Aller au contenu

loulou123

Membre
  • Compteur de contenus

    1 012
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par loulou123

  1. La Presse Le mardi 18 décembre 2007 L'opposition officielle à l'hôtel de Ville est revenue à la charge hier soir pour demander à l'administration Tremblay-Zampino de surseoir à l'octroi d'un contrat pour l'achat et l'installation de compteurs d'eau en raison de l'apparence de conflits d'intérêts. La chef de l'opposition, Noushig Eloyan, a déposé hier une «motion d'urgence» demandant de suspendre la signature du contrat afin de laisser le temps au vérificateur général d'effectuer une révision. Le parti de Gérald Tremblay a toutefois refusé d'inscrire cette motion à l'ordre du jour. Celle-ci est donc morte au feuilleton. Un quotidien montréalais a révélé la semaine dernière que la Ville de Montréal avait mandaté la firme BPR pour l'aider à élaborer un contrat de 355 millions accordé au consortium Génieau, formé de Dessau et de Simard-Beaudry. Dessau et BPR sont toutefois partenaires dans d'autres projets. 30 000 compteurs Le consortium doit installer et entretenir les compteurs d'eau durant 25 ans. Montréal investit pour sa part 67 millions, pour un total de 422 millions. Au total, 30 000 compteurs d'eau seront installés à partir de 2008, incluant le remplacement de 7000 déjà existants, pour couvrir les quelque 65 000 entreprises de l'île de Montréal. Les élus municipaux devaient aussi voter hier soir sur l'adoption d'un règlement d'emprunt de 300 millions pour l'achat et l'installation de ces compteurs d'eau. L'opposition a annoncé qu'elle voterait contre la résolution, mais l'administration Tremblay-Zampino dispose d'une confortable majorité. Au moment de mettre sous presse, le vote n'avait pas eu lieu. sourcehttp://www.cyberpresse.ca/article/20071218/CPACTUALITES/712180627/5155/CPACTUALITES
  2. SOURCE La Presse Le mardi 18 décembre 2007 Un groupe qui souhaite la sauvegarde de la vocation littéraire de l'édifice Saint-Sulpice a demandé hier à la ministre Christine St-Pierre d'imposer un moratoire sur toute transaction immobilière. Dans le mémoire qu'il a déposé hier en audience, à Montréal, ce groupe demande aussi la mise sur pied immédiate d'un comité de suivi pour garantir la vocation du lieu, qui a longtemps abrité la Bibliothèque nationale. Ce groupe est notamment formé de représentants du Centre des musiques spécialisées du Québec, de la Fondation du patrimoine de l'Amérique française, de la Société pour la promotion des arts traditionnels du Québec, de la Société historique de Montréal. Leur présence avait aussi pour but d'inciter Christine St-Pierre, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine à exercer son droit de préemption et d'achat de l'édifice convoité par des promoteurs immobiliers, comme l'a annoncé Le Devoir, samedi. «Si on veut garder l'âme du Quartier latin, il faut laisser à ce lieu sa vocation culturelle, explique Gilles Garand, président de la Société pour la promotion des arts traditionnels du Québec. On n'est pas des passéistes, mais on travaille à la valorisation de la culture populaire.» L'édifice patrimonial, construit en 1914 pour les Sulpiciens, appartient présentement à l'UQAM, qui connaît de sérieuses difficultés financières. La ministre de la Culture devrait annoncer, avant Noël, ses intentions. Le lien de la source http://www.cyberpresse.ca/article/20071218/CPARTS02/712180664/5155/CPACTUALITES
  3. le lundi 17 décembre 2007 Les utilisateurs du transport en commun de la Rive-Sud vont subir une hausse des tarifs en 2008. Dès le 1er janvier prochain, le Réseau de transport de Longueuil va hausser ses prix de 3,5 %. La carte mensuelle coûtera 76 $ au lieu de 73 $. La lisière de six billets va passer de 15 $ à 15, 50 $. Toutefois, le prix du passage payé comptant ne changera pas. Outre l'augmentation des tarifs de transport, la société de transport prévoit accroître le nombre de ses autobus au cours de l'année prochaine. Le budget 2008 du Réseau de transport de Longueuil s'élève à plus de 124 millions de dollars, une hausse de 6 % par rapport à cette année. SOURCE http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/12/17/006-longueuil-carte_n.shtml
  4. Voici le lien http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/12/20071216-210157.html
  5. source Le Journal de Montréal 17/12/2007 L’immense publicité des magasins Tristan suspendue à l’angle des rues Sainte-Catherine et Peel est un leurre : l’immeuble accueillera plutôt le suédois H & M, a appris le Journal. H & M a annoncé au printemps dernier qu’il avait enfin trouvé le local idéal sur la rue Sainte-Catherine, mais n’en a jamais précisé l’adresse. Finalement, le détaillant de vêtements s’établira dans une portion très achalandée de la Sainte-Catherine, en face du nouveau magasin Guess qui a ouvert ses portes samedi. « Ce sera une adresse extraordinaire », a souvent répété la présidente d’H & M Canada, Lucy van der Wal. L’immense édifice choisi par le « Ikéa du vêtement » a déjà commencé à être déserté par ses trois locataires. La boutique Rogers a déménagé ses pénates dans un autre local de la rue Sainte-Catherine, un peu plus à l’est. La SAQ a fermé ses portes mercredi soir dernier, la veille de l’ouverture de sa nouvelle succursale Express située à quelques mètres de là. Et le bureau de change Cali-forex doit quitter les lieux avant le 31 décembre. Décontamination Des mois de travaux seront ensuite nécessaires afin que les étages supérieurs, inutilisés depuis des années, deviennent accessibles à H & M. Le détaillant occupera en effet plus d’un plancher, comme on le voit notamment à New York. Il faudra aussi décontaminer les locaux, qui contiennent de l’amiante. Et refaire la façade. Le travail est déjà commencé, a-t-on appris. Mais les amateurs et amatrices de mode devront attendre jusqu’en août ou même septembre pour découvrir le plus grand H & M du Québec. La Ville de Montréal a accordé un permis pour les travaux effectués à l’intérieur mais attend toujours une proposition de « projet plus substantiel », a indiqué le porte-parole de l’arrondissement Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée. Au plus tôt, les plans pourraient être entérinés en février. Tristan sans America Quant aux immenses toiles qui recouvrent l’édifice, elles servent à présenter la nouvelle image de Tristan qui a laissé tombé la portion « America » de sa raison sociale. Dorénavant, les collections féminines et masculines seront donc vendues chez Tristan, tout simplement. Le détaillant montréalais peut facilement profiter de la visibilité qu’offre la future adresse d’H & M puisque l’édifice appartient à Gilles Fortin… le propriétaire des boutiques Tristan.
