «qui répond, dit -elle, à un grand besoin de développement du quartier Saint-Michel». Dans une entrevue au Journal, la mairesse de l'ar- rondissement Villeray-Saint- Michel-Parc-Extension affirme que le promoteur veut réaliser son projet «avec la participation des organismes locaux, qui nourrissaient des inquiétudes». Elle indique que le projet des grandes surfaces commerciales et des zones récréatives créera 1500 emplois et que les gens de Saint-Michel, «à compétences égales, seront favorisés». Mme Samson assure qu'un comité d'embauche est actuellement en formation avec des groupes communautaires. Visiteurs Quant aux craintes des petits marchands, la mairesse soutient qu'une enquête a démontré qu'il y a fuite commerciale de 50 % et que «ce projet retiendra la clientèle, en plus d'attirer des milliers de consommateurs supplémentaires dans le quartier». Elle admet cependant qu'il faudra trouver des solutions pratiques pour la cohabitation des activités commerciales et de la chute à neige.
  4. 09/01/2008 SOURCE http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2008/01/20080109-213653.htmlQuébec et Bombardier Transport viennent de subir tout un revers dans le contrat du métro de Montréal. La compagnie française Alstom pourra participer à un appel d'offres pour le renouvellement de la flotte, selon un jugement rendu aujourd'hui par la Cour supérieure du Québec. Le gouvernement du Québec avait décidé d'accorder le contrat de plus de 1,2 milliard $ à Bombardier Transport, soi-disant le seul fournisseur de voitures de métro au Canada. L'usine de La Pocatière de Bombardier est située dans le comté du ministre Claude Béchard. Or, Alstom possède des installations à Sorel-Tracy et à Calgary. Québec fera connaître sa réaction demain.
  5. Mercredi 9 Janvier 2008 SOURCE http://montreal.24heures.ca/Actualite/2008/01/09/4759600-sun.html Le projet d'autoroute urbaine dans le plan de modernisation de la rue Notre-Dame soulève l'ire des représentants de la Coalition pour humaniser la rue Notre-Dame. Selon ce regroupement de citoyens de l'arrondissement Hochelaga/Maisonneuve, le gouvernement du Québec avait promis en juillet 2005 la réalisation d'un boulevard urbain sur ce tronçon est de la rue Notre-Dame. En décembre dernier, la Ville a refroidi l'ardeur de la Coalition en proposant un projet d'autoroute. Selon les experts de la Coalition, l'autoroute projetée ne s'intègre pas dans le tissu urbain existant. Cette voie rapide ne comporte pas de servitudes d'accès aux fonctions riveraines et sur un long tronçon, son allée urbaine devient une simple barrière de béton. Ils ajoutent que le boulevard urbain s'intègre davantage dans un environnement bâti et comprenant une allée centrale verte. " Le projet de la Ville prévoit huit voies en tranchée pendant le tiers du trajet. C'est vraiment le concept d'une autoroute urbaine " dénoncent les membres de la Coalition pour humaniser la rue Notre-Dame. La Coalition regroupe des citoyens et des organisations qui veulent mettre de l'avant une perspective à l'échelle humaine pour l'avenir de la rue Notre-Dame.
