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loulou123

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  1. Le Journal de Montréal 09/12/2007 Depuis sa construction dans les années 50, le chalet du parc La Fontaine n'a jamais vraiment trouvé de vocation. Une situation décriée par le conseiller du Plateau Mont- Royal et plusieurs groupes de citoyens, qui rêvent de voir le grand bâtiment prendre vie prochainement. «C'est une vraie bêtise bureaucratique», lance le conseiller du district de Jeanne-Mance, Michel Prescott. «C'est un grand bâtiment bien situé qui n'est ouvert que quelques semaines par année comme vestiaire pour les patineurs, dit-il. Ça n'a tout simplement pas de bon sens.» Le temps d'agir «Les administrations municipales ne cessent de repousser le problème, il est temps d'agir. On investit des sommes importantes pour le maintenir en état, on le paye avec nos taxes mais on ne peut pas l'utiliser.» Le chalet du parc La Fontaine, situé près du Théâtre de verdure, sur le bord du bassin d'eau, est ouvert certaines semaines l'hiver pour permettre aux gens d'enfiler leurs patins. Une petite cantine offre aussi hot-dogs et poutines. «C'est tout simplement ridicule, martèle le président des Amis du parc La Fontaine, Claude Gagnon. On pourrait faire quelque chose de tellement mieux avec ce bel endroit.» Café-bistrot «Il n'y a pas de belles terrasses sur le Plateau, imaginez comme ça serait bien s'il y en avait une ici, avec des expositions, des musiciens», rêve Claude Gagnon. Depuis quelques années, il caresse le projet de faire du chalet un café-bistrot à saveur culturelle, une idée que le conseiller Michel Prescott appuie. Ils diffèrent toutefois dans la façon de procéder. Alors que M. Gagnon voudrait confier la gestion des lieux à un organisme sans but lucratif, M. Prescott pense plutôt à une entreprise privée pour s'occuper du bistrot.
  2. Journal de Montréal 08/12/2007 Il y aura référendum, demain à Mont-Royal, pour la vente du parc municipal Fleming à une entreprise privée en vue de la construction d'une résidence de huit étages pour personnes âgées. Le terrain fait environ 44 000 pieds carrés entre le chemin de la Côte-de-Liesse et la rue Brittany. Le sujet a soulevé beaucoup de passion depuis plusieurs semaines dans la ville de banlieue défusionnée, surtout à la suite de la victoire de 101 personnes qui ont bloqué un changement de zonage lors du registre tenu le 4 octobre. Plus de 700 personnes habitant des zones limitrophes auront droit de vote demain pour décider de l'avenir du parc. Le changement de zonage, qui a été renversé une première fois, est au coeur du projet puisque la Ville veut le faire passer de «vert» à commercial pour permettre la construction d'une résidence privée de huit étages pour personnes âgées. Les cinq citoyens membres du comité consultatif de la ville sur l'environnement ont déclaré publiquement leur opposition au projet, même si un parc public à peu près quatre fois plus grand se trouve à proximité du parce que la ville veut vendre. 19 arbres à protéger Les citoyens qui dénoncent le projet veulent protéger les 19 arbres matures du parc, qu'ils considèrent comme un filtre à côté de l'autoroute Métropolitaine, Plusieurs citoyens ne comprennent pas non plus pourquoi loger sur ce site des personnes âgées à la santé fragile. Pour sa part, la mairesse Vera Danyluk encourage la construction de l'immeuble parce qu'il y a une seule résidence du genre à Mont- Royal et que 20% de la population, environ 4 000 personnes, ont plus de 60 ans..
  3. le jeudi 6 décembre 2007 La Ville de Montréal élargit les conditions d'accession à la propriété pour freiner l'exode des jeunes familles vers les banlieues. La Ville bonifie et prolonge son programme d'accès à la propriété jusqu'en 2009. Le nouveau programme favorisera davantage les familles. Actuellement, les familles ne représentent que 20 % des bénéficiaires. La nouvelle version du programme accorde une subvention de 10 000 $ aux familles avec enfant(s) qui désirent acheter une propriété au lieu de 7500 $ précédemment. Cette aide est conditionnelle du prix d'achat de la propriété. Ce seuil est revu à la hausse lui aussi. La subvention sera versée dans la mesure où le prix de l'achat est inférieur ou égal à 235 000 $, contre 200 000 $ auparavant. La subvention accordée aux ménages sans enfant est maintenue à 6500 $. Le prix maximum d'achat est revu à la hausse avec 180 000 $ au lieu de 165 000 $. Selon le Conseil jeunesse de Montréal, l'administration municipale doit non seulement améliorer ses programmes d'accès au logement, mais aussi renforcer le sentiment d'appartenance des jeunes envers l'île de Montréal. Selon l'Institut de la statistique, Montréal enregistre des pertes nettes migratoires dans presque tous les groupes d'âge, notamment chez les 25 à 44 ans. Quelque 250 000 familles vivent présentement sur le territoire de l'île de Montréal.
  4. loulou123

    tour du cn

    Oui pourquoi pas , comme ca on peut voir la ville a 360 degré.