  6. lundi 17 décembre 2007 Le mobilier urbain du centre-ville de Montréal sera redessiné par Michel Dallaire Le designer Michel Dallaire, concepteur du prochain vélo en libre-service à Montréal, vient aussi de se voir confier le mandat de redessiner les centaines de poubelles et de bancs publics du centre-ville. C'est du moins ce qu'a confirmé au Devoir le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, qui a quitté récemment le camp du maire Tremblay pour rejoindre l'opposition.M. Labonté a confié que ce mandat particulier, qui sera entériné le 20 décembre prochain par le comité exécutif de l'arrondissement de Ville-Marie, vise à insuffler un peu plus d'homogénéité et d'esthétisme au mobilier urbain que côtoient quotidiennement les résidants et visiteurs du centre-ville. «On sait que j'ai une préoccupation particulière pour le design. J'ai donc demandé à M. Dallaire de concevoir le mobilier urbain de l'arrondissement. Je veux qu'on donne une signature au centre-ville. Je m'attends à beaucoup de créativité», a soutenu M. Labonté. Ce contrat, d'une valeur d'environ 25 000 $, confié à la firme de Michel Dallaire (MDDI), devrait permettre d'amorcer, dès le printemps 2009, le remplacement graduel des bancs et poubelles du centre-ville. Des bancs bancals Parfois disgracieuses et obsolètes, les poubelles publiques posent de nombreux problèmes de fonctionnalité, selon Michel Dallaire. Le nouveau design privilégiera l'usage de matériaux recyclés et devra permettre aux employés de la Ville de manipuler les ordures plus facilement et de façon plus sécuritaire. Quant aux bancs publics, on s'assurera que le nouveau modèle permette une mise à niveau facile -- les bancs actuels, parfois installés sur des terrains en légère pente, sont trop souvent bancals. Selon M. Dallaire, il y a peu de bancs à niveau dans les rues de Montréal, sans même parler de tout le mobilier vieilli, vandalisé ou victime des opérations de déneigement. «On veut une marque distinctive pour le centre-ville, mais pas trop de design, car trop, c'est aussi polluant pour le regard. Il ne faut pas être décoratif, mais d'abord utilitaire. On cherche à concevoir un objet intemporel, sans fioritures», a indiqué M. Dallaire, qui, en 2004, a déjà conçu pour la Ville le mobilier du Quartier international. Récemment, il a aussi conçu les supports à bicyclettes, intégrés aux nouvelles bornes de stationnement numériques de Stationnement de Montréal (SdM). L'organisme qui gère le stationnement dans la métropole vient tout juste de lui confier la conception de tout le système de vélos en libre-service prévu dans le dernier Plan de transport de Montréal. Les premiers vélos devraient être offerts au public dès l'automne prochain, dans le cadre d'un projet-pilote. Sans bénéficier d'un budget aussi important que celui du Quartier international, le designer affirme qu'il produira pour le centre-ville un mobilier tout à fait différent, «plus simple», mais de très grande qualité. Selon M. Labonté, les sommes que l'arrondissement investira dans la modernisation de ce nouveau mobilier urbain seront déterminées lors de l'adoption du prochain programme triennal d'immobilisations. «L'idée n'est pas seulement de se différencier, mais de lancer le message que le design est important, explique le maire de l'arrondissement. J'ai toujours parlé d'embellissement. J'ai donc la responsabilité de donner un message clair. Cela fait partie d'une stratégie complète pour valoriser le design.» Source de l'article : http://www.ledevoir.com/2007/12/17/168881.html
  7. le 14 décembre 2007 Une étape importante du long processus qu'est le projet SmartCentres dans la carrière Saint-Michel sera bientôt franchie. C'est le 19 décembre prochain que l'étude d'impacts économiques sera publiée par SmartCentres, la division immobilière de Wal-Mart. Le comité de concertation pourra alors prendre connaissance de l'étude pour ensuite donner ses recommandations lors du comité exécutif du 7 janvier. Le prochain conseil municipal, où pourrait être présentée une recommandation de signature en faveur du projet aura quant à lui lieu le 28 janvier 2008. Plusieurs se demandent si le délai entre la publication de l'étude, juste avant les fêtes, et la tenue du comité exécutif, qui se tiendra au retour des congés, n'est pas trop restreint. À ce sujet, Alan de Sousa, responsable du comité exécutif, croit qu'il sera amplement possible pour tous les partis concernés de prendre connaissance de l'étude. « Nous ferons tout en notre pouvoir pour que les divers acteurs aient une bonne idée du contexte », affirme-t-il. Reporter pour mieux concrétiser L'ayant déjà fait dans le passé, la mairesse de l'arrondissement Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension et membre du comité de concertation, Anie Samson, serait d'accord pour faire reporter la date de prise de décision. « C'est un dossier qui va changer la vie du quartier, affirme-t-elle. Je suis favorable à ce qu'on demande un report, le temps d'approfondir le dossier afin que tout soit fait correctement. » La mairesse devrait, en principe, faire sa demande lors de la prochaine rencontre du comité de concertation. Même son de cloche pour la conseillère de la Ville au district de Saint-Michel, Soraya Martinez qui a « déjà