  6. La Presse Le mercredi 09 janvier 2008 source http://www.cyberpresse.ca/article/20080109/CPACTUALITES/801090674/5155/CPACTUALITES Le Conseil du patrimoine de Montréal descend en flammes l'ambitieux projet immobilier de «Village Griffintown», dans le Sud-Ouest. Un projet caressé par le maire Gérald Tremblay, notamment pour ses retombées municipales estimées à 33 millions par année. Dans un avis envoyé lundi et obtenu par La Presse, l'instance consultative en matière de patrimoine auprès de la Ville s'en prend à plusieurs facettes du projet, et dénonce la décision municipale de ne pas le soumettre à l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM). Tout en saluant l'idée de «requalification du quartier», le Conseil va jusqu'à dire que le projet met en jeu l'inscription de Montréal à titre de «ville du Patrimoine mondial», auprès de l'UNESCO. «Le maire et les élus de Montréal auraient intérêt à aller faire un tour dans le quartier pour en réaliser l'importance», a dit la présidente du Conseil du patrimoine, Marie Lessard, en entrevue avec La Presse. Elle rappelle que le promoteur prévoit démolir une trentaine de bâtiments «pour construire du neuf», en plus de supprimer certaines rues qui ont 200 ans. «Griffintown est le berceau de l'industrialisation au Canada, et le berceau des Irlandais à Montréal, rappelle Mme Lessard. Dans sa forme actuelle, on démolit trop. Nous ne sommes pourtant plus à l'époque de la construction du Stade olympique, où on rasait tout pour ensuite développer.» Le Conseil du patrimoine passe au peigne fin six enjeux du projet, soit la trame de rues et le tissu urbain, le patrimoine construit, les hauteurs, l'archéologie, le milieu de vie créé, la valorisation sociale et culturelle du quartier. Au sujet des hauteurs qui, dans certains îlots, sont de deux à trois fois la hauteur permise selon les règles d'urbanisme, le Conseil note qu'elles mettent en péril certaines vues vers le mont Royal et vers le fleuve, depuis la montagne. Des conclusions qui sont tirées après avoir épluché une dizaine d'études, précise la présidente du Conseil. «Task force»À la Ville de Montréal, où on a reçu l'avis du Conseil juste avant Noël, sans le rendre public, on explique que des efforts ont déjà été consentis par le promoteur Devimco, qui est aussi derrière le Dix30 à Brossard, pour bonifier le projet qui nécessite des investissements privés de 1,3 milliard. «J'accueille tous les commentaires qui sont constructifs de façon favorable, explique Alan DeSousa, responsable du projet Montréal 2025, au comité exécutif de la Ville. Mais il faut comprendre que Griffintown a déjà été soumis à un task force formé de spécialistes de Montréal, et que le travail a permis de diminuer le pourcentage commercial du développement.» Quant aux consultations publiques, M. DeSousa affirme que la Ville respecte la loi, et qu'elle va épauler l'arrondissement du Sud-Ouest qui a reçu le mandat de tenir des audiences sur le Programme particulier d'urbanisme (PPU), qui définit le projet. Et les organismes qui veulent y assister seront bienvenus, dit-il. Mais pas question d'aller à l'OCPM. Pendant ce temps, l'Association des sociétés de développement commercial (SDC) de Montréal, qui représente les gens d'affaires de 13 SDC, attend toujours une rencontre avec le maire de Montréal pour aborder ses inquiétudes face aux choix des commerces. Comme l'a déjà expliqué La Presse, l'Association craint l'arrivée des magasins à grande surface. Demain soir, de nombreuses personnes prévoient d'ailleurs assister à une conférence sur le projet, organisée par l'UQAM, et présentée par Serge Goulet, président de Devimco. Les inscriptions à la conférence sont tellement nombreuses que l'université a dû changer de salle.
  7. 5 janvier 2008 - source http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080105/LAINFORMER/801041343/5891/LAINFORMER01 Presse Canadienne et LaPresseAffaires.com Le détaillant spécialisé Mountain Equipment Coop a indiqué, vendredi, qu'il envisage d'ouvrir un second magasin dans la région de Montréal avant la fin de l'année. L'endroit précis où sera installé le second magasin montréalais n'a toutefois pas été précisé. Le seul magasin de la chaîne d'articles de plein air à Montréal est actuellement situé au Marché Central, près du rond-point l'Acadie. MEC devrait par ailleurs inaugurer un troisième magasin dans la région montréalaise d'ici quatre ans. Le marchand d'articles pour activités de plein air a également mentionné Toronto et Burlington, en Ontario, comme prochains lieu d'expansion de la chaîne, a indiqué vendredi son nouveau président David Labistour, qui vient de succéder à Peter Robinson. Propriété de ses membres réunis en coopérative, Mountain Equipment affichait au dernier bilan annuel connu, celui de 2006, un chiffre d'affaires de 222,8 M$ contre 195,8 M$ en 2005. En 2003, MEC a inauguré son premier magasin de la province, au Marché Central de Montréal. L'année suivante, la coopérative ajoutait un autre magasin dans la Vieille