  5. La Presse Le mardi 04 décembre 2007 Les grincements de dents des riverains de la rue Notre-Dame Est, perceptibles lors de l’annonce du projet de Ville de Montréal de créer une artère à huit voies, se sont traduits par la création d’une coalition qui rejette l'aménagement d’un « axe routier à grand débit ». «La Coalition pour humaniser la rue Notre-Dame» dit favoriser un renouveau urbain « tel qu’imaginé par de grandes villes tournées vers l’avenir comme Toronto, Portland, Barcelone, Sydney ou Séoul », reprenant la thèse présentée l’été dernier par le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, qui met de l'avant la création d'un boulevard Notre-Dame-Est avec moins de véhicules et plus de transport en commun. Pour la coalition, qui s’est dotée d’un site Internet (http://www.notre-dame.ouvrage.org), la modernisation tel que souhaitée par l’administration Tremblay-Zampino « s’inspire d’un modèle de développement des années 60 ». Le Conseil régional de l’environnement de Montréal a aussi critiqué ce projet pour le fait qu’il va, selon lui, augmenter la circulation dans la rue Notre-Dame Est. Le responsable du Transport à la Ville, le conseiller André Lavallée, a toutefois déjà dit que cela va permettre de diminuer la circulation dans les petites rues du voisinage. Membre de la coalition, Monique Désy Proulx, qui habite rue Théodore, deux rues à l’ouest de Viau, dit que cet argument ne tient pas : « À cause des feux verts en permanence aux heures de pointe, on n’aura plus accès à Notre-Dame donc cela va au contraire augmenter la circulation locale, dit-elle. On va être complètement enclavés. » La première séance publique d’information sur le projet aura lieu ce soir à partir de 18h30 à la Maison de la culture Maisonneuve, au 4200 rue Ontario Est.
  6. Mardi 4 Décembre 2007 L'industrie de la construction devrait être en hausse de trois pour cent en 2008, poursuivant sur sa lancée de 2007, selon la Commission de la construction du Québec (CCQ), qui anticipe un volume de travail de 128 millions d'heures travaillées sur les chantiers en 2008. Depuis trois ans, cette industrie connaît une excellente croissance. L'activité sur les chantiers pourrait atteindre un sommet de 140 millions d'heures en 2011.Plusieurs chantiers majeurs ont été annoncés pour la prochaine année dans la grande région métropolitaine.
  7. le 3 décembre 2007 Les travaux d'aménagement riverains dans le parc René-Lévesque à Lachine, réalisées par la firme Terrapro Construction, sont commencés et ils ont pour but d’atténuer les problèmes d'érosion fluviale des berges, qui perdent de 10 à 30 centimètres de terrain annuellement. «Cette première phase de travaux, à laquelle la Ville de Montréal consacre 422 600$, permettra de déployer les efforts nécessaires pour répondre aux attentes justifiées de la population afin de préserver et de mettre en valeur ce site exceptionnel, situé à l'intérieur de la zone historique du canal de Lachine, tout en assurant la sécurité de ses usagers», a déclaré le maire de l’arrondissement de Lachine, Claude Dauphin. «Ces travaux d'aménagement et de stabilisation des rives visent à contrôler et à corriger les problèmes d'érosion les plus sévères et les plus urgents considérant la perte de terrain significative occasionnée par les conditions environnementales excessives et l'instabilité des berges. Ils s’inscrivent dans la volonté de la Ville de Montréal d’offrir un accès à l’eau à tous les Montréalais», a expliqué de son côté la responsable de l’environnement, des parcs, des espaces verts et bleus et de la condition féminine au comité exécutif, Helen Fotopulos. D'une superficie de 14 hectares, le parc René-Lévesque a été aménagé sur une jetée dont l'origine remonte à l’époque de la construction du canal de Lachine, vers 1825. Les travaux de stabilisation, exécutés sur une longueur de 250 mètres, permettront de restaurer une partie de la rive, du côté du fleuve Saint-Laurent. Ils impliquent notamment des travaux de terrassement, d'excavation et de remblayage, de construction de structures de pierres plates et de dallage de cailloux, de même que des aménagements de plantation d'arbres, d'arbustes, de vivaces et de fagots. Au préalable, des travaux de réhabilitation environnementale seront également nécessaires dans le but d’éradiquer la présence de contaminants identifiés lors de la caractérisation des sols. Durant toute la période des travaux (automne 2007 - printemps 2008), tout sera fait pour préserver la sécurité des usagers. L’accès à la pointe de la jetée est interdit et, par le fait même, la piste cyclable est détournée aux deux tiers de son parcours.