demandé un report de la signature. » Selon elle, quelques semaines de plus à la délibération permettraient à tous ceux qui sont concernés de prendre connaissance du projet comme il se doit. Pour M. De Sousa, un report ne ferait que ralentir le processus. « On ne peut éterniser le dossier continuellement, croit-il. On a une obligation de résultats. » Il ajoute que « l'étude ferait une belle lecture du temps des fêtes! » Le temps passe vite… Rappelons que depuis déjà plus d'un an, le géant SmartCentres prévoit s'installer dans la carrière Saint-Michel, afin de développer un projet de méga centre commercial. Un comité de concertation a été créé, lequel siègent Mme Samson et Martinez, les représentants de Vivre Saint-Michel en Santé, la Corporation de développement économique communautaire, certains organismes et commerçants du quartier ainsi que les représentants du promoteur. Le projet s'est vu retardé plusieurs fois en raison de l'importance du dossier. Mme Samson, avait d'ailleurs elle-même fait reporter la signature de l'accord, prévue initialement le 21 septembre 2007. Selon elle, il fallait avoir la chance de préparer le dossier correctement, vu son importance et son impact direct dans l'arrondissement.
  8. La Presse Le dimanche 16 décembre 2007 Après plus de six mois de chantier et des dépenses imprévues de 6,5 millions, le ministère des Transports du Québec (MTQ) a annoncé que toutes les voies de l'autoroute Ville-Marie (A-720) seront rouvertes à la circulation dès le début de la semaine prochaine, si la météo reste clémente. Selon Réal Grégoire, porte-parole du MTQ, la plupart des restrictions de circulation imposées depuis juin ont été levées hier matin, avant le début de la période de pointe. Au cours des prochains jours, la circulation sera toujours perturbée par des fermetures partielles de voies dans chaque direction. Vers l'est, la voie de gauche restera fermée entre les sorties 2 (Atwater) et 3 (rue Guy). Vers l'ouest, une voie sera retranchée entre les sorties Lucien-L'Allier et Saint-Jacques. Au début de la semaine prochaine, d'autres fermetures, prévues durant la nuit, devraient permettre d'enlever les derniers coffrages sous l'autoroute, entre le tunnel Ville-Marie et l'échangeur Turcot. À une semaine de Noël, la fin des travaux sera un beau cadeau pour les milliers d'usagers quotidiens de cette autoroute, une des principales voies d'accès au centre-ville. En juin dernier, la découverte d'un pilier de béton fracturé sous l'autoroute A-720 a déclenché l'inspection d'urgence de l'ensemble des piles et des structures qui la soutiennent à plus du 10 mètres du sol, entre le tunnel Ville-Marie et l'échangeur Turcot. Cette opération a permis de découvrir deux autres piliers endommagés et une dégradation du béton beaucoup plus importante que prévu sur une structure construite il y a seulement 35 ans. Ces travaux ont entraîné des fermetures complètes d'une ou deux voies de circulation sur quatre durant plus de six mois, sur une autoroute où circulent jusqu'à 120 000 véhicules par jour.
  9. La Presse Le dimanche 16 décembre 2007 La Société de transport de Montréal (STM) et le constructeur d'autobus Nova Bus, de Saint-Eustache, négocient depuis plusieurs mois la mise au rancart prématurée et les conditions de remplacement de plus de 450 autobus construits par cette entreprise entre 1996 et 2000. Dans une entrevue à La Presse, le directeur général de la STM, Yves Devin, et le directeur de l'exploitation des réseaux, Carl Desrosiers, ont reconnu que les problèmes de fiabilité des autobus à plancher surbaissé de première génération (APS-1) pourraient compromettre la mise en oeuvre du plan d'amélioration des services annoncé à la fin du mois de novembre par le transporteur public. En entrevue, MM.Devin et Desrosiers n'ont pas hésité à qualifier ces 456 autobus de «citrons». Selon la STM, ces véhicules, qui doivent rentrer au garage trois fois plus souvent que la moyenne et dont la performance n'a jamais été satisfaisante, sont les premiers responsables de la pénurie d'autobus qui mine chaque jour la qualité du service aux périodes de pointe. Or, dans son plan d'amélioration des services, la STM projette d'augmenter le nombre et la cadence des autobus sur une trentaine de lignes actuelles, en haussant de 3% les heures de service de son réseau de surface, et ce, dès l'an prochain. Selon Carl Desrosiers, l'augmentation des services d'autobus promise pour janvier sur trois lignes très fréquentées (18 Beaubien, 24 Sherbrooke et 121 Sauvé/Côte-Vertu) ne devrait pas poser de problème. «Nous avons les autobus et les chauffeurs nécessaires», a-t-il assuré. À l'automne, la STM souhaite toutefois bonifier ses services sur une vingtaine d'autres circuits. Et c'est là que le bât blesse, de l'aveu des administrateurs, qui ne peuvent pas garantir qu'elle aura les véhicules nécessaires. Un vieux pour un neuf? «Nova reconnaît maintenant qu'il y a des problèmes avec les autobus APS-1, a dit M. Devin. C'est un progrès important. Nous nous attendons à ce que Nova nous revienne prochainement avec une offre de rachat de ces autobus, qui serait intégrée à une nouvelle commande de véhicules.» Joint par La Presse la semaine dernière, le directeur de l'usine de Saint-Eustache, Gilles Dion, s'est