  8. 31 décembre 2007 - SOURCE http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20071231/LAINFORMER/71231014/5891/LAINFORMER01 La Presse La prédiction a de quoi surprendre: l'agglomération de Calgary compte trois fois moins d'habitants que celle de Montréal. Et pourtant, fait valoir le consultant Rick Ericksson, analyste du secteur aéronautique, le principal aéroport albertain croît à un rythme jamais vu et ne montre aucun signe de ralentissement. «L'économie de l'Ouest est très robuste, résume-t-il en entrevue téléphonique. Et les Albertains ont tendance à voyager en avion beaucoup plus que les autres Canadiens.» Grâce à l'activité économique liée à l'exploitation pétrolière, nombre d'entreprises ont établi leur siège social dans la métropole albertaine. Et la population - aisée et instruite - voyage tant par affaires que par loisir. Résultat: le nombre de vols au Calgary International Airport a grimpé de 43% depuis 2002, de loin la plus forte hausse au pays.Le cap des 12 millions est franchi Aéroports de Montréal a pourtant connu une excellente année 2007. L'affluence a grimpé de 8% pour atteindre 12,4 millions de passagers. C'est la première fois que l'organisme franchit le cap des 12 millions. Mais la clientèle de l'aéroport de Calgary a crû de 10% pour atteindre 12,3 millions. Même si Pierre-Elliott-Trudeau perd sa troisième place au Canada - Toronto et Vancouver mènent le peloton - Rick Ericksson estime que l'avenir reste prometteur pour l'aéroport montréalais. «Les transporteurs aériens suivent leur clientèle, affirme-t-il. Montréal est une ville multiculturelle, et c'est un grand avantage. Dans l'Ouest, par exemple, nous n'aurons jamais un vol direct vers Athènes, en Grèce, pas plus que vers le Maroc ou vers Haïti.»
  9. SOURCE http://www.leplateau.com/article-170296-Projet-de-logements-sociaux-sur-le-site-de-la-STM.htmlle 28 décembre 2007 Le Comité logement du Plateau-Mont-Royal a dévoilé un projet de logements sociaux et d'aménagement sur le site de la Société de transport de Montréal, rue Fullum. Dans le cadre du lancement de sa campagne Mon logement et mon quartier, j’y suis! J ‘y reste!, le Comité logement du Plateau-Mont-Royal (CLPMR) a dévoilé son projet d’un nouvel aménagement pour le site de la Société de transport de Mont-Royal (STM) sur l’avenue du Mont-Royal. Pour Simon Dumais, coordonnateur du Comité logement, «ce projet se veut emballant, novateur et rassembleur. En effet, il est le résultat d’une opération populaire d’aménagement (OPA) auquel 450 personnes ont participé entre les mois d’avril et le mois de septembre 2007». Selon lui, «ce projet est le fruit d’une mobilisation citoyenne et de quartier». Il comprend la construction d’un vaste chantier de logement social d’environ 200 unités sous forme de coopératives d’habitation, d’organismes sans but lucratif (OSBL) et de HLM. Pour les participants de l’OPA, il est essentiel que ce projet réponde aux besoins exprimés par les familles, les femmes, les communautés immigrantes, les personnes seules et les personnes âgées, et ce, dans une perspective de mixité sociale. D’un point de vue écologique, ce projet comprend également la création d’un espace vert contenant une aire de repos, une fontaine, des tables de pique-nique et un jardin collectif communautaire. Enfin, ce projet veut protéger le caractère patrimonial du bâtiment de l’avenue Mont-Royal. En effet, les participants de l’OPA ont proposé que des organismes communautaires puissent avoir pignon sur rue dans le bâtiment construit en 1924. Cet édifice regrouperait un centre de la petite enfance, des organismes intervenant en environnement, des micro-entreprises, etc. «Ce projet possède tous les attraits pour un développement social juste et équitable. Il possède également une valeur économique. En ce sens, il est un atout pour le quartier, non seulement pour les citoyens, mais pour les commerçants», fait remarquer M. Dumais. Bien entendu, ce projet ne pourra voir le jour que lorsque la Société de transport de Montréal déménagera ses opérations, dans un avenir plus ou moins rapproché. Entre-temps, le Comité logement poursuit ses interventions et recherche des appuis auprès des élus de l’arrondissement et de la Ville. La démarche reçoit déjà l'appui d'Action Solidarité Grand Plateau (ASGP), d’intervenants de la Corporation de développement économique communautaire (CDEC) et de plusieurs commerçants de l’avenue du Mont-Royal.