  8. 03/12/2007 16h47 La Presse Canadienne Québec profitera de la conférence de Bali pour accentuer la pression sur Ottawa, en vue de faciliter, le plus tôt possible, l'installation de la bourse du carbone à Montréal. Pour ce faire, Ottawa doit au plus tôt modifier son projet de cadre réglementaire, inacceptable aux yeux du Québec, a soutenu la ministre du Développement durable, Line Beauchamp, à La Presse Canadienne, lors d'une entrevue avant son départ pour la conférence internationale sur les changements climatiques qui se tient à Bali, en Indonésie, cette semaine. Le cadre réglementaire fédéral imposé aux entreprises intéressées à transiger à la future bourse du carbone ne doit pas fonctionner «au détriment des intérêts du Québec», fait valoir Mme Beauchamp. La pression sur Ottawa va donc s'accentuer, puisque la Bourse de Montréal tient à lancer son marché d'échanges de crédits d'émissions de gaz à effet de serre (GES) dès le début de 2008. Or, selon Québec, le projet déposé cet automne par le ministre fédéral de l'Environnement, John Baird, pénalise les industriels et manufacturiers québécois. Ottawa doit donc refaire ses devoirs et enlever les nombreux «irritants» de son cadre réglementaire, selon Mme Beauchamp. La bourse du carbone permettra aux entreprises qui défoncent les plafonds de pollution imposés par Ottawa d'acheter des crédits d'autres entreprises plus performantes sur le plan environnemental. «Les règles du jeu ne sont pas assez claires», s'impatiente la ministre, en constatant que des chefs d'entreprise ne prennent pas dès maintenant les moyens de réduire leurs émissions, en attendant qu'Ottawa fasse son lit. Avant d'aller de l'avant, la bourse climatique doit d'abord connaître les règlements fédéraux, qui fixeront les plafonds d'émissions à imposer aux entreprises. À ce chapitre, Québec reproche essentiellement deux choses à Ottawa: l'année de référence, soit 2006, et le fait que Québec ait choisi dans le passé les énergies renouvelables - plutôt que d'autres, plus polluantes - ne soit pas reconnu. Le cadre réglementaire actuellement sur la table définit des cibles fondées sur l'intensité des émissions - et non sur leur volume, conformément à Kyoto - et l'année de comparaison retenue sera 2006 et non 1990. C'est donc dire que tous les efforts accomplis entre 1990 et 2006, par les entreprises québécoises, en vue de diminuer leur production de GES, ne compteront pas. «Ces efforts-là, s'ils ne sont pas bien reconnus, c'est une pression supplémentaire sur les entreprises québécoises» qui s'en trouvent pénalisées par rapport à celles des autres provinces, dénonce la ministre Beauchamp. Par ailleurs, Québec tient aussi à ce que ses choix énergétiques propres - hydroélectricité et énergie éolienne - soient reconnus par Ottawa. Cette revendication n'est pas nouvelle puisqu'elle constituait déjà une pomme de discorde lorsque Thomas Mulcair, à Québec, et Stéphane Dion, à Ottawa, étaient ministres de l'Environnement. Car si une autre province ferme ses centrales au charbon pour aller vers l'énergie atomique, par exemple, elle obtiendra des crédits, tandis que le Québec qui a depuis longtemps investi dans les énergies renouvelables n'aura rien en retour, dénonce la ministre. Parallèlement, pour être crédible, Québec est aussi en train d'élaborer son propre cadre réglementaire du carbone, attendu en 2008, et espère qu'il sera cohérent avec celui d'Ottawa. Cours «101» de la bourse du carbone Québec tient tellement pour acquis que le marché climatique s'installera à Montréal qu'on est en train de mettre sur pied un «cours 101» à l'intention des chefs d'entreprise. Cette initiative au coût de 3,3 millions $, passée inaperçue, apparaît dans la stratégie manufacturière rendue publique à la fin novembre. Ainsi, les chefs d'entreprise seront en mesure de se lancer sur ce marché «le plus tôt possible», dit la ministre, qui ne doute pas que le marché climatique s'installera à Montréal plutôt qu'à Toronto. «Montréal a tous les atouts dans les mains pour être en mesure d'être la bourse la plus gagnante, par rapport à la mise en place du marché du carbone», a-t-elle dit. Comme elle gère déjà les produits dérivés en exclusivité, la bourse montréalaise "a une longueur d'avance, indéniablement". Sauf que cette exclusivité prend fin en 2009 et que Toronto est aussi sur les rangs. De son côté, le gouvernement fédéral n'a toujours pas fait son lit à savoir s'il allait favoriser la mise en place d'une ou deux bourses, mais on sait déjà qu'il ne favorisera pas Montréal au détriment de Toronto. Entre-temps, sans connaître le cadre réglementaire qui régira ses activités, la Bouse de Montréal met déjà quand même tout en place pour se lancer dans le marché du carbone.