montré un peu plus réservé que son «partenaire d'affaires» quant à un échange de véhicules de type «un pour un» et à la mise au rancart prématurée de 456 autobus, qui comptent au plus 11 ans de service. Au Québec, le gouvernement subventionne l'achat de ces véhicules au coût de 400 000$ à 450 000$ pièce, en remplacement d'autres autobus ayant au moins 16 ans d'usure. «En évaluant l'état actuel des premiers autobus à plancher surbaissé, a déclaré M.Dion, la STM a calculé qu'elle pourrait atteindre ses objectifs de développement, mais seulement à condition de les remplacer par de nouveaux véhicules.» «Nova Bus est à l'écoute des besoins de la STM, a poursuivi M.Dion. Mais il nous reste encore à déterminer de quelle façon nous pouvons aider la STM à atteindre ses objectifs.» M.Dion a refusé net de discuter de toute considération financière qui accompagnerait l'échange de véhicules souhaité par son client. Nouveaux autobus Afin d'assurer les services d'autobus sur quelque 162 circuits, la STM dispose aujourd'hui d'un parc de 1690 véhicules (voir le tableau), qui cumulent environ 4,2 millions d'heures de service sur une base annuelle. Dans son plan d'amélioration, la STM ambitionne de hausser les services de 16%, à environ 4,9 millions d'heures, d'ici à 2013. Dans l'intervalle, son parc d'autobus devrait passer à 1834 véhicules. Des commandes d'une valeur d'environ 350 millions de dollars sont d'ailleurs déjà conclues entre la STM et Nova pour 300 autres autobus à plancher surbaissé - beaucoup plus performants que leur lointain ancêtre - et 260 autobus articulés. Nova Bus devrait donc fournir 40 nouveaux autobus à la STM en 2008, selon M. Desrosiers. De ce nombre, une trentaine seront affectés au plan d'accroissement des services. Mais au moment où il manque chaque jour de 30 à 60 véhicules pour assurer les services actuels, ces renforts sont-ils suffisant pour combler cette pénurie quotidienne d'autobus et produire un impact réel et perceptible pour les usagers? Le directeur général, Yves Devin, n'a pas répondu directement à cette question: «Le virage que prend la STM, avec le plan de développement des services, vise à augmenter l'utilisation des transports en commun. Si nous voulons réussir, il faut s'occuper du client. La performance actuelle de ces autobus (APS-1) n'est pas assez fiable pour garantir le service que nous avons promis.» PARC D'AUTOBUS DE LA STM Autobus standards : 560 Autobus à plancher surbaissé : 1033 > Première génération: 456 > Autres générations : 577 Minibus de transport adapté: 93 Minibus urbains : 4 Total du parc d'autobus : 1690 Ponctualité des autobus (2006) 83,7% Rendement du service planifié 99,2% Source: Société de transport de Montréal
  10. La transaction en cours pour soulager l'UQAM du poids immobilier de l'édifice Saint-Sulpice prend des airs de «vente de feu». Le Devoir a appris que ni le conseil d'administration de l'UQAM, ni les gouverneurs de l'Université du Québec réunis en assemblée mercredi n'ont cherché à connaître l'identité des investisseurs représentés par la compagnie à numéros qui a déposé une offre d'achat pour acquérir l'édifice Saint-Sulpice. Les quelque quatre millions de dollars offerts pour la bâtisse style beaux-arts, soit près du double de ce qu'avait déboursé l'UQAM pour acheter le bâtiment de la Société immobilière du Québec en 2005, semblent avoir suffi aux gouverneurs et administrateurs pour entériner la transaction. Au ministère de la Culture, donc, qui peut utiliser son droit de premier acheteur, de juger si la vente est acceptable, compte tenu de l'histoire de l'édifice, conçu par l'architecte Eugène Payette en 1914 pour y installer la collection des sulpiciens, berceau de l'actuelle Bibliothèque nationale du Québec (BnQ). Les apparences restent sauves puisque l'UQAM, qui promettait de préserver le caractère patrimonial et la fonction culturelle de l'ancienne bibliothèque des sulpiciens, assure que le groupe d'acheteurs en cause planifie d'y ouvrir une librairie. Promoteurs immobiliers Selon les informations obtenues par Le Devoir, il s'agirait plutôt de promoteurs immobiliers qui comptent revendre l'édifice patrimonial à une librairie pour n'exploiter que le terrain vacant situé à l'arrière. La ministre de la Culture, Christine St-Pierre, a indiqué qu'elle annoncerait la semaine prochaine si elle aura recours ou non à son droit de préemption. La vente de Saint-Sulpice à des intérêts privés inquiète le milieu du livre, qui a longtemps tenu ses lancements, colloques et conférences dans la majestueuse enceinte. C'est la deuxième fois en quelques années que l'ancienne bibliothèque se retrouve sur le marché immobilier. Lorsque la BnQ (devenue depuis BAnQ, Bibliothèque et Archives nationales du Québec) a libéré l'édifice pour emménager dans ses nouveaux quartiers, rue Berri, la Société immobilière du Québec l'a mis en vente. Des projets de Maison du patrimoine et d'Institut du livre ont été soumis. Mais c'est finalement l'UQAM, alors en pleine expansion, qui en a fait l'acquisition en 2005, en promettant, au grand bonheur du milieu, d'y accueillir des artistes en résidence, des colloques et des conférences. Sa remise en vente l'été dernier s'inscrit dans le plan de redressement financier de l'université en déroute.