  10. Journal de Montréal 24/12/2007 Le chef du Parti Vert, Scott McKay, qualifie de «grossière erreur» le refus de l'Agence des PPP de permettre l'utilisation du bois dans la structure de la maison de l'OSM. Le 21 décembre, le PDG de l'Agence des partenariats public-privé, Pierre Lefèbvre, chargé du projet de salle de spectacle pour l'OSM, tranchait la question: la structure sera faite de béton et d'acier. La nouvelle a déçu ceux qui comptaient sur la promesse du ministre Béchard de faire de ce projet un exemple de savoir-faire en matière de bois de structure. Parmi eux, Scott McKay s'est promis de contacter l'ensemble des participants au Sommet de la forêt «pour qu'ils rappellent au gouvernement Charest que l'avenir de la forêt québécoise ne repose plus sur la pâte à papier et les 2 par 4.» Selon l'Agence des PPP, l'utilisation du bois dans la structure des bâtiments contrevient au Code national du bâtiment parce que c'est un matériau combustible. «Qu'ils le changent, le code!», s'indigne Scott McKay. «C'est prouvé qu'une grosse poutre de bois résiste mieux et plus longtemps à un incendie que l'acier, qui fond, comme c'est arrivé au World Trade Center. Le chantier ne débutera pas avant 2009, ils ont en masse le temps de modifier le code. Ils n'ont pas hésité à changer les lois pour le projet Rabaska.» Le ministre Claude Béchard promet depuis deux mois d'ériger une charte du bois qui imposerait que les bâtiments gouvernementaux soient constitués d'un minimum de bois de structure SOURCEhttp://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/12/20071224-094706.html
  11. plus d indormation La Presse Les auteurs de l’étude se sont basés sur 14 critères « qui aident à définir une ville » afin de trouver celle qui pourrait être « la capitale du monde ». Ces critères vont du nombre de kilomètres de métro au nombre de circuits aériens qui la desservent en passant par le nombre de résultats associés au nom de la ville dans Google. Dans toutes les catégories, Montréal ne fait jamais mieux qu’un score moyen. La ville s’en sort en marquant un point grâce à la présentation des Jeux olympiques de 1976. C’est d’ailleurs la seule catégorie dans laquelle Montréal fait mieux que la Ville reine. Montréal ne marque aucun point quant au nombre de restaurants de cuisine étrangère cités dans le Time Out City Guide, pas plus que pour le nombre d’entreprises qui y ont leur siège social. SOURCE http://www.cyberpresse.ca/article/20071223/CPACTUALITES/71223027/1019/CPACTUALITES
  12. 23/12/2007 (D’après La Presse Canadienne) - Une étude effectuée pour le quotidien britannique The Independent proclame la ville de Londres comme «capitale du monde». Montréal est classée au 38e rang. La métropole québécoise est devancée par deux autres villes canadiennes, soit Toronto, en 17e place, et Vancouver, en 27e position. L'étude se base sur 14 critères, notamment les métros et les aéroports qui desservent les villes, ainsi que les restaurants et les entreprises qu'on y trouve. Montréal se situe entre Saint-Pétersbourg, en Russie, et Francfort, en Allemagne. New York est au deuxième rang de l'étude, s'octroyant le titre de «capitale de l'Amérique du Nord. SOURCE http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2007/12/20071223-111152.html
  13. 22/12/2007 QUÉBEC | Après avoir promis de prendre le virage bois pour la future maison de l'OSM, Québec laissera construire la future salle en béton et en acier, et non en bois de structure. «Ce virage ne repose pas sur l'OSM», a tranché hier le PDG de l'Agence des partenariats public-privé, qui pilote le projet. Au moment où il s'apprête à remettre le cahier de charge aux trois consortiums intéressés à construire la maison de l'Orchestre symphonique de Montréal, Pierre Lefèbvre a mis fin aux espoirs de celles et ceux qui voulaient faire de la maison de l'OSM un exemple du savoir-faire québécois en matière de bois d'ingénierie. «Il faut se marier avec un environnement particulier, a argumenté Lefèbvre. Si on construit une symphonie au bois, ça va être particulièrement difficile de le marier au sein du Quartier des spectacles» au centre-ville de Montréal. En clair, le centre-ville de Montréal est