  9. La Presse Le samedi 01 décembre 2007 Le projet de campus de l'Université de Montréal à la gare de triage d'Outremont est en train de devenir un enjeu électoral. Les candidats à la mairie d'Outremont des deux partis de l'opposition, Vision Montréal et Projet Montréal, s'en prennent tant au manque de rigueur de la Ville de Montréal qu'à la décision de l'Université de Montréal de construire un nouveau complexe. Selon Jean-Claude Marsan, candidat à la mairie sous la bannière de Projet Montréal, l'Université aurait dû plutôt miser sur le campus de la montagne, notamment l'ancien couvent des Saints-Noms-de-Jésus-et-de-Marie, plutôt que de se lancer dans un projet qui n'a pas fait ses preuves. «Les inscriptions dans les universités déclinent. Je pense qu'il aurait été préférable de bonifier le campus actuel, dit M. Marsan. Je ne suis pas le seul à le croire. Je prévois un affrontement musclé contre le projet, et pas seulement de la part des syndicats universitaires.» Au lieu d'un campus universitaire, Projet Montréal croit que la solution pour la gare de triage réside dans le réaménagement résidentiel, pour notamment assurer la survie des 15 écoles d'Outremont. Plus tôt cette semaine, la candidate de Vision Montréal, Christine Hernandez, a pour sa part critiqué la lenteur de l'administration Tremblay à tenir compte des recommandations de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM), qui demandait «d'ouvrir plus démocratiquement la participation des citoyens.» «Présentement, les discussions se font derrière des portes closes», a déploré Mme Hernandez. De nouvelles études À la suite des attaques des partis de l'opposition, le responsable du dossier au comité exécutif de la Ville, André Lavallée, a expliqué hier qu'une rencontre avec les représentants des arrondissements limitrophes a déjà eu lieu et que cinq études supplémentaires ont été demandées, notamment sur le démantèlement de la voie ferrée. L'Université de Montréal dit pour sa part qu'il n'est pas question de revenir en arrière, que des offres d'achat "solides" sont sur la table pour acheter le campus de la montagne. Un endroit qu'il faut préserver, et non densifier, a répété Alexandre Chabot, vice-recteur adjoint, responsable de la construction à Outremont.
  10. Le Journal de Montréal 01/12/2007 Le ministre fédéral des Travaux publics, Michael Fortier, annoncera dans quelques jours le versement de 9 M$ à la Ville de Montréal pour entreprendre les travaux du nouveau Planétarium, a appris Le Journal de Montréal. Frédéric Baril, responsable des communications au bureau du ministre, a confirmé que le ministre se préoccupait de ce dossier et voulait le conclure rapidement. Il n'a cependant pas voulu préciser si les 9 M$ seront au pied de l'arbre de Noël de Gérald Tremblay ou si le maire devra attendre à la Saint-Valentin pour ouvrir l'enveloppe! Mais, à l'hôtel de ville, on a bon espoir d'obtenir la confirmation très bientôt pour entreprendre ce projet évalué à 32 M$. Attendu depuis 4 ans La Ville de Montréal attend depuis quatre ans le versement de cette subvention alors que le gouvernement du Québec est prêt depuis longtemps à débourser ses 9 M$ promis à Montréal pour le Planétarium. Il y a aussi la firme Alcan qui maintient toujours depuis quatre ans sa promesse d'aide financière de 4 M$. Le ministre Fortier aurait promis au maire Gérald Tremblay d'agir prochainement dans ce dossier, lors de sa visite à Montréal pour le Rendez-vous culturel de la mi-novembre. La conseillère Francine Senécal, responsable de ce dossier au comité exécutif, a pour sa part déclaré au Journal que les nouvelles en provenance d'Ottawa étaient «bonnes», mais qu'elle ne pouvait en dire davantage. Elle a expliqué que les 9M$ de la Ville de Montréal sont toujours dans le coffre et que la Ville «a bien hâte de procéder dans ce dossier». Elle prévoit que les travaux de construction du nouveau Planétarium pourraient durer au moins deux ans. Le site du Planétarium au centreville est évalué à 9M$, le terrain seul ayant une valeur marchande de 6,5M$. Voisin de Griffintown, l'École de Technologie supérieure s'intéresse déjà au site, pour son expansion.