  11. 14/12/2007 La presse française s'arrête cette semaine sur le Québec avec un mélange de nostalgie et d'orgueil. Étrange tableau, entre le vide spirituel laissé par la désertion des églises et l'irruption de saoulards anglophones sur le Plateau Mont-Royal. «Le Québec n'a jamais été vraiment "libre"» avertit le quotidien catholique La Croix avant de poursuivre avec regret «mais il a été catholique. Il y a encore soixante ans, l'Église était partout: des consciences villageoises aux stratégies politiques, des syndicats aux hôpitaux. La Belle Province fut un modèle de chrétienté où l'Église régnait en maître, non par contrainte [sic], mais par une suite de liens historiques tissés à partir de la matrice catholique et française. Cet âge d'or - ou obscur, selon certains - vécut son apogée au cours des années 1950. Aujourd'hui, à peine un demi-siècle plus tard, c'est la panne de transmission.» Le crépuscule guette même l'église québécoise, car «dans cinq ans, 80% des prêtres actifs de la province de Québec seront à la retraite. Le taux de pratique dominicale oscille entre 5 et 10 % selon les régions.» La désolation règne selon Marc Pelchat, prêtre du diocèse de Québec et pourfendeur du mythe de la grande noirceur terminée par «une» - comme l'écrit La Croix - révolution tranquille. «La révolution ne s'est pas faite contre l'Église, affirme-t-il mais par l'économie qui s'est américanisée dès les années 1960.» Des Gaulois résistent sur le Plateau Mont-Royal «En 2006, les francophones sont, pour la première fois, devenus minoritaires à Montréal. Ils ne représentent plus que 49,8% de la population», écrit Le Figaro après la publication des données du recensement 2006. Toute la ville s'anglicise? Non car «Il existe des exceptions à Montréal. Outre le riche quartier d'Outremont, le très branché Plateau Mont-Royal, village d'Astérix de 50 000 habitants, est surnommé "le quartier des Français" par les Québécois.» Cet îlot de résistance toute française survit grâce à des «bistrots [qui] servent des expressos». Voilà pour la potion magique. Voire, ces Gaulois d'Amérique et pas d'Armorique ont transmis leurs traditions aux Montréalais qui «ont troqué le pain de ménage pour les baguettes de boulangeries très parisiennes.» L'apport de la civilisation française ne s'arrête pas là. Le Figaro explique encore que «L'influence du Plateau sur le mode de vie du reste du Canada a été considérable. Le quartier compte 8% d'artistes. Cela n'a pas échappé aux Canadiens anglais et aux Américains, qui vantent régulièrement ce quartier bohème si frenchy.» Cet oasis est néanmoins menacé, non parce que le français recule, mais par l'invasion de soudards venus de l'autre côté du grand fossé. «La nuit, les rues du quartier ont perdu leur calme. Des hordes de jeunes anglophones souvent saouls hurlent à qui mieux mieux.» Horreur!
  12. Montréal, le 13 décembre 2007 - Le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, et le maire de l'arrondissement de Rosemont—La Petite-Patrie, monsieur André Lavallée, sont heureux d'annoncer qu'une nouvelle bibliothèque publique sera construite sur les terrains des anciens ateliers municipaux Rosemont. Il s'agit d'un investissement total de 12,5 M$. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent à ceux qui les fréquentent accès à la culture et au savoir. Ces lieux de convergence sont une porte d'entrée sur le monde et sur toute l'histoire de l'humanité. Quand on entre dans une bibliothèque, les frontières du monde et du temps tombent. La construction de cette nouvelle bibliothèque démontre, encore une fois, que notre administration est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré le maire Tremblay. Après avoir augmenté de façon significative les heures d'ouverture des 44 bibliothèques publiques puis procédé à l'harmonisation des systèmes informatiques, cette nouvelle bibliothèque représente un pas de plus dans la réalisation du plan de consolidation du réseau de bibliothèques publiques de Montréal, mis de l'avant depuis 2005. « Ce projet répond à un besoin clairement exprimé par la population de Rosemont—La Petite-Patrie, soit celui d'avoir accès à des lieux de savoir et de culture dans leur quartier. La future bibliothèque qui sera érigée dans l'environnement immédiat du métro Rosemont, pourra ainsi desservir un important bassin de population, et plus particulièrement les familles du quartier. Cette annonce constitue un pas en avant très significatif par rapport au plan de développement culturel de l'arrondissement adopté l'an dernier », de se réjouir monsieur Lavallée. Une bibliothèque adaptée aux familles Le concept de famille guidera la conception de cette bibliothèque, ses aménagements et ses services. La vocation familiale sera perceptible dans plusieurs choix de la bibliothèque : des espaces spécifiques seront aménagés pour les adultes, les adolescents et les enfants; une répartition différente accordera une importance particulière aux enfants et l'aménagement sera adapté aux besoins de la clientèle famille (tables à langer, emplacement pour les poussettes). Quant aux adultes et adolescents, ils pourront profiter de salons de lecture, de sections d'écoute et de petites salles fermées pour le travail en équipe. Une salle multimédia sera également aménagée. Finalement, les programmes d'animation et de médiation culturelle seront adaptés à la clientèle. Plan de consolidation des bibliothèques publiques de Montréal Depuis 2005, la Ville de Montréal a entamé un important plan de consolidation des bibliothèques publiques. Ainsi, la gratuité a été instaurée partout et 4,7 M$ sont investis de façon récurrente afin d'augmenter les heures d'ouverture jusqu'à un minimum de 53 heures par semaine dans chacune des 44 bibliothèques publiques de Montréal. De plus, la Ville a investi quelque 4,5 M$ pour l'harmonisation des systèmes informatiques. Récemment, la Ville lançait un site Internet amélioré comprenant le catalogue Nelligan qui permet désormais aux citoyens d'accéder aux plus récentes technologies de l'information, et ce, à partir de leur bibliothèque de quartier.