condamné à construire en béton. Selon un autre responsable du projet de l'OSM, M. Jean Roy, la future salle de spectacle ne peut pas être construite en bois de structure, comme cela se fait ailleurs, car les normes l'interdisent. «Actuellement, le Code national du bâtiment ne permet pas l'utilisation du bois parce c'est un matériau qui est combustible», ajoutant ne pas savoir comment des pays européens, comme la Finlande, y parviennent. «Si on voulait changer ça avec une ossature de bois, on ne parle plus du même projet», ajoute Jean Roy. Directive claire Tous les gens de l'Agence des PPP s'entendent pour dire qu'il faudra une directive claire de Québec pour faire le virage bois souhaité et surtout pour modifier le Code du bâtiment en conséquence. C'est pourtant ce que promet le ministre des Ressources naturelles, Claude Béchard, depuis deux mois. Ce dernier veut une charte du bois qui obligerait un contenu minimal de bois de structure dans les édifices institutionnels ainsi que dans les bâtiments industriels et commerciaux. L'idée de faire de la maison de l'OSM un premier exemple du savoir-faire québécois dans le domaine du bois d'ingénierie a été soulignée avec beaucoup d'enthousiasme. Le premier ministre Jean Charest de même que Pauline Marois et Mario Dumont ont donné leur appui. SOURCEhttp://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/12/20071222-092701.html
  14. Montréal, le 21 décembre 2007 - Montréal compte maintenant trois nouveaux Quartiers 21 sur son territoire. Le comité exécutif de la Ville de Montréal, la Direction de santé publique de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal ont retenu trois propositions qui se réaliseront dans les arrondissements Plateau-Mont‑Royal, Saint-Laurent et Ville-Marie. Chacun des trois organismes promoteurs bénéficiera d'un soutien de 45 000 $ pour implanter des projets qui appliquent les principes du développement durable à l'échelle locale. « L'implantation de Quartiers 21 à Montréal est une réalisation concrète et locale du Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise que notre Administration a adopté en avril 2005. Cette approche est originale puisqu'elle repose sur la prise en charge d'organismes actifs localement qui proposent et réalisent des projets de développement durable selon les priorités de leur milieu. L'importance d'agir localement prend ici tout son sens », a déclaré monsieur Alan DeSousa, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable du développement durable, du développement économique et de Montréal 2025. Pour sa part, le docteur Louis Drouin de la Direction de santé publique de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal estime que « les projets Quartiers 21 contribuent grandement à améliorer la qualité de l'environnement urbain, ce qui a un effet certain sur la santé de la population des quartiers visés. Par diverses mesures, ils aident à lutter contre l'obésité et l'insécurité alimentaire, et ils permettent également de diminuer les problèmes de santé liés à la qualité de l'air et aux îlots de chaleur urbains. » Imagine Milton-Parc : Plan de développement durable du quartier Proposé par le Centre d'écologie urbaine de Montréal, le projet a comme objectif principal de faire de Milton-Parc un quartier exemplaire en matière de développement durable. Il vise essentiellement à réaliser une première partie des actions s'inscrivant dans le cadre du Laboratoire de développement durable Milton-Parc et à agir en tant que levier permettant à l'arrondissement d'intéresser et d'associer d'autres partenaires. Orienté autour de cinq volets – la gestion des matières résiduelles, le transport durable, la consommation d'énergie, la conservation de l'eau et le verdissement – ce projet permettra aux citoyens et citoyennes de cet arrondissement d'améliorer leur cadre de vie. « Je félicite le Centre d'écologie urbaine de Montréal pour cette magnifique initiative », indiquait Hélène Fotopulos, mairesse de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal. « Leur volonté et leur labeur combinés à la détermination des citoyens et citoyennes contribuent à faire de notre arrondissement un endroit où il fait