  11. Pareil pour moi ,les trois dérniére photos j arrive pas a les voir .
  12. Montréal, le 30 novembre 2007 – Le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, le responsable des infrastructures, de la voirie et de la gestion de l'eau au comité exécutif de la Ville de Montréal, M. Sammy Forcillo, et la mairesse de l'arrondissement du Plateau Mont-Royal, Mme Helen Fotopulos, sont fiers d'annoncer que les travaux majeurs du boulevard Saint-Laurent sont terminés dans les délais prévus. Cette phase des travaux s'étendait de la rue Sherbrooke à l'avenue Mont-Royal. Le maire Tremblay en a profité pour confirmer une aide financière exceptionnelle de 40 000 $, à la Société de développement du boulevard Saint-Laurent pour une campagne de promotion pour la période des fêtes. « Comme nous nous y étions engagés, les travaux majeurs de modernisation du boulevard Saint-Laurent sont terminés dans les délais prévus. Ce réaménagement contribue à mettre en valeur la richesse culturelle et patrimoniale de notre ville et permet de donner un souffle nouveau à la renommée de cette grande artère. Nous avons déployé des efforts exceptionnels pour réussir ces travaux majeurs dans des délais réduits. Les Montréalais seront heureux de constater combien le boulevard Saint-Laurent a maintenant fière allure. Cette artère est plus belle et plus accueillante que jamais », a mentionné Gérald Tremblay. « Le chantier du boulevard Saint-Laurent était d'une envergure rarement vue à Montréal tant en raison de la proximité des 600 places d'affaires, dont 300 commerces qui y ont pignon sur rue, qu'en raison de l'importance des infrastructures qui ont été refaites de fond en comble. Nous avons répondu aux préoccupations de la Société de développement du boulevard Saint-Laurent en repensant nos méthodes de travail, ce qui a réduit de moitié nos délais de réalisation. Nous avons innové dans notre façon de communiquer avec les riverains qui ont vécu les travaux au quotidien afin d'en minimiser les inconvénients. Je remercie les commerçants, les résidants ainsi que tous les Montréalais et Montréalaises de leur patience pendant toute la durée des travaux », a souligné Sammy Forcillo. « Je suis très heureuse de l'achèvement de cet important investissement pour le Plateau. Comme les travaux de l'échangeur du Parc – des Pins, on assiste à un travail de consolidation et d'embellissement. J'invite les Montréalais et les Montréalaises à venir en grand nombre et à fréquenter les boutiques et les restaurants du boulevard Saint-Laurent sur une base régulière. Ces commerces ont fait preuve d'ingéniosité et de persévérance, il faut reconnaître ces initiatives et les encourager. C'est avec plaisir que je constate qu'aujourd'hui le boulevard retrouve toute sa vivacité, juste à temps pour la période des fêtes », a déclaré Helen Fotopulos. Consciente de l'achalandage et des activités qui font vivre le boulevard Saint-Laurent, l'administration Tremblay-Zampino souhaite y faciliter l'accès. C'est donc dans cet esprit que les trottoirs ont été élargis de 75 cm de chaque côté, que des débarcadères pour les autobus, les taxis et les livraisons ont été aménagés afin d'éviter le stationnement en double, et que des supports à vélos et des traverses piétonnières seront ajoutées. La circulation, qui n'a jamais cessé pendant les travaux, est revenue à la normale pour les usagers, piétons, cyclistes et automobilistes. L'autobus 55 y circulera dès demain (1er décembre). Les travaux de surface, qui seront à finaliser au printemps, sont de nature ponctuelle et d'embellissement. Pour compléter l'aménagement du boulevard Saint-Laurent, la Ville ajoutera 53 arbres et une soixantaine de lampadaires pour un meilleur éclairage. De plus, la diversité architecturale du boulevard sera mise en valeur par l'insertion de repères historiques. Enfin, le secteur du Quartier portugais fera l'objet d'un marquage particulier. Toutes ces améliorations s'inscriront dans la personnalité actuelle de la « Main » et miseront sur le raffinement et la sobriété. « Nous nous sommes engagés à moderniser et à réhabiliter notre réseau routier, en nous donnant les moyens nécessaires pour y arriver. Des investissements historiques de 1 G$ sont prévus en 2008 seulement. Nous sommes en train de littéralement changer le visage de Montréal et les travaux effectués sur le boulevard Saint-Laurent en sont un bel exemple », a conclu le maire de Montréal.
  13. Le vendredi 30 novembre 2007 Montréal adhère au club sélect du Réseau des villes gourmandes. La ville côtoie ainsi d'autres membres réputés de par le monde pour leur gastronomie.Ce réseau est une initiative de Lyon, qui a une longue tradition gastronomique. La ville française a lancé l'invitation à une vingtaine d'autres de par le monde. Parmi celles-ci, Madrid, Milan, Bruxelles et Leipzig représentent l'Europe. Guangzhou, Yokohama et Osaka représentent l'Asie. De notre côté de l'Atlantique, Montréal côtoie Philadelphie, Sao Paulo et Las Vegas notamment. Le réseau ne devrait pas dépasser le nombre d'une vingtaine de villes au total. Il en compte déjà 18. Montréal est la seule ville canadienne sélectionnée. Un choix qui n'est probablement pas étranger au fait que le magazine Gourmet avait offert à Montréal une vitrine importante dans son édition du printemps 2006. «Lyon a lancé ses invitations d'après la réputation gastronomique des villes», indique Pierre Bellerose, porte-parole à Tourisme Montréal. Cette organisation représentera la ville lors de la première rencontre prévue en février, à Gênes, en Italie. Créé en septembre, le réseau se veut avant tout un lieu d'échange. «Ça se fera à plusieurs niveaux. Par exemple, l'échange de cuisiniers ou des meilleures façons de faire la promotion de la gastronomie», dit M. Bellerose. Selon lui, l'invitation est un signe de la qualité de la gastronomie à Montréal et un résultat des efforts de promotion faits dans ce domaine. Le réseau permettra de promouvoir à l'échelle internationale Montréal en tant que destination gastronomique. Tourisme Montréal compte par ailleurs mettre sur pied un comité local en lien avec ce réseau. Il regrouperait des gens spécialisés dans le domaine, notamment des établissements d'hébergement, l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec et la Société des alcools du Québec. Le tourisme gastronomique existe déjà à Montréal. Sans être la raison d'une visite, il demeure incontournable une fois sur place. «Ça fait partie de l'expérience touristique à vivre à Montréal», estime M. Bellerose.