  13. Ils viennent d installer des écrans au deuxiéme étage de la station je suppose qu ils vont étre comme ceux de berri-uquam pour nous informer du temps mais il n ont pas commencer a marcher encore voila la photo Dans le premier étage j ai remarquer qu ils ont installer ca mais je ne sais pas a quoi ca va servir
  14. 13/12/2007 Le contrat le plus important jamais accordé par la Ville de Montréal serait marqué par un conflit d'intérêts. Le journal Le Devoir rapporte qu'un consortium impliquant la firme Dessau-Soprin s'est vu octroyer le contrat de 355M$ pour l'installation et l'entretien de compteurs d'eau dans les entreprises de l'île de Montréal. Le hic, selon le quotidien, c'est que le partenaire commercial de Dessau-Soprin dans au moins trois autres consortiums, BPR, a participé au processus de sélection. En fait, BPR aurait participé à pratiquement toutes les étapes du projet. La compagnie siège même au Bureau de projets qui a recommandé au comité exécutif de la Ville de Montréal l'octroi du contrat à Géniau, formé de Dessau-Soprin et de l'entrepreneur Simard-Beaudry. Et, à la ligne d'arrivée, le consortium Géniau a effectivement obtenu ce lucratif contrat. Le Devoir affirme que BPR a resserré ses liens d'affaires avec Dessau-Soprin au moment même où elle déterminait les termes de référence du contrat pour les compteurs d'eau. Les deux groupes ont travaillé ensemble en 1995. Ils ont formé une nouvelle alliance en 2006 pour autre projet, et se sont encore une fois associés le 15 octobre dernier. Moins d'un mois plus tard, Géniau obtenait le contrat de 355M$ de la Ville. L'administration Tremblay-Zampino a embauché BPR pour dix ans en 2005, une affaire de 7,4M$. Son mandat consiste à faire le bilan de la consommation d'eau et à en organiser le contrôle, notamment par l'installation de compteurs dans les entreprises.
  15. Le Journal de Montréal 13/12/2007 Un nouveau concept de SAQ Express 22 h, aménagé au coût de 730 000 $, ouvre ses portes aujourd’hui au centre-ville, rue Sainte-Catherine Ouest. Un an après avoir commencé à tester ses SAQ Sélection nouveau genre, la société d’État entreprend la transformation de ses 34 succursales Express, a appris Le Journal de Montréal. Un processus qui devrait s’étendre sur près de dix ans. La nouvelle image de ces petits points de vente se veut plus jeune, plus urbaine, plus épurée. La SAQ souhaite aussi y rendre le magasinage plus facile. Car 81 % des clients de la bannière Express font leurs achats en seulement cinq minutes. Côté look, la nouvelle succursale du centre-ville étonne avec ses murs blancs décorés de grandes toiles modernes; son plancher, très pâle, qui imite le bambou; son plafond de 48 pieds; et la lumière provenant de puits. Pour le côté pratique des choses, tous les vins rouges ont été placés à droite, les blancs et les coolers, à gauche, les spiritueux, au centre. Et comme on le voit dans les quatre SAQ Sélection nouvelle génération qui existent à ce jour, des pastilles de couleur précisent le «goût» des vins aux consommateurs. Abolition des Classique Toutes les autres succursales Express adopteront ce concept qui met en évidence les heures d’ouverture prolongées (jusqu’à 22 h). En moyenne, les transformations coûteront 130 000 $. La succursale près de la rue Stanley est donc exceptionnelle. Simultanément, les Sélection continueront de changer de look, et la bannière Classique sera rebaptisée SAQ. «Nous avons réalisé que cette désignation ne voulait rien dire pour les gens», explique Lyne Rodrigue, directrice du développement immobilier de la SAQ. Tous ces changements devraient coûter autour de 60 M$, ce qui n’est pas «beaucoup plus», affirme-t-on, que le budget habituel de la SAQ pour l’amélioration de son réseau de succursales.
  16. La Presse Canadienne 12/12/2007 Le petit baby-boom que connaît le Québec force quelque peu la main du ministre de la Santé et des Services sociaux. Philippe Couillard a en effet annoncé hier une poignée de mesures d'urgence destinées à améliorer l'accès aux suivis de grossesse à Montréal. Le ministre a toutefois convenu que le réseau de la santé devra revoir ses façons de faire s'il veut rétablir l'équilibre. Le ministre Couillard a nié «être dépassé» par l'augmentation de huit pour cent du nombre de naissances. Il a toutefois convenu que la crise est bel et bien installée dans la région métropolitaine. En attendant le dépôt de sa politique de périnatalité, reporté à janvier, M. Couillard a lancé un appel à l'aide aux établissements montréalais. Deux cliniques de médecine familiale, une dans le quartier Côte-des-Neiges, l'autre dans le district de l'hôpital du Sacré-Coeur, ont proposé de prendre un nombre accru de patientes en échange de l'appui de nouvelles ressources infirmières. L'Hôpital général juif s'est pour sa part engagé à travailler de pair avec l'Unité de médecine familiale de Côte-des-Neiges afin d'aider les clientèles les plus vulnérables à faire leur chemin dans le réseau. Ces initiatives ponctuelles, qui n'ont par ailleurs pas pu être chiffrées, n'ont pas eu l'heur de rassurer le député péquiste Nicolas Girard. Ce dernier réclame une aide beaucoup plus importante et, surtout, immédiate.