bon vivre ». Revitalisation urbaine intégrée de Place Benoit – « Cultivons notre quartier! » Le Comité local de revitalisation urbaine de Place Benoit a développé un projet rassembleur et intégrateur autour de l'agriculture urbaine. Ce secteur est situé au sud-est de l'arrondissement de Saint-Laurent. Il est physiquement enclavé par la voie ferrée au nord et à l'est, et par l'autoroute métropolitaine au sud. Ce projet permettra de mettre en œuvre des actions concrètes répondant aux objectifs fixés par le plan de revitalisation urbaine intégrée, tel le verdissement et l'embellissement physique du quartier, l'amélioration de l'interface industries/habitations, l'amélioration de la sécurité alimentaire, la mobilisation et la participation de la communauté locale (citoyens, entreprises, organismes du milieu, organismes de recherche et de formation) et l'insertion socioprofessionnelle des résidents. À vous la ville – Un îlot de chaleur humaine au centre-ville Le projet développé par l'Éco-quartier Peter-McGill concentre plusieurs initiatives environnementales sur un quadrilatère du centre-ville de Montréal, délimité par les rues Saint‑Marc, Saint-Mathieu, Sainte‑Catherine et par le boulevard de Maisonneuve Ouest. Au nombre de dix, les interventions proposées ont pour but de transformer l'îlot et de le mettre en valeur pour en faire un quadrilatère mieux intégré à son environnement et modèle pour une meilleure façon de vivre en ville. Les moyens pris pour la transformation seront notamment : la promotion de l'agriculture sur les balcons et terrasses; l'application de la certification environnementale Appellation V – commerce vert, l'aménagement d'un centre de compostage communautaire et l'aménagement d'une station vélo avec services. Quartiers 21 est l'action 2.10 du Plan stratégique de développement durable de la collectivité montréalaise. Ces projets sont en lien direct avec les orientations de développement durable : améliorer la qualité de l'air et réduire les émissions de gaz à effet de serre; assurer la qualité des milieux de vie résidentiels; pratiquer une gestion responsable des ressources; adopter de bonnes pratiques de développement durable dans les entreprises, les institutions et les commerces. En 2005, trois projets Quartiers 21 ont été implantés ainsi que trois autres en 2006. Les projets de 2005 et 2006 ont été cofinancés par la Direction de santé publique de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal et la Ville de Montréal. En 2007, l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) s'est jointe au partenariat Quartiers 21. Le fonds pour la santé de la population de l'ASPC est axé sur le développement des communautés saines et durables depuis déjà quelques années. L'ASPC reconnaît l'importance d'initiatives novatrices en ce sens, telles que Quartiers 21. Les Quartiers 21 s'inspirent de l'Agenda 21 élaboré lors du Sommet de la Terre tenu à Rio en 1992, soit le premier plan de mise en œuvre du développement durable pour le XXIe siècle. SOURCEhttp://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=65,106529&_dad=portal&_schema=PORTAL&_piref65_263689_65_106529_106529.next_page=htdocs/portlet/communiques/fr/detail.jsp&_piref65_263689_65_106529_106529.id=9212&annee=2007&mois=12
  15. Le Journal de Québec 21/12/2007 Avant de se lancer dans un projet de train rapide entre Québec et Montréal, Ottawa devra obtenir l'assurance qu'il est faisable affirme le premier ministre Stephen Harper. Durant son entrevue au Journal, M. Harper a fait preuve de beaucoup de prudence dans ce dossier qui rallie tous les milieux de Québec. «Ma compréhension c'est que le ministre Lawrence Cannon (Trans-ports) parle avec ses homologues provinciaux. Il faudra faire beaucoup pour nous donner l'assurance que ce projet est faisable. Pour les grands projets économiques, pour ce gouvernement, il faut que ces projets soient, premièrement, des projets de faisabilité économique. Aujourd'hui je ne peux pas me prononcer avec certitude sur ce fait», de laisser tomber M. Harper. SOURCEhttp://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/12/20071221-105108.html
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