  14. La Presse Canadienne 30/11/2007 Des voix s'élèvent pour éviter que soit vendue au secteur privé l'ancienne bibliothèque Saint-Sulpice située rue Saint-Denis, en plein centre du Quartier latin de Montréal. Il a été rapporté la semaine dernière que l'immeuble qui appartient actuellement à l'Université du Québec à Montréal serait sur le point de passer aux mains d'un groupe, dont l'identité n'a pas encore été rendue publique, qui voudrait y ouvrir une librairie. La transaction serait de l'ordre de 4 millions $, selon le quotidien Le Devoir. L'offre doit être entérinée par l'assemblée des gouverneurs de l'UQAM, convoquée le 12 décembre prochain, et par le ministère de la Culture du Québec, qui peut exercer son droit de premier acheteur à cause du classement patrimonial de l'édifice. Le journal citait mercredi le directeur de l'Union des écrivaines et écrivains du Québec (UNEQ), Pierre Lavoie, qui affirmait que tout le monde est inquiet, que si le projet est insatisfaisant ou irrespectueux du lieu, plusieurs, dont l'UNEQ, réagiraient. Georges Leroux, auteur et professeur associé au département de philosophie de l'UQAM, qui se fait le porte-parole des universitaires et gens de lettres, disait, pour sa part, que le milieu s'oppose à toute transaction qui sortirait l'édifice du domaine public. Héritage Montréal craint de son côté que la mainmise du privé, même si elle peut déboucher sur d'excellents projets, ne fasse fi des décrets de ce classement, comme on l'a vu souvent par le passé. Même son de cloche du côté de la présidente-directrice générale de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ), qui a multiplié les projets pour occuper le bâtiment, berceau de son institution actuelle. Construit en 1914 par l'architecte Eugène Payette, l'édifice de style beaux-arts a été classé bien patrimonial en 1988. Il a toujours eu une vocation culturelle et publique. Dans son édition de vendredi, Le Devoir publie une lettre dans sa page d'opinions signée par huit personnes dont sept dirigent ou président des organisations culturelles ou patrimoniales, qui s'interrogent sur la vocation à venir de l'édifice et souhaitent qu'elle demeure publique. Selon eux, le bon sens et l'intérêt public dicteraient que l'édifice Saint-Sulpice soit désormais confié à Bibliothèque et Archives nationales du Québec. Les signataires, dont Jacques Allard, président de l'Académie des lettres du Québec, Gaston Bellemare, président de l'Association nationale des éditeurs de livres et Dinu Bumbaru, directeur des politiques à Héritage Montréal, de même que l'historien Yvan Lamonde, demandent une intervention rapide du ministère de la Culture. Selon eux, la seule solution consiste en ce que la ministre exerce le droit de préemption qui lui est octroyé par la loi et qu'elle s'oppose à la transaction en cours. Plus tôt cette semaine, Marie-Hélène Paradis, attachée de presse de la ministre de la Culture, Christine Saint-Pierre, affirmait que le dossier est sérieusement à l'étude et que les choses ne traîneront pas.
  15. Je ne pense pas que le métro peut étre rentable si il sera ouvert 24/24h 7/7jours a part le vendredi et le samedi ,je pense que ca serait trés bien s il reste ouvert toute la nuitpour le weekend , surtout pour les gens qui sortent dans les boites de nuit tard et ils sont obliger de prendre un taxi malgré qu ils ont une carte de métro ,ca serai aussi bien pour diminuer la pollution;) .
  16. jeudi 29 novembre 2007 L'Ordre des architectes du Québec a décerné hier un prix d'excellence en architecture aux architectes Pierina Saia et Réal Paul ainsi qu'à la Ville de Montréal pour la rénovation exemplaire du pavillon du Lac-aux-Castors, sur le mont Royal. Les architectes ont su préserver et retrouver l'esprit original de cette construction réalisée en 1958 par Hazen Sise et Guy Desbarats. Les architectes ont eu recours au même céramiste qu'à l'époque, Claude Vermette, pour rendre au pavillon son éclat d'autrefois.
  17. On est gaté sur:mtlurb: , on a eu les photos du projet sur toute les angles ,merci Francely57 et Cataclaw .
  18. le jeudi 29 novembre 2007 Le futur Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM) sera uniquement doté de chambres individuelles. De ces 700 chambres du CHUM, 400 seront neuves alors que 250 autres, situées à l'Hôpital Saint-Luc, seront rénovées. À l'instar de son cousin anglophone, le Centre universitaire de santé McGill (CUSM), le CHUM offrira un espace pour la famille des patients. Les chambres seront notamment équipées d'un divan-lit. La direction du CHUM 2010 estime que les travaux devrait être amorcés à l'été 2009 pour se terminer en 2013.
  19. 29/11/2007 Le coût de la carte autobus métro (CAM) passera de 65$ à 66,25$ le 1er janvier prochain, mais en revanche, la Société de transport de Montréal (STM) entend accroître l'offre de services sur son réseau d'autobus et de métro. Le budget de la STM, qui doit être rendu public ce jeudi, précise que si le coût de la CAM augmente de 1,25$, le paiement en espèces restera le même, soit 2,75$. Quant à la lisière de billets, elle augmentera de 0,25$, passant de 11,75$ à 12$. Il s'agira de la septième hausse de tarifs depuis 2002, le coût de la CAM ayant bondi de 16,25$ en six ans. Avec les hausses prévues pour 2008, la STM estime que les revenus provenant de la clientèle atteindront 14,6millions$ de plus que l'an dernier, pour un total de 435M$. Lors de la présentation de son plan de transport, la Ville de Montréal avait dit souhaiter accroître l'achalandage des transports en commun de 8% d'ici cinq ans. Dans l'espoir d'attirer de nouveaux clients, la STM entend faire passer de 4,2 millions à 4,4 millions le nombre d'heures de service de ses autobus, soit une augmentation de 4,7%. L'offre de services était demeurée stable depuis 2004. Quant aux voitures de métro, elles devraient rouler 11,8 millions de kilomètres de plus en 2008, ce qui correspond à une hausse de 18,5%. La STM, dont le budget atteindra les 938M$ en 2008, prévoit déjà un manque à gagner de 33,7M$ mais croit qu'elle pourra le combler en obtenant de nouvelles sources de revenus du gouvernement du Québec. Des négociations sont toujours en cours. Dans son budget 2008 présenté mercredi, la Ville de Montréal s'est toutefois montrée plus généreuse à l'endroit de la société de transport puisqu'elle lui versera 23,7M$ de plus que l'an dernier, soit un total de 310,7M$.
  20. 29/11/2007 La Société de transport de Laval va réduire son tarif unitaire le 1er janvier. Le président de la société, Jean-Jacques Beldié, veut ainsi encourager les usagers occasionnels à utiliser plus régulièrement le transport en commun. Ainsi, le paiement au comptant coûtera 2,50 $ plutôt que 3 $. Le carnet de huit tickets passera de 21 $ à 18 $. Cette réduction s'inscrit dans la foulée de l'adoption de son budget par le conseil municipal de Laval. La STL améliorera également sa politique tarifaire familiale. Elle offrira à tout adulte qui paye son passage, la fin de semaine et les jours fériés, d'être accompagné gratuitement d'un maximum de trois enfants âgés de 11 ans ou moins. Et quand un avertissement de smog sera émis entre le 1er juin et la fête du Travail, la STL proposera une tarification à 1 $. Dès qu'un avertissement de mauvaise qualité de l'air sera transmis à 15 h, la STL déclenchera cette politique de réduction de tarif pour le lendemain.
  21. La Presse Le jeudi 29 novembre 2007 L'administration Tremblay-Zampino garde le cap sur les infrastructures de l'eau et de la voirie dans son budget 2008, avec des investissements historiques de 477 millions en trois ans, mais une grosse part du gâteau va aux projets universitaires de grande envergure. Des investissements devenus inévitables grâce à des ententes déjà signées. Au cours des trois prochaines années, pas moins de 133 millions de dollars seront dégagés pour aménager les rues, bretelles d'accès, tuyaux du réseau d'eau et d'égout autour des deux futurs grands hôpitaux universitaires et du projet de campus de l'Université de Montréal à Outremont. En comparaison, la Ville de Montréal prévoit une somme de 67 millions sur trois ans pour refaire ses quelque 600 ponts, viaducs et tunnels qui tombent en décrépitude. Et une somme de 71 millions sur trois ans pour la transformation de l'autoroute Bonaventure. Le projet de campus à la gare de triage d'Outremont, vertement critiqué depuis quelques jours par les partis de l'opposition, reçoit la part du lion, en 2008, avec un investissement de 22 millions qui triplera en trois ans, pour atteindre 90 millions en 2010. La direction de l'Université attend encore la confirmation d'une contribution provinciale de 30 millions, mais a obtenu une confirmation du fédéral. Le projet de redéploiement du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM 2010), au centre-ville, nécessitera pour sa part un investissement municipal de 9,5 millions, en 2008, pour un total qui se chiffrera à 21 millions dans trois ans. La Ville de Montréal finance notamment des travaux pour enlever les tuyaux sous une portion de la rue De La Gauchetière, qui a été achetée par le CHUM. L'administration va par ailleurs débloquer une somme de 32,6 millions, d'ici la fin de 2010, pour le projet du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), au site Glen. En 2008, le montant atteindra 4 millions. Des travaux pour aménager une nouvelle intersection et un tunnel ont déjà commencé, et la Ville entend contribuer à l'installation d'un mur antibruit. Annoncée la semaine dernière, la modernisation de la rue Notre-Dame, dont on parle depuis près de 25 ans, va de l'avant avec un investissement prévu de 107 millions en trois ans, dont 24,3 millions en 2008, pour commencer les travaux dans le secteur Souligny. Pleins feux sur les festivals Tel que promis, le maire Tremblay donne un grand coup l'an prochain pour achever d'ici l'été 2009 la place des Festivals dans le Quartier des spectacles. Au total, 18 millions seront dépensés en 2008. Les investissements atteindront 72,5 millions en 2010. La contribution gouvernementale de ce projet, évalué à 120 millions, s'élève à 50 millions sur cinq ans. Gérald Tremblay reste aussi fidèle à son engagement pris au Rendez-vous novembre 2007, en augmentant la contribution au Conseil des arts. En 2008, la Ville investira 10,2 millions, une somme qui sera indexée. Sur une période de cinq ans, le Conseil aura reçu 3,5 millions de dollars.
  22. La Presse Le jeudi 29 novembre 2007 La Société de transport de Montréal (STM) annoncera cet après-midi une augmentation importante de son service d'autobus et de métro grâce à l'arrivée massive d'argent frais de la Ville de Montréal, a appris La Presse. Le service sur les lignes de métro numéro 1 (verte), 2 (orange) et 5 (bleue) sera renforcé. La ligne orange est particulièrement bondée depuis l'entrée en fonction du prolongement vers Laval. La STM planifie aussi une amélioration du service sur 30 lignes d'autobus. L'île de Montréal compte 164 lignes de bus le jour. La STM augmentera la fréquence du service sur ces lignes durant les périodes hors pointe, comme le précise le budget déposé hier. Le document précise que la STM souhaite accroître l'achalandage de 8% d'ici 2011. «La réalisation de cet objectif implique un accroissement de l'offre de service de 16% durant les quatre prochaines années», peut-on lire. L'achalandage a progressé de cinq millions de déplacements depuis les cinq dernières années. En 2007, la STM prévoyait effectuer 368 millions de déplacements. Depuis 1998, la fréquentation a progressé de 8,2%. La STM souhaite donc obtenir une augmentation équivalente sur une période deux fois plus courte. Les heures de services d'autobus ont augmenté de 105 000 heures en cinq ans pour s'établir en 2007 à 4,27 millions d'heures. La Ville a annoncé hier une augmentation de sa contribution annuelle au budget de la STM de 32 millions de dollars. La Ville absorbera aussi le déficit de la STM (29 millions) et paiera sa part (50 millions) des projets de transports en commun financés avec la SOFIL. Ce fonds est constitué de la remise de la taxe fédérale sur l'essence et d'une contribution du gouvernement du Québec. Au total, la Ville verse ainsi 100 millions de dollars de plus à la STM en 2008. Il s'agit d'une augmentation sans précédent des investissements en transports en commun. Par exemple, la contribution municipale à la STM n'avait progressé que de 34 millions depuis l'arrivée de Gérald Tremblay à la mairie. Sous l'administration Tremblay-Zampino, les tarifs de transports en commun ont connu aussi une augmentation sans précédent. La carte mensuelle a augmenté de 15$ depuis 2002. Le maire a refusé d'indiquer hier si les usagers auront droit à une pause avec l'arrivée de cet argent frais. Gérald Tremblay s'était engagé à limiter les hausses des tarifs à l'inflation liée aux transports lors de la dernière campagne électorale. L'année dernière, la carte mensuelle avait augmenté de deux dollars pour atteindre 65$.
  23. Jeudi 29 Novembre 2007 Un sondage réalisé par Léger Marketing pour le compte de la Communauté métropolitaine de Montréal révèle que 83 % des résidants du Grand Montréal sont fiers de leur région. De même, 91 % d'entre eux estiment que la région a une image positive à l'étranger. Lorsqu'interrogés sur les premiers mots qui leur venaient en tête pour décrire le Grand Montréal, les citoyens de la région ont parlé d'une grande ville (16 %) accueillante (18 %) et, surtout, cosmopolite (41 %). Selon eux, c'est ce même aspect cosmopolite qui constitue la plus grande force du Grand Montréal (29 %), suivi de sa culture (14 %), de sa gastronomie (12 %) et de son caractère chaleureux et accueillant (12 %). Dans l'ensemble, plus de 8 résidants sur 10 de la région métropolitaine se sont dits d'accord que les éléments suivants constituent des forces pour le Grand Montréal, notamment par rapport à d'autres grandes villes : la vie culturelle (92 %), le mélange des cultures américaine et européenne (88 %), la variété des activités de loisir (88 %), le multiculturalisme (88 %), l'ouverture d'esprit (86 %), le français (83 %) et le bilinguisme (82 %). " L'importance de doter Montréal d'une image de marque a été réitérée lors de l'événement Montréal, métropole culturelle - Rendez-vous novembre 2007, rappelle M. Massimo Iezzoni, directeur général de la CMM. Après avoir consulté la population, les élus et les leaders du Grand Montréal pour connaître leur perception de la région et les attributs qu'ils souhaitent mettre de l'avant, nous pouvons véritablement affirmer que le projet est bien lancé! "
  24. Peut étre ce que je vais vous dire va vous énérvez mais malheureusement il ya de le vérité en ce qu il dit ,peut étre il éxagére un petit peu mais il ya de la réalité ,malgré cela je comprend pas sa frustration car chaque paye et chaque province a des point positive et négative ,il aurait du aussi parler des choses positive qui existe ici .
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