  17. Mercredi 12 Décembre 2007 Des gens d'affaires de l'est de la métropole sont à peaufiner un projet qui sera déposé avant la fin de l'année au maire Gérald Tremblay et au ministère des Transports du Québec afin d'obtenir le prolongement de la ligne bleue vers St-Léonard et encore plus à l'est de la métropole. " Nous venons de prendre connaissance des propos du maire de Laval Gilles Vaillancourt qui réclame cinq autres stations sur la ligne orange. Laval a eu sa part et il revient maintenant au gouvernement de se tourner vers l'est de la métropole ", affirme un des membres de ce regroupement sous le couvert de l'anonymat. " Si le gouvernement a cédé à la demande de Laval une première fois, il est bien capable de satisfaire la gourmandise du maire de Laval. Québec semble oublier que le potentiel économique est aussi grand dans l'est de Montréal et le prolongement de la ligne bleue aurait l'effet d'un vivifiant tonique ", explique l'informateur dans un entretien avec le journal 24 heures. APPUI Ces gens d'affaires ont déjà avisé certains élus provinciaux de leurs intentions. Maintenant, ils ont besoin de l'appui de l'appareil municipal. " Le maire Tremblay ne pourra fermer les yeux avec le projet qui sera déposé sous peu sur son bureau. Nous avons sondé le terrain auprès de plusieurs personnes de son entourage et ils ont tous dit que ce dossier doit aller de l'avant. " Dans son plan de transport déposé récemment, la Ville prévoit prolonger la ligne 5 de Saint-Michel à Pie-IX. Ce boulevard offre le corridor de transport en commun nord-sud le plus important de l'île, en termes d'achalandage actuel et potentiel. La nouvelle station offrirait une corres-pondance avec la voie réservée Pie-lX et le train de l'est et permettrait d'améliorer enfin les services dans l'est de l'île en offrant un nouvel axe de déplacement structurant est-ouest au centre de l'île. Par la suite, la ligne serait prolongée de Pie-lX jusqu'à Saint-Léonard et Anjou, sur une distance de 5,1 km. " C'est bien beau un plan, mais nous voulons des gestes concrets ", conclut l'homme d'affaires de l'est.
  18. La Presse Le mardi 11 décembre 2007 Les citoyens qui s'opposaient aux voeux de la Ville de Montréal de remplacer le parc Fleming par une résidence pour aînés ont gagné leur bataille: 172 personnes ont voté Non au projet lors du référendum organisé dimanche, alors que 102 ont voté Oui. Les résidants se sont mobilisés dans ce dossier puisque 274 ont participé au scrutin sur 746 personnes habilitées à voter, soit 36,7% de suffrages exprimés. Situé près de l'autoroute 40, à mi-chemin entre le chemin Canora et l'avenue Rockland, au bord du chemin de la Côte-de-Liesse et de la rue Brittany, le parc public de 44000pi2 restera donc un espace vert. La Ville disait vouloir aider les personnes âgées de Mont-Royal qui forment, selon la mairesse Vera Danyluk, 19% de la population. La résidence ne pouvait être construite ailleurs, car il n'y a pas autant d'espace qu'au parc Fleming, avait-elle plaidé. Mais lors de la dernière séance du conseil municipal, les cinq membres de la Commission sur l'environnement et le développement durable de la Ville s'étaient déplacés pour s'opposer à la disparition du parc. La citoyenne Judy Bock avait aussi présenté le rapport d'une étude du Dr Louis Drouin, qui évoque les conséquences sanitaires néfastes d'une construction faite aux abords d'une autoroute. «On est très contents, dit Danielle Bellemare, la citoyenne qui a mené la bataille contre la résidence. On était contre une machine qui a essayé de déployer des efforts considérables pour défendre son projet. Maintenant, il y a moyen de trouver un endroit plus au centre-ville pour la construire, cette résidence de personnes âgées.» La mairesse Danyluk a dit à La Presse hier que Mont-Royal va revoir le projet. «Mais, malheureusement, tout ce qui est financièrement rentable, ça prend un minimum d'unités d'habitation et les terrains qu'on a sont tous très limités par nos règlements de construction», dit-elle.
  19. D autre photos du projet et plus d informations dans le lien http://www.creativitemontreal.com/articles/news/archive/2007/12/11/article-24784.aspx
  20. le lundi 10 décembre 2007 Le budget 2008 de la Ville de LavaL a été dévoilé lundi.Le budget prévoit des dépenses de 653 millions de dollars, en hausse de 24 millions par rapport à l'année dernière. Les contribuables vont devoir absorber une hausse de 1,6 % de la taxe foncière. Toutefois, il y aura un gel de la taxe d'eau et du tarif du transport régional. Le budget prévoit également des investissements de 116,5 millions de dollars pour la réfection de diverses infrastructures existantes, 36,2 millions seront investis dans le réseau routier et le transport en commun et 17 millions vont être injectés dans l'aménagement de parcs. Des services municipaux seront aussi ajoutés ou améliorés. Un nouveau système de collecte sélective sera mis en place, une escouade policière antigang composée de quinze policiers sera créée et le nombre d'employés au service 9-1-1 sera augmenté. La Ville compte également apporter une contribution plus importante au logement social. Autre prolongement de métro? Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, a profité du dépôt de son budget pour réclamer un deuxième prolongement du métro de Montréal vers Laval, mais cette fois-ci à partir de la station Côte-Vertu. « Il faut absolument compléter la ligne orange. C'était le projet de 65. Il faut donc partir de Côte-Vertu, s'en venir à Bois-Francs, aller vers Cartierville, ensuite rentrer dans Laval, rejoindre la station Montmorency », explique M. Vaillancourt. La ligne orange deviendrait donc une boucle complète. Le maire de Laval demande au gouvernement du Québec de consacrer à ce projet un milliard de dollars sur dix ans.
  21. le lundi 10 décembre 2007 Le projet de déménagement du Planétarium de Montréal se concrétise. Les trois niveaux de gouvernement ont confirmé lundi avant-midi qu'ils allaient contribuer financièrement au déménagement de l'établissement, présentement situé au centre-ville, dans le Parc olympique, tout près du Biodôme. Ottawa versera les 9 millions de dollars promis il y a quatre ans. Le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal ajouteront chacune le même montant. Pour sa part, l'entreprise Rio Tinto Alcan tiendra sa promesse d'investir 4 millions dans le projet. ========================================================================================================= On peut mettre donc le projet dans la section aprouver:) .
  22. Moi j aime ce nouveau plan de lumiére mais j aime plus le plan qui est sur la vidéos http://video.cyberpresse.ca/ lequel qu on va le faire de deux plans (celui sur la photo et celui sur la vidéos) je ne sait pas ?
  23. lundi 10 décembre 2007 Le Cinéma Beaubien, dans le quartier Rosemont-Petite-Patrie, héritera de deux salles supplémentaires, qui devraient être inaugurées à l'automne 2008, a appris Le Devoir de source sûre. L'une comptera 50 sièges, la seconde 90. Ces deux salles, au second étage de l'immeuble, accessibles par ascenseur et escalier, seront localisées dans les anciens bureaux occupés jusqu'à l'an dernier par le Groupe Popcorn. Le Cinéma Beaubien gérait déjà trois salles au rez-de-chaussée. Le projet comporte également une rénovation générale de ces aires d'origine: de nouveaux fauteuils et la climatisation du hall modifiée pour mieux répondre aux normes. Aujourd'hui, la Fiducie du Chantier de l'économie sociale, qui investit en capitalisation dans le projet (sans remboursement de capital), annoncera la nouvelle du chantier en conférence de presse, en précisant quelles sommes seront versées dans l'aventure. La Corporation du cinéma Beaubien, propriétaire de l'édifice, absorbera la différence. Rappelons que le Cinéma Beaubien, ancienne propriété de Cineplex Odéon, alors appelé Dauphin, avait failli fermer ses portes, quand la chaîne avait périclité au début du millénaire. Repris en septembre 2001 par la Corporation du Cinéma Beaubien, une entreprise d'économie sociale, sous la direction générale de Mario Fortin, celle-ci a su prouver qu'un cinéma de quartier, présentant des oeuvres de qualité, pouvait être populaire et rentable. À l'origine, une somme de 1,2 million de dollars avait été investie pour rénover les salles. Mais le jeu en valait la chandelle. Le Beaubien possède un des meilleurs taux d'occupation (il dépasse 30 %) dans la province. Parfois, jusqu'à sept films roulent au cours d'une semaine sur trois écrans. Les salles supplémentaires permettront de multiplier les séances, de présenter davantage de productions, mais aussi de garder des oeuvres à l'affiche plus longtemps, lorsque la demande est encore forte. Jusqu'à maintenant, des films porteurs devaient être sacrifiés après trois semaines, à cause de l'infernal roulement des nouveautés. Le Beaubien conservera son apparence et sa vocation actuelle, sans se déguiser un petit mégaplex, mais en répondant encore davantage aux besoins de sa clientèle de quartier. Dans un an, tout le projet d'agrandissement et de rénovation sera terminé.
  24. La Presse Le dimanche 09 décembre 2007 Estimant qu'il est important d'encourager les familles à utiliser les transports en commun, l'arrondissement de Saint-Laurent a demandé jeudi au président de la Société de transport de Montréal, Claude Trudel, que la STM innove et crée une tarification familiale. L'arrondissement avait adopté en novembre son plan triennal 2008-2010 pour la famille, un thème important pour le maire de Saint-Laurent, Alan DeSousa. Saint-Laurent a déjà un programme de tarifs familiaux pour les activités de loisirs mais n'a rien pour les transports en commun, l'un des principaux enjeux de son plan. Comme le maire est aussi le responsable de l'environnement à la Ville, il a fait adopter une résolution enjoignant la STM de mettre en place une tarification familiale pour allier, comme il dit, «bien de la famille et développement durable». «Dans un contexte où il est impératif de privilégier les moyens de transport alternatifs à l'automobile et, par conséquent, de favoriser l'accessibilité au transport en commun, particulièrement pour les familles, et ce, dans une perspective de développement durable, l'implantation d'une tarification familiale pourrait avoir un impact économique majeur pour les familles», a écrit le maire DeSousa dans sa lettre à M. Trudel. Selon le maire DeSousa, une tarification familiale représenterait pour les familles «un excellent incitatif à utiliser les solutions de rechange à l'auto-solo et permettrait de contrer l'étalement urbain constaté depuis quelques années dans la région métropolitaine». Saint-Laurent est le premier arrondissement montréalais à adopter une telle résolution. Est-ce que ce sera suffisant pour faire bouger la STM? La tarification familiale est-elle au programme? «Éventuellement, on y viendra, dit la porte-parole de la STM, Isabelle Tremblay, peut-être dans le cadre de la création de la carte à puce, mais rien n'est encore planifié.»
×
×
